Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Plantagenet, Ontario,

par son instrument, la Fille du Oui à Jésus.

 

2008-12-13 - P.M. 

 

♪♪♪      Bénis sois-tu, Marie, toi, l'Icône de l'Église, qui pries pour l'éternité,

Avec tous les saints, les anges te chantent sans fin.

 

Marie, douce Lumière, Porte du Ciel, Temple de l'Esprit,

            Guide-nous à Jésus vers le Père, Mère du Ciel et des tout-petits.

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Nous sommes si petits devant notre Dieu et c’est ainsi qu’il nous veut. Parfois, on se sent déroutés devant ce qu’il nous demande et, à d’autres moments, on a l’impression qu’il ne nous demande pas assez. Mais lorsque Dieu nous fait ressentir en nous ce qu’il attend de nous, il prend la peine de nous donner des grâces et nous les recevons afin de nous accomplir dans ce qu’il veut pour nous. Il l’a fait pour Marie, pour la jeune Fille vierge : il lui a donné les grâces de la pureté et elle a accueilli, et elle a accueilli la Lumière, la Blancheur du monde.

Dieu nous a donné beaucoup, beaucoup de grâces. Dans un premier temps, nous n’avons pas su quoi faire avec, on se demandait ce qu’il attendait de nous, on écoutait notre cœur battre dans l’Église. Il n’est pas donné à tout le monde de vivre l’abandon.

Qu’est-ce que c’est que l’abandon? L’abandon : c’est ne plus être, c’est désirer ne plus être, c’est vouloir vivre sans être ce que nous avons toujours été. Lorsque Dieu vient nous saisir, il nous met la grâce de l’abandon et là, il nous fait comprendre : il nous fait comprendre qu’il nous veut à un tel endroit. En nous, il y a un besoin : un besoin d’aller là où il nous veut, et plus nous écoutons la voix à l’intérieur de nous, ce besoin d’aller là où Dieu nous veut, plus l’abandon se fait connaître à nous, et plus il se fait connaître à nous et plus on veut y goûter.

C’est bon de connaître l’abandon : on pleure et on est heureux de pleurer, on prie et on a encore soif de cette prière, on regarde notre prochain et on apprend à l’aimer, on regarde la croix et on accepte la croix jusqu’à vouloir les plaies du Christ. Mais Dieu nous fait comprendre : «Attends, attends, je vais te faire goûter à ce que tu es à travers les plaies de mon Fils. Je vais te faire goûter à l’amour que tu as pour toi-même, et plus tu apprends à t’aimer et plus tu apprends à aimer la souffrance : la souffrance de l’amour».

Aimer la croix : c’est tomber en amour; tomber en amour : c’est aimer, aimer les enfants de Dieu tels qu’ils sont, ne cherchant pas à les changer, mais à les aimer avec ce que nous sommes. Nous découvrons que nous pouvons aimer notre prochain grâce à l’abandon; là, on est tout surpris à un moment donné que l’autre vienne vers nous, qu'il commence à nous accepter : c’est parce qu’il ne se sent plus attaqué, il se sent être accepté, il commence à avoir confiance, et tout cela, à cause de l’abandon. On a appris, avec les grâces, à s’abandonner.

L’amour, c’est un mouvement qu’il faut vivre. Ça ne se combat pas l’amour, ça se laisse cueillir. C’est quelque chose qui vient en nous et qui nous frappe le cœur et là, on entend le cœur battre : on bat d’amour, on bat d’amour pour nous-mêmes, on bat d’amour pour nos frères et nos sœurs, on bat d’amour pour l’Église. Là on commence : là on commence à ressentir les plaies dans nos mains, on commence à ressentir les plaies dans nos pieds, mais on ne le dit pas, on le savoure! On regarde ça et on se dit : "Oh! Jésus, Jésus, comme tu me ménages!" On voudrait aller plus loin, mais Dieu, encore là, il dit : «Attends, attends, je vais te faire découvrir l’amour : l’amour du prochain, l’amour qui se donne, l’amour qui ne jalouse pas, l’amour qui est gratuit, l’amour qui est silencieux». Cet amour, c’est l’amour qu’on découvre dans le regard d’une personne qui a les yeux fixés sur la croix, et là, on admire : on admire ce regard. On a l’impression de connaître ce regard, on a l’impression d’y avoir déjà goûté à ce regard, on est en communication; sans un mot, on partage : on partage cet amour; on partage l’amour pour la croix : ce qu’il a connu, nous le connaissons.

Cet enfant de Dieu qui regarde la croix et qui désire la croix est en nous et ça vient vibrer en nous : on n’a plus peur, on vient de goûter à l’amour qui est gratuit, qui ne jalouse pas; on vient de découvrir que le Christ sur la Croix c’est chacun de nous, que les plaies du Christ nous ont attachés à la Croix et que chacun de nous, nous ressentons ces plaies, même en notre chair parce que la chair de notre frère, de notre sœur, c’est notre chair. Alors là, on tombe tellement amoureux, amoureux de notre prochain : on voudrait que tous ceux qu’on rencontre vivent ce qu’on vient de vivre, on veut qu’ils partagent ce bonheur. On n’est pas jaloux de notre bonheur, on veut le partager, on veut que les autres y goûtent parce qu’on est amoureux : on est amoureux du Christ, on est amoureux du Père et on est amoureux du Saint-Esprit. L’Esprit de Dieu plane sur la terre, et là, on dit : "Ô Dieu d’amour, maintenant j’accepte, j’accepte les plaies comme toi tu veux que je les accepte".

Chacun de nous, n’avons-nous pas ressenti ces plaies-là? À un moment donné, on s’est demandé : "Mais qu’est-ce qu’il m’arrive?" Et là, on s’est arrêtés : "Bien, voyons donc!" Et à un autre moment, nous avons dit : "Eh bien, si cela était! C’est ta Volonté." L’abandon : vivre comme Dieu veut qu’on vive, accepter ce que Dieu veut nous donner à la grandeur de l’amour de Dieu. Plus nous sommes amoureux de notre prochain, plus nous voulons être des témoins d’amour pour notre Dieu, alors on s’offre continuellement, on accepte ce que Dieu veut nous présenter. S’il veut nous utiliser : "Merci, Seigneur". Même dans les moments où on a l’impression de ne pas servir, Dieu se sert de nous. N’oublions pas que l’amour est parfois silencieux, mais l’amour est toujours agissant, ça ne s’arrête jamais de se donner.

Ce que nous entendons, n’est-ce pas les enseignements de Jésus lui-même? Il a parlé ainsi à ses apôtres et ce sont les apôtres eux-mêmes qui ont donné ce qu’ils ont reçu : aujourd’hui, on reçoit, on reçoit en abondance.

Nous avons été devant des témoignages. Combien de personnes avant nous se sont données par amour! Il y en a qui n’ont pas été béatifié et pourtant elles ont vécu : elles ont vécu une vie de sainteté. Rappelons-nous nos arrière-grands-parents qui ont travaillé dur, ils ont gardé la foi. Rappelons-nous, il n’y a pas si longtemps, on remplissait les églises. Ils avaient tellement un respect pour les dix commandements de Dieu, cela bondissait dans leurs cœurs. Ils avaient cette foi pour le chapelet. Et Dieu nous en a parlé parce qu’il est dit : «Tu ne peux témoigner de toi-même, mais Dieu peut témoigner de toi». N’est-il pas vrai qu’il est dit dans l’Évangile que Jésus lui-même a dit : «Je ne témoignerai pas de moi, mais mon Père témoigne de moi»? Lorsque nous nous souvenons de l’amour que nos ancêtres avaient pour Dieu, c’est (parce) que c’est le Saint-Esprit qui fait jaillir ça de nous, alors Dieu témoigne : témoigne pour tous ceux qui ont été amoureux de Dieu.

Aujourd’hui, on a de la difficulté à regarder ce que nos parents, très près, font. Vous savez, il ne faut pas juger, Dieu nous le demande, mais il faut prier. Les églises devraient être remplies de gens qui prient pour leurs enfants, mais cela ne se fait pas, alors les couvents sont vides, il n’y a pratiquement plus de futurs prêtres, alors que ça devrait être : par la prière. Le mouvement de l’amour ne cesse pas, mais lorsque les gens eux-mêmes choisissent d’arrêter la prière, eh bien, il n’y a pas d’eau qui irrigue les terres qui ont besoin d’eau pour avoir une bonne récolte. Nous devons prier, nous ne devons pas nous dire : "Bon bien, moi je vais à l’église". Il faut prier encore deux fois plus afin que nos églises retrouvent leur état d’être. Plus nous allons être obéissants envers l’Église et plus l’Église va reverdir.

On nous parle de la Parole, de l’Évangile, et nous devons l’aimer et vouloir la vivre. Comment vivre quelque chose qui nous semble être compliqué? C’est en la connaissant. Nous devons connaître notre Église, nous devons aller vers l’Évangile, non seulement lire un passage, mais nous devons le comprendre ce passage, et une fois que le passage est compris, eh bien, agissons. Jésus nous donne tous les moyens pour qu’on puisse agir et la Mère de Dieu, elle, est là qui nous guide afin qu’on puisse faire la Volonté de Dieu, comment faire la Volonté de Dieu. Eh bien, Dieu depuis quelque temps ne cesse de parler en notre cœur. Il parle tellement, Jésus, dans notre cœur que les autres ont de la difficulté à croire que vraiment il parle en notre cœur. Ça fait sept ans que Jésus parle et si on le laissait toujours parler, le Seigneur, eh bien, on aurait de la difficulté à aller trouver un temps pour dormir et manger.

Il y en a plusieurs qui connaissent les enseignements de Jésus, qui ont commencé à travers les instruments que nous sommes. Et lorsque Jésus à commencé, par la puissance de Dieu, à se faire entendre à l’intérieur de nous – parce qu’il se fait entendre à l’intérieur de nous – il nous a parlé, il nous a inondés d’amour, si bien que ceux qui étaient autour de nous, ils nous regardaient et puis ils se disaient : "Bien, voyons, ça ne se peut pas que Dieu vienne nous parler puis qu’il n’arrête pas de nous parler de l’amour, de l’amour, toujours de l’amour". Eh bien oui, ça se peut parce que nous l’avons vécu.

Nous avons vécu des moments merveilleux : nous avons vécu des moments de guérison. Il en a fallu : il a fallu beaucoup d’amour pour qu’on puisse guérir de nos blessures. Pour se faire dire que nous étions hypocrites, menteurs, jaloux, il en a fallu de l’amour pour accepter tout ça là. Et il a continué, il a continué, il a continué à parler, à parler et à parler, et tout ce que nous entendions, c’était tout simplement un rappel : il nous rappelait sa Parole. Et il nous a amenés et il nous a amenés et il nous a amenés. Où il nous a amenés? Dans la vie de chacun de nous : chacun de nous, on se laissait ouverts à tout ce que Dieu voulait de nous, et là on l’entendait, et plus on entendait et plus on aimait ça.

Et là, il est venu un temps : un temps où Dieu nous a amenés assez loin, nous demandant de nous priver : de nous priver de ce que nous aimions; plus on se privait de ce que nous aimions, mais plus on s’en détachait; et plus on se détachait, plus on commençait à vouloir être dans cette privation. Alors, il a encore été plus loin, nous demandant de renoncer à ce que nous avions comme dit oui à ces privations : "Oui, je veux bien me priver de télévision, de moins magasiner", mais là, il nous disait carrément là : «Non, maintenant». Ceux qui ont été dans leur oui total, eh bien, ont commencé à voir et à comprendre les pièges dans lesquels nous étions tombés. Mais on n’exigeait pas des autres d’être comme nous parce qu’on se souvenait : on se souvenait qu’on aimait ça, nous.

Alors là, Dieu nous faisait encore aller plus loin, plus loin et plus loin. Il nous apprenait à prier sans jamais juger. Ça, ça été la chose la plus difficile de ne pas juger, mais ça nous a amenés encore plus loin, plus loin et plus loin, jusqu’à ce qu’il attendait de nous. Il a mis sur notre épaule le manteau de la douleur d’amour; là il nous a parlé : il nous a parlé de tout ce que nous avions fait dans notre vie. Et c’est là qu’on a commencé, et ça ne fait pas longtemps : refuser. Maintenant, Dieu, il a dit : «Ce que nous avions à vivre est accompli». Alors, Dieu veut nous parler. Il veut tout simplement qu’on écoute, par la puissance du Saint-Esprit, ce qu’il y a en chacun de nous. Parce que nous sommes baptisés, parce que nous acceptons l’abandon, eh bien, là, nous pouvons : nous pouvons vivre ce que Dieu veut que nous vivions : la Pentecôte, l’amour, l’Esprit qui vient nous faire comprendre la Parole.

 

Dieu : Il y a très longtemps, un homme et une femme étaient sur la terre, ils vivaient en êtres heureux. Tout leur était permis, car ils ne connaissaient que le bien. Tout autour d’eux resplendissait de la beauté de Dieu. Un jour, un être est venu près d’eux. Les paroles de cet être étaient des paroles remplies de mal, de ruse. L’homme et la femme ne se sont pas méfiés, ils ont tendu l’oreille et le poison est venu et ils ont pris le poison. À cet instant, ce qu’ils n’avaient jamais connu s’est présenté à eux : le mal venait de se faire connaître.

L’homme et la femme n’étaient plus maintenant dans la perfection, ils ont dû marcher sur la terre, ils ont dû travailler la terre, ils ont connu la conséquence de leur négligence, et ils ont été ensemble et d’autres êtres humains sont venus. La terre se remplissait d’enfants et on regardait le ciel et on voulait écouter le Ciel, mais un enfant a levé la main sur un autre enfant et le mal triompha, et le mal vint habiter la chair. L’homme se multiplia, la femme se multiplia, et ce qu’ils sont devenus : sont devenus le mal. L’homme regardait ce qu’il était devenu et il aimait ce qu’il était devenu.

Dieu fit appel a un homme, lui dit d’être obéissant, et l’homme s’inclina devant Dieu, et Dieu lui dit : «Parce que tu t’es incliné devant moi, je sauverai ta famille et toi-même». Et la terre se remplit d’eau et lui fut sauvé. Une fois que la terre s’assécha, tout se mit à renaître. La famille commença à grossir, la famille commença à prospérer, mais la famille voulut affronter Dieu et Dieu divisa les langues afin qu’ils puissent comprendre qu’il faut qu’ils fassent la Volonté de Dieu. De ces familles sortit un homme, un homme qui reçut de Dieu une promesse : de redonner à l’homme la terre, la terre fertile où l’homme et la femme étaient pour vivre dans l’abondance.

Le temps avança, le temps avança et le peuple de Dieu grossit. Ils ont écouté la Parole, ils ont reçu la Parole, mais parmi ces enfants il y eut tant d’infidélité que Dieu se mit en colère et il leur fit vivre la conséquence de leurs mauvais choix. L’homme et la femme étaient toujours sur la terre et ils regardaient Dieu et ils se souvenaient : ils se souvenaient de la promesse, et ils attendaient : ils attendaient la venue du Sauveur. Un jour, le Sauveur vint et il parla : il parla d’amour. Il construisait son Église et son Église prospérait, et Dieu dit : «Je pars, mais je vous laisse mon Esprit. Multipliez-vous dans la foi, soyez heureux devant mon Père». L’homme et la femme prospérèrent devant Dieu; à travers les souffrances ils avançaient et l’Église se fortifiait. Lorsqu’elle connaissait de très grandes souffrances, sa foi se faisait connaître à elle et tout redevenait dans sa beauté. L’homme et la femme grandirent dans l’Église, mais il y avait toujours, toujours cette souffrance : cette souffrance qui était en la chair était la souffrance de l’Église.

Et un jour Satan et les démons sont venus en nombre pour attaquer la chair, car ils la savaient faible devant la tentation. Hypocritement, il fit connaître aux gens du monde le confort, le matériel. L’homme a appris à ne plus rendre grâce à Dieu, il a appris à oublier Dieu. Alors Dieu parla : Dieu parla à travers l’Église afin de ramener l’homme et la femme à l’Église. L’homme et la femme ont écouté, ils ont cherché, ils ont pleuré, ils ont crié vers Dieu et Dieu a écouté et il est venu parler dans les cœurs et les cœurs ont entendu.

Sept années à parler en les cœurs. Sept années à parler aux Églises. Sept années à accueillir les offrandes, les offrir à Dieu comme étant la future récolte. Sept années à vivre la Volonté de Dieu comme un présent pour Dieu. Maintenant, les flots se sont refermés. Tout ce qui a été dit rejaillira de votre cœur.

 

Jésus : Enfants de ma Volonté, je vous ai parlé en votre cœur. Par la puissance du Saint-Esprit vous avez entendu, par ma présence en vous, vous avez entendu mon Père, par la présence de Dieu vous avez entendu la Mère du Fils de Dieu, par la puissance du Très-Haut, vous avez été des témoins pour vos frères et vos sœurs : cela a été accompli.

Maintenant, mes enfants, voici un autre temps.

Enfants d’amour, préparez les chemins, aplanissez les montagnes, remplissez les ravins, car votre Dieu vient vous visiter. Soyez prêts pour le jour où Dieu fera voir à tous ceux qui habitent la terre qui il est.

Vous avez été dans ce temps, mes enfants, parce que Dieu le voulait, vous avez tous été préparés. Ce temps a été un temps de grâces. Enfants de ma Volonté, ce temps a été voulu depuis tout temps.

Chairs de ma Chair, soyez à l’écoute de votre âme qui, elle, reconnaît être devant son Dieu. La Volonté de Dieu est sur vous : tout a été dit.

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Dieu est bon avec nous, il s’est fait entendre en nous. Il nous a fait goûter à l’amour, il nous a amenés là où nous on n’était pas capables d’aller. Réjouissons-nous pour ce que nous avons vécu.

Le temps qui vient maintenant sera un temps d’amour où les enfants de Dieu se donneront beaucoup d’amour. Oh!, Dieu d’amour! Nous serons appelés les martyrs du temps nouveau. Nous serons tellement amoureux, nous n’aurons pas peur".

Il a parlé du glas. Cela annonce ce qui s’en vient, où les enfants qui auront besoin de nous viendront, viendront à nous : eux qui souffrent, eux qui seront dans une très grande souffrance auront besoin de nous. Lorsqu’on voit un monde s’écrouler, on a besoin de s’accrocher à quelque chose de vrai : Dieu, l’Église.

Dieu a tout préparé. Lorsqu’il a dit : «Va voir mon évêque», il savait : il savait que je devais regarder et accepter. Et j’ai entendu et j’ai vu la prudence de l’Église. L’Église se veut une unité. L’Église veut vivre de la Parole de Dieu, que de la Parole de Dieu. L’Église cherche comment unifier tous les enfants de Dieu afin de ne faire qu’une Église. L’Église ne veut pas qu’on écrase les autres Églises : les Orthodoxes, les Anglicans, elle veut s’unir, ne faire qu’un seul cœur : le Cœur de Dieu.

Jésus est notre Unité d’amour. En Jésus, par Jésus, avec Jésus pour Dieu le Père : tout s’accomplit. Voilà pourquoi Jésus, pendant sept ans : sept ans seront accomplis à minuit 2009, minuit moins une, là, tout sera accompli, c’est-à-dire que tout sera différent après : on entendra nos cœurs qui évangéliseront. Nous devrons obéissance à l’Église. Nous avons eu ces enseignements pendant sept ans : une richesse incroyable. C’est l’Évangile que nous avons vécu.

Elle n’a pas remplacé l’Évangile, elle a tout simplement fait comprendre aux petits ce qu’elle devait comprendre face à l’Évangile. Dieu a utilisé des mots simples pour parler de son Évangile, il nous a donné des lumières, il nous a montré que l’Évangile ce n’est pas compliqué. Mais lorsque nous lisons avec la volonté humaine, elle devient compliquée parce que la volonté humaine y met son grain de sel.

Rappelons-nous de sainte Thérèse de l'Enfant-Jésus : elle a regardé son Jésus d’amour, elle a regardé l’Église, elle voulait sauver tout le monde, mais Dieu l’arrêta. Il mit en elle de l’amour, il y mit en elle tellement d’amour que tout ce qui sortait d’elle, ce n’était que de l’amour pour Dieu. Alors, elle qui voulait vivre d’amour pour Dieu nous montra : nous montra que seul l’Amour est ce que Dieu est. L’avions-nous vraiment compris? Maintenant, nous pouvons le comprendre parce que nous l’avons vécu.

Dans le premier volume, il y a tellement le mot 'amour' que c’en était dérangeant. Croyez-vous que sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus était dérangée d’entendre tout le temps 'je t’aime'? C’était toujours de l’amour : elle en a fait sa vie. Maintenant que nous avons passé à travers du premier volume, oui c’est vrai, c’est notre vie, l’amour. On pourrait tellement parler de l’amour! Nous avons été si trompés par Satan! C’est ce que nous allons parler : parler de l’amour avec les jeunes.

Nous avons appris à dire 'je t’aime' chez nous lorsqu’on entrait à la maison, et ce n’était pas facile, et ce n’est pas encore facile avec tout le monde, mais cela va devenir de plus en plus facile, pourquoi? Parce que Dieu a dit tantôt que tout est accompli. Nous avons appris à nous aimer, à aimer notre prochain, alors nous allons nous en servir : nous allons parler d’amour. Tout ce qui a été dit s’est imprégné dans notre cœur. Lorsque nous allons ouvrir l’Évangile, là nous allons comprendre l’amour, l’amour qui est partout : dans l’Ancien, dans le Nouveau Testament.

C’est difficile de comprendre qu’un Dieu, hein, acceptait la guerre; c’était toujours de la guerre. Maintenant on sait, on sait que c’est Dieu : c’est Dieu qui protège ses enfants d’amour, c’est Dieu qui montre aux autres faux dieux qu’il est plus puissant. Nous allons pouvoir en parler. Nous allons pouvoir aussi répondre à des questions lorsqu’ils vont nous parler de la vie : oui nous sommes la vie, nous sommes la vie en Jésus, oui notre âme est la vie, la vie spirituelle qui nourrit notre chair. Oui nous allons pouvoir dire d’où vient la chair, cette beauté que Dieu nous a donnée et que nous, nous avons fait flétrir : nous allons pouvoir en parler, nous allons croire en l’Évangile.

Quand Dieu dit que : «Vous serez guéris et libérés», mais oui nous l’avons vécu. Qui d’entre nous n’a pas reçu de guérison depuis sept ans? Notre plus grande guérison a été en nous : nous sommes devenus des enfants de foi et, à travers ça, nous avons eu des guérisons physiques. Nous avons su aussi que c’était impossible de guérir, si ce n’est que Dieu guérit, et que si à travers nous Dieu guérit une personne, c’est parce que c’est le prêtre qui nous tient entre ses mains. L’Évangile, on vit l’Évangile : croire à cet Évangile dans lequel on peut trouver : tout prêtre, (tous les prêtres), les apôtres, guériront et libèreront. Quand nous nous savons (être) entre les mains du prêtre lorsqu’il montre l’Eucharistie, alors nous savons que c’est le prêtre qui guérit, que c’est le prêtre qui est le Christ-Prêtre, et parce que nous sommes morts en Jésus, nous sommes morts en le prêtre. Ça, c’est quelque chose de très important : vouloir être morts en le prêtre et non pas en l’homme, mais en le prêtre.

Lorsque les gens accouraient pour assister à une messe de Padre Pio, ils regardaient Padre Pio et dans un silence, ils vivaient la messe; alors, ils étaient morts en qui? Ils étaient morts en le Christ et Padre Pio démontrait qu’il était le Christ, mort en le Christ. Alors, cela n’est pas différent pour nous. Lorsqu’un prêtre élève Jésus pour que nous puissions l’adorer, eh bien, nous levons Jésus, nous disons : "Abba, Père." On ne peut rien nous, faire, mais le Christ oui : nous sommes l’Église. Alors, Dieu passera par nous pour guérir aussi, car nous sommes prêtres par le baptême, morts en le Christ. Tout cela Dieu nous l’a enseigné.

Tout ce que nous avons su depuis sept ans a été enseigné aux apôtres, mais compris par nous, par les tout petits, avec ce que nous sommes pour pouvoir vivre ça. Voilà comment va se terminer la septième année. Ce sera pour nous quelque chose de nouveau en 2009, c’est comme s’il nous envoie en mission : oui, nous irons évangéliser.

Dieu a dit comme ça : «Tu feras un lancement des premiers petits cahiers.» Cela, il l’avait mis dans le cœur de Martine et de Lucie; et Marc, son mari, y a participé à Martine. Alors, nous allons vivre cela. Parce que les sept années que nous avons vécues sont toutes sur papier, et c’est avec cela que nous allons pouvoir étudier, bien étudier!!! vivre ces moments d’amour.

Est-ce qu’il y en a qui, maintenant, peuvent lire l’Évangile avec beaucoup plus de lumière depuis qu’ils ont commencé à lire les premiers livres et les enseignements que nous avons eus?

 

Salle : Oui.

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Il y en a qui ont répondu en avant. Mais levez donc la main, comme ça, ça va être plus facile pour moi, pour Nicole aussi. Alors, il y en a beaucoup. C’est vrai, moi aussi je peux le témoigner : c’est avec notre cœur. C’est plus facile quand on laisse couler tout cela. Il est très important de savoir que nous ne sommes pas ici pour remplacer le prêtre, mais nous avions à comprendre ce que nous devions enseigner à nos enfants. Nous devions nous laisser instruire par le Saint-Esprit pour pouvoir aider les autres aussi. On ne s’instruira pas de volonté humaine à volonté humaine, parce qu’ils n’en veulent pas de ça, mais ils vont reconnaître ce qui vient du cœur. Comme nous avons été instruits par le cœur, par le cœur de l’Église, eux reconnaîtront cela et ils voudront se laisser instruire.

Nous n’avons pas été instruits pendant sept ans de catastrophes. Vous savez que l’instrument que nous sommes, nous n’avons pas été instruits pour cela, ce n’est pas notre mission. Notre mission : c’est l’amour, c’est l’Évangile, c’est la Bible, c’est ça notre mission : vivre l’Église.

Dans l’Église, n’oubliez pas qu’il y a eu des prophètes qui, eux, avaient mission d’aller dire au roi, on a seulement qu’à penser à Jonas, lui, il a eu cette mission-là : «Si vous ne vous replacez pas, Ninive, elle va disparaître». Chacun a sa mission et la vôtre, la vôtre n’est pas pour parler de catastrophes, ce n’est pas votre mission. Votre mission : c’est parler de la Bible, de l’Évangile, vivre l’Église.

Cette nuit, j’ai vu l’Église (renouvelée), j’ai vu la première Église juste à côté; elle était grande, avec des clochers, mais les pierres n’avaient plus de ciment pratiquement, il y en avait même qui s’enlevaient; il y avait des machines qui enlevaient les pierres, tout se démolissait. Jésus n’est pas venu instruire la volonté humaine, Jésus est venu instruire les enfants de Dieu, et les enfants de Dieu, ce sont tous ceux qui veulent vivre la Volonté de Dieu. Souvenons-nous de la Parole : «Ta Mère et tes frères sont dehors». Qu’est-ce que Jésus a répondu? «Tous ceux qui font la Volonté de mon Père». Alors Jésus venait de dire : «Ce n’est pas votre volonté, c’est la Volonté de mon Père» : «Tous ceux qui veulent renoncer à leur volonté pour faire la Volonté de mon Père sont mes frères, sont mes sœurs, sont ma Mère». Eh bien! C’est mon Église. Il parlait de sa Mère, il parlait de son Église. Il ne pouvait pas dire que sa Mère, ce n’était pas sa Mère, hein! Il a parlé de son Église, il était venu au monde pour l’Église.

Alors, nous devons construire l’Église et non pas avec notre volonté humaine, parce que j’ai vu l’Église qui se construisait : les pierres étaient toutes lisses et elles étaient parfaites les pierres. Il y avait le clocher, il devait être à la même hauteur que l’autre, pas plus grand, c'est la même Église, mais elle était renouvelée, pourquoi? Parce que j’ai entendu les saints de l’église : "Les statues des saints sont rendues dans l’autre église". Alors, voyez-vous, c’était l’Église nouvelle qui se restaurait. Alors, c’est nous, et tout cela ne peut se faire que par obéissance.

Lorsque Jésus, il a dit (va voir mon évêque) – parce que c’est Jésus qui me l’a dit, ce n’est pas tout le monde qui peut croire ça; vous souvenez-vous, hein, des fois on disait : "Hé! si quelqu’un arrivait ici, il nous mettrait tous la camisole de force, puis on se retrouverait tous à la maison des fous"; alors, c’est normal qu’on ne croie pas tout le temps du premier coup : bien, voyons, on n’a pas cru nous-mêmes! –  Alors, nous avons été, Père Clément, moi et Guy Harvey, à l’évêché, et Dieu a dit : «Tu auras une réponse, et cette réponse sera ma Volonté.» Alors, l’évêque a demandé à ce qu’on parle de l’Évangile, de la Parole.

Ça fait sept ans qu’on en parle! Alors, on s’est préparés à ce qu’on devait être, et croyez-moi que je ne serai pas la seule à parler : vous parlerez tous, et on ne parlera pas avec notre volonté humaine. Ce que l’évêque a dit : "Vous lirez la Parole du jour, vous commenterez la Parole du jour. Il est important de laisser la parole à tout le monde. L’Église doit être prudente afin qu’il n’y ait pas de sectes. L’Église doit aussi être prudente : surveiller à ce qu'on ne remplace pas Dieu". Cela voulait dire que l’instrument ne devait pas être plus grand que le Maître. Ça fait sept ans qu’il nous prépare à ça! Alors, j’étais bien d’accord avec lui. Alors, c’est ce que l’évêque attend de nous et c’est ce que tous les évêques attendent aussi.

Maintenant j’en ai parlé à Nicole.

 

Nicole : Ça devait être l’autre Nicole.

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Non, à toi, au téléphone.

 

Nicole : Ah, oui?

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Oui. Lorsque je t’ai dit ça, tu m’as dit quoi? Ces deux semaines que tu avais essayées.

 

Nicole : Hein?

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Tu as dit : "J'ai été à ces cours…

 

Nicole : À ces cours…

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Où on parle de l’Évangile et que tout le monde commente." Et qu’est-ce que tu as dit?

 

Nicole : Bien, je n’avais pas aimé ça.

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Pourquoi?

 

Nicole : Parce que c’était la volonté humaine, c’était un échange de volonté humaine. Oh, oh oui! mais j’ai dit, souviens-toi, quand j’étais dans la voiture, en Saskatchewan avec Nicole Poulin, on a commencé, puis c’est Jésus qui nous a expliqué et on aurait pu l'entendre, pendant des jours. C'est tu ça que tu voulais que je dise?

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : La volonté humaine.

 

Nicole : C’est arrangé avec le gars des vues, mais c’est ça.

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : La volonté humaine ne doit pas être.

 

Nicole : C’est ça, c’est en plein ça.

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Si la volonté humaine est, Dieu, qu’est-ce qu’il nous a dit? «Une volonté humaine qui est avec une autre volonté humaine, ça se frappe, c’est comme si on frappait un mur : toutes les deux sont à terre.»

 

Nicole : C'est ça.

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Voilà pourquoi ça ne peut pas réussir, et ça ne peut pas réussir, parce que l’Esprit de Dieu est unique, nous devons nous laisser instruire par l’Esprit de Dieu. Une volonté humaine n’a pas à instruire une autre volonté humaine. Allons à la messe et écoutons l’Évangile, et après le prêtre commente l’Évangile. Lorsqu’il est rempli de l’Esprit Saint, on boit ses paroles, ça rentre à l’intérieur. Wow! Et on trouve ça court, hein, on voudrait qu’il en dise encore et encore. Mais lorsque la volonté humaine est là!... Est-ce que ça vous est déjà arrivé d’assister à une homélie dont c’était la volonté humaine qui parlait?

 

Salle : Ah oui.

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Levez donc la main? Tout le monde, pratiquement. Eh bien, c’est que notre volonté humaine a accueilli ce que la volonté humaine disait. Il n’y a que l’Esprit de Dieu qui ouvre notre intérieur; on ne peut pas changer ça, c’est écrit dans l’Évangile, c’est incontestable. Il n’y a que l’Esprit de Dieu qui puisse rejoindre le cœur de l’Église et c’est ce qui est. Maintenant, allons à la messe et disons-nous : "Qu’est-ce que Dieu a à me dire?" Vous allez voir que l’Évangile va nous parler, vous allez voir que le prêtre, sans qu’il sache, va nous parler directement en notre cœur : nous allons avoir des réponses. Est-ce que cela vous est arrivé?

 

Salle : Oui.

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Plusieurs fois, n’est-ce pas?

 

Salle : Oui.

 

Éva : Même à la confesse, ... Le prêtre me disait….. 

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Oui, parce qu’on a ce désir-là, on a le désir d’entendre Dieu nous parler. Eh bien, c’est comme ça qu’on va réussir. Si on va entendre et faire des échanges, mais sans le désir que Dieu nous parle, seulement que d’aller commenter l’Évangile avec une volonté humaine, restez chez vous parce que vous ne 'tofferez' pas plus que Nicole.

 

Nicole : Traduction de ce qui précède.

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Vous voyez! Vous venez d’en être témoins, et c’est comme ça qu’on va le faire.

 

Nicole : En italien, en allemand, en tchèque, en polonais.

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : En toutes les langues, oui parce que les livres se laissent traduire,

 

Nicole : … bien, se laissent !…

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : … se font traduire. Merci. Alors, on va s’en servir pour pouvoir aider, et ce matin nous avons su qu'étant baptisés, notre devoir est de servir, d’aimer, de louer Dieu. Alors, c’est ce que nous allons faire, en Jésus. Alors, imaginez-vous combien d’entre nous allons-nous enrichir? Nous allons vivre l’Évangile : il y aura plus de prêtres. Oui, merci Michel.

Alors, il est quatre heures moins quart déjà. Ce soir, on aimerait vivre ce que nous vivons depuis quelque temps. Oui, comme nous soupons à cinq heures, nous allons demander à Martine d’aller chercher les petits cahiers avec Marc.

Est-ce qu'ils sont loin? Ils sont dans le camion? Vous pouvez demander de l’aide.

 

 

 

 

LE LANCEMENT

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Alors, on va commencer le lancement. Alors, le Seigneur nous veut comme des enfants, alors on agit comme des enfants. Alléluia! Est-ce que vous êtes prêts?

 

Salle : Oui.

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Alors, on arrête en arrière s'il vous plaît?

 

En arrière : C’est fini.

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : C’est fini! C’est un commencement! Oui, pour le moment. Alors, dans un premier temps, nous allons remercier : nous allons remercier Dieu et on va s’arrêter parce que c’est très important. Ce que nous avons reçu vient du Ciel, c’est le Ciel lui-même qui est venu nous parler en notre cœur : l’Église s’est fait entendre, l’Église s’est fait connaître à nous.

Alors, je vais demander à Michel de venir, parce que les prêtres sont occupés, je crois, à la confession, et Michel est bien placé pour parler un court moment de ces volumes. Il a assisté, Michel, à des rencontres, comme c’est pratiquement là.

 

Michel : Quoique presque depuis le début…

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Oui, que Michel a été témoin de tout ça. Alors, c’est important que ça soit l’Église, membre actif, qui parle au tout début de tout ça là. Alors, tu veux bien Michel? Ton cœur, Michel.

 

Michel : Mon cœur, ah! oui, je sais, c’est toujours un combat entre ma tête et mon cœur.

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Alors, tu n’as plus de tête en ce moment.

 

Michel : J’ai plus de tête, O.K. Puis là, je suis un vrai micro, ce n’est pas juste un acte de foi, non, non. Ces écrits, c'est une transcription de tout ce qui a été enregistré ici depuis, ça doit faire six ans que tu viens ici au Centre, à peu près? Donc, ça continue à partir, de ce que je comprends, à partir des quatre volumes, toutes les conférences qui se sont données, tout partout dans le monde, ont toutes été transcrites, et puis ont été mises en cahiers pour que vous puissiez les lire et les étudier. O.K.? donc je pense, d’après tout ce que j’ai entendu entre les lignes puis tout ça, il y a un grand travail qui a été fait pour s’assurer que ça été transcrit d’une façon fidèle.

Ça n'a pas été fait par des…, je pense, on pourrait dire des professionnels, ça été fait par des gens très consciencieux. Ça tout été revu par Francine, je pense, en prière avec Jésus. Puis je me souviens, Francine, à différentes occasions, qu’elle disait : "Ah! Jésus, il faut changer cette virgule-là, il faut changer ce mot-là, ça, ce n’est pas juste." Le Seigneur s’est occupé de tous les détails.

Donc, je pense que ce sont des textes qui sont riches, mais il faut toujours les lire en la lumière de l’Évangile, parce que ce sont des textes qui éclairent, nous aident à mieux comprendre l’Évangile. Donc, puis tout ce que Francine a dit depuis hier soir, c’est là où elle a mis toute son emphase : c’est l’Évangile, et ça se complète l’un à l’autre. Donc, il ne faut pas juste se fier sur ça, il faut aussi se fier sur l’Évangile avant tout. C’est l’Évangile qui éclaire les écrits, ce n’est pas les écrits qui éclairent les Évangiles. Ces écrits-là nous aident à mieux comprendre, à mieux saisir la merveille de Dieu, la merveille que Dieu fait dans nos cœurs, la merveille que Dieu fait pour libérer nos cœurs, pour aimer comme lui aime.

L’amour! Si on pouvait comprendre l’amour. Moi, je la comprends mieux que je la comprenais, mais je suis loin de la comprendre comme je devrais la comprendre, comme je désire la comprendre. Dieu creuse en nous le désir de l’aimer, il essaye de mettre dans notre cœur le même désir de l’aimer que lui a de nous aimer. C’est grand ça quand tu y penses. C’est impossible de mesurer le désir de Dieu de nous aimer. Mais il veut que nous ayons le même désir de l’aimer lui; puis celui qui nous a fait mal, il veut que nous l’aimions de la même façon que lui, parce qu’il nous a tous créés pour être aimés. L’amour c’est grand, l’amour ne connaît pas de frontière; il n’y a pas de frontière dans l’amour, il n’a pas de limite dans l’amour.

Ces livres-là, tout ce que Francine semble vouloir enseigner, c’est tout relié à faire tomber toutes les barrières à l’amour, parce que Dieu, c’est rien que ça qu’il est : l’amour, pas plus pas moins, il est Amour. Saint Jean nous l’a dit : première épître : Dieu est amour.

 

Éva : Mais Michel, ce n’est pas Francine qui enseigne, c’est Jésus par Francine. Tout ce qu’on a reçu, on l’a reçu de Jésus.

 

Michel : Oui, c’est vrai, c’est vrai, Jésus qui essaye d’éclairer sa propre Parole. Ce qui est important, c’est que ces livres-là ne sont pas un but en soi, c’est un moyen d’aller plus loin d’aller dans la connaissance de la Parole de Dieu. Puis, je pense, c’est ça que Jésus essaye de nous éveiller parce que, dans beaucoup de systèmes dans notre société, on est tellement bombardés par toutes sortes de nouvelles, c’est qu’on a perdu notre capacité d’écouter. Donc, Dieu, il fallait qu’il intervienne pour nous faire écouter, donc fallait qu’il nous éveille notre oreille à l’écoute.

Est-ce que c’est ça? Nous faire éveiller notre éveil à écouter véritablement, et pas juste à consommer un son, mais d’entendre la Parole. Pour que la parole pénètre dans le cœur, et puis pour que cette parole-là fasse vibrer le cœur, puis fasse dégager cet amour qui est là au fond de nous comme une flamme.

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Merci, Michel. Ce n’est pas à moi encore à parler. Alors, nous allons demander à une personne : à une personne qui a lu ces écrits et qui a vécu son amour pour Dieu. Oh! elle n’a peut-être pas lu tous les écrits, mais elle est tellement impliquée dans l’Église qu’elle peut commenter et c’est une personne qui est quand même consacrée. Alors, nous allons demander à, oui ma sœur, est-ce que vous voulez bien venir commenter? Oui ma sœur. Qui peut parler de Dieu que l’épouse de Dieu? On n’est pas à cette hauteur-là nous, pas encore.

 

Sœur Aline : Je suis un peu comme Michel, peut-être plus, parce que je n’ai pas tout suivi ces enseignements, mais tout ce que j’ai pu prendre, c’est d’une richesse incontestable là. C’est tellement…, ça vient tellement me rejoindre que, parfois, on dirait que c’est comme un souffle qui vient, puis qui me fait aussi comme jaillir cette parole à des personnes parfois, que vraiment je ne peux pas de moi-même je ne pourrais pas parler comme ça, comme tu sais là.

Parce que tout ça, ça apporte beaucoup de lumière, beaucoup de réconfort, beaucoup d’espérance dans l’Église. Puis au Seigneur, certain que, c’est vraiment une…, ça nous fait faire des cœurs à cœurs à lui. En tout cas, moi c’est ça que ça produit, c’est comme un cœur à cœur et ça renouvelle mon don, mon don personnel au Seigneur, ça me rapproche de lui. Ça me donne le goût de vivre et de le dire aux autres, de manifester ma foi à des personnes que le Seigneur met sur ma route, tout simplement comme ça.

Puis je ne m’attends pas, ce n’est pas pensé d’avance ça. Quelqu’un arrive et puis, il a besoin; puis là, le Seigneur met dans mon cœur les paroles qu’il faut, parce que de moi-même là, je ne ferais pas grand-chose. Alors, moi je veux remercier le Seigneur. C’est comme moi, ce que je vis là. Je veux remercier le Seigneur de se manifester ainsi à des petits comme Francine et comme bien d’autres. Parce que la semaine passée, je suis allée chez une personne, une amie, et puis on a parlé un peu de la Parole de Dieu, naturellement de l’Évangile, puis elle me sortait des choses là; moi, j’étais tout émue en dedans, parce que je me dis : "C'est le Seigneur qui parle en elle, puis c’est du convaincu.

Alors, moi je me dis, parmi tous vous autres là, ce sont des cœurs qui ont soif, qui ont faim, puis qui ont le goût de partager des choses particulières que le Seigneur fait dans nos vies. Alors, c’est toute une richesse et je veux remercier aussi Francine et l’équipe là de cette simplicité, cette humilité, parce que ça en prend, hein? Cette simplicité, cette humilité de pouvoir partager avec tous ces gens. Et je demande au Seigneur tout simplement de continuer de la bénir, de vous bénir et de nous bénir pour que le règne de Dieu soit de plus en plus proche de nous tous. Amen.

 

Tous : Amen. 

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Amen. Merci, ma sœur. On pourrait pratiquement tous venir au micro et sortir ces merveilles que nous avons vécus. Je veux témoigner d’une personne, et c’est de Marcel, Marcel qui est parti en septembre 2007. Et cet homme, il a été très près de nous, on l’a pratiquement tous connu. Et cet homme a vécu l’amour de Dieu, il a donné sa vie pour Dieu et il a été jusqu’au bout. Et combien de fois j’ai entendu Marcel dire : "C’est merveilleux de vivre en Dieu, c’est merveilleux de pouvoir communiquer avec Dieu, il est vivant notre Dieu, il est vrai".

Marcel vivait dans une famille qui avait une très grande foi. Ça ne faisait pas loin de trente ans, je crois, que Marcel suivait les messagers, bien les messages. Sa mère, elle a été aussi une personne qui lisait les messages. Et il a dit, lorsqu’il a écouté dès le début, qu’il avait toujours eu cette soif : cette soif de pénétrer cet amour de Dieu et qu’il était toujours resté sur sa faim, et là il la buvait.

C’était un homme qui s’instruisait de tout ce qui était de livres, et croyez-moi, il la connaissait sa Bible, mais là, il appréciait encore plus sa Bible. Il aimait : il aimait beaucoup écouter son cœur, écouter le cœur de ses frères et de ses sœurs; ils les attribuaient toujours à sa foi. Sa foi, il ne l’a pas eue à travers ça, sa foi il l’a eue par sa mère qui lui a parlé de Dieu. Sa mère parlait de l’amour du Christ et ils ont fait le chapelet en famille. Il avait la foi avant de vivre ce que nous, nous avons vécu. Mais ce que cela a apporté dans sa vie, il a dit : "Bien, je comprends maintenant". C’est comme s’il y avait des lumières qui s’allumaient, des lumières à toutes ses questions : "Oups, j’avais une réponse, oups, j’en avais une autre". Tout ça, il l’avait toujours cherché et il avait des réponses.

Ce n’est pas ce qu’on vit nous aussi? On a des réponses. Justement il y a une personne tantôt qui vient de me dire : "Depuis ce midi, j’ai toutes les réponses à mes questions". Combien d’entre nous avons vécu cela? Levez la main. Oui, c’est vrai, on se posait des questions et lors d’une rencontre avec l’agir de Dieu on avait des réponses, et ça va continuer, ça va toujours continuer ainsi. Lorsqu’on va aller maintenant à la messe, nous allons désirer avoir une réponse et on va l’avoir. Parce que c’est seulement en Dieu qu’on a des réponses, c’est l’Esprit de Dieu qui nous ouvre à tout ça.

Alors, cela, eh bien, vient de vous.

Il va y en avoir quatorze comme ça; ça vient de chacun de nous qui avons consenti à être des instruments et il s’est servi des enfants du Canada, on ne dira pas les plus pourris, les plus gâtés en matériel, en superflus inutiles. Mais on s’est fait tellement gâter qu’on a oublié notre foi, on l’a perdue : on a rempli les bingos : on a vidé les églises; les salles de danse, hein, les bowlings, tout, tout ce qu’on veut, là, hein? Les restaurants, hein, le dimanche : "c'est bon d'aller au restaurant", hein, et les magasins, ça pousse, hein, des Babylone, il y en a partout et on les remplit. Eh bien, il s’est servi de nous parce qu’il a été du Québec (à) l’Ouest, de l’Ouest nous avons fait l’Est, et (du sud) nous avons quand même été dans le nord, hein : Abitibi, on peut dire que c’est le nord ça, hein? Ce n’est pas si pire ça, un petit peu? Alors, il s’est servi des enfants du Canada! Et quelle réputation nous avons dans les autres pays, hein? Elle n’est pas belle notre réputation : on est les pires. Bien oui, c’est ça qu'ils disent! Lorsque nous avons été en Colombie, hum, on va prier sur nous-mêmes. Lorsque j’ai été en France, c’était la même chose, parce qu’eux, dans leurs écoles, ils ont la croix; nous, on ne l’a plus. Alors, c’est comme ça, et c’est nous qu’il a pris, c’est nous. Quand ma sœur elle a dit : "Il a pris les plus petits", eh bien, il a pris ceux qu’il aimait : les plus mauvais. Ses moutons noirs, ce mouton parti là qui quitte tous les autres, puis qui va chercher son quatre-vingt-dix-neuvième.

 

Tous : Non, c’est le  contraire.

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Ah, c’est vrai, c’est le contraire, il quitte ses quatre-vingt-dix-neuf puis il va chercher son centième. Eh bien, il l’a fait avec nous. Ne sommes-nous pas un pays nouveau, hein? La France l’a dit : "Nouvelle Terre". On s’en va dans la Nouvelle Terre. Eh bien, c’est nous, ce n’est pas qu’il a quittés, non, il ne l’a pas quitté, c’est qu’il est venu nous parler dans nos cœurs à nous, puis une fois qu’on a consenti, bien là, bien, il a été témoigner, ailleurs aussi, qu’il parlait dans les cœurs. Ça s’est répandu partout vous savez, grâce pour commencer, toujours à Jésus, et Jésus, il a passé par Marcel pour l’Internet. Et on a eu du courriel de partout : de l’Afrique, de l’Australie, nous en avons de partout, de l’Europe, du Sud, on en a (eu) partout, des personnes qui remerciaient Marcel pour sa simplicité à présenter ce site. Mais Marcel avait quelque chose : il suivait à la lettre ce que le Bon Dieu lui disait : simplicité. «On me reconnaîtra par la simplicité» : n’est-il pas né dans une étable? Alors, il ne voulait pas des flashs, ni de chants, il ne voulait rien de tout ça, il voulait…. Ah. Marcel, il en apprenait des choses, il aurait pu mettre toute sorte de choses, mais Dieu disait : «Non».

Alors, tout ça a été connu. Notre cœur : notre cœur a voyagé partout. Il l’a dit au début : «Je parle pour tous mes enfants du monde». Mais cela n’a pas été le meilleur véhicule : non, c'a été notre cœur. Notre cœur a été le meilleur véhicule pour répandre ça à la surface de la terre. Ce qu’un seul enfant ressent, les autres le ressentent; ce qu’un seul enfant vit devant la Parole de Dieu, les autres le ressentent; alors, nous avons fait ce que Dieu attendait de nous : nous avons été entre ses mains et il nous a emmenés partout, partout, partout. Il n’y avait que Dieu qui puisse faire ça.

Alors, il est … et vingt. C’est sûr que vous avez hâte de continuer en arrière, mais avant, avant nous allons prier : nous allons prier la Mère, la Mère du Fils de Dieu, qui nous a ouvert le cœur pour accueillir le cœur de l’Église. Alors, si on disait un autre chapelet!