Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu,

par son instrument,  la Fille du Oui à Jésus

 

2012-01-06 – Temps d'abandon

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Ce que le Seigneur nous montre, c'est notre vérité. Ce que le Seigneur nous démontre, c'est ce que nous devons être : nous devons être des enfants fidèles, nous devons être purs dans nos pensées, nous devons être loyaux dans nos façons d'écouter, nous devons être enfants de lumière pour regarder ce qui vient avec notre cœur, nous devons agir avec la justice de Dieu, nous devons être des enfants de cœur en aimant notre prochain. Qu'il nous manque ces attributs, nous souffrirons; nous ne comprendrons pas que ce qui se présente devant nous vient de l'esprit de ce monde qui veut notre perte.

Le monde s'accroît et la terre s'appauvrit. Le pétrole va bientôt, dans quelques années – et les grands de ce monde le savent – disparaître. Il y aura des gaz nouveaux qui apparaîtront, mais ne seront pas si utiles que cela pour le monde. Il y aura des minéraux; ces minéraux ne seront pas toujours asservis avec justice. L'homme est en train de se perdre parce qu'il écoute Satan, le maître du monde. Satan va tout faire pour nous maintenir dans la souffrance. Un enfant de souffrance est un enfant aveugle, sourd; un enfant qui devient incapable de se maintenir comme il devrait se maintenir, son cœur est de plus en plus lourd. Un cœur lourd est un cœur pesant, et quelque chose qui est pesant sur notre vie, c'est quelque chose qu'on ne veut pas regarder. Comme on ne veut pas regarder ce qui est devant nous et dont nous en sommes la cause, nous accusons les autres, nous faisons souffrir ceux que nous aimons.

Satan fait tout pour diviser les familles, Satan fait tout pour faire tomber l'Église, Satan fait tout pour mettre les religions contre les religions. Satan est le maître de la discorde, et cela va s'amplifier. Il a réussi à faire de nous un monde sans foi envers notre Seigneur, notre Dieu. Notre Dieu est notre maître. Il est la lumière du monde, il est notre chaleur, il est notre bien. Nous n'avons rien à craindre, Dieu pourvoit à tout. Pourquoi se détourner de notre Dieu? N'allons pas vers des faux dieux. Les faux dieux ne sont pas des dieux vivants, ils n'ont pas d'oreille pour nous écouter, ils n'ont pas de regard pour nous regarder, ils n'ont pas de cœur pour alimenter l'amour, ils sont froids, ils sont de pierre, ils sont faux, ils n'ont rien à nous apporter.

Regardez les faux dieux qui sont dans notre vie. L'argent n'est pas pour nous. L'argent n'a fait que nous détruire, et pourtant, nous en avons fait un maître dans notre vie. Nous avons le matériel procuré par l'argent et ce matériel nous domine, calcule notre temps. Nos emplois sont à la limite de nos forces, pourquoi? Parce que nous maintenons les dieux dans nos maisons. Nous les nourrissons, nous leur donnons la première place au détriment de nos enfants, au détriment de notre mère, de notre père qui sont maintenant âgés; nous sommes froids envers notre époux, envers notre épouse. Nous ne voulons pas prendre conseil près des sages de ce monde, nous ne voulons pas, car nous ne les voyons plus. Nous ne voulons pas entendre parler de pureté, de piété, de privations. Nous ne voulons rien savoir de la tranquillité, cela est trop ennuyant.

Nous voulons être comblés, comblés et comblés! N'est-ce pas les faux dieux qui nous ont promis ces choses? Et pourtant, nous sommes toujours assoiffés de nos besoins excessifs. Nous sommes incapables de nous maintenir dans notre pauvreté de cœur, car notre pauvreté de cœur, nous ne voulons pas la regarder. Nous regardons ce monde et nous disons : 'Pauvre monde, nous ne voulons pas être comme lui'. Et pourtant, ce monde, nous en avons fait notre propre œuvre et nous en vivons les conséquences. Dieu nous demande d'être pauvres de ce monde et riches de ses grâces. Dieu nous demande d'être prudents. Lorsque nous calculons, nous devons calculer les grâces qui nous sont nécessaires pour faire une action. Nous devons nous arrêter : "Seigneur, comble ma journée." Après avoir fait une action, comme cela serait riche pour nous d'en remercier le Seigneur et de regarder notre Mère qui a la place, la première dans notre demeure, et dire : "Maman, merci." Ne soyons pas avares de nos remerciements.

Peuplons notre maison de nos gestes simples. Soyons patients lorsque nous accomplissons des œuvres pour notre prochain, lorsque nous accomplissons ces œuvres par amour pour ceux qui vont venir ici. Alors commençons tout de suite à les combler. Ils ont besoin de patience, ils ont besoin de persévérance, ils ont besoin de tendresse, ils ont besoin de tout ça; ils ont besoin d'attention, de simplicité, d'humilité, ils ont besoin d'amour. N'attendons pas pour les combler, faisons-les ces actes d'amour dès notre réveil. Un lit bien fait, avec amour, est un acte d'amour pour notre prochain, car combien n'ont pas de lit, combien n'ont pas de couvertures! Soyons dans la grâce du Seigneur, car nous sommes au chaud : "Merci, Seigneur, pour ce que tu m'as donné. Merci pour cette chaleur, merci pour ce confort. J'ai dans mon cœur des enfants, tes enfants qui ont froid, tes enfants qui n'ont rien pour dormir. Je les porte en moi, je te les donne. Je te donne, ô Dieu d'amour, causes, choix et conséquences pour toutes ces souffrances. C'est la mort qui nous maintient dans cette différence, c'est la mort qui nous amène à nous séparer ainsi. Nous la refusons, nous refusons cette mort, ô Dieu d'amour. Envoie-la au pied de ta Croix car, à cet instant, il y en a qui ont besoin, ont besoin de se sentir protégés."

Oui, disons ces paroles. Nous avons besoin de guérir nos mouvements de vie malades, nous avons besoin de laisser notre Dieu nous libérer de ces mouvements qui nous emprisonnent. Faut pas attendre. Allons-nous attendre la Grande Purification de la chair pour comprendre? Quand allons-nous comprendre? Quand allons-nous commencer de vivre avec nos frères et nos sœurs à chaque instant? Je me lève, je prends le temps de penser à eux. Je ne m'habille pas sans une pensée pour ceux qui n'ont rien à se mettre sur le dos. Oui, j'ai un vêtement, je prends celui que j'ai laissé de côté la veille; oh, il n'est pas sorti de la laveuse, il a une odeur : "Je te le présente, ô mon Dieu d'amour", tu me montres l'humilité. Je quitte cet orgueil, je le porte avec amour, je sais que d'autres ont besoin de ce geste de simplicité.

Nous devons être une nourriture, nous devons aimer, nous devons accepter, nous devons comprendre, nous devons vivre ces gestes d'amour : quitter l'orgueil, quitter ce confort par des petits gestes très simples, mais importants. Nous sommes ensemble. Des enfants pleurent sur ceux qui n'ont rien à se mettre sur le dos. Eux aussi ont besoin, ont besoin de comprendre. Ne pleure pas. Tu es venu au monde dans un monde de confort, mais pense, pense que tes gestes peuvent nourrir les autres. Accepte ce que le Bon Dieu te donne, accepte-le avec humilité, avec patience. Un jour, ils sauront ce que toi tu es : un enfant qui a remercié le Bon Dieu et qui a pensé aux autres et qui a prié Marie de combler les enfants du monde pour qu'ils soient protégés. Oui, nous devons vivre ainsi, être comblés de grâces par Marie dans notre façon d'être. Il y en a qui ont beaucoup, il y en a qui ont peu, il y en a qui n'en ont pas du tout, mais nous devons avoir un seul esprit : un esprit de Dieu, un esprit d'amour, un esprit de partage.

Nous ne pouvons pas partir d'ici et aller là dans les pays où on meurt par manque de nourriture, mais Dieu va combler, Dieu va les nourrir. Avons-nous la foi? Est-ce que nous l'avons cette foi? Dieu va combler, mais ayez seulement qu'une seule pensée, une seule pensée que Dieu ne nous comble pas aujourd'hui, voilà que les autres souffrent : 'Tu ne vas pas assez vite Dieu. Je prie, je ne vois pas, je voudrais faire ceci, ça ne va pas comme je veux' : manque de foi. Alors, nous venons de faire quoi? Nous venons d'enlever de la nourriture à un tout petit enfant qui avait besoin de la force, parce que sa maman vient de mourir, elle vient de rendre l'âme par manque de nourriture. Voyez-vous ce qu'on fait? Quelle est donc cette grande nourriture que les enfants de Dieu ont besoin? La nourriture spirituelle, pas physique, spirituelle. Chaque pensée nourrit, chaque action nourrit. Nous devons avoir la foi.

Satan a mis dans notre chair le mal, et le mal s'est logé dans notre chair et cela fait des marques, et c'est ces marques qui sont attaquées par les esprits impurs, c'est ces marques. Alors ils savent où nous frapper : par de l'impatience, par l'orgueil. Ces esprits sont méchants et ils se servent de ce qu'il y a en nous. Mais Dieu est là, Dieu arrache le mal de notre chair. Dieu, à cet instant, arrache le mal : "Merci, mon Dieu, d'arracher le mal." Lorsqu'il arrache le mal, il le fait, il n'attend pas dans un an, dans dix ans, il le fait. Des marques disparaissent! Oui, des marques disparaissent et comme il y a des marques qui disparaissent, nous devenons de l'espoir pour les autres. Nous acceptons de prendre les marques des autres, nous acceptons d'aimer inconditionnellement notre prochain.

Nous devons comprendre ce que le Seigneur est en train de faire avec nous. Il purifie notre chair, des conséquences disparaissent. Ce Feu d'amour nous rend beaux aux yeux de Dieu le Père, nous devenons ce que Dieu veut que nous soyons. Notre vie est plus simple, plus simple. Nous voyons notre refuge différemment. Nous ne cherchons plus à mettre ci, à mettre ça. Nous demandons à Dieu : "Dieu, c'est bien ce que tu veux?" Et nous, on le ressent dans notre cœur. Il nous nourrit, il nous montre sa lumière, et nous comprenons ce qu'il y a, un mois, on ne comprenait pas : c'est la purification de la chair. Nos conséquences, eh bien, elles sont brûlées par un Feu d'amour. L'Esprit de Dieu nous nourrit et nous sommes cette nourriture pour les pauvres, les pauvres de ce monde.

C'est ce que Dieu fait avec nous. Cette nourriture, elle est si belle, si belle! Qu'avons-nous à craindre de demain? Ce qu'il nous prépare, bien, ce sont des grâces. C'est ça notre demain : des grâces. On n'a pas à avoir peur, car les maîtres de ce monde, c'est ceux qui se sont donnés à Satan. Ils ne peuvent rien contre les enfants de la Lumière, ils ne peuvent rien. Dieu nous prépare, Dieu nous a préparés. Il nous dit, comme ça, qu'il va se présenter quelque chose, et nous le savons tous. Il ne nous parle pas de la puce tout de suite, mais c'est ce qui nous amènera à ça. Alors, soyons prudents, ayons la foi.

Q. C'est pas les trois jours de noirceur ça?

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Il ne nous parle pas des trois jours de noirceur. Cette année, dormez encore… Ce sera une année d'abondance pour nous, pour nous. Ce sera une bonne année pour la foi; elle sera nourrie selon ce que nous accepterons. Il y aura beaucoup de partage pour les cœurs qui se donnent à Dieu, ce sera de plus en plus facile. Dieu nous montrera ce qu'il fait et nous le verrons plus facilement cette année. Dieu a parlé. Le Saint-Esprit nous a nourris. Tout est pour nous. Alors, ici : miséricorde.

Jésus : Ma fille, je suis Dieu, je ne suis pas un être créé par Dieu. Mon Père est Dieu, il m'a engendré. Je te dis ces mots pour que tu saches qui te parle. Je me donne à tous ceux que mon Père m'a donnés. Vois ma Volonté qui est de vous parler en vos cœurs. Tout ce qui est, tout ce qui a été et tout ce qui sera et qui est de ma Volonté vous sera montré. Non, je ne me répète pas. À cet instant, je vous donne des grâces afin de vous rendre parfaits. Oui, je vous veux miséricorde. Je vous demande d'aimer inconditionnellement tous ceux que mon Père m'a donnés, ils sont en chacun de vous. Vous qui vous vous êtes donnés par amour à votre Sauveur, en voulant être les derniers au moment de la très Grande Purification, il vous sera demandé beaucoup. Vous devez vivre ce temps d'abandon en vous sachant prêts à tout pour vivre la miséricorde. Mes enfants, ne perdez pas de vue ce qui vous est demandé.

Vous êtes appelés enfants de miséricorde et cela vient de votre oui. Oui, mes petits, combien d'entre vous pensent à vivre de douceur, de patience, de tendresse, de bonté à chaque jour afin de nourrir votre prochain? Ils se meurent sans amour, ils ont besoin d'amour, de mon amour. En la miséricorde, il y a tout cela et plus. Il est important que vous le sachiez. Chaque jour doit être un jour de sainteté. C'est ce que Dieu vous demande. La prière vous aide. Ma Mère se tient près de vous. Vous n'êtes pas les seuls choisis, d'autres sont prêts à se donner à chaque jour comme vous, mes petits. Lorsque vous vivez dans la miséricorde, votre vie nourrit tous ceux qui sont enfants de miséricorde, et je centuple votre nourriture pour eux afin que vous aussi vous receviez d'eux. Ô mes choisis, comme ce temps est important! Ne négligez pas ce que Dieu met en vous : cette nourriture. Oui, cette nourriture est essentielle pour vous qui allez vivre comme des enfants acceptant de porter tout sur vos épaules, tout, mes enfants, tout.

Tous les refus venant de ceux qui ne se préoccupent pas de leur intérieur, vous les connaîtrez. Nous en reparlerons. Ils seront vos propres refus. Je vous le dis : moi, votre Dieu, tout ce que j'ai accepté, vous aussi devrez l'accepter. Ce temps vous est nécessaire pour bien le comprendre, pour bien le pénétrer, pour bien le vivre. Tout ce qui se présente devant vous, vous devez le vivre dans l'abandon jusqu'au jour où mon Père, dans sa Volonté, que dans sa Volonté, vous fera connaître tout ce qui sera pour vous une vérité. Vous sentirez en votre chair tous ces refus à l'Amour – Dieu – qui se sont tournés contre vous et contre votre prochain. Si, mes choisis, vous pouviez comprendre ce que Dieu est en train de vous faire vivre, pas un seul instant, vous sortiriez de la miséricorde. Dieu vous aide à vivre cela. Je vous connais et je connais votre oui.

Comment, ceux qui sont aux prises avec l'esprit de ce monde, peuvent-ils comprendre puisqu'ils ne cessent d'analyser, de comparer, de s'énerver? Ils ont tant de difficulté à prier. Vous qui priez le chapelet à tous les jours, c'est avec les grâces de ma Mère que vous quittez tout pour la prier. Elle vous attend à la montagne pour vous donner des grâces de paix et d'abandon afin que tout votre être s'abandonne. Vos sacrifices, elle les connaît. Elle sait que lorsqu'on accepte de quitter son confort pour aller vers Elle, cela demande un effort. C'est si peu en comparaison à ce que j'accepte de vivre pour vous. N'oubliez pas que vous êtes dans une chair imparfaite, c'est de moi que vient votre force. Je suis dans ma Passion et je vous donne ma Vie pour que vous soyez amour pour votre prochain. Ils sont si pauvres, mes petits, si pauvres. Donnez, mes enfants, donnez. Ils ont faim, ils se meurent de soif à cause de leur manque d'amour envers leur Dieu. Moi, j'ai soif d'eux. Donnez-vous à Celui qui, du haut de la Croix, a lancé un cri : «J'ai soif!» Oui, j'ai soif d'eux. Je vous aime. Aimez Celui qui vous donne sa Vie pour que votre vie de miséricorde soit à eux. Amen, mes choisis.

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Avez-vous des questions?

Q. Est-ce qu'on peut refuser pour quelqu'un d'autre, genre pour notre enfant?

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Tu as eu la réponse tantôt.

Q. Oui, mais il aurait fallu que tu répètes la phrase, j'ai pas voulu t'interrompre…

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Tous les jours, tous les jours, le Seigneur me fait vivre, me fait vivre quelque chose de tellement beau! Chaque jour devient une lumière et elle pénètre, elle pénètre ma vie et ma vie se présente. Elle ne m'appartient pas, elle appartient à mes frères et à mes sœurs. Elle n'est plus à moi, elle leur appartient. Puisque j'ai consenti à être une nourriture, Dieu me donne en nourriture. Il me fait comprendre que, chaque instant, je suis un souffle dans un souffle, mais je ne sais pas où est mon souffle, il est à eux et ils s'en servent. Je leur appartiens. Ce qu'ils sont est à moi aussi. Leur souffle, c'est mon souffle, le mien où est-il? Je le sais pas, mais le leur, je sais où il est, il est en moi. Leurs peurs, je les connais. Ça vient continuellement. Leur douleur, Jésus me la fait connaître. Ils ont tant besoin.

Cette incertitude qu'ils ont envers leur Dieu, il me la fait sentir. Alors ils ont besoin, ils ont besoin de donner à Jésus tout ça. La cause, seul Dieu, lui, la connaît. Alors il m'a fait dire ces mots : "Jésus, je te donne causes, choix et conséquences. Ma vie est en eux et je suis en eux; je vis là où ils vivent. Leur douleur, Satan s'en sert. Je refuse la douleur, car je la connais, tu me la fais sentir. Il y a de la douleur, elle est incalculable! C'est la mort. Ô Dieu, tu l'envoies au pied de la Croix, ta Croix. Merci." Il y a tant de mouvements malades, tant de mouvements malades! Le monde est prisonnier. Dieu me montre le monde.

Ça vient si vite en moi, c'est comme un éclair et pourtant, dans cet éclair, il y a toutes sortes de situations : des gens qui voyagent, des gens en avion, des gens dans des restaurants, des gens qui magasinent, des gens qui s'amusent, des gens qui sont dans la fornication avec les démons, des gens qui blasphèment, des gens qui font du mal, qui tuent; je vois des gens en prison, je vois des gens qui pleurent; les hôpitaux sont pleins, les rues; il y a des gens dans les rues, il fait noir, ils ne réalisent pas qu'il y a des ombres auprès d'eux; je vois des maladies, du feu; je vois des forêts où il y a des gens qui habitent et qui n'ont rien d'autre que ce bois pour habiter : ils n'ont rien. Je vois toutes ces souffrances et là, je regarde Marie en moi, je regarde Marie là où elle est, soit sur la tablette dans mon salon ou à l'église ou dehors, et là, je la supplie pour obtenir des grâces pour eux. Elle ne nous laissera pas tomber, jamais.

Et Dieu, sa puissance, pénètre la chair. Il nous connaît, il connaît tous ses enfants. Toutes ces douleurs, il les connaît, il les a portées. Il a porté toutes ces douleurs, mon Jésus d'amour. Et il arrache, lorsque nous consentons, lorsque nous acceptons d'aimer, d'aimer inconditionnellement nos erreurs, nos faiblesses, car il nous les fait ressentir, il va chercher les faiblesses des autres, puis ça devient nos propres faiblesses. Quelquefois, on se sent si égoïstes, si menteurs, si pauvres de cœur, et là, on supplie : "Mon Dieu, je te donne cela, je l'accepte! Tu l'arraches". Et là il dit : «Continue, il faut que tu continues, ma fille.» "Oui, Seigneur." «Et ce n'est qu'un début.» "Oui, Seigneur". Et on le fait parce que c'est la purification. Ils ont tant besoin. Il faut agir, s'accomplir.

Ce n'est pas à nous de comprendre ce que Dieu veut nous faire comprendre, c'est à nous de nous abandonner et d'aimer cette purification, elle est en notre chair. On a une seule chair. Oh! comme c'est beau, une seule chair! Oui, tout pour nos frères et nos sœurs, absolument tout. Faire ce que le Bon Dieu nous demande. Tout pour Dieu. Être ensemble, vivre l'amour! C'est si beau, si beau! La Grande Purification, quel moment d'amour! Il n'y a rien qui soit plus beau que ça, rien! C'est si beau! Le Seigneur nous demande d'être ainsi, nous, là. On a été les choisis, hein?

Q. … Jésus sur la Croix, c'était le sommet de l'amour. C'est ça? L'amour, c'est pas juste une joie matérielle, c'est vraiment offrir notre vie, vivre en lui…

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : On est tous appelés à vivre ça, même toi.

Q. Ça veut dire qu'on ne va plus la ressentir?

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Tout va être à la mesure. Dieu ne nous demandera pas plus que ce qu'on est capable de donner. Ça commence petit peu par petit peu et on va le faire. Oui, les grâces sont là. C'est important d'utiliser nos droits d'enfants de Dieu. C'est de l'amour, c'est de l'amour. Jour et nuit maintenant, c'a n'a plus d'importance! On ne peut plus dire : 'J'ai des attaques'. Non! Ce n'est pas des attaques ça! Mais non, ce n'est plus des attaques, c'est de la nourriture.

Q. Une seule chair… mais j'ai de la misère à comprendre ça…

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Regardez bien une chair. La chair, on a le derme puis on a l'épiderme, et en surface, c'est notre peau. Elle nous donne des sensations, on les ressent. Au plus profond de tout ça, tout est conduit avec des cellules. Toutes nos cellules sont là, puis l'être humain est comme protégé. La peau est protégée contre toutes les bactéries, contre toutes les choses qui peuvent nous attaquer de l'extérieur; alors, nous autres, on est bien à l'intérieur. Alors, ce qui arrive, c'est qu'à un moment donné, on s'aperçoit, bien, on vieillit, hein? Ce qui fait qu'on vieillit, c'est que les cellules meurent puis se renouvellent tout le temps; des cellules meurent puis elles se renouvellent, ce qui fait que notre couche est toujours là. Mais vient un temps où elle fait des rides, elle manque d'élasticité, elle vieillit. Mais imaginez-vous qu'il y a des cellules qui sont toujours bien en forme; après ça, à un moment donné, elles vieillissent, elles meurent et puis, après ça, d'autres reviennent. Ça ne ressemble pas à notre monde?

C'est exactement ce que nous sommes : des enfants viennent au monde, des enfants vieillissent, sont fatigués, meurent, d'autres viennent au monde. C'est notre monde. C'est tout à chacun. Alors, imaginez-vous, là, que depuis Adam…, essayez de prendre toutes ces personnes-là depuis Adam, rassemblez-les ensemble, là, ça fait un corps. Exactement, ça fait un corps, y'a rien qui manque, ça fait tout un corps. Puis ces cellules-là ne devraient pas mourir, on ne devrait pas faiblir: la désobéissance. On la vit tout le temps dans notre chair, on la vit jusqu'au jour où la mort sera éradiquée pour qu'on soit triomphants. On va triompher sur la mort, mais, pour ça, il faut qu'elles soient toutes (le tout de la mort) au pied de la Croix, absolument toutes. Nos cellules vont revivre, on n'aura plus besoin de crème. 

Q. Quel âge on va avoir, tu penses?

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : J'espère qu'on va avoir des milliers d'années! Ils vont tous être là, parce que là, ce qu'on fait, c'est qu'il faut envoyer ce qui a fait qu'Adam et Ève – qu'Adam a connu la mort – c'est toutes ces cellules qui sont mortes, c'est tout nous autres! Lui, il les a senties avant nous. Alors, Ève, encore Ève, a fait la même chose, jusqu'à nous. Mais ça se renouvelle tout l'temps! C'est toujours la même chose qui se renouvelle, tout l'temps, tout l'temps; la même chair qui, tout l'temps, tout l'temps, tout l'temps, meurt.

Q. Avec le refus, ça va arrêter…

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Bien, il va falloir consentir à faire ce que Jésus a fait : tout accepter.

Q. Il l'a déjà fait.

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Il l'a déjà fait, alors il veut qu'on le fasse, nous. Oui, Dominique?

Q. Il n'a pas déjà dit, un moment donné, que même si on avait, j'sais pas comment de temps, on réussirait jamais à refuser assez pour tous les envoyer au pied de la Croix? Parce qu'il y en a tellement qu'on accepte. Il a dit ça à la neuvaine, à un moment donné, qu'on ne réussirait jamais à refuser assez. Ça va être dur…

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Ah oui! Nos refus à nous, si on se limite à nous autres…, bien, prends tout le temps que ça voudra, ce ne sera jamais assez suffisant.

Q. (inaudible)

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Non, parce qu'il faut prendre tous les refus, pas seulement que les nôtres, tous les refus. Puis, pour prendre tous les refus, il faut que tu les connaisses. Mais c'est différent, là, si tu penses avec ton corps : 'Aïe, j'suis pas pour tout connaître ça, ça va me… '. Bien non, tu ne peux pas faire ça. On va s'exécuter, on va s'accomplir. Mais c'est beau! 

Q. (inaudible)

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Bien, accepte-le parce que c'est ça que le Seigneur veut qu'on vive. Il ne nous l'enlèvera pas : causes, choix, conséquences. Satan va tout faire, Satan, pour nous maintenir dans nos douleurs et là, il nous contrôle. Alors, lorsque nous avons – c'est ce qu'on a parlé à matin, tu voulais avoir une réponse – lorsque nous avons une fatigue chronique, toujours fatigué, toujours fatigué, alors Satan, lui, veut qu'on la ressente profondément cette fatigue-là : elle devient une douleur. Eh bien, cette douleur-là, il veut qu'on la vive. Lorsqu'on refuse : "Je te donne causes, choix et conséquences", je refuse la mort, je refuse l'esprit de mort. C'est ça qu'il faut (faire). C'est sûr qu'on offre à Dieu ce qu'on est, que ce soit 'je viens de me cogner l'orteil sur le bord d'une chaise' : "Je te donne causes, choix et conséquences", je refuse la douleur.

Tu refuses parce que c'est l'esprit de la mort qui nous maintient dans la douleur. Alors là, lui, il provoque tout pour qu'on puisse toujours être dans la douleur. Comme ça, eh bien, lorsque nous sommes dans cette douleur, notre douleur maintient le monde entier dans la souffrance, nous devenons une nourriture de souffrance pour tout le monde. Et c'est là qu'on dit : "Merci, Jésus, d'envoyer la mort au pied de la Croix" ou l'esprit impur au pied de la Croix. C'est pas de m'avoir cogné, c'est que Satan maintient ma douleur contre moi pour que je sois une mauvaise nourriture pour mon frère et ma sœur. C'est ça qu'il veut. Alors, soyons dans la joie de comprendre ça pour qu'on puisse tout le temps envoyer la mort au pied de la Croix.

Q. Mais il peut susciter un mouvement pour qu'on s'accroche aussi.

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Bien oui, j'comprends donc! Mais...

Q. C'est une attaque aussi!

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Eh bien oui, mais si tu comprends, tu peux la prendre autrement parce que tu peux dire : "Je te donne causes, choix et conséquences", mais avec une de ces joies! "Merci, Jésus, pour ce moment d'amour. Je refuse la mort. Merci, Jésus, tu l'envoies au pied de la Croix." À cet instant, qu'est-ce que l'on fait? On devient une nourriture pour tout le monde.

Q. Et refuser jusqu'à en perdre l'haleine.

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Ah oui! Ça devient une joie!

Q. Ce qui n’est pas paix, joie, amour, on refuse.

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : On refuse avec amour parce que ces instants, c'est de la nourriture qu'on apporte à nos frères et à nos sœurs. C'est bien beau, c'est vrai, on utilise nos droits d'enfants de Dieu… Il a fallu qu'il commence comme ça, le Seigneur. C'est comme quand il nous a parlé de refuges. Il nous a parlé des refuges extérieurs en premier pour qu'on puisse aller dans nos refuges intérieurs. Le plus important, c'est à l'intérieur. Bien, refuser, on a refusé ça : Aïe, on refuse les attaques! On refuse les attaques! On voyait ça comme ça. Mais non, là, il nous amène à autre chose.

Q. Et on peut refuser pour la douleur de notre mari?

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Tu refuses la douleur…

Q. Parce qu'elle est en nous?

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Oui, mais c'est parce que la douleur de ton mari, elle n'est plus sa douleur, c'est la tienne. C'est pour ça que le Seigneur, il disait : «Vous ne pourrez pas refuser pour les autres.» Tu ne peux pas refuser pour les autres : "Merci, Seigneur, donne-moi ce que les autres ont maintenant, c'est à moi", ce n'est plus pour les autres. Il y a quelqu'un qui vient de commettre un meurtre, bien, c'est moi qui viens de commettre un meurtre.

Q. Si on est conscient….

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Je le prends.

Q. Dieu dit : Tout contribue au bien de ceux que l'on aime. Ça veut dire que si tu vis une situation très pénible, tu dis : "Seigneur, je te rends grâce, je te bénis parce que tout ce que tu fais, c'est pour notre plus grand bien." À ce moment-là, tu l'accueilles dans la joie, tu portes des grâces, tu donnes au Seigneur : "Merci, Seigneur, que je vive cette difficulté-là parce que ça porte des fruits."

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Il reste quand même que la mort n'est pas au pied de la Croix. Mais c'est là que Dieu dit : «Réalisez, mes enfants, que par mon nom, par mon pouvoir, j'ai le pouvoir de l'envoyer au pied de la Croix.» Seulement qu'une pensée, aussi vite, sans que les mots sortent, la pensée! Tu l'envoies au pied de la Croix, mais déjà c'est tellement vite là, il ne peut pas, le Malin ne peut pas ne pas aller au pied de la Croix. Il est obligé d'y aller. Pourquoi? Parce que notre pensée était tellement vite, plus vite que l'éclair, alors, lui, il écoute. Au nom de Jésus, là, Jésus l'envoie au pied de la Croix, mais il faut que la chair y participe, il faut que la chair participe à ce mouvement.

Q. Quand tu es dans le tourbillon là, puis ça commence à faire mal là, tu n'y penses pas, là.

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Mais tu vas voir que tu vas… ça va tellement vite, tellement vite!

Q. Quand je viens pour me coucher, je dis : 'Oh! ça, ça, là je le donne', mais quand je vais me coucher, avant j'ai pas eu le temps, y'a trop d'affaires qui se sont passées, mais là, je refuse et tu en as jusqu'à une heure du matin.

Q. Ça compte pareil même si c'est passé?

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Oui, oui, oui, oui. Mais vous allez voir qu'à la longue…, on voit qu'à la longue ça se produit.

Q. On rend grâce au Seigneur en remerciant sa Mère?

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Ah! Maman Marie!