Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu

par son instrument, la Fille du Oui à Jésus

 

2012-01-08  – Temps d'abandon

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Je ne savais pas que ce que j'avais vécu en Colombie, c'était en rapport avec ça…; là, je viens de le savoir : on critique, pas seulement qu'on critique, mais tout ce qu'on est en train de vivre, et là, je comprends pourquoi il l'a fait… 

Q. En tous cas, moi, je vais demander des grâces. Je ne sais pas quoi, Seigneur, mais des fois, ça peut être une critique, une nourriture, n'importe quoi! Des fois, ça passe dans des petites affaires et là, tu te rends compte que tu l'as dit.  

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Qu'est-ce qui te fait réaliser que tu viens de critiquer?

Q. Ça doit être le Seigneur, l'Esprit-Saint, parce que souvent quand on n'agit pas bien, c'est l'Esprit-Saint qui…

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : C'est la souffrance du Christ qui remonte de ton intérieur à toi-même. Le Seigneur, il t'a connue avant même que tu sois. Lorsqu'il a été sur la Croix, il a consenti, lui, à prendre cette critique. Alors, comme il la connaît, comme il l'a vécue, là, au moment où toi, là, en ta présence, tu critiques, là il te la fait ressentir, il te la fait ressentir dans sa miséricorde pour que tu ne t'écrases pas, que tu puisses te reprendre. Tu peux passer au côté… Tu ressens en une fraction de seconde, tu ressens : 'Wow! Qu'est-ce que j'ai fait?' Sans que tu dises 'qu'est-ce que j'ai fait', tu le ressens. Ça va plus vite que la parole. Mais tu peux, soit passer au côté – continuer tes critiques – ou soit dire : 'Ah! Pardon, Seigneur, j'ai encore critiqué!' Si tu arrives à dire 'pardon, Seigneur, j'ai critiqué', c'est que tu as reçu, en toi, de l'aide.

Jésus suscite, dans tous les enfants que nous portons en nous, il suscite de la bonté, il suscite de la douceur, de la tendresse, il suscite la présence. La présence : 'Tu n'es pas seul, on est là pour t'aider'. Quelquefois, cela se passe, puis on ne réalise pas que d'autres avant nous nous ont aidés et ils nous habitent. On a l'Église militante, triomphante, purifiante; alors, ces personnes-là sont avec nous. Eux autres ont déjà accepté que Jésus les sauve, même pour cette toute petite critique-là. Ils sont déjà sauvés. Ça veut dire qu'ils auraient pu aller au purgatoire pendant des milliers…, mille ans : une journée, c'est mille ans. On ne parlera pas de notre temps, mais on va parler du temps du purgatoire.

Le temps du purgatoire, Jésus ne veut pas, lui, qu'eux autres aillent souffrir pour un temps de souffrances si grandes; alors, qu'est-ce qu'il fait? C'est qu'il nous fait ressentir sa miséricorde. Puis, il se sert de qui? D'enfants qui, eux autres, ont passé par où on a passé. Ils ont eu des forces. Ceux qui ont souffert, les premiers chrétiens, – là on sait combien d'années, des centaines…, trois cents ans qu'ils ont souffert eux autres, ah oui, pas loin, hein? – alors, eux autres, c'est des martyrs. Ils nous ont donné des forces; ces forces-là sont présentes en nous. Là, on arrête, à un moment donné, puis à une fraction de fraction de seconde, on y pense : 'Oups! Bon, je viens de critiquer'.

Mais plus encore aujourd'hui. Aujourd'hui, on est dans le temps de la purification de la chair, et non seulement maintenant les âmes du purgatoire, eux autres nous aident, mais le Seigneur va chercher des enfants maintenant de miséricorde qui vont nous aider. C'est pour ça que le Seigneur veut que l'on accepte le manteau de critique, le manteau de colère, le manteau de gourmandise. Tous, tous ces refus qu'il nous a parlé, il va falloir les vivre, les ressentir, pourquoi? Parce que si tu acceptes de passer par la souffrance de la critique, bien, une souffrance acceptée est une souffrance qui se change en acte d'amour. Un acte d'amour, bien, c'est de la miséricorde, ça guérit. Alors voilà pourquoi le Seigneur nous dit : «Ne vous inquiétez pas. Soyez dans ce temps d'abandon. Je vais vous donner des grâces.» Et c'est ce que nous sommes en train de vivre : un temps d'abandon pour qu'on puisse être enfants de miséricorde pour tous les enfants choisis de Dieu.

Q. Alors, si tu es en présence de…, tu refuses. 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Causes, choix, conséquences, tu refuses. Au pied de la Croix, Jésus…

Q. Le Seigneur dit de rester dans sa miséricorde. Comment on fait pour tout le temps rester dans sa miséricorde? Là, j'allume parce que tu dis : 'Oups, à la fraction de seconde qu'on réalise qu'on a dit une parole de trop ou qu'on a critiqué, là on peut rentrer dans son temps de miséricorde'. Mais comment on fait, en d'autres temps, pour être tout le temps dans la miséricorde de Dieu?

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Mais encore plus que ça! Tu sais que la critique fait souffrir tes frères et tes sœurs. Toi, tu es un enfant qui a besoin d'amour, mais tu viens de critiquer; alors là, tu donnes causes, choix et conséquences, hein? Tu refuses la mort parce que c'est la mort ça, c'est la mort qui nous amène à connaître une mort terrestre, c'est un esprit de mort. Alors : "Merci, Jésus, d'envoyer la mort au pied de ta Croix." Il guérit et il libère. Au moment où il guérit, au moment où il libère, que t'arrive-t-il? Il y a en toi quelque chose qui se libère, quelque chose qui guérit : tu deviens lumière. Dieu te défait de tes chaînes : 'Je comprends. Je vais aider ma sœur, mon frère, par milliards; plus de cinq milliards ont besoin de moi.' Alors là, je suis à l'intérieur d'eux; moi je me tiens à l'intérieur de tous ces enfants; donc, à cet instant que je guéris, je me laisse libérer par Dieu. Tout le monde est guéri, tout le monde est libéré d'un mouvement, d'une critique qui a fait une mauvaise nourriture à tout le monde.

Mais, moi, je me tiens en dedans d'eux. Je suis là, je suis à l'intérieur d'eux. Je laisse sortir de moi la miséricorde : Jésus qui est allongé sur cette pierre froide, Jésus qui est recouvert de sang, Jésus (dont) ses larmes coulent, Jésus qui aime son Père, Jésus qui accepte la froideur du monde, Jésus qui accepte l'indifférence. Tout sort de notre Jésus d'amour et notre Jésus d'amour nous le fait ressentir dans notre chair, parce qu'il tient notre chair dans son pouvoir de miséricorde. Nous devenons donc une enveloppe de miséricorde. Et comme nous sommes à l'intérieur d'un enfant qui souffre, eh bien, cet enfant-là reçoit ce que nous sommes; et non seulement il reçoit ce que nous, nous sommes, mais il est en moi : je suis en lui, il est en moi. Alors cela, ce geste de miséricorde, devient sa nourriture. Comme on n'est pas seul, des milliards reçoivent exactement la même chose qu'un seul vient de recevoir : des milliards.

Q. Nous, là, on fait la même chose que Jésus, sauf que lui, il était pur; nous, on est blessés.

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Et voilà! Voilà pourquoi Jésus, il est allongé sur cette pierre et voilà pourquoi ces barreaux : la prison! Tant qu'il restera un seul enfant qui ne sera pas totalement purifié, Jésus sera dans cette prison. Tel est l'amour de notre Dieu. Il se tiendra en nous jusqu'à la dernière, dernière, dernière seconde, jusqu'au moment où le dernier prononcera son oui : le dernier. Il se montrera tel un Être d'amour. Oui, Seigneur!

Q. Faut pas sortir de sa miséricorde.

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Tu ne peux pas sortir de la miséricorde de Dieu, parce que Jésus est en toi.

Q. Il nous dit : «Demeurez toujours dans ma miséricorde.»

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Oui. Et savez-vous à quel point Jésus nous aime?

Q. Non, on ne le sait pas, vraiment pas.

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Imaginez-vous un Être parfait, notre Dieu! Il consent à être en nous comme je l'ai vu. Il pourrait être en nous tout glorieux, hein? Non. Ça fait longtemps qu'il est comme ça. Il se tient prisonnier par amour pour nous dans une chair imparfaite, dans une chair impure, impure! Et il nous aime, hein? Et là, il est en train de nous montrer comment aimer notre prochain. On dit : 'aime ton prochain inconditionnellement', est-ce qu'on est prêts, nous, à s'allonger sur une pierre, nus, froid, dans l'humidité, dans la noirceur? Il n'y avait pas de lumière là, il n'y avait pas de lumière! Je le voyais, parce que Dieu permettait que je le voie avec mes yeux qui étaient son regard. Je pouvais voir, mais il n'y avait pas de lumière! C'était triste! Il baignait dans son sang, sa chair était en morceaux! Il est encore là, encore en nous. Tant qu'on n'apprendra pas à aimer comme Dieu nous aime, alors, tu vas t'allonger toi aussi sur cette pierre; toi aussi, tu vas prendre les manteaux de tout le monde, puis, ces manteaux-là se changent en plaies, en douleurs, et tu en es couvert. C'est ça aimer!

Q. On ne sait pas vraiment c'est quoi aimer, hein?

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Non.

Q. À cause qu'on était trop extérieurs.

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Bien, c'est parce que souvent on dit : 'Ah! J'aime mon prochain'. C'est facile à dire, mais là, ton prochain il vient de te voler; ton prochain vient de t'insulter; ton prochain vient de t'humilier; ton prochain, il parle contre toi; ton prochain, il trouve que tu es ridicule, que c'est pas vrai ce que tu dis; ton prochain te fait les cent coups là, mais c'est là que tu dois l'aimer, c'est là que tu dois encore l'aimer, encore plus : 'J'accepte de prendre ces critiques, c'est moi; j'accepte de prendre le manteau de la moquerie'. Bien, tout ça là, c'est des plaies. Il te fouette, il te fouette. Tu ressens encore plus de froideur à l'intérieur de ce monde, hein? Le monde est froid, le monde est égoïste : aime-le, aime-le même s'il te fait ressentir ça, aime-le même s'il te fait sentir que toi, tu étais une critiqueuse, toi, tu étais une menteuse. C'est ça.

Q. C'est comme quand Jésus se faisait fouetter par ses soldats. Il les aimait tellement qu'ils ne voyaient pas ce que Jésus ressentait. Même s'il les aimait comme ça, est-ce qu'il ressentait la douleur?

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Toujours.

Q. On a du chemin à faire…

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Mais avec les grâces du Seigneur.  Quand j'ai regardé mon Seigneur sur la pierre, eh bien, qu'est-ce que j'ai voulu faire? Passer à travers les barreaux.

Q. Être avec lui?

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Oui. Alors là, étant donné que j'essayais, j'essayais même de passer mon corps à travers les barreaux, hein? Eh bien, je sentais la présence de Dieu, ça me donnait une force. Je voulais tellement pour lui! Cet amour que je ressentais pour Jésus, bien, je le ressens, on le ressent à travers ce qu'on devient : on devient la miséricorde. La miséricorde de notre Seigneur se fait goûter à nous en même temps que le manteau qui nous couvre de critiques : qu'on est une critiqueuse, tu es une critiqueuse; tu sens ça sur toi, tu es la pire des pires! Satan, il t'en envoie, hein? Il n'arrête pas d'en envoyer des démons. Alors là, tu refuses, tu refuses. Eh bien, en même temps, qu'est-ce que tu ressens le plus? L'amour. Tu veux passer à travers les barreaux, tu veux juste y toucher, tu veux juste dire : 'Jésus, je suis là!' Bien, c'est ça.

Maintenant, la nuit tu donnes, ou le matin quand tu te réveilles, et tu savoures ces moments! Oui, c'est souffrant de toujours donner. Des fois, Seigneur, ça lâche pas! Mais quand le Seigneur te fait goûter à sa miséricorde, là, tu t'arrêtes, et puis là tu le loues, tu l'adores, puis tu ne fais pas ta vitesse : 'Ah! bon, j'te donne causes, choix et conséquences; je refuse, merci,… au pied de la Croix, …', non, prends le temps d'être avec Jésus. Tu veux y toucher, Jésus, tu veux le consoler? Prends le temps. C'est sûr que des fois, on conduit, ouf! Y'a une auto qui vient de passer : 'Mon Dieu'… Prends le temps. Tu vas toujours avoir ce temps-là. T'as un coup de marteau sur le doigt, hein? C'est…

Q. Est-ce que Jésus, allongé sur cette pierre, est en chacun de nous? On le voit en chacun?  Parce que ça, ça change tout. Maintenant, je vois différemment, parce que moi, je pensais que : Jésus est là, il attend, il est allongé sur une pierre en arrière…

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : La pierre, elle dépasse de ses épaules, à peine un pouce de ses épaules, d'une épaule à l'autre. La pierre est froide, elle est très froide. Oh! elle doit avoir, d'après ce que le Seigneur m'a montré, entre six pouces – et elle n'est pas égale, je veux dire elle n'est pas tout à fait égale – ça peut être de six pouces, sept pouces, ça dépend des endroits. Il est complètement allongé et il est sur le dos. Puis là, il est nu notre Seigneur, mais c'est un sang qui le recouvre et ses plaies, ses plaies, c'est sa chair. Il est couvert de plaies. Ses cheveux, ce n'est plus des cheveux, c'est noir, c'est sec et en même temps il y a des bouts humides. 

Quand il m'a regardée, ses yeux, ses yeux sont la profondeur de l'amour. Il y a tellement de l'amour que cela a pénétré tout mon être. Ses larmes coulent et il te regarde, et tu sens qu'il ne te reproche rien. Tu ne sens que de l'amour qui sort de lui. Ses pieds, je me rappelle de ses pieds, il n'a pas les pieds aux 90 degrés là, aux 45, il a les pieds…, il est tout abandonné, tout abandonné. Ses bras sont allongés et il te regarde toujours. Tout est noir autour de lui. C'est un caveau, c'est une prison. Il y a des murs épais, car de l'autre, là où je suis, il y a une grille, elle est en ovale, mais en demi-ovale, et c'est très épais, très épais, au moins huit pouces d'épais de pierre, de ciment/pierre, et tout est noir encore, tout est noir, et il se tient à l'intérieur. Et quand j'ai voulu passer, j'ai voulu passer le haut de mon corps, mes mains n'arrivaient pas à le toucher; alors j'essayais de rallonger le plus que je pouvais, j'essayais de passer simplement. Si j'avais touché mon Jésus, ça l'aurait consolé. Je ne pouvais pas le consoler. Je n'avais qu'une soif : vouloir consoler Jésus. Ce n'était que ça, parce que son regard était sur moi, puis qu'il m'aimait. C'est ce que je voulais : m'approcher de lui. Et c'était impossible, impossible de s'approcher de Jésus.

C'est notre Dieu de miséricorde. Il était dans sa miséricorde, dans sa miséricorde. Alors, il nous demande de l'aimer. Comment je peux, moi, toucher à mon Dieu? Comment, nous, on peut toucher à notre Dieu? Lui, il est allongé dans la souffrance et il nous aime, il nous aime : tout le monde. Est-ce qu'il voudrait recevoir une consolation venant d'une personne alors qu'il s'est donné pour le monde entier? Il veut qu'on aime tout le monde, il veut ressentir l'amour de tous ses enfants. Ce n'est que ça qui aurait pu le consoler : ressentir l'amour de tous ses enfants, tous ceux qui ont insulté Dieu, tous ceux qui se sont moqués de Dieu. Il les a tous pardonnés. Alors il veut, il veut qu'on accepte sa miséricorde. Pour qu'on puisse consoler notre Dieu, il faut être miséricorde, il faut ressentir sa miséricorde sur nous. C'est la seule chose que j'aurais pu… et je le sentais, je sentais que c'était ça que Jésus voulait.

Parce que, quand il m'envoie voir mes sœurs et mes frères un peu partout, c'est incroyable l'amour que j'ai. Je voudrais embrasser tout le monde, je voudrais consoler tout le monde, tout le temps et tout le temps et tout le temps! C'est lui qui leur parle dans leur cœur, c'est vraiment notre Dieu. Quand je reviens à moi, quand je suis en avion avec Nicole, quand il nous dit : «Mes filles, à la maison», même Nicole, toutes les deux, dans l'avion… ah! c'est comme si on reviendrait de quelque part. On ressent notre chair, là on ressent notre fatigue; à un autre moment, pas du tout. C'est Dieu qui fait tout, c'est notre Dieu.

Alors, il faut vivre la miséricorde. Il va falloir aimer inconditionnellement. Oui, on va tomber, puis Dieu va nous faire ressentir qu'on tombe : "Merci, Seigneur!" parce que c'est au moment que je suis à terre que je sais que j'ai besoin d'aimer mon prochain pour mériter de me relever, sinon reste à terre, tu ne mérites pas de te lever. Il faut que tu goûtes à tes choix, à tes péchés. Goûtes-y! Les péchés de tout le monde, ce sont tes péchés, c'est une chair qui a commis le non à Dieu : une chair! Eh bien, ta chair, elle dit non à Dieu, car elle contient toutes les chairs. Ma chair contient toutes les chairs, ta chair contient toutes les chairs, alors comment pouvons-nous dire : 'Je vais passer la Grande Purification de la chair?'

Il faut, il faut tout prendre, tout prendre et, en même temps, plus on va prendre, eh bien, plus on va consoler Jésus, plus on va le faire. Parce que Jésus s'est quand même retourné, il a tourné son visage comme ça, puis il m'a regardée. Alors, il a eu un regard sur lui; il reconnaissait son regard, sa miséricorde, sa compassion. Tu vois? C'est ce qu'il faut vivre à chaque instant. Si on oublie, c'est que Dieu nous fait ressentir : «Tu as oublié.» "Pardon, Seigneur, je te donne causes, choix et conséquences." Continuez, refusez. Parce que c'est un esprit, il vient de me faire ressentir qu'un esprit me fait oublier mon Dieu : "Merci, mon Dieu, quelle grâce! Je t'adore, mon Dieu!" On s'incline et on fait incliner tous nos frères et nos sœurs devant notre Dieu qui accepte d'envoyer les esprits impurs au pied de la Croix, la mort au pied de la Croix.

Q. Ça fait dix ans qu'on écoute Jésus, puis on a encore beaucoup de misère.

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Heureuse misère! Heureuse misère qui nous fait penser que nous sommes faibles et que, oui : causes, choix et conséquences, que les esprits font tout pour nous donner de la misère. Merci, merci.

Q. Mais il faut avancer?

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Mais oui, exact! Ils nous font avancer parce que c'est permis. Quelle grâce que de souffrir dans tout. Ce que le Seigneur nous dit, c'est ce qu'il veut nous faire entendre. On est vraiment ensemble, on est ensemble! On ne peut rien faire si on n'est pas ensemble.

Q. Ensemble, ça, c'est tous les frères et sœurs du monde entier?

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Ah! de toutes religions, de toutes nations, de partout!

Q. C'est parce qu'au début, dans les enseignements, on entendait ça souvent, puis on avait l'impression que c'était ceux qui suivaient tous les enseignements; mais c'est plus que ça 'ensemble', c'est toujours avec tous. Si on veut refuser, il faut y penser.

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Demandez la grâce.

Q. La grâce du refus?

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Demandez à Maman Marie! Maman Marie, quelquefois elle me fait sentir qu'elle me donne la grâce, qu'elle nous donne la grâce de la persévérance : «Continuez mes enfants, continuez mes enfants», et Maman Marie nous la donne pour qu'on continue, qu'on continue. Voilà pourquoi il fallait qu'on passe par toutes les étapes pour arriver, aujourd'hui, à entendre ce que le Seigneur veut nous faire entendre en cet enseignement-là. Et demain ce sera autre chose, parce qu'aujourd'hui c'est le présent, et demain ce sera le présent pour aujourd'hui. Y'a pas de temps : le passé et le présent ne font qu'un. Alléluia!

Q. Mais voir le Seigneur allongé en moi comme ça, ça m'a… Je pense que je vais voir maintenant Jésus, qui est allongé et que je ne peux pas le consoler, je pense que je vais faire un effort plus qu'avant parce qu'avant je ne faisais pas beaucoup d'efforts.

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : On parle, on mange! Et on est si peu! On n'est pas grand-chose, hein? On est là, tiens,… ah! Et Dieu est la Puissance! Et Dieu est la Puissance! Dieu, l'Être Suprême, il est en nous, en nous! Réalisons l'importance que Dieu a pour chacun de nous. Ça aussi c'est important qu'on le réalise. Et voilà pourquoi il faut se donner pour les autres.

Mais n'oubliez pas, et Jésus m'a avertie et je vous avertis par la puissance du Saint-Esprit : «Vous connaîtrez de très grandes souffrances, vous vous sentirez être les plus ingrats, les paresseux, vous allez vous sentir être débordés de nonchalance vis-à-vis Dieu.» Tel est le manteau qu'on doit accepter.

Q. Souvenons-nous de sa miséricorde.

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Oui. La Vierge Marie est ici avec nous, partout où nous sommes. Voilà pourquoi le chapelet est important tous les jours.

Q. Pour Marie, pour Jésus, pour la plus grande Gloire de Dieu! Si on pouvait toujours être sur cet élan. Mais ce qu'on reçoit… C'est correct que ce soit comme ça, parce qu'on accepte de supporter ça.

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : La plus grande, c'est connaître la blessure que Maman Marie a connue; ça, c'est la plus grande. Combien d'entre nous, Satan s'attaque à nos enfants pour nous faire tomber, pour nous faire mal, puis il le fait.

Q. Durant la messe à matin, j'ai compris ça et plein d'affaires aussi que j'ai compris : les conséquences de mon geste que moi j'avais fait il y a presque quarante ans.

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Alors, tu sais quoi faire. Accepte ça. Non seulement que tu l'acceptes, mais tu le prends pour toi. Tu prends tous ceux qui ont fait ce que toi tu as fait et que tu consentes à être à l'intérieur d'eux, à être à l'intérieur d'eux, et de vivre ça pour eux. Vivre ça pour eux, c'est consentir à ce que Jésus libère et guérisse. Lorsqu'il libère et guérit, bien, eux aussi se sentent prêts à aimer leur prochain. Oh! C'est tout petit peu, c'est tout petit peu, mais il y a de la guérison, de la libération. Il faut le faire! Puis, si ça te revient : "Merci, Seigneur." Si ça te revient, si ça te gruge : "Merci, Seigneur".

Q. Ça fait plusieurs années que ça gruge.

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Bien, ne demande pas à ce que ça s'en aille trop vite parce qu'il y en a des milliards qui ont besoin de toi.

Q. Moi, je pensais que j'étais correct de me retirer un peu de ce milieu de critique-là, tu sais?

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Lorsque tu te fais brûler, tu dois savoir le moment où tu acceptes que tu ressentes la douleur. Ne va pas vers la douleur avec ta volonté humaine. Si, à l'intérieur de toi, il y a quelque chose…, tu ne te sens pas bien là-dedans, c'est que Dieu, dans sa miséricorde, passe par une nourriture, un enfant, pour te faire savoir : «Attention, tu n'es pas obligé d'y aller. Reste dans mon repos.» Ça aussi ça fait partie, tu vas le savoir. Tout comme tantôt quand je ressentais quelque chose. Plus tu t'abandonnes et plus ça sort, puis ça monte; puis, là, tu ne te bats plus avec toi-même en disant : 'Est-ce que c'est de moi ou est-ce que c'est de Jésus?' Tu vas apprendre à ne plus te battre, mais à t'abandonner, et là, tu vas passer plus facilement parce que tu vas faire plus confiance en lui, que ce soit dans n'importe quoi : dans tes travaux, dans la nourriture, dans la façon que tu vas travailler.

Comme ce matin, 'c'est quoi mes limites le dimanche, Seigneur?' Je vais prendre mes vitamines; ok, je prends mon curcuma, je prends mes petites affaires. Ah! Je vais aller dans ma salle de bain, je vais mettre ça dans mon contenant, tout! Là, j'arrive : ah! je m'en vais remettre le contenant! Je sentais que ce n'était pas le temps – Tu peux prendre ton curcuma et tes affaires, mais ne va pas ranger tes affaires, tu les rangeras demain, en voulant dire : va pas les prendre dans un petit contenant là, ça, tu auras le temps demain. Aujourd'hui, je te donne ça. Prends ce que je te donne. – Et c'est venu en une fraction de seconde. Je viens pour déverser quelque chose pour prendre quelque chose, mais le Seigneur, en une fraction de seconde, me fait sentir : «Ça, tu n'en as pas besoin.» Aïe! Je te dis que ça coure! Là, bien, je ne cours pas, mais je te dis que je le mets le bouchon! J'écoute. J'apprends. Il faut que ce soit instantané.

Le Seigneur te guide dans tout, dans tout et dans tout. C'est tellement agréable que tu t'arranges; puis, tu fais quelque chose là, puis ça va tellement bien, tellement bien! Qu'importe si ça ne rentre pas dans le bon trou, c'est pas grave! Ce qui est important, c'est de faire ce que le Seigneur met en toi, et tout rentre à l'intérieur.

Q. En fin de semaine, c'a rentré comme ça. J'ai eu de l'aide pour mettre mes plastiques…

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Ça, c'est une récompense de l'obéissance. Avant que tu aies ça, il faut que tu acceptes de t'abandonner : 'Je vais moins regarder la télévision. Je vais moins faire ça.' Et voilà que sans s'en rendre compte : 'Mais, Seigneur, me semble que tout m'arrive, c'est-tu le fun!' Mais parce que tu as été obéissant à Dieu, cette obéissance apporte des fruits. Les fruits viennent de ce que Dieu te montre que ton geste a amené un autre geste. Alors, ça veut dire que ton geste était dans le geste de qui? Des enfants de Dieu. Ils ont eu, eux autres, une nourriture, puis cette nourriture s'est changée en aide, parce que c'a fait le tour du monde! Houp! c'a tombé à une personne. Le tour du monde!

Le Seigneur me disait… 'Seigneur…' : il dit : «Oui». Je n'ai même pas eu le temps de faire ma pensée, je savais qu'il m'avait comprise. Alors, c'est quand je suis arrivée et j'ai seulement dit : 'Je'… bien, c'était je refuse. Là, c'est venu à une fraction, même pas pour le temps de le dire, il m'a répondu oui. "Est-ce que cela fait le tour pour tous tes enfants, Seigneur?" Je n'ai pas eu besoin de le dire, je le savais parce qu'il me nourrissait. Il dit : «Plus vite que le rayon qui vient frapper la terre, plus vite cela fait le tour de tous les enfants du monde cette nourriture-là. Le rayon du soleil qui vient rejoindre la terre est trop lent.» La puissance,  quand on dit 'je refuse', eh bien, à cet instant-là, le monde entier est sous une protection, et les anges, qui sont des esprits, sont obligés d'écouter. Alors, un esprit est si vite que… (un  bruit de vent est imité) ça, c'est trop lent, c'est dans ma petite éternité mais, eux autres, ils sont dans l'éternité absolue. C'est pour ça que le Seigneur dit oui. Alors, ma pensée était trop lente pour la réponse du Seigneur. Alors, il m'a comme nourrie de ce que moi j'allais penser, mais lui, il m'a nourrie avant, et il m'a dit que lorsqu'on refuse, avant même que je le prononce, c'est déjà accompli. Alors, imaginez-vous comment c'est puissant ce refus-là. Mais ça se fait instantané, mais il faut penser : qu'instantané, mais l'instant où c'est fait, les démons…

Q. On l'a reconnu, des fois on le reconnaît de suite…  Mais ton ange te protège tout de suite. J'ai eu des preuves plusieurs fois, moi. Lui aussi, il en a eu, avec un trailer ou bien l'auto qui vient te couper; tu tombes, tu te fais bien mal, tu penses mourir, mais… "Merci, mon Dieu, j'suis pas cassé, rien."

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Oui, mais l'instant où tu dis : 'Aïe!', déjà…

Q. C'est déjà trop?

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Bien oui!

Q. Le démon est déjà embarqué?

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : 'Aïe!' T'as fait confiance en qui là?

Q. Il a eu le temps de me mouiller.

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Il a eu le temps de te mouiller. Là, tout de suite, ton ange prend sa place, mais le 'Aïe', c'est déjà, hein, c'est…

Q. Mais comment vivre le moment présent en sachant que le présent, c'est une fraction de seconde?

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Par ta présence en tous les enfants de Dieu.

Q. Parce que c'est une fraction. Ce que j'ai prononcé, c'est déjà du passé.

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Plus tu vas avoir conscience de ta présence en la miséricorde pour tous les enfants de Dieu et plus tu vas prendre présence. Pourquoi? Parce que ta présence est en un et en l'autre, et en un et en l'autre, et en un et en l'autre, et non seulement est en un et en l'autre, eux, sont en toi. Étant donné qu’eux sont en toi et que toi tu es en eux, ce moment est tellement fort que tout de suite la miséricorde de Dieu passe. Plus ça va et plus tu ne seras pas atteignable; mais comme tu as consenti à être atteignable, ils vont attaquer tes manteaux de critiques, tes manteaux de souffrances, tes manteaux de colères, de déceptions; là, ils vont attaquer ça, parce que : 'Aïe! Regarde-le, lui là, hein, c'est le pire en manque de foi', alors ils vont t'attaquer, toi. Ils vont laisser faire ceux qui ont un manque de foi parce que c'est toi le pire. C'est merveilleux, c'est une merveille.

Q. Le Seigneur a dit tantôt : c'est qu'ils vont être enchaînés tout de suite, ils ne pourront pas passer le message aux autres? Donc, les autres, ils vont être niaiseux, ils vont recommencer la même chose.

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : La petite seconde, ils sont protégés.

Q. Ils vont tous se mettre après toi?

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Oui, parce que…

Q. Puis là, toi, tu vas dire : je refuse!

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Et là, comme il a accepté de prendre un manteau, il a accepté de prendre tout ce que les autres ont. Son manteau, il est…

Q. Contient tous les autres manteaux.

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Oui, il est épais.

Q. Ça, je ne comprends pas tout, c'est pas grave, mais on a tous les manteaux nous autres aussi, hein? Tu es en moi toi aussi.

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Tu vas le comprendre quand tu vas écouter.

Q. Oui, parce qu'au début, c'était bien expliqué. C'est formidable. C'est plus éclaircissant.

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Oui. De plus en plus, pourquoi? Parce que le Seigneur nous fait vivre dans ce que nous avons accepté : miséricorde. C'est le temps d'abandon, c'est le temps de… on est enfants de miséricorde maintenant. On était enfants de la Miséricorde, notre Jésus d'amour, maintenant, on accepte maintenant d'aller y toucher, puis on fait tout, là.

Q. Parce que là, on se laisse mourir à la miséricorde…

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Voyez-vous, quand il y a la consécration, et après la consécration…

Q. On reste à genoux quand il dit … il est mort, il est ressuscité, il reviendra là…

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Oui, mais la plupart chantent, puis ils se lèvent debout, hein? Alors, le Seigneur m'a fait comprendre : «Tu n'es pas ressuscitée, toi, ma fille. Moi, je t'ai sauvée de la mort éternelle. Moi, j'ai ressuscité, mais toi, tu es encore dans une chair qui connaît la conséquence de la mort.» Alors voilà pourquoi, Jésus, il ne cesse de dire : «Je vous aime, mes enfants. Je vous aime, mes enfants. Bientôt, mes enfants, vous connaîtrez votre résurrection, bientôt, mes enfants.» Oui.

Q. Oui, nonchalants envers le Seigneur. Tu sais là, tout l'temps… C'est commencé?

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Qu'est-ce qu'il a dit à Plantagenet, hein? Vous souvenez-vous? «La plupart d'entre vous, mes enfants, vous avez pratiquement terminé votre purification de la chair», pour nous amener maintenant à vivre le manteau des autres. Ce temps faisait suite à un autre temps.

Q. Est-ce qu'on va pouvoir les supporter?

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Oui, il ne faut pas que les supporter, vivre…

Q. La miséricorde.

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Oui.

Q. C'est là que je me souvenais et que je disais : Je le sais aussi que c'est l'autre qui veut me faire accroire que Jésus, que Dieu n'est pas miséricorde. Alors je refuse et puis : Dieu est miséricorde. Mais ça, c'est envers moi, j'ai pas grand mérite de ça, dans le fond, je porte pas personne encore, là.

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Tu ne portes pas personne encore?

Q. Bien, c'est à moi que ça s'adresse. Je me disais : c'est moi qui suis lent, c'est moi qui traîne, c'est moi qui suis nonchalant alors que dans le fond, je l'étais pas, mais je sais que c'est l'autre, mais je suis lié avec tout le monde.

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : C'est ça. Exact.

Q. Des fois, j'ai l'impression que je ressens cette indifférence pour vrai. J'écoute. C'est bien beau ce que le Seigneur nous dit, mais pas plus que ça. C'est une espèce de grosse indifférence. Et le Seigneur nous dit que ça va empirer! Je vais à l'église et au chapelet. Je sens le besoin d'y aller, mais je me demande si ça m'aide vraiment. J'y vais…, j'essaie de prier puis de dire au Seigneur que je l'aime. C'est comme si j'étais toute mélangée…

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Dieu permet que tu vives ça.

Q. Il faut que je dise merci, Seigneur?

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Bien, oui.

Q. Ah? D'accord.

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Des millions et des millions vivent ce que tu vis et ils sont indifférents envers notre Dieu. Toi qui t'es donnée, tu as accepté d'être la dernière : bois ton calice.

Q. Il faut que j'accepte d'être indifférente?

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Non seulement tu dois accepter le manteau de l'indifférence et refuser : "Je refuse cet esprit de mort, cet esprit qui me maintient dans cette indifférence. Merci, Jésus, d'envoyer la mort au pied de la Croix." Pense à des toutes petites filles, pense à des tout petits garçons, pense aux vieillards, pense à tous ceux qui sont dans des prisons et qu'on viole constamment parce qu'on s'ennuie. Pense à eux et : "Je refuse, mais Seigneur, ne me ménage pas!" Ça devrait être dans tes paroles à tous les jours : "Ne me ménage pas, Seigneur."

Q. Je vais prendre ça comme une grâce de vivre ça pour pouvoir le refuser pour aider mes frères et sœurs?

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Le Seigneur, dès le début, il nous a fait connaître le refus, mais il nous l'a fait que connaître. Après, dans notre chair, nous l'avons accepté, mais nous l'avons vécu avec notre chair meurtrie; alors, encore un autre petit pas. Le Seigneur nous a fait comprendre l'importance de nos droits d'enfants de Dieu, il nous les a expliqués. Encore là, on a compris avec notre chair meurtrie ce qui était nécessaire pour arriver là où nous sommes aujourd'hui : «Aucun reproche sur ce que tu ne connaissais pas et dont Dieu te fait connaître aujourd'hui.» "Parce que je n'étais pas rendue là. Alors merci, Seigneur, maintenant, je suis rendue là". Il est parfait! Il est parfait notre Dieu.

Q. Quand je fais la bénédiction avant de manger, je dis : 'Par le Cœur d'accueil de ton Fils bien-aimé, Seigneur, viens bénir cette nourriture ainsi que nous'. J'ajoute : 'En union avec toi, Seigneur Jésus, viens nourrir tous les autres. Que cette nourriture que nous allons prendre en union avec toi, Seigneur, nourrisse tous nos frères et nos sœurs.' C'est-tu correct ça?

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Tu associes ta nourriture à la nourriture spirituelle. Elle devient encore plus puissante.

Q. Bien, spirituellement, je m'unis au Seigneur. Que de ce que je me nourris, nourris aussi mes frères et sœurs. Que ceux qui n'en ont pas …

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : La nourriture physique, quand on regarde…

Q. Non, mais ça va apaiser la faim, je sais bien que ça remplira pas leur estomac.

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Ah, oui? La nourriture sur la table est remplie de soleil. La nourriture sur la table est remplie de fraîcheur des nuages contenant toute pluie. La nourriture sur la table n'est-elle pas ce vent essentiel à équilibrer la température du chaud et du froid? La température est donc essentielle à toute nourriture. Donc, un feu d'amour se maintient dans toute nourriture sur la table qui se propage dans tous les cœurs des enfants de Dieu. Merci, Seigneur.