Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu

par son instrument, la Fille du Oui à Jésus

 

 

2012-02-08 – Partie 1   Temps d'abandon

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Nous avons été remplis de grâces tantôt. La Vierge Marie nous demande de nous abandonner. La Vierge Marie va nous donner des grâces ce soir, ces grâces nous inonderont. Alors, nous avons besoin de lumière, nous avons besoin d'un cœur, un cœur d'apôtre, parce que c'est pour tous les enfants du monde que nous sommes réunis. Nous sommes ici parce que c'est la Vierge Marie qui nous a demandé d'être ici, tout comme elle a demandé à certains endroits de par le monde d'être près d’elle.

Si la Vierge Marie nous réunit de par le monde, des petits groupes, elle se charge de remplir notre cœur de grâces d'abandon pour tous les enfants du monde. Même s'il y a des personnes qui se retrouvent isolées, alors qu'elles aimeraient être avec nous, dans d'autres endroits, on sait qu'on parle des douze tribus. On sait qu'il y en a deux autres : la France, Côte d'Ivoire. "Oui, Maman Marie." Elle a dit : «Dis-le maintenant.» Medjugorje sera un lieu.

Le Ciel nous prépare à vivre ce qu'il nous a annoncé. Vous savez tous que nous vivrons, dans très peu de temps de très grandes tribulations. On nous enlèvera nos droits, on voudra nous enlever nos droits de décider de ce qui est bien pour nous et de ce qui est mal pour nous. On nous enlèvera ces droits-là. On ne nous le dira pas ouvertement, mais c'est ce qui est déjà, d'ailleurs, commencé de par le monde. Mais Dieu, Dieu veille sur nous. Maman Marie veille sur nous.

Nous appartenons à Dieu, nous n'appartenons pas à ce monde, à ce monde que nous avions accepté il y a très peu de temps. C'est le Ciel qui nous a ouvert à un monde d'amour, à un monde où on doit se donner par amour. Alors, la guerre est quand même ouverte. Nous savons que, depuis plusieurs années, la Vierge Marie et Jésus nous ont dit que nous étions en guerre : les enfants de lumière contre les enfants des ténèbres. Alors, on n'a pas à craindre, lorsqu'on est avec Dieu, on est déjà des gagnants.

Le Seigneur m'a donné un autre message. Ce message, au tout début, m'était adressé. C'est au mois de février, le 3. Nous sommes le 8. C'est vendredi passé. Il était rempli – au début, pour moi – il était rempli de surprises, oui et non, mais un rappel, un rappel qui m'amenait à m'abandonner encore plus. Ce message, le voici. Il est pour moi et pour vous et pour tous les enfants du monde.

 «Je t’ai dit que tout sera en dessous dessus et ce qui est autour de toi te le démontre. Ma fille, je connais mes enfants et ils sont tes frères et tes sœurs. Certains de ceux qui ont entendu mes enseignements et qui ont cru que je parlais vraiment en toi, maintenant n’ont plus confiance en ce qu’ils ont entendu. Ils pensent que cela venait de ta volonté humaine, et certains te font même la guerre. Je les aime tant. Mon enfant, tu me demandes de les protéger contre le mal qui sème la discorde dans leur cœur.

«Lorsqu’ils ont entendu que le pays serait dans de très grandes tribulations, que plusieurs n’auraient plus d’endroit pour s’abriter, que leur terre serait inondée, plusieurs ont refusé de croire. Est-ce que les glaciers n’avaient pas commencé à fondre? Ils se sont dit : 'Pourquoi ce lieu plutôt qu’un autre? C’est de la supercherie. Ça ne vient pas plutôt de son imagination? Qui peut savoir si c’est vrai ce qu’elle entend. Elle en retire des avantages. Elle s’est entourée de personnes. Ça ressemble plus à une secte qu’à la Volonté de Dieu. Et ces douze endroits choisis, n’est-ce pas une arnaque? Elle peut avoir lu et inventé pour se montrer supérieure aux autres.' Je suis le Tout-Puissant. À moi de te dire ces mots.

«Lorsque j’étais attaché par des clous à la croix, et que ma souffrance s’étendait à la surface de la terre, j’ai regardé ces enfants qui ne croyaient pas que j’étais le Fils de Dieu, et j’ai dit à mon Père : «Pardonnez-leur, ils ne savent pas ce qu’ils font». Toi qui suis ton Dieu, tu marches sur mes pas et tu acceptes mon Sacrifice, car en acceptant toutes ces calomnies, c’est mon Sacrifice que tu acceptes.

«Écoute ton Dieu : moi seul, je connais les douze endroits où fleurira mon Église. Mon Église est mon monde d’amour et mon monde d’amour sera dans mes lois. Chaque enfant saura qui est Dieu. Je serai là à le guider, il sera le mien. Mes élus vivront dans mes lois, ils seront bénis. Ma terre leur donnera son abondance. Ils auront tout de mon Père et le Saint-Esprit planera sur eux comme un père, un ami. Tous les enfants le loueront. Ces douze endroits formeront une seule Église : mon Église. Là où je planterai mes tentes, ils seront heureux.

«Lorsque cela sera, la terre aura subi une purification. Et parmi ceux qui, aujourd’hui, ne croient pas en mes dires qui sont dans l’Évangile, certains de ceux-là seront dans l’une de mes douze tribus. Ne t’ai-je pas dit au tout début que plusieurs ne croiront pas, et qu’après, le nombre de ceux qui croiront que je fais ma Volonté en toi sera de beaucoup, beaucoup plus grand que ceux qui n’ont pas cru?

«Soyez forts, mes enfants, car je lui ai dit aussi que parmi ceux qui sont avec elle, certains la quitteront. C’est Satan, le Diviseur, qui les troublera. Écoutez votre Dieu et faites ce qu’il vous dit. Le Ciel vous soutient.

«Mes enfants, lorsque vous entendez qu’on ne croit pas en ce qu’elle est, malgré tous les écrits et ces rencontres d’amour, abandonnez-vous. Leur jugement vient de leur souffrance. Satan est si rusé! Il met le doute en eux dans les moments où leur souffrance n’est pas donnée à Dieu. Lorsque quelqu’un doute de ce qu’il entend, alors que Dieu parle en des choisis pour les enfants du monde, lorsqu’on remet en question ce qui a été annoncé par des choisis de par le monde, c’est le maître du monde qui sème l’ivraie dans les cœurs. Continuez à vous donner. Mes grâces vous sont données, et ma miséricorde est sur vous.

«N’oubliez pas que ce sont les prêtres du Temple qui m’ont injustement accusé. Si certains de mes prêtres prêchent la division, c’est dans l’Église même qu’on vit la conséquence de ce désordre. Un prêtre qui sème la division sème la peur entre les enfants qui lui sont confiés. Ils disent avoir le bon discernement alors qu’ils se conduisent comme ces pharisiens qui jugeaient mes enfants. Un bon pasteur doit savoir que lorsqu’une brebis est en danger à cause du Mal, il doit prier et lui venir en aide en mettant son ministère entre le mal et la brebis pour la protéger.

«Tout comme Padre Pio, tout comme Curé d’Ars, tout comme Léon XIII, tout comme Jean-Paul II, il faut se donner pour le troupeau. Ces gardiens avaient une arme en main : la prière pour protéger mon troupeau. Lorsque les gardiens entendent les cris de leurs brebis, ils savent qu’elles sont en danger et ils accourent pour les protéger. Il en faut de la prière pour reconnaître le danger qui rôde. Le lion peut aussi bien attaquer le berger que les brebis. Voilà pourquoi il est important de prier.

«S’il n’y a pas la prière avec les prêtres et les fidèles, le Malin peut installer la méfiance. Lorsque la méfiance s’installe, la conscience est comme entourée d’une clôture et on a de la difficulté à l’entendre dire : 'Attention, la méfiance est en toi et elle te donne son mal! Tu n’es plus à l’écoute de l’amour, tu deviens un mauvais conseiller.' On ne vit plus avec ce qui vient de la vie intérieure, mais avec ce qui vient du dehors. Ce sont les grâces obtenues, par la prière, qui nourrissent. Les pasteurs ont reçu, par ma puissance, le charisme de la libération, et les fidèles, le pardon de Dieu le Père par le Fils. Mais il faut croire en moi, en le Grand-Prêtre, pour vivre en ma sainte lumière.

«C’est en le Christ qu’il faut mourir. Qu’un seul s’éloigne de moi, qu’un seul ne vienne pas puiser en la prière la force de contrecarrer les pièges de Satan, il ne réalisera pas qu’il a manqué d’humilité envers mes GRÂCES. Même s’il passe des heures devant moi, s’il n’est pas humble et abandon, il ne pourra pas discerner la cause de sa souffrance. La prière maintient l’âme dans les grâces. Qu’est-ce qui vous maintient dans votre manque d’humilité? L’orgueil. On ne peut être humble que si on se donne pour le prochain, tout comme le Christ. Mes enfants, je dis ces mots pour que vous priiez pour mes prêtres, vos frères et vos sœurs, car leur volonté les maintient hors de leur ministère.

«Le baptême a fait de vous des prêtres et le sacerdoce, le prêtre. Chaque mission vient de moi, pas de vous-mêmes. Je suis Dieu et c’est moi qui ai confié mon troupeau au prêtre. Chaque brebis de mon troupeau est unique pour Dieu. Chaque brebis doit aussi se donner comme je me suis donné. Il est important que chacun des enfants de mon Père soit obéissant à mes enseignements. Je suis venu parler de mon Père. Je suis venu vous montrer ce qu’est se donner. Je suis venu vous dire que seuls les miséricordieux entreront dans le Royaume de mon Père, et mon Père est l’Éternel. Qui aime son prochain se donne pour son prochain. Il ne le juge pas, il le prend en lui pour l’aider à voir et à comprendre mes enseignements.

«Satan est celui qui divise. Il est le maître du mal. Le mal est sur la terre. Là où il y a du jugement, là où il y de la jalousie, c’est là que le Mal a semé le trouble. Il est le Menteur. Il fait des manœuvres pour tromper les enfants de Dieu en se servant de leurs connaissances et en mettant près d’eux un esprit de manigance. Lorsque deux enfants ou plus sont réunis et se nourrissent de paroles qui ne les amènent pas à la miséricorde, ils sont avec le mal. On parle avec ce qui est connu de soi-même. Un intérieur blessé par un mot entendu et qui n’a pas été donné à Dieu, c’est la souffrance qui sort par des paroles. Une action d’autrui commise par inadvertance fait remonter des blessures enfouies; c’est le mal en soi qui se fait connaître. Parler contre quelqu’un nourrit la contrariété. Partager ses opinions sans amour dissimule une peur en soi. Tout devient obscur lorsqu’on n’est pas dans la paix et Satan sème en ce qui est vivant une semence empoisonnée. Priez, mes enfants, pour mes prêtres malades et pour mes enfants malades. Dieu est votre seul Juge et je suis miséricordieux.

«Si ce que nous sommes, sommes pour Dieu, Dieu prendra tout. N'est-ce pas mes paroles, mes enfants? Je vous ai donné ma Vie, je vous ai appris à aimer votre Dieu. Les grâces de ma Mère pleuvent sur la terre afin que vous puissiez vivre dans la miséricorde, pour la miséricorde, afin que chacun de vous soyez des instruments entre les mains de Dieu. Vous êtes des enfants du oui. Oui, mes enfants, vous êtes toutes des filles du oui à Jésus, vous êtes tous des fils du oui à Jésus. Il en a fallu des grâces pour que vous puissiez pénétrer mon Oui, mon Oui présenté à mon Père. Ce oui a permis aux bourreaux de me crucifier, car sans mon oui, mes enfants, ils n'auraient pu toucher à ma chair. Je suis Dieu. À mon seul nom : 'Jésus', les soldats n'ont pu bouger, ils sont tombés à la renverse. Voyez ma puissance. C'est moi qui ai permis qu'ils se relèvent. Telle est ma Volonté.

«Celui qui suit Jésus n'a rien à craindre, il ne tombera pas, mais celui qui suit le Mal tombe à la renverse. Mon Nom est une puissance et on ne peut prononcer mon Nom que si vous êtes amour envers vous-mêmes. Peut-on prononcer mon Nom avec amour si vous n'êtes pas amour? Pouvez-vous comprendre ma puissance, mes enfants? Il faut être pur, il faut aimer, aimer votre Dieu, il faut que vous soyez amour. Lorsque vous êtes amour, mes enfants, vous aimez votre prochain. Personne ne peut s'aimer s'il n'aime pas le prochain, et personne ne peut aimer le prochain s'il ne s'aime pas. Voilà mon amour. J'ai mis mon amour en vous, j'ai mis ma puissance en vous. JE SUIS est avec vous. Qui peut prononcer mon Nom avec amour? Que celui qui aime son prochain.

«Aimez votre prochain, mes enfants, sans condition, et vous ne tomberez pas à la renverse. Mais si vous prononcez mon Nom alors que vous n'aimez pas votre prochain, ne fusse qu'un seul instant, votre conséquence vous fera tomber à la renverse tout comme ces soldats lorsqu'ils ont dit : "Où est Jésus?" Et lorsque j'ai dit : «Me voici», ils sont tombés, car ils avaient prononcé ce Nom qu'ils devaient aimer afin de s'aimer et d'aimer le prochain; mais ils en étaient indignes. Tous ceux, mes enfants, qui prononcent mon Nom demeurent debout lorsqu'ils s'aiment et qu'ils aiment leur prochain. Mes enfants, aimez-vous votre prochain? Cela vous sera montré. Vous le vivrez.

«Lorsque des enfants quittent la terre, que leur âme vit accompagnée de la volonté humaine pour l'instant, l'instant du oui ou du non, ils voient leur vie, ils voient tout ce qu'ils ont fait. Savez-vous, mes enfants, que l'enfant qui a été contre son prochain, ce qu'il ressent lorsqu'il voit ce qu'il a fait? Comme sa souffrance est honteuse, comme sa souffrance est calomnieuse, comme sa souffrance est jalouse, comme sa souffrance est vaine, car elle devient vide de sens, d'amour. Aimez votre prochain, mes enfants, pour que vous puissiez vous aimer.

«Judas a été incapable de prononcer son oui, il avait de l'amertume envers lui-même. Il n'a pas eu confiance en l'Amour, il a dit non. Je vous le demande, mes enfants, aimez votre prochain comme vous-mêmes, aimez-vous comme vous devez aimer votre prochain pour rendre à Dieu ce qui est à Dieu. L'amour ne vient pas de vous, vient de moi. Vous me calomniez lorsque vous calomniez votre prochain, vous me jugez lorsque vous jugez votre prochain. Lorsque vous voyez qu'un enfant commet un vol, ne le jugez pas, priez pour qu'il puisse découvrir son amour, là il va aller vers la confesse. Ah! mes enfants, qu'avez-vous compris de l'amour? Ne savez-vous pas que vous condamnez vos frères et vos sœurs lorsque vous parlez contre vos frères et vos sœurs? Quand allez-vous comprendre?

«La terre entière tremble car, elle, elle sait. Elle, elle sait, mes enfants, ce qu'est le péché envers le prochain, car elle a goûté au sang d'Abel. À cause de Caïn, la terre s'est fermée, elle a fermé son abondance. Oui, la terre tremble, car elle sait ce que vous allez vivre au moment de la très Grande Purification de la chair. Ô enfants qui jugez vos frères et vos sœurs, vous vous jugez, car c'est vous qui vous vous jugerez. Vous vous regarderez, mes enfants, en votre frère, en votre sœur, car votre frère, votre sœur a la même chair que vous.

«Souvenez-vous. Adam a été créé et une partie d'Adam a été prise par Dieu pour former la chair d'Ève. La chair d'Ève a rencontré la chair d'Adam. La vie d'Adam a pénétré la chair de Ève et d'autres enfants sont venus au monde; d'autres enfants ont fait le même geste : même chair qui s'est multipliée. Votre chair a rencontré d'autres chairs et, mes enfants, vous vous êtes regardés comme une seule chair. Ô enfants d'amour, quand cesseront mes larmes? Quand cesseront les larmes de ma Mère? Vous ne cessez de vous faire souffrir! Vous allez vous regarder, vous allez regarder le manque d'amour envers vous-mêmes. Chaque pensée sera devant vous, car vos pensées, mes enfants, contre votre prochain, vous les vivrez. Elles seront devant vous, votre prochain sera devant vous. Vous verrez ce qu'une seule pensée qui n'a pas été amour a fait à votre chair, et votre chair, c'est la chair qui s'est multipliée et qui est venue par multiplication.

«Telle est la justice d'amour de mon Père. Rien ne vous est caché et rien ne vous sera caché. Ma Mère est venue pour vous parler d'amour. Elle vous demande de vous aimer. «Conduisez-vous bien, mes enfants», n'est-ce pas ses paroles? «Aimez vos frères, aimez vos sœurs», n'est-ce pas les paroles de votre Mère? Vous vous jugez entre vous et vous allez encore plus loin : vous jugez mes enseignements, mes paroles, car mes enseignements, mes enfants, n'ont pas changé, ils sont les mêmes. Ce sont ceux que je vous présente.

«C'est l'Amour, mes enfants, qui vous parle. Que votre langue se colle à votre palais si vous parlez contre votre prochain, car il est moins souffrant d'avoir une langue collée au palais que de regarder ce qu'a fait une seule parole contre votre prochain, envers votre amour, envers l'amour de votre prochain qui est toujours devant l'amour de Dieu. Il est de moi de vous dire ces mots, pas de cet instrument! Il est de moi, votre Dieu, de vous parler car cet écrit, c'est moi qui le lui ai donné. Remarquez bien la date et vous comprendrez, pour certains qui sont ici, que cela vient du Ciel et non pas de la volonté humaine de cette enfant.

«Vous devez comprendre, mes enfants, que la souffrance humaine est alimentée par votre manque d'amour envers vous-mêmes et votre prochain. Il est dit : «Ceux qui seront humbles et doux de cœur, le Royaume de mon Père est à eux.» Ne suis-je pas doux et humble de cœur? Je suis le Royaume. Je suis venu parmi vous. Je veux installer mon Royaume dans votre cœur. Est-ce que j'ai toute la place dans votre cœur? Est-ce qu'il y a des paroles qui jugent? Mes enfants, le plus malade, je suis venu pour sauver! J'ai dit au bon larron, tout comme j'ai dit au mauvais larron, des paroles d'amour. Je les voulais tous les deux, pas un seul! Je voulais qu'ils soient pour vous un témoignage d'amour. Le bon larron est un témoignage d'amour, car il a cru en moi. Le mauvais larron n'est pas un bon témoignage d'amour, mais il est pour vous qui jugez, qui condamnez.

«Personne ne peut juger, même pas un prêtre. Est-ce que moi j'ai dit au mauvais larron, alors que je savais : «Je te condamne. Tu es méchant, tu es menteur, tu es hypocrite, tu es un scélérat, je ne te pardonne pas»? Oh non, mes enfants! Oh non, mes enfants! Je le sentais dans ma chair, mon Sang coulait pour lui. Comme je l'ai aimé, comme je le voulais! Il a refusé. Tel était mon amour pour lui. Jusqu'à la dernière goutte, mon Sang a coulé pour lui. Est-ce que mes prêtres, est-ce que mes fidèles, est-ce que mes enfants de toutes religions, de toutes langues, est-ce que ceux qui sont athées, ceux qui ne croient pas en aucun Dieu seraient en dehors de mon amour? Non. Je leur pardonnerai s'ils viennent à moi. Ils devront passer par la purification en me témoignant de l'amour, en se témoignant de l'amour, et en témoignant de l'amour pour son prochain.

«Petits enfants d'amour, je vous aime. Acceptez tout comme moi j'ai accepté. «Pardonnez-leur, Père, ils ne savent pas ce qu'ils font.» Qu'est-il arrivé après ces paroles, mes enfants? Mon Esprit, je le déposais entre les mains de mon Père. L'amour de mon Père m'enveloppait, l'amour de mon Père était avec moi. Et vous, mes enfants, lorsqu'on vous calomnie, lorsqu'on dit de vous que vous êtes dans une secte, que vous exagérez en montant la montagne pour aller prier à tous les soirs, lorsqu'on vous dit que vous êtes des illuminés, que vous êtes des hypocrites, mes enfants, –  oui, mes enfants, on dit de vous que vous êtes des hypocrites – vous dites vous entraider, alors que lorsqu'on vous demande de l'aide vous le ne faites pas. C'est ce qu'on pense de vous. On vous met des cornes, mes enfants.

«Aimez, aimez sans condition, aimez-les. Je vous le demande, aimez-les avec de la joie, car à l'instant où vous me recevez, vous recevez Jésus, vous recevez la Puissance, vous recevez Dieu, vous recevez Celui qui, par sa puissance à l'appel de ces soldats, et qui manquaient d'amour, ont tombé à la renverse à cause de mon Nom. Oui, mes enfants, vous me recevez. Vous avez cette puissance en vous, vous avez les paroles de l'Amour, de la Miséricorde : «Pardonnez-leur, Père, ils ne savent pas ce qu'ils font.» Ces paroles, je vous les donne. Je vous donne mon Nom et je vous donne ces paroles. Sachez utiliser mon Nom, mes paroles, avec amour. Lorsqu'on parle contre vous, où êtes-vous? En la personne qui parle contre vous. Voilà où vous êtes.

«Avez-vous compris maintenant, mes enfants? Aimez, et voilà! Ils parlent contre vous? Oh! Mes enfants, souriez. Vous êtes en eux, ils ne peuvent rien contre l'amour. Satan s'acharne contre eux pour vous atteindre. Qui est en eux? Qui est en la personne qui parle contre vous? Vous! Vous êtes en cette personne. Est-ce que sa chair est votre chair? (R : Oui.) Êtes-vous enfants de lumière? (R : Oui.) Vous avez donc de la puissance en vous. Est-ce que Satan peut vous atteindre? Bien! Bonne réponse, mes enfants, mais je la voudrais plus forte (R : Non.)

«Il y a de la puissance dans le nom de Jésus, il y a de la puissance en la miséricorde de Dieu; alors, vous êtes en eux, vous êtes en cette personne. Miséricorde, mes enfants. Maintenant, vous prenez conscience de votre place en les calomniateurs. Êtes-vous dans la joie maintenant, mes enfants? (R : Oui.) Oui, mes enfants, réjouissez-vous, vous protégez votre prochain. Cela amène de l'eau au moulin et la roue tourne, mes enfants, et la roue tourne. L'amour, l'amour, mes enfants! Je vous fais connaître qui vous êtes. Je vous amène encore plus loin, ce soir. Miséricorde, vous êtes enfants de miséricorde. Voilà ce que vous apprenez. N'est-ce pas merveilleux, mes enfants? Et la merveille est moi, ce n'est pas vous. C'est moi, la Parole, qui vous dit ces paroles. Telle est la Volonté de mon Père. Tout est en moi.

«Petits enfants d'amour, est-ce que je vous prends tels vous êtes? (R : Oui.) Est-ce vous acceptez que je prenne cette enfant telle comme elle est? (R : Oui.) Alors, mes enfants, je l'aime tant que je ne lui enlève pas son vocabulaire. Vous voyez, mes enfants? Je vous aime tels vous êtes. Vous aussi, je vous prends tels vous êtes. Je connais vos faiblesses et je connais votre cœur, je connais vos peurs, je connais votre amour. Vous êtes un don d'amour. Vous apprenez tranquillement à vous donner. Continuez, mes enfants, à vous donner pour ceux que j'aime, pour ceux que vous aimez.

«Mes enfants, est-ce que vous aimez vos ennemis? (R : Oui.) Est-ce que vous les enveloppez de votre puissance qui est ma puissance? (R : Oui.) Est-ce que vous les enveloppez de ma Parole, ma miséricorde? (R : Oui.) Est-ce que votre chair est leur chair? (R : Oui.) Est-ce que leur chair est votre chair? (R : Oui.) Aimez, mes enfants, aimez ceux qui vous trahissent. Aimez-les comme moi je les aime. Mon Sacrifice, mes enfants, est amour. Aimez la folie de la Croix. Je vous aime. Aimez-moi.»

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Nous apprenons à aimer, à nous donner, à vivre cette espérance. On la vit cette espérance, cette foi, avoir foi, oui! Croyez-vous qu'il y aura douze tribus sur la terre? (R : Oui.) Après ce que nous venons d'entendre, pouvons-nous douter de ce que le Seigneur est en train de bâtir? (R : Non.) Il est vrai que nous avons été choisis pour ce que nous devons entendre, ce que nous devons donner. Voilà notre mission à nous : nous réunir pour être des instruments afin que les autres profitent des instruments. C'est ça que le Seigneur veut.

Allons-nous être parmi les douze tribus? On ne le sait pas. On voudrait, hein? (R : Oui.) Mais le Seigneur, n'oubliez pas, il a dit que ceux qui seront choisis pour revenir, il va falloir qu'ils le fassent par obéissance parce que notre choix serait… (R : De rester en haut) Bien, notre choix, notre préférence, serait de demeurer là où on sera emmenés, mais on ne sait pas où. On ne sait pas, est-ce que ça va être dans le Royaume de Dieu? On n'a aucune idée. Cela ne nous est pas révélé. On ne savait pas hier ce qu'on vient de savoir là, en ce moment. Est-ce que vous saviez ça vous? (R : Non.) Toi, Gérald, tu lis beaucoup de livres de saints, n'est-ce pas? Est-ce que tu savais ça, toi? Bien, la chair, qu'est-ce qu'il a dit ce soir : une seule chair, sur la Croix, le bon larron, le mauvais larron, l'amour de Dieu… On savait tout ça, mais que lorsque, maintenant, les ennemis, pourquoi il faut aimer les ennemis?

R. Parce que ce sont des brebis égarées. C'est le Christ qui est notre Pasteur.

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Est-ce que tu savais qu'il fallait qu'on les habille de miséricorde, maintenant, parce qu'étant donné qu'on s’aime, qu'on aime le prochain, on est en eux. Comme on est habillés de miséricorde, on est miséricorde, on les habille eux aussi de miséricorde.

R. Dieu aussi va les habiller de sa miséricorde. Dieu est bon.

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Et voilà pourquoi Satan ne pourra pas les attaquer. On est là, en eux. Il nous prend comme des petits instruments et il nous place. On est là, on le savait qu'on était là, en eux – bien, on ne le savait pas, on l'a su il y a quelque temps – mais là, quelle belle place! On est en eux, on est miséricorde. Ils nous calomnient : maintenant, c'est pas grave! On est miséricorde, puis on est en eux! Alors comme on garde notre paix, eh bien, eux reçoivent quoi? Ils reçoivent ce que nous recevons, ils deviennent ce que nous sommes. Oui, c'est puissant. Merci, mon Dieu. Merci, mon Dieu.

Alors demain, à l'adoration, ça nous amène à nous abandonner différemment. Toutes les fois qu'on nous a calomniés et toutes les fois que nous, hein, on a calomnié, la mesure c'est pas grave là, eh bien, on va présenter ça demain au Seigneur et remercier le Seigneur de nous donner sa miséricorde et de faire de nous des enfants de miséricorde. «Amen, mes enfants», qu'il dit.

Merci, Seigneur, pour ce que nous venons de vivre. Amen.