Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu

par son instrument, la Fille du Oui à Jésus

 

2012-02-22 – Temps d'abandon

♪♪♪ Sa gloire est proche, son règne vient

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Le Seigneur vient nous accueillir chez lui. Il vient prendre qui nous sommes en prenant soin de toutes nos blessures. Nous avons tant de blessures en nous.

Jésus : Le monde entier est incapable de se regarder tel qu'il est. Il s'enfonce, il s'enfonce, il s'enfonce dans ses conséquences. Et plus il vit ses conséquences et plus il est dans sa noirceur, et plus il est dans sa noirceur et plus il ne veut plus s'en sortir. Il a conclu sa vie : tout pour cette vie. Le temps avance, le temps avance et il court toujours; il est si essoufflé qu'il ne réalise pas qu'il n'atteint pas le but qu'il s'est donné. Chacun court à son rythme et personne ne se préoccupe de ce qu'il fait à son prochain. Sa conséquence nourrit-elle la conséquence d'un autre? Nous allons en parler, mes enfants. Avant, mes enfants, je vais lire, à travers mon instrument, ce que je voulais vous donner.

2012-02-09

«Tu écris en ton Dieu. Tout ce que tu es est voulu de Dieu. Tout ce que mes enfants doivent être est voulu de Dieu, à eux de donner leur oui. Je ne force aucun enfant à faire ma Volonté. Lorsqu'un enfant ne fait pas ma Volonté, il souffre à cause de son choix. Il vit dans sa conséquence. Tout son être est dans son choix et sa chair est marquée par tous les 'non' à Dieu. Lorsqu'un enfant vit dans la conséquence de son non, c'est qu'il a été sans amour devant l'amour de Dieu, devant son propre amour et devant l'amour de son prochain. Il n'a pas fait la Volonté de Dieu, il a fait sa volonté au détriment de l'amour. C'est parce qu'il choisit de faire sa propre volonté, et sa volonté se laisse nourrir par ses émotions. Il ne voit plus l'amour, il n'entend plus l'amour, il ne vit plus l'amour, il est aveugle, sourd et indifférent devant l'amour.

 «Satan installe facilement sa haine contre cet enfant qui a choisi sa volonté plutôt que la Volonté de Dieu. Il le domine par ses émotions qui sont de cet enfant insouciant de l'amour qui vient de Dieu. Il ne s'arrête pas pour entrer en lui afin de se demander : ce que je ressens, est-ce de l'amour, est-ce que cela fera grandir mon amour pour Dieu, pour moi et pour mon prochain? Il se laisse prendre par ses émotions qui le rendent égoïste.

«Je me suis donné pour ceux que j'aime. Mon oui était de faire la Volonté de mon Père. Satan veut détruire le oui. Il n'a pas adoré le Fils de Dieu. C'est lui-même qui a choisi. Le non n'avait jamais été prononcé. Lucifer s'est fait naître dans le non et il est devenu le non. Il est le refus, il est contre Dieu. Il n'a pas de volonté. La volonté est voulue de Dieu. Il ne peut être que ce qu'il a voulu : un refus à l'obéissance devant Dieu. Il n'est que néant et il ne sera jamais plus un ange. On l'appelle l'ange déchu pour vous démontrer qu'il était ange et que par son refus à adorer le Fils de Dieu, il n'est plus un ange. À l'instant où il refusa, tout ce qu'il était pour Dieu était dorénavant contre Dieu, et il l'est pour l'éternité.

«Mes enfants, je vous dis ces mots pour que vous puissiez vous donner pour votre prochain. Je vous ouvre à la lumière. Je vous fais pénétrer mon oui, celui que j'ai prononcé à mon Père. Au moment de la Grande Purification, vous verrez toutes vos conséquences et vous ressentirez la cause de vos conséquences. Ceux qui se donnent pour leur prochain, je les connais, ils sont enfants de miséricorde. Ils prendront les conséquences de leurs frères et de leurs sœurs comme étant les leurs. Ils auront une force d'amour pour vivre ces moments où la purification se fera dans la chair pour arracher le mal et la purifier avec mon feu d'amour.

«Mes enfants, je me suis donné par amour, j'ai pris toutes vos conséquences. Je les ai acceptées comme si c'était moi qui avais fait des mauvais choix. J'ai embrassé la croix, j'ai porté la croix, j'ai tout accepté : les insultes, les crachats, les coups de fouet, les épines dans ma chair, les clous, la lance. J'ai tout accepté par amour pour vous soutenir au moment où vous devrez vivre la purification. Ne rejetez pas mes paroles, elles vous sont données par amour. C'est la Volonté de mon Père que vous sachiez ce que vous allez vivre. N'ayez pas peur, je suis Celui qui a tout pris, tout vécu. Ma mort est pour vous une joie, elle vous donne la force nécessaire de vivre ce moment d'amour.

«Mes enfants, combien ne veulent pas se donner à leur prochain? Ils ne pensent qu'à leurs besoins. Ces enfants ne prennent pas la peine de prier pour vivre l'abandon qui leur sera nécessaire. Ils ne veulent faire que leur volonté, leur volonté, toujours leur volonté. Ils sont imbus d'eux-mêmes. Ils ne cherchent pas le vrai amour, celui qui apporte la paix, ils sont toujours à la recherche de ce qui leur apporterait une joie. Combien sont incapables de se regarder en êtres bons devant eux et leur prochain? Ils ne cessent de se sous-estimer. Ces enfants sont coléreux, avares de compliments, aveugles devant ceux qui les aiment. Ils se donnent des jugements et, face à leurs souffrances, ils accusent leur prochain d'en être la cause. Leurs choix leur amènent des conséquences lourdes à porter. Leur volonté prend une tournure d'infériorité qu'ils nourrissent volontairement. Toute volonté qui ne s'abandonne pas en la Volonté de Dieu n'apporte que des conséquences douloureuses. Ils sont nombreux les enfants qui vivent conséquence sur conséquence. Ils sont si souffrants. La souffrance engendre la souffrance : une conséquence nourrit une autre conséquence et cela se multiplie.

«Je le répète, il est important de prier. Faites de vous des enfants de prière afin que vous soyez tout abandonnés en ma Volonté. Ceux qui sont abandon comprennent mes enseignements et ceux qui ne s'abandonnent pas se posent des questions, car ils n'entrent pas dans la lumière, ils demeurent dans leur propre savoir : leurs conséquences. Ils ne s'aperçoivent pas que c'est leur comportement qui empêche la grâce de franchir la porte pour faire entrer l'abandon. Une fois la grâce entrée, leur volonté ne compte plus, il y a la lumière qui leur montre ma Volonté. Ces enfants doivent apprendre à se regarder.

«Il est dit que seuls les petits entreront dans le Royaume de mon Père. Un petit enfant n'est pas orgueilleux, il aime apprendre de ceux qui lui démontrent de l'amour. Un petit enfant fait confiance à la personne qui est amour, puisque l'amour qui est en lui rencontre l'amour. Il demeure calme au-dedans, car ce qui est extérieur devient une joie pour lui. Dans la confiance, il rencontre l'amour et la paix en lui le rend joyeux. Tout est en lui. S'il ne veut pas s'avancer, c'est qu'il ressent que la personne qui veut s'approcher de lui n'est pas petite. Il ne se donnera pas, car en lui il n'y a ni paix, ni joie. Cette personne vit, par son choix, la conséquence de son manque d'abandon en la Volonté de Dieu, et c'est ce qui la maintient loin de l'amour.

«Lorsque vous êtes comme un enfant, Dieu vous donne ce que vous avez besoin pour comprendre votre intérieur. Alors, lorsqu'une personne parle, l'enfant sait que les paroles qu'il entend sont amour. Toutes les paroles amour sont voulues de Dieu par les grâces. Toutes les grâces viennent de Dieu. Dieu connaît tous ses enfants et il les aime. L'Amour est entier, il aime dans son Être, il aime dans son amour. L'amour de Dieu ne se mesure pas, il est.

«Mes petits, celui qui dit ne pas savoir, ne pas comprendre, alors que des paroles d'amour se font entendre pour vous amener à la Grande Purification, il a en lui ce qui l'empêche de comprendre, il a en lui ce qui le rend souffrant devant tant de révélations. Il est dans sa conséquence. Dieu lui donne ce qu'il est. Dieu lui montre ce qu'il est. Tout vient de Dieu. Dieu ne punit pas, il aime ses enfants.

«Le Pharaon, qui tenait prisonnier le peuple de Dieu, ne voulait pas que le peuple de Dieu sorte de l'Égypte, afin qu'il puisse vivre devant la Volonté de son seul Dieu. Il voulait que les Hébreux continuent de le servir au prix de leur vie. Sa volonté était si forte en lui que tout son être se maintenait ferme devant la demande de Moïse. Il ne voulait pas faire ce que Dieu demandait par Moïse, il se maintenait dans son pouvoir, lui qui se proclamait dieu de ce peuple. Je connaissais son intérieur et je lui ai fait vivre ses conséquences. Il était dur envers les Hébreux, il les faisait souffrir, et plus il les faisait souffrir, plus je durcissais son cœur : sa conséquence, il la vivait. Et ce qui en sortait, c'est de la souffrance pour lui et le peuple égyptien.

«Malgré ce que j'avais fait pour le très grand Pharaon lorsque Joseph interpréta son songe, malgré ce que j'avais fait à travers Joseph pour que ce peuple vive les sept années d'abondance, ce Pharaon ne voulait pas laisser partir les enfants d'Israël. Il n'a pas eu en lui de la reconnaissance, il vivait dans sa méchanceté. Ce peuple a vécu les douze plaies d'Égypte : conséquences d'un roi qui ne voulait faire que sa volonté. Je lui ai montré que j'étais Dieu au-dessus de lui.

«Mes enfants, soyez devant votre Dieu humbles et vous allez comprendre que ce que je cache aux grands de ce monde, je le révèle aux petits. Je vous appelle mes enfants et vous savez qui vous êtes : les enfants de Dieu. Tout est pour vous. Ce temps est un temps d'abandon en ma Volonté. Il faut croire en ce que Dieu révèle aux enfants de Dieu. Vous êtes tous choisis et vous devez vous entraider à vivre l'abandon, afin qu'au moment de la Grande Purification vous puissiez entrer dans la miséricorde qui sera pour vous une foi de libération pour tous les enfants de Dieu. Oui, tous vous devez être miséricorde. Un seul qui vit la miséricorde apporte aux autres une force qu'ils auront besoin pour prononcer leur oui.

«Jadis, parce que les enfants se sont mis à se quereller, à se diviser, à s'entretuer, il y a eu des conséquences face à ce désordre. Regardez les conséquences que cela a apportées aux enfants d'aujourd'hui, ils ne s'aiment qu'à travers leurs besoins excessifs, détruisant leur intérieur. Oui, ils détruisent leur intérieur en ne lui donnant pas de joie qui apaise, de bonheur qui s'épanouit, d'amour qui démontre que tout ce qui est douceur vient de l'intérieur. Il n'y a qu'eux qui comptent dans leur besoin : ce besoin fabriqué par ce monde, ce monde qui leur a montré qu'il est bon de penser à ce qui pourrait augmenter le niveau de vie et le bien-être pour leur corps. On ne sait pas ce que demain sera, mais on le planifie selon ce qui se présente avec les efforts venant de l'extérieur.

«Mes enfants, que tout ce qui est dans votre vie vienne de ce qui est en vous. Voilà avec quoi vous devez bâtir votre bonheur. Mais ce monde dans lequel vous vivez dit être capable de vous aider à bâtir votre bonheur en vous montrant ce que votre avenir sera par toutes sortes de moyens. Mensonge! Pas même le plus averti ne peut savoir ce que demain sera. Qui vous dit que vous serez encore sur cette terre demain? Personne ne le sait, personne.

«JE SUIS est auprès de vous. Moi, je sais et je vous dis : faites de bonnes œuvres, cela sera ce qui vous rendra heureux, et vous ressentirez une satisfaction d'avoir contribué au bonheur du prochain. Ne faites pas de bonnes œuvres et lorsque vous vous présenterez devant votre vie, et que vous verrez tous vos choix égoïstes, alors que vous aviez tout pour faire de bonnes œuvres, vous vous direz : 'Comme j'aimerais recommencer pour ne faire que de bonnes œuvres!' Les œuvres se font au quotidien avec ce que mon Père, votre Père du Ciel, vous accorde et ce qu'il vous accorde : ses joies, ses bontés, ses partages, sa tendresse, sa patience, ses attentions, enfin tout ce que Dieu donne aux enfants de Dieu pour qu'ils puissent vous les donner. Tout vient de votre Père des Cieux et tout est en vous pour tous les enfants de Dieu. Que ce qui est dit vous pénètre.

«Puisque vous êtes sur le point de vous voir avec vos œuvres, faites ce qui est bon pour vous et ce qui est bon pour votre prochain. Ce qui est de mon Père, il vous le donne pour votre prochain. Qui dit faire ce qui est bon fait ce que moi, le Crucifié, j'ai fait. J'ai accompli la Volonté de mon Père. Il vous aime, il ne vous a pas créés pour que vous viviez dans la souffrance. C'est vous qui avez fait des choix qui vous ont amené des conséquences. S'il y a des maladies morales, physiques et de cœur, s'il y a des guerres et des révoltes, s'il y a des inondations et des feux, s'il y a des hausses et des chutes de température, s'il y a des divorces et des séparations, s'il y a des prisons, etc., c'est à cause de vos mauvais choix devant l'amour du prochain.

«Il n'y a pas d'amour sans abandon. On doit savoir renoncer à ce qu'on tient, si ce qu'on tient fait souffrir le prochain. Il n'y a pas d'amour si l'on va vers le plaisir, alors que le prochain est dans un besoin d'amour. Où est l'amour? Dans le plaisir, dans l'abondance, dans les loisirs, dans l'avenir? Il est dans le présent, l'amour. Il ne se bâtit pas, il est. C'est le bonheur qu'on bâtit, c'est l'entente qu'on bâtit, c'est la famille qu'on bâtit et c'est l'Église qui se réinstalle. J'ai fondé une Église sainte, pure et apostolique. Apostolique veut dire : se donner, être au service, apprendre à s'oublier pour ceux qu'on aime. J'ai appris à mes apôtres que vivre, c'est entrer dans la vie du Christ, c'est être vrai devant Dieu le Père. Il y a du bonheur à s'oublier, car on découvre son intérieur dans le regard d'un autre, la joie dans le sourire d'un autre. À cet instant, on sait que l'amour est là.

«Mes petits, rendez à Dieu ce qui est à Dieu. Tout ce qui vous a été donné, je vous le redemanderai pour le multiplier. Je suis le Maître de mes œuvres, à vous de me montrer vos œuvres qui sont mes œuvres. Je vous aime. Aimez votre Père des Cieux, il vous a donné son Fils bien-aimé.»

Jésus : Il vous a donné ce qu'il y a de plus beau : votre intérieur. Comment ne pas aimer votre vie intérieure? Vous avez tout ce dont vous avez besoin pour être de bons enfants devant vos frères et vos sœurs. Vos frères et vos sœurs sont avec vous. Lorsque vous les aimez, vous arrivez à vous confondre en eux; vous devenez eux, ils sont vous. Vous ne pouvez pas ne pas reconnaître que vous êtes créés comme eux. Il y a tant d'amour à se donner!

Ô mes enfants, donnez-vous! Continuez à vous donner, continuez, continuez! Vous avez, là, à cet instant, ce goût de vous donner parce que vous êtes ensemble. Voulez-vous, à cet instant, vous regarder les uns, les autres? Regardez-vous, mes enfants. Découvrez un sourire, découvrez un regard, découvrez l'amour. Voyez-vous, mes enfants, comme il est bon de s'aimer? C'est votre intérieur qui sort et qui est accueilli. Qui a sorti et qui a accueilli, pouvez-vous le dire? Lui/elle, elle/lui, lui/lui, elle/elle? Vous ne pouvez pas le savoir, vous avez pénétré un regard, vous avez connu un sourire. Maintenant, mes enfants, essayez de vous rappeler si c'est vous qui avez commencé ou si c'est l'autre. Pouvez-vous répondre? Voyez-vous, c'est l'amour!

Voilà ce qu'est se donner pour ceux qu'on aime. Voilà ce qu'est apprendre à reconnaître que vous êtes créés pour l'amour. Vous n'êtes pas créés pour vivre seuls, vous êtes créés pour être ensemble dans un monde d'amour où tout ne sera que beauté pour les enfants de la Beauté. Mes enfants, vous allez vivre cette conséquence : il y a de la bonté à découvrir la bonté. Comme il est bon de se découvrir dans la bonté! Alors, la bonté est au rendez-vous. Étiez-vous partis ou étiez-vous, vous-mêmes, là, à attendre la bonté? Celui qui ne sait pas répondre, c'est qu'il est la bonté. Il est toujours prêt à se donner, il est toujours prêt à découvrir que sa vie est faite pour donner. Il a tant d'amour en lui que cela explose à chaque fraction, fraction, fraction de seconde. La beauté se découvre à chaque instant. Voilà ce qu'est être soi-même.

Mes enfants, vous apprenez tranquillement à être vous-mêmes, à quitter ce monde égoïste, ce monde menteur, ce monde qui n'a pas trouvé qui est Dieu. Il y a des enfants qui attendent votre sourire, qui attendent un regard, qui attendent une parole, un geste; ils sont assoiffés de vérité. Ces enfants, mes enfants, sont parmi les enfants que vous côtoyez. Eux ne se voient pas ainsi, ils sont dans leurs conséquences, ils vivent ce qu'ils ont choisi. Incapables de se maintenir dans ce qu'ils sont, ils se sont découragés, ils ont tourné leur regard vers le moi. Ils n'ont pas réalisé que ce qu'ils cherchaient, c'était l'amour. Parce qu'ils ont trouvé le moi, ils se sont écartés. Ils ont voulu vivre dans un monde où tout n'était que facilité, ils n'ont pas voulu marcher sur ce chemin étroit. C'est dans le chemin étroit qu'on découvre ses épaules, c'est sur les chemins étroits qu'on découvre qu'on a des petits pieds, c'est sur les chemins étroits qu'on découvre que le cœur bat très vite, c'est sur les chemins étroits qu'on découvre qu'on a besoin de repos, de paix, de joie et d'amour.

Comme c'est bon de savoir qu'il faut avancer pour trouver qu'une fois par terre il faut se relever et continuer avec le courage. La force se fait connaître, l'endurance se fait présence, la persévérance est au rendez-vous, la gentillesse commence à être votre uniforme. Tout devient lumineux, il n'y a plus de noirceur, car là où c'est étroit, on est rempli d'amour. C'est l'espérance d'un monde meilleur, c'est la foi qui est vraie, qui existe, c'est la vie, la vraie vie. On ressent, on ressent les œuvres. Tout est vrai, il n'y a pas d'imagination, il n'y a pas de place pour ce qui n'est pas, car tout est rempli de ce que vous êtes.

Demain, vous le vivrez dans les grâces de Dieu, car vous savez que Dieu existe. Vous croyez en lui, vous savez qu'il vous donne ce dont vous avez besoin pour marcher sur ce chemin étroit. Lorsqu'il y a de la facilité, vous voyez que cela n'est pas pour vous. Il n'y a pas d'œuvres dans la facilité, les œuvres se font dans la bienveillance.

Voyez-vous, mes petits enfants d'amour, vous avez en vous cette force, ce courage de toujours avancer en ne sachant pas ce que demain sera. Vous laissez tout à Dieu, vous êtes prêts à vivre votre quotidien. Quelle joie, mes enfants, avec vous! Je vis avec vous et vous vivez avec moi. Je vous apprends à marcher sur mes pas. Vous qui vivez sur une terre où il y a le mal, vous me faites confiance. Vous ne voyez rien, et pourtant, vous voyez tout. Vous ne savez rien et pourtant, vous savez que Dieu fait tout pour vous. Ce que vous apprenez fait de vous des enfants toujours prêts à vous donner pour rendre à Dieu ce qui est à Dieu. Et Dieu vous donne au centuple, car tout est de Dieu, rien de vous. C'est moi, Dieu, ce n'est pas vous. C'est moi la Puissance, ce n'est pas vous. C'est moi qui vous montre que vous êtes petits, ce n'est pas vous. C'est moi qui ouvre ma main et qui vous saisis. C'est moi qui me penche sur vous et qui vous relève. Je suis Dieu et vous êtes enfants de Dieu. Vous êtes petits, petits et petits, et j’aime vous servir.

Dieu vous sert, mes enfants. Il vous donne ce qu'il y a de meilleur pour votre vie. Que connaissez-vous de votre vie? Vous avez besoin d'argent? Oh, mes enfants, l'argent n'apporte pas le bonheur! Je vous donne ce dont vous avez besoin, pas plus. Vous avez à apprendre que vous êtes beaucoup plus importants que l'argent. Que peut vous apporter l'argent? Plus de matériel? Mes enfants, vous allez vous oublier dans ce matériel. Vous allez passer ce matériel avant vous. Est-ce que moi, votre Dieu, je vous laisserais vivre votre vie dans ce malheur? Quelle serait donc votre vie? Vous vivriez la conséquence de votre oubli devant ce matériel. Vos pensées, mes enfants, tourneraient autour de ce matériel. Vous deviendriez des êtres égoïstes, menteurs, voleurs, violeurs, pas d'amour pour vous-mêmes, donc pas d'amour pour votre prochain. Et moi qui vous aime, je vous laisserais vivre dans vos choix.

Vous qui me donnez votre oui, vous acceptez d'entrer dans ma Vie. Vous pénétrez mon oui et je vous fais ressentir ma joie de vous avoir en moi. À chaque instant, je vous prépare à vivre l'amour et l'amour, mes enfants, c'est vous donner pour ceux que vous aimez, c'est découvrir l'abondance, la richesse, l'éternité. Est-ce que l'argent peut vous donner cela? Oh non, mes enfants. Votre valeur est inestimable et la valeur de votre prochain pour vous devient inestimable. Là vous découvrez votre vie, là vous découvrez la vie de votre prochain, oh oui, à travers ce que vous devez vivre en marchant sur mes pas, en découvrant que votre Dieu s'est donné par amour. Il n'y a pas de plus grand amour que de donner sa vie pour ceux qu'on aime. Allez-vous me reprocher de vous avoir préférés à vos besoins qui vous ont été connus par l'esprit de ce monde?

Mes enfants, une fois que vous seriez devant votre jugement et que vous verriez que votre Dieu vous a écoutés plutôt qu'écouter son éternel amour pour vous, que penseriez-vous de moi? Car à cause de cela, votre séjour au purgatoire serait de plusieurs milliers d'années. Vous ne seriez pas contents de moi, vous me rejetteriez. Mes enfants, je vous aime trop pour vous maintenir dans vos besoins qui ne sont pas pour vous. Préférez-vous votre maison à mon amour? À mes lois d'amour? À mes sacrements? À mon Sacrifice? Est-ce que je ne vaux pas plus que votre maison? Que votre auto? Que votre carrière? Que vos vêtements? Que votre alimentation? Oh, mes enfants, mon amour pour vous est sans limites. J'ai quitté mon Royaume pour vous, j'ai quitté mon Père par obéissance, par amour pour vous. J'ai tout renoncé pour vous, à la présence même de ma Mère chérie sur la terre par amour pour vous. J'ai renoncé à qui j'étais, moi, Dieu, par amour pour vous, en prenant l'état de pécheur sans connaître le péché, mais je n'ai pas rejeté la souffrance que causaient vos mauvais choix.

Que de conséquences, mes enfants, j'ai connues : le froid, la haine, l'indifférence, la moquerie, l'humiliation, le non à Dieu! Oui, j'ai tout connu cela par amour pour vous et j'ai tout accepté. J'ai senti en ma chair la mort de Judas, j'ai senti qu'il quittait la vie. Mon souffle sortait de moi, lui, mon enfant, mon bien-aimé, partait. J'ai consenti à le vivre. Mes enfants d'amour, ne jugez pas votre Dieu lorsqu'il vous fait passer par le chemin étroit. C'est là qu'il faut passer pour être dans les voies de l'amour. Il faut que vous viviez cela. Il faut que vous viviez, mes enfants, tout ce que vos frères et vos sœurs ont refusé de vivre : de passer par les chemins étroits. Ils ont refusé de porter la croix, ils ont refusé de remercier mon Père de leur montrer l'amour, ils ont refusé de marcher auprès de vous, auprès de leur prochain, ils ont refusé la fidélité, ils ont refusé la miséricorde, ils ont refusé de se reconnaître pécheurs.

Petits enfants de miséricorde, êtes-vous prêts à les prendre en vous et à ressentir ce qu'ils ont refusé, pour crier miséricorde en acceptant, mes enfants, leur chemin étroit? Vous allez leur donner la force de prononcer leur oui. Je vous aime, mes enfants. Essayez de comprendre, en vous abandonnant, ce que je veux vous faire comprendre. Je vous aime.

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Le Seigneur, il veut que nous puissions comprendre que les conséquences de nos frères et de nos sœurs, c'est le refus à faire la Volonté de Dieu. Nous aussi, nous avons fait notre volonté en laissant de côté la Volonté de Dieu et nous, nous le vivons. Il y a de la souffrance à se séparer de ceux qu'on aime, il y a de la souffrance à quitter ce qu'on a connu. Pourquoi souffrons-nous? Parce que nous en vivons les conséquences. Toute souffrance est une conséquence de ce que nous avons accepté. Il y a eu tentation et nous avons entré dans cette tentation. Nous avons préféré le plaisir au sacrifice, nous avons préféré la facilité à la privation, nous avons préféré une certaine richesse à la pauvreté, nous avons préféré être des gloutons à la privation. On ne voulait pas entendre parler de privation, on ne voulait pas entendre parler de renoncement. Aujourd'hui, on en vit les conséquences.

Comment se fait-il que nous ressentions une certaine souffrance, alors que nous sommes comblés par notre Seigneur? À cet instant, les paroles coulent de notre intérieur par la puissance du Saint-Esprit et nous les entendons, car ce ne sont pas mes paroles, mais ce sont les paroles de nos frères et de nos sœurs qui sortent de notre cœur. Et nous entendons, nous entendons notre Dieu, à travers l'instrument : «Il est vrai que je suis Dieu, Jésus, Dieu le Père, Dieu le Saint-Esprit», et nous l'entendons. Ces mots, ces mots nous sont connus et c'est avec cette chair que nous avons tous que nous entendons les mots de Dieu.

Pouvons-nous nous arrêter un instant pour penser à ceux qui étaient dans le désert et qui voulaient entendre, eux aussi, la voix de Dieu qui parlait à Moïse? La voix de Dieu s'est fait entendre à eux par un murmure. Ce murmure était si puissant qu'ils en ont eu peur. Nous, nous entendons lisiblement les mots de notre Seigneur. Pourtant, nous souffrons. Comment se fait-il que nous souffrons? Nous souffrons parce qu'on quitte l'esprit de ce monde : bon, pas de télévision, pas de radio, plus de danse, plus de bowling, 'un peu là…' Ah oui, nous souffrons! Ce n'est pas une souffrance qui nous accable, mais c'est une souffrance que l'on ressent de ne pas être capables de se passer de ça. Bien, nous en vivons les conséquences. Ce sont nos conséquences que l'on vit et Dieu nous laisse vivre dans nos conséquences. Mais il nous dit : «Je vais purifier votre chair avec mon feu d'amour.» Là, toutes les conséquences vont disparaître. C'est ça que ces mots veulent nous dire, c'est que le feu d'amour de Dieu va brûler nos conséquences : nous n'aurons plus mal.

Mais Dieu nous demande quelque chose à nous qui l'entendons : le prix à payer, c'est d'être les derniers. Le prix à payer, c'est de passer nos frères et nos sœurs avant nous. Cela veut dire quoi? C'est que leurs conséquences, eh bien, vont disparaître plus vite que les nôtres. Comment cela va se faire? Eh bien, pour que cela se fasse, il faut avoir de la place. Il faut faire de la place dans notre vie. Moi, je vous regarde, vous me regardez, nos regards se croisent : notre vie devient une seule vie, mais oui! Ta vie et la mienne se rencontrent. Il y a combien de vies? Une vie, une seule! Alors, il faut que ma vie puisse rencontrer toutes les vies pour ne former qu'une seule vie. S'ils regardent ma vie et que j'ai des conséquences, va-t-il y avoir de la place en moi pour leurs conséquences?

Regardons-nous aujourd'hui. Je mélange ma vie avec la tienne : on a seulement qu'une vie; tu me fais ressentir tes conséquences : j'ai pas le goût d'aller te voir, moi; reste chez vous, je vais rester chez nous. Voilà ce qu'est devenu l'amour, un amour qui a mal, un amour qui porte des conséquences. Alors, le Seigneur, il nous explique qu'il va falloir qu'on laisse de la place dans notre vie, pour prendre quoi? Les conséquences de tous nos frères et nos sœurs. Alors, qu'est-ce qu'il va falloir faire? Alors, pour faire de la place, il faut donc ne plus vivre dans nos conséquences. C'est la vie en Dieu, c'est le moment de l'abandon. Ce temps d'abandon que le Seigneur nous fait vivre, quand? Maintenant. Je te donne causes, choix, conséquences. Je refuse la mort, la tentation. Merci de l'envoyer au pied de la Croix : guérisons, libérations.

Maman Marie qui nous dit : «Continuez, continuez, mes enfants, continuez, mon Fils vous écoute, mon Fils agit.» Le mal, c'est Jésus qui l'arrache de notre chair; donc, Satan qui envoie les esprits impurs a beaucoup de difficultés à nous attaquer, parce que les marques commencent à disparaître. Aïe! C'est pas moi qui ai blasphémé! Comment se fait-il que j'ai une tentation de blasphème? Réjouissons-nous, c'est que nous avons consenti à ressentir les marques des autres. Et qu'est-ce que cela fait? Merci Jésus de purifier ma chair : récompense de tout prendre. Nos conséquences disparaissent. Nous sommes de plus en plus légers pour que notre force se fasse ressentir en nous.

Regardons. On nous dit que nous sommes dans une secte. On n'y croit pas à ça, nous, mais on ne les écrase pas, on ne se bat pas, on donne ça à Maman Marie. Reculons, il y a quelques mois mêmes, aïe, on aurait tu discuté un peu? On aurait passé notre journée à parler de ça. Là, on donne tout. C'est que des conséquences commencent à disparaître : les nôtres, nos conséquences. Et là, qu'est-ce qui va arriver de plus en plus? On va avoir de la place pour prendre quoi? Pour prendre les conséquences des autres comme étant les nôtres et nous savons que nous aurons la force. Par qui? Par Marie. Voyez-vous comment c'est important le chapelet? Le Ciel a tout préparé. Est-ce que nous vivons, à cet instant, ce temps qu'on voulait vivre? Avons-nous mis un pas dans la très Grande Purification de la chair? Oui. Là, on commence à comprendre, hein? Merci, mon Dieu! Et pourtant on n'est même pas orgueilleux de ça. Il nous tient à notre place. On fait ce que Dieu nous dit de faire. Est-ce que vous trouvez cela difficile à un point que vous voulez tout lâcher? Plus on avance, plus ce n'est pas facile et plus on veut continuer.

Maman Marie, elle nous avait dit : «Tenez-vous ensemble, mes enfants.» Mais elle avait dit aussi : «Ne regardez pas comment l'autre vit sa purification», parce qu'on est quand même dans nos propres conséquences. Chacun les vit avec les grâces que Dieu nous donne et on les accepte avec ce que nous sommes. On accepte les grâces. Alors, tout est différent pour l'un et pour l'autre. S'il y en a qui vivent mortalité sur mortalité, s'il y en a qui vivent des situations financières très difficiles, des séparations lourdes à porter, des solitudes parfois très difficiles à accepter, des maladies, des malaises qui traînent en long puis en large : on avance pareil. On est ensemble. Et Dieu nous a dit qu'on était pour vivre cela et qu'il n'était pas pour nous faciliter le chemin. S'il avait fait cela, comment aurions-nous la force de prendre les conséquences de nos frères et de nos sœurs et de les ressentir comme si c'était les nôtres? Voyez-vous? Dieu sait ce qu'il fait. Il nous donne beaucoup de force.

C'est ça, la Grande Purification! Et demain, Dieu nous emmènera là où il veut nous emmener. Ce n'est pas à nous de planifier comment va se passer la Grande Purification de la chair. Dieu sait ce qu'il fait. Nous devons faire de la place dans notre vie. Comment? En laissant Dieu purifier notre chair avec son feu d'amour. 'Seigneur, tu nous purifies avec ton feu d'amour, tu nous fais ressentir tes plaies, tu nous fais connaître tes épines. On ressent notre cœur s'ouvrir quelquefois. Tes pas deviennent nos pas et sont lourds de douleur.' Quelquefois, on a les épaules qui nous font tellement mal. C'est la croix de Jésus qui est sur nos épaules. Voilà la purification, ce feu d'amour : aimer Jésus.

Ces mots (de Jésus) : «Aimez-moi, mes enfants. Prenez en vous tous vos frères et vos sœurs. Acceptez-les comme moi je les ai acceptés. Pénétrez leurs pensées comme si c'était vos propres pensées. Saisissez leurs paroles injurieuses comme si c'était vous qui les disiez. Faites connaître à votre chair les plaies de vos frères et de vos sœurs, ils ne réalisent pas ce qu'ils font à leur être d'amour. Faites ce que moi j'ai fait : aimer, aimer et aimer. Priez mon Père, parlez d'eux à mon Père, faites chemin avec eux, ralentissez le pas s'ils retardent, donnez-vous de l'amour en remerciant mon Père de vous faire connaître leur non à Dieu, mon Père, afin que leur non soit enveloppé de votre oui.

«Mon Père vous regarde. C'est lui qui vous a choisis, c'est lui qui vous a fait naître en ce temps, pour ce temps, avec vos frères et vos sœurs du monde entier. Ils ne sont pas avec vous par hasard, c'est la Volonté de mon Père. Que votre volonté soit une volonté entre mes mains, car moi seul ai vécu votre vie. Votre volonté je l'ai acceptée et c'est moi qui ai crié à mon Père : 'Pas ma Volonté, mais ta Volonté'. Soyez vrais, soyez purs dans vos pensées, car vous savez que ce que vous vivez est voulu de Dieu le Père puisque vous le ressentez dans votre chair. Lorsque vous entendez blasphémer comme si c'était vous qui blasphémiez, c'est que vous savez ce que moi je vous avais préparé, car vous avez déjà vécu cela. Aujourd'hui, alors que vous avez prononcé votre oui, tout s'accomplit. Vous êtes des petits christs en le Christ. Telle est la Volonté de mon Père. Votre oui en le Oui. Telle est la Volonté de votre Père du Ciel.

«Petits enfants d'amour, ce que vous êtes en train de vivre fait la joie des anges et des saints et saintes du Ciel. Telle est la Volonté de mon Père, car ces joies consolent les âmes du purgatoire. Vous êtes tous ensemble pour vivre ce temps. Même ceux qui ne le savent pas, qui refusent, qui rejettent loin ce que vous vivez, même ces enfants sont dans ce temps voulu par mon Père, et ils sont en ce moment même en train de vivre ce que vous vivez, et ils verront tout ce que vous êtes en train de vivre pour eux. Leur présent est votre présent et votre présent est leur présent. Est-ce que je cesserais de vous dire 'je vous aime?' Je vous aime, mes enfants. Ma respiration est un 'je t'aime' et il est en vous. Je t'aime.»

♪♪♪       Jésus, je t'aime, Jésus, je t'aime,

Jésus, je t'aime, mon Dieu, mon Sauveur (bis)

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Merci, Seigneur.