Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Admiral, Saskatchewan,

par son instrument, la Fille du Oui à Jésus

 

2004-05-03

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Ces paroles nous sont adressées par la puissance du Saint-Esprit afin que nous puissions entrer dans la Grande Purification.

Dieu ne vient pas nous démontrer quelque chose de nouveau, tout a été dit dans l’Évangile.

Il utilise des personnes comme vous pour parler à chacun de vous, mais il ne veut pas que les personnes qui parlent utilisent leur volonté humaine parce que la volonté humaine ne porte pas de grâces; il n’y a que la Divine Volonté qui porte des grâces : Dieu est la Divine Volonté; et nous, enfants de Dieu, lorsque nous vivons dans notre volonté humaine, nous ne pouvons pas donner des grâces; ce que nous pouvons donner, c’est tout simplement ce que nous sommes : nous.

Comme nous portons en nous le bien et le mal et comme nous sommes faibles : nous avons commis beaucoup d’erreurs dans notre vie.

Ces erreurs ont nui à notre intérieur : en nous, elles nous ont blessés.

Lorsque nous disons nous, nous disons tous nos parents, nos grands-parents, nos arrières arrières-parents et ainsi de suite, qui ont montré aux enfants comment se conduire : alors ils nous ont inculqué leurs peurs, ils nous ont donné leurs connaissances, et nous, nous avons avancé avec leurs propres blessures.

Ces blessures-là, ils ne les connaissaient même pas eux autres mêmes, par amour ils nous ont élevés avec ce qu’ils connaissaient; alors, nous, nous avons entré ça en nous et nous l’avons donné aussi à nos enfants ou à nos amis; on voulait les aimer, on voulait leur donner du bon, mais ce que nous avons donné : c’est ce que notre volonté humaine connaissait.

Combien de fois, sans qu’on le veuille, nous avons blessé leur intérieur, et eux se voyaient impuissants devant cette douleur qui entrait en eux : ils laissaient pénétrer ça?

C'est parce que, quelquefois, ça débordait tellement et ça nous faisait tellement mal, qu’on voulait se consoler par nous autres mêmes.

Comment voulez-vous qu’on puisse se consoler avec de l’amour puisqu’on ne nourrissait pas de l’amour? On nourrissait une blessure, on nourrissait des souffrances.

Ce que nous avons sorti : ce sont nos souffrances, ce sont des mots qui ont voulu démontrer que nous étions capables d’être des humains.

Alors, les autres ont connu de nous : des paroles de rancœur, de jalousie, des paroles d’envie et des paroles de possession : des paroles qui voulaient aimer, mais gauchement.

Nous avons été comme des tout petits enfants qui voulaient s’amuser avec des objets qu’on ne pouvait pas contrôler et des objets qu’on ne pouvait pas connaître;

alors, on a vieilli en voulant se démontrer que nous étions capables, par nous-mêmes, de gérer notre vie.

Tranquillement, on a oublié le principal : que notre vie ne nous appartenait pas.

La vie nous avait été donnée par Dieu pour venir en ce monde, et nous ne lui rendions pas.

Nous sommes devenus possessifs de notre vie; alors Dieu, qui est tellement amour, nous a laissés à nous-mêmes, pas sans les grâces, pas sans son soutien.

Dieu a tout vu ce que nous avons fait dans notre vie, Dieu sait tout de ce que nous avons dit, ce que nous avons vu.

Pas un seul instant, il ne nous a pas soutenus; même lorsqu’on se faisait du mal, Dieu se tenait là pour ne pas qu’on puisse tomber plus bas.

Nous avons été la Croix de Jésus : il nous a portés sur ses épaules.

Lorsqu’on refaisait le mal, on donnait encore une pesanteur à sa Croix, et on ne s’est pas rendu compte de ce qu’on faisait : souffrir Jésus.

Parce que Jésus nous a protégés contre nous-mêmes, il nous faisait avancer et, en même temps, lui (il) disait : «N'aie pas peur, moi, je vais tout prendre, je suis là.»

Jésus ne nous a jamais écrasés, Jésus nous a jamais dit : «Tu vois qu’est-ce que tu es en train de me faire, cesse de me faire mal.»

Jésus n'a jamais dit ça pour chacun de nous; à chaque instant, Jésus nourrissait des enfants pour nous venir en aide.

Lorsque Jésus trouvait un enfant qui donnait sa vie pour soutenir tous les autres, il nourrissait cet enfant-là pour qu’on reçoive des forces.

Voilà pourquoi nous ne devons pas juger un seul de nos frères et de nos sœurs parce que cet enfant, qui accepte de souffrir pour ses sœurs et pour ses frères, prenait tout en lui sans un seul retient de ce qu’il voulait donner à Jésus : ça devenait des Simon de Cyrène et des Véronique.

Alors, lorsque Jésus nous parle ainsi, là : on commence à réaliser combien, nous, nous n’avons pas toujours été à la hauteur de ce que nous sommes.

Qui d’entre nous n’a pas jugé notre prochain? Qui d’entre nous n’a pas été en colère?

Et Jésus, jamais, il nous a donné une tape en arrière de la tête. Non! Il prenait tout pour nous, il nous consolait, il prenait soin de nous pour ne pas qu’on se fasse trop mal, parce que la première personne qui se faisait blesser : la première, n'était pas la personne à qui on en voulait, mais à nous-mêmes.

C’est ce qu’on va voir à l’intérieur de nous lorsqu’on va être dans la Grande Purification.

Jésus, il détaille tout ce que nous allons voir en chacun de nous, au moment du premier jugement.

Il n’y aura pas une toute petite pensée qui ne nous sera pas connue, ni une petite action, ni un petit mot, qu’il soit bon ou qu’il soit mauvais : tout va nous être connu.

C’est pour ça que Jésus est en train de préparer tous les cœurs de tous les enfants du monde parce qu’il veut qu’on soit comme des tout petits enfants, en acceptant ce qu'on a fait.

Lorsqu’on dit à un enfant : "Va te laver les mains", l’enfant va se laver les mains; des fois, il se met à chigner un petit peu, mais il le fait, l’enfant; il sait que c’est pour son bien, il sait que c’est par amour.

Alors, voilà pourquoi Jésus est en train de nous détailler nos moindres petites erreurs : il veut le faire parce que c’est bon pour nous.

Il dit : «Lorsque vous allez vous voir, et lorsque vous verrez tout ce que vous avez fait d’impur, et lorsque vous verrez mon pardon : votre joie sera très grande.»

Il dit : «Combien la joie de l’enfant va être grande lorsqu’il se verra lui-même demander pardon à Dieu : il sera fier de son action!»

Parce que Jésus va nous faire participer au pardon.

Nous allons ressentir toute la joie que Jésus a ressentie lorsqu’on s’est avancé vers lui pour demander pardon, et nous allons aussi revivre notre propre vie intérieure, face à notre âme.

Tout ce mouvement d’amour sera nourri de l’amour du Père, on l'appelle : la Justice d’amour; tout se fera comme Dieu le Père le veut.

Dieu le Père a donné son Fils pour que nous allions à lui, il ne veut pas en perdre aucun : le moment que Dieu nous parle est pour notre temps.

Un jour que j’étais à la maison et que j’écrivais, non pas le quatrième livre parce que ça m’a été révélé seulement en janvier 2004, mais avant, Jésus me parlait un peu de la Grande Purification, en voulant dire : «Vous allez vivre la Grande Purification», là, je disais à une personne qui était à côté de moi : "Monique, il ne faut pas trop prendre ça avec notre volonté humaine, trop ça à la lettre. Ah! c’est peut être seulement dans un an, cinq ans, dix ans, oh! c’est peut-être : bien plus tard, Monique!"

Je voulais me protéger; par là, je voulais dire : "Si ça n’arrive pas là tout de suite, eh ben, ça arrivera plus tard, plus tard, plus tard; alors, on ne m’en voudra pas, si ça n'arrive pas tout de suite, sinon je vais me faire sonner", parce que Jésus disait dans l’Évangile, les apôtres attendaient, les disciples attendaient : le Royaume de Dieu sur la terre; alors là, je me disais : "Ce ne sera peut-être pas pour tout de suite."

Alors, dans la nuit, je me suis fait réveiller et c’était Dieu le Père; il a dit : «Ma fille, aurais-tu peur de te mouiller? Lorsque je te dis quelque chose, tu le répètes et tu t’abandonnes.»

Alors, c’est ce que je fais : il annonce cela pour très bientôt.

J’ai écrit assez pour faire sept livres et Jésus m’a dit : «Plus que ça». Alors, en janvier, il m’a dit : «C’est le dernier livre».

Dans le dernier livre, il parle de la Grande Purification et il parle de tout ce qui est à l’intérieur de nous, mais en rapport avec le jugement; il détaille le péché, il parle de l’Enfer aussi.

Jésus, il m’a dit comme ça :

 «Ma fille, on va te haïr  parce que mes enfants ne veulent plus entendre parler de péché, de purgatoire et ni d’enfer : c’est parce qu’ils ont peur, ils ne veulent pas avoir mal. Parce qu’ils souffrent, mes enfants, ils ont mal. Je veux t’envoyer parmi eux et Marie va t’ouvrir les portes. Tu répéteras les mots qui seront en toi et tu parleras enveloppée de l’Esprit Saint. Je veux que mes enfants viennent à moi, je veux qu’ils viennent puiser des grâces de force. Ils auront besoin de force lorsqu’ils verront tout ce qu’ils ont fait. C’est moi qui vais les envelopper de ma force. Tout ce que je veux, c’est qu’eux consentent à ce que, moi, je prenne tout.»

Dieu nous prévient de tout ce qui va nous arriver, mais il nous dit aussi : 

«N’ayez pas peur, c’est moi qui vais vous protéger contre vous-mêmes. Vous vivez avec la volonté humaine, vous vivez avec le bien et vous vivez avec le mal en vous. Le mal ne voudra pas se séparer de vous puisqu’il habite en vous, puisqu’il a fait de vous sa maison. Il fera de vous des mouvements de souffrances : il vous les fera connaître,  il voudra que vous les ressentiez très profondément en vous,  parce que plus vous aurez mal, plus  vous voudrez que le mal (la douleur) s’arrête, vous serez dans un état de peur, et comme vous serez dans la peur,  vous serez dans un état de souffrance, et le mal (la douleur) augmentera».

Parce que Jésus a dit :

«Il va se servir de la souffrance contre vous. Voilà pourquoi je veux prévenir mes enfants; je veux leur dire qu’ils viennent en moi, qu’ils viennent puiser des grâces de force; je veux qu’ils viennent puiser des grâces dans le sacrement de la Pénitence, dans l’Eucharistie. Vous, les enfants de la Lumière, il faut que vous veniez à la messe, il faut que vous veniez mettre votre vie sur l’autel à l’Offertoire, et mettre ainsi celle de vos frères et de vos sœurs.»

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Satan a tout fait pour que les enfants de Dieu ne fréquentent plus l’église, et cela, dès qu’il a su que Jésus Crucifié était le Fils de Dieu.

Lorsqu’il a vu que Marie, qui se tenait au pied de la Croix, était celle qui était pour lui écraser la tête, Marie l’a envoyé en enfer et sa rage contre nous s’est motivée encore plus pour pouvoir nous détruire.

Son plan a été dans le mal, son plan a été calculé : tel un serpent, il s’est infiltré lentement et sûrement pour étouffer.

Il a étouffé le bien en nous, il a ensorcelé les enfants de Dieu

afin qu’ils voient combien le mal était réjouissant.

Les enfants d’aujourd’hui savent qu’ils font mal, mais ils ne sont plus capables de s’empêcher de faire le mal; ils se sont fait ami avec le mal parce qu’ils s’en sont habitués : il est dans leur vie.

On ne se méfie pas de quelqu’un qui est ami avec nous, même si on sait que c’est une mauvaise personne : on demeure avec lui, et on ne pense pas qu’il veut nous tuer.

Un ami qui devient quelqu’un pour nous d’important, un ami qui devient pour nous comme quelqu'un de raffiné dans notre vie : on aime sa compagnie, on ne cherche pas à vouloir voir ce qu’il y a en arrière de sa relation face à nous : on accepte ce qu’il nous donne à chaque jour; mais si on fréquente quelqu’un qui semble être notre ennemi : on va se méfier de lui, on ne voudra pas l’écouter, on va s’éloigner de lui.

Si nous, nous prenons conscience de ça, et que nous ne sommes pas intelligents comparé à l’intelligence des anges, comment voulez-vous que, nous, on puisse reconnaître ce que Satan est en train de faire? Satan, c’est l’ange déchu.

Il était dans la hiérarchie des anges, l’un des plus hauts : il est plus intelligent que nous.

Comment voulez-vous que, nous, on puisse reconnaître ses ruses? Il n’y a seulement que Jésus et Marie qui peuvent voir les ruses de Satan.

Voilà pourquoi Marie nous demande de prier, voilà pourquoi elle nous demande d’aller vers les sacrements.

Jésus nous demande de lui donner notre vie; Jésus nous demande de lui donner la vie de tous nos frères et nos sœurs, nos enfants, nos maris/nos épouses et nos ennemis, parce que Jésus veut nous nourrir de ses grâces : c’est lui la Lumière.

Voilà pourquoi, lorsqu’on se donne à Jésus, lorsqu’on accepte de mourir en lui et de prendre ses grâces : on voit.

Plus grand encore, si on prend ses grâces régulièrement : on garde notre paix; on devient des enfants beaucoup plus dociles; on est porté à pardonner plus facilement : on se protège contre l’orgueil.

L’orgueil, ce n’est pas tout simplement une question d’apparence extérieure :

l’orgueil aussi est intérieur.

Lorsqu'on pense qu’on sait quelque chose et qu’on est convaincu qu’on n’a pas besoin des grâces de Dieu : c’est un orgueil intérieur.

Lorsqu’on croit que les sacrements sont là seulement pour les péchés mortels : c’est un orgueil déguisé.

Il est très dangereux de s’avancer seul pour essayer de comprendre le bien et le mal parce qu'on passe notre volonté humaine avant la Divine Volonté.

La volonté humaine est tellement présente dans notre vie : c’est ce que nous connaissons : nous ne connaissons pas la Divine Volonté.

La Divine Volonté, c’est lorsqu’on fait une action humaine, mais qu’on la donne à Jésus et que Jésus enveloppe cette action avec sa propre Volonté : alors notre action, ce n’est pas nous qui la faisons, c’est Jésus qui la fait.

Lorsqu’on accepte de donner notre volonté à Dieu : Dieu la prend, Dieu la fait sienne pour que nous prenions la sienne, parce que Jésus a porté tous les péchés du monde : il a porté notre volonté humaine.

Jésus veut nous donner la vie éternelle, il veut nous donner sa Vie.

Il dit : «Donne-moi ta vie et je vais te donner ma Vie».

Jésus est Dieu, Jésus est la Présence : la grandeur de Dieu est infinie.

Lorsqu’on donne notre vie, c’est si petit que lorsque nous la regardons dans la grandeur de Dieu, elle disparaît; mais lorsqu'elle disparaît dans la grandeur de Dieu : on devient vivant, là, on vit.

Depuis des années, nous avons appris à vivre à travers nos souffrances, à travers nos pleurs, à travers notre vieillesse, à travers nos maladies; alors, Dieu veut nous faire vivre la vie sans souffrances, dans le bonheur éternel, sur la terre : il veut qu’on vive avec un corps immortel, un corps incorruptible.

Lorsqu’on va à la confesse, notre âme se laisse purifier par la grâce sanctifiante; lorsque l’âme reçoit des grâces, tout notre corps en profite; lorsqu’on va dans le monde, là, on a tendance à vouloir juger et à vouloir nous faire mal, être en colère : notre âme, elle, nous nourrit de ses grâces, mais elle se fait comme étouffer par ce que nous sommes en train de faire avec notre corps.

Lorsque nous voyons avec nos yeux le mal, on le laisse entrer en nous et notre corps, lui, est en contact : il voit le mal, et nous sommes portés à faire le mal.

Tout cela parce que nous avons voulu faire notre volonté plutôt que de faire confiance en Dieu.

Comment pouvions-nous découvrir que le mal, en nous, était en train de nous détruire? Tout cela s'est fait sans que, nous, nous le sachions : c'est que notre intelligence a été affaiblie par le mal en nous qui est entré avec le bien au moment où Adam et Ève ont désobéi à Dieu.

Maintenant, nous allons digérer ce que le Saint-Esprit vient de nous dévoiler.

Merci