Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Banneux, Belgique,

par son instrument, la Fille du Oui à Jésus

 

2010-03-11 – A.M.  Partie 2

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Alors, nous allons commencer questions et réponses. On se pose beaucoup de questions. Abandonnez-vous. Laissez toute la place à notre Seigneur. Faites taire votre moi. Soyez unis avec l'être que vous êtes. L'être que vous êtes ne peut pas se séparer de tous les êtres créés. Alors, nourrissons-nous les uns et les autres.

On se pose beaucoup de questions en ce qui concerne ce que nous venons d'entendre : la Grande Purification. Qu'est-ce que cela comporte? Il y a tellement de questions en vous. Alors, laissez monter la question. C'est le Saint-Esprit qui va agir pour vous. Et posez la question que Dieu veut que vous posiez. Comme un petit enfant : "J'ai faim, j'ai faim. Quand on va manger?" Alors, soyons simples.

Alors, nous allons commencer tout de suite, si vous voulez bien, nous avons 45 minutes pour se laisser nourrir par l'agir de Dieu.  Est-ce que vous avez une question à poser? Je sais que vous m'en posez beaucoup en dehors de cette assemblée, mais c'est bon de les poser lorsque tout le monde est là.

Q. Je voudrais vous demander quelques conseils pour rester dans la pensée de Dieu.

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Demander quoi faire à Dieu pour demeurer dans la pensée de Dieu, c'est comme si on essayait de comprendre pourquoi la goutte d'eau est empoisonnée et qu'elle a empoisonné la mer. Dieu, lui, connaît la goutte d'eau qui a empoisonné la mer. Il sait ce qu'elle a accepté et, tranquillement, Dieu vient apporter sa lumière afin d'arracher le mal et d'irradier de son Feu d'amour toute impureté.

Chacun de nous, nous allons, par la puissance du Saint-Esprit, avec simplicité, avec amour, regarder nos pensées. Comment cela se fera-t-il? Comme un enfant. Nous le vivrons avec simplicité, avec amour. Dieu n'est pas venu sur la terre en Être compliqué, il est venu comme un tout petit enfant qui s'est laissé, laissé coucher dans une mangeoire, et il a donné tout de lui afin que nous apprenions. Alors, nous, nous allons laisser le Saint-Esprit, Dieu, nous montrer les pensées qui ne sont pas la pensée de Dieu. À cet instant, nous aurons à agir.

Nous verrons que cette pensée ne nous a pas nourris. Nous prendrons conscience, au tout début, que cette pensée a été une pensée contre nos propres enfants, contre nos propres frères, nos propres sœurs. Nous prendrons conscience que nous n'avons pas aimé Dieu inconditionnellement. Nous prendrons conscience que nous nous sommes négligés. Nous prendrons conscience que nous avons refusé la présence de Dieu dans notre vie, car Dieu est toujours présent dans notre vie. Nous prendrons conscience que nous lui avons fermé la porte, nous avons été avec notre moi, seuls, avec nous-mêmes.

Lorsque nous vivrons une pensée qui a été une pensée de souffrance, nous ressentirons la souffrance comme un vide. Notre présence a fait de nous un être qui ne comptait que sur nous-mêmes, pas sur Dieu : une pensée qui devient une pensée stérile, une pensée qui ne nourrit pas, qui ne porte pas de fruit, une pensée qui empoisonne notre regard, notre écoute, nos paroles, nos actions, nos sentiments. Nous prendrons connaissance de ce que nous sommes et cela, nous ne pouvons le faire que si nous connaissons ce que nous avons fait aussi. Voilà pourquoi Dieu instruit ses enfants.

Voilà pourquoi il sera plus facile pour nous de prendre conscience que nous n'avons pas été dans la lumière de Dieu, que nous avons été des enfants infidèles envers les dix commandements de Dieu et pas seulement qu'un, mais envers les dix commandements de Dieu. Nous prendrons conscience que nous avons été morts devant la Parole de Dieu; nous prendrons conscience, par les grâces, que Dieu nous aime, qu'il a pris soin de nous, malgré qu'on ne le voulait pas dans notre présence, parce que la conscience est obéissante à Dieu.

La conscience est la lumière de Dieu. La conscience, c'est pour les enfants de Dieu créés pour donner à Dieu ce qu'il nous a donné. La conscience, c'est être dans le mouvement de Dieu. La conscience, c'est savourer la justice de Dieu. La conscience, elle ne juge pas la justice de Dieu, elle se soumet à la justice de Dieu. La conscience, c'est se laisser plonger dans le Vouloir de Dieu. La conscience, c'est être présent.

Voilà que Dieu nous donne des grâces pour vivre ce que nous avons à vivre. Oui, il est difficile de voir que nous avons menti, et que lorsque nous avons menti, nous avons empoisonné notre vie. La pensée, il fallait qu'elle accepte le mensonge. La pensée s'est divisée de la vérité. La pensée est devenue une pensée égoïste, ne pensant qu'à se déculpabiliser, ne pensant qu'à se sauver, ne pensant qu'à enjoliver notre vie. Le mensonge est le mal et le mensonge s'est fait connaître à la pensée et la pensée a accepté. Elle est devenue impure, elle a empoisonné les pensées.

La vérité est pour nous et nous allons en prendre aussi connaissance. Nous allons pénétrer la vérité et la Vérité va nous montrer : «Regarde ce que tu as fait. Tu t'es fait souffrir. Tu as souffert parce que tu n'étais pas en ma Présence». La vie a souffert de ne pas être en sa Vie, car la Vie est nous et nous avons la vie en Jésus. Sa Vie à la vie est Jésus. Nous appartenons à Jésus. À l'instant où nous avons été dans le mensonge, à l'instant où notre pensée était dans le mensonge et que nous avons accepté cette pensée, d'autres de nos frères et de nos sœurs se nourrissaient de notre mensonge. À l'instant où ils se nourrissaient de notre mensonge, des esprits impurs s'approchaient et les tentaient. Incapables de résister à la tentation, ils succombaient. Nous n'étions pas une nourriture pour eux, nous étions un mensonge. Ils ne pouvaient voir, ils ne pouvaient comprendre.

Dieu nous montre ce que nous avons fait et non pas pour nous écraser. Il nous montre cela pour que nous puissions nous laisser guérir, libérer. Là, nous pouvons dire : "Merci, Jésus, tu arraches le mal de ma pensée, tu irradies de ton Feu d'amour ma pensée. Tu envoies l'esprit impur au pied de ta Croix. Tu guéris mes mouvements de vie malades, tu guéris tout mouvement de vie malade et tu me donnes encore des grâces par ta Mère." J'entre dans ma présence. En la Présence, je me tiens. Tout est de Dieu et rien de nous.

Q. Quelle réponse peut-on donner aux penseurs qui m'ont amené à … (inaudible)

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Donnons à Dieu ce qui est à Dieu. La souffrance du monde ne nous appartient pas, c'est lui, Dieu, qui l'a prise et l'a amenée à la mort. Toute intelligence qui sert Dieu est de Dieu. Toute intelligence doit être humble, amour; toute intelligence doit être dans la saveur de Dieu, dans la lumière de Dieu, pour qu'elle puisse porter des fruits.

Combien de médecins ont soigné avec l'amour de Dieu en se disant être incapables de soigner les enfants de Dieu! Mais Dieu, oui. Dieu nourrissait la science pour que la science soit au service des enfants de Dieu. La science ne vient pas de l'homme, mais de Dieu. La science est dans l'intelligence de Dieu, pas dans l'intelligence de l'homme, de Dieu. Nous qui sommes en présence même de personnes qui sont dans la science et qui se disent connaître d'où nous venons, qui se disent connaître d'où nous sommes, qui se disent connaître où nous allons aller, sont hors de la Présence. Ils sont hors de leur propre présence en la Présence. Dieu les laisse dans leurs choix, Dieu leur fait vivre leurs conséquences.

Nous, nous ne devons pas juger, car nous serons pires que les scientifiques qui sont orgueilleux de leur savoir, non de la connaissance de Dieu, mais de leur savoir. Si nous jugeons leurs choix, c'est avec ce qu'ils nous ont nourri que nous acceptons et que nous, nous choisissons de les juger : nourriture que nous avons reçue, nourriture malsaine que nous acceptons, qui devient pour nous une nourriture que nous acceptons et que nous redonnons. Ne soyons pas dans ce que nous sommes : la volonté humaine qui, elle, elle choisit d'écouter le mal, mais soyons les enfants qui apprenons de la Divine Volonté ce que nous devons faire à cet instant.

Lorsque nous réalisons qu'une pensée n'est pas une pensée d'amour qui nourrit, eh bien : "Je te la donne, Dieu. Je te donne causes, choix, conséquences. Purifie de ton feu d'amour ma pensée. Arrache ce mal. Envoie au pied de la Croix ce tentateur. Guéris, ô Dieu d'amour, Dieu de puissance, tout mouvement de vie malade. Je m'incline devant ta bonté qui nous a donné Marie, l'Immaculée-Conception, la Comblée de toutes grâces qui nous donne des grâces."

Voilà ce que nous, nous sommes en ce moment même en train d'accepter. Nous acceptons la guérison, nous acceptons d'être libérés. Il faut entendre ces paroles par amour pour que nous puissions vivre notre passion : "Oui, je suis pécheur, pécheresse, oui, j'ai des pensées impures. Ces pensées me sont connues par la puissance du Saint-Esprit pour que je puisse m'ouvrir à ta miséricorde." Eh bien, merci, mon frère, car cela est une nourriture pour nous.

Q. J'ai cru comprendre, tout à l'heure, que les malheurs du monde viennent à cause de notre manque de présence à la Présence. Est-ce que j'ai bien compris?

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Les malheurs du monde, ce sont les conséquences de nos mauvais choix devant le tentateur, parce que nous n'avons pas été dans la présence en la Présence, à cause de notre volonté humaine qui s'est fait connaître à nous par la désobéissance de la chair qui est notre chair.

Tout cela, nous devons le vivre, en prendre connaissance, accepter de regarder, de ne plus être aveugles, accepter d'écouter, de ne plus être sourds. Là, Dieu va prendre ce que nous sommes dans la présence en la Présence, et il va nourrir ses enfants et les transformations vont se faire. Et cela se fait à l'instant où nous, nous sommes en eux. Nous n'entendons pas en ce moment avec notre pensée impure, nous avons le cœur à l'amour. Nous voulons être un tout petit bébé qui se laisse nourrir. Nous sommes à l'école.

Alors, louons notre Seigneur, ô Dieu d'amour, pour tant de moments d'amour qu'il nous offre et que nous devons prendre et lui redonner. Toujours ce mouvement. Merci, Seigneur.

Q. En France, il y a deux tendances sur ce qu'on appelle l'animation immédiate ou retardée. Le clergé a deux tendances. J'aurais voulu savoir laquelle est la bonne. Celle qui consiste à ce que Dieu mette l'âme au moment où la cellule mâle et la cellule femelle se rencontrent ou bien, comme une autre tendance du clergé qui dit vingt jours après, ce qui veut dire que pendant vingt jours, il n'y a pas avortement.

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Ce que Dieu a créé, il l'a créé avant même que vous soyez dans le sein de votre mère. Jésus a dit à ses apôtres : «Vous étiez avant même que vous soyez en le sein de votre mère. Vous avez toujours été en la pensée de mon Père.» Ce que Dieu crée, il le crée par amour. Il ne sépare pas l'âme de la chair.

Lorsque nous fûmes, à l'instant où Jésus accomplit la Volonté de son Père, nous fûmes tous créés en la Chair Immortelle, car la matière appartient à Dieu, elle ne nous appartient pas. L'âme est invisible, l'âme est spirituelle, l'âme est à Dieu. Le souffle est à Dieu, il ne nous appartient pas. L'amour est à Dieu, il ne nous appartient pas. L'âme appartient à Dieu, elle n'appartient pas à la chair. La chair est à l'âme, elle appartient à l'âme parce que Dieu a donné un temple à l'âme. La chair est l'amour de Dieu pour l'âme; elle reçoit tout par l'âme : les grâces. Tout vient de Dieu. Ce que l'âme reçoit, elle le reçoit de Dieu. La chair a besoin de grâces, la chair a besoin de se sentir être dans son mouvement de vie par l'âme. Il ne peut y avoir vie que si l'âme est.

L'enfant dans le sein de la mère est en présence même de sa chair, car l'enfant de Dieu, c'est la Volonté de Dieu; l'enfant de Dieu, c'est l'amour de Dieu; l'enfant de Dieu, c'est la matière de Dieu; l'enfant de Dieu est ce que Dieu veut : le 'je t'aime', son 'je t'aime'. C'est Dieu qui choisit la mère, c'est Dieu qui choisit le père, afin que l'enfant soit présent en son âme et en sa chair qui se développe, qui grandit, cette chair qui est appelée par Dieu à connaître la conséquence de la désobéissance. La désobéissance, l'âme la connaît, car elle devait vivre dans la Divine Volonté mais, par Adam, elle a connu un éloignement d'avec son Dieu, car l'homme voulut connaître la connaissance du bien et du mal, et l'âme a été dans l'éloignement de son Dieu.  

Ce que vous entendez, enfants d'amour, vient en vous par votre abandon. Dieu ne sépare pas ses enfants, Dieu unit ses enfants. L'Église est Jésus et les membres de son Église sont une seule unité. Jésus est Dieu et les membres sont en Jésus. Par Jésus, les membres apprennent; avec Jésus, les membres vivent pour Dieu. Les membres sont en Jésus afin d'accomplir ce que les membres doivent être devant la Gloire de Dieu, pour la Gloire de Dieu. Ce que l'âme est pour le corps, Jésus l'est pour l'âme, l'est pour la vie. Peut-on séparer Jésus de notre vie? Peut-on séparer l'âme de notre chair? Jésus est notre tout. Jésus nous nourrit de sa Chair, nous nourrit de son Sang.  

L'âme est la vie, elle se nourrit des grâces du Ciel. Elle nous donne tout ce dont nous avons besoin pour que nous puissions respirer l'air de Dieu, pour que nous puissions voir la lumière extérieure qui est la lumière de Dieu, pour que nous puissions manger la nourriture de Dieu qui est la création de Dieu, pour que nous puissions être un tout avec notre prochain : aimer et servir, aimer partager, aimer parler, écouter, aimer espérer, aimer être dans les grâces pour goûter à la foi, aimer être ce que nous sommes : l'amour. L'Église est Jésus. «Et c'est bien de cela, mon fils bien-aimé, que Dieu veut pour tous les enfants du monde. Que tout ce que vous êtes soit une nourriture afin que chaque enfant soit, dans la lumière de Dieu, vérité.» Amen.

Ce que nous entendons, nous l'entendons par l'Amour et nous devons donner à Dieu ce qu'il vient de nous donner : l'amour, afin que cela porte des fruits en Église, son Église, ses choisis. Ses prêtres sont ses choisis. Ils sont purs, mais nous devons aussi donner la chair qui connaît la volonté humaine, qui connaît ses souffrances. Si l'on veut nous nourrir, alors, c'est qu'on aime. Il n'y a que Dieu qui soit l'amour. Mais à travers ces paroles, regardons l'amour de Dieu et donnons à Dieu la vérité, et Dieu nous redonnera la vérité. Cela passera par sa Volonté, sa  miséricorde, et nous recevrons. Comment peut-on recevoir si nous nous arrêtons et que nous jugeons? Comment pouvons-nous recevoir si nous avons la peur? La peur n'est pas de Dieu.

Nous devons avoir confiance qu'en Dieu : "Nourris-nous, Seigneur. Apprends-nous à reconnaître ta vérité, que ta vérité. Que notre âme reçoive les grâces du Ciel et qu'elles nous nourrissent". À l'instant où nous disons cette prière, tous les enfants de Dieu reçoivent, la chair reçoit par l'âme. L'Église se laisse nourrir par lui, Jésus, qui est la Tête de l'Église. Apprenons à nous nourrir les uns et les autres et apprenons à rendre grâce à Dieu pour les choisis de Dieu qui nous donnent cette nourriture pour notre âme : la Chair et le Sang du Christ. Car nous qui entendons ces paroles, nous n'avons aucun pouvoir sur la Consécration, mais le prêtre, oui, le choisi, oui.

Voilà que nous, nous nous laissons nourrir de l'amour de Dieu, de la miséricorde de Dieu qui a choisi des prêtres, dans leurs souffrances, pour qu'ils consacrent le pain que nous avons besoin, ce pain qui deviendra le Corps de Jésus, qu'ils consacrent ce vin qui deviendra pour nous le Sang de Jésus, nous qui ne sommes pas présents en la Présence à cause de notre pensée. Amen.

Q.  Pour continuer sur cette lancée de l'avortement, je voudrais savoir s'il est important de faire baptiser justement les âmes qui ont été avortées, s'il y a un rituel de baptême. Tous ces petits enfants qui sont avortés, est-ce qu'on peut les baptiser nous-mêmes par des prières? Et quel serait le rituel?

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Il n'y a que Jésus qui puisse baptiser, que Jésus. Le sacrement a été institué par Jésus. Jean-Baptiste, lorsqu'il baptisait, il baptisait avec l'eau, mais il a dit : "Celui qui vient baptisera en l'Esprit, Dieu". Jésus ne peut se séparer de l'Esprit-Saint, et l'Esprit-Saint ne peut se séparer de Jésus, le Fils de Dieu, et le Fils de Dieu accomplit la Volonté de son Père : la Trinité.

Lorsque nous sommes en Jésus, lorsque nous vivons notre baptême, eh bien, et que nous avons confiance en Jésus, en sa lumière, en sa vérité, nous croyons que nous sommes prêtres. Nous sommes prêtres, choisis par Dieu. Nous pouvons, par Jésus, en Jésus, avec Jésus, pour la plus grande Gloire de son Père, prononcer ces paroles que Jésus, lui, prononce. Nous entrons dans notre présence, et lorsque nous entrons dans notre présence, nous sommes en la Présence, en Jésus, et là, nous prononçons les paroles, nous entendons ce que Dieu veut de nous : «Accomplissez-vous. Servez votre Église.» Alors, nous sommes ici pour servir.

Lorsqu'il y a avortement, nous pouvons, dans la pensée de Dieu, en présence de Dieu, être témoins de sa puissance. Le prêtre, savez-vous combien de prêtres baptisent des enfants non nés? Il y en a. Ils ont une foi en leur sacerdoce et c'est très puissant. Voilà l'Église. Voilà que la foi est venue à nous par les grâces que l'âme a reçues afin que nous croyions en cela. Croyons que Dieu a étendu sa miséricorde du premier jusqu'au dernier qui viendra au monde avec la tache originelle. Voilà la miséricorde de Dieu.

Jésus est l'Alpha et l'Oméga. Il est l'Éternel, il est la Présence. Il n'est pas seulement présent pour un temps, il est la Présence. Si nous, nous nous laissons nourrir de la pensée de Dieu, c'est que nous sommes entre les mains de Dieu. C'est lui qui agit. Comment nous, pouvons-nous penser que nous pouvons baptiser si nous n'avons pas la pensée pure, si nous n'avons pas la pensée de Dieu? Dieu est miséricorde. Il a pris nos pensées impures et il a accepté de prendre même le mal, non pour le vivre, mais pour l'amener à la mort. Alors Dieu connaissait notre pensée souffrante qui, témoin d'avortements, voulait baptiser. Alors Dieu a accompli la Volonté de son Père en mettant en nous sa pensée, et c'est sa pensée qui baptise, pas nous.

Rendons gloire à Dieu encore une fois pour tout ce qu'il fait en nous depuis le commencement et qu'il fera jusqu'au dernier qui viendra au monde avec la tache originelle. Amen.

Il nous reste cinq minutes.

Q. J'ai perdu un neveu le 23 janvier et les parents, aujourd'hui, ils disent : "Pourquoi? Pourquoi? Nous avons toujours prié, nous n'avons jamais fait de mal à personne, pourquoi?"

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Ce que les hommes ont fait, Dieu le défait. Nous avons vécu dans une chair impure. Nos conséquences nous ont amenés à la mort. Nous connaissons une mort terrestre parce que nous, nous avons choisi notre volonté humaine, et avec notre volonté humaine, nous avons écouté le mal. Nos choix ont été contre nous, ce qui a apporté la souffrance en ce monde, ce qui a apporté la maladie, ce qui a apporté les accidents, les épidémies, les guerres, les révolutions. Tout cela, c'est la conséquence de nos propres choix devant les tentateurs.

Mais Dieu et sa miséricorde, son amour, connaît ses enfants. Il connaît le moment où eux doivent venir à lui afin de dire oui. Mais à nous de continuer à prier, à nous de remercier Dieu pour étendre sa miséricorde sur nous qui sommes sur la terre, afin que celui qui se présentera pour son premier jugement soit dans la joie de dire : "Je viens vers toi, Père, parce que j'ai dit oui à la vie éternelle". Soyons toujours dans cette pensée.

C'est la pensée de Dieu qui se fait connaître à nous par le Sang, la miséricorde de Dieu. Soyons ces chemins qui conduisent les autres qui ne veulent pas prendre le chemin de Dieu. Nos chemins sont impurs, sont larges, mais nous croyons que Dieu a toujours marché avec nous. La mort terrestre, c'est une joie, c'est un moment d'amour où le 'je t'aime' retourne se montrer à Dieu. Il se présente au 'je t'aime' du Père. À cause de notre volonté humaine, notre chair meurtrie, nous ne vivons pas ce moment d'amour comme nous devrions le vivre. Nous sommes incapables, nous nous posons des questions.

Mais combien il y en a qui reçoivent des grâces par l'âme et qui se réjouissent de vivre ces instants dans la grâce, et ce n'est pas ceux qui demeurent sur la terre qui connaissent cette joie, c'est la personne qui meurt. Ces personnes sont touchées par la grâce. Et nous savons qu'il y en a beaucoup et qu'il y en a eu et qu'il y en aura. Nous n'avons seulement qu'à penser aux apôtres. C'était une joie qu'ils ressentaient au moment où on les martyrisait, parce qu'ils étaient pour connaître le 'je t'aime' du Père, se présenter devant le 'je t'aime' du Père avec ce qu'ils étaient : "Je t'aime, Père, me voici." Amen.

Alors, mon Père, pouvez-vous nous bénir, et bénir ce que nous allons manger? Merci, mon Père.