Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Bobcaygeon, On.,

par son instrument, la Fille du Oui à Jésus.

 

2007-10-20 – P.M. – Partie 2

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : C’est notre droit d’être en santé : soyons en état d’impureté et nous tombons malades, ne suivons pas les lois de l’Église et nous tombons malades et nous nous maintenons malades, car ceux qui ne vont pas vers les sacrements ne peuvent pas guérir, c’est Jésus qui est le Guérisseur et le Libérateur, ce n’est pas l’être humain.

Le sacrement de l’Ordre est un sacrement de droit.

C’est aux enfants de Dieu que Dieu a donné le sacrement de l’Ordre; c’est aux enfants de Dieu, qui veulent être dans le ministère du sacrement de l’Ordre, que Dieu a donné le droit de guérir et de libérer.

Le sacrement de l’Ordre ministériel a ce droit : de protéger les droits des enfants de Dieu.

Par la loi, le prêtre, le Christ-Prêtre, a devoir de protéger les droits des enfants de Dieu qui sont dans l’Ordre de Dieu : aucun enfant humain n’a le droit de faire le ministère d’un prêtre, Christ-Prêtre, car Dieu, lorsqu’il était sur la terre le Fils de Dieu, a donné ce droit aux apôtres et aux disciples, il a donné le droit de protéger la vie éternelle.

Qu’un prêtre ne soit pas dans l’Ordre ministériel, il enfreint les lois de Dieu : plus grand est son ministère et plus grand est la justice de Dieu. La justice de Dieu peut être pour lui comme elle peut être contre lui.

Dieu donne tout droit au Christ-Prêtre lorsqu’il est en le Fils de Dieu, en le Christ-Prêtre. Mais lorsqu’il est en dehors du Christ-Prêtre, il n’est point dans l’Ordre ministériel, il se sert de son Ordre ministériel pour donner de la valeur à sa volonté humaine, donc il aura le jugement devant ce qu’il est : enfant de Dieu, qui prend ce qui n’est pas à lui pour se mettre devant l’Ordre ministériel. Il devient donc doublement fautif de son choix devant le péché, car il est péché d’être devant Dieu, se prendre pour Dieu, et il le fait devant tous les enfants de Dieu.

Il pèche contre le premier commandement de Dieu, le deuxième commandement de Dieu, ce qui fait qu’il ne peut être devant les enfants de Dieu comme un modèle de fidélité : «Tu honoreras ton Dieu, tu le vénèreras, et tu l’adoreras», ce qui fait que les enfants de Dieu ne peuvent être totalement dans le troisième commandement de Dieu, et comme ils ne sont pas totalement fidèles aux commandements de Dieu, ils sont incapables d’être dans les autres commandements de Dieu comme ils devraient être. Alors, il porte donc toutes les infidélités aux dix commandements de Dieu; il ne répondra pas seulement pour lui, il répondra pour chaque enfant de Dieu qui a ressenti une souffrance à cause de l’infidélité à Dieu.

Il a tout reçu du Fils de Dieu, car il a renoncé à être ce qu’il est en tant qu’homme pour être en le Fils de Dieu, le Christ-Prêtre; lui, qui est en le Grand-Prêtre, répondra de ce qu’il est en tant que l’Ordre ministériel en l’Ordre du Christ-Prêtre.

Il est important pour chaque enfant de Dieu de demeurer enfant de Dieu avec les grâces de Dieu. Il est important pour l’Ordre ministériel, les prêtres, d’être en le Christ-Prêtre avec les grâces de Dieu, car la justice de Dieu est immuable : elle ne change pas, elle est éternelle. Nous devons toujours regarder cela à travers les yeux de Jésus.

Souvenons-nous de Pierre. Pierre a cru qu’il n’offenserait jamais son Jésus d’amour, mais au moment de la tentation, au moment où il a été tenté par Satan : il a failli, mais la Mère de Dieu a prié pour Pierre et Pierre a regretté son péché, il en est ressorti très fort. Alors nous, nous devons être devant le modèle de Marie : nous devons prier pour les prêtres qui sont devant la tentation, et nous devons prier encore plus fort pour ceux qui ont tombés dans la tentation, car leur repentir fera qu’ils seront encore plus forts lorsqu’ils seront devant nous.

Satan aura beau faire ce qu’il veut, il n’enlèvera jamais le droit des enfants de Dieu : là est l’Église, rien ne prévaudra contre elle.

Nous sommes à la bonne place : en Jésus, en la Vie Éternelle, la Chair Éternelle.

Regardons-nous. Nous avons la Chair de Jésus, nous sommes à lui, nous venons de lui. C’est ce que Satan voudrait, lui, contrôler; il voudrait bien contrôler la chair qui est de Jésus, parce qu’il veut s’en rendre maître, mais nous savons qu’il ne sera jamais maître de notre chair puisque Jésus l’a vaincu.

En ce moment même, Satan est en train de s’étouffer avec ses propres mensonges : plus il se sert des enfants de Dieu, plus nous voyons et nous comprenons ses ruses. Parce que les petits enfants, les tout petits, eux, sont en ceux qu’il tient et comme nous sommes tout petits, le Saint-Esprit, lui, nous fait voir et nous fait comprendre ce qu’il est en train de manigancer avec nos frères et nos sœurs, alors ce qui fait que nous pouvons, par Maman Marie, l’écraser.

C’est Maman Marie qui l’écrase de son talon. À chaque fois que nous disons un 'Je vous salue Marie' avec notre cœur d’enfants de Dieu qui se sait être dans ses droits, alors Maman Marie l’écrase.

Plus nous sommes dans ce mouvement d’amour, cela veut dire : lorsque nous sommes devant une situation et que le Saint-Esprit nous fait voir que ce qui se passe autour de nous est contre Dieu, contre nous, que cela est impur, que cela est un poison dans la vie, et que nous nous maintenons comme des tout petits enfants devant la situation, et que nous ne nous prenons pas pour Dieu, que nous lui laissons toute la place : "Prends cela Dieu, je suis trop petit, petite, prends tout : causes choix et conséquences"; là, nous sommes en mouvement de vie, nous sommes devant des actions, nous sommes devant un événement, nous sommes enveloppés du Saint-Esprit pour que nous puissions voir et comprendre ce qui se passe et, à ce moment là, Dieu agit.

Dieu fait ce qu’il a déjà fait : il accomplit pour nous ce que lui a déjà fait pour son Père. Jésus a déjà vécu tout cela lui, il a vu tout cela à l’agonie, il a accepté tout cela, il l’a vécu et il l'a donné à son Père et tout a été dans l’accomplissement : "Père, j'ai tout pris, Père, j’ai vaincu, Père, tout est accompli".

Nous, en Jésus, nous acceptons de tout prendre, nous acceptons de vivre cela, nous acceptons de le donner à Jésus, afin qu’il puisse faire en nous ce que lui a fait.

Jésus fait notre vie pour la plus grande gloire de son Père, parce que lorsqu’il vit nos conséquences, il vit notre souffrance; lorsqu’il vit nos choix, il vit notre faiblesse devant le péché; lorsqu’il est en la cause, il l'amène à la mort éternelle; alors, là, il dit à son Père : «Tout est accompli, Père».

Nous, nous n’avons eu qu’à donner notre oui : "Oui, je te donne causes, choix et conséquences", voilà le mouvement : un seul mouvement, ça!

On peut considérer que nous avons en nous autant de souffrances que nous avons de battements d’œil. Nous avons aussi ceux que nous portons en nous : n’oublions pas que nous avons l’Église militante qui est nous sur la terre, ce sont tous les enfants de Dieu; nous avons l’Église purifiante et l’Église triomphante.

Nous savons que notre âme se laisse purifier par les sacrements, nous savons que de nos frères et de nos sœurs qui sont morts ont passé devant leur jugement, et lorsque leur âme n’était pas pure, ils ont été dans la purification causes, choix et conséquences qui ont fait souffrir leur âme, et nous savons aussi que ceux qui étaient dans leur pureté d’âme, ils ont été au Ciel, mais où est leur chair? Est-ce qu’ils ont leur chair au purgatoire et au Ciel? Leur chair, qui est mortelle, est en repos; qu’elle ne soit que poussière, elle est en repos. Alors, nous avons à l’intérieur de nous les mouvements de chaque chair.

Tous les mouvements que chaque chair a connus, notre chair les connaît; notre chair ne peut oublier la première fois qu’il y eut un mensonge, notre chair ne peut oublier la première fois qu’il y eut un acte de violence, notre chair ne peut oublier l’idolâtrie; tout cela, tous les péchés qui ont amené la chair à commettre un péché, notre chair le sait.

Alors, Dieu va faire en sorte de nous mettre devant des mouvements pour prendre toute conséquence, choix et mal : chaque mouvement impur devra être arraché. Chaque pensée impure être purifiée, et c’est de même pour l’écoute, la parole, regard, l’action, les sentiments.

C’est comme un feu qui va comme brûler d’amour notre chair, et la souffrance/conséquence va disparaître. Alors il en faudra, hein, des causes, choix et conséquences donnés à Jésus pour que notre chair soit dans la paix, soit dans la joie : jusqu’au dernier!

Et lorsque tout sera accompli, notre chair sera glorifiée, notre chair ne connaîtra plus jamais la tentation, notre chair ne connaîtra plus jamais les pleurs, la pauvreté, la misère, la souffrance; parce que Jésus a triomphé de la mort éternelle, alors nous aurons donc triomphé de la mort éternelle. Tout cela, c’est pour notre temps : c’est commencé.

Pouvez-vous vous imaginer que beaucoup de personnes, en ce moment même, donnent causes, choix, conséquences devant un mouvement de souffrances? Nous ne sommes pas tout seuls, nous sommes plusieurs sur la terre qui donnons à Jésus : causes, choix et conséquences d’une souffrance, et parce que c’est donné à Jésus, Jésus accomplit, et cela a des conséquences dans notre vie de droits d’enfants de Dieu.

Ce que nous vivons est l’Église : nous sommes l’Église, nous sommes la Chair de Jésus, tout s’accomplit! C’est comme si l’Évangile devenait pour nous d’une telle lumière que tout nous apparaît comme étant une certitude d’amour de Dieu.

Ce que les enfants de Dieu ont vécu dans le temps des prophètes n’était qu’amour : un Dieu qui les regardait et un Dieu qui leur laissait voir que s’ils se conduisaient mal, ils devaient vivre leurs conséquences.

Nous avons un Dieu qui, par sa Volonté, parlait à des enfants pour qu’ils puissent entendre sa Volonté, les amenant à vivre dans les droits des enfants de Dieu, les amenant à comprendre que s’ils ne vivaient pas dans les droits des enfants de Dieu, ils vivaient dans leurs conséquences pour donner exemple à ceux qui devaient venir.

Alors, ils ont été avant nous pour nous montrer que Dieu a pris soin de chacun de nous, parce que ce qu’il a fait pour eux, il l’a fait pour nous.

Ils étaient en la Chair Immortelle, en Jésus, et tout ce qu’ils vivaient étaient pour être connus en notre chair, afin que jamais on oublie que la chair doit être en les grâces de Dieu. Si nous ne sommes pas dans les grâces de Dieu, nous sommes dans l’esprit du monde, et si nous sommes dans l’esprit du monde, l’esprit du monde nous fera la guerre et il voudra nous détruire.

Si nous lisons l’Ancien Testament, nous savons que les enfants qui n’étaient pas dans la grâce de Dieu étaient entre les mains de ceux qui voulaient les amener à leurs dieux, et ceux qui ne voulaient pas les suivre, ils les tuaient.

Mais ce qu’ils ont fait, ils nous ont montré la puissance de Dieu, parce que les enfants qui ont voulu détruire la vie des enfants de Dieu, pour qu’ils croient en d’autres dieux, n’ont fait que renforcer notre amour pour notre Dieu car, aujourd’hui, nous avons l’amour de Dieu en nous.

Malgré toutes les guerres, malgré toutes les épidémies, malgré tous leurs manques de foi qui ont fait que les enfants de Dieu ont souffert, rien n’a pu nous enlever ce qui était écrit dans notre cœur : «Aime ton Dieu, tu n’as qu’un seul Dieu et c’est moi», c’est ce qui est écrit dans notre cœur. Voilà pourquoi, en ce moment même, Dieu parle en notre cœur.

Ce que nous venons d’entendre, il n’y a que Dieu qui puisse nous le faire entendre. Il nourrit lui-même notre vie d’enfants de Dieu avec ses grâces, afin que nous soyons totalement abandonnés entre les mains de Dieu et, à ce moment même, nous ne formons qu’un seul cœur : le Cœur de Jésus. C’est ce que nous sommes.

Le Cœur de Jésus qui nous dit : «Je suis ton seul Dieu, il n’y en a pas d’autres que moi. Crois en moi et tu auras la vie éternelle. Conduis-toi en enfant de Dieu et je te tiendrai devant tous les enfants pour leur montrer que je les aime», là est notre droit. Nous avons le droit de démontrer à tous les enfants de Dieu que Jésus les aime.

Alléluia, alléluia, Seigneur.