Rencontre d’amour avec l'agir de Dieu à Bourget, Ontario,

par son instrument, la Fille du Oui à Jésus.

 

2005-02-12

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Mon nom, c'est Francine Bériault, ce qu'il y a de particulier en moi, c'est qu'à tous les jours le Seigneur me veut à son écoute dans l'obéissance; il veut que je ne sois totalement qu'à son écoute.

C'est ce qu'il nous demande; il attend de chacun de nous qu'on soit totalement abandonnés dans sa Volonté, qui est la Volonté de son Père : c'est ce qu'il attend de nous.

Nous sommes l'Église et parce que nous sommes l'Église nous devons être à l'écoute de Jésus; mais on n’est pas toujours à l'écoute de Jésus parce qu'on est porté à tourner notre regard vers l'extérieur et, à cause que ce monde nous accapare, nous oublions d'entrer en nous, faire le vide autour de nous pour entendre Jésus.

Jésus est présent en nous, il vit en nous, il fait partie de notre vie.

Il veut qu'on soit totalement attentif à sa Parole; nous avons faim d'amour, nous avons soif d'amour; Jésus est prêt à nous combler, mais nous, nous sommes tellement accaparés par tout ce qu'il y a autour de nous qu'on ne s'arrête pas; on a de la difficulté à prendre du temps pour nous-mêmes, alors comment voulez-vous qu'on prenne du temps pour Jésus ?

Jésus veut nous montrer comment nous donner de l'amour, il veut qu'on s'arrête pour comprendre que c'est lui l'Amour, c'est lui qui peut nous combler : il n'y a que Jésus qui va nous donner un sens à notre vie.

Nous sommes les enfants de Dieu et nous avons de la difficulté à le réaliser, c'est parce que nous ne nous arrêtons pas sur nous-mêmes, nous arrêtons notre pensée sur ce que nous avons accompli, sur ce que nous avons dit durant notre journée, nous nous arrêtons souvent sur ce que les autres ont dit et sur ce qu'ils ont fait.

Jésus, lui, dit : «Pour que vous puissiez comprendre ce que vous avez dit, ce que vous avez fait, ce qu'ils ont dit, ce qu'ils ont fait, il faut que vous sachiez qui vous êtes; vous fonctionnez comme des êtres vides de sens, vides de votre intérieur», alors que Jésus est en nous; il veut prendre toute la place en nous afin de nous guider, afin de nous montrer que nous devons tout ce que nous sommes à son Père.

Si nous sommes sur la terre, c'est parce que c'est son Père qui le veut, ce n'est pas notre choix; ce n'est pas nous qui avons choisi d'être dans le sein de notre mère, c'est Lui, c'est lui-même qui a choisi chacun de nous.

Nous ne nous sommes pas arrêtés pour comprendre le choix de Dieu.

Combien d'entre nous nous avons essayé d'analyser notre vie? Nous sommes souvent retournés en arrière pour comprendre : "Qu’est-ce que j'ai fait de bon dans ma vie, qu'est-ce que cela m'a apporté?” Lorsqu'on regarde ainsi notre vie, on a tendance à baisser les épaules, à être découragés parce qu'on regarde la plupart du temps nos échecs, la plupart du temps on regarde le passé comme quelque chose qui est lourd sur nos épaules : c'est que nous regardons notre volonté humaine : "Qu'est-ce qu'on a fait avec notre volonté humaine, qu'est-ce qu'on a produit de bon dans notre vie, qu'est-ce qu'on a pu donner en tant qu'individu à ceux qui vivaient avec nous, et qu'est-ce qu’eux nous ont donné?" Nous sommes déçus, nous sommes déçus parce que nous voyons que l'extérieur de nous-mêmes; nous ne réalisons pas ce que nous avons été à l'intérieur de nous pour ceux qu'on aime, pour ceux qui vivent autour de nous.

Nous pensons que nous avons fait des gestes et que ces gestes ne nous ont pas apporté bien souvent le bonheur, nous réalisons que nous avons bûché dans notre vie, qu’il a fallu travailler fort pour obtenir ce qu'on avait : lorsqu'on regarde tout ça, on n’est pas tellement fiers de nous.

Mais si on s'arrête un instant et qu'on laisse Jésus prendre toute la place, lui va nous parler avec des mots d'amour, lui va nous dire qu'il a pris soin de nous malgré toutes les paroles que nous avons dites, malgré tous les gestes que nous avons faits et qui n'ont pas été amour, lui va nous dire : «Ne regarde pas en arrière mais en avant. Avance dans ta vie avec ce que tu es, toi; c'est moi qui ai pris tout ce que tu as dit qui n'était pas amour, c'est moi qui ai pris tous tes gestes qui n'étaient pas amour et je les ai purifiés de mon Sang; alors avance et aie ta tête haute, car ce que tu es aujourd'hui c’est les fruits que tu as pu donner, seulement ce que tu as pu donner, et moi j'ai fait le reste : j'ai pris le meilleur de toi-même et je l'ai apporté à Dieu mon Père.

Cesse de te juger ainsi comme étant un être qui n'a pas accompli la Volonté de Dieu, c'est moi qui te connais mieux que toi.

Tout ce que tu as pu faire durant ta journée et qui t'a semblé lourd, toutes les paroles que tu as pu dire qui n'ont pas eu les effets que tu voulais, moi je les ai pris et je t'ai donné de l'amour afin qu'un jour tu puisses te pardonner, afin que les autres aussi puissent comprendre que tu les aimais.

Eux qui ont entendu ces paroles et qui ont souffert aussi à cause de ce que tu leur as dit et de ce que tu leur as fait, eh bien, moi j'étais en eux et je prenais soin d'eux, je prenais soin de leur faire comprendre que tu les aimais malgré tes paroles, malgré tes gestes, et eux t'ont regardé avec plus d'indulgence que toi tu t'es regardé le soir en te couchant, parce que tu pensais à ce que tu leur avais dit, à ce que tu avais fait.» Voyez-vous, c'est notre vie à nous.

Jésus, depuis 2001, me parle ainsi : me fait comprendre qui je suis, ce que nous sommes; depuis 2001 j'entends la voix de Dieu, j'entends la voix de Marie, j'entends la voix de mon ange gardien, parce qu'il veut que je répète ce qui est en vous en ce moment même.

Nous sommes l'Église, nous sommes vivants, nous sommes les membres; nous appartenons à l'Église, à l'Église de Jésus et, Jésus, il est Vivant.

Jésus est venu sur la terre, il est le Fils de Dieu; il s'est fait homme pour venir comme un homme sur la terre : manger comme lui, parler comme lui, dormir comme lui; se reposer lorsqu'il était fatigué, comme nous; il a fait ce que nous nous étions pour faire; mais ce qu'il y avait en lui, c'était l'amour du Père pour nous montrer un exemple d'amour, un modèle que nous devions, nous, devenir un jour.

Nous sommes tous appelés à devenir à la ressemblance de Dieu : du Fils de Dieu fait homme sur la terre et à la ressemblance de Marie, la Mère de Dieu en Jésus.

Pour cela, il fallait que Jésus vienne sur la terre, que nous puissions nous aussi dire : "Jésus a vécu ce que nous avons fait, il a ressenti la fatigue comme nous, lui aussi a pleuré, lui aussi a connu ce qu'était la souffrance parce qu'il a pris chair humaine en venant dans le sein de Marie par la puissance du Saint-Esprit.”

Tout ce que nous sommes, Jésus l'a vécu, c'est ce qui fait notre force; nous ne devons pas nous replier sur nous-mêmes en disant : "C'est impossible que je devienne parfait, c'est impossible que je puisse pas faire de péchés", oui, cela aurait été impossible si Jésus n’était pas venu sur la terre, si Jésus n'avait pas pris chair, si Jésus n'avait pas souffert, si Jésus n’était pas mort sur la Croix; oui, cela aurait été impossible mais, parce que Jésus a tout fait ces mouvements d'amour, cela est possible : il nous montre comment nous comporter, comment nous aimer.

Mais il est difficile de nous aimer parce que ce que nous avons devant nos yeux, c'est toujours nos paroles, nos actions qui nous ont déplu.

Pourtant, nous avons fait de bonnes actions.

Dès notre naissance nous avons souri, dès notre naissance nous avons donné de la joie à nos parents et à ceux qui nous regardait; tous ces mouvements étaient faits de nous, de ce que nous sommes.

Nous n'avons pas quitté cette chair, le petit enfant qui est venu au monde, c'est nous; il est vrai que la chair s'est allongée, a vieilli, est plissée : c'est la même chair.

Les mêmes pensées, qui étaient, sont dans l'enfant, mais il a eu d'autres pensées, (il a) connu des choses qui se sont développées : ce sont les mêmes pensées que nous avions quand nous étions tout petits, mais d'autres pensées se sont rajoutées.

C'est le même regard, nous n'avons pas d’autres yeux que les yeux que nous avons eus dès notre naissance, mais ces yeux que nous avons aujourd'hui ont vu des choses : tous les jours nous avons regardé, et nous avons appris aussi avec les yeux.

Ce sont les mêmes oreilles, nous sommes l'enfant qui est venu au monde, mais avec les années nous avons vieilli, le corps a vieilli : les pensées se sont accumulées, ce que nous avons entendu s’est comme mémorisé à l'intérieur de nous.

Quand on est venu au monde, nous avions des sentiments d'amour : quand on est venu au monde, on voulait que maman nous serre dans ses bras, on voulait que papa nous regarde, on voulait que nos frères et nos sœurs soient autour de nous; ça n’a pas changé, encore aujourd'hui nous voulons que maman soit là, que papa aussi soit là, même s'ils ont vieilli, même s'ils sont décédés; quelquefois, quand on s'arrête, on s'ennuie, c'est qu'on veut ces sentiments parce qu'ils sont en nous, ils nous habitent.

Nous avons accumulé des sentiments à cause que nous avons vieilli : sentiments de peur, de jalousie, de colère, des sentiments de haine, des sentiments d'amour, et ces sentiments d'amour-là sont blessés : ils sont blessés parce qu'on n'est pas comblé; on a toujours ce besoin : de l'amour d'une mère, de l'amour d'un père; voilà pourquoi le garçon, en vieillissant, est porté vers la femme, pourquoi la femme est portée vers l'homme, parce que nous avons en nous des sentiments d'amour.

Lorsque nous avons reçu la vie, nous avons reçu le souffle de Dieu, le même souffle qu'Adam a reçu : l'amour du père : paternel et maternel; et comme nous avions besoin de cet amour, Dieu nous a donné son Fils, il nous a donné sa Fille bien-aimée Marie; et lorsque nous sommes déçus de nous-mêmes, lorsque nous sommes déçus de notre épouse, lorsqu'on est déçu de notre époux, on se tourne vers Jésus et vers Marie, parce que c'est en nous : c'est un sentiment d'amour qui nous habite.

Voyez-vous qu'on n’est pas différent du tout petit enfant qui est venu au monde? On est toujours le petit être fragile.

Mais ce petit être fragile, savez-vous qu'il était plus fort que nous? En vieillissant, on est devenu plus faible.

On est plus facile à se replier sur nous-mêmes et à prendre de bonnes colères, si fortes qu'on s'éloigne des autres, qu'on ne veut pas entendre parler des autres : ceux qui nous ont blessés; alors que l'enfant, lui qui était blessé par maman, il continuait à aimer maman parce qu'il était plus fort, il continuait aussi à regarder papa même si papa avec son regard lui avait dit que ce qu’il avait fait était mal; alors qu'en vieillissant, on a de la difficulté à regarder notre père.

On se souvient des paroles qu'il a dites (et) qui nous ont blessés : aujourd'hui on a de la difficulté à regarder un homme, car aussitôt qu'il est violent, ça vient en nous : ça fait partie de notre être; ça nous fait tellement mal qu'on se retire en dedans, à l’intérieur de nous : on ne veut pas s'ouvrir, on se ferme, on ne veut pas se donner parce qu'on se souvient d'avoir eu trop mal.

Le petit enfant, lui, était prêt à regarder son père, mais c'est en vieillissant que nous avons eu de la difficulté à aimer notre père comme il était : nous avons appris à le juger, nous avons appris à se fâcher contre lui : nous avons fermé des portes.

Nous avons fait la même chose quelquefois avec notre mère : il y a des personnes qui ne sont pas capables de prier Marie, ils se sentent mieux lorsqu'ils prient le Père ou Jésus; ils ne sont pas capables de prier Marie parce qu'ils ont des blessures à l'intérieur d'eux : en vieillissant, ils se souviennent des paroles de maman : de ces blessures à l’intérieur d’eux.

Ces pensées qui sont à l'intérieur d'eux les nourrissent, et eux s'en nourrissent; ils ne pardonnent pas ou ils veulent pardonner, mais ils ne sont pas capables de se délivrer : de se libérer de toutes ces pensées, de ces sentiments qu'ils ressentent quand ils pensent à leur mère.

Quand ils étaient petits, ils regardaient maman avec les yeux de l'amour en disant : "Aime-moi maman parce que je t'aime; je ne comprends pas maman pourquoi tu es fâchée contre moi alors que je t'aime; pourquoi es-tu si sévère envers moi, j'ai fait mon possible aujourd'hui? Pourquoi tu me rejettes, j'ai tant besoin de tes bras; où sont tes bras, maman?" Ça a entré en nous, ça fait partie de notre vie.

Aujourd'hui, qu’on est grand, on pense à tout ça, et quand on s'arrête, ça fait mal; voilà pourquoi, quand on pense à Marie, on identifie la Mère de Dieu comme étant une maman : on a de la difficulté à prier la Sainte Vierge.

Alors Dieu veut nous faire comprendre : c'est parce que le petit bébé, qui a souffert, a vieilli et a conservé ces pensées-là en lui, ces sentiments-là en lui, et ça fait encore mal : lui est comme prisonnier, il a de la difficulté à se libérer de ça.

Et Satan ne veut pas qu'on s'en libère non plus; Satan fait tout

pour nous faire penser à ce qui nous habite à l'intérieur de nous.

Tant qu'on se tient dans ces sentiments, on se tient dans la peur, dans la peine, dans le doute, dans la colère, dans le désespoir, et on vieilli, et en vieillissant on obtient de la sagesse, comme on dit, on repense à notre passé et on regrette : "On regrette de ne pas avoir dit à papa qu'on l'aimait, à maman qu'on l'aimait, mais c'est trop tard, ils sont décédés."

Et on vit dans la peine; lorsqu'on vit dans la peine, on est pour les autres des êtres de peine; ils trouvent qu'on ne sourit pas souvent, qu'on est des êtres négatifs, qu'on a tendance à parler de nos bobos : on devient pour eux des radoteux; c'est parce qu'on laisse sortir de nous ce qui nous habite.

Toutes ces pensées, toutes ces actions que nous avons faites, tous ces sentiments qui nous habitent, mais ça forme notre caractère, ça forme l'être que nous sommes dans la façon de marcher, dans la façon de nous tenir, dans la façon de regarder, de sourire, nos expressions; alors, Jésus veut nous démontrer que tout ce qui a été négatif dans notre vie, il l'a pris, il l'a enveloppé de son amour afin qu'on puisse avancer.

Maintenant, il est en train de nous développer, il nous ouvre des ouvertures intérieures pour nous dire : «Allez à l'intérieur de vous, je veux vous montrer ce que vous avez vous-mêmes consenti à conserver.»

Croyez-vous qu'à sept ans, dix ans, on n'a pas réalisé qu'on était malheureux? Qu’il y avait des choses qui ne fonctionnaient pas? Nous n'avons pas donné cela à Jésus.

On avait un ange gardien et on y croyait à notre ange gardien, et on n’a pas demandé à notre ange gardien de nous aider, on en était conscients : on était plus prêts de se laisser guérir à cet âge-là qu'à l'âge que nous sommes rendus.

D'année en année, d'âge en âge, les hommes et les femmes sont devenus

épris d'eux-mêmes : de leurs défauts.

On a donné un héritage à nos enfants, nos parents nous ont donné un héritage, les grands-parents ont donné un héritage à nos parents, nos arrière-grands-parents, à nos grands-parents parce qu'ils ont été des petits enfants eux aussi; eux aussi, en vieillissant, ont accumulé en eux des pensées qui les ont fait souffrir, des sentiments qui les ont fait souffrir.

Croyez-vous qu'au temps des apôtres, ils n'avaient pas vécu ce que nous nous vivons aujourd'hui? Si Jésus a été sur la Croix, ce n'est pas parce que c'était la mode de mettre des hommes en croix, c'est parce qu’il y avait la souffrance : là où il y a de la souffrance, là où il y a de la violence, de la colère, de la haine, des pleurs, des déceptions.

Si les hommes ont voulu idolâtrer des dieux en faisant des statues, c'est qu'ils avaient un besoin, un besoin qu'on vienne les aider; ils criaient : "Qui va nous donner ce qui manque en nous?" Ils étaient dans une souffrance terrible : remplis de colère, de haine; ils s'entretuaient; ils tuaient des tout petits bébés.

Aujourd'hui, nous qui sommes dans la souffrance, même dans la haine, nous n'avons qu'à regarder les guerres; pour avoir des guerres, il faut qu'il y ait de la haine, c'est parce que ces personnes sont dans la souffrance.

Si, nous, en ce moment même, nous avons en nous l'amour, même un amour qui a mal, qui a besoin de tendresse, c'est parce que Jésus est venu avant nous : Jésus a porté tous nos péchés et les a enveloppés de son Précieux Sang, il a porté tout ça à la mort et ça nous a donné une force.

Maintenant, Jésus dévoile les choses à l'intérieur de nous.

Ces rencontres ont pour but de nous démontrer qui nous sommes à l'intérieur de nous, nous sommes choisis avant même de venir ici.

Ce matin, à la messe, lorsque j'ai reçu la communion, je suis retournée à mon banc et là, Jésus, à l'intérieur de moi, m'a dit : «Regarde», et je voyais des bras, des bras étendus vers le Ciel les mains ouvertes, et Jésus a dit : «Regarde, mes enfants ont faim, ont soif de moi, je veux leur parler.»

Lorsque Jésus m'envoie, il choisit chacun d'entre vous, il choisit l'endroit où je dois parler et il rassemble vos cœurs dans son Cœur, et il parle directement à votre cœur, et j'entends ce qu'il vous dit.

L'Esprit Saint plane sur chacun de vous et nous faisons qu'un tout en l'Église; ces paroles sont aussi pour tous ceux qui veulent voir et entendre : tout va être écrit pour que chacun puisse en prendre connaissance afin de grandir dans l'amour de Dieu; vous êtes ici comme moi je suis ici en tant qu'instruments d'amour.

Parce que vous êtes membres de l'Église, vous avez consenti aujourd'hui à vous donner pour vos frères et vos sœurs du monde entier qui vont prendre connaissance de ces paroles; il a fallu que vous soyez ici pour ne former qu'un seul cœur et comme Jésus connaissait votre cœur, connaissait ce qui vous habite, il vous a parlé afin que vous puissiez aussi aider les autres qui vivent la même chose que vous.

Plusieurs entendent des mots qui répondent à leur vie; ce n'est pas le hasard parce que Jésus le savait; il se sert de vous pour les autres : Jésus veut soigner tous ses enfants.

Nous avançons dans un temps d'amour, nous nous laissons envelopper des grâces de Dieu pour son Église.

L'Église de Jésus, c'est tous les enfants de Dieu : de toute la terre; lorsqu'il est venu fonder son Église, il est venu pour tous les enfants de son Père, sans exception, de toutes langues, de toutes nations; il est venu pour chacun de nous; c'est l'Amour, Jésus, c'est le Fils de Dieu.

Nous devons apprendre à nous laisser envelopper du Saint-Esprit pour donner de nous-mêmes.

Faire partie de l'Église, c'est consentir à aimer son prochain comme il nous a aimés, c'est faire sa Volonté, pas notre volonté.

Toutes les souffrances qui nous habitent, Jésus les connaît puisqu'il les a enveloppées de son amour, puisqu'il a fait couler son Précieux Sang sur (nous, à cause de) nos péchés : tout cela a été en Jésus et Jésus veut nous faire connaître ce qui est en nous et qui nous fait si mal, il veut qu'on lui donne (tout); il veut qu'on soit l'enfant qui est venu au monde et qui faisait confiance à son père et à sa mère, l'enfant qui n'était pas encore blessé, l'enfant qui faisait confiance; il veut qu'on soit cet enfant : il veut qu'on revienne au monde.

Hé! comment on va faire, nous, avec tout ce qui est en nous? Jésus dit : «C'est seulement de donner»; aussitôt qu'il y a quelque chose qui vient à l'intérieur de nous, on doit consentir à le lui donner; aussitôt qu'un sentiment vient en nous, on doit consentir à le lui donner, puis à dire : “Viens me guérir, viens aussi guérir les conséquences de mes pensées, de mes actions, parce que j'ai fait souffrir!

À cause de mes pensées, à cause de mes paroles, à cause de mes actions, il y en a autour de moi qui ont souffert à cause de moi; quand j'étais jeune, ma mère a souffert, mon père, mes sœurs, mes frères, mes voisins, mes amis, mon épouse/mon époux, mes enfants, mes petits-enfants et ceux que je ne connaissais pas et qui, pourtant, faisaient partie de ma vie; à cause de ce que j'étais, il y a eu des conséquences à tout ça; eh bien, viens les prendre, je te les donne : tu les as enveloppées pour me protéger, alors elles t'appartiennent; prends-les, je n'en veux plus, viens me guérir."

Et croyez-moi que Jésus va le faire, il ne s'arrêtera pas là; il va ressurgir de vous, de votre intérieur, des images : "Comment ça se fait que je viens de m'apercevoir de ça, j'avais jamais pensé à ça (avant), puis ça fait tellement d'années!" C'est Jésus, par la puissance du Saint-Esprit, qui vous fait voir ça; c'est votre vie que vous allez voir.

Vous allez repenser à quelque chose que vous aviez oublié, eh bien, c'est du nettoyage.

Jésus va purifier ce que nous on a consenti à conserver, et ça va aller beaucoup plus loin.

Lorsqu'on était tout petits, on a vu des actions qu'on n'a jamais comprises et on a refoulé ça à l'intérieur de nous, ne voulant pas y penser; parce que ça faisait trop mal et on ne connaissait pas ces actions, alors on a cherché à entrer ça au plus profond de nous-mêmes : ça va ressurgir.

Il ne faut pas paniquer, il faut tout simplement donner ça à Jésus et vous allez voir que la paix va venir; vous allez apprendre à vous pardonner, ça va être beaucoup plus facile pour vous : le sourire va venir plus facilement, vous allez arrêter de vous inquiéter parce que vous ne savez pas quoi faire à manger, vos commissions ne sont pas faites, le ménage n’est pas fait : "Mon ouvrage retarde, je suis en retard, mon boss va me sauter (dessus)”; tout ça va prendre un autre visage, parce que vous allez voir qu'à l'intérieur de vous il va y avoir de la confiance qui va se développer : une paix; vous allez apprendre à vivre au présent, et vous allez être surpris que votre boss a un sourire cette journée-là, et s'il n'en a pas, vous allez être surpris de (vous) dire : "Ben, Seigneur, je te le donne", et ça va venir tout seul (en vous), sans un effort : votre peur va disparaître.

Lorsque vous allez être dans la paix, vous allez ressentir des choses; arrêtez-vous et dites : "Seigneur, qu'est-ce que tu veux me faire connaître?" et cela va remonter; vous allez être en communication avec votre intérieur en Jésus, et l'Esprit Saint va vous le montrer : c'est ce qu'il attend de nous.

Depuis 2001, Jésus parle en les cœurs à travers la Fille du Oui à Jésus; n'oubliez que la fille du oui à Jésus, c'est toi, c'est toi, c'est toi, c'est toi, c'est toi; le fils du oui à Jésus, c'est toi, c'est toi, c'est toi, c'est toi, c'est toi.

Oui, puisque Dieu le Père nous a donnés à Jésus, nous sommes tous les filles et les fils du oui à Jésus; nous devons prononcer notre oui, comme Jésus l'a fait, comme Marie l'a fait; ils sont nos modèles, alors nous sommes comme eux.

Nous devons dire oui à Jésus constamment parce que Jésus, c'est la Perfection, c'est la Douceur, c'est la Bonté, c'est la Miséricorde; nous ne devons pas dire non à la Bonté, à la Miséricorde, à la Sagesse : il est tout ce qui est bon, et Marie est tout ce qu'il y a de plus parfait après son Fils, elle est pour nous un modèle d'amour, elle la première humaine sur la terre.

Alors, nous devons avoir notre regard sur Marie parce qu'elle nous emmène au Fils, elle est notre Mère, elle est notre Sœur, oui, elle est notre Sœur parce qu'elle est la Fille de Dieu le Père, alors elle est notre Sœur pour ceux qui ont de la difficulté à la prendre comme une Mère.

Voyez-vous que Dieu est plein d'amour? Il veut même qu'on prenne Marie comme si elle était notre Sœur.

Mais lorsque nous n'aurons plus de blessures, lorsque nous n'aurons pas de sentiments contre notre mère sur la terre, là nous prendrons Marie comme Maman d'amour.

Dieu veut que chacun de nous, on se laisse purifier, et il prend tous les moyens

pour nous le faire comprendre, pour nous le faire vivre.

Il n'a pas de limites dans son amour pour nous et il est infiniment amoureux de nous; Jésus s'est donné sans condition pour que nous soyons à son Père, et il prend tous les moyens.

Depuis plusieurs années, il envoie sa Mère sur la terre : elle apparaît, elle parle, elle nous donne des messages, elle nous avertis de ce qui s'en vient.

Souvenez-vous lorsqu'elle a dit à Fatima : «Priez le rosaire, pénitence»; elle dit à plusieurs endroits : «Priez avec le cœur, faites pénitence, aimez-vous les uns les autres et Dieu écoutera vos prières, regardera vos actions».

Et sa colère : si nous pouvions, nous, comprendre que la colère de Dieu n'est qu'amour; ce n'est pas une colère comme nous, nous pouvons comprendre; parce que la colère de Dieu, c'est la justice de Dieu; alors la justice de Dieu sera sur nous avec des gestes d'amour pour nous parce que, nous, nous nous serons donnés dans la prière.

Beaucoup vont connaître l'Amour; n'ayons pas peur, ayons foi en nos prières.

Il est vrai que Dieu nous parle d'une purification de la terre; plusieurs ont entendu parler d'un grand châtiment; mais lorsque nous entendons aussi parler d'amour, de purification, de miséricorde, qu'avons-nous à craindre? Jetons notre regard vers ce qui est bon, pas ce qui fait peur!

Dieu ne nous a pas parlé ainsi pour qu'on ait la peur en nous, mais qu'on ait la confiance en nous pour qu'on puisse avancer dans l'amour.

Savez-vous, qu’on croit, nous, que Jésus va se montrer en nous, mais on croit aussi qu'on va souffrir, et on croit aussi que nos enfants vont souffrir : on a tellement peur qu'on se met à pleurer!

Jésus nous dit : «Mes enfants d'amour, n'ayez donc pas peur; si j'ai pris soin de vous, combien je prends soin de vos petits enfants qui ont entendu vos paroles, qui ont vu vos gestes, qui ont senti à travers ce que vous êtes devenus que vous étiez habités de sentiments de peur, de sentiments de colère, de déception!

Ces petits enfants qui sont vos enfants sont à moi, je prends soin d'eux; ils vont vivre leur purification comme vous, vous êtes en train de vivre votre purification.

Croyez-vous qu’eux ne sont pas en train de vivre leur purification?

Enfants d'amour, regardez autour de vous! Ces enfants souffrent parce qu'ils sont obligés de travailler pour obtenir ce qui leur est nécessaire pour leur quotidien, et ils acceptent; ils acceptent ce que leur patron exige d'eux, et ils acceptent de voir leurs enfants qui s'ennuient d'eux, et ils acceptent de ne pas être capables de demeurer à la maison; ils acceptent de faire des actions qui ne sont pas comme eux le voudraient, et ils gardent leur sourire.

Vos enfants, mes enfants, font de bonnes actions aussi, mais à cause de toutes vos souffrances vous voyez toujours le mauvais côté; vous vous identifiez, à ce que vous êtes à l'intérieur de vous, à eux; ce que vous voyez d'eux, leur souffrance, est votre souffrance, mes enfants; vous pleurez sur vous-mêmes et vos enfants vous regardent pleurer, et ils apprennent à pleurer eux aussi sur leurs enfants : mes amours, je veux commencer à vous montrer à avoir confiance en Dieu, en l'Église.

Ayez confiance en votre Dieu d'amour, je vous demande votre oui.

Lorsque je vous ai dit, mes enfants : «Abandonnez-vous, donnez-moi tout et moi je ferai tout»; je ne vous ai pas dit : «Demeurez assis sur vos lauriers à attendre», je vous ai dit : «Abandonnez-moi tout, donnez-moi tout, prononcez vos oui; c'est cela, ce que j'attends de vous.

Je vous veux tels que vous êtes, et à moi de vous purifier de tout ce qui vous a fait souffrir, et je vais faire de vous des êtres d'amour, des êtres renouvelés par mon amour, par mon feu d'amour.

Avancez dans ce temps d'amour où tout vous semble perdu, où tout vous semble en dessous dessus, ayez confiance en Dieu; je vous aime, mes enfants».

Jésus, il dit : «Maintenant, prenez un temps de repos».

Merci, Jésus.

 

Le Saint-Esprit : Jésus annonce à chacun d'entre vous qu'un temps, où vous devez vous prendre, est en votre présence; ce temps, c'est un temps de purification.

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : L'Église nous a parlé du retour de Jésus : nous, quand nous entendons parler du retour de Jésus, on pense à la fin du monde, mais ce n'est pas ce que Dieu est en train de nous faire vivre pour le moment; c'est un temps de purification, c'est un temps où Jésus nous fait réaliser ce que nous sommes à l'intérieur de nous.

C'est comme s’il voulait qu'on entre à l'intérieur de nous et qu'on réalise que la vie est en nous, que la vie a fait son cours avec ce que nous avons pensé, avec ce que nous avons ressenti, avec toutes nos actions.

Ça s'est comme imprimé à l'intérieur de nous, et Jésus veut que nous puissions nous libérer de toutes nos souffrances; il veut arracher de nous tout ce qui a pu être la conséquence de nos maladies, la conséquence de nos manques d'abandon à son Père.

Si, nous, on résiste à ne pas vouloir faire la Volonté de Dieu le Père en tout temps, c'est parce qu'à l'intérieur de nous il y a des souffrances, et ces souffrances nous emmènent là où nous ne voulons pas aller.

Dieu le Fils est venu sur la terre et il nous a dit de faire la Volonté de son Père, de venir mourir en moi afin que vous puissiez être tout à Dieu.

Mourir en Jésus, c'est continuer à vivre notre vie, mais en lui; prendre ce qu'il y a de meilleur en nous et, avec cela, vivre notre vie au présent.

Jésus veut arracher de nous le mal qui s'est installé à l'intérieur de nous au moment où Adam et Ève ont désobéi à Dieu; il veut déloger le mal, il veut que le bien fasse partie de notre vie, seulement le bien, et le Bien, c'est Jésus; c'est le Bonheur, Jésus; c'est la Vie éternelle, Jésus.

Tout ce que Dieu le Père a donné à son Fils, le Fils veut nous le donner; tout, sans condition : Jésus est venu sur la terre, il a pris chair, il a fait la Volonté de son Père.

Le mal n’était pas en Jésus.

Jésus veut que nous soyons à sa ressemblance, alors il veut arracher de nous ce qui est mal; pour arracher de nous ce qui est mal, il faut qu'on fasse une chose : renoncer à notre volonté humaine.

Lorsque, dans les premiers temps, on a entendu parler de lui donner notre volonté humaine, il y en a qui ont dit : "Oh! si je lui donne ma volonté humaine, qu'est-ce qu’il va me rester? Moi je veux continuer à m'amuser, moi je veux continuer à faire ce qui me plaît; je veux être maître de mes pensées, je veux être maître de mes sentiments" : ils se sentaient comme opprimés par ce qu’ils venaient d'entendre, ils voulaient être eux-mêmes, ils ne voulaient pas qu'un autre fasse leur vie.

Jésus, il dit : «Mes enfants, c'est parce qu'il n'a pas compris que s'il vit, c'est parce que je suis en lui; s'il respire, c'est parce que je suis en lui; s'il a des sentiments d'amour, de bonté, de partage, de douceur, d'amour, c'est parce que je suis en lui; s’il a ce besoin : de travailler, de se donner pour ceux qu'il aime, c'est parce que je suis en lui, c’est moi le Soleil; s'il a le goût de marcher, de faire de la bicyclette, de faire du ski, c'est parce que je suis en lui; s'il a le goût de bien manger, c'est parce que je suis en lui; s'il a le besoin de dormir lorsqu'il est fatigué, c'est parce que je suis en lui : tout ce qui est bon, c'est moi qui le nourris parce que je suis la Vie, je suis la Bonté, je suis le Bien en lui.

S'il a le goût de crier de colère, de frapper son voisin, de parler contre un autre, de voler, de mentir, d'injurier, de ne pas respecter les autres, c'est parce qu'il a en lui le mal; s’il l'écoute, c'est parce qu'il est faible : il n'est pas capable par lui-même de dire non au Tentateur; il refait les mêmes gestes qu’Adam a faits lorsqu'il a dit oui au Tentateur qui a passé par Ève.

Il a sa volonté humaine en lui; c'est ce qui le fait souffrir, c'est ce qui l'empêche de venir à moi, de me donner sa vie, de me confier tout ce qui est à lui afin que j'en prenne soin, afin que je puisse le combler, afin de multiplier toutes ses bonnes actions, tout ce qui est bon pour lui.

S'il doute que je peux faire de lui un être parfait, un être fait que de bonté, c'est parce qu'en lui il a le mal, et le mal fait en lui sa place : il s'est rendu maître de sa vie et lui ne s'en est pas rendu compte.

C'est le mal qui l'empêche de se donner, de s'abandonner; c'est le mal qui ne veut pas qu'il voie, qu'il entende l'amour de Dieu qui l'appelle.

Cela est devant vous, mes enfants, c'est ce que vous vivez; vous-mêmes, qui voulez être tout à Dieu, vous devez prendre vos choix et me les donner, ainsi je pourrai prendre soin de vous, vous faire découvrir ce qui est bien pour vous et vous faire voir ce qui est mal; vous aurez la force de dire non au mal, de me donner ce mal et moi je vais purifier tout ce qui vous a fait souffrir à cause de vos choix qui n'étaient pas les choix de mon Père.

Votre purification se fera avec votre volonté humaine.

Enfants d'amour, Adam et Ève ont choisi de vivre dans la volonté humaine et c'est dans la volonté humaine que vous, vous devrez faire vos choix; c'est dans la volonté humaine que vous allez vous laisser purifier par un feu d'amour; c'est dans la volonté humaine que vous devrez passer l'épreuve de l'amour.

Adam et Ève devaient passer l'épreuve de l'amour; ils étaient dans la Divine Volonté, et ils ont choisi d'écouter Satan plutôt que de venir vers moi.

Ils devaient passer cette épreuve, cela devait leur apprendre que j'étais tout pour eux, que j'étais amour pour eux; j’ai permis cela afin qu'ils soient parfaits en tout, afin qu'ils aient la grâce de la lumière en toute chose, mais ils n'ont pas passé cette épreuve avec l'amour que j'avais déposé en eux : ils ont désobéi.

Ils sont entrés dans leur volonté humaine et vous, qui êtes la descendance d'Adam et Ève, dans votre volonté humaine vous devez passer l'épreuve de l'amour pour entrer dans la Divine Volonté : totalement purs en votre âme, en votre chair.

 

Dieu le Père : Mon Fils vous a été donné par amour. Il a laissé couler son Précieux Sang vous couvrant, afin que vous puissiez regarder ce que vous étiez devenus à cause du péché.

Cela est permis par le Père pour que vous puissiez vous regarder, car sans le Précieux Sang de mon Fils, vous n'auriez pas la force de regarder ce que vous êtes devenus à cause de votre volonté humaine, il n'y a que mon Fils qui peut vous donner cette force, par vous-mêmes vous ne pouvez pas.

Ces temps ont été choisis depuis toute Éternité. Car Dieu connaissait les hommes, Dieu savait ce que vous étiez pour faire; mais l'amour de Dieu est au-dessus de ce que vous pouvez comprendre : l'amour est infini en Dieu, l'amour est parfait en Dieu.

La joie de voir son Fils prendre tout en lui, purifier tout en vous, la joie de savoir que la Fille bien-aimée du Père gardait en son Cœur toutes vos souffrances pour me les donner sans condition, dans un oui parfait, a été une consolation pour votre Père.

Elle est votre Mère, elle est ma Bien-aimée, et la joie qu'elle m'a donnée est au-dessus de tout, elle, la Fille choisie pour porter en son sein mon Fils bien-aimé fait homme pour prendre tous vos péchés.

Comment, vous, pouvez-vous comprendre tout cela avec votre volonté humaine? En ce moment même, vous ne pouvez, avec mes grâces, que contempler l'extérieur de cette joie; vous ne pouvez pas saisir l'intérieur car vous ne pourriez résister à tant d'amour, à tant de joie, à tant de puissance.

Vous avez été choisis, vous êtes mes élus. Vous vivez un temps de purification en votre chair par la puissance de l'Amour; par le Précieux Sang de mon Fils vous recevez des forces qui vous sont nécessaires pour votre purification.

Le temps de votre purification n'est connu que de moi. Accomplissez-vous dans votre chair au présent, je vous donne des grâces pour votre présence et ces grâces que je vous accorde vous aident pour la suite de votre purification.

Il est très important que vous viviez votre présent. Ceux qui ne profitent pas du présent, qui se conservent dans la douleur, dans la peur, dans les doutes, souffrent en leur chair, ne comprennent pas ce qui se passe; si Dieu permet (d’entendre) cela, c'est pour vous faire comprendre que seul l'abandon sera pour vous des grâces, c'est là que vous allez retrouver votre paix; voilà ce qu'est mourir en mon Fils.

Ne plus faire votre volonté mais que ma Volonté. Tel mon Fils a vécu à l'agonie vos péchés, vos souffrances, tels vous devez vivre; vous devez vivre votre présent dans l'amour de mon Fils pour le Père : tout vous est accordé.

Gardez cela en votre cœur comme ma Fille bien-aimée a tout gardé; vous êtes mes choisis; vous devez vivre cela pour que d'autres vivent leur purification.

Vous êtes mes modèles pour eux. Mes enfants qui souffrent ont besoin de modèles, mes enfants; ils ont besoin de comprendre et de voir, et vous serez ce qu'ils auront besoin : vous serez comme la force en Jésus pour eux, et lorsqu'ils auront compris, eux aussi seront totalement abandonnés dans l'amour de mon Fils, dans mon amour.

Les voies que Dieu prend vous sont inconnues. Dieu est la Puissance, Dieu est la Perfection, à moi seul de vous faire comprendre, au moment où moi je le veux, votre vie en mon Fils; votre volonté humaine est dans ce que vous devez vivre jusqu'au moment où elle sera totalement anéantie par le oui de mon Fils.

Ce que je veux vous faire comprendre, c'est qu'elle doit renoncer, se laisser envelopper de la Volonté de Dieu, de la Divine Volonté.

Vos oui seront des oui qui enlèveront à votre volonté humaine sa force, une force qui n'a pas pu vous apporter le bonheur; cette résistance, mes enfants, doit tomber pour que vous redeveniez le tout petit bébé que vous avez été.

Chacun de vous, vous allez vivre cela en votre chair. Vous allez ressentir ces sentiments qui font mal, ces sentiments qui résistent, qui ne veulent pas donner à Dieu le Père toute la place.

Combien d'entre vous, mes enfants, résistent devant ma Volonté d'amour? Vous croyez que vous avez raison, vous voulez croire que ce que vous ressentez est bon pour vous; moi je suis votre Père, je sais ce qui est bon pour vous.

J'appelle tous mes enfants à venir vers moi, car telle est votre raison sur la terre; vous venez en ce monde pour venir vers moi : chacun de vous venez en ce monde pour moi afin que vous ayez le bonheur dans l'éternité.

Chaque enfant qui est venu sur la terre et que j'ai appelé, c'est parce que c'est moi qui l’aie voulu; ce n'est pas à vous de savoir le moment, ce n'est pas à vous de connaître le moment où je vous appellerai.

Chaque enfant qui vient sur la terre doit s'accomplir, faire des gestes d'amour et lorsque le moment est venu, c'est que votre âme a reçu ce qui lui était nécessaire pour montrer à Dieu le Père son amour, ses fruits, ses œuvres.

L'âme est à Dieu. Savez-vous, mes enfants, que votre âme a un besoin de venir vers moi? C'est si fort en l'âme, c'est la vie spirituelle, elle a soif de Dieu, elle ne se complaît qu'en Dieu.

Lorsqu'un enfant quitte la terre, il voit sa vie, il voit toutes ses actions : celles qui ont été bonnes et celles qui ne l'ont pas été; celles qui ont été bonnes sont présentées à Dieu comme des fruits d'amour; celles qui n'ont pas été bonnes sont jetées, et lui, l'enfant d'amour qui à soif de Dieu, qui veut tout pour Dieu, sait qu'il s'est mal conduit, et il va lui-même dans un feu d'amour pour être pur; sa joie est tellement grande que cela devient pour lui sa raison de vivre l'éternité devant Dieu le Père.

Et vous, enfants d'amour, qui demeurez sur la terre, réjouissez-vous, soyez dans l'allégresse de voir que les êtres chers sont dans la joie, car ils savent qu'ils ont la vie éternelle et que Dieu le Père est leur récompense : Dieu n'est qu'amour; lorsque vous, mes enfants, je vous appellerai, vous viendrez vers moi.

J'ai fait connaître à ce monde des enfants qui ont connu la lumière : la lumière d'Amour, la lumière qui attire, la lumière qui récompense, la lumière qui attend; ils ont été si près de cette lumière que tout se tendait vers cette lumière, et Dieu a permis que ces enfants aillent témoigner de cette lumière parmi vous, et cela a changé leur vie : ils ont tourné leurs regards vers Dieu, ne voulant qu’aller vers Dieu une fois que leur mission sur la terre serait terminée.

Si ces enfants témoignent du bien qu'ils ont ressenti devant la lumière qui n'était pas encore Dieu, combien plus, mes enfants, la joie sera grande pour eux lorsqu'ils seront devant Dieu!

Vous qui êtes ici vous ne pouvez pas comprendre. Donnez à Dieu ce qui est à Dieu et faites confiance en Dieu; gardez-vous dans la paix et dans la joie; vivez votre purification sur la terre dans la paix; soyez le petit enfant qui fait confiance en Dieu.

Vous qui avez vieilli, mes enfants, vous qui voyez cela avec des yeux d'adultes, des oreilles d'adultes, un cœur d’adulte, des pensées blessées, des sentiments blessés, je vous dis, moi, votre Père : "Je sais ce qui est bon pour vous, je vous ai donné mon Fils parce que je savais que sans mon Fils vous n'auriez pu vivre ces instants d'amour sur la terre et ceux qui sont déjà partis avant vous n'auraient pu vivre ces instants de lumière, au moment où ils ont vu leur vie devant eux".

Il fallait que mon Fils vienne parmi vous, qu'il vive votre vie. Alors, ayez confiance et donnez-lui votre vie, et à chaque jour, recevez mes grâces d'amour, de paix, de joie, de lumière, d'abandon, d'humilité.

Soyez humbles, mes enfants. L'humilité vous rend obéissants à mes demandes d'amour pour vous et pour vos frères et vos sœurs; ce n'est pas seulement pour vous que je parle, mais pour ceux de l'Église, les enfants que j'ai donnés à mon Fils.

Vous êtes mes enfants. Soyez tout amour pour vous, soyez tout amour pour vos frères et vos sœurs en mon Fils;

ma Fille bien-aimée vous enveloppe de son manteau d'amour, afin que vous puissiez comprendre la grandeur de votre présence en cet instant, car cela s'est inscrit dans votre vie, dans votre vie éternelle : soyez dans l'accomplissement de ma Volonté.

Je vous bénis, mes enfants; par la puissance de l'Amour divin : Père, Fils et Esprit Saint vous bénit. Amen.

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : À chaque fois que Dieu parle, il y a un mouvement qui se fait dans l’Église : c'est du nouveau, on est renouvelé; ce que nous étions, il y a quelques instants, n'est plus.

C'est comme si nous étions de nouveaux enfants, c'est comme s’il avait mis sur nous une couche nouvelle; cette couche nouvelle, c'est un manteau d'amour : l'amour de son Fils.

Il nous couvre de l'amour du Fils afin que nous puissions continuellement se donner pour les autres : nous sommes venus sur la terre pour nous donner nous aussi.

Faire des bonnes actions, c'est ce que nous devons faire.

L'Église nous a toujours dit de faire ce qui est bon parce que Dieu le Père nous regardait, mais c'est se donner comme son Fils!

Plusieurs font des actes de charité et ils disent que lorsqu'ils font des actes de charité envers leur prochain en aidant les pauvres, qu'ils sont heureux, et c'est ce qu'il veut que nous, nous fassions; il veut qu'à chaque jour on se donne pour notre prochain afin d'être heureux : heureux avec notre épouse/heureux avec notre époux, heureux avec nos enfants.

Parce que lorsque nous allons retourner chez nous, ils auront reçu des grâces eux aussi qui les auront enveloppés et fait d'eux des nouveaux enfants, mais ils ne le sauront pas tout de suite : tout va être en eux.

Ils vont continuer encore, comme nous, à vivre dans leur volonté humaine; ils vont encore dire des paroles blessantes; ils vont nous bousculer, ils vont nous obstiner; ils vont nous mettre en colère; ils vont continuer, pour certains, à blasphémer, à nous conter des mensonges, à ne pas vouloir qu'on leur parle de Dieu, à ne pas suivre les commandements de Dieu, à ne pas aller à la messe.

Mais nous, nous allons être charitables, nous allons faire exactement ce que Jésus a fait : nous donner sans condition, sans juger, être patients comme Jésus l'a été, à les aimer comme Jésus nous a aimés, à les endurer comme Jésus nous a endurés, à leur donner des sourires malgré qu’eux nous disent des bêtises, à les aider financièrement malgré qu'on sait qu'ils viennent de nous voler, à vouloir les aider dans leurs études mêmes si eux ne veulent pas qu'on les aide : cela doit se faire avec discrétion, c'est cela vivre notre vie en êtres charitables.

Combien de fois on a fait des actions et lorsqu'ils nous disaient : "Ah! viens pas m'achaler! Ah! tu sais pas toi! Ah! viens pas me parler!" ça nous frustrait, on se retournait et on disait : "Ah! arrange-toi avec tes problèmes!"

Mais Jésus n’a pas dit ça, lui; Jésus a continué, Jésus a pris sa Croix, puis il a avancé; alors, nous autres aussi nous allons faire de même, nous allons apprendre en Jésus à développer notre patience, nos pardons, à développer nos sourires.

Ça ne sera pas facile, vous allez voir que vous allez trébucher vous autres aussi; c'est ce qu'on a essayé de faire depuis notre jeunesse, ce n'est pas nouveau; ce qui est nouveau aujourd'hui, c'est que Jésus est en train d'enlever le mal en nous qui nous a blessés, et ça nous donne des forces; c'est ça qui est nouveau, il est en train de purifier notre chair afin que nous puissions faire des actes charitables, mais qui demeurent charitables.

Nous allons continuer encore, et encore, et encore, à faire des gestes, mais on va être capables de supporter à notre tour, d'aider à notre tour, de patienter à notre tour, ceux qu'on veut qu'ils nous suivent.

Le chemin qu'on va suivre ça ne sera pas le nôtre, ce sera celui de Jésus; le chemin qu'ils vont suivre ça ne sera pas notre chemin, mais ce sera celui de Jésus.

Vous savez, quand on a voulu faire des bonnes actions, on voulait que nos enfants fassent comme nous, qu’ils réussissent comme nous ou qu'ils fassent ce que nous autres on n’a pas réussi à faire : c'était notre chemin; c'était nos choix qu'on voulait leur imposer, mais Jésus a respecté nos choix et il veut qu'on respecte leurs choix.

Comme on n'a pas réussi à le faire à cause de notre volonté humaine, à cause de tout ce qu'on avait accumulé de souffrances, Jésus, lui, va le faire pour nous.

Il a toujours voulu le faire pour nous, mais c'est comme s'il avait attendu ce moment : un moment voulu de Dieu le Père, car il savait, Dieu le Père, le moment où nous, nous étions pour être capables.

Si cela serait arrivé il y a mille ans, cent ans, cela n'aurait pas eu cet impact, parce que c'est Dieu qui nous l'a dit, ce n'est pas nous.

Cela ne vient pas de notre volonté, cela vient de la Volonté de Dieu parce que nous l'avons entendu; nous pouvons répéter des paroles que Dieu nous dit et ces paroles, nous y croyons, parce que nous les vivons; on apprend maintenant à être plus patient, à avoir la paix en nous.

Beaucoup d'entre nous ressentent des choses, vivent des choses, ils voient et ils entendent : c'est le temps.

D'autres avant nous ont vécu des choses extraordinaires; nous avons seulement qu'à penser à saint François de Sales, saint Jean de la Croix, sainte Thérèse d'Avila; on pourrait en nommer, je serais encore assise demain ici; ces personnes-là ont vécu des choses extraordinaires dans leur vie : la présence de Dieu; ils ont aussi entendu, ils ont vu Jésus; ils ont senti la présence de la Sainte Vierge, certains l'ont vue; tout était pour leur temps à eux, afin de nous aider à nous édifier : ils étaient comme des lumières pour nous.

Combien d'entre nous, qui ont eu la chance de lire, ont grandi dans leur foi : cela n'a pas été du hasard; Dieu avait préparé cela pour nous, pour notre temps, afin que nous puissions comprendre ce que nous vivons en ce moment, dans un abandon total, sans chercher à comprendre, mais à accueillir; sans chercher à voir la vérité, mais à se laisser envelopper par la lumière : c'est ce que nous vivons!

Nous sommes en ce moment comme des enfants pris entre les mains de Dieu, nous qui voulons faire sa Volonté, pas notre volonté : tout cela est pour nous.

Dieu dit : «Maintenant, je vais leur parler des rencontres».

Il y a eu beaucoup de rencontres qui se sont faites; ces rencontres ont eu un but : de nous montrer un chemin, de nous faire voir une lumière devant nous.

Chaque rencontre est importante, de la première jusqu'à aujourd'hui et jusqu'à la dernière qui sera; chaque rencontre a un but : de nous montrer ce qui s'en vient.

Il y a beaucoup de grâces qui nous ont été accordées et à chaque fois que nous prenons connaissance d’une rencontre, d'autres grâces nous sont accordées.

Allez voir une rencontre qui s'est faite en 2001, 2002,  et lisez-la, vous allez dire : “Ah! ça c'est vrai, regarde donc qu'est-ce qu'il dit là, j'avais pas compris”; c’est parce que vous venez à l’instant de recevoir une grâce, tel vous recevez des grâces lorsque vous lisez l’Évangile : à chaque fois que vous lisez l'Évangile, vous recevez des grâces; c’est nouveau, ce n’est jamais ennuyant l’Évangile parce que c’est vivant l’Évangile.

Alors Dieu dit que chaque rencontre est une nourriture vivante pour notre vie spirituelle, pas seulement pour nous, mais pour toute l'Église, pour ceux qui s'en viennent.

Nous vivons la purification de notre chair, c'est un rappel de son Évangile, mais dit avec des mots simples.

Il a comme mis devant nous une assiette principale, mais il l'a comblée de ses grâces, il a rajouté des mets nouveaux; ces mets, ce sont des mots que nous connaissons de notre temps, des histoires nouvelles qui nous rappellent qui nous sommes, des expressions que nous connaissons bien.

Jésus utilise des enfants comme vous; lorsque je parle, je parle en vous, uni à vous.

Il a parlé avec beaucoup de Québécois, d'Ontariens, du Manitoba, Saskatchewan, tous des gens comme nous, des frères et des sœurs du Canada; on a été une fois aux États-unis : nous sommes simples.

Nous avons beaucoup de blessures, nous qui sommes nés dans une terre sainte, nous qui sommes nés dans une terre choisie pour peupler.

Avec l'Église, nous sommes venus ici pour évangéliser; nous sommes venus ici dans une terre étrangère pour parler de Dieu à un peuple de Dieu qui connaissait le Créateur, qui vivait de la nature, qui savait que viendrait un temps où tout redeviendrait comme le Créateur avait créé; ce peuple connaissait l'amour du Créateur, il vivait dans la simplicité.

Et nous sommes venus sur cette terre apportant avec nous la Parole de Dieu, apportant avec nous le Crucifix et le plantant sur cette terre.

Jésus le Christ est venu sur cette terre leur montrant qu'il était le Fils de Dieu, le Fils du Créateur, et les enfants de ce pays ont cru, et les enfants de ce pays se sont fait baptiser parce qu'ils ont accepté le Précieux Sang de Jésus.

Les enfants de cette terre se sont unis à nous, ils nous ont acceptés comme leurs frères et leurs sœurs; ils ont voulu partager cette terre par amour, par amour pour ce qu'ils venaient de découvrir : la Croix, la présence du Christ parmi eux, en eux.

Ils ont souffert comme nous on a souffert : mais nous sommes encore ici, nous sommes encore avec eux, nous portons une croix comme eux portent une croix; nous portons la même croix qu'eux, les mêmes souffrances qu'eux.

Ils veulent retrouver leurs racines, tout comme nous, nous voulons retrouver nos racines; nous voulons nos enfants en Dieu comme eux veulent leurs enfants en Dieu; ils ont la même foi que nous, ils ont leurs regards tournés vers le Créateur comme nous, nous avons le regard tourné vers le Créateur; voilà leurs raisons de vivre et voilà notre raison de vivre : l'Amour.

Dieu parle ainsi parce qu'il a regardé sa terre et il veut pour sa terre des enfants unis les uns aux autres devant la Croix : la Croix de son Fils.

Nous qui sommes ici, qui avons une mission d'évangéliser, nous allons évangéliser en Jésus; dans d'autres pays, d'autres ont parlé; eux aussi ont évangélisé, et ils continuent d'évangéliser.

Jésus a pris chacun de vous : petit peuple, peuple de souffrances, peuple gâté qui a tout reçu de Dieu, qui vit comme des riches mais qui souffre; il laisse parler vos cœurs et il les met devant la face du monde pour aider tous ceux qui ont choisi la richesse au lieu de Dieu.

Il a mis en nous ce besoin de se donner pour les autres parce que nous avons cru, nous, aux saints de Dieu; regardons nos vies : elles se sont imprimées de noms de saints : nous sommes fiers de tout ce que nous avons comme héritage, et nous y tenons.

Aujourd'hui, on veut détruire ce (à quoi) nous tenons; on veut par des lois émettre des faussetés, démontrant à la face du monde que nous sommes de mauvais enfants, (que nous) voulons faire ce qui nous plaît, par gâteries.

Mais Dieu se sert de ces mêmes enfants pour parler aux enfants du monde, disant que nous voulons de la Croix, pas l'argent, pas les plaisirs des sens, mais de la Croix, celle qui nous a sauvés, celle qui nous a montré qui nous étions.

Lorsque Jacques Cartier est venu ici, qu’il a planté la croix, elle était debout; alors il dit : «Mes enfants, tenez-vous debout, soyez la Croix; tel j'ai voulu vous montrer que vous étiez pour souffrir, tel vous serez les modèles de la Croix pour ceux qui ne croient plus à la Croix».

Voilà ce qu'il attend de nous : chaque rencontre, c'est notre cœur qui s'est ouvert pour le laisser parler.

On va continuer à souffrir tant qu'il y aura des enfants qui ne comprendront pas que c'est Jésus avant tout, que c'est lui qui sait ce qui est le mieux pour nous, pas nos besoins : besoins des sens, mais notre besoin d'amour, de vie spirituelle, notre vraie présence sur la terre.

Nous devons nous aider les uns les autres, pas condamner; car ce qui fait que des hommes et des femmes veulent des lois pour manifester au monde entier qu'ils sont des êtres à part entière, pareils comme les autres, alors qu'ils sont dans la grande souffrance, c'est parce qu'ils sont comme nous, dans leur volonté humaine, blessés par leur volonté humaine, par le mal qui veut prendre la place comme il a pris de la place en nous.

Nous devons demeurer droits malgré tout ce qui va se passer autour de nous; ce n'est pas les lois d'hommes qui font que nous irons au Ciel, mais les lois de Dieu; si on veut faire tomber la Croix, nous devons leur montrer que nous sommes la Croix.

Peut-on faire écrouler la religion qui est la Parole de Jésus? Il faudra pour cela qu'on nous détruise totalement; on ne peut pas détruire notre vie spirituelle, elle est éternelle; n'ayons pas peur, c'est Dieu qui est notre vie, c'est Dieu qui est notre voie, notre lumière, c'est lui qui a planté la Croix ici et nous devons demeurer amour pour nos frères et nos sœurs.

Savez-vous que Satan jubile en ce moment? Il est si content qu'on parle en mal de nos frères et de nos sœurs, c'est son but; nous ne devons pas approuver leurs souffrances, nous devons les donner à Dieu afin qu'il puisse les envelopper dans son Précieux Sang, du manteau de l'Amour.

Cela est présent encore en 2005 : c'est vivant le Sang de Jésus, c'est puissant le Sang de Jésus, c'est vrai le Sang de Jésus.

Voilà notre place dans la Croix de Dieu avec tous nos frères et nos sœurs pour le monde entier.

Merci, merci, Seigneur.