Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Brossard, Québec,

par son instrument, la Fille du Oui à Jésus

 

2004-09-22

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Chacun est ici présent parce que Dieu le veut, il veut démontrer à chacun de nous notre importance en l’Église : chacun de nous devons prendre en nous nos frères et nos sœurs du monde entier afin qu’ils profitent, eux aussi, de ce que nous allons recevoir.

Plusieurs d’entre vous connaissez la Fille du Oui à Jésus et certains d’entre vous ne la connaissent pas. 

Mon nom est Francine Bériault, j’ai 57 ans. Je viens d’une famille catholique; ma mère a eu quatorze enfants, je suis la huitième.

Nous avons vécu dans l’obéissance à nos parents; toute famille québécoise a reçu une éducation : nous devions nous tenir droit devant la Volonté de Dieu. 

J’ai vécu dans un esprit de famille : cela n’a pas toujours été facile lorsqu’on a sept sœurs et cinq frères, il faut prendre sa place; aujourd’hui le Seigneur me dit : «Maintenant, à moi de te montrer ta place parmi eux, en leur donnant leur place et en t’oubliant». 

Chacun de nous, nous avons reçu une éducation; chacun de nous, nous nous sommes débattus pour avoir une place au soleil.

Que ce soit à l’intérieur de notre famille ou à l’extérieur de notre famille, nous avons voulu nous donner notre propre bonheur. 

Plusieurs d’entre nous avons été déçus de ce que nous avons découvert.

La vie nous a apporté des déceptions : avec ces déceptions, nous avons continué à essayer de nous entendre avec nos frères et nos sœurs. 

Lorsque je parle de frères et sœurs, je ne parle pas seulement de chez nous, je parle de notre société.  

Pourquoi cherchons-nous à nous donner du bonheur?  Parce qu’à l’intérieur de nous, il y a quelque chose qui crie qui veut être aimé, qui veut se donner; qui veut apprendre comment; parce qu’elle n’a jamais réussi à trouver le bonheur : c’est notre vie intérieure (qui crie).

Lorsque nous nous arrêtons, lorsque nous pensons à ce que nous avons fait, des blessures resurgissent.

Nous ne les comprenons pas ces blessures, mais elles sont là en nous et, comme nous souffrons, nous ne voulons plus entrer en nous : voilà pourquoi plusieurs enfants, qui sont en ce monde, ne vivent que d’après leur vie extérieure.

Ils ne veulent plus s’arrêter, ils ne veulent plus entrer en eux, ils avancent dans la vie extérieure avec un fardeau sur leurs épaules.

Il faut comprendre la nécessité d’entrer en nous.

Nous nous mourons, nous avons plus le goût d’exister dans un monde sans amour : on essaie par tous les moyens de se procurer un petit bonheur.

Même si celui-là nous semble boiteux, on y tient; même si on l’a gagné aux dépens de notre vie intérieure, nous y tenons.

(Nous), enfants d’amour, nous sommes tous devant Dieu et c’est devant lui que bientôt nous allons nous présenter; nous allons devoir laisser à l’extérieur de nous ce petit bonheur.

Nous allons entrer en nous avec ce que nous sommes et, lorsqu’on sera devant l’Amour, devant Jésus, nous lui présenterons ce que nous avons fait; nous regarderons, nous-mêmes, nos gestes, nos paroles, et c’est avec cela que nous allons être devant Jésus. 

Sommes-nous prêts, en ce moment, de nous présenter devant l’Être Suprême?

Parce que ce qu’il a à nous offrir, c’est le bonheur éternel : c’est un bonheur qui est pur. 

Nous, qui serons devant lui, nous serons des êtres impurs, mais sa miséricorde nous sera présentée; nous la sentirons, nous la vivrons : c’est dans cet amour que nous allons nous laisser purifier.

Chaque mot que vous entendez, ce sont des mots qui sont en vous; l’Esprit de Dieu met en chacun de nous ces paroles afin que vous et moi puissions vivre ces moments. 

Il faut comprendre l’étendue de ces messages qui se font entendre à nous par la puissance du Saint-Esprit. 

Nous ne pourrons échapper à la puissance de la Justice d’amour de Dieu parce que chacun de nous, nous serons en nous;

alors nous ne pourrons échapper à nous-mêmes. 

Dieu, dans son amour, il veut nous rejoindre afin de nous faire avancer vers la Grande Purification.

À nous de nous arrêter, à nous d’entrer en nous, afin de vivre ce que nous devons vivre en ce moment même. 

Rappelons-nous que nous sommes venus sur la terre pour aller vers le Royaume de Dieu, rappelons-nous que l’Église a devoir de nous instruire sur ce que nous devons faire : nous devons suivre les dix commandements de Dieu, nous devons vivre les enseignements de Jésus.

Savoir les dix commandements de Dieu et connaître les enseignements de Jésus, mais ne pas les vivre : c’est vivre comme si nous n’étions rien. 

Jésus nous aime, Jésus nous veut : voilà pourquoi il veut que nous soyons des êtres vrais.

Nous aurons tout reçu de Jésus et nous pourrons entrer dans la Grande Purification la tête haute, en étant sûrs que Dieu nous aime plus que nous-mêmes. 

Lorsque nous avons lu les dix commandements de Dieu quand nous étions jeunes, nous étions convaincus, n’est-ce pas, que cela venait de Dieu parce que l’Église nous l’enseignait? Alors, nous avons fait ce qui était, pour nous, une justice. 

Aujourd’hui, nous ne voulons plus de l’Église, nous ne voulons plus de son enseignement : alors nous ne voulons plus suivre les dix commandements de Dieu, car lorsqu’on refuse les ministres de Dieu, on refuse de croire en ce qu’ils nous enseignent. 

Les ministres de Dieu sont ceux qui suivent les enseignements de Jésus, les fondateurs qui nous ont apporté le témoignage même de la présence de Jésus sur la terre : tout cela se fait par la puissance du Saint-Esprit. 

Aujourd’hui, des messagers de par le monde parlent des enseignements de Jésus; aujourd’hui, de par le monde, des enseignements nous sont donnés par le Ciel : ces enseignements ne se contredisent pas parce que cela est de la puissance du Saint-Esprit, et le Saint-Esprit est la Lumière.

C’est la Lumière qui vient nous montrer la vérité.

Les instruments qui reçoivent ces messages ne se connaissent pas et pourtant, ils écrivent ce que la Vérité dicte à leur intérieur. 

La vérité est dans la Vérité, et la Vérité est Jésus, et nous avons de la difficulté à croire! 

Il faut lire les Évangiles, il faut vivre les Évangiles : c’est la Parole de Jésus.  

Abandonnons-nous entre (les mains) de la puissance de Dieu; si nous nous abandonnons dans la volonté humaine, nous ne récolterons que ce que la volonté humaine a à nous donner : des doutes, de la confusion.

Oui, nous allons vivre dans la confusion.

Le monde, en ce moment, ne sait plus quoi et qui croire; ce monde se demande où est l’amour, le bonheur. 

C’est parce qu’il ne sait pas où est le bonheur, le vrai; c’est seulement en lui qu’il va découvrir le bonheur. 

Le bonheur, n’est-ce pas de croire que Dieu est au-dessus de tout, que Dieu peut nous faire découvrir ce que nous, nous n’avons pas trouvé?

Cessons de nous prendre pour des petits dieux et laissons toute la place à Dieu, là, nous découvrirons notre place parmi nos frères et nos sœurs, et nous pourrons être heureux en la famille de Dieu : nous découvrirons aussi le bonheur dans notre propre famille. 

Dieu veut que nous soyons des petits semeurs de bonheur.

Il veut mettre en nous une semence d’amour, il veut déposer en nous l’Esprit de Vérité, et la lumière se fera; alors nous pourrons parler à nos frères, à nos sœurs.

À la maison, nous pourrons parler, à nos enfants, que Dieu nous aime et que c’est lui qui va nous donner le bonheur sur la terre, pas ce qui est extérieur de nous-mêmes.

Dieu est en chacun de nous, Dieu est la Présence.

 

Jésus : Je suis la Présence. Enfants d’amour, je suis Jésus Crucifié. 

La puissance de mon Père est que vous entendiez, par cet instrument, ma Volonté; je suis la Voix, je suis la Parole, à moi de me faire entendre en chacun de vous : ces moments sont choisis de mon Père.

Soyez humbles et petits devant la puissance de mon Père, ne cherchez pas à faire votre volonté; demeurez en votre intérieur, ainsi, mes enfants, vous pourrez entendre et voir : celui qui veut demeurer à l’extérieur demeure aveugle et sourd.

Avancez, là où est la Présence; ces temps sont des temps choisis par mon Père pour vous faire découvrir que je suis avec vous, c’est moi qui vais vous guider; c’est moi qui vais vous amener, là où mon Père veut : tout ce qui sera en vous viendra de ma Présence, lorsque vous vous abandonnerez en la Volonté de mon Père.

L’enfant, qui veut demeurer en ce qu’il veut être, ne peut découvrir que ce qu’il a devant lui; moi, je veux plus que cela pour vous : je veux vous faire découvrir l’amour du prochain. 

L’amour du prochain, mes enfants, c’est vous-mêmes, en votre frère, en votre sœur qui se trouvent devant vous. 

Lorsque vous faites du bien à votre prochain, c’est à vous-mêmes que vous faites du bien.

Il se passe quelque chose en vous, un mouvement se fait sentir en votre intérieur : vous devenez tout autre, vous avez le goût d’aimer, vous avez le goût de donner et vous oubliez votre moi, vous cherchez à donner ce qu’il y a de meilleur en vous et moi, qui suis en vous, moi, qui suis la Présence, je vous donne des grâces d’amour afin que vous puissiez donner, et plus vous aimez donner, et plus, moi, je vous donne. 

Mes enfants, à l’instant où vous découvrez le don de vous donner : votre intérieur qui était aride reçoit une rosée de grâces, vous découvrez que vous êtes capables de regarder votre prochain sans le juger, vous vous penchez sur ses blessures, vous regardez le pauvre comme étant un être tout comme vous, vous ne repoussez plus sa saleté, ses vêtements usés, vous lui donnez ce qu’il y a de meilleur en vous pour l’aider à découvrir combien il est aimé de Dieu.  

Voyez-vous, vous venez de découvrir l’amour de Dieu à travers votre prochain : vous découvrez vous-mêmes que Dieu vous aime, et c’est à chaque instant que vous commencez à trouver le bonheur.

À partager le peu que vous avez vous rend heureux.

Lorsque je dis peu, mes enfants, je dis ce qui vous appartient en vous, car Dieu veut plus que cela pour vous; tout ce que vous avez en vous, ce sont les grâces du jour : les grâces que je déverse en vous à l’instant même, et plus vous vous approchez, plus vous aimez votre prochain, et plus votre intérieur s’enrichit. 

Mes enfants, vous ne pouvez donner ce que vous n’avez pas, c’est pour cela que Jésus vient vous parler : parce que vous avez en vous un vide. 

Je veux vous faire découvrir le bonheur de donner de votre personne à votre prochain.

Il est difficile pour vous, à cause de votre volonté humaine, de vous oublier; les excuses viennent facilement en vous pour ne pas vous donner à votre prochain : vous vous dites que vous n’avez pas le temps, vous vous dites trop fatigués, vous vous dites que le temps n’est pas propice, que ce sera pour un autre temps. 

Tout cela, c’est à cause de votre volonté humaine, parce que vous pensez à vous, vous ne pensez pas à votre prochain. 

Moi, le Fils de Dieu, j’ai donné ma Vie.

J’ai vécu trente ans avec ma Mère, Marie, la douce Vierge Marie. 

Pouvez-vous vous imaginer que le Fils de Dieu vivait avec la Vierge Marie dans un endroit pur, avec Joseph? Tout n’était qu’harmonie, tout n’était qu’amour : toutes ces années, mes enfants, ont été des années de bonheur.  

La Sainte Famille de Nazareth était dans le bonheur; aucune famille sur la terre n’a connu ce bonheur et ne connaîtra ce bonheur.

Malgré la maladie, malgré le froid, malgré le manque parfois de nourriture, nous gardions notre joie, notre amour, notre paix, car chaque parole, chaque regard, chaque mouvement, n’étaient qu’amour. 

Les moments que j’ai passés avec ma Mère étaient des moments de joie, malgré que Joseph, mon père putatif, était dans son repos (décédé) : nous étions toujours la Famille de Nazareth.  

J’ai quitté pour vous ce lieu d’amour, là où était ma Mère; là était mon bonheur sur la terre, j’avais l’impression, mes enfants, d’être en présence du Ciel sur la terre.  

Cela, ce sont des mots simples que je prononce, afin que vous puissiez comprendre que mon chez-moi était l’endroit où j’étais heureux avec ma Mère.  

Pour vous, j’ai tout quitté.

J’ai avancé vers vous pour vous enseigner : tout ce que je donnais à mes apôtres, c’était à vous que je donnais, car je n’ai oublié aucun enfant de mon Père : vous étiez tout pour moi.

J’ai fait la Volonté de mon Père en tout : je vous donnais la Parole, la vie, l’amour, afin que vous puissiez vous nourrir. 

Voilà pourquoi je vous dis : «Mes enfants, quittez votre moi, quittez votre volonté humaine et laissez-moi vous nourrir de mes grâces d’amour, et vous trouverez le bonheur. Il n’y a pas de plus grand bonheur que de donner sa vie pour ceux qu’on aime. 

En découvrant votre prochain, vous allez vous découvrir, vous allez découvrir le bonheur».

Mes enfants, si ces paroles vous semblent compliquées, pour vous qui ne savez pas comment agir, comment faire la Volonté de mon Père, laissez-moi tout : ces paroles deviendront vivantes, ces paroles deviendront agissantes pour vous.

Ce n’est pas vous qui allez accomplir vos actions, c’est moi à travers vous. 

Je veux que vous me donniez votre volonté humaine.

À chaque jour, je vais envelopper votre volonté humaine par ma Volonté, la Divine Volonté, et tranquillement votre vie va commencer à se laisser voir en vous, et vous commencerez à être plus en paix, plus en joie, et vous allez croire aux dix commandements de Dieu, vous allez commencer à vivre mes enseignements.

À moi de vous faire vivre, à moi seul de vous faire comprendre, c’est une nouvelle vie, mes enfants, qui se fait voir à vous. 

Un monde d’amour se laisse voir présentement, il remplira la terre entière.

En ce moment même, des grâces vous sont données; en ce moment même, les enfants de mon Père qui sont en vous reçoivent des grâces d’amour. 

Je vous dis : «N’ayez crainte, mes enfants, vos enfants aussi reçoivent des grâces; même s’ils portent le regard vers ce monde, en eux est la Vie; même s’ils ne croient plus en l’Église, en eux est la Vie; même si vos enfants commettent des péchés mortels, en eux est la Vie.»

C’est moi, Jésus, qui suis la Vie, c’est moi qui me suis donné sur la Croix; j’ai purifié la chair de tout péché, il faut y croire; il faut le vivre, mais vous, mes enfants, vous devez passer par cette purification.

Comment pouvez-vous croire que vos enfants sont sauvés si vous avez vous-mêmes de la difficulté à croire en votre purification?  C’est moi, le Verbe, c’est moi, l’Agir de mon Père, qui vous ai rassemblés ici, ce n’est pas vous; en vous j’ai mis ce besoin d’entendre; rien n’est venu de vous, car en vous est la Vie, et c’est moi la Vie. 

Tout ce qui vous appartient, c’est votre oui ou votre non.

Puisque vous êtes ici, c’est que vous avez répondu un oui à mon appel : tous, vous avez été choisis par mon Père.

En vous, il y a un mouvement qui est commencé : de croire en la miséricorde, de croire en la purification. 

Laissez à Dieu toute votre vie et vous serez éternels.

Enfants d’amour, soyez dans la confiance, et vous verrez, et vous croirez. Amen.

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Dieu nous demande de nous abandonner entre les mains de son prêtre, afin que nous puissions être remplis de grâces. Dieu veut nous en donner encore plus : il veut que le prêtre, par son sacerdoce, vienne nous bénir.