Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Bruxelles, Belgique,

par son instrument, la Fille du Oui à Jésus

 

2010-03-09 – Partie 2           

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Il y a une personne, elle a dit : "On ne sait pas ton nom!" Un jour, le Seigneur, il a demandé : «Est-ce que vous voulez savoir qui elle est ou vous voulez m'entendre?» Et tout le monde a dit : "On veut entendre le Seigneur."

Mon nom est Francine. Il m'appelle la Fille du Oui à Jésus pour dire que nous sommes pareils, on est tous des filles du oui à Jésus et tous des fils du oui à Jésus. Voilà pourquoi il a dit : «Tu te nommeras la Fille du Oui à Jésus. Tu ne seras pas plus que les autres. Ce que je dirai aux autres, tu l'entendras au moment où eux l'entendront.» Alors, ce soir, nous avons entendu et j'ai entendu, au même moment que vous, vous écoutiez. Moi, mon intérieur, et vous, votre intérieur. C'est là que ça se passe. Amen.

Animateur : Donc, vous avez compris que ce que notre sœur a donné, c'est un message qu'elle a reçu du Seigneur pour nous. Je sais que ce que je peux conseiller à tout le monde, c'est d'acheter soit une cassette ou CD pour pouvoir réécouter ces messages-là à la maison, calmement. Il est évident que le Seigneur nous a dit pas mal de choses là-dedans, mais vous aurez remarqué que dans tout ce qu'il a dit, il y a des choses qui vous ont frappés. Les messages qui vous ont le plus frappés, ça vous est destiné surtout à vous.

Alors, notre sœur est prête aux questions/réponses. S'il y a des gens qui veulent poser une question, elle répondra. Alors moi, je pose la première.

Q. Comment cela vous est-il arrivé d'écouter les messages du Seigneur. Ça s'est passé comment?

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Lorsqu'on voit quelque chose à l'intérieur de nous, on pense : 'Ah! Je rêve, j'écoute trop la télévision!' Alors, il y a plusieurs années, il m'arrivait que je voyais des choses et je ne pouvais pas les expliquer, mais mon mari attribuait ça à : "Tu écoutes trop la télévision!" Eh bien, le Seigneur l'a quand même écouté, hein, parce qu'il m'a enlevé le goût de la télévision dans les années… à peu près '95. Alors, comme je n'écoutais plus la télévision, je lisais, je lisais l'Ancien Testament. Le Nouveau était trop compliqué pour moi.

J'ai fait ma neuvième année commerciale et j'ai été coiffeuse, parce que c'était trop difficile pour moi les études. Après, je me suis mariée, j'ai eu des enfants, mais toujours j'ai suivi ma religion, tout comme vous. Les soirées de prière, moi, je ne connaissais pas ce que c'était. Je ne connaissais pas qu'il y avait des gens qui pouvaient recevoir des messages, j'étais dans ma cuisine, j'élevais mes enfants, j'avais une garderie. Et c'est en '97, à la mort de ma sœur, là, le besoin de dire un chapelet, deux chapelets, trois chapelets par jour est devenu très fort en moi, et c'était aussi la nuit. Il y avait toutes sortes de choses que je voyais. Il y avait ces odeurs de roses que j'avais, l'encens, mais je ne pouvais pas expliquer ce qui était pour m'arriver, probablement que je me serais sauvée.

Lorsqu'en 2001, à la fin 2000, là j'ai dit mon chapelet devant une croix et on l'appelle la Croix d'amour. Alors, j'ai pris mon chapelet, celui-là, et quand j'ai prié, je sentais que c'était glissant; alors j'ai ouvert mes yeux et il était plein d'huile. Et dans la nuit, qui se trouve l'année 2001, l'année 2000 à 2001, eh bien, j'ai entendu, pour la première fois : «Ouvre la lumière.» Alors, j'ai ouvert la lumière en donnant un petit coup, là, sur ma lampe et une voix de femme a dit : «Regarde et crois.» Alors, j'ai regardé mes mains et elles étaient encore pleines d'huile. Et la voix ne m'a jamais quittée. Elle m'instruisait. Elle me disait, la voix – c'était une voix de femme – et ça remplissait tout mon être et je recevais des grâces d'humilité, de chasteté, de pureté, d'obéissance, de pauvreté, et j'ai même écrit cela sur mon calendrier à la maison parce que c'était tellement beau!

Mais quinze jours plus tard, là, j'ai entendu le nom 'Amystica', et c'était la voix de mon ange, ce qui me préparait à entendre la voix de Jésus dans les journées qui ont suivi. Et Jésus parle, comme un homme, à l'intérieur de moi avec une belle voix. Vous l'avez d'ailleurs…, voyez les intonations. Et il parle d'une telle douceur, des fois, il parle un tout petit peu avec autorité, mais c'est un Dieu d'amour, un Dieu de miséricorde; alors, il parle comme ça. Mais les messages, il les appelle ses enseignements lors des rencontres d'amour avec l'agir de Dieu. Et j'entends, à l'extérieur, au moment où je parle, seulement lorsqu'on est avec d'autres personnes, ça peut être deux, trois personnes. Mais les enseignements que nous avons eus ce soir, c'est particulier. C'est lorsqu'il rassemble des enfants – il les appelle les enfants, nous, on est les enfants de Dieu – lorsqu'il rassemble les enfants de Dieu, il vient parler en nos cœurs parce qu'il nous envoie chercher ses autres enfants.

Ce qu'il me parle, c'est de la purification de la chair : notre chair assujettie au péché ne sera plus assujettie au péché; et c'est tout ce qui concerne cela, et c'est depuis 2001 que cela se fait. Il a écrit, comme à l'école : il disait, et moi j'écrivais, et cela a donné quatre livres. Et après, lors des rencontres comme celle-ci – il y en a plus de six cents et pas une seule n’est pareille, bien non, parce qu'on est  tous différents, hein? – il rassemble et il parle. Alors, ce soir, c'était vous qu'il avait choisis pour dire au monde entier ce qu'ils veulent entendre, ceux qui écoutent Dieu, afin qu'eux reçoivent des grâces pour aller chercher les autres. Et voilà pour la première question.

Q. C'est juste pour savoir quelle est la position de l'Église par rapport à ces manifestations. Et surtout, j'ai fait quand même un effort pour analyser le contenu théologique. Personnellement, je n'ai pas trouvé d'égarements.

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Au tout début, le Seigneur a demandé à des prêtres de lire les livres et de regarder s'il n'y avait pas, comme vous avez dit tantôt, quelque chose contre les Évangiles, contre l'instruction de l'Église, et ils ont dit que tout était correct. Mon évêque est au courant de ce que je fais et toute Église a devoir de regarder les fruits; après, ils prendront position. Alors, la position, en ce qui me concerne : en ce qui concerne l'instrument que je suis, ils ont entre leurs mains les cahiers qu'ils n'ont rien trouvé contre et ils ont les petits cahiers, les treize qui se sont faits, et là ils regardent les fruits. Et l'Église, croyez-moi, est au courant.

J'ai un guide spirituel qui s'appelle Clément Provencher, il est prêtre diocésain. Et il y a aussi plusieurs prêtres qui suivent et prient. Mais dans l'Église, nous devons toujours être prudents et l'Église est prudente. Alors voilà pourquoi je ne me promène pas avec une lettre approuvant tout. Savez-vous ce que cela impliquerait? Chaque rencontre que nous faisons, ils doivent savoir si cela porte les fruits de l'Église. Alors, comme Dieu parle, parle, parle, parle, alors eux, regardent si cela est. Et croyez-moi, quand cela sera contre, je serai arrêtée, et il le faut!

Q. …. (inaudible)… Donnez-moi vos souffrances. Qu'est-ce que le Seigneur attend de nous? Prier, prier pour que nos souffrances s'arrêtent ou qu'il puisse nous les donner en les acceptant, en les supportant? Quelle attitude prendre?

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Le Seigneur demande à ce que nous soyons ses enfants. Un enfant qui a mal va voir son père, va voir sa mère : 'Maman, j'ai tombé.' Et maman, elle prend son enfant et là, elle voit à ce qu'il n'y ait pas d'infection. Le père est là et il lui donne la force. Il se tient debout et il lui dit : 'Ça va aller.'

Eh bien, nous avons un Dieu qui veut prendre nos souffrances. Nous devons donner à notre Dieu ce qui nous fait mal : nos souffrances. Il n'y a pas seulement que le cancer, il y a la jalousie, il y a l'envie, il y a nos enfants qui se droguent, il y a les divorces, il y a les avortements. Lorsque nous sommes devant une souffrance, nous ne devons pas la garder pour nous, elle appartient à Dieu. Si mon enfant vient me dire : 'Maman, je veux rien savoir de tes prières, cela est quétaine!' – cela veut dire, en d'autres mots, c'est plate ta prière, je veux rien savoir – bien, si je prends les paroles de mon enfant et je les garde pour moi, elles entrent en moi et une fois qu'elles sont en moi, elles vont empoisonner ce qui est ma vie. Elles vont rejoindre les autres souffrances et cela va se gonfler et je vais avoir de la peine, je vais être découragé, je vais même développer des maladies. Mais si je donne ça à Dieu : "Dieu, ces paroles ne sont pas pour moi, je te les donne. Prends soin de mon enfant. Je te donne causes, choix et conséquences."

Causes : nous avons tous été en présence de tentateurs. Toute souffrance ne vient pas des enfants de Dieu, toute souffrance vient du mal. Dieu n'a aucun mal en lui. Mais nous, comment se fait-il qu'il y ait du mal en nous? C'est que les tentateurs près de nous sont venus nous tenter : 'Aïe! T'écoutes ta fille? Regarde-la, elle est même pas capable de suivre ce que tu lui dis.' – "Ah! C'est vrai! Elle n’est même pas capable de suivre ce que je dis" : nous venons d'accepter un tentateur qui vient voler quoi? Il vient voler des mouvements de vie, c'est-à-dire que, moi, je suis enfant de Dieu. Dieu et moi : entre Dieu et moi, il y a sa Vie : mouvement de vie, son amour : «Je te donne, tu prends et tu me redonnes. C'est ta vie, c'est ça qui fait que tu manges, que tu te lèves, c'est ça qui fait que tu regardes le ciel, que tu dis merci; tu rends grâce à ton Dieu, tu marches sur cette terre, tu portes des fruits, tu me les donnes.» Tout ça nous a été donné au moment où nous sommes venus ici, sur la terre, pour nous accomplir, mais lorsque nous acceptons un tentateur près de nous, et que nous écoutons la faiblesse qui est auprès de nous, nous l'acceptons, voilà qu'ils volent un mouvement de vie, ils volent ce qui nous appartient.

Jésus nous a dit que Satan, à l'instant où il a refusé d'adorer le Fils de Dieu en sa Matière, Satan s'est refusé à la Vie, il a refusé la Lumière, donc, il est devenu les ténèbres : une vie n'a pas (plus) de mouvement, une vie est néant. Donc, il faut que les esprits impurs et Satan, qui ont refusé la vie, viennent près de la vie qui est nous, qu'ils nous tentent pour que nous, nous puissions consentir à empoisonner nos mouvements de vie. Ils ne nous demandent pas la permission, ils viennent près de nous : 'Regarde-la, c'est ta fille.' Et là, une douleur vient en nous. Ils ont entré, ils ont pris un mouvement de vie et ils l'utilisent. Une fois qu'ils ont utilisé le mouvement de vie qui est nous, là : 'Tu vois, elle t'aime pas. Tu vois, t'es pas capable de lui faire confiance, t'es une mauvaise mère.' Ils prennent nos mouvements de vie, ils les utilisent et les empoisonnent pour nous faire souffrir devant Dieu, devant nous et devant notre prochain.

Et c'est de cela que Dieu est venu parler en utilisant chacun de nous, et tout cela, nous les avons enregistrés. Parce que ce n'est pas facile, ce soir, d'analyser tout ce qui s'est dit, et c'est ainsi à chaque fois, mais le Saint-Esprit, ne vous inquiétez pas, va vous donner des lumières et ça va monter et ça va revenir. Mais comme il est bon de réécouter! Et là, on écoute et encore et encore, puis on apprend toujours, toujours. Ça, c'est pour la cause.

Les choix : c'est de l'avoir écouté. Nous étions libres de dire : 'Non, je ne veux pas de cette tentation.' Mais on n'a pas été capables, on ne savait même pas qu'on était tentés, à côté de nous, là, par un esprit de découragement, de peur, un esprit d'envie, un esprit de paresse, de gourmandise, et on peut en nommer. Savez-vous combien il y a d'esprits impurs? Une myriade d'esprits impurs : tous ceux qui ont suivi Satan. Alors, nous, que pouvons-nous contre eux? Eh bien, Dieu nous a donné un droit d'enfants de Dieu. Ce droit, c'est notre liberté.

Satan, lorsqu'il a tenté Adam et Ève, il a voulu qu'ils entrent dans leur volonté humaine; là, ils étaient pour connaître une faiblesse. Avec leur liberté d'enfants de Dieu, ils devaient choisir entre le bien et le mal. Et alors il utilisait cette liberté que nous on avait : il l'empoisonnait, puis il l'empoisonnait, il l'empoisonnait. Vous souvenez-vous Léon XIII, la conversation qu'il a entendue au pied de l'autel? Il y avait deux voix, une qui était belle et une qui était mauvaise. Eh bien, la mauvaise, c'était celle de Satan : "Donne-moi un siècle et je te prouverai que tes enfants ne t'écoutent pas. Je réussirai à te faire oublier d'eux."

Q : …. (inaudible)

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Pas nous, nous, on était pour oublier Dieu : "Je vais réussir à leur montrer qu'ils sont faibles." Il a dit : "Donne-moi plus de pouvoir." Alors Dieu, savez-vous qu'est-ce qu'il a dit? «Oui.»

Et si on regarde ça : "Mais Seigneur, tu as permis que Satan vienne nous tenter pour qu'on t'oublie et tu as permis qu'il ait plus de pouvoir, c'est-à-dire, plus d'esprits impurs pour venir nous tenter?" Comment comprendre ça? Eh bien, Dieu nous aime, Dieu nous connaît, Dieu avait tout préparé. Dieu utilise des enfants comme nous pour dire : "Je refuse." À cet instant, nous disons : "Merci d'envoyer cet esprit au pied de ta Croix." À cet instant, ils sont enchaînés au pied de la Croix, ils ne peuvent plus sortir jusqu'à la fin du monde. Et Jésus a dit : «Mes enfants – il a dit ça à la fin de 2008 – Satan a perdu du pouvoir.» Parce qu'il m'a montré qu'il y avait beaucoup d'esprits impurs enchaînés au pied de la Croix. Il se sert de nous. Des mêmes enfants que Satan a tentés, eh bien, Dieu se sert de nous, des pécheurs, des pécheresses. C'est avec nous qu'il enchaîne les esprits impurs au pied de la Croix. Croyez-vous que Jésus a envoyé à la mort toute impureté, tout mal?

R : Oui

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Mais les esprits impurs, ils sont un peu partout, hein, ils traînent un peu partout. Eh bien, si nous disons : "Merci de les envoyer au pied de la Croix", ils sont obligés d'écouter qui? Jésus. Nous, on ne peut pas les envoyer au pied de la Croix, mais Jésus, lui, oui. Mais Jésus veut qu'on le lui dise : «Gagnez votre place. Vivez votre Passion.» Et nous, quand on dit : "Hé, Seigneur, tu veux qu'on vive la Passion? Ah, bien non, on va pleurer, on va avoir des maladies!" Non! Il veut qu'on vive avec les grâces ce que nous devons vivre! Oui, c'est vrai, un esprit au pied de la Croix qui ne réussit pas, savez-vous combien il va y en avoir qui vont venir nous tenter : sept. Et (de) ces sept autres, mille.

Quand c'a commencé, je me rappelle : "Seigneur – je disais – je refuse cet esprit impur. Merci, Jésus, de l'envoyer au pied de la Croix." Je n'étais même pas rendue à ce mot-là que j'en avais sept en arrière de moi qui me tentaient, après je disais. Je disais, j'étais tentée. Je ne dormais plus la nuit. "Seigneur, faites que je dorme, je suis fatiguée, j'arrête pas." Mais cette paix! Je ressentais cette paix! J'étais de plus en plus forte, et c'est ça que Jésus nous a dit. Jésus nous donne de la force. Plus nous les envoyons au pied de la Croix, pas nous, mais que Jésus les envoie au pied de la Croix par notre merci, et plus il guérit des mouvements de vie malades qui ont été empoisonnés. Eh bien, lorsqu'il y a des guérisons, on est plus fort, on est plus dans notre paix; notre joie vient dans notre vie plus facilement et on a beaucoup plus d'amour. Et là, on continue, parce que Maman Marie nous donne des grâces. Jésus nous a montré : "Merci, Marie, de nous donner des grâces." Et c'est tellement simple, tellement puissant.

Alors, il faut se servir de nos droits d'enfants de Dieu. Nous avons une liberté et c'est avec cette liberté-là que nous avons la force de Dieu. Cette liberté-là ne nous appartient pas, elle appartient à Dieu, il nous l'a donnée; alors servons-nous de la liberté qu'il nous a donnée. Et Marie, nous avons tous accepté le manteau d'amour fait des souffrances de nos frères et de nos sœurs, mais c'est un manteau qui a une force. Nous allons vivre ce que Dieu va mettre dans notre quotidien avec les grâces. Oui nous allons refuser, oui nous allons remercier notre Dieu d'envoyer les esprits impurs. Ceux qui seront au pied de la Croix n'iront plus attaquer nos enfants, n'iront plus attaquer nos prêtres!

Les prêtres, ils sont attaqués par les esprits impurs. Ce sont des enfants comme nous, ce sont des hommes comme nous. Les religieuses ont besoin qu'on les aide, elles sont attaquées. Les religieux, c'est pareil. Alors, maintenons notre cœur dans le Cœur de Marie, elle, elle nous aide. Maman est là! Alors, soyons avec elle pour vivre notre purification de la chair. Nous allons vivre comme des êtres immortels sur la terre. Quand? Ça, c'est l'affaire de Dieu, mais nous sommes les pionniers; alors, construisons avec les grâces du Ciel ce monde d'amour. C'est le monde de Dieu. Amen.

Prêtre: Alors, maintenant, mes bien-aimés, nous allons tous demander au Seigneur, d'abord lui dire merci de nous avoir choisis ce soir et, en plus, que tout cela se réalise, et que les choses que nous n'avons pas bien saisies, que lui-même, par son Esprit, vienne nous le révéler. D'ailleurs, c'est le métier de l'Esprit Saint, n'est-ce pas? Donc, nous allons tous lever les yeux et dans un cœur à cœur avec notre Seigneur, faire une prière.