Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Bruxelles, Belgique,

par son instrument, la Fille du Oui à Jésus

 

2010-03-08 – P.M.  Partie 2

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Dans cette partie, c'est que vous posez des questions en partie sur ce que nous avons entendu et, par la puissance du Saint-Esprit, nous entendrons des réponses. Ne demandez pas des questions comme : est-ce que je vais déménager, mais des questions qui nourrissent notre vie spirituelle. Alors, vous avez toute la place.

Q. Madame, je crois que vous êtes, quelque part, une sainte femme. Je vous ai admirée dans votre exposé et vous avez dit tellement de belles choses qu'on n'a pas de questions à vous poser, en fait. Vous avez compris ce que je veux dire, hein? C'était beau et on va rentrer à la maison pour réfléchir à tout ce que vous avez dit. J'ai trouvé que vous êtes un ange, quelque part. Vous comprenez? On n'a peut-être pas tellement de questions à poser, mais à réfléchir et à voir comment on peut vivre ça. Parce que c'est quand même très difficile tout ce que vous avez dit aujourd'hui, hein? Aimer son prochain, dans un monde si violent... Dès le matin, quand on écoute les nouvelles à la radio, il n'y a que des désordres, de la violence et on se sent si pauvre là-dedans. Voilà. Et c'est vrai que vous avez une grande sagesse en vous. Vous avez une grande de sagesse en vous, c'est un don de Dieu, ça. Mais on va rentrer à la maison avec nos questions, mais on trouvera de la sagesse dans ce que vous avez dit. Voilà.

Q. Est-ce que dire un oui à Jésus ça implique une souffrance et possiblement une mortification?

Jésus : À l'instant du baptême, tout enfant a prononcé son oui. À l'instant du baptême, l'âme s'incline. Il vient apporter à son Dieu ce que son Dieu demande à l'enfant. C'est l'âme qui est devant Dieu, c'est l'âme qui connaît son Dieu, et l'enfant, l'enfant est nourri par l'âme. L'âme reçoit des grâces par le sacrement du Baptême et l'enfant, l'être que vous êtes, devient, à ce moment même, dans un moment d'amour éternel. Mais chaque enfant sur la terre ne reconnaît pas qu'il est habité par l'âme. Cet enfant de la terre a de la difficulté à comprendre que tout ce qui est du Ciel appartient au Ciel.

Oui, il y a un oui en vous et ce oui a été déposé par le Père, et ce oui est vivant. Tant qu'un enfant n'a pas prononcé un non inconditionnel à son Dieu, il est toujours dans ce oui. Malgré la souffrance de ce monde, malgré les interdictions de ce monde, pour que des enfants vivent dans leur oui, Dieu est là, Dieu est présent. Jésus est l'Église et l'Église est vivante. Chacun de vous devez vivre en l'Église, en Jésus, tout comme cet instrument. Ne vous étonnez pas de ce que vous entendez. Depuis des siècles, des siècles, Dieu envoie des prophètes et les prophètes ne font que la Volonté de Dieu. Elle répète ce que Dieu veut faire comprendre aux enfants.

En ce monde, il y a tant d'enfants qui sont sourds, tant d'enfants qui sont aveugles. Ces enfants crient vers Dieu qu'ils en ont assez de cette vie et Dieu entend. Dieu vient chercher ses enfants afin de les ramener à la maison. Vous êtes tous des petits enfants, des enfants qui ont quitté la demeure du Père; vous êtes tous des petits enfants qui êtes partis et avez lapidé votre trésor. Dieu vous attend. Vous qui priez, je vous envoie, je vous envoie de par le monde, là où vous êtes, dans votre intérieur, afin que vous soyez des lumières pour les enfants de ce monde. Car ce monde, mes petits enfants, dans lequel vous vivez est en train de s'autodétruire, mais moi, ne suis-je pas la Lumière du monde? Ne suis-je pas le Fils bien-aimé du Père?

Ce que vous entendez, enfants d'amour, vous en êtes dignes que par la présence en la Présence, votre présence en vous devant votre Dieu, Celui qui vous a nourris de sa Chair et de son Sang. Ce que vous êtes, vous devez l'être pour vous-mêmes, ainsi vous donnerez à votre Dieu ce qu'il attend de vous-mêmes, un oui : "Oui, Père, ta Volonté. Je choisis mon Dieu." C'est un oui qui vous est demandé. La souffrance, petits enfants d'amour, vous la connaissez, vous la vivez, vous l'entendez à la télévision, par les journaux, par vos propres paroles. La souffrance de ce monde, c'est la conséquence de tous les choix qui ont été faits avec une volonté humaine orgueilleuse, ignorante, souffrante.

La chair doit connaître la purification et cela n'appartient qu'à Dieu de vous y amener. Doucement, enfants d'amour, avec humilité, vous apprendrez. Je parle en les cœurs et vous entendez, par la puissance du Saint-Esprit, ce qui est en vous. Vous avez en vous la Vie. Tous ceux qui aiment vouloir faire plaisir à Dieu, Dieu les nourrit. Dieu appelle tous ses enfants à regarder la Vie, à vouloir la Vie. Je suis la Vie. Personne ne peut se dire être vie que s'il est en moi.

Regardez, mes enfants d'amour, qui vous êtes : si petits, si aimés de Dieu. Malgré ce monde qui rejette les sacrements, malgré ce monde qui ne veut plus de la Croix, malgré ce monde qui n'a pu aimer inconditionnellement, j'ai marché auprès de vous, car en vous, mes enfants, vous n'étiez pas. Maintenant, je vous appelle à entrer dans votre refuge, en vous, afin que vous soyez protégés de tout ce qu'il y a autour de vous. Je vais vous apprendre à ne pas regarder à l'extérieur, mais à me regarder. Lorsque vous allez me regarder, vos yeux vont s'ouvrir sur votre prochain et vous allez comprendre que la souffrance de ce monde est venue par les choix des enfants de ce monde, et vous avez fait des choix.

Cet instrument, ô fils bien-aimé, est dans une chair impure tout comme ses frères et ses sœurs. Ce don de se donner ne vient pas d'elle, mais de ce que Dieu a voulu pour ce monde. Tout doit s'accomplir comme mon Père le veut. Toute chair impure va connaître une chair qui acceptera la Beauté, la Pureté. Celui qui ne voudra pas sera séparé, celui qui rejettera son Dieu ne pourra demeurer avec les élus de Dieu.

Petits enfants, réjouissez-vous de vivre dans ce temps. Ce temps a été choisi pour vous. Vous avez tous été choisis pour vivre ce temps et ce temps, mes enfants, est un temps de grâce. Là où le mal abonde, la grâce surabonde. Vivez dans la grâce du Seigneur, vivez en demandant à ma Sainte Mère, l'Immaculée-Conception, les grâces dont vous avez besoin. Demandez, mes enfants, demandez, elle est là votre Mère, elle est auprès de vous.

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Chacun de nous, nous devons vivre cela avec beaucoup d'humilité, avec beaucoup de simplicité. Le oui, nous l'avons depuis notre naissance et nous apprenons à peine à le prononcer avec amour, nous apprenons à peine à croire en nos 'Je vous salue Marie'. Oui, nous prions et nous devons croire que Dieu nous écoute, et nous devons croire qu'à l'instant où nous prions et que nous faisons des demandes, cela s'accomplit. Oui, si Dieu doit guérir certains enfants dans d'autres pays pour qu'un jour nous puissions voir et que cela soit, c'est sa Volonté, ce n'est pas notre volonté.

Nous ne savons pas, nous, quand et comment et où cela a débuté que notre enfant se drogue, Dieu, lui, le sait. Alors, à l'instant où nous prions, ayons la foi que Dieu agit. Ne mettons pas les murs entre la Volonté de Dieu et nous-mêmes. Comment pouvons-nous voir Dieu lorsqu'il voit que nous nous agitons lorsque nous demandons que notre enfant cesse de souffrir? Lui, il dit : «Mon enfant, je vais commencer par toi afin que tu me donnes de la place dans ta vie. Lorsque tu me donneras de la place, là, je passerai, j'irai vers ton enfant. Moi, je suis venu pour toi et ton enfant. Ce que je te donne, je le donne à ton enfant. Mais si tu t'inquiètes pour ton enfant, comment va-t-il recevoir? Tu ne me donnes pas toute la place, tu prends toute la place. Tes pensées meublent ta journée. Tu es toujours à l'écoute de ce qui est dans la souffrance du monde. Ton cœur ne cesse d'être angoissé. Comment peux-tu tout me donner? Tu gardes tout pour toi et pendant ce temps, les tentateurs ne cessent de te faire souffrir et ton enfant, il a tant besoin, il a tant besoin que tu me le donnes!»

Combien d’enfants ont été dans la souffrance et cela a fait que les parents ont reçu. Il est devenu, cet enfant, une petite victime d'amour pour les parents. Nous sommes aveugles, nous sommes sourds à l'Amour. Dieu nous demande : «Aimez.» Aimer, c'est donner et laisser Dieu nous combler; alors donnons nos enfants à Dieu, ils appartiennent à Dieu. Il nous a tout simplement demandé de prendre soin de ceux qu'il aime. Ce sont ses enfants, ce ne sont pas nos enfants. Ne nous donnons pas un droit. Nous sommes tous enfants de Dieu, alors croyons que Dieu nous écoute.

Oh! Ce n'est pas toujours le lendemain que cela se fait. Lorsque c'a débuté pour moi et que la Sainte Vierge me disait : «Donne-moi tes enfants.» Par une personne qui était au côté de moi, lorsque j'allais à un pèlerinage, là je lui ai donné mes enfants! Ouf, elle revenait : «Donne-moi tes enfants.» Bien, je les lui ai donnés! Mais lorsque j'arrivais à la maison, je m'inquiétais tout le temps pour mes enfants. Je retournais un mois après et voilà, encore et encore! Cela a pris un certain temps et le temps, c'a été quand même assez long pour comprendre qu'il fallait que je lui abandonne mes enfants. Et aujourd'hui, je sais que mes enfants sont beaucoup plus en sécurité entre les mains de Maman Marie qui les conduit à son Fils qu'entre mes mains. Je sais qu'elle en prend soin.

Mais je vois encore des souffrances en mes enfants, mais cela ne m'appartient pas, cela appartient à Dieu. À eux maintenant de s'abandonner, mais je continue à prier pour eux, je continue à leur dire que je les aime, je continue à être un témoin d'amour. Je montre à mon Dieu que je crois en mes prières, je montre à mon Dieu que je lui laisse tout, et ils le savent! Ils sont beaucoup plus calmes qu'avant; malgré leurs souffrances, ils sont beaucoup plus calmes, et je ne suis pas une exception, hein, Nicole? Il y en a beaucoup, parce que c'est depuis 2001 que j'entends le Seigneur à l'intérieur de moi et il m'a demandé de l'abandon. Et depuis la fin 2001, il m'envoie vers mes frères et mes sœurs et il dit : «Ce n'est pas toi qui les as rassemblés, ce n'est pas ta soirée, c'est ma soirée. Toi, abandonne-toi.»

Voilà pourquoi tantôt, je voulais que vous disiez la messe parce qu'au moment de la messe, à l'Eucharistie, je vois, par mon âme, ce que je peux voir, ce que je suis digne de voir. Je vois une toute petite fille qui entre dans la main du Père et là, le Père ferme sa main et là, il dit : «Abandonne-toi, tu n'es rien. Tout est pour ton Dieu.» Et je m'accomplis. Nous sommes tous pareils, nous sommes tous dans la main du Père. Alors, gardons-nous dans la main du Père et faisons ce que Dieu le Père nous demande. Et ce qu'il nous demande : «Suivez les dix commandements de Dieu.» C'est si important, si important, les dix commandements de Dieu et il faut les aimer les dix commandements de Dieu, il ne faut pas simplement dire : ah, c'est dur celui-là! Il faut les aimer les commandements de Dieu et là, lire la Parole, vivre la Parole.

Mais ce n’est pas facile, hein, de vivre la Parole de Jésus quand il nous dit : «Aimez votre prochain.» 'Aïe, mon prochain vient de violer ma fille!' Eh bien, ça en prend des prières, ça en prend des grâces. "Maman Marie, aide-moi." Oui, combien de fois! Et notre pape n'a-t-il pas pardonné à celui qui avait voulu l'atteindre? Il lui a pardonné. Eh bien, son pardon l'a guéri. Si nous voulons qu'il n'y ait plus d'ennemis, eh bien, pardonnons. Quand les ennemis vont disparaître, il n'y aura que Satan et ses acolytes qui se retrouveront tous seuls! Mais il faut croire à ça. Si vous doutez que vous n'êtes pas capables d'aimer inconditionnellement, eh bien, vous donnez vos mouvements de vie à celui qui est un esprit de doute, et celui qui est un esprit de doute, ce sont les anges déchus qui ont été loin de la lumière de Dieu. Et ils existent!

Nous, au Québec, Canada, ça commence à se répandre un peu partout, on ne parle pratiquement plus des péchés. On ne veut plus parler surtout pas des démons, de Satan. On est des tout petits enfants ici et là. Eh bien, on est là, et parce qu'on est là, on se tient ensemble, et un jour tous les cœurs vont crier vers Dieu : "Tu es la Lumière et nous ne voulons que de la lumière." Si nous prononçons ces paroles : "Nous ne voulons que de la lumière", c'est parce que nous croyons qu'il y a aussi les ténèbres. Tout ce que la Bible contient est la vérité. Mais, dans notre pays, on doute de la Bible. Mais j'ai dit : "Jésus, pourquoi tu es venu prendre quelqu'un au Québec?" Savez-vous que le Québec dans les dix provinces est la pire de toutes, alors qu'elle était la première? Elle a été fondée par des saints.

Tout a été fondé par les saints au Québec. Les mères de famille qui n'avaient que le chapelet dans leur poche et qui priaient et qui priaient; les pères qui ont travaillé, qui ont travaillé dur; des colons qui sont arrivés. Il faisait tellement froid et tout! Ils sont arrivés dans un pays qu'ils ne connaissaient pas et ils ont accepté ceux qui étaient là et, ensemble, nous avons avancé. Oui, il y eut ceux qui ont profité de ceux qui étaient déjà là : la Première Nation, mais pas tous. Aujourd'hui, c'est une province qui souffre, c'est la honte. Jésus, il a dit : «Vous êtes la honte du monde.» Et il a choisi un instrument – et je ne me dirai pas sainte, mon Père – il a dit : «Comment peux-tu comprendre les autres si tu ne te regardes pas. Je ne t'enlèverai pas ce que tu es.» Alors, il s'arrange toujours, le Seigneur, pour me faire penser que je ne suis qu'une pécheresse et que je dois toujours aller vers les prêtres, et que c'est les prêtres qui me tiennent, sans ça, je ne peux pas avancer et ni vous autres. Nous avons besoin des prêtres, nous avons besoin de notre Église, nous avons besoin de croire en Jésus.

Q. Est-ce que Jésus passe quand même, même si un prêtre lui-même est pécheur?

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Mais peut-on atteindre le sacrement de l'Ordre? Le sacrement de l'Ordre est un sacrement qui est pur. Il ne vient pas de nous, il vient du Ciel, mais l'homme, l'homme, il est comme nous, l'homme souffre dans sa pensée, il souffre dans sa chair. Son écoute, son regard, il n'a pas encore passé la purification de la chair, il est encore assujetti au péché, tout comme nous. Voilà pourquoi Maman Marie nous demande de prier pour les prêtres. Croyez-vous que Satan ne sait pas, lui, que le prêtre est prêtre? Lui, il le sait. Voilà pourquoi il s'attaque à l'homme afin que nous, nous ayons les yeux fixés vers l'homme et non pas vers le prêtre. Le sacrement de l'Ordre est le sacrement de l'Ordre, c'est incontestable. Nous croyons à notre sacrement du Baptême? Alors, croyons au sacrement de l'Ordre. Ne nous laissons pas prendre par les pièges de Satan. Amen.