Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu au Cap-de-la-Madeleine, Québec,

par son instrument, la Fille du Oui à Jésus.

 

2007-08-18 Partie 2

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Est-ce qu’il y en a qui veulent aller me chercher la photo, s’il vous plait, avant de commencer? Ce que vous voyez ici, c’est une photo qui a été prise chez moi.

Alors, le Seigneur m’a demandé de vous la présenter, et je le fais par obéissance.

Il n’est pas toujours évident de laisser paraître nos couleurs; cela, je voulais le garder pour moi, mais Maman Marie en a décidé autrement.

C’est avec la foi que nous pouvons regarder cela, mais je vous assure que ce n’est pas tout le monde qui peut voir, il y en a d'autres qui voient, il y en a d’autres qui ne voient pas; moi, savez-vous que ça m’a pris dix ans?

Bien, c’est parce qu’au commencement, quand il y a seulement une ligne qui se forme sur une vitre, on ne peut pas voir; une autre qui se forme, une année suivante c’est une autre : une craque, on peut dire une craque dans une vitre là, en bon québécois.

Alors, tout ça se formait tranquillement puis tranquillement; il y a deux ans j’ai pu voir qu’il y avait un personnage qui s’était formé dans ma vitrine.

Toutes ces lignes-là qui s’étaient formées! Il n'y a que deux ans!

Et, encore là, c’est pas tout le monde qui la voit : mon garçon ne la voit pas, mon gendre ne la voit pas, mes deux filles la voit, alors c’est pas tout le monde.

Mais je sais qu’il y a des grâces qui sont rattachées à cela parce qu’à l’instant où je l’ai dit, une personne près de moi a senti les roses à trois reprises et, dans une vision, j’ai vu : j’ai vu des gens qui priaient, qui priaient, et qui étaient en pèlerinage.

Alors, nous gardons ça dans notre cœur et nous laissons cela au Saint-Esprit, c’est lui qui nous fait voir ce qu’il y a sur cette vitrine.

Alors, voulez-vous prendre la chanson "Plus près de toi" et, si vous voulez bien, on va se lever tous et on va la chanter tous ensemble.

 

Chant : Plus près de toi, Marie

 

♪♪♪ :     Plus près de toi Marie et de ton Cœur,

Voilà toute ma vie, tout mon bonheur.

Pour aller à Jésus, je passerai par toi,

Ô Reine des élus, appelle-moi.

 

Marie : Oui je vous appelle, oui je veux vous rendre tout petits – assoyez-vous, mes enfants – afin que vous soyez tout attentifs aux demandes de mon Fils.

Chacun de vous, mes enfants, vous avez été appelé à vivre cet instant d’amour; chacun de vous, mes enfants, vous avez été attentif à votre cœur.

Il a fallu des grâces pour vous rassembler, il a fallu que le Ciel vienne vous combler afin que vous puissiez être l’Église, une Église qui se donne, une Église qui se veut pour ce temps : obéissante.

Enfants de ma Volonté, je me suis donnée au Ciel afin que vous soyez tous des tout petits enfants.

Ma volonté, mes enfants, c'est mon Cœur, mon Cœur de Mère; le Cœur de la Mère de Dieu est un Cœur qui veut rassembler tous les cœurs, afin que vous portiez en vous la marque de l’amour.

Mes enfants, il y a la guerre, une guerre féroce : c’est le mal qui veut détruire le bien; on ne peut détruire le bien que si on consent.

Je vous demande, mes enfants, de vous donner, de vous donner tous pour vos frères et vos sœurs.

Soyez tout petits, ne gardez pas en vous ce qui pourrait mettre une barrière aux grâces du Ciel.

Comment reconnaître, mes tout petits enfants, ce qui pourrait empêcher les grâces du Ciel de vous nourrir? C’est en découvrant l’orgueil dans votre vie, en découvrant que vous préférez ce monde plutôt que de vivre dans la pauvreté, de vivre dans la simplicité.

Il faut vous reconnaître vrais devant la Volonté de Dieu.

Vouloir être des tout petits enfants qui marchent dans la lumière, c’est reconnaître que vous êtes obéissants à la demande du Ciel.

Il est vrai, mes enfants, que le Ciel vous demande de renoncer à tout ce qui pourrait conserver dans votre cœur de l’orgueil; il ne faut pas le faire avec votre volonté; demandez-moi des grâces, demandez-moi ce qui vous est nécessaire pour renoncer à ce qui n’est qu’orgueil dans vos demeures.

On a voulu vous montrer, mes enfants, que le matériel était pour vous du confort nécessaire dans votre vie; cela a été faux, cela n’a fait que vous éloigner de l’humilité.

Lorsqu’on s’éloigne de l’humilité, Satan peut vous atteindre; c’est là qu’il vous fait connaître ce qui n’est pas bon pour votre âme.

Faites attention, mes petits enfants, demandez à votre Maman des grâces de renoncement; je vous supplie, mes enfants, ne faites pas cela sans mes grâces.

Vous savez que tout ce qui est de l’idolâtrie engendre le mal et le mal, mes enfants, détruit l’amour : on a voulu détruire l’amour dans votre cœur.

Lorsque l’amour n’est plus dans votre cœur, il est impossible pour vous de vous donner, de vous donner pour ceux que vous aimez : vous cherchez à vous plaire, vous cherchez à vous consoler, vous cherchez à être pour les autres une victime.

Mes petits, lorsqu’il n’y a plus dans votre cœur de l’amour qui se donne, il n’y reste que de l’amertume et cela détruit votre vie, cela détruit votre cœur.

Un cœur d’amour est un cœur qui sait apprendre de Dieu, mais un cœur qui n’a plus d’amour se ferme aux demandes de Dieu, il se durcit, il devient dur comme pierre.

Voilà pourquoi Satan a voulu vous faire connaître l’orgueil pour vous maintenir dans la soif, la soif de ce monde, la soif de connaître, la soif de vous satisfaire.

Mes petits enfants, faites attention, c’est si près le raisonnement du renoncement!

Voyez-vous, quelqu’un qui raisonne, c’est quelqu’un qui veut connaître ce qui serait bon pour lui, et lorsqu’on se pose ces questions, on ne fait pas confiance en Dieu.

C’est Dieu qui sait ce qui est bon pour vous : les dix commandements de Dieu vous apprennent à vivre dans l’amour; les dix commandements de Dieu vous font connaître l’amour de Dieu, l’amour du prochain; les dix commandements de Dieu c’est l’abandon, c’est renoncer à vivre de votre volonté humaine pour vous laisser entre les mains de la Divine Volonté.

Être tout abandonné, être dans le renoncement, c’est si bon, mes enfants; cela a été dans ma vie, ma vie d’enfant, ma vie de femme, ma vie de Mère.

Petits enfants, levez-vous et continuez à chanter.

 

♪♪♪ :     Je veux te consoler, sécher tes pleurs,

Avec toi réparer pour les pécheurs.

Cœur très pur de ma Mère, je t'aime, oh! garde-moi

Jusqu’à l’heure dernière plus près de toi.

 

Marie : Oui, je veux être plus près de vous aussi, mes enfants; je veux vous faire connaître ce que serait dans votre vie un mouvement de donation.

Connaître la Volonté du Fils de Dieu, c’est connaître le don de soi-même pour Dieu, pour le prochain.

Comment voulez-vous vous donner, mes enfants, si vous n’apprenez pas à vous connaître?

Mon Fils vous donne des enseignements par la puissance du Saint-Esprit pour vous, pour votre temps, pour votre monde moderne.

Il vous apprend à vous aimer, à vous reconnaître aimés de Dieu; il vous apprend à devenir des enfants de lumière pour vous-mêmes et pour les autres, car être lumière c’est être resplendissant de joie, d’amour, d’abandon, de tendresse, d’humilité; être tout cela, c’est être devant Dieu : lumière.

La lumière, mes enfants, c’est marcher, marcher sur les voies de Dieu, c’est toujours reconnaître que Dieu a précédé votre vie pour vous la faire connaître.

Être lumière, c’est vous attendrir sur votre passé en vous disant : "Jésus a tout pris, je n’ai plus à m’inquiéter; son Sang a purifié ma vie, et je sais que cela est accompli; je sais que ma vie est connue de Dieu et qu’avant même que je ne sois dans le sein de ma maman sur la terre, ma vie était tout accomplie."

Voyez-vous, mes enfants, il est si bon de vivre cela dans votre vie! Jésus vous l’enseigne, il vous montre à être bons pour les autres une fois que vous vous savez aimés de Dieu, aimés par vous-mêmes.

Lorsque vous avancez sur cette terre remplie de pièges, vous faites confiance en Dieu, vous vous savez entourés de la présence même du Ciel.

Tout autour de vous il y a les anges, tout autour de vous il y a les saints du Ciel, tout autour de vous, mes enfants, des prières vous accompagnent : les prières des âmes du purgatoire; vous n’êtes pas seuls, parce que vous savez maintenant.

Mon Fils est venu vous parler en les cœurs, vous avez laissé votre cœur ouvert, vous avez pénétré à l’intérieur de vous par les grâces et vous avez entendu, car le Saint-Esprit vous a fait entendre.

Tout cela est mouvement de la Divine Volonté pour vous, pour ce temps; ce temps est important, il vous fait avancer pour ce qui s’en vient.

Vous voyez autour de vous ces signes, mes enfants; beaucoup de signes vous ont été dits, et aujourd’hui vous les vivez; vous voyez et vous comprenez parce que c’est le Ciel qui vous a nourris, afin que vous puissiez être vrais dans la vérité; seuls les enfants de la vérité peuvent voir, peuvent comprendre, peuvent accepter.

Si, mes enfants, vous avez accepté, c’est parce que vous avez su vous comporter comme des enfants humbles, sans orgueil, sans chercher avec votre volonté humaine à juger ce que vous entendiez, ce que vous voyiez, mais plutôt abandonnés entre les mains de la Divine Volonté : vous avez été des enfants tout petits.

Les pas que vous avez faits, mes enfants, vont vous amener encore à connaître d’autres pas pour ce temps.

Je vous demande, mes enfants, de toujours prier avec votre cœur pour les pécheurs, pour les pauvres pécheurs qui ne veulent pas venir à moi, qui ne veulent pas prier le chapelet, les prières données par le Ciel; ils ne veulent non plus méditer la vie de la Mère de Dieu et du Fils de Dieu sur la terre.

Petits enfants, gardez-vous de juger ce monde, gardez-vous de juger ces pauvres pécheurs; il est grâce pour vous d’avancer avec votre petit être fragile dans l’obéissance.

Ne recherchez pas à connaître ce qui vient demain, laissez le Ciel vous instruire; les messages, mes enfants, doivent être lus avec votre cœur, comme vous priez, et laissez à la Toute-Puissance le soin de vous faire comprendre ce que vous devez comprendre.

Les messages, mes enfants, sont pour vous des moyens de vous maintenir dans la prière, des moyens de vous maintenir dans la foi, des moyens de vous maintenir dans la lumière de Dieu, non pas pour vous faire connaître ce qui vient dans le but de vous instruire, vous n’avez pas à vous laisser instruire de ces messages qui parlent d’inondations, d’épidémies : laissez cela de côté, mais prenez ces messages pour vous maintenir dans la prière, dans la foi.

Si vous êtes des enfants de la Lumière, c’est que vous avez accepté d’être des instruments d’amour; vous êtes appelés à aider votre prochain qui, lui, ne veut pas croire, et il est en danger, il est en danger de tomber dans les pièges de Satan de plus en plus profondément.

Je vous aime, mes enfants; je veux que vous soyez tout petits devant ce qui vient, et lorsque vous vous gardez tout petits, vous gardez votre paix.

Ne vous ai-je pas dit que tous ceux qui se maintiendront dans la paix seront protégés contre ce qui s’en vient? Regardez, mes enfants, comme il y a des tourments dans la vie de ceux qui ne sont pas dans la paix : ils s’inquiètent du passé, ils s’inquiètent du présent et ils s’inquiètent du futur; ils ne s’aperçoivent pas que leur manque de paix gruge leur santé et ils tombent malades, ils tombent dans le piège de Satan.

Oui, il y a beaucoup d’épreuves en ces temps, mais il faut, mes enfants, que vous soyez obéissants à Dieu pour ce que vous avez accepté d’être : des enfants d’amour, abandonnés entre les mains de Dieu.

Maintenant, continuons, mes enfants, à chanter.

 

♪♪♪ :     Te ressembler ma Mère, oui je le veux.

Écoute ma prière, comble mes vœux.

Dans un humble silence pour plaire au Divin Roi,

J'arriverai, je pense, plus près de toi.           

 

Marie : Être où ne pas être; petits enfants d’amour, si vous avez déjà entendu ces paroles, c’est parce que, on vous l’a dit.

Moi, la Mère de Dieu je vous dis être, être en mon Fils, être présents, être des enfants près de vos frères et de vos sœurs, être des enfants ne voulant vivre que pour Dieu, ne voulant respirer que pour Dieu, ne voulant que vous maintenir dans la grâce.

C’est cela, mes enfants, mourir en le Christ : ne plus vivre de ce monde, avec ce monde, pour ce monde, mais être pour Dieu, être la splendeur de l’amour de Dieu pour tous ceux que vous regardez.

Voyez-vous, mes enfants, ceux qui vous reconnaissent être amoureux de mon Fils vous trouvent beaux, vrais, sincères, parce qu’ils ont en eux l’espoir, l’espoir d’un monde nouveau, l’espoir d’un monde d’amour, l’espoir d’un monde où tout ne sera que vérité, où on ne trichera plus, où il n’y aura plus de mensonges, où tout sera égal; il n’y aura plus de pauvres, il n’y aura plus de riches; il n’y aura plus de larmes, il n’y aura plus de folies, il n’y aura que de l’amour, un amour vrai, un amour qui se donne.

Mes enfants, le Ciel vous prépare à vivre cela, le Ciel fait de vous des enfants qui veulent être, qui veulent mourir en le Christ.

Tout ce que vous recevez en ce moment est voulu du Ciel.

Gardez votre cœur d’enfant, ne vieillissez pas, mes enfants; par les grâces du Ciel, le Ciel vous maintient tout petits; par les grâces du Ciel, vous vous reconnaissez être dans le mouvement de l’amour de Dieu pour vous.

Il est bon, mes enfants, d’être tout petits, attentifs à la Parole de Dieu.

Il est souvent difficile pour vous, maintenant que vous voyez, maintenant que vous comprenez, par la puissance du Saint-Esprit, de vous maintenir dans la paix.

Lorsque vous entendez des paroles contre Dieu, contre moi, la Mère de Dieu, lorsque vous voyez la méchanceté dans ce monde et que cela atteint votre vie, il faut tout donner à la Mère de Dieu.

Croyez-vous, mes enfants, que je ne voyais pas, que je ne comprenais pas ce qui se passait lorsque je vivais sur la terre? On complotait contre mon Fils, on voulait le faire mourir et moi j’assistais à tout cela, je me gardais dans la paix.

Le Ciel ne m’était pas inconnu car je voyais et j’entendais, j’étais liée au Cœur de mon Fils; partout où mon Fils allait, je savais.

Mes enfants, j’ai prié le Ciel pour chacun de vous, j’ai prié pour que les hommes soient dans la vérité.

Priez, mes enfants, priez à votre tour afin que vous soyez prière pour vos frères et vos sœurs afin qu’ils soient dans la vérité.

Lorsque vous vous maintenez dans la paix, vous priez, et ceux qui vous font souffrir reçoivent des grâces; cela vous est demandé.

Il faut continuer, mes enfants, dans la paix à prier pour ce monde.

Le Ciel ne veut pas vous dire qu’un tel ne sera pas sauvé parce qu’il porte un non en lui : non, le Ciel ne fera pas cela, parce que la Mère de Dieu aussi n’a pas regardé les hommes pour les mettre de côté parce qu’ils portaient un non à mon Fils, j’ai continué à prier comme s’ils portaient un oui en eux; vous devez en faire autant, vous devez garder votre sourire.

Petits enfants, le Ciel vous demande de ne pas chercher à convertir ceux qui vous résistent, cela vous fait du tort.

C’est dans les cœurs, mes enfants, que mon Fils agit, ce n’est pas de l’extérieur, tout se passe à l’intérieur de vous.

Regardez ce que vous vivez en ce moment même : par la puissance du Saint-Esprit, votre cœur est lié à tous les cœurs présents pour ne former qu’un seul cœur, et votre cœur se laisse nourrir de grâces et tous les cœurs à l’extérieur d’ici reçoivent ces grâces, voyez-vous la puissance de Dieu?

Mon Fils a sauvé le monde : tout est accompli.

Ce qui se passe en ce moment même est déjà dans l’accomplissement, il faut que vous le viviez; voilà pourquoi il vous est demandé de vous maintenir attentifs à votre cœur qui répond à l’appel de la Mère de Dieu.

Lorsqu’il y a un mouvement qui se passe à l’intérieur de vous, vous devez écouter; aussi petit soit-il, aussi simple soit-il, faites ce que vous devez faire, car c’est l’appel du Ciel.

Le Ciel ne vous demande pas de compliquer votre vie; mon Fils est doux et humble de Cœur : vous devez vivre cela dans votre vie.

Vous devez avoir le cœur à la tendresse, vous devez avoir le cœur rempli d’amour pour vous-mêmes et votre prochain comme un tout petit enfant; point d’orgueil dans l’enfant qui écoute son père et sa mère, il se veut obéissant, c’est tout.

Voilà ce que le Ciel vous demande : vous devez être obéissants, c’est ce qui vous est demandé.

Le temps avance, mes enfants, il faut écouter; il y a des événements qui vont venir.

Ne vous affolez pas pour ce qui s’en vient, gardez votre paix.

À l’intérieur de vous il y a votre refuge; le refuge, mes enfants, c’est mon Fils, il est en vous.

Lorsque vous pénétrez en vous, vous pénétrez dans le refuge même de l’Amour; il y a tant de force à l’intérieur de vous, il y a tant de puissance!

Demeurez tout petits et vous allez comprendre; plus vous demeurez dans la paix, mes enfants, et plus vous allez entendre ce que le Ciel attend de vous pour ce qui s’en vient, ne vous affolez pas!

Lorsque, de jour en jour, il y aura de plus en plus d’événements qui doivent s’accomplir, plus vous allez entendre la Volonté de Dieu par la puissance du Saint-Esprit.

Il faut que cela se fasse dans la paix; si vous n’avez pas la paix, mes enfants, vous ne comprendrez pas ce que vous devez faire, où vous devez être, pourquoi vous devez le faire.

Mes petits, soyez vrais, soyez humbles.

Il y a beaucoup de travail à faire encore avec votre volonté, il faut demander des grâces.

Si vous pouviez, mes enfants, voir votre transformation! Comme elle est belle!

Le Cœur de la Mère de Dieu vous unit, il vous appelle toujours à être à l’écoute du Cœur du Fils de Dieu.

Mes petits enfants, soyez liés les uns aux autres pour ne former qu’une seule chaîne attachée à la croix; vous êtes le chapelet de l’Amour.

Oh! mes petits, comme je vous aime.

Voulez-vous bien, mes enfants, être mes tout-petits?

 

Tous : Oui.

 

Marie : Alors, continuons ensemble à chanter.

 

♪♪♪ :     La vie de tes enfants est un appel.

Relie nos cœurs au tien, oui, nous le voulons.

Ô Mère si bonne, si tendre, tu protèges tes enfants

Du terrible destin qui veut nos vies.

 

Marie : Malgré les avertissements du Ciel, il y a des enfants qui n’écoutent pas; ils continuent à juger, ils continuent à chercher tout ce qui est sensationnalisme, ils vivent de matériel, ils sont incapables de renoncer à leurs idoles, ils pratiquent ce que le Ciel ne veut pas.

Mes tout petits bébés d’amour, Maman veut que vous soyez unis à ces enfants, elle veut que vous les preniez dans vos cœurs et que vous leur parliez : parlez de l’amour de mon Fils, parlez de l’amour de la Mère de Dieu le Fils, parlez de l’Église – en bien, mes enfants, – parlez de vous-mêmes, parlez des saints du Ciel.

Oui, petits enfants, lorsque vous parlez à votre cœur, vous parlez à leur cœur et ils commencent à écouter; à l’intérieur d’eux il y a des mouvements qui se font et ils se demandent pourquoi, pourquoi ils ont des idées plus calmes, pourquoi ils ont des idées comme : "Mais Dieu existe-t-il? Pourquoi l’Église résiste-t-elle encore? Pourquoi des églises sont encore ouvertes malgré qu’elles sont vides?"

Voyez-vous, ces enfants se posent des questions parce que c’est vivant encore en eux; leur cœur est encore vivant, ils bougent, ils veulent de l’amour.

Alors, consolez, mes enfants, consolez ces petits cœurs qui cherchent à connaître la vérité; ces cœurs ont faim, ces cœurs ont soif, ces cœurs ont peur, ils ont peur de Satan, ils ne veulent pas le mal; malgré que ces enfants vont vers les sciences occultes, ils ne veulent pas de Satan, ils ne veulent pas vivre dans le mal.

Ils ne se sont pas rendus compte, mes enfants, qu'ils ont fait une porte à Satan et à ceux qui ont suivi ce mauvais ange; ils ont fait de leur vie une vie de souffrance, une vie orgueilleuse, une vie dominatrice, une vie égoïste.

On tue mes tout petits enfants dans le sein même de la maman, on interrompt la vie parce qu’on ne peut plus vivre dans ce monde, on empêche la famille parce qu’on ne veut plus mettre des enfants au monde disant que ce monde va disparaître, que ce monde va se détruire par lui-même, on a peur du réchauffement de la planète.

Oh! mes petits enfants, la peur conduit à la destruction, la peur conduit tout droit en enfer là où il y a Satan, là où il y a les démons qui veulent détruire la vie pour que la mort soit nourriture.

Oh! mes enfants, si vous pouviez voir tous ceux qui se perdent, comme cela serait pour vous douloureux, si douloureux, mes enfants, que vous ne pourriez continuer à vivre dans votre chair meurtrie à cause du péché, vous n'en auriez pas la force.

Petits enfants, encore une fois Maman vous demande de prendre ces petits cœurs blessés, meurtris, délaissés par eux-mêmes, et de les bercer; bercez ces cœurs, mes enfants, ils ont besoin de vous, liez-les à votre cœur, votre cœur qui chante, votre cœur qui prie, votre cœur qui fait confiance au Cœur de Marie.

Je suis votre Maman, je suis leur Maman, je veux tous mes enfants; je vous ai portés au moment où j’ai porté mon Fils.

Vous êtes si beaux, mes enfants!

Je veux vous donner des grâces de bonté, de beauté; oui, je veux vous donner des grâces de bonté et de beauté, afin que vous puissiez être tout resplendissants lorsque vous serez devant ces enfants; ils apprendront, ils apprendront à faire confiance en ce que vous représentez : les enfants de Dieu, les enfants qui ont choisi de continuer à croire en l’Église, de croire au Pape Benoit XVI, de croire aux évêques, de croire aux prêtres, de croire aux religieux, de croire en ceux qui prient.

Petits enfants, vous êtes tous ensemble, vous êtes le grand rassemblement; je veux encore et encore que ce rassemblement grossisse, je veux qu'il devienne le plus grand rassemblement d’enfants qui chantent pour Dieu.

Mais, en entendant, voulez-vous encore chanter avec Maman?

 

Tous : Oui.

 

♪♪♪ :     Nous te faisons confiance, ô Mère si pure.

 Ton oui, Dieu l’a nourri, il nous l'a donné.

 Vois-y notre ferveur, nous prononçons le oui,

 Ô Reine des cœurs, comme nous t’aimons.

 

Marie : Ô cœurs si tendres et bons, je vous unis

 À la prière du cœur, celle qui est en vous.

 Voyez, petits enfants, comme il est grand le Dieu

 Celui qui s’est donné, Celui qui est en vous.

 

            ♪♪♪…

 

Allez, mes enfants, allez sur ce chemin, un chemin tout tracé pour vous, un chemin fait d’amour, un chemin fait de la présence même de mon Fils.

Mon Fils vous conduit là où vous devez aller parmi les enfants de ce monde, parmi les enfants qui ont faim de vérité, parmi les enfants qui pleurent, parmi les enfants qui souffrent, parmi les enfants qui sont malades.

Oui, il y a tellement à faire, mes enfants, pour votre monde, mais la Divine Volonté vous enveloppe, la Divine Volonté vous conduit sur le chemin que vous devez avancer dans la paix, dans l’amour.

Lorsque vous avancez et que vous voyez quelqu’un pleurer, vous le prenez en vous, vous le conduisez dans le Cœur même de la Mère de Dieu, et la Mère de Dieu se penche sur lui et le console sans qu’il sache où cela vient : cette consolation; il ressent dans sa vie une présence, une présence vraie; il cherche du regard une personne qui sourit, une personne qui croit en lui : c’est que le Ciel a répondu à vos prières.

Petits enfants, vous priez; le Ciel entend vos prières et il exauce.

Ce que vous ne voyez pas dans votre vie, mes enfants, est dans votre vie; l’invisible fait partie du visible, mes enfants : tout est dans l’accomplissement.

Une seule prière de vous est un élan d’amour qui part de vous pour atteindre le Ciel; le Ciel envoie ce mouvement d’amour rempli de grâces vers l’enfant qui a besoin, vers l’enfant qui supplie, vers l’enfant qui espère, vers l’enfant qui a besoin.

Voyez-vous, petits enfants, tout ce qui se passe dans votre vie est vivant, tout ce qu'il y a autour de vous est vrai; ce monde est vrai, vous êtes vrais, l’Église est vraie, l’Église de mon Fils est vivante, elle est agissante.

Ce temps est un temps d’amour, ce temps fait suite au temps passé : tout est dans l’agir de Dieu, c’est la Divine Volonté, mes enfants.

Oh! enfants d’amour, croyez en ce que vous êtes : vous vivez dans une chair et cette chair vous a été accordée par le Ciel.

Votre pensée fait partie de votre chair; votre regard, votre écoute, vos paroles, vos gestes, vos sentiments font partie de votre chair; si cela est vrai pour vous, c’est que vous croyez en mon Fils, vous croyez au Fils de Dieu fait Homme; il a pris chair, il est venu en mon sein pour vous montrer comment vivre en votre chair.

Je suis la Mère de Dieu, je suis la Mère de l’Église, je suis votre Mère.

Si le Ciel aujourd’hui a permis que vous entendiez la Volonté de Dieu, c’est que vous devez au Ciel cette grâce, pas à ce monde, pas à vous-mêmes, mais à Dieu le Père, Dieu le Fils, Dieu le Saint-Esprit.

Le Fils de Dieu vient changer les cœurs, le Fils de Dieu fait appel à tous les cœurs afin qu’il n’y ait qu’un seul cœur, celui qui bat dans le cœur même de l’Église : votre cœur.

Votre cœur ne fait qu’un seul cœur, il appartient à mon Fils; votre cœur est le oui de l’Amour : "Oui, je me donne; oui, je crois que je vais vivre pour l’éternité avec tous mes frères et mes sœurs devant Dieu le Père, parce qu’il m’a donné son Fils Bien-aimé et que le Saint-Esprit m’a accompagné toute ma vie pour me maintenir dans la foi."

Mes petits enfants d’amour, bientôt vous allez vous recueillir pour prier, pour célébrer, pour être présents dans la Vie de mon Fils sur la terre.

Petits enfants, soyez tout amour pour vous et chantez-moi un 'Ave Maria'.

 

♪♪♪ :     Je vous salue Marie pleine de grâce,

Le Seigneur est avec vous,

Vous êtes bénie entre toutes les femmes,

Et Jésus, le Fruit de vos entrailles est béni.

Sainte Marie, Mère de Dieu,

Priez pour nous pauvres pécheurs,

Maintenant et à l’heure de notre mort.

Amen.