Rencontre d’amour avec l'agir de Dieu à Cap-de-la-Madeleine, Québec,

par son instrument, la Fille du Oui à Jésus.

 

2005-05-07

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : La plupart d’entre vous me connaissez; alors, je vais aller simplement (en moi) en me laissant aller dans le Saint-Esprit car, lui, il sait ce que vous voulez entendre; il sait que vous voulez entendre une personne qui entend la voix de Dieu à l’intérieur d’elle; il sait ce que vous voulez savoir, car il vous connaît, il connaît chacun d’entre vous.

Nous sommes venus en ce monde pour Dieu, nous devons aller vers lui; chacun de nous, nous avons été nommés dès notre naissance; mon nom à moi, c’est Francine.

Chacun de nous, nous devons être identifiés par un nom afin qu’on soit l’un pour l’autre des êtres d’amour; nous sommes des êtres faits de la Volonté de Dieu et la Volonté de Dieu est amour; nous aimons être appelés par notre nom afin de donner de soi-même; nous aimons aussi connaître les personnes à qui on s’adresse.

Je suis une personne simple, je demeure dans la Rive-Sud de Montréal; j’ai été mariée : je suis veuve. J’ai eu trois enfants, maintenant je suis grand-mère, grand-mère de trois enfants, bientôt un quatrième.

Ma vie se fait derrière, plutôt en avant d’un écran; depuis plus de 2001, j’écris; j’écris pour le Seigneur parce que j’entends le Seigneur à l’intérieur de moi; ce qu’il me dit, ce sont des mots d’amour afin qu’on puisse continuer à être ce que nous devons être : des enfants d’amour pour lui.

Jésus me parle; lorsque Jésus parle, il parle en son Père, car son Père est en lui et lui est en son Père, et le Saint-Esprit m’enveloppe afin que je puisse comprendre les paroles qu’il me dit à l’intérieur de moi.

Il n’y a que le Saint-Esprit qui peut me faire comprendre ce que j’ai à comprendre,

à l’instant où lui veut me faire comprendre.

Combien d’entre nous, nous entendons des paroles, mais combien d’entre nous, nous interprétons ces paroles comme nous on croit comprendre quelque chose; nous croyons, avec notre volonté humaine, comprendre ce qui sort d’un autre, alors que ce qui sort d’un autre, lui-même ne sait pas ce qu’il dit, car s’il comprenait ce qu’il dit, nous on le comprendrait : on deviendrait une harmonie d’amour l’un pour l’autre; on n’aurait pas besoin d’un langage qui dure parfois plus d’une heure pour dire un seul mot : je t’aime.

Nous, on a besoin de se débattre, on a besoin de mettre les points sur les i parce qu’on est blessé à l’intérieur de nous; on s’est laissé blesser par toutes les paroles que nous avons entendues, par notre faiblesse qui a essayé d’entendre ces paroles, par notre volonté qui a voulu expliquer ces paroles.

Dieu vient parler en nos cœurs; Dieu vient nous dire combien il nous aime parce que Dieu est l’Amour.

Il n’a qu’un seul langage pour Dieu, c’est vivre l’amour, donner l’amour, offrir l’amour pour la plus grande Gloire de Dieu le Père.

En chacun de nous, il a déposé tout ce qui nous était nécessaire afin que nous ne puissions vivre que pour Dieu le Père, mais à cause de notre volonté humaine, à cause de toutes nos faiblesses, à l’intérieur de nous, nous avons de la difficulté à comprendre le but de notre présence sur la terre.

Dieu fait pour moi un mouvement d’amour; il enveloppe ma volonté humaine afin que je ne sois plus moi qu’il dit, mais ce qu’il veut que je sois : un instrument entre ses mains.

Et il fait la même chose pour chacun de vous : il va envelopper l’être que vous êtes afin de prendre votre intérieur et de l’associer à tous les autres, et nous allons former le Cœur de l’Église, nous allons former un tout dans cette salle pour Dieu, que pour Dieu, afin qu’on puisse être tous des instruments d’amour pour nos frères et nos sœurs du monde entier, pour l’épouse de Jésus : l’Église.

Lorsque j’ai les yeux fermés, Dieu prend tout de moi; lorsque j’ai les yeux ouverts, le Saint-Esprit prend tout de moi; lorsque vous, vous êtes dans votre oui, il prend tout de vous; lorsque vous êtes abandonnés, il fait tout pour vous.

 

Jésus : Je suis la Parole et la Parole est en vous : elle ne fait qu’un tout avec ce que vous êtes.

Vous êtes à moi, mon Père vous a donnés à l’Être d’amour afin que vous puissiez comprendre sa Volonté, afin que vous puissiez vivre dans sa Volonté.

Enfants d’amour, ces jours sont des jours de grâces pour vous, ces jours sont des jours de lumière.

Je vais vous parler au plus profond de vous; je vais vous faire découvrir, qu’à l’intérieur de vous, il y a tant de souffrances, tant d’enfants qui se perdent à chercher; ils cherchent à découvrir leur bien-être à eux; ils cherchent à se donner de l’importance; ils veulent comprendre, mais comprendre que ce qu’ils veulent entendre; ce qu’ils veulent entendre, c’est ce qui leur plairait pour continuer à vivre dans un monde qui a perdu le sens de l’amour.

L’abandon en mon Père est amour; vouloir ne faire que la Volonté de mon Père, c’est découvrir l’abandon au plus profond d’eux-mêmes, mais ils ne veulent pas s’abandonner, ils veulent que mon Père fasse leur volonté; leur volonté n’est pas la Volonté de mon Père, car tout ce que j’entends, ce sont des paroles de jugement, des paroles qui ne respectent pas la volonté de l’Église.

Je suis, moi, l’Église; je suis Jésus, le Fondateur; je suis venu sur la terre pour fonder l’Église de mon Père.

L’Église de mon Père doit être pure, elle doit être l’Épouse du Fils.

Aujourd’hui, mes enfants, ceux qui font partie de l’Église sont infidèles à l’Église; une seule parole qui ne démontre pas l’obéissance en tout à l’Église est une parole qui porte des conséquences : la conséquence de la désobéissance amène la souffrance.

Combien d’entre vous êtes témoins de la souffrance de l’Église, parce qu’elle ne mérite pas ma Présence? Chaque membre est un tout en l’Église, chaque membre est important en l’Église, c’est un mouvement qui est vivant.

Chacun d’entre vous, ici présents, vous êtes membres en mon Église; chaque personne, à l’extérieur, est membre de mon Église; tout mouvement fait par vous, tout mouvement fait par elles, ces personnes, doivent être des mouvements d’amour, d’obéissance envers le Fondateur.

Je suis venu faire la Volonté de mon Père et celui qui ne fait pas la Volonté de mon Père est contre le Fils, est contre l’Église, car mon Père m’a tout donné; chaque personne devra être devant ses faits afin qu’elle puisse juger par elle-même de ses mouvements.

J’ai écrit la Parole, car les apôtres ont été en moi et moi j’ai été en eux et, par la puissance du Saint-Esprit, ils sont devenus ce que moi je voulais : la Volonté de mon Père.

Ils se sont accomplis, ils se sont donnés; ils ont été dans l’obéissance au Christ, ils ont avancé avec amour; ils ont suivi les commandements de mon Père en tout; ils ont écouté mes enseignements et ils ont suivi les mouvements de l’Église, et chacun d’eux apportait de lui-même : ils nourrissaient l’Église.

Enfants d’amour, aujourd’hui, les enfants donnent des mouvements contraires à l’amour de Dieu; les enfants d’aujourd’hui prétendent savoir ce qui est bon pour l’Église; les enfants d’aujourd’hui prétendent connaître ce que demain devra être.

Qui sont-ils pour pouvoir être au-dessus de l’Église?

J’ai mis à la tête de mon Église celui qui devait guider; le Pasteur est celui qui guide mon Église et les brebis doivent suivre le Pasteur, les brebis doivent obéir au Pasteur.

Si les brebis ne suivent pas le Bon Pasteur, c’est qu’elles ne reconnaissent pas leur place dans leur pâturage, elles ne se reconnaissent pas être nourries par les grâces, elles ne se reconnaissent pas comme étant membres du troupeau.

Lorsque le Pasteur parle, les brebis écoutent; elles tendent l’oreille afin de toujours être prêtes pour les temps où elles doivent avancer : si le Pasteur avance, les brebis avancent.

Comment, aujourd’hui, les membres de l’Église peuvent-ils être nourris des grâces de mon Père s’ils ne suivent pas celui qui est à la tête de l’Église? Comment les membres, aujourd’hui, peuvent-ils être dans la paix s’ils sont agités devant la  volonté de mon Vicaire? Lorsque quelqu’un est agité, celui-la démontre qu’il n’est pas dans la paix.

Seul mon Père donne des grâces de paix; voyez-vous, si mon Père ne donne pas des grâces de paix, c’est parce qu’ils ne le méritent pas.

Mon Père est l’Amour, mon Père aime tous les enfants; il nourrit les enfants qui veulent bien être nourris; s’ils ne se conduisent pas bien, il ne peut donc leur donner ce qu’ils devraient recevoir.

Aujourd’hui, les enfants de ce monde émettent leur propre opinion, ils ne sont pas en accord avec mon Vicaire; ils sont dans la désobéissance envers mon Église.

Un seul membre qui est dans la désobéissance donne des mouvements qui font souffrir mon Église; voilà pourquoi les enfants souffrent aujourd’hui, voilà pourquoi il y a tant de paroles qui portent à la confusion.

Vous, mes enfants, qui entendez ces paroles, vous-mêmes avez de la difficulté à garder votre paix; vous écoutez les paroles qui se passent à l’extérieur en ce monde, et ces paroles vous atteignent.

Enfants d’amour, ne vous laissez pas atteindre par des paroles de désobéissance; vous qui êtes dans l’obéissance, vous devez garder votre paix, vous devez garder votre calme, afin d’être le mouvement que mon Père veut que vous soyez.

Soyez amour pour l’Église; être amour pour l’Église, c’est n’avoir confiance qu’en mon Père, c’est ne pas écouter les paroles de la désobéissance, mais ouvrir votre intérieur aux grâces de paix de mon Père; là vous allez pouvoir faire des mouvements en l’Église pour ceux qui souffrent.

Je vous dis ces paroles, mes enfants, non pas pour que vous puissiez juger ceux qui sont au-dessus de vous ou ceux qui sont près de vous; toute parole qui porte au jugement est contre mon Père, est contre vous, est contre votre prochain.

Oui, il est vrai que vous entendez des paroles qui vous font sursauter, mais moi, je suis au-dessus de vous; c’est moi qui suis l’Église, et j’entends ces paroles; j’entends les paroles qui portent à la désobéissance, voulant entraîner un mouvement de désobéissance.

Je garde ma paix, je garde ma joie, car je suis l’Amour.

Si vous, vous êtes en moi, et que vous croyez en moi, alors pourquoi cette agitation, pourquoi cette peur, pourquoi ces questionnements?

Ne saviez-vous pas que tout ce qui se passe autour de vous a été annoncé? Ne savez-vous pas, mes enfants, que j’ai parlé afin que vous puissiez être vous-mêmes dans le mouvement de la connaissance, afin que vous puissiez garder votre paix? Je vous ai préparés à cela.

Je vous ai dit, mes enfants, qu’il y aurait de l’agitation, de grandes souffrances se feraient connaître et j’ai dit que tous ceux qui seraient en moi n’auraient rien à craindre, seraient dans la paix.

Demeurez dans la paix et soutenez mon Vicaire, il a besoin de votre oui à l’Amour, il a besoin de votre présence en l’Église comme enfants d’amour, enfants obéissants, enfants qui a confiance, enfants qui donnent tout au Fils pour que le Fils puisse tout donner au Père.

Ce que vous vivez, mes enfants, a été annoncé avant même ma venue en votre monde; je vous ai préparés à ne plus être de ce monde; tous ceux qui suivent les commandements de mon Père, tous ceux qui suivent mes enseignements peinent pour ne plus être de ce monde, mais mourir en moi.

Lorsque j’étais sur la terre, n’ai-je pas dit que je ne suis pas de ce monde, que mon monde n’est pas ici? Je parle pour vous, je parle pour vous dire : "Mes enfants, vous êtes en moi, vous avez accepté de mourir en moi."

Vous venez vous nourrir de mon Corps et de mon Sang, parce que, mes enfants, je vous apprends que vous êtes à moi, et parce que vous êtes à moi, vous n’êtes plus de ce monde; alors pourquoi cette agitation? Pourquoi vos oreilles s’ouvrent-elles à ce langage? Un langage de manque de foi, de manque d’abandon, un langage de désobéissance, car lorsqu’on parle contre mon Vicaire, ce sont des paroles de jugement, et mon Père a demandé à ne pas juger, à aimer.

Ceux qui jugent ne suivent pas les commandements de mon Père, ceux qui sont désobéissants ne suivent pas les commandements de mon Père : «Tu aimeras ton père et ta mère afin de vivre longuement.»

Enfants d’amour, qui est votre père, qui est votre mère, qui sont vos frères, qui sont vos sœurs, sinon ceux qui font la Volonté de mon Père? Tous ceux qui font la Volonté de mon Père sont en moi.

Moi, je suis venu faire la Volonté de mon Père et je vous ai montré à venir mourir en moi, et tous ceux qui meurent en moi font la Volonté de mon Père et ils ont la vie éternelle.

Alors, n’écoutez pas ce monde, avancez sur le chemin en suivant votre Pasteur : il vous guide, il prend soin de vous, il vous montre le droit chemin.

Ne croyez-vous pas qu’il ne sait pas que, dans l’Église, il y a de ses brebis qui ne l’écoutent pas? Croyez-vous qu’il ne sache pas qu’on discute sur ses paroles, alors que ses paroles ne sont que les paroles de mon Père, alors que ses paroles ne sont que mes paroles?

Il se garde tout entier pour moi, iI se donne par amour, il est prêt à aller jusqu’au bout pour l’Église, pour vous, car vous êtes les promis, ceux qui vont vivre dans mon monde d’amour, là où il n’y aura plus de souffrances, là où il n’y aura plus de pleurs, là où il n’y aura plus de maladies, là où il n’y aura que la joie et la paix, où tous les enfants ne feront que la Volonté de mon Père.

Je vous demande d’avancer, je vous demande de garder la foi.

Ceux qui s’inquiètent, ceux qui se demandent ce qui va se passer demain manquent de foi, manquent de confiance : cessez de vous agiter.

Satan est le maître de l’agitation, il veut mettre en votre cœur ces troubles afin que vous puissiez ne pas vous mettre en prière.

La prière, mes enfants, est un langage d’amour; la prière est l’abandon en Dieu.

Ma Mère vous a demandé de vous abandonner en son Cœur afin qu’elle puisse vous conduire au Cœur même de l’Amour.

Elle vous demande de prier, mes enfants, elle vous a fait prier pour Jean-Paul II : il vous a amenés là où il devait vous amener dans la Terre Promise; vous êtes les enfants de la Lumière, vous êtes les enfants de la Promesse : vous avez accepté de mourir en moi, de renoncer à ce monde.

Vous vous laissez ridiculiser par amour pour moi; vous vous laissez montrer du doigt par amour pour moi; vous vous laissez juger en ne cherchant pas à vous défendre, car vous savez que je suis, moi, votre Bon Pasteur.

Vous êtes mes brebis, c’est moi qui vous défends, c’est moi qui vous protège contre celui qui veut votre vie spirituelle; mes enfants, tout est en vous : vous êtes l’Église.

Rien ne peut faire tomber mon Église, car je suis, moi, l’Église, Jésus; le mal n’a aucun pouvoir sur moi, car je suis le Fils de Dieu; ayez la foi et avancez.

Lorsqu’on vous parle et que l’on vous dit : “On a dit telle ou telle chose contre Benoît XVI, on a dit telle ou telle chose qui fait souffrir Benoît XVI”, alors vous, mes enfants, vous qui savez que le Ciel l’a choisi, de quoi avez-vous peur? Est-ce que vous croyez que le Ciel ne savait pas ce que ce monde était pour dire sur mon Vicaire? Nous sommes au-dessus de ce monde.

La Trinité est au-dessus de tout, alors ne prêtez pas (l’oreille) à ces paroles, elles sont dites pour vous amener là où Satan veut que vous alliez : dans l’incertitude, dans le doute, dans la souffrance, dans le découragement, dans la peur.

Jean-Paul II vous a laissé une parole d’amour, elle s’est imprimée en vous : “N’ayez pas peur”; gardez-vous dans ce mouvement d’amour, avancez.

Vous aurez d’autres paroles et ces paroles, si vous les laissez entrer en vous, vont atteindre votre paix; voilà pourquoi, mes enfants, je vous dis, dès cet instant : rejetez au loin tout ce qui peut faire perdre votre paix, car Dieu vous veut dans l’amour, l’amour du prochain.

Ces mêmes personnes qui parlent contre mon Vicaire, je les veux, elles sont mes enfants; j’ai laissé couler mon Sang sur eux afin qu’ils puissent voir et entendre.

Vous qui avez été préparés par ma Mère, vous qui êtes le talon de Marie, vous devez vous tenir prêts, à chaque instant, car lorsque quelqu’un a besoin de paroles de réconfort, les paroles qui sont en vous ne doivent être que paix, car lorsqu’elles sortent, elles doivent apporter la paix.

Vous devez être prêts pour être la lumière.

Ceux qui sont dans les noirceurs et qui s’approchent de vous doivent reconnaître que vous êtes la lumière et la lumière pousse les ténèbres.

Lorsque vous êtes dans la paix, lorsque vous êtes dans la confiance en Dieu, votre lumière sort de vous et c’est votre lumière qui enveloppe la noirceur, mais lorsque vous êtes dans la peur, votre lumière est si petite, mes enfants, que lorsqu’il y a un être de ténèbres qui vous approche, vous vous laissez atteindre comme lui s’est laissé atteindre.

Vous devez être les témoins de l’amour de mon Père; mon Père va témoigner pour vous, mon Père va faire pour vous des mouvements d’amour en l’Église.

Dans le monde entier, il se passe des mouvements : on cherche à abattre mes piliers afin d’affaiblir la force de l’Église, afin que les brebis se dispersent.

Vous, mes choisis, je vous ai préparés à garder votre paix afin que vous puissiez soutenir mes piliers, afin que vous puissiez être un mouvement de rassemblement : tout est en vous.

Je suis l’Église et vous êtes l’Église, vous êtes membres et un membre en moi, Jésus, est puissant, car c’est moi qui fais tout; c’est moi la Volonté de mon Père et la Volonté de mon Père ne peut être ébranlée.

Gardez-vous tout petits en l’Église et l’Église va faire tout pour vous; n’ayez crainte pour demain, tout a été préparé.

Vous avez entendu, vous avez vu; alors soyez prêts à chaque instant à répondre à l’appel du Bon Pasteur, car je vais vous faire paître dans des pâturages là où l’herbe est abondante, et parce que vous aurez pris bonne nourriture, vous aurez la force de Dieu, le courage d’aller là où il y a des brebis qui sont en danger.

Mes amours, ces paroles vous semblent compliquées, ces paroles vous semblent lointaines

alors que vous les vivez.

Combien d’entre vous, vous entrez chez vous et avez des enfants qui ont perdu la foi? Combien d’entre vous, vous avez de vos frères et de vos sœurs qui ont perdu la foi? Combien d’entre vous, vous entendez des paroles lorsque vous allez dans votre paroisse, vous avez autour de vous des mouvements qui sont contre l’Église? Mais vous êtes l’Église, vous ne devez pas vous laissez ébranler par ces mouvements, vous les vivez quotidiennement.

Alors, voyez-vous, parce que vous prononcez votre oui à tous les jours, parce que vous acceptez mes grâces d’amour, d’obéissance et d’abandon, vous vous laissez nourrir par moi, le Christ, je vous donne de la nourriture qui vient du Ciel et votre force est au-dessus, mes enfants, de ce que vous vous pouvez concevoir.

J’agis, moi, à travers vous pour mes enfants qui souffrent, pour vos enfants, pour vos frères et vos sœurs; même si vous ne voyez pas, vous n’entendez pas, l’Église, elle se fortifie parce que vos enfants sont l’Église, vos frères et vos sœurs sont l’Église.

Vous êtes les enfants de l’Amour, vous êtes les enfants de mon Père, vous êtes vivants parce que vous avez renoncé à vivre de ce monde.

Mon monde à moi est pur, mon monde à moi est agissant, car la Volonté de mon Père est en vous.

C’est à l’intérieur que l’Église est, mes enfants; c’est à l’intérieur que les grâces passent; soyez mes mouvements d’amour.

Mon Église est florissante, même si vous, vous croyez que cela ne se voit pas, ne s’entende pas, vous êtes mes choisis, vous souffrez comme le Fils a souffert sur la terre, et regardez-vous, vous tenez vos frères et vos sœurs sur vos épaules et vous avancez.

Vous avancez malgré la souffrance, malgré la maladie, malgré les pleurs, vous avancez, vous entendez les paroles qui font mal et vous avancez : vous portez la Croix.

Est-ce que vous pouvez dire que vous n’êtes pas florissants? Vous avancez vers votre gloire et vous faites avancer vos frères et vos sœurs vers leur gloire.

Vous êtes l’Église, mes enfants, n’ayez pas peur; allez-vous avoir peur de ce que Satan veut faire à mon Église, vous qui avez la foi?

Regardez ma Mère, ma Mère n’a pas eu peur, ma Mère s’est tenue debout, ma Mère a été pour vous et est pour vous un modèle d’obéissance, d’humilité.

Soyez obéissants au Pasteur, soyez humbles, car l’humilité est une force dans l’Église; ne cherchez pas à avoir le dessus sur vos frères et vos sœurs qui disent que telle ou telle chose devrait changer, qui disent que l’Église devrait se moderniser : l’Église est pure, l’Église est belle, l’Église est moi, Jésus.

Est-ce que je vais être modernisé, est-ce que je vais être renouvelé? Je suis le Fils de Dieu, je suis la Lumière, le Chemin et la Vie; tout en moi n’est que perfection et celui qui meurt en moi est parfait.

Alors, soyez des enfants parfaits et ne vous laissez pas atteindre par ces paroles; ces paroles ne sont qu’impureté, ces paroles ne sont que peur, qu’insatisfaction, que souffrances, et cela n’est pas des paroles d’amour, ce sont des paroles de contradictions.

Celui qui n’écoute pas mon Vicaire est un être contradictoire.

Il se contrarie lui-même car il est l’Église, et lorsqu’il parle contre mon Vicaire, contre l’Église, contre moi, il est contre lui; il est membre de l’Église, il est un tout, car je le considère comme un tout puisque je suis en lui et qu’en lui, il y a vous; alors, lorsqu’il parle qu’une telle chose devrait être changée, c’est qu’il ne sait pas se regarder : il n’a pas appris à s’aimer, il n’a pas appris à obéir et à être humble.

Je me suis conduis sur la terre en Être obéissant, humble, car j’ai été humble devant mon Père; je ne me suis pas présenté aux hommes en Être divin, car j’étais et je suis et je serai toujours Dieu; ce qu’ils ont vu, c’est un être comme eux; ce qu’ils ont compris, c’est que j’étais Dieu : ils ont gardé cela dans leur cœur; ils ont suivi mes pas comme des êtres humbles, comme moi j’étais humble.

Tout ce que le Fils a été sur la terre, tout ce qu’ils ont été sur la terre était en le Fils.

L’enfant de Dieu, celui qui fait confiance au Père, celui qui obéit au Père et qui ne fait pas sa volonté, mais la Volonté de mon Père, car ma Volonté était en mon Père et mon Père avait mis sa Volonté en moi : il a appris à renoncer à sa volonté pour mourir en moi.

Voilà ce que cet enfant, qui parle contre mon Vicaire, contre l’Église, fait; il ne veut pas renoncer à sa volonté, il ne veut faire que sa volonté et cela entraîne un mouvement de souffrances en l’Église.

Mes enfants, vous qui êtes les enfants de la Lumière, vous devez vous donner par amour pour votre prochain, vous devez le soutenir, vous devez aimer sans condition.

Je vous donne des grâces d’amour, je vous donne des grâces de paix, je vous donne des grâces d’obéissance, je vous donne des grâces d’abandon en le Christ, en le Bon Pasteur.

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Dieu parle pour chacun de nous. Nous sommes tous ici pour Dieu, parce que nous voulons faire que sa Volonté, nous voulons être obéissants à Dieu.

Alors, Dieu dit : «Maintenant, prenez un moment de repos.» Merci.

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : …ce qui nous amène à découvrir combien nous sommes aimés de la Trinité. (L’enregistrement n’a pas pris le début : «Mes enfants, veillez accueillir mes grâces, c’est moi, le Saint-Esprit, qui vous les accorde.)

Chacun d’entre nous, nous vivons des difficultés, chacun d’entre nous, nous vivons dans l’incertitude face aux autres; nous disons face aux autres : nous avons peur pour nos enfants, nous avons peur pour notre mari, notre épouse, pour nos frères, nos sœurs, pour l’Église.

Lorsque nous agissons ainsi, c’est que nous laissons sortir de l’intérieur de nous ce que nous sommes : c’est notre propre peur, propre incertitude, nos questionnements.

Jésus nous a parlé par la voix de l’Amour : le cœur; il est venu ici, sur la terre, parmi nous, nous montrant notre conduite, comment devons-nous nous comporter face à nous-mêmes; parce que lorsqu’il est venu sur la terre, Jésus, il est venu parler de nous-mêmes; il nous apprenait que nous devions aimer notre prochain comme lui, il nous aimait.

Jésus est en nous, nous en lui, lui en nous, nous ne faisons qu’un avec lui, alors nous ne sommes plus nous-mêmes, nous sommes Jésus; alors nous devons aimer comme Jésus a aimé sur la terre.

Jésus a vu la souffrance lorsqu’il était sur la terre : il a vu la maladie, il a vu les gens qui étaient possédés, il a vu des gouvernements, il a vu la dictature, la révolution.

Jésus a tout connu cela et il se gardait amour, il se gardait dans la paix, dans la confiance en son Père, car il aurait été impossible qu’il puisse se donner comme il l’a fait s’il s’était tenu dans la peur.

Alors, Jésus nous demande d’être comme lui : de nous donner comme lui s’est donné.

Il est venu parler pour nous, il n’est pas venu parler pour lui, parce que Jésus était le Fils de Dieu, Jésus était parfait; il est venu nous montrer notre conduite; cela n’est pas différent, que ce soit il y a 2005 ans ou notre temps à nous, c’est le même parce que Jésus est la Présence.

Ce qui était autour de Jésus est en nous; nous étions en les apôtres, nous étions en les disciples, nous étions en les saintes femmes, nous faisions qu’un tout, car Jésus fondait son Église, alors, nous étions là.

Lorsqu’il a dit aux apôtres de ne pas s’inquiéter, il le disait à nous; lorsqu’il a dit aux apôtres : «Pourquoi avez-vous peur, ne savez-vous pas que je suis avec vous?» Alors, il nous dit encore les mêmes paroles aujourd’hui, et nous continuons à nous agiter.

Oui, nous continuons à nous agiter parce que plusieurs d’entre nous, et la plupart, entendent les paroles que l’on dit par les médias : on parle contre notre pape, on parle contre ses paroles, on parle contre son agir.

L’agir de notre pape est l’agir des autres papes dans l’obéissance, parce que tous ceux qui ont été avant lui et qui ont été obéissants au Christ ne font qu’un : un seul pape.

Mais nous, nous regardons ça avec notre volonté humaine et c’est notre volonté humaine qui passe en avant de nous; nous avons peur, nous nous demandons qu’est-ce qui va se passer; nous commençons à écouter des paroles et nous en discutons entre priants.

Croyez-vous que nous sommes différents de ceux qui discutent entre eux de ce qui ne va pas dans l’Église? Nous faisons la même chose.

Ceux qui sont dans les rues, et qui disent : “Oh! le saint Père, il est encore dans ce qui est le vieux; il n’approuve pas le mariage des prêtres, il n’approuve pas les femmes qui veulent être prêtres, il n’approuve pas la pilule contraceptive”; tout cela est discuté entre eux.

Nous, nous le savons et nous parlons de cela : “Ils ont dit cela, ils ont dit cela. C’es-tu de valeur, mais ils ne suivent pas l’Église!” Qu’est-ce que nous faisons de différent d’eux? Eux parlent contre notre saint Père de ses agirs et nous, nous parlons contre les membres de l’Église, contre leur agir.

Nous faisons exactement la même chose.

Voyez-vous, comment voulez-vous qu’on soutienne nos frères et nos sœurs, puisque nous sommes dans le même bateau? Il y a un vent qui est soufflé du nord et un autre qui est soufflé du sud, et le bateau se fait brasser, et nous, nous sommes dans le milieu : nous nous laissons brasser nous aussi.

Nous sommes même pas capables de nous soutenir les uns et les autres pour dire aux autres : “N’aie pas peur, aie confiance, Jésus est là, lui il sait ce qui est bon pour nous.”

Nous ne devons pas crier cela à tue-tête à ceux qui crient plus fort que nous, mais nous devons le dire à l’intérieur de nous, afin qu’eux en reçoivent les grâces; parce que lorsque nous donnons tout à Jésus, bien, on reçoit des grâces parce que Jésus prend nos paroles, Jésus prend ce que nous avons entendu, Jésus prend notre inquiétude, parce que lui sait qu’on est inquiet, et il nous donne des grâces, des grâces d’abandon.

S’abandonner entre les mains de Dieu le Père, faire confiance que lorsqu’il nous a envoyé son Fils, il nous a envoyé notre salut, il nous a apporté de la paix, il nous a donné de l’amour, voilà ce que nous devons comprendre.

Dieu nous aime au-delà de ce que nous, nous pouvons penser; il nous a donné beaucoup à nous, les priants, il nous a donné à nous beaucoup, les membres de l’Église; mais si je m’arrête un seul instant de parler et je vous dis : “Pensez à ce que je viens de dire. Qui sont les priants?"

Est-ce que c’est seulement nous? Croyez-vous qu’eux ne prient pas non plus? Ils prient, ils prient dans ce qu’ils sont, dans ce qu’ils connaissent.

Ils ont connu ce monde aujourd’hui, ils ont connu le monde qui est en eux; tout ce monde, c’est celui de la terre, ça part depuis Adam et Ève jusqu’à ce jour, et tout cela est à l’intérieur de nous; alors, eux se sont formés avec ce qu’ils ont vu, avec ce qu’ils ont entendu, avec ce qu’ils ont accepté, avec connaissance de cause ou avec ce qu’ils ne savaient pas, mais qui était dans leur vie.

Ce sont des enfants tout comme nous, ce sont des êtres souffrants tout comme nous.

Si nous, aujourd’hui, nous nous laissons appeler par Dieu, les enfants de la Lumière, est-ce que cela enlève quelque chose à eux? Ça ne leur enlève rien, parce que Jésus est venu autant pour eux que pour nous, tout simplement, c’est que nous avons répondu à l’appel.

Il nous a demandé d’avancer tout comme il leur a demandé à eux d’avancer, mais eux étaient tellement étourdis par tout ce qui était en eux qu’ils n’ont pas entendu; ils se sont laissé étourdir par ce monde.

Nous, nous sommes les enfants de la Lumière et nous devons nous soutenir les uns et les autres comme Jésus nous a soutenus.

Oui, l’Église souffre beaucoup; oui, on veut faire la volonté des hommes

avant de faire la Volonté de Dieu.

Si nous savons cela, cela n’est pas venu de nous, cela est venu de Jésus; c’est lui qui nous l’a annoncé par ses messages.

Il nous a prévenus qu’à cause de notre volonté humaine, il y aurait beaucoup d’erreurs en ce monde, qu’à cause de la volonté humaine, l’homme et la femme souffriraient, les enfants souffriraient, et l’Église entière serait dans la confusion; tout cela nous le savons parce que cela nous a été dit; nous avons écouté, c’est parce qu’il y a eu dans l’Église des personnes qui ont prié, qui ont prié pour nous.

Bien, savez-vous que les personnes qui ont prié pour nous sont du nombre des personnes qui disent des paroles contre Benoît XVI? Ces propres personnes ont prié, et lorsqu’une personne prie, Dieu écoute, Dieu donne des grâces pour l’Église.

Combien de prêtres ont prié pour nous? Combien de religieuses ont prié pour nous? Combien de mères de famille, de pères de famille ont prié pour nous? Combien de célibataires ont prié pour nous? Combien d’enfants aux écoles ont prié pour nous, et cela dans le monde entier?

Voyez-vous, nous sommes un tout en Jésus, et Jésus nous demande : «Ne regardez pas au côté, n’écoutez pas ce qu’on vous dit, mais entrez en vous, demeurez en vous, et vous ne jugerez point, vous ne vous éloignerez pas de mes commandements, vous allez toujours entendre et comprendre ce que la Lumière est venue vous révéler.»

Nous sommes l’Église et c’est comme des enfants en l’Église que nous devons nous regarder,

pas individuellement.

Lorsqu’on est tout seul à la maison ou lorsqu’on parle avec une autre personne de ce qui se passe, de la souffrance en l’Église, nous devenons individualistes, c’est comme si on était seul devant les problèmes de l’Église : cela est faux, une seule parole dite de nous fait un mouvement dans l’Église, et l’Église s’en ressent; voyez-vous l’impact que cela a lorsque nous parlons? Nous faisons des mouvements dans l’Église.

Jésus me montre des mouvements dans l’Église : il me fait voir sa Volonté et il me fait voir la volonté des humains; mais quand cela se fait, tout devient troublant parce que je ressens ce trouble, je ressens l’Église qui souffre.

C’est comme un mouvement qui se déchire; il n’est pas capable d’être uni dans la lumière de Jésus, il n’est pas capable de ressentir l’amour de Jésus, il se laisse atteindre par la froideur, il se laisse atteindre par le Diviseur.

Jésus, qui est l’Église, voit la volonté humaine; il souffre sa Passion parce qu’il prend tous les mouvements, parce qu’il prend chacun de nous; il essaie, Jésus, de nous faire comprendre ce que nous faisons en l’Église, en son Église.

Nous formons un tout.

Lorsqu’une seule parole de nous sort, même une pensée qui n’est pas prononcée et qui n’est pas amour, toute l’Église en est bouleversée.

Nous ne pouvons pas nous séparer d’un mouvement d’amour; ce mouvement d’amour, c’est Jésus lui-même, c’est le Verbe; le Verbe, c’est la Volonté, alors, nous ne pouvons pas nous séparer de Jésus.

Alors, lorsque nous parlons, lorsque nous pensons contre un seul membre de l’Église, alors Jésus, lui, le sait, puisqu’il est le Verbe, puisqu’il est le mouvement; c’est lui qui accomplit le mouvement dans l’Église, alors il a devant lui un membre contre lui.

Croyez-vous que Jésus peut faire ce mouvement en l’Église puisqu’il nourrit chacun de nous? Jésus est venu pour nourrir tous les membres, il est venu pour nous donner son Être.

Alors lorsque nous, nous parlons contre l’Église, ou nous jugeons un seul membre qui parle contre l’Église, Jésus souffre.

Jésus enveloppe ce mouvement afin que les membres ne s’écroulent pas; alors, pouvez-vous vous imaginer combien de membres il y a en lui? Si chaque membre dit une seule parole ou une seule pensée, il est en mouvement de souffrance pour nous, pour nous protéger.

Jésus dit que nous devons prendre conscience de ce que nous faisons en l’Église.

Nous entendons ses paroles, mais comment se fait-il que nous les oublions lorsque nous nous retrouvons devant nos enfants, devant nos frères et nos sœurs, devant la société? Nous sommes faibles, nous ne sommes pas capables de nous tenir obéissants à ses enseignements.

Jésus nous voit, Jésus nous entend, mais il nous aime tels que nous sommes; il nous enveloppe de son amour afin que nous puissions nous pardonner.

Il veut qu’on apprenne à se pardonner, à ne pas garder en nous des mouvements qui nous empêcheraient de voir la Lumière, voilà pourquoi il ne cesse de parler; il nous dit : «Ne te fais plus mal, donne-moi cela, je suis là, apprends à aimer ton frère, ta sœur, ta mère, ton père, parce qu’ils sont moi.

Apprends à connaître l’être que tu es parce que tu es moi.

J’ai pris sur moi toutes tes paroles, passées, présentes et futures; j’ai pris en moi toutes tes pensées, toutes tes actions; tout ce que tu ressens, je l’ai pris en moi, alors, ne cesse jamais de me donner.

N’interromps pas ce mouvement, il est la Vie, il est mouvement de purification.

Tu vis en ce moment même ta purification, tu acceptes de souffrir en l’Église; par mes grâces, tu découvres l’abandon; par mes grâces, tu découvres l’obéissance en l’Église et tu avances.

Je sais que tu vas continuer encore à faire souffrir l’être que tu es, je sais que tu vas faire souffrir encore les êtres que tu aimes, car tu es en souffrance à cause de tout ce qui t’habite.

J’ai commencé à parler à ton intérieur afin que tu puisses entendre et voir, afin que tu puisses t’abandonner entre mes mains; ta purification est commencée.

Il y a beaucoup encore de mouvements en toi qui devront m’être donnés.

Tu vois, je t’avais prévenu que tu connaîtrais beaucoup de souffrances, je t’avais prévenu que l’Église était pour souffrir, tout cela tu l’avais mis en toi, et malgré cela tu as continué à juger, non pas pour détruire, mais tu as quand même continué à juger; c’est parce qu’à l’intérieur de toi, il y a encore tant de souffrances.

Je veux que tu continues parce que moi je sais maintenant que ta purification est avancée; oui, tu acceptes de te laisser envelopper par un feu d’amour, et ce feu d’amour te montre que tu es pécheur, que tu es pécheresse, mais ta force est en moi, ta confiance, c’est moi.

Ta foi t’a conduit à mon Père, voilà pourquoi tu entends ces paroles, parce que tu as besoin de moi, tu as soif de moi, tu as faim de moi, et je te prends, et je te fais avancer dans ta purification et, à chaque fois que tu me donnes tes pensées, tes actions, ce que tu portes en toi qui te fait souffrir et qui t’a fait souffrir, moi, je prends cela et j’arrache le mal de ton intérieur et je purifie ta chair.

Ta chair commence à trouver le repos et la paix, et parce que tout ton être commence à découvrir le mouvement de la Purification en l’Église, pour l’Église, ceux qui sont en toi en profitent, même ta mère, même ton père, même ta sœur, même ton frère, tous ceux que tu aimes, ils reçoivent.

Ne doute pas, aie confiance.

Même si tu vois la maladie autour de toi qui s’amplifie, aie confiance; même si tu vois que les hommes continuent à se détruire entre eux, aie confiance; même si tu vois que les Églises sont dans la confusion, aie confiance; même si tu vois la terre qui connaît des mouvements qui font souffrir la création et les créatures de Dieu, aie confiance, Jésus a préparé ce temps de purification.

Mon Père connaît tous ceux qui vont vivre en mon monde d’amour, et toi, tu dois avoir confiance en mon Père, tu dois avoir confiance que mon Père sait ce qu’il fait.

Ne garde pas cette peur lorsque tu vois des personnes autour de toi que tu aimes et qui tombent malades : aie confiance en ta prière; lorsque tu vois que tes frères et tes sœurs ne suivent pas la religion, alors que tu pries, aie confiance que mon Père prend soin d’eux : ne te laisse pas prendre par la peur.

Ne t’ai-je pas prévenu, ne t’ai-je pas dit que les enfants de la Lumière, dans les derniers temps, vont être attaqués par Satan? Satan va tout faire pour faire peur aux enfants de la Lumière et les moyens qu’il prend sont au-dessus de ce que toi tu es capable de comprendre.

Il faut que tu gardes cela en ton cœur, ces paroles sont des paroles d’amour pour toi; je suis l’Église, je parle en toi, je suis vivant.

N’ai-je pas dit que tous ceux qui suivraient les commandements de mon Père sont en moi et que celui qui suit tout ce que moi je lui ai enseigné, je me manifeste à lui? Alors, toi qui veux tout faire pour moi, toi qui veux suivre les commandements pour mon Père, toi qui veux suivre en tout la Volonté de mon Père, renonçant à ta volonté, je me manifeste à toi.

La puissance du Saint-Esprit est sur toi, tu dois avancer, tu aides ceux qui sont en toi; ceux qui sont en toi, c’est ceux qui sont avec toi : tu les vois, tu les entends, tu partages leur vie.

Cela est pour ton temps, aie confiance.

Je suis la Voie qui t’amène là où toi tu n’es pas capable d’aller; c’est moi la Lumière, c’est moi qui guide tes pas sur cette terre, alors que cette terre est enveloppée d’une noirceur à cause de la volonté humaine.

On veut vivre pour soi-même, on ne vit plus pour moi, mais toi, tu as appris à vivre pour moi maintenant; voilà pourquoi tu laisses transformer ton être : tu fais ta purification sur la terre en ta chair.

Je t’aime parce que tu es moi, et moi toi; l’Amour, c’est moi; toi tu es l’amour, tu es fait à ma ressemblance; mon Père m’a tout donné : tu es à moi.

Lorsque tu t’inquiètes, moi, je déverse en toi des grâces de paix pour que tu puisses revenir tout petit entre mes mains, et je poursuis ta purification : purification de ta chair, dans tes pensées, dans tes paroles, dans ton cœur, dans tout ce que tu as ressenti.

Je suis en train de te transformer et faire de toi un être nouveau; tu es en train de renaître à la vie, à la vie en Dieu, comme tu aurais dû être; maintenant, continue à écouter, je veux continuer à te nourrir.»

L’Esprit de Dieu veut que nous soyons obéissants à l’appel de Dieu.

Il y a tant de mouvements qui sont à l’intérieur de nous; il y a aussi des mouvements d’amour; ces mouvements sont nourris par les grâces de Dieu, et cela est en nous.

Il y a beaucoup de prières; les prières se réunissent pour former une force autour de la terre, et lorsque ces prières sont faites dans la confiance, tout pénètre à l’intérieur de nous qui sommes l’Église.

Lorsque nous prions Marie avec notre cœur, il y a l’Église qui se met dans un mouvement d’amour; elle aussi se laisse purifier par Jésus, parce que Jésus est le seul qui va purifier son Église.

Nous sommes petits, mais parce que Jésus est en nous, que nous sommes en Jésus, Jésus prend tout ce que nous sommes et il fait des mouvements en l’Église, et ces mouvements sont agissants parce que ce n’est pas nous qui faisons ces mouvements, c’est Jésus.

Nous devons consentir à ne plus être ce que nous avons été : nous avons été des êtres sans foi; maintenant, il nous montre, tranquillement, à nous laisser plonger dans ses grâces de foi, afin que nous puissions regarder son Église avec les yeux de Jésus, plus avec nos yeux, parce que nos yeux nous trahissent.

Regardons ce que nous avons ressenti lorsque Jean-Paul II est décédé : beaucoup de priants ont eu peur, surtout ceux qui suivaient les messages; ce sont ceux qui ont eu le plus de peurs : ils savaient que Jésus avait annoncé un temps de souffrances, un temps où notre saint Père souffrirait à un tel point que nous, on serait tout ébranlé, on ne saurait plus qui est dans le droit chemin.

Alors, lorsque Jean-Paul II est décédé, nous avions ces messages-là dans notre cœur et nous avons réagi avec une peur : “Qu’est-ce qui va se passer? Qu’est-ce qui va nous arriver? Quel pape nous allons avoir? Est-ce qu’il sera un faux pape?” Voyez-vous, nous avons parlé comme des enfants de peu de foi.

Dès l’instant où nous avons suivi ces messages, n’avons-nous pas prié, n’avons-nous pas écouté ce que Jésus nous demandait, ce que la Sainte Vierge nous demandait? Combien d’entre nous vont dans des cénacles et prient parce que cela avait été demandé? Combien d’entre nous avons été dans les groupes de prières et nous nous sommes associés avec les autres parce que la Sainte Vierge nous le demandait? Combien d’entre nous avons prié pour notre saint Père le Pape?  Alors les prières que nous avons dites ont été entendues.

Marie n’a-t-elle pas dit : «Tout sera conditionnel à la prière?» Alors nous avons été exaucés; alors pourquoi avons-nous eu peur? Eh bien, Jésus, il dit : «Petits enfants, c’est parce que vous avez été dans votre volonté humaine; vous voulez me la donner, mais il vous en reste encore, assez pour douter; alors, vous avez à continuer à me la donner.»

Jésus nous aime comme on est; il nous prend avec douceur; nous avons le Pape que nous avons voulu avoir, grâce à nos prières; tout cela est un cadeau du Ciel.

Nous ne le méritions pas ce Pape, parce que Jésus connaissait notre peur au moment où Jean-Paul II était pour mourir, mais Jésus connaissait le cœur que, en ce moment même, nous avons.

Nous avons la joie dans nos cœurs, nous avons l’espérance en nous; nous sommes les enfants de l’espérance, nous devons témoigner de l’espérance : tout est dans l’accomplissement.

Jésus a parlé par les prophètes.

La Volonté du Père était en le Fils, et le Fils était en les prophètes; avant même qu’il soit en ce monde, Jésus parlait par la bouche des prophètes, car Jésus est la Présence.

Il nous a parlé de ces temps, il nous a parlé de la peur, il nous a parlé du loup dans la bergerie et il nous a parlé du Bon Pasteur.

Ne nous a-t-il pas dit qu’il était pour toujours être là? Et il est là, mais il nous fait paître là où nous, nous voulons paître; si une journée nous voulons avoir de l’herbe bien grasse, il nous la donne, mais si une journée, à cause de notre volonté humaine, nous nous inquiétons, eh bien, nous nous mettons nous-mêmes au régime.

Dieu nous aime et il prend soin de nous; il nous appelle, il nous appelle à l’obéissance.

Ce que nous entendons à l’extérieur de ces murs, lorsque quelqu’un dit des paroles contre Benoît XVI, notre bon Pape, bien, ce sont des paroles de désobéissance, c’est un mouvement dans l’Église fait par une personne dans sa volonté humaine; mais lorsqu’une seule personne morte en Jésus n’est plus elle, mais le Christ, parce qu’elle n’est plus dans sa volonté humaine, mais morte dans la Volonté de Dieu, lui, il prend tout.

Il prend ce que nous sommes depuis notre enfance jusqu’à ce que nous allons être au moment où Dieu voudra qu’on soit éternel, il prend tous les enfants que nous avons en nous — lorsqu’il parle d’enfants, il parle de tous les enfants de Dieu depuis le commencement jusqu’au dernier qui sera créé — et tous leurs bons mouvements, depuis leur naissance jusqu’à ce qu’ils seront devant Dieu, l’Éternel, et il enveloppe le mouvement de désobéissance avec ce que nous, nous venons de lui donner; voyez-vous la puissance de Dieu?

Lorsque nous avons confiance aux membres de l’Église qui sont Jésus, alors nous savons que nous sommes à la bonne place.

L’amour de Dieu est infini.

Ce ne sont pas nos petites têtes qui s’affolent en 2005 qui vont former l’éternité; nous serons éternels, que ce soit après notre purification et cette purification peut se faire au Purgatoire ou sur la terre, nous serons dans le mouvement que Dieu veut qu’on soit, pas le nôtre : Jésus, il sait ce qu’il fait.

Lorsqu’il est venu fonder son Église, il avait déjà tout préparé, et il voyait tout, et il a vu ce que nous avons fait, et il voit ce que nous ferons demain.

Pourquoi alors ne pas tout lui donner? Vous direz : "Eh bien, c’est parce qu’on veut bien tout lui donner, mais on revient toujours sur nos pas"; Jésus dit : « Mais vos pas ne peuvent pas revenir en arrière.»

Ça, c’est ce que nous, nous pensons, parce qu’à chaque jour Jésus nourrit son Église, à chaque jour des pas se font parce que Jésus est la Présence; alors nous, nous ne pouvons pas revenir en arrière, c’est impossible.

Lorsque nous suivons les pas de Dieu, c’est en avant que nous faisons les pas; c’est seulement notre tête qui pense ça, pas l’enfant de Dieu que nous sommes, parce que l’enfant de Dieu que nous sommes est vivant en l’Église, et l’Église : elle avance, elle ne recule pas.

Ce que nous pouvons penser ne fera pas mourir l’Église, mais ça nous fera souffrir : Jésus veut arracher de notre vie cette souffrance, il va nous apprendre à garder le silence devant des propos que les médias disent, que les gens de la rue disent; lorsqu’il parle des gens de la rue, c’est de tous nos frères et nos sœurs.

N’oublions pas que nous sommes avec eux; alors, Jésus nous demande d’être des êtres vrais en l’Église et d’avoir confiance en lui.

Nous avons nos petits problèmes; vous savez, Jésus, lui, porte tous les problèmes du monde.

Lorsque nous avons peur pour nos enfants, nos petits-enfants, lorsque nous avons peur pour nous-mêmes qui avons le cancer, le rhumatisme, lorsque nous avons peur de tout cela, Jésus sait tout ça, lui, il n’y a rien qui échappe à Jésus.

Jésus nous demande : «Donne-moi ce qui te fait souffrir, je suis en toi, je vis en toi; lorsque tu me parles, je t’entends; lorsque tu me dis ta souffrance, je la connais avant même que tu me la dises, et je te soutiens par mes membres, tu n’es pas seul.»

Lorsqu’on se croit tout seul devant un cancer, c’est notre tête qui pense cela, pas l’enfant de Dieu; l’enfant de Dieu sait qu’il est en l’Église et que les autres le soutiennent.

C’est la même chose pour ceux qui sont chez eux à la maison, dont un enfant est violent, dont un enfant est dans la drogue, dont un enfant connaît la souffrance à cause d’une séparation, à cause de la violence physique, nous ne sommes pas seuls; Jésus est en nous et nous sommes en lui, nous sommes avec tous les enfants du monde qui nous soutiennent.

Savez-vous que même les enfants qui n’ont pas conscience que Jésus est en eux font des mouvements pour nous? Lorsqu’ils font un acte d’amour pour leur prochain, pour soi-même, c’est Jésus qui les nourrit de ses grâces de bonté, et ces grâces de bonté, on en ressent les effets : c’est un soutien.

Si nous vivons cela avec la foi de Dieu en disant : “Jésus, c’est vrai, tu l’as dit et j’y crois”, eh bien, nous allons regagner une paix que nous venions de perdre.

Jésus nous a montré son agir.

Depuis Adam et Ève, le monde a avancé; depuis Adam et Ève, le monde a connu des souffrances; les souffrances de tous nos frères et nos sœurs, nous, nous ne les connaissons pas toutes, mais Jésus les connaît toutes, et regardez où nous sommes aujourd’hui : nous sommes ici.

Il y a encore des enfants qui ont la foi en Jésus; eh bien, si nous avons encore la foi en Jésus, cela ne vient pas de nous, mais de Jésus; cela vient de tout ce que Jésus a mis en l’Église, en tous nos frères et nos sœurs, et nous avançons; nous n’avons pas à paniquer.

Nous allons soutenir notre Pape encore, comme nous avons soutenu Jean-Paul II.

Jean-Paul II nous soutient encore, et tous les papes nous soutiennent encore, et tous ceux qui sont au Ciel nous soutiennent encore, et tous ceux qui sont au Purgatoire nous soutiennent encore, et c’est cela que nous devons regarder.

Nous devons avancer pour nous, pour nos enfants, nos petits-enfants; nous devons avoir la foi en l’Église, la foi en nous; oui, nous devons avoir foi en nous-mêmes.

Lorsqu’on se regarde le matin et qu’on voit un visage devant soi, eh bien, dites-vous : "Ce visage, il vit; il a, à l’intérieur, une présence et c’est moi"; c’est nous-mêmes, ce visage est ce que nous sommes; nous sommes des êtres vrais, nous sommes des êtres qui valent la peine d’avancer en l’Église.

Si nous avons peur de ce que les autres disent, comment allons-nous nous regarder le matin? Nous allons regarder un visage qui a peur, qui pleure, et tout ce qu’on va récolter, c’est une mauvaise journée.

Nous ne pouvons pas travailler dans la paix, nous ne pourrons pas encourager nos enfants parce qu’ils vont regarder le visage que nous avons, et ils vont voir des traits qui sont marqués de la peur; ils n’ont que faire de notre visage.

Nous devons être pour eux de l’espérance, nous devons témoigner de ce que nous sommes à l’intérieur de nous, voilà ce que Jésus voulait que nous sachions, voilà ce qu’il voulait pour nous.

 

Jésus : N’ayez pas peur; ayez confiance en la prière; ayez confiance en ma Mère; ayez confiance aux commandements de mon Père; ayez confiance en mes enseignements.

Ils auront beau dire ce qu’ils veulent avec leur volonté humaine, cela ne changera pas les commandements de mon Père et cela ne changera mes enseignements.

Je suis, moi, la Lumière, je suis la Vie, je suis le Chemin, la Vérité; alors demeurez ainsi : présentez un visage, à ceux qui sont autour de vous, d’amour, de foi en l’Église.

Croyez-vous que les autres Églises ne vous regardent pas? Ils hochent la tête. Ils doivent dire : “Oh, on a bien fait de quitter cette Église; aujourd’hui, ils sont même plus capables de s’accorder entre eux; il y a des divisions au sein même de l’Église catholique de Rome, ils ridiculisent leur pape; alors, nous qui avons quitté cette Église, on a quitté le bateau à temps.”

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Pourtant, ils sont en nous; ce sont nos frères et nos sœurs qui jadis ont vécu une agitation; à cause de leur volonté humaine, ils ont eu peur et ils ont manqué de foi en Jésus.

Nous devons être pour eux la bouée qui les soutiendra à la surface de l’eau afin qu’ils puissent entrer dans le bateau, parce qu’il n’y a qu’une seule Église, c’est l’Église de Jésus.

Jésus est l’Église et nous sommes en l’Église comme eux sont en l’Église, alors montrons ce que nous sommes : des petits enfants entre les mains de Dieu le Père, pas plus et ni moins.

Alors, il dit : «Maintenant, dis merci.»