Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Caracas, Venezuela,

par son instrument, la Fille du Oui à Jésus

 

2010-05-12 – Soir

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Dans le monde dans lequel nous vivons, nous avons besoin des uns et des autres, nous avons besoin de nous tenir les coudes serrés. Oui, nous avons besoin des uns et des autres : nous soutenir. Ce que Jésus a vécu, lorsqu'il est venu sur la terre, eh bien, nous le vivons. Lorsque Jésus a commencé à parler de l'amour, ce n'était pas compris par tout le monde, et c'est encore la même chose aujourd'hui. À qui est la faute? Aux enfants de Dieu? C'est la faute de Satan. C'est lui la cause de nos souffrances, c'est lui la cause de nos séparations. Il veut qu'on se juge entre nous et il veut qu'on juge la situation.

Remercions le Ciel pour nous donner la paix. Nous sommes toujours récompensés lorsqu'on garde la paix; là, le Ciel agit parce qu'on lui laisse la place. Dieu veut toute la place. À l'intérieur de nous, on a délogé Dieu : j'ai mes soucis, j'ai mes tristesses, j'ai mes colères, j'ai mes envies. Tout ce que Satan a pu nous faire connaître a délogé notre amour. Nous sommes amour, mais lorsque nous sommes dans la tristesse, nous laissons entrer ce qu'un esprit de tristesse veut nous faire connaître. Nous sommes libres d'accepter cette tristesse ou de la refuser. Lorsque nous sommes aux prises avec un esprit de tristesse, cela est extérieur de nous. L'esprit de tristesse, à l'extérieur de nous, nous fait comprendre qu'à l'intérieur de nous il y a de la tristesse. Lorsque nous écoutons la tristesse, lui se sert de ce qu'il a entré en nous, non que nous sommes possédés d'un esprit de tristesse, nous avons son poison.  

Il a été facile pour un esprit de tristesse de nous tenter. Il connaît ce qu'il a mis dans la chair des enfants de Dieu; il connaît la première fois qu'un esprit de tristesse a fait pouvoir dans la chair d'un enfant de Dieu. Un jour, un esprit de tristesse est arrivé près d'un enfant de Dieu; il lui a fait ressentir la tristesse et il a répondu à la tristesse. À l'intérieur de lui, il a ressenti pour la première fois de la tristesse. Elle n'était pas en la personne, elle était extérieure la tristesse. Il la ressentait et il ne savait pas trop, trop que c'était un esprit de tristesse. Au lieu d'aller vers Dieu, donner à Dieu sa tristesse, il a été vers ce qu'il ressentait : il a ressenti une solitude, il a ressenti une froideur, parce que la tristesse avait déjà pénétré. Elle ne prend pas son temps pour pénétrer son venin.

Nous avons la pensée de Dieu. Avant que nous soyons imparfaits, on était parfaits. La chair, la chair était dans un mouvement d'amour, malgré qu'Adam et Ève avaient choisi la volonté humaine et que nous on avait choisi la volonté humaine. On avait la pensée de Dieu et la pensée de Dieu est très vite. Lorsqu'un esprit de tristesse nous a fait connaître de la tristesse, cela a fait déloger la joie, pas totalement. La joie ne peut pas disparaître de nous, parce que la joie vient de Dieu. Pour que la joie parte de nous définitivement, il faut dire non à la joie, et c'est Jésus la joie, c'est Dieu la joie, ce n'est pas nous. Tout nous vient de Dieu. Alors, il a fallu que nous, on laisse pénétrer la tristesse en nous pour ressentir de la tristesse, non qu'on voulait être triste, mais la tentation.

Une tentation, c'est comme un mouvement de noirceur qui vient près de nous. Ça nous rend apathiques, ça nous engourdit. Il faut réagir tout de suite. Il faut dire : 'Je te donne, Seigneur, cette tentation. Je refuse.' Si, nous, on ne réagit pas tout de suite, eux vont faire en sorte de renforcir cette noirceur autour de nous. La première fois qu'un enfant de Dieu a été dans cette tentation, elle, elle était plus forte que nous. Alors, essayez d'imaginer, nous, comment nous sommes attaqués par des esprits impurs.

Caïn fut le premier. Caïn a levé la main sur son frère. C'est lui qui a frappé la chair, ce n'est pas Adam et Ève, et ce n'est pas nous en Adam et Ève, dans l'Esprit, dans la pensée de la Divine Volonté. Il a attaqué la chair. Il a été, par la volonté humaine, attaquer notre chair : la pensée, le regard, l'écoute, la parole, l'action et les sentiments; il s'est servi de la chair. Satan sait comment, nous, nous sommes faits. Nous avons été créés avec la Chair, la Matière Parfaite de Dieu, celle qu'il n'a pas voulu adorer. Il sait que lorsqu'il nous a fait connaître la volonté humaine, il savait que la chair n'était pas faite pour connaître le mal, qu'elle est faite pour aimer, qu'elle est faite pour être aimée, qu'elle est faite pour être servie, afin que la chair s'incline devant son Créateur. En attaquant Caïn, il a attaqué la chair, il a attaqué notre chair, parce que nous n'avons qu'une seule chair.

Lorsque Dieu a voulu chacun de nous, il n'a eu qu'à vouloir et nous avons tous été créés en un instant. Et chacun de nous, souvenons-nous des paroles de Jésus qu'il a dites à ses apôtres : «Vous étiez avant même que vous soyez dans le sein de votre mère.» Souvenons-nous aussi des paroles qu'il a dites à Nicodème : «Il faut renaître à nouveau.» Nicodème se demandait : "Est-ce qu'on va retourner dans le ventre de la maman?" Il parlait de la pensée de Dieu. Alors, cela voulait dire que nous étions déjà là avant de venir au monde dans le sein de la maman. Il fallait retourner à la pensée de Dieu, retourner à la Divine Volonté; il fallait consentir, à nouveau, à faire la Volonté absolue de Dieu, par amour pour Dieu.

Parce que les discussions de Jésus avec les apôtres, les saintes femmes et les personnes qui l'écoutaient, c'était l'amour. Jésus parlait de son Père, Jésus parlait de l'amour, Jésus parlait de l'amour du prochain. Tout tournait autour de l'amour. Il fallait donc retourner à l'amour en la pensée du Père. Regardons-nous. Sommes-nous dans la pensée du Père? Pour être dans la pensée du Père, il faut être dans le présent en la Présence, il faut retourner chez nous, il faut quitter ce monde. On ne pourra pas quitter ce monde si on garde la volonté humaine, si on se laisse nourrir de la pensée de ce monde. La chair connaît la pensée de ce monde, la chair connaît l'esprit du mal.

Jésus a dit : «Je ne suis pas de ce monde.» Est-ce qu'il aurait dit : "Je ne suis pas pour vous?" Dieu nous aime. Il venait pour mourir sur la Croix. Alors, il nous disait : «L'esprit de ce monde est l'esprit du mal et vous n'êtes pas de ce monde.» Quel était donc ce monde? C'était la noirceur. Le Prince des ténèbres régnait sur les enfants de Dieu. Il avait réussi à faire entrer son venin. Regardons, depuis Caïn, les souffrances du monde : les guerres, les guerres, les guerres et les guerres. Dans l'Ancien Testament, il n'y a que de la guerre : pouvoir, pouvoir, pouvoir. Les enfants de Dieu, eux, se maintenaient ensemble. Le peuple de Dieu se maintenait ensemble pour une raison. Dieu était venu leur dire qui il était par Abraham, Isaac, Jacob, nos pères. Dieu se faisait connaître : «Jacob, Israël, mon peuple!» Dieu disait : «Vous êtes à moi. Vous êtes mes enfants. Vous êtes mes choisis.»

Moïse, lorsqu'il est venu, il a parlé au peuple de Dieu. Encore une fois, Dieu est venu et il a dit : «Va vers mon peuple.» Et là, on a connu son nom : «JE SUIS.» Les prophètes ont parlé par l'amour de Dieu. Le nom de Dieu devenait pour eux de l'amour que l'on voit, qu'on entend et qui entre directement dans le cœur. Tout venait aux enfants de Dieu par l'amour de Dieu. Il y avait de l'harmonie, ils ne se faisaient pas la guerre, mais la chair était si faible. Satan s'attaquait aux enfants de Dieu. Il n'a pu s'attaquer aux enfants de Dieu que par les idoles : il les tenta par ce pouvoir. Les idoles, ce sont les esprits impurs. Ils viennent habiter les animaux, les objets; ils viennent même habiter les personnes qui se consacrent à eux.

Qui a pu montrer aux enfants de Dieu à donner leur âme à Satan? À donner leur âme aux esprits impurs? À donner leur âme au pouvoir? À donner leur âme afin qu'ils aient du pouvoir? Satan lui-même. Satan lui-même a instruit des personnes. Pour instruire des personnes, il fallait que les personnes soient dans le mal, vouloir le mal, goûter le mal. Tout cela s'est fait lorsque Caïn, après avoir frappé son frère, partit au loin, parce que Dieu l'éloigna. Lorsque Dieu dit à Caïn de s'éloigner, il le marqua d'un signe : «Je marque ta chair et on ne te touchera pas.» Ainsi, Caïn et sa descendance savaient que Dieu savait. Ils savaient que leur chair, maintenant, était frappée d'un signe qui était toujours pour être en leur présence : je suis sujet à tomber en tentation.

Lorsque Caïn partit, il partit avec sa descendance, parce que Caïn avait une descendance. Le peuple, les enfants de Dieu se multipliaient, se multipliaient et se multipliaient. Adam et Ève n'ont pas eu seulement que deux enfants. Ces deux enfants ont connu des femmes qui étaient de leur sang, parce que leur sang était beaucoup plus pur que nous; eux venaient beaucoup plus près de la perfection que nous. Et nous savons qu'Adam et Ève vécurent très longtemps et que les enfants, tous ceux qui venaient des enfants d'Adam et Ève, ont vécu de très, très longues années. Lorsque Caïn partit au loin avec sa descendance, ils n'étaient pas seuls parce qu'il faut se souvenir des paroles que Caïn a dites : "On me tuera. On lèvera la main sur moi."

C'était le premier qui venait de lever la main sur un enfant de Dieu; donc, il y avait des êtres qui étaient avec eux sur la terre. Qu'étaient donc ces êtres? C'était des animaux qui avaient été possédés par les démons. Lorsque Lucifer n'a pas voulu adorer le Fils de Dieu fait chair, il devint la Noirceur. La Noirceur erre dans la noirceur, il n'a pas de vie. Alors, ils sont venus et ils ont pénétré dans les animaux, là où il y a mouvement, là où il y a la vie. Alors, ils ont fait en sorte d'accoupler des animaux, une race avec une autre race : il y eut mutation. De cette mutation, encore accouplements; et tout cela, dans le but d'atteindre ce qui était pour ressembler à l'homme. C'était dans les plans de Satan pour nous atteindre. Ces animaux étaient possédés des esprits impurs, ils avaient donc une intelligence qui venait du mal.

Alors, ils ont regardé comment ces êtres, les enfants de Dieu, se comportaient entre eux, comment ils étaient ensemble pour parler entre eux, pour prier Dieu. Ils étudiaient de loin ces êtres, car ils voulaient les approcher. Ce sont les démons qui voulaient, subtilement, approcher les enfants de Dieu. Ils ont approché les femmes en premier. C'était ces êtres possédés par les démons – on ne peut pas les appeler des hommes, c'était des êtres; ils étaient grands, ils étaient forts, ils avaient de l'habileté – alors les femmes se sont laissé séduire, elles ont même eu des relations avec ces êtres. Lorsqu'elles ont eu des relations avec les êtres, elles savaient que ce n'était pas des humains, elles savaient qu'il y avait quelque chose qui n'était pas dans les enfants de Dieu. Elles ont aimé ce qu'elles ont connu.

Ce sont les esprits impurs qui ont éveillé les sens au mal. La femme n'est pas créée pour séduire, la femme n'a pas à séduire, elle est la tendresse du Père pour l'homme. Ce sont les esprits impurs qui ont fait en sorte de leur faire découvrir le mal. La chair n'avait jamais connu l'impureté, la chair n'avait jamais connu la séduction. Les esprits impurs qui possédaient ces animaux ont montré, ont montré comment se maquiller, et ils ont montré à ces femmes comment se vêtir dans le but de séduire. Ils leur ont montré comment se coiffer et ils ont montré comment, avec des objets, elles pouvaient faire des sons. Ils leur ont montré, subtilement, comment se servir de mouvements pour séduire : le déhanchement. Elles apprenaient et, ce qu'elles apprenaient, elles aimaient;  plus elles acceptaient et plus le venin entrait en elles. Elles ne voulaient plus être des enfants de Dieu, elles voulaient être à ces êtres.

Les esprits impurs, une fois qu'ils ont possédé les femmes, ont voulu posséder les hommes. Et les esprits impurs se sont servis des femmes pour aller chercher les hommes, et les hommes aussi ont découvert ce qu'ils ne connaissaient pas en la chair. Ils ont eu des relations avec ces animaux; les animaux leur ont fait connaître l'impureté. Leurs sens maintenant servaient le mal. Ils ont appris à dominer la femme, ils ont appris à se détourner de Dieu, ils ont appris le mensonge, ils ont appris la haine, ils ont appris à tuer, ils ont appris à voler, ils ont appris le pouvoir. L'homme et la femme n'étaient que le mal, car ils s'étaient donnés au mal en connaissant que ce qu'ils faisaient venait des esprits impurs.

C'est en 2007 que nous avons appris tout cela. Le Seigneur nous a amenés dans le passé et nous amenait dans le présent : du passé au présent. Dieu nous instruit, pas pour notre curiosité, il nous fait comprendre qu'en notre chair, il y a le mal. Tant qu'il y aura du mal connu en notre chair, on aura tendance à faire souffrir notre âme. On ne veut pas faire souffrir notre vie éternelle, mais nos sens nous trahissent, ils sont esclaves de ce qu'ils ont connu. La masturbation ne vient pas de Dieu, vient de la connaissance du mal; l'impureté dans nos pensées ne vient pas de Dieu, mais vient du mal qui s'est logé dans nos pensées; vouloir séduire ne vient pas de nous, mais vient du mal qui s'est logé en nous.

On ne veut pas être infidèle à notre mari; une pensée qui se tourne vers ce qui est défendu, c'est de l'infidélité; que ce soit pour prendre ce qui est au prochain en détournant les lois de Dieu, c'est de l'infidélité. Notre pensée appartient à Dieu, elle n'appartient pas à nos sens. Nos sens ont été dans l'impureté parce qu'ils ont connu des mouvements qui venaient des esprits impurs. Dans notre pensée, il y a le mal. Il faut que Dieu arrache le mal de notre pensée, il faut que de son feu d'amour brûle notre impureté. Notre Dieu veut arracher de nous le mal qui a pénétré hypocritement en nous.

Nous sommes les enfants de Dieu. Nous, on ne s'est pas consacrés à Satan et, pourtant, on fait le mal. On crie vers Dieu de nous aider, on ne comprend pas pourquoi, une journée, on a dans notre tête de l'impureté; pourtant, on ne veut pas et ça vient. C'est parce que le mal s'est logé en nous à cause des tentateurs qui étaient à l'extérieur et que nous ne refusons pas. Il sait, l'esprit impur, que nos sens sont faibles, ils savent ce qu'ils ont fait connaître à la chair. Souvenons-nous qu'avant le déluge, toute la terre n'était que le mal. Dieu dit : «L'homme et la femme se conduisaient plus mal que les animaux.»

Les animaux, eux, n'ont pas d'âme. Les animaux ont été possédés par les esprits impurs; eux vivent d'instinct. Ils n'ont pas ce choix : 'bon, je choisis ou je ne choisis pas le bien et le mal', mais nous, nous avons cela en nous, ce droit de liberté. Ils devaient donc, eux aussi, vouloir Dieu. Parce que, n'oublions pas que les enfants, les descendants de Caïn, ont été tentés : la descendance d'Adam et Ève. Cela a pris des années, mais ils ont contaminé. Les esprits impurs, par les enfants impurs, ont contaminé les enfants de Dieu. Les enfants des hommes ont contaminé les enfants de Dieu, parce qu'eux s'étaient refusés catégoriquement à Dieu. Dieu a fait pleuvoir quarante jours et quarante nuits. Il ne restait que Noé et sa famille.

Voyez-vous le pouvoir du mal? Ils ont ce pouvoir encore aujourd'hui. C'est le même pouvoir, mais il est encore plus violent aujourd'hui : ils contaminent le bien. Ils se servent du bien pour nous montrer le bien, mais un bien déguisé; ils nous présentent un verre d'eau, mais il y a une goutte d'arsenic à l'intérieur; qu'on boive cette goutte d'eau dans un verre d'eau à tous les jours, on va mourir; ça prendra le temps, mais le résultat sera là. Dieu vient nous avertir qu'il vient purifier cette eau, parce que nous avons pris souvent et souvent ce poison. Il vient nous parler dans notre cœur pour nous préparer à vivre la Grande Purification de la chair.

C'est ce que nous sommes en train d'apprendre : la préparation à vivre ce mouvement. Le moment où cela arrivera, Dieu, lui, le sait. Mais il nous dit : «Cela est près, cela est près.» Il n'y a pas de troisième encore. Dieu nous demande d'être prêts pour demain. Être prêts pour demain, c'est vivre aujourd'hui le présent afin d'être forts pour ce qui va se présenter demain; être prêts, c'est être dans le présent en la Présence. Vivons dans notre paix, dans notre vie, en sachant que Dieu est avec nous, en nous.

Il parle, notre Seigneur, dans notre cœur. Il parle à beaucoup d'enfants de par le monde. Nous, on dirait : 'Bien, ce n'est pas beaucoup si on regarde le nombre de personnes qui est réuni ici.' Mais Dieu, lui, il prend son petit peu et il le multiplie. Il sait, il sait, notre Dieu d'amour, que nous voulons la purification de la chair. La chair corruptible va devenir incorruptible. Nous qui sommes assujettis au péché, après la Grande Purification, les trois jours de noirceur, nous ne serons plus assujettis au péché. Et cela ne se fera pas comme ça (claquement de doigts).

Dieu, lorsqu'il est venu sur la terre, il est venu en être simple. Il est venu par une Vierge habiter parmi nous. Il n'est pas venu dans un palais, il a choisi une étable; il n'a pas pris un petit berceau de satin, il a pris de la paille, une mangeoire. Son père était un charpentier sur la terre, hein, ce n'était pas le roi. Il est venu en être simple; il ne vivait pas dans la richesse. Il a connu, il a consenti à connaître le froid, la faim, il a même eu des boutons. Il a accepté tout cela par amour pour nous. Croyez-vous qu'il va changer? «Je vais vous faire vivre la purification de la chair en un instant. Vous ne souffrirez pas. Tout cela sera fait comme une personne qui se tourne sur un petit dix sous. Dieu est venu et il nous a dit de passer par le chemin étroit. Eh bien, cela se fera jusqu'au bout.

On voulait vous apporter les livres que le Seigneur a fait écrire et dont les paroles sont d'une pureté. Ah! mais Satan s'en mêle, mais il ne gagnera pas. On est partis de l'église et on s'est rassemblés. Alors, vous allez les avoir les livres. N'oubliez pas qu'un 'je t'aime' écrit, voulu par Jésus, un 'je t'aime', il dit : «C'est mon infini amour pour vous.» Je vais demander à Nicole de donner son expérience lorsqu'elle a lu les livres. Tu veux bien faire comme tu as fait à Banneux?

Nicole : Le premier livre que j'ai lu, c'est le volume 1. Je le trouvais un peu ennuyant, mais je l'ai lu parce que c'était Dieu qui avait dicté ces mots. Après, j'ai lu le livre 2. Celui-là, je l'aimais beaucoup. Je trouvais que le livre 1, ce n'était pas écrit pour moi, mais le livre 2, je trouvais que c'était écrit pour moi, parce que le livre 2 commence plus à écrire, à parler sur l'amour du prochain.

Ensuite, le volume 3, j'ai beaucoup, beaucoup aimé, parce qu'il parlait de l'amour dans le couple et des souffrances des couples, des souffrances des homosexuels, des souffrances de certaines personnes qui prennent de la drogue, de toutes sortes de souffrances qu'on retrouve dans le monde d'aujourd'hui. Ensuite, le volume 4, là, je l'ai beaucoup aimé celui-là, mais peut-être que je l'ai moins lu avec le cœur et plus avec la tête, et un peu avec la curiosité, parce qu'il parle de ce qui vient : de la purification de notre chair, de la Grande Purification de la terre, des choses comme ça, alors je voulais savoir ce qui vient.

Mais depuis, j'essaie toujours de relire le 1, le premier et le premier et le premier, parce que je me rends compte qu'il a été écrit, je pense, plus pour moi que pour tous les enfants de Dieu. Et je ne suis pas la seule à dire ça; plusieurs ont dit ça aussi que le volume 1, ça leur a apporté tellement, tellement de guérisons.

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Lorsque le Seigneur, dans le livre 3, parle de la drogue, on ne peut pas parler et comprendre une personne qui est dans la drogue si ce n'est qu'on prend la drogue, à moins de consommer de la drogue. Alors, voilà pourquoi il m'a fait vivre ce qu'est prendre de la drogue. Un jour, en prière, il m'a demandé : «Tu veux-tu t'abandonner? Tu veux-tu prendre mon enfant?» Alors j'ai dit : "Oui, Seigneur." Alors, tranquillement, j'ai commencé à ressentir ce qu'un de mes frères ressent. Aujourd'hui, je peux comprendre ce qu'il m'a fait vivre et de quelle façon : c'est que ma chair était en sa chair. Même si je n'ai jamais pris de drogue, ma chair connaissait la drogue.

Aujourd'hui, je peux le dire, et c'est la première fois que je le réalise. J'étais dans cette drogue, je le ressentais, je le vivais. Je suppliais Dieu de m'aider. C'était l'enfant qui était dans sa drogue en moi et je le ressentais dans ma chair, et il m'a fait vivre cela. À un moment donné, je ne pouvais plus supporter la douleur. L'âme, l'enfant de Dieu suppliait chacun de nous de prier pour lui; alors, il a été vers sa drogue. Et je me rappelle, j'avais de la difficulté à me rendre à ma chambre. J'ai vécu beaucoup de choses comme ça, comme l'avortement. J'ai vécu aussi un être qui vivait de ce monde et qui avait peur de la mort, peur d'aller au purgatoire. Ils sont en nous, ils font partie de notre vie.

Lorsque nous disons oui à Dieu, eux aussi sont en nous et eux aussi ressentent ce oui. Alors, ce que nous vivons ce soir, le petit groupe que nous sommes, il y en a beaucoup. Dieu ne vient pas parler en notre cœur que pour nous tout seuls, il vient pour tous ses enfants. Dieu a ce pouvoir et nous, nous avons ce droit. N'oubliez pas que Jésus m'a demandé, il me le demandait d'être en cet enfant et que cet enfant soit en moi. Il me demandait la permission. Chaque enfant doit choisir. Ceux qui disent oui, eh bien, ils disent oui parce qu'ils ont accepté les grâces. Ceux qui disent non, ils sont trop faibles encore. Nous ne devons pas les juger, mais nous devons les protéger, les protéger contre eux-mêmes, contre la volonté humaine qui connaît, qui connaît le mal.

Regardons-nous. Il y en a plusieurs qui se maquillent, qui se coiffent, qui ont des bijoux, qui aiment séduire, qui se regardent dans le miroir et qui se trouvent belles sans Dieu. Combien d'entre nous ont fait des relations qui dépassaient la pureté? Est-ce qu'on va juger nos frères et nos sœurs? Nous sommes comme eux. Dieu est, en ce moment même, en train de nous révéler ce que Satan, les esprits impurs, ont réussi à faire entrer en nous. Maman Marie sait que nous sommes des petites victimes. Elle ne s'est jamais détournée de nous alors qu'on a condamné son Fils, alors qu'on a dit oui à la volonté humaine. Elle s'est toujours tenue près de nous. Là où se tient son Fils, la Mère de Dieu se tient, et Jésus est en nous parce que nous avons de l'amour.

Un jour, une personne m'a dit : "Est-ce que mon enfant va être sauvé?" Et Jésus lui a dit : «Est-ce que ton enfant te dit 'je t'aime'? Est-ce que ton enfant aime un tout petit enfant? Est-ce que ton enfant aime servir? Est-ce que ton enfant aime prendre soin de lui pour te plaire? Est-ce que ton enfant aime ses amis?» Alors il a dit : «Aie confiance. Il a de l'amour en lui parce que personne ne pourrait connaître l'amour si ce n'est que je suis en lui.» Jésus est en nous et il ne nous quitte pas. Alors, ayons confiance. Nos enfants vont passer par où on va passer, mais il nous donne des enseignements d'amour pour qu'on puisse apprendre à aider.

Lorsque nous prononçons notre oui, lorsque nous refusons les tentations, nous aidons. Est-ce que Nicole et moi qui venons du Canada pouvons faire ce que nous faisons sans les grâces, sans la présence de Dieu? Nicole a quitté sa maman qui a 88 ans et j'ai dû quitter mes enfants. J'ai trois enfants et six petits-enfants, et Nicole deux enfants, et c'était la fête des Mères! Mais Dieu, Dieu nous donne des grâces. C'est Dieu qui fait tout. C'est comme Raquel, elle se donne même si elle commence à avoir mal au dos.

On est ensemble parce que c'est Dieu qui nous rassemble, et il va continuer parce qu'il veut qu'on passe la Grande Purification de la chair ensemble avec tous les enfants qui sont inscrits dans le Livre de la Vie. Et c'est lui qui connaît qui sont inscrits dans le Livre de la Vie. C'est le seul qui a pu ouvrir le Livre de la Vie parce qu'il a écrit tous les noms avec son Sang. Alors, il va nous amener là où, lui, il a déjà tout préparé pour nous. Tout est accompli.

Oui, le chemin est étroit, mais lorsque nous vivons dans la paix, eh bien, on peut passer par le trou d'une aiguille. Il n'y a pas seulement que les riches qui doivent passer par le trou d'une aiguille, nous aussi. C'est lui qui nous fait passer. Alors, suivons les pas du Christ. Vivons cela dans la paix et dans la joie. Comment on peut vivre dans la paix alors que nos enfants vont perdre des emplois? On va perdre, peut-être, notre maison; on va nous enlever nos droits d'aimer Dieu ouvertement; on va arracher la croix que nous portons autour de notre cou; on nous empêchera de nous unir au nom de Dieu.

Eh bien, Dieu aura pris soin de nous armer de paix, de joie et d'amour. On passera là où les autres auront de la difficulté à passer, pour les aider; on passera et on tendra notre main; on passera et on ramassera un enfant qui aura besoin de nous et on le portera sur nos épaules; on partagera le petit peu qui nous reste parce que Dieu se chargera de le multiplier; on aimera et, parce qu'on aimera, on attirera ceux qui aiment Dieu. Voilà pourquoi Dieu nous demande de vivre la paix.

Vous allez apprendre à donner causes, choix et conséquences : "Je refuse les tentations. Merci, Jésus, de les envoyer au pied de ta Croix. Merci de guérir tout mouvement de vie malade. Merci, Marie, de nous donner des grâces. Divine Volonté, arrache le mal de la pensée et purifie-la de ton feu d'amour. Merci, Jésus." Nous apprendrons à faire cela, car des enfants ont commencé et ils sont en vous. Vous avez cela dans votre cœur et cela est venu par Dieu. Vous avez cette soif d'aider le prochain, cela ne vient pas de vous, mais de Dieu.

C'est Maman Marie qui nous a donné beaucoup de grâces. Elle nous a tenu la main et nous devrons encore lui tenir la main, parce que nous en aurons besoin pour retrouver notre beauté, pour retrouver notre simplicité, pour revivre dans notre paix, dans notre joie et dans notre amour, malgré tout ce qui se passera autour de nous. On n'a pas à s'inquiéter, hein?

Regardons ce qu'on vit. On vit ce que les premiers chrétiens ont vécu. Ça se continue, mais ça va s'arrêter, car nous vivrons un temps d'amour où le mal ne sera plus sur la terre, où les enfants ne pleureront plus, où la maladie ne sera pas dans notre chair, où les cœurs s'uniront, où l'amour sera au menu de tous les jours. Nous mangerons l'amour, nous regarderons l'amour, nous entendrons l'amour, nous ferons l'amour et nous ressentirons l'amour, parce que nous serons dans la pensée de Dieu et c'est la pensée de Dieu qui ne sera que pour nous.

Lorsque la Grande Purification sera terminée, n'oublions pas que nous devrons vivre un court temps avec les enfants du non. Mais Dieu saura nous protéger. La terre devra connaître une purification et, non qu'elle ait été en faute, mais à cause de la volonté humaine, elle souffre. La terre est vivante, alors elle doit être aussi dans la joie pour nous montrer son amour pour nous, car c'est nous avant la terre, et la terre sait que nous devons passer par là pour qu'elle, elle puisse connaître la perfection. Amen.