Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu  à Charlesbourg, Québec,

par son instrument, la Fille du Oui à Jésus.

 

2004-10-16 - A.M

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Chaque mot que nous allons entendre, aujourd’hui, va venir du plus profond de nous-mêmes; Dieu veut parler en les cœurs, Dieu unit les cœurs. 

Maman Marie nous a tous amenés au Cœur même de son Fils; aucun de nous n’aurait su où était notre chemin, aucun de nous n’aurait su comment être tout à Jésus, aucun de nous n’aurait pu prononcer son oui à l’Amour si Maman, la Sainte Vierge, notre Mère, n’avait pas prononcé son premier oui, le premier oui de la terre.

Le premier oui de la terre venant de l’être humain,

c’est celui de Marie.

Lorsque Marie a prononcé son Fiat, le Fils de Dieu est venu par la puissance du Saint-Esprit habiter son être, et Marie est entrée en Jésus, elle a habité le Fils de Dieu et, nous qui étions en Jésus parce que le Fils de Dieu nous porte tous, nous avons été en le oui de Marie.

Nous ne pouvions pas être avant Marie même si à l’intérieur de nous nous avions un oui, il fallait que le Fiat de Marie soit prononcé, il fallait que le Fiat de Marie enveloppe notre oui pour que Jésus puisse accueillir ces oui, et Jésus a enveloppé tous les oui du monde.

Il faut savoir qu’en ce moment même, nous sommes tous ici parce que Marie a ouvert nos cœurs et que Jésus nous a réunis. 

Nous battons tous dans le même Cœur, dans le Cœur de l’Amour :

nous sommes en l’Église.

Jésus parle en ce moment à chacun d’entre nous et il fait entendre à son instrument ce qu’il dit à chacun de nous, cela se fait par la puissance du Saint-Esprit.

Nous sommes tous réunis en un seul cœur, car nous sommes l’Église; nous sommes tous membres en Jésus, et Jésus fait battre notre cœur en son Cœur, et il parle; il connaît chacun de nous, il nous amène là où son Père veut que nous soyons.

Bientôt, chacun de nous allons voir la puissance de Dieu, l’amour de Dieu dans toute sa beauté.

La splendeur de Dieu nous sera montrée, mais avant que cela soit, Dieu prépare son être tout entier (c'est-à-dire ses membres) à être prêt pour ce qui va se passer, parce que Jésus est venu sur la terre, il nous a tous portés en lui, il a accepté de prendre tout de nous-mêmes : tous nos péchés, il les a connus, il les a portés pour nous; il a porté tout cela à la mort afin que nous soyons sauvés de la mort éternelle. 

Jésus veut que nous passions par le même chemin que lui.

Souvenons-nous de la porte étroite : nous devons passer par cette porte étroite notre propre purification.

Beaucoup avant nous ont dû passer par la purification; tous ceux qui ont quitté cette terre ont vu leur vie, ont connu tout ce qu’ils avaient fait; certains d’entre eux, un nombre très grand, ont dû passer par le feu de la purification avant d’entrer dans le Royaume de Dieu le Père. 

Nous sommes tous appelés à entrer dans le Royaume de Dieu le Père, car nous sommes ses enfants par Jésus.

Ce que nos parents, nos arrière-grands-parents, nos arrières arrière-grands-parents, nos frères et nos sœurs qui ont dû quitter la terre ont passé : nous aussi, nous y passerons, nous aurons à nous laisser purifier par un feu d’amour. 

Parce que lorsqu’ils acceptent de se laisser purifier et qu’ils vont au purgatoire, c’est un feu d’amour; ils sont remplis d’amour pour Dieu, leur élan n’est pas hésitant, ils y vont avec tout leur être. 

L’âme qui est amoureuse de Dieu veut être tout pour Dieu, c’est avec une robe pure qu’elle veut se laisser vêtir pour aller aux noces promises; chacun de nous, nous allons nous laisser vêtir d’un vêtement de pureté sur la terre, bientôt.

En nos cœurs, ces paroles sont.

Il permet par votre oui que j’entende et que je répète ce qui est en moi par la puissance du Saint-Esprit, cela se fait sans que moi je puisse intervenir parce que Dieu a enveloppé ce que je suis avec sa propre Volonté. 

Tout comme nous, en ce moment, nous sommes tous ici parce que nous avons prononcé un oui, et Jésus a pris ce oui et il en a fait le sien; nous sommes tous prêts pour la purification.

Combien d’entre nous avons entendu parler de cette purification : "illumination des consciences"?  Dieu nous a préparés à tout cela par sa Mère.

Sa Mère est venue parmi nous parce que nous, nous n’étions pas fidèles aux enseignements de Jésus; nous avons fait ce qui nous plaisait avec notre volonté humaine, nous avons souvent bifurqué, et Dieu nous a toujours ramenés là où nous devions être. 

Parfois cela était fait dans la souffrance, mais Dieu nous donnait des grâces pour que nous puissions avancer, pour que nous puissions voir la lumière.

Lorsque nous avons vu la lumière, c’est que nous avons accepté d’être rien, d’être soumis à la Volonté d’amour, parce que la Volonté de Dieu n’est qu’amour, tendresse, sagesse, réconfortante, patiente. 

Dieu a usé de patience avec nous et, aujourd’hui, parce que nous avons accepté de nous reconnaître tous entre nous étant frères et sœurs : nous sommes ensemble en l’Église.

Ceux qui se refusent de se reconnaître égaux ont de la difficulté à vivre ces moments dans l’amour.

Dieu connaît nos cœurs, il sonde notre intérieur; il connaît nos réticences, nos hésitations; il connaît nos jalousies, nos hypocrisies; il connaît nos faiblesses parce que Dieu a porté nos péchés : c’est le péché qui nous empêche d’être enfants purs.

Nous, nous sommes l’amour, nous avons été créés avec amour, Dieu le Père a mis en nous l’amour.

Lorsqu’il a insufflé en Adam la vie, cela n’a pas quitté Adam, et chaque enfant qui est venu a ce souffle d’amour en lui : l’amour est Dieu et nous sommes de Dieu, nous sommes amour, mais le péché n’est pas pour nous, le péché est contre nous.

Le mal qui nous habite est venu à cause de la désobéissance à Dieu; le mal qui a fait que nous nous sommes divisés est venu en nous à cause de l’orgueil.

Oui, l’orgueil a fait des ravages dans les enfants de Dieu, l’orgueil est contre nous; il est si hypocrite, l’orgueil, c’est le mal, c’est le péché : il va beaucoup faire souffrir les enfants de la Lumière.

Il est dit que tous ceux qui voudront suivre le Fils devront être obéissants et humbles : demander à Marie des grâces d’humilité, c’est demander d’être protégés contre l’orgueil. 

Marie, l’humble Marie, est pour nous la Porte par laquelle nous devons entrer pour aller au Fils, mais cela est difficile pour chacun de nous de renoncer à ce que le mal nous a fait connaître. 

Nous ne voulons pas être orgueilleux mais, subtilement, le mal en nous prend des allures hypocrites; il nous fait miroiter que nous sommes des enfants de Dieu mais en même temps, il nous fait entendre que les autres ne sont pas des enfants de Dieu, qu’ils sont menteurs, qu’ils sont dans l’erreur, qu’ils se sont laissé prendre par Satan. 

Qui d’entre nous connaît l’intérieur de nos frères et de nos sœurs? Qui d’entre nous peut dire qu’un tel est menteur, qu’un tel est faux, sinon l’orgueil qui prend la forme d’un ami, qui prend la forme d’un groupe de priants?

L’orgueil est une arme contre l’Amour.

Souvenons-nous que l’ange déchu n’a pas voulu adorer le Fils de Dieu, son orgueil l’empêchait de s’incliner devant le Fils de Dieu qui devait venir sur la terre en tant qu’homme : cela, il l’a refusé.

L’ange orgueilleux veut diviser les enfants de Dieu, l’ange orgueilleux a formé un plan pour nous empêcher de vivre le grand moment que nous devons vivre sur la terre.

Lorsqu’il a vu Jésus sur la Croix, lorsqu’il a vu Marie se tenir debout au pied de la Croix, il se savait vaincu; mais l’orgueil, l’orgueil a fait qu’il a formé ce plan malgré tout, se disant être capable de faire périr les enfants de Dieu. 

Nous n’avons qu’à regarder autour de nous : tout nous semble perdu, mais cela c’est l’extérieur, ce n’est pas intérieur : au plus profond de chacun de nous, il y a l’amour et l’amour va vaincre. 

Les enfants de Dieu vont dire oui à Dieu, pas un seul ne sera perdu : Dieu connaît tous ses enfants.

Tous ceux qui sont inscrits dans le Livre de la Vie vivront en êtres d’amour sur la terre.

Voilà ce que nous sommes tous appelés à vivre : (vivre) en enfants d’amour sur la terre. 

Ces jours se préparent, ces jours ont été annoncés; ils sont commencés pour les enfants de la Lumière : nous acceptons de nous laisser purifier avec ce que nous sommes; nous acceptons de souffrir pour nos frères et nos sœurs qui eux ne voient pas encore la lumière, qui eux n’acceptent pas encore d’entendre l’Amour parler.

Tout cela, c’est pour nous souffrance, mais une souffrance acceptée avec les grâces de Dieu est joie; une souffrance qui se révèle à nous par la Mère de Dieu est une souffrance agréable pour nous, agréable en son essence parce qu’elle sera grâce pour nous. 

La souffrance est grâce pour nous, elle nous fait gagner des grâces et ces grâces, c’est pour ceux que nous aimons; les enfants, nos enfants, nos petits-enfants seront enveloppés de ces grâces, cela les protégera et, pour nous aussi, cela nous fait avancer dans la paix, dans la joie.

Il y a plusieurs années, si on nous avait dit que nous étions pour souffrir pour tous les enfants du monde entier, nous n’aurions pas su comment cela était pour se faire : Jésus prend notre vie, Jésus prend nos souffrances et Jésus les vit : c’est sa Passion, elle ne s’est pas arrêtée, elle est toujours présente avec nous.

Jésus prend nos plus grandes souffrances et il les porte : voilà pourquoi nous souffrons dans la paix, dans la joie, sans reprocher à Dieu ce qui nous fait souffrir.

Nous acceptons de les donner avec amour, nous acceptons de subir des humiliations, car on parle contre les enfants de la Lumière, on parle contre tous ceux qui croient au retour du Christ en les cœurs pour les temps que nous vivons, notre temps à nous, on parle contre tous ceux qui croient aux apparitions de la Sainte Vierge, on parle contre tous ceux qui suivent leur religion.

Mais qu’est la religion, sinon celle de Dieu? Enfants de Dieu, qu’un seul aime, il est en Jésus! 

Nous avons souvent regardé nos enfants en nous demandant s’ils étaient pour être sauvés.

Nous avons été aveugles et sourds à ce que Jésus nous a montré et enseigné : Jésus nous a dit qu’un seul fasse une bonne action et c’est moi qui la fais; alors lorsqu’on regarde nos enfants rendre un service, lorsqu’on regarde nos enfants obéir aux parents, aux professeurs, n’est-ce pas Jésus qui le fait? Nous avons peur et cette peur n’est pas de Dieu, mais l’œuvre de Satan. 

Nous pleurons sur nous-mêmes et nous pleurons sur nos enfants, alors que Dieu a tout pris : il a pris notre vie, il a pris tout parce que notre volonté humaine nous a fait souffrir.

Elle est imparfaite notre volonté humaine, alors Jésus l’a prise, lui, pour nous protéger contre nous-mêmes, pour nous faire avancer malgré nous.

Jésus a pris toutes les conséquences de notre volonté humaine, tous nos péchés Jésus les a pris, et nous, nous n’avons pas confiance en ce qui s’en vient, en ce qu’il nous annonce, en ce qui a été écrit. 

Nous nous arrêtons et nous nous faisons des peurs : nous manquons d’espérance, nous manquons de foi et nous manquons d’amour. 

Il faut se garder toujours dans l’espérance.

L’espérance, c’est Jésus; Jésus est l’Espérance, car il est le signe pour nous de la révélation du Père : le Père nous a donné son Fils pour nous sauver. 

Nous avons connu le Fils par l’Église : Jésus est venu fonder l’Église, il a enseigné pendant trois ans aux apôtres, aux disciples, et aujourd’hui, nous sommes en présence des apôtres, les mêmes apôtres, car le sacerdoce est de Jésus, de son enseignement et cela est présent devant nous, et nous manquons d’espérance, nous manquons d’espérance en la puissance de Dieu.

Chaque fois qu’un prêtre nous administre un sacrement, c’est Jésus lui-même qui le fait; Jésus est puissant, il est vivant, il est avec nous : un prêtre représente le Christ-Prêtre.

Par le sacerdoce, il n’est plus lui, il est le Prêtre, le Christ Divin; nous l’avons devant nous, et nous manquons d’espérance.

Nous sommes devenus aveugles et sourds, alors qu’il nous avait dit: «Rien ne prévaudra contre mon Église.»

Où est notre foi? Comment se fait-il que nous ne croyions pas en ses paroles? Comment se fait-il que nous discutions des paroles de Jésus? Nous les lisons et nous laissons tout cela, et pourtant, c’est devant nos yeux, c’est vivant!

La Parole est agissante, elle ne peut demeurer à l’extérieur la Parole, elle entre en nous la Parole, parce que la Parole est Jésus et Jésus est en nous: c’est une nourriture.

Jésus nous nourrit constamment et nous manquons de foi en ce qu’il nous donne.

Nous sommes nous-mêmes les membres de l’Église, nous sommes nous-mêmes parole : lorsque nous sommes avec quelqu’un et que nous parlons de l’amour de Dieu, nous sommes parole parce que la Parole nous habite, et nous ne pourrions pas parler d’amour si la Parole ne nous aurait pas nourris, alors : "Dis-moi de quoi tu te nourris et je te dirai qui tu es", n’est-ce pas les paroles de Jean-Paul II?

Nous manquons envers la présence de Dieu, nous manquons envers nous-mêmes, nous manquons de charité; la charité, c’est l’amour, Dieu dit : «Aimez-vous les uns les autres comme je vous aime.»

Jésus est en nous, Jésus nous aime, Jésus est l’Amour.

Nous sommes l’amour, nous sommes en Jésus et nous manquons envers l’Amour; nous manquons envers nous-mêmes, nous ne manquons pas envers l’Église parce que l’Église, c’est Jésus.

Jésus, lui, est présent; Jésus, lui, est agissant; Jésus est la vie éternelle; il n’y a pas de manquements en Jésus, mais en ce que nous sommes;

nous présentons à notre prochain un être imparfait, un être qui a peur, un être qui manque de foi, car ceux qui ont peur manquent d’espérance envers la foi : nous sortons dehors et nous promenons notre être qui a manqué envers les vertus qui nous avaient été accordées par le Baptême.

Dieu, lui, est vrai : il est en nous; il sait que nous sommes enfants de Dieu, il sait, lui, qui nous sommes : il connaît notre oui.

Et Dieu dit : «Tant que mes enfants n’auront pas compris : ma Passion va continuer! Tant qu’il n’y aura pas un enfant qui ne sera pas amour totalement en lui, je vais me donner sans cesse et sans cesse!» 

L’Esprit de Dieu est sur nous, l’Esprit de Dieu est sur toute la surface de la terre.

Mais nous, à l’extérieur, nous voyons le mal partout, nous voyons le péché partout : nous nous nourrissons de l’œuvre de Satan, alors que nous devons mettre cela de côté et nous dire : nous sommes sauvés.

La puissance de Dieu est venue sur la terre, la puissance de Dieu a pris tout pour que nous soyons sauvés : rien ne peut entraver cette puissance.

Nous sommes incrédules à cause de notre volonté humaine, mais Dieu, lui la Vérité, nous prend et nous fait comprendre doucement que nous sommes l’amour. 

Dieu veut parler en nos cœurs; Dieu veut nous montrer combien nous sommes amour; ces paroles sont pour nous faire grandir; ces paroles en nous veulent nous faire plonger dans sa Divine Volonté : voilà pourquoi c’est profondément en lui que je me laisse plonger.

 

Jésus : Enfants de ma Divine Volonté, tout en vous je vis, tout en vous est l’Amour. 

Autour de vous un désordre règne, autour de vous il y a la malice de Satan, mais moi je suis là, en vous : je suis la Vie.

Il ne peut pénétrer à l’intérieur que si vous l’avez invité, mais je connais tous ceux qui sont en présence de l’Amour.

Dieu déverse en ce moment même des grâces d’espérance, de foi, d’amour pour vous, afin que vous soyez dans ce mouvement.

Ce temps est un temps de grâces.

Ma Mère vous a annoncé ce temps pour vous, les enfants de la Lumière; à la Salette, elle a parlé à deux petits enfants pour vous; tous, vous deviez être au courant de ce message.

J’appelle tous mes enfants de la Lumière à sortir à l’extérieur, à faire paraître au monde entier qui vous êtes, à parler en Jésus avec la puissance du Saint-Esprit afin que vous puissiez être des signes d’amour; je suis avec vous, j’ai toujours été avec vous, pas un instant je n’ai quitté votre intérieur.

Je suis la Lumière et la Lumière a guidé vos pas; tous les enfants de mon Père sont à mon Père; à moi seul de les ramener sur le droit chemin; je suis venu sur la terre pour faire l’œuvre de mon Père; cela n’est pas votre œuvre, cela est l’œuvre du Fils. 

Parce que vous acceptez de mourir en moi, en le Christ, je prends tout de vous et je fais l’œuvre de mon Père parce que vous êtes son œuvre : chacun de vous est venu sur la terre pour accomplir de bonnes actions, cela était votre œuvre. 

Bientôt, vous devrez présenter à Dieu vos fruits; bientôt, vous devrez présenter tout votre être car tout votre être est l’œuvre de mon Père.

JE SUIS parle pour ce qui vient.

Tout a été préparé avant même votre venue, avant même la venue de tout enfant sur la terre.

Mon Père est la Puissance, je suis en mon Père et mon Père a tout donné au Fils : à moi seul de vous faire voir et entendre.

La volonté humaine ne peut pas vous faire avancer; la volonté humaine a fait souffrir les enfants de Dieu, les a amenés à commettre beaucoup de péchés; la volonté humaine a apporté tant de faiblesses, d’incertitudes, de souffrances; elle a écouté le mal, alors que le mal a pour maître, Satan.  

Adam, lorsqu’il a désobéi, a commis le péché de la désobéissance : péché qui a marqué tous les enfants de Dieu, péché qui a fait sortir les enfants de Dieu de la Divine Volonté.

La Volonté de mon Père est amour, la Volonté de mon Père est lumière, la Volonté de mon Père n’est que justice; tous ces attributs étaient pour vous, mais à cause d’un seul péché mon Père a retiré sa Volonté d’amour, et vous êtes entrés dans la volonté humaine.

Le danger de vous prendre pour des petits dieux était constamment dans votre vie, car celui qui voulait connaître par lui-même le bien et le mal était en danger de se prendre pour Dieu.

L’humilité devait être votre nourriture.

Comme ma Mère, la Vierge Marie, l’humble Marie : avant même qu’elle soit, Dieu a connu son humilité, son acceptation, il a nourri son oui, et elle n’est pas venue en ce monde avec la tache originelle : elle était enfant de la Divine Volonté : voilà pourquoi je veux que vous soyez tous unis au Cœur de ma Mère pour entrer dans la Divine Volonté. 

Tout cela est pour vous, tout cela vous est connu, parce que vous êtes des enfants appelés au renoncement total de votre volonté humaine pour entrer dans la Divine Volonté.

À chaque pas, je vous montre votre chemin; à chaque pas, je vous fais connaître tout ce que votre volonté humaine a fait de vous; à chaque pas, je vous fais vivre votre purification. 

Avant vous, beaucoup ont prié; avant vous, des enfants ont souffert et ont tout offert à Dieu; ils vivaient pour la Volonté de Dieu, ils accomplissaient tout en voulant faire la Volonté de Dieu; maintenant, je vous montre, moi, à vivre en le Christ, à mourir en le Christ, à renoncer à votre volonté humaine pour me laisser toute la place. 

Je prends vos actions et je les fais miennes; je prends vos regards et je les fais miens; je prends toute votre vie et je la fais mienne; tranquillement, vous avancez en portant votre croix qui est en ma Croix, et vous acceptez vos souffrances comme moi, j’ai tout accepté pour mon Père.

Vous acceptez cela pour moi parce que le Fils est tout pour vous : il faut passer par le Fils pour aller à mon Père.

C’est votre passion que vous vivez : vous vivez présentement les moments de ma Passion. 

Vos souffrances vous sont connues et moi, le Fils, je vous enveloppe de mon amour comme si vous étiez moi, et je présente tout au Père.

Chaque pas que vous faites est un pas d’amour, est un pas en le Fils.

Vous montez sur la montagne, la montagne qui devait accueillir le Fils de Dieu, la montagne qui est pour vous un lieu d’amour, un lieu de purification.

Montez en le Fils vers votre résurrection, car il faut mourir totalement pour connaître votre résurrection.

Je connais chacun d’entre vous, je connais tous ceux que vous portez en vous; vous ne pouvez monter sur cette montagne seuls : vous êtes en l’Église, vous portez vos frères et vos sœurs du monde entier et à chaque pas vous vous donnez comme moi je me suis donné, à chaque pas, je vous donne des grâces pour vous et pour ceux que vous portez en vous.

Ceux qui ont suivi le Fils de Dieu, ceux qui ont jeté des pierres, blasphémé le Nom du Fils de Dieu sont des témoins de mon amour, je les portais tous en moi, j’acceptais tout par amour pour eux; faites de même, montez au Calvaire et acceptez tout.

Tous ceux qui sont autour de vous et qui me blasphèment, qui blasphèment mon saint Nom, qui jettent des pierres sur mon Église, qui ridiculisent mes apôtres, qui cherchent à faire tomber mes membres, portez-les, aimez-les, priez en moi pour eux.

Donnez-moi toutes vos souffrances, elles m’appartiennent, et avancez; montez, montez et ne cessez pas de monter car c’est votre purification; au moment où vous serez tous au pied de ma Croix, vous vous mettrez à genoux, (vous toucherez) ma Croix et votre purification sera achevée et, à ce moment, beaucoup croiront : la lumière sera en eux; vous serez devant la Lumière; vous aurez accompli ce que Dieu attend de chacun de vous. 

Tout doit se faire pour la plus grande Gloire de mon Père, tout comme moi,

j’ai tout accepté pour la plus grande Gloire de mon Père.

Ces moments sont des moments uniques, ces moments se font présentement parce que mon Père l’a décidé : le Cœur de Marie uni au Cœur du Fils vous appellent tous à vivre ces moments d’amour, ces moments qui vous conduisent à votre gloire.

Heureux sont les enfants présents, car ils ont prononcé leur oui, en déposant leur vie entre les mains de Marie, pour que Marie puisse déposer, elle-même, leur vie en le Cœur du Christ; comme elle l’a fait en le Corps du Christ, au moment où je suis venu en Marie, elle vous a tous pris en elle : vous deveniez tous ses enfants.

Vous êtes les membres de l’Église et ma Mère est la Mère de l’Église : tout cela est grâce pour vous, tout cela est l’accomplissement des temps présents tant attendus par les enfants de la Lumière, tant attendus par tous les enfants de Dieu qui ont un oui en eux : dans leur ignorance, ils avancent.

L’amour vaincra le mal.

La Lumière est en vous, la Lumière est en tous les enfants de la terre, car la puissance de Dieu est en tous les enfants de Dieu : là est la force, la puissance; toute espérance est en vous, la foi est en vous.

L’amour, c’est chacun de vous; vous ne pouvez nier qui vous êtes, vous ne pouvez nier qui est en vous, car vous êtes l’Église et moi je suis Celui qui est, qui était et qui sera éternellement présent avec vous, en vous, pour la plus grande Gloire de Dieu le Père.

Sachez voir et entendre. Tout s’accomplit.  Amen.

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Avant de continuer, Dieu passe son Église : ses prêtres avant tout.

Avant de continuer, Dieu veut démontrer à chacun de nous que nous avons besoin des prêtres pour marcher vers ce lieu d’amour qui est au pied de la Croix : voilà pourquoi nous avons tant besoin des grâces de Jésus, et il passe par le sacerdoce.

Voilà pourquoi nous allons attendre un instant que les prêtres viennent en avant et puissent nous donner ce que nous avons besoin pour avancer; nous avons fait un pas et nous devons en faire d’autres mais, sans les prêtres, nous ne pouvons pas faire ces pas.  Merci.

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Ce livre, le premier volume, ne parle que de l’amour.

Ce premier volume est une richesse de grâces; il y a tant de  "je t’aime" à l’intérieur. 

Jésus a dit : «Un seul "je t’aime" suffirait pour l’éternité à vous nourrir d’amour; alors plongez-y, il est plein d’amour.» 

Alors, Jésus, il a dit aussi qu’il faut continuer à apprendre qui nous sommes pour conserver les grâces qu’il nous donne : voilà pourquoi, dans ce deuxième volume, il y a tant de lumière; nous apprenons à nous connaître, nous, nos frères et nos sœurs.

Il ne parle pas seulement de mon caractère, il parle du caractère de tous les enfants du monde : nous sommes tous en le Corps, il faut apprendre pourquoi nous sommes en colère, pourquoi nous sommes portés à la jalousie, pourquoi nous sommes portés à la dépression : nous portons en nous tant de péchés!

Parce qu’à l’intérieur de nous, il y a nos frères et nos sœurs, si nous voulons aider tous ceux qui souffrent, tous ceux qui n’ont pas donné de leur part en l’Église, il faut apprendre que nous avons eu une bourse remplie d’argent, mais on n’a pas souvent donné à notre prochain, parce qu’il y en a qui meurent de faim, il y en a qui souffrent, qui sont dépressifs.

Alors Dieu nous parle de tout cela avec tendresse, avec amour,

il nous donne tant de grâces!

Jésus dit : «Je suis le Médecin de l’amour, je viens pour vous soigner, vous, les malades, les malades de l’amour.»

Il continue, il continue à nous parler; ce n’est pas nouveau, c’est tout simplement qu’il a utilisé des mots que je connaissais, que nous connaissions.

Il aurait pu choisir un théologien, mais il a choisi quelqu’un qui ne savait pas bien parler. 

Croyez-moi que je ne savais pas bien parler, vous pouvez même le constater lors des enseignements.

Quelquefois, le sujet est au pluriel, puis il dit le verbe au singulier; alors j’ai dit : «Seigneur, pourquoi tu fais ça, Seigneur?»

Il dit : «C’est parce que je te prends telle que tu es et je prends les autres tels comme ils sont. Je ne veux pas te changer, je t’aime trop! Laisse-moi, par contre, te transformer.»

C’est vrai, si vous m’aviez entendue en premier, c’était beaucoup plus renversant pour ceux qui étaient instruits avec une éducation universitaire : oh! leurs oreilles devaient leur friser souvent, mais aujourd’hui, ils ont appris; ils ont appris, en suivant la Fille du Oui à Jésus, que Jésus nous prend tels que nous sommes.

Il ne vient pas pour nous changer, il vient pour nous perfectionner; il nous prend tels que nous sommes et là, il nous amène là où il veut.

S’il veut se servir de mon bégaiement, mais c’est parce qu’il sait que vous allez accepter cela; vous allez vous reconnaître, vous allez reconnaître aussi ceux qui sont comme moi.

Vos enfants, ceux des autres pays, on se voit en Jésus, on se voit aussi en les autres, parce que nous tous, nous sommes en Jésus : voilà pourquoi il parle avec des mots connus de nous-mêmes, ça rentre (plus) facilement.

Vous savez, un jour, une personne m’a dit : «J’ai tant prié pour que je puisse, un jour, lire quelque chose que je comprendrais, eh bien, c’est écrit tellement simplement que j’ai tout compris.» Eh bien, Jésus avait entendu sa prière.

Nous avons besoin d’avancer dans la purification avec simplicité.

Il n’est pas compliqué, Dieu; Dieu nous connaît; Dieu est venu dans une étable, alors Dieu, il dit : «Je vous prends, moi, comme vous êtes. Je me suis, moi le Roi, mis à votre niveau d’amour parce que je suis l’Amour et si vous êtes ainsi, c’est parce que mon Père a voulu que vous soyez ainsi; alors moi, le Fils de Dieu, je suis avec vous au même rang que vous, car je suis venu pour servir, non être servi»; alors il prend notre petitesse, il la met en avant.

Ce que vous voyez, c’est quelqu’un qui est comme vous, une pécheresse; oui, j’ai commis des péchés; oui, je n’ai pas écouté toujours papa; oui, quelquefois aussi, ça ne me tentait pas d’aller à la messe, mais j’y allais quand même et j’allais à la confesse parce que je savais que ce n’était pas correct d’aller à la messe en ne le désirant pas : on a tous fait ça.

Alors, c’est ça que Jésus veut que vous voyez : une personne comme vous, parce que vous aussi, vous allez être en avant de vos frères et de vos sœurs comme instruments; Dieu va se servir de chacun de nous pour les autres parce que nous aussi nous sommes venus sur la terre pour servir.

Dieu est l’Amour et Dieu nous demande d’être amour : souvenez-vous qu’on n‘a pas toujours été amour avec notre mari/notre épouse, nous n’avons pas toujours été amour envers les homosexuels, envers les violeurs, envers ceux qui font de l’inceste avec nos petits enfants : nous les avons condamnés, nous les avons jugés; alors Dieu vient nous en parler, dans le troisième volume, avec des mots d’amour, des mots de pardon, de miséricorde; il veut que nous aidions nos frères et nos sœurs, que nous nous aidions pour avancer vers la purification.

Comment pouvons-nous accepter notre purification si nous ignorons ce qui se passe à l’intérieur de nous?  Oui, nous sommes devenus priants : est-ce que cela a fait de nous des êtres purs? Est-ce que cela a fait de nous des êtres parfaits? Notre âme a besoin de grâces continuellement par le sacrement de la Pénitence; notre âme a besoin des grâces de l’Eucharistie pour être forte, mais notre chair a connu le péché et s’en souvient constamment : notre chair est assujettie au péché. 

Nous avons regardé des scènes obscènes, nous avons regardé des scènes de violence et nos yeux ont vu, et notre chair a connu, et notre chair s’en souvient : c’est imprimé en nous; tout ce que nous avons entendu aussi s’est imprimé en nous : voilà pourquoi nous sommes portés toujours à commettre des péchés et nous allons vers la confession. 

Mais Dieu dit : «Voici venir le temps où la chair devra être purifiée.»

Tous ces premiers (volumes) : un, deux et trois, nous apprennent cela avec des mots d’amour, de tendresse, parce qu’il veut enlever en nous la peur.

Nous avons peur d’entendre parler de péché, nous avons peur d’entendre parler de souffrance : c’est ce qui est contenu dans ce livre.

Nous devrons prononcer un oui, mais ce oui doit être (prononcé) comme un enfant : beaucoup d’entre nous allons prononcer des oui, beaucoup de ceux que nous portons en nous vont prononcer des oui hésitants; nous portons aussi des non en nous.

Dieu nous en parle, Dieu révèle ces choses dans le volume IV.

C’est la purification : petite purification en ces temps pour nous, Grande Purification pour tous nos frères et sœurs du monde entier.

Le moment est connu de Dieu et pas de nous, ne perdons pas notre temps à calculer si c’est le moment, parce que lorsque nous faisons ça, nous ne vivons pas le présent : c’est au présent que nous devons vivre notre purification et aider nos frères et nos sœurs du monde entier à vivre ce qui s’en vient.

Dans le volume 1, vous allez voir, il y a beaucoup de visions; alors je disais au Seigneur : "Seigneur, pourquoi est-ce que tu écris ça? C’est à moi, ca!" Il disait: «D’autres vont se reconnaître», et c’est vrai, j’ai eu beaucoup de témoignages de personnes qui disaient : «J’ai vécu ça!»

Aussi pour le jeûne, il me montrait qu’il y en a qui sont portés à donner plus que d’autres : lorsque (l’Église) dit une heure de jeûne avant de communier, tout le monde doit faire ça; on ne doit pas aller communier si ça ne fait pas une heure (de jeûne); si vous avez de la gomme, eh bien, recevez une communion spirituelle parce que ça, c’est manger : vous devez être obéissants; si par contre vous êtes malades, ce n’est pas la même chose, on a le droit parce que ce sont des médicaments, mais la négligence devient un péché mortel, et véniel pour ceux qui ne le savent pas; Dieu aussi sonde les cœurs; il faut le demander au prêtre, c’est le prêtre qui le sait;

mais (le mot) ‘préférence’, c’est pour ceux qui veulent en donner plus, il l’a écrit : deux heures pas de viande et trois heures avec de la viande, mais ça, c’est seulement pour les amoureux fous de Dieu. 

C’est vrai, on est amoureux fou de Dieu; quelquefois on passe des heures à genoux à prier alors que Dieu ne nous le demande pas; Marie, elle nous le demande!

Marie nous demande de dire trois chapelets médités par jour : "hé! qui va faire ça, quand ils ont des enfants, quand ils sont fatigués?" Marie sait à qui elle s’adresse.

C’est comme pour le jeûne, c’est la même chose, elle sait qui peut jeûner.

Moi, vous savez, je voulais jeûner; alors je ne mangeais pas, le lundi, le mercredi, le vendredi, mais seulement avec du pain là, puis de l’eau, mais ça n’a pas été loin : je fais de l’hypoglycémie; je n’étais pas capable, alors le Seigneur, il m’a dit en l’an 2002 : «Donne-moi ta viande.»

Il me l’a demandé à moi et j’ai dit oui; moi qui aimais la viande, ça a été un jeûne : Jésus m’a montré qu’on pouvait jeûner comme on est capable. 

Marie nous demande : pénitence, pénitence, pénitence.

C’est difficile de faire pénitence, mais on a des moyens de le faire : on passe quelquefois des heures devant la télévision : eh bien, on diminue les heures! 

Si on n’en passe pas beaucoup d’heures, qu’on écoute (seulement) les nouvelles : quelle pénitence de ne plus regarder les nouvelles! 

Voyez-vous, nous avons besoin de cela pour notre purification et c’est Marie qui va donner des grâces; ne vous imposez pas ce que vous n’êtes pas capable parce que Satan peut passer.

Parce que, lui, il vous voit : si vous êtes en train de dire vos trois chapelets et au deuxième, vous grimacez, vous regardez l’heure, vous commencez à le dire vite, pensez-vous qu’il ne le voit pas, lui? Il va se servir de quelque chose qui est à l’intérieur de vous : le mal;

il ne peut pas entrer en nous, mais il peut se servir du mal, et le mal nous a fait connaître la peur, le doute, l’incertitude, l’hypocrisie; alors tranquillement, il va dire : "Tu n’es pas une bonne chrétienne, comment ça se fait que tu n’es pas capable de dire ton deuxième à genoux"; alors, oups, là on va se sentir mal, on va penser que cela vient de nous, alors on va se forcer à dire le chapelet à genoux et là, ça va être contre nous : tranquillement, on va commencer à se tanner et lorsqu’on va commencer à se tanner, on ne dira plus le troisième, ni le deuxième et, croyez-moi, que le premier va suivre : ça, c’est Satan.

Il est hypocrite, il est tellement intelligent, il est au-dessus de tout!

S’il vous plaît, allez en parler au prêtre, mais n’allez pas en parler pendant une demi-heure, ni une heure.

Aujourd’hui, on va voir les prêtres et on parle aux prêtres comme s’ils étaient des psychologues : on conte au prêtre notre vie;

on porte en nous des souffrances et on les étale devant le prêtre, alors que lui est en le Christ.

Croyez-vous qu’il ne le sait pas, le Christ, votre vie? On a perdu la foi en Jésus.

Nous allons voir le prêtre et ce que nous avons besoin du prêtre, c’est sa volonté humaine, son oreille; nous avons besoin d’une personne qui nous comprend : "Enfin, quelqu’un qui va m’écouter et là, j’ai un prêtre; je vais en profiter, un homme à ma merci; mon mari ne m’écoute plus, alors le prêtre est là; il est bien obligé de m’écouter, là maintenant (que) je suis à la confesse!"

On rajoute, on rajoute, on rajoute, eh bien, vous êtes chanceux, parce que si ça serait du Curé d’Ars, il dirait : "Va te mettre à genoux devant Jésus, puis va lui parler, puis va prier sainte Philomène" : voyez-vous, on parle au prêtre, c’est pour nos péchés.

Allez devant Jésus, parlez-lui : il est la Puissance, il est la Lumière, il est la Vérité, il est la Justice.

C’est là que nous devons aller si nous avons besoin d’un psychologue parce que c’est le plus Grand du monde entier.

Il ne faut pas s’attacher à l’humain, mais au sacerdoce : c’est au sacerdoce qu’il faut s’adresser, mais nous, avec nos blessures, nous bifurquons, nous empoisonnons la volonté humaine du prêtre.

Oui, parce que lorsqu’il sort au bout de trois heures et qu’il vient d’entendre, pendant deux heures de temps, une seule confession : c’est souffrant pour lui parce qu’il veut nous aider et il sait, lui, que c’est seulement Jésus qui peut nous aider;

mais quelquefois il veut bien, lui, arrêter ce flot de paroles qu’il entend, mais il reste là, et combien de prêtres font des dépressions, et combien de prêtres souffrent!

Ces péchés, ils ont le pouvoir de nous donner la grâce sanctifiante, de pardonner nos péchés.

C’est Jésus qui pardonne nos péchés, c’est pour ça qu’il faut aller voir le prêtre; si nous avons besoin de consultations, allons en dehors de la confession et demandons-lui s’il veut, s’il a le temps, et croyez-moi, aujourd’hui les prêtres n’ont pas beaucoup de temps, ils ont cinq paroisses à eux seuls, ils ont des âmes (à sauver), ils ont des confessions, des messes, ils ont la première communion, ils ont l’extrême-onction : tout cela, c’est chargeant pour eux.

Alors le Seigneur, il dit maintenant : «C’est suffisant!» Merci.