Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Chertsey, Québec,

par son instrument, la Fille du Oui à Jésus.

 

2007-02-03 - A.M.

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Le Seigneur est bon avec chacun de nous.

Le Seigneur nous a réunis dans sa Volonté, il veut que nous soyons à l’écoute de notre intérieur pour les autres, pas seulement pour nous.

Il y a des guérisons qui se feront, il y a des libérations qui se feront, telle est la Volonté de Dieu.

La puissance de Dieu est à l’intérieur de chacun de nous; nous vivons avec la puissance de Dieu en nous à tous les jours.

Pouvons-nous nous arrêter un seul instant pour réaliser que cela nous a été donné par Dieu le Père? Jésus est en nous, Jésus nous habite, alors nous avons la puissance de Dieu le Père à l’intérieur de chacun de nous.

Lorsque nous nous levons le matin, elle est en nous; lorsque nous travaillons, elle est en nous; même si nous ne pensons pas à Jésus à chaque instant, sa puissance agit toujours en présence même de la Volonté de Dieu le Père en chacun de nous; la puissance de Dieu, elle n’a pas de limites.

Comment se fait-il que nous, nous soyons aux prises avec nos souffrances, avec notre tristesse, nos peurs? Comment se fait-il que nous vivions avec un manque de foi en la puissance de Dieu? Tout simplement parce qu’à l’intérieur de chacun de nous il y a des mouvements que nous avons acceptés.

Depuis Adam, ce mouvement s’est fait connaître à l’intérieur de nous; depuis Adam, à l’intérieur de nous, il y a des mouvements qui sont : nous nous sommes adonnés à cela.

Notre manque de foi : nous avons fait de notre vie une vie de souffrance, et cela, c’est depuis très longtemps.

Chacun de nous avons l’opportunité d’aller lire l’Ancien Testament; l’Ancien Testament nous parle des conséquences du peuple de Dieu : les conséquences, c’est quelque chose qui vient après avoir choisi des mouvements.

S’ils ont choisi des mouvements, il a fallu que quelque chose se présente devant eux : des tentations, des tentations qui n’étaient pas de Dieu.

Alors, ils ont choisi de dire oui à ces tentations et ils ont vécu leurs conséquences : ils ont connu la misère, ils ont connu la guerre, ils ont été esclaves, ils ont connu les épidémies, ils ont connu l’infidélité entre eux; c’est la conséquence de leur manque de fidélité en ce que Dieu leur a demandé.

Dieu a demandé de ne pas adorer d’autres dieux que lui, mais ils n’ont pas fait ce que Dieu leur demandait; ils ont détourné leur regard de Dieu, et ils ont vécu leurs conséquences.

S'ils ont connu la déportation, tout cela, c’est parce qu’ils ont fait des mauvais choix, ils ont écouté le péché; alors, nous qui sommes en l’an 2007, nous vivons ce que : eux (ont) vécu.

Nous dirons : "Ben, nous n’avons pas d’autres dieux, nous ne croyons qu’en Dieu", eh bien, dites-moi, qui n’a pas regardé la télévision avec une émotion si grande qu’il ressentait le besoin de demeurer les yeux fixés devant cet écran? On avait les yeux fixés sur la télévision comme quelque chose de très important, plus important que nous; alors, si on prend quelque chose de plus important que nous, c’est de l’idolâtrie.

Nous avons pris la télévision comme étant un appareil, un dieu; quelle est la différence entre eux et nous? Ils ont pris leurs bijoux et ils ont fabriqué un veau d’or; nous, on a pris des tout petits minuscules appareils, on les a rassemblés pour faire un appareil : la télévision, on en a fait un dieu.

Eux savaient qu’ils adoraient un dieu, mais nous, nous, on se croit plus intelligent qu’eux, on croit aimer Dieu au-dessus de tout et on ne réalise pas que nous adorons un dieu qui est en face de nous parce que nous portons les conséquences : nous portons les conséquences de ceux qui ont idolâtré avant nous.

Tout cela est en nous comme une vieille peau; on en a mis, on en a mis, on en a mis, et cela est sur nous; et nous pourrons en énumérer d’autres dieux.

Il y en a qui passent devant les vitrines de magasins, ils ont les yeux fixés sur le linge, les meubles, les belles voitures, comme étant quelque chose de fascinant : "Ah, que c’est beau!" ils en oublient qu’ils ont un rendez-vous, ils oublient que leur portefeuille ne leur permet pas de s’offrir une auto.

Et, pourtant, cette envie est en eux : oh! qu’ils aimeraient ça; même s'ils ne se l’offrent pas ce matériel, ils en ont envie jusqu’à oublier que leur besoin à eux n’est pas de s’offrir cela.

Alors, ce qu’ils ont vu devant eux, ce matériel, ils l’ont aimé au-delà de ce que : eux sont capables de s’offrir, n’est-ce pas de l’idolâtrie? Nous aimerions nous offrir ce que nous ne sommes pas capables de nous offrir : nous avons cette envie en nous.

Eux qui étaient le peuple de Dieu ont offert ce qui était au-delà de ce qu’ils étaient capables d’offrir; vous savez, il y a des gens qui offraient des offrandes à des dieux, ils se privaient pour offrir à des dieux des offrandes.

Nous, nous voulons nous offrir ce que nous ne sommes pas capables d’avoir : nous nous prenons pour des dieux.

Voyez-vous, eux offraient pour des dieux, ils ne se prenaient pas pour Dieu, mais ils offraient ce qu’ils avaient pour des dieux; nous, nous nous offrons, nous-mêmes, ce que nous ne sommes pas capables d’avoir : nous nous prenons pour des dieux.

Voyez-vous, nous portons les conséquences, nous portons les conséquences de ceux qui ont été avant nous; ils avaient un choix, eux, ils avaient le choix de dire : "Non, un seul Dieu : Dieu", mais ils n’ont pas voulu, ils ont été offrir des offrandes à des dieux.

Nous n'avons seulement qu'à penser à Salomon; Salomon, le choisi de Dieu, l’aimé de Dieu, avait pris des concubines, il s’était laissé séduire; alors, il avait fait son choix : il avait été tenté, il a dit oui, il a vécu la conséquence de son choix.

Nous, nous sommes tentés lorsque nous passons devant quelque chose que nous ne sommes pas capables de nous offrir; nous sommes tentés par le péché de l’envie, nous sommes devant un choix.

C’est nous qui devons choisir : "Je ne m’offre pas cela parce que je ne suis pas capable de m’offrir cela", mais si nous avons le désir de nous l’offrir, si nous avons ce désir-là, mais que nos poches sont vides, nous avons quand même ce désir, et nous en vivrons les conséquences.

Si nous passons devant la vitrine et que nous autres, nous allons nous servir de notre carte de crédit, et il se l’offre, alors croyez-vous que nous sommes différents de celui qui a désiré? Non, c’est le même péché : l’envie; alors, nous portons les conséquences.

Voyez-vous, il y a le péché, il y a les choix qui sont devant nous, il y a les conséquences; c’est ce que nous, nous vivons et c’est ce qu’ils ont vécu; cela n’a pas changé.

Dieu a prévenu son peuple qu’il était pour souffrir s’il n’était pas obéissant, puisqu’il a envoyé parmi eux des prophètes, puisqu’il a fait savoir à son peuple que lorsqu’il se conduisait mal, il était pour lui arriver malheur.

Alors, aujourd’hui nous vivons cela aussi; Dieu envoie parmi nous des mystiques afin de nous prévenir, de nous prévenir que nous devrons vivre les conséquences qui ne seront pas données à Dieu.

Vivre les conséquences, cela se fera lorsque nous serons devant nos conséquences, cela se fera lorsque nous serons au courant de nos conséquences, cela se fera lorsque nous serons avertis de nos conséquences.

Comment déchiffrer tout cela? Eh bien, Dieu envoie parmi nous des enfants qui parlent des conséquences de nos choix passés, présents et futurs, en nous, pas à l’extérieur.

Il met à l’intérieur de nous des lumières afin que nous puissions, avec les grâces, regarder les conséquences, analyser les conséquences et donner les conséquences; tout cela se fait à l’intérieur de nous et pas à l’extérieur, car l’extérieur porte les conséquences.

La différence, c’est que lorsque cela se passe à l’intérieur de nous, il y a libération et il y a guérison, mais lorsque cela se passe à l’extérieur de nous, il y a souffrance : voilà la différence.

Voici venir un temps d’amour, voici venir un temps de grâces où nous sommes en présence même de l’agir de Dieu à l’intérieur de nous, puisque nous acceptons d’entrer en nous, de vivre en nous, de nous abandonner entre les mains de Dieu afin qu’il vienne nous guérir, afin qu’il vienne nous libérer, afin qu’il vienne arracher le mal de nous, éradiquer tout ce que le mal à fait à notre chair, à notre pauvre chair : c’est la purification.

Dieu, depuis 2001, me parle de la Purification; Dieu, depuis 2001, agit à l’intérieur de nous en se servant de vous.

Nous sommes tous ensemble, nous sommes instruments pour les autres, afin que nous soyons tous dans le même mouvement : la purification.

Quelle grâce que nous, nous avons : découvrir que nous avons fait de mauvais choix; nous avons triché, menti, violé, nous avons envié, nous avons fait des colères, nous avons été gourmands, nous avons parlé contre notre prochain, nous n’avons pas écouté Dieu, nous avons idolâtré : tout cela est devant nous et nous, nous sommes devant avec les grâces de Dieu.

Car lorsque cela nous est révélé, c’est parce que nous sommes en nous et nous acceptons : "Oui je me reconnais pécheur, oui je me reconnais être devant la tentation, mais je te donne tout.

Les choix que j’ai pris, Seigneur, sont à toi; je vis les conséquences, mais ces conséquences ne m’appartiennent plus, elles sont à toi; et tous ceux qui sont à l’intérieur de moi, et qui vivent la même chose que moi, sont dans le oui parce que ce oui, tu me l’as fait découvrir.

Oui, je te donne tout; tous ceux qui sont en moi, tout ce qu’ils ont fait devant le péché à cause de leurs choix, tout ce qu’ils vivent, sont à toi, ô Dieu tout-puissant.

Je sens la grâce en moi, je sens que je guéris, Seigneur, je sens que tu me libères du mal, je sens que l’Église est en mouvement.

Je ne vois pas, je n’entends pas, mais je sais, parce que la Puissance est là, parce que tu es là, parce que tu es vivant.

Ô Dieu d’amour, viens en nos cœurs, viens nous parler d’amour, viens nous dire combien nous avons besoin de toi".

 

Jésus : Oui, amours, chacun est en la Divine Volonté, chacun de vous êtes en présence même de l’agir de mon Père parce que je vis en vous, je parle en vous; ne vous ai-je pas dit que je viendrais parler en les cœurs, le cœur endurci par le péché, le cœur blessé par le péché?

Je viens changer ce monde, je viens faire de vous des êtres parfaits comme mon Père est parfait, je viens prendre tout de vous.

Amours, écoutez la voix de votre Dieu.

Si aujourd’hui je parle en chacun de vous, c’est parce que vous êtes des instruments comme elle est un instrument; vous êtes aussi importants qu’elle est importante, et vous êtes si peu devant l’agir de mon Père comme elle est si peu devant l’agir de mon Père : je suis, moi, le Verbe, c’est moi qui viens agir.

Aucun de vous ne peut comprendre l’amour que mon Père a pour chacun de vous, chacun de vous ne peut être dans son intérieur que si moi je vous y amène par votre oui : tout est dans l’agir de Dieu.

Ô enfants d’amour, je vois en vous tant de souffrances, tant de manques de foi en la puissance de mon Père.

Oui, mes enfants, ayez la foi, ayez la foi que je vais réparer ce que vous, mes enfants, avez fait de mal dans votre passé; je veux que vous soyez dans mon Être tout petits, tout amour; vous êtes à moi.

Cet instant est un instant de guérison, cet instant est un instant de libération parce que je parle en tous les cœurs.

Vous êtes membres de l’Église, je suis l’Église.

Que vous soyez ici au Canada ou que vous soyez, dans votre cœur, dans votre pays natal, vous êtes avec vos frères et vos sœurs, vous êtes à moi, vous appartenez à la Croix. Je vous ai gagnés de mon Sang.

Enfants de ma Volonté, comme il est important de vous abandonner afin que j’arrache le mal de l’intérieur de vous!

Je commence par vous, afin que ceux qui sont en vous croient en ma puissance qui est en eux.

Combien d’enfants ne croient plus en moi? Combien d’enfants fuient l’Église, fuient ma Présence parce qu’ils ont perdu, ils ont perdu tout espoir, ils ont perdu la lumière.

J’envoie parmi eux chacun de vous, j’envoie parmi eux votre foi afin qu’ils puissent revenir à la maison, à la maison du Père; voyez-vous, mes enfants, il est très important que vous ayez foi en ce que moi je vous ai enseigné.

Oui j’ai parlé à mes apôtres, oui je leur ai montré comment se comporter, oui je leur ai montré quoi dire, oui je leur ai montré comment être en la puissance de Dieu, et vous, petits enfants d’amour, vous avez écouté, vous avez pris cela à l’intérieur de vous.

Aujourd’hui, je renouvelle ces enseignements en utilisant votre intérieur; tout ce qui était en vous maintenant sort de vous pour se laisser entendre à vous-mêmes afin que vous soyez devant la puissance de Dieu.

J’ai réuni mes petits enfants par petits groupes en ces temps, afin de faire parole, afin de faire présence en l’Église, une Église qui se croit dans l’impossibilité de se laisser voir.

Voyez-vous, mes enfants, vous êtes en présence d’enfants qui souffrent, qui ne croient plus, qui ont écouté ce monde, un monde qui souffre.

Il y a, parmi vous, beaucoup de pleurs, il y a beaucoup de cris, il y a des oublis : on veut oublier qui on est, on veut oublier que le monde d’enfants de Dieu n’est plus, parce qu’on a appris à des enfants comment consommer de la drogue, parce qu’on a appris à des enfants que la drogue apporte le bonheur, on a appris à des enfants comment se procurer de la drogue.

Enfants d’amour, ces enfants sont des enfants de la conséquence, de la conséquence du monde, un monde sans foi, un monde qui ne pense qu’à l’argent : ce sont les victimes de ce monde.

Et vous, avez-vous foi en moi? Avez-vous foi que je suis plus puissant que ce monde de drogue? Si vous dites oui, alors recevez, recevez les grâces de libération, car vous étiez sous l’emprise de votre choix.

Oui, mes enfants, vous avez pleuré, vous avez pleuré parce que vous avez vu des enfants, des tout petits enfants aux prises avec la drogue, et à cet instant votre cœur a pleuré, a pleuré sur vous-mêmes.

Vous voyant dans l’impossibilité de faire quoi que ce soit, vous avez voulu parler, vous avez voulu crier, vous avez voulu démontrer qu’ils agissaient mal; tout cela, c’est votre volonté humaine.

Vous êtes si petits devant ce monde de drogue, car celui qui est à la tête de ce monde, c’est Satan; vous ne pouvez rivaliser avec la méchanceté de Satan, c’est le dieu Mammon.

Amours, je suis là, je suis la Puissance et je suis en vous.

Donnez-moi la cause, donnez-moi vos choix, donnez-moi vos conséquences et donnez-moi la cause, les choix de ceux qui sont en vous, et les conséquences, et moi, mes enfants, je libère, et je guéris.

Si cela n’est pas à votre rythme, pensez, mes enfants, que je construis un monde nouveau et que vous êtes ceux qui (sont) choisis pour former mon monde nouveau : tout est en mouvement.

Ayez la foi, soyez amour; mes tout petits blessés ont besoin de sourires, ont besoin d’un regard de Dieu, ont besoin d’une écoute de Dieu, ont besoin de gestes faits par Dieu; ils ont besoin de ressentir en eux ce que vous ressentez : la foi en Dieu le Père : "Ta Volonté Père, pas ma volonté."

Vous devez avoir foi, mes amours, en mon Père; gardez tout cela dans votre cœur; vous avez besoin, mes enfants, de guérison, car vous êtes blessés à cause de vos pensées, vous êtes blessés à cause de tout ce que vous entendez.

Faites cela par amour pour vous-mêmes; commencez par vous, ainsi ceux qui ont besoin de vous recevront de l’intérieur d’eux ce que vous êtes en eux.

Voyez-vous, mes enfants, c’est ainsi que Dieu agit; je ne prends pas vos moyens, ils sont humains, ils n’ont pas la puissance de mon Père.

Tout est en vous, je suis en vous, je suis la Puissance; laissez-vous prendre par mon mouvement d’amour, il est éternel; il n’a pas vu la naissance : il est; il n’a pas vu de mort : il est.

Je suis le Présent et vous, vous êtes en moi; tous ceux que vous portez en vous, depuis Adam, sont en vous et tous ceux qui viendront après vous sont en vous; alors, mes enfants, servez-vous d’eux, vous êtes l’Église, vous êtes un mouvement d’amour : soyez ce mouvement d’amour, en moi, Jésus.

Je vous guide tout comme j’ai guidé mes apôtres, tout comme j’ai guidé mes disciples; vous êtes mes choisis, je vous rassemble afin que vous soyez parole de Dieu, regard de Dieu, écoute de Dieu, agir de Dieu : vous êtes moi.

Voyez-vous, ce temps est un temps où tout se réveille de l’intérieur à vous-mêmes à l’extérieur : telle est la Volonté de mon Père.

Combien de vous avez entendu parler de la purification? Combien de vous avez entendu parler de la Grande Purification? Vous êtes dans ce mouvement d’amour, vous êtes dans ce mouvement de grâces, tout est commencé.

Regardez-vous, est-ce que vous avez peur? Est-ce que vous avez peur du cancer qui vous gruge? Est-ce que vous avez peur du diabète qui rend votre caractère exécrable? Est-ce que vous avez peur de vos os qui ont de la difficulté à se mouvoir?

Ô petits enfants d’amour, lorsque : il y a des os qui craquent, ces os manquent d’huile; lorsque vous avez des maux de tête, mes enfants, auriez-vous peur de ce qui va venir dans vos oreilles? Laissez cela à Dieu et donnez, donnez, c’est votre conséquence, conséquence du monde.

Est-ce que je vais donc accuser un pour déculpabiliser les autres? Vous êtes un tout, vous êtes l’Église, vous portez toutes conséquences du péché; je n’accuserai pas un pour vous démontrer que vous êtes purs, oh! non, mes enfants, je suis venu pour tous les malades.

Alors, si vous avez le cancer, le diabète, des maux de tête, mal aux os, vous êtes donc malades, mais je ne vous dirai pas combien de péché est en vous, je ne vous dirai pas si vous êtes dans un état de lumière, je ne vous dirai pas, mes enfants, que vous êtes plus élevés que les autres car, pour moi, vous êtes tous ég(aux).

Je vous aime, laissez-moi vous dire combien mon amour est sans limites, que ma miséricorde est si (belle), si pure.

Vous êtes à moi, vous appartenez à l’Amour et l’Amour se donne : donnez-vous.

Donnez, mes enfants, la cause de la maladie, donnez tous les choix qui ont apporté les maladies, donnez toutes les conséquences qu’a eues le péché dans la vie de l’Église.

Voyez-vous, mes enfants, vous êtes tous unis les uns et les autres; avancez, avancez tous ensemble, c’est la purification : un reçoit, l’autre reçoit; il n’y a pas de limites en Dieu, la Puissance est Dieu.

Oh! comme je vous aime, mes enfants, comme est grand ce moment d’amour! Je vous fais savoir que vous avez besoin les uns et les autres pour votre purification; je vous fais savoir, mes enfants, que tout ce qui est autour de vous va vous servir.

Ne rejetez pas au loin ce qui se présente à vous, que ce soit un événement que vous connaissez, que ce soit un événement qui n’est pas pour vous et que vous ne connaissez pas, mais qui se présente à vous, cela Dieu vous le fait voir et vous le fait comprendre; alors, plongez-vous dans les grâces de la purification et donnez péchés, choix et conséquences.

Le péché est la cause de toutes souffrances, mes enfants; le péché vous a amenés là où vous êtes, vous qui avez connu ce que les autres ont connu; ce que les autres ont connu vous a apporté ce que vous êtes.

À moi de déchiffrer tout cela, pas à vous; ne calculez pas, ne mettez pas tel mouvement de côté et prendre un tel mouvement, cela serait une erreur pour vous; soyez vrais dans ce que vous êtes.

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Chacun de nous, nous vivons la purification, notre purification, c’est un mouvement nécessaire.

Maintenant que nous le connaissons, nous ne sommes plus capables de nous passer de ce mouvement qui nous a été dévoilé par Jésus lui-même et laissé entendre par la puissance du Saint-Esprit, telle est la Volonté de Dieu le Père, et la Mère de Dieu nous accompagne dans ce grand voyage.

Nous sommes passés maintenant de l’autre côté, mais il y en a qui sont pas encore passés.

Vous savez, lorsque le peuple de Dieu a passé la mer, il y en avait en avant, mais la file en arrière était très, très, très, très, très grande : nous qui sommes maintenant les deux pieds au sec, nous devons être auprès de ceux qui sont en arrière, mais vivre ce que nous devons vivre les deux pieds au sec.

La purification est commencée pour nous, la purification est commencée pour ceux qui n’ont pas les deux pieds au sec, mais, par nous, il y a des grâces à l’intérieur d’eux.

Ils ont à l’intérieur d’eux un oui à Dieu, ils ont à l’intérieur d’eux l’amour de Dieu, puisqu’ils sont enfants de Dieu par Jésus, par la Croix; ils sont avec nous, nous ne pouvons pas nous séparer de la Croix; nous faisons partie de la Croix, alors eux font partie de la Croix.

Même s’ils se disent ne pas être dans la Croix, ils ont cette soif d'un bonheur, ils veulent connaître le bonheur, ils veulent vivre eux aussi pour l’éternité, même s’ils ont peur de cela; même s’ils n’osent même pas prononcer le mot éternité : au plus profond d’eux, ils l’ont,

Il y a cette lumière que Jésus a allumée et personne ne peut l’éteindre, sauf ceux qui ont dit non catégoriquement avec connaissance; ceux-là, Dieu seul les connaît, nous, nous ne les connaissons pas et nous n’avons pas à les connaître; nous n’avons pas à tourner notre regard en arrière : ceux qui ont poursuivi le peuple de Dieu, les cavaliers; ils sont là, eux aussi veulent passer la mer et non pas par Volonté de Dieu, mais par leur propre volonté pour tuer les enfants de Dieu.

Mais nous avons à l’intérieur de nous la puissance de Dieu, nous avons à l’intérieur de nous Jésus, l’amour de Dieu même, et cela nous habite.

Alors, nous sommes dans le désert : nous avons commencé à être dans ce désert; nous devons écouter la voix de Dieu à l’intérieur de nous, comme Dieu parlait à son peuple, comme Jésus parle à l’intérieur de nous.

Il est avec nous, il nous guide à tous les jours; nous avançons avec lui, tout comme le peuple de Dieu qui avançait, puisque la nuée ne disparaissait pas.

C’était Dieu qui se laissait voir à eux, alors à l’intérieur de nous : Dieu se laisse entendre à l’intérieur de nous par la puissance de ses prêtres.

Un seul prêtre qui parle en Jésus, par Jésus, avec Jésus, c’est Jésus lui-même, ce n’est pas l’homme, c’est Jésus; sa volonté humaine n’est plus à cet instant, il est Jésus lui-même.

Alors, combien de prêtres parlent à chaque instant en l’Église, à chaque fraction, de fraction, de fraction de seconde, puisqu’une messe est dite à chaque fraction, de fraction, de fraction de seconde?

Voyez-vous, Jésus est toujours à l’intérieur de nous qui ne cesse de nous parler, et cette puissance elle est en nous.

Nous, au Canada, nous avons développé une peur : on a regardé les prêtres avec leurs cheveux gris, on a regardé leurs mains hésitantes, leurs genoux qui fléchis(sent), et nous avons développé une peur : "Il n’y aura plus de prêtres tantôt, on n'aura plus de messes, qui va nous confesser?" Comme nous sommes des enfants de peu de foi!

Jésus est en nous, Jésus est la Puissance, Jésus est le Présent, il est le Christ-Prêtre, il ne s’en ira jamais de l’intérieur de nous; aucun ne pourra remplacer un prêtre si ce n’est un autre prêtre : aucun, aucun.

Il n’y a que le sacrement de l’Ordre qui peut être devant nous, et le sacrement de l’Ordre doit obéissance à notre Saint-Père le Pape.

Qu’un seul sacrement de l’Ordre soit dans la désobéissance à notre Saint-Père le Pape, nous avons devoir de fixer nos yeux sur notre Saint-Père le Pape, la sainteté, la pureté, car le Pape est saint; le Pape est Jésus, le pasteur qui est devant le bon Pasteur : il est saint, il est pur.

Lorsqu’on dit un pape, c’est qu’on regarde sa volonté humaine, mais lorsqu’on dit notre Saint-Père le Pape, c’est Jésus lui-même, le Pasteur, la Pureté, la Lumière, le Chemin, le Guide, la Voie, la Vérité, la Vie éternelle; alors, nous aurons toujours des prêtres avec nous, toujours.

Si ça prend un mois pour aller vers le prêtre pour la confession, ça prendra un mois; nous garderons à l’intérieur de nous la certitude que nos péchés regrettés sont devant Jésus jusqu’au moment où ils seront devant le sacrement de l’Ordre pour entendre Jésus : «Je t’absous de tous tes péchés passés et présents.»

Voilà notre foi, voilà la puissance qui est en nous.

Nous n’avons pas à remplacer les prêtres par des femmes, nous n’avons pas à remplacer les prêtres par des laïcs mâles pour consacrer le pain et le vin pour qu’ils soient le Corps et le Sang, car si cela est, cela restera toujours un pain et un vin, non le Corps de Jésus et le Sang de Jésus, car Dieu le Père n’a qu’une parole : Dieu le Père est la Justice.

Il ne changera pas ses paroles pour nous, qui sommes au Canada, qui avons peur parce que nous voyons nos prêtres avec des cheveux blancs qui vieillissent; Dieu n’a que faire de tout cela, il n’a que faire de notre peur, il en a vu d’autres, Dieu le Père.

Il a vu de son peuple, son peuple choisi, rechercher Dieu, car lorsque le peuple idolâtrait d’autres dieux, il savait qu’il cherchait, il savait qu’il voulait entendre, voir Celui qui est.

Dieu le Père le savait, Dieu le Tout-Puissant le savait, alors il les regardait, il les aimait, il les guidait malgré leurs péchés parce que Dieu le Père est amour.

Rien ne peut ébranler l’amour de Dieu le Père qu’il a pour tous ses enfants; alors, ne nous laissons pas ébranler par les paroles qui viennent de certaines personnes qui ont peur.

Soyons dans la main de Dieu, ne nous mettons pas entre les mains de la volonté humaine parce que c’est la volonté humaine qui a peur et non pas l’enfant de Dieu qu’ils sont.

L’enfant de Dieu qu’ils sont, sont amour face au Père; eux, ces enfants, n'ont pas peur, ils ont encore gardé la foi en Dieu le Père.

Mais ce qu’ils sont devenus par le péché, ce qu’ils sont devenus à cause de leurs choix, ce qu’ils sont devenus à cause de la conséquence de leur oui au mal, ça c’est ce que nous voyons à l’extérieur, c’est ce que nous entendons à l’extérieur, c’est ce que nous comprenons à l’extérieur; alors, nous devons donner cela à Dieu, nous ne devons pas les juger, nous devons les aimer parce qu’ils sont nous.

Ils sont comme nous : ils sont aimés de Dieu le Père comme nous, nous sommes aimés; alors, nous devons, en attendant qu’eux le donnent, donner cause, choix et conséquence, afin que la grâce de Dieu soit sur eux comme elle soit sur nous.

Nous sommes l’Église, nous sommes le tout, nous sommes la vérité de Dieu, nous sommes l’amour de Dieu : Dieu attend de nous que nous soyons des êtres d’amour, Dieu attend de nous que nous soyons vrais, il nous envoie en mission.

Oui, il nous envoie en mission ensemble : les disciples étaient ensemble; que nous soyons deux ou plusieurs, nous sommes tous ensemble.

Le regard de Dieu est toujours sur nous, alors n’ayons pas peur : poursuivons notre chemin dans ce désert.

Il y en a beaucoup qui n’ont pas encore traversé et le moment où tous seront traversés n’est connu que de Dieu le Père parce qu’ils avancent à leur rythme à eux.

N’oubliez pas que le peuple de Dieu avait reçu de Moïse qu’il pouvait apporter avec eux bétail et certains bienfaits; les effets qu’ils avaient accumulés, c’était lourd à porter, c’était très lourd.

Dieu savait, Dieu savait qu’ils avaient besoin de quelque chose d’eux-mêmes pour aller dans ce désert, il les connaissait; s’il (avait) dit à ce peuple : «Vous n’avez pas besoin, vous n’avez pas besoin de rien», croyez-moi qu’ils auraient crié vers Moïse : "Ça pas de bon sens, on s’en va au loin, il faut traverser le désert puis on n’a rien avec nous, on va mourir, on préfère être encore des esclaves, au moins on mange à tous les jours".

Et ça, ce n’est qu’une petite, petite partie de ce qu’ils auraient dit; eux avaient souffert, eux savaient ce que c’était que le fouet, ils savaient ce que c’était que de travailler au soleil sans boire, ils savaient ce que c’était que de ne pas se reposer alors qu’ils avaient mal aux os, ils savaient ce que c’était que d’avoir des maux de tête, ils savaient ce que c’était que d’avoir des maladies.

Eux le vivaient sans consolation, eux le vivaient à chaque instant en étant esclaves d’un peuple sans amour pour eux; ils criaient : "Va-t-on nous envoyer celui qui nous délivrera?" Ils vivaient sur une espérance, mais si petite, petite, petite; alors, voyez-vous qu’ils y tenaient à leurs bagages?

Alors nous, nous devons regarder nos frères et nos sœurs qui traversent avec leurs bagages parce qu’ils y tiennent à leurs bagages : ils y tiennent à leur télévision, puis à leur manteau de fourrure, ils y tiennent à leur ballon de basketball, leur petit hockey, leur auto, leur maison.

Ils y tiennent à tout cela, ils y tiennent aussi à tout ce qui était dans leur passé, leurs souvenirs : le souvenir de misères, le souvenir d’un gouvernement qui les opprime, le souvenir d’un peuple qui meurt de faim, le souvenir qui a grugé leurs os, leurs pensées, leurs regards, leur cœur; tout cela est dans nos frères, c’est leurs bagages, ce sont nos bagages, car ils portent aussi nos bagages.

Car le peuple de Dieu, lorsqu’ils ont traversé, portait aussi les bagages de leurs frères et de leurs sœurs, car combien d’entre eux avaient de la difficulté à avancer? Alors, ils portaient sur leurs épaules des vieillards, ils portaient sur leurs épaules des enfants orphelins, des jeunes filles violées, des femmes abusées, des jeunes qui n'avaient plus d’espoir, ils portaient tout cela; alors, nous devons aussi avancer avec tout cela, (car) ils portaient ce que nous sommes.

Oui, nous avons voulu donner notre volonté à Dieu, mais il reste que nous n’avons pas terminé notre purification, alors nos choix ils les portent, ils portent nos conséquences; alors, nous devons aussi être pour eux un fardeau léger, et le seul moyen, c’est de donner à Jésus.

"Je te donne tout Seigneur. Ô Dieu d’amour, Dieu de puissance, vois nos frères et nos sœurs qui souffrent à cause de nos choix, à cause de tout ce que nous avons accepté qui était mal; vois, Seigneur, combien nous avons contribué à leurs souffrances, à leurs maladies, à leur manque de foi envers toi.

Nous avons voulu vivre une vie facile dans un monde qui nous montrait comment être dans la facilité, nous avons jugé, et cela, ils le voient; nous avons condamné et cela, ils le portent; nous avons crié justice et cela, ils le portent : tout cela Dieu, tout, est à toi.

Mais nous ne savions pas comment le faire, nous étions ignorants : nous avons donné nos douleurs à nos enfants, à nos frères, à nos sœurs.

Ô Dieu d’amour, toi qui nous apprends maintenant que tout est à toi, prends tout, prends ce qu’ils sont et allège leur fardeau.

Je sens en moi tant de paix, je sens en moi que je tombe de moins en moins souvent dans le péché; je sens en moi cette force pour supporter la misère, les jugements, les tromperies, la violence; je sens en moi, Seigneur, tes grâces qui guérissent ma chair.

Je suis plus fort maintenant lorsque je travaille, je suis dans ta grâce d’espérance maintenant que je sais que tu es là, que tu prends tout; ma maladie est de moins en moins douloureuse, plus acceptable.

Ô Dieu, comme ton amour est grand pour moi, comme je t’aime!

C’est chacun de nous aujourd’hui qui sommes devant toi; nous sommes là tous ensemble à écouter ta voix, nous sommes des tout petits riens devant cette puissance que tu dis être en nous, mais nous sommes des oui, nous sommes ton oui, puisque tu as enveloppé ton oui pour faire des oui d’amour avec le oui de ton Père.

Je t’aime, Jésus, nous t’aimons, nous t’adorons, ô Dieu d’amour.

Et c’est tous ensemble, ô Dieu d’amour, qu’un chant va s’élever vers toi, un chant qui sera chanté par ma sœur.

Écoute, Jésus, cela viendra de notre cœur."

 

Josée : Oui, de quoi craignons-nous? Jésus a promis : «Je suis avec vous jusqu’à la fin des temps».

C’est une parole d’espérance qui doit nous animer à chaque jour.

Lorsqu’on regarde autour de nous et qu’on est tenté de se décourager, de se replier sur nous-mêmes, rappelons-nous cette parole.

 

Refrain:

 

Allez, allez, proclamez au monde : Christ est vivant, il habite parmi nous.

Allez, allez, proclamez au monde : c’est maintenant le Royaume de l’Amour.

 

1.         Allez, proclamez la bonté de Dieu, cette vérité au long des siècles.

            Faites transparaître son amour de Père en réconfortant les affligés.

 

2.         Allez, proclamez la venue du Christ, Jésus Fils de Dieu parmi les hommes,

            Faites découvrir la source d’eau vive et désaltérer les assoiffés.