Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Combermere, Ontario,

par son instrument, la Fille du Oui à Jésus

 

2009-09-03 – Soir  Partie 2

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Alors, si vous voulez bien, nous allons débuter par ce petit temps d'échanges. On pose une question, mais pas des questions personnelles, s'il vous plaît, comme, est-ce que je vais déménager à Toronto?

Q. Ça semble être une question personnelle, car lorsqu'elle prie, elle voit des choses et elle veut savoir ce que cela signifie.

R. La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Souvent, les enfants de Dieu reçoivent du Seigneur afin qu'ils puissent être à son écoute. Être à l'écoute du Seigneur, c'est s'abandonner. D'autres ne perçoivent rien lorsqu'ils prient, alors Dieu leur demande aussi à eux de s'abandonner. Chacun de nous, nous recevons ce qui nous est nécessaire pour le présent. Dieu veut venir chercher ses enfants afin qu'ils puissent s'abandonner. On ne prie pas pour nous, on prie pour l'Église. Lorsqu'on demande des grâces pour nous et que Dieu nous accorde ces grâces, on devient une nourriture. Alors, on ne prie pas pour nous, on prie toujours pour les enfants de Dieu. Mais quelquefois, on ne le comprend pas; alors, Dieu vient nous dire : «Mon enfant, tu es en présence du Ciel, donne-toi. Je vais t'amener là où, toi, tu n'es pas capable d'aller. Je vais te faire franchir ce que ta chair n'a jamais pu franchir : mon amour pour tous les enfants du monde».

Voilà pourquoi certains d'entre nous voient ce que d'autres ne voient pas. C'est toujours pour nous amener là où Dieu veut nous amener. La foi nous conduit toujours à faire des pas nouveaux, la foi nous amène toujours à grandir. Lorsque Dieu nous donne, il nous demande; alors, il ne faut jamais se dire : 'Qu'est-ce que je fais avec cela?' Il y aurait des réponses qui ne viendraient pas nécessairement de Dieu. Voilà pourquoi le Seigneur ne répondra pas, afin de faire fortifier la foi, afin de montrer à ses enfants : «Oui, je te donne, mais donne-moi comme je te donne, sans savoir.»

Q. Beaucoup de personnes qui prient avec elle vont recevoir la lumière après?

R. La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : La prière, c'est un don qui nous vient du Ciel. Beaucoup ont besoin de prières. Beaucoup ont besoin de manger, alors donnons-leur à manger en donnant tout à Dieu et Dieu distribuera. C'est comme les personnes qui touchent et qui guérissent, rien ne vient d'eux : que de Dieu, que de Dieu. Dieu, lorsqu'il choisit des instruments, il va toujours faire en sorte qu'ils se reconnaissent petits. Alors, demeure petite. Amen.

Q. La personne veut savoir si elle va se marier, si elle va déménager et si elle va avoir un autre job.

R. La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Alors, le Seigneur va raconter une histoire. Un jour, trois petits enfants étaient sur le bord du quai. Celui du milieu se dit : 'Qu'est-ce que je vais faire pour intéresser les deux autres à m'écouter?' Il avait beau réfléchir, il ne trouvait rien à dire. Celui de droite n'arrêtait jamais de parler, alors celui du milieu attendait toujours : 'Va-t-il se fermer?' Pendant ce temps, celui de gauche n'arrêtait pas de s'agiter, si bien que celui qui gardait le silence et celui qui parlait se mirent à penser : 'Qu'allons-nous dire pour que celui qui n'arrête pas de faire bouger le quai arrête; à cette allure-là, le quai va se décrocher?' Soudain, on entend un gros crac. Le silence. Plus personne n'activait leurs neurones; alors, on put entendre le battement de leurs cœurs : abandon, abandon, abandon, abandon, confiance, confiance, confiance, demain à mon Père, à mon Père.

«Tu vois, ma petite bien-aimée, il y aura toujours un moment dans ta vie où tu connaîtras l'abandon. Ton silence sera pour toi une découverte, tes paroles t'apporteront de quoi manger et tes gestes seront pour toi quelque chose qui te montrera ce que tu dois faire. Alors, laisse à mon Père ce qui est à mon Père, à lui de nourrir ton cœur afin que tu puisses savoir ce qui t'attend demain, demain, demain, ma douceur. C'est ce que tu apprends aujourd'hui qui te sera montré».

Q. Il y a deux ans, j'ai reçu une guérison, pas loin d'ici, durant un service de guérison. J'ai senti une chaleur, la souffrance est disparue, mais là, elle revient. Qu'est-ce qui fait que la guérison, c'est comme si la guérison n'était pas complète. Qu'est-ce qui cause ça? Qu'est-ce que je dois faire?

R. La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Il y a toujours dans notre vie des tentations. Là, Dieu guérit, mais lorsqu'il y a Satan, lorsqu'il y a les acolytes qui viennent près de nous, eux sont là pour défaire ce qui a été fait, lorsqu'on y croit.

L'âme est guérie par Dieu. Lorsque Dieu guérit l'âme, elle est guérie pour l'éternité. Qu'est-ce qui fait que l'âme tombe encore dans la maladie – on appelle la maladie – la faute? C'est la tentation qui est dans notre vie et que nous disons oui. Ils n'arrêteront jamais les esprits impurs de nous faire succomber dans le mal. Lorsqu'on dit oui au mal, là, notre âme, elle, elle connaît son péché. Elle agonise. Elle a besoin de son Dieu, de sa lumière qui la réchauffe, de son amour qui la resplendit de beauté. Quand elle se sait belle, elle se montre à son Dieu d'amour, son Époux, et là, nous, ce que nous recevons, c'est ce qu'elle reçoit. Eh bien, notre chair est ainsi.  Notre chair a besoin d'amour, notre chair a besoin de confiance, notre chair a besoin d'abandon. Si nous ne donnons pas d'amour à notre chair, nous sommes faibles devant les tentations. Une fois que nous ouvrons une porte, Satan, lui, il fait entrer son venin, il vient prendre ce qui est à nous : la vie, et là, il empoisonne. C'est ce qui a fait que nous tombons malades.

Lorsque nous recevons une guérison, nous la vivons dans l'amour pour Dieu et nous devons aussi la vivre pour notre chair : ne pas abuser de notre chair. Quelquefois, après une guérison, oups, là, on s'en donne à cœur joie. Alors là, ce n'est pas de l'amour pour notre chair, c'est comme si on abuserait du bien de Dieu. Alors l'autre, Satan, là, il vient tout près. Son venin semble tourner autour de nous, il a l'odeur de la puanteur, de l'hypocrisie, du mensonge; là, il le fait sentir; il prend des mouvements de vie existants malades qui, encore, sont sous influence.

Essayons de nous souvenir des marques sur notre chair. Au début, le Saint-Esprit nous a parlé qu'on avait des marques. Toutes ces marques sont à l'intérieur de nous et ça tapisse notre intérieur. Il y a des marques causées par la jalousie, l'hypocrisie, la gourmandise, la peur, la paresse, la colère, et on pourrait en énumérer… eh bien, tout cela a marqué notre chair. Lorsqu'un esprit de peur s'approche, il reconnaît que nous avons une marque à l'intérieur de nous, c'est comme un langage. Nous, nous ne voyons pas cela, mais eux, ils le savent, ils reconnaissent ce qui a fait que nous avons une marque à l'intérieur. La tentation de la peur a été près de nous, nous avons répondu à la peur, la peur a pénétré, elle a fait sa marque, et lui, il s'en sert. Alors, étant donné qu'on a reçu une guérison et que nous avons un doute, une sensation désagréable, c'est parce que lui, un esprit impur, s'est servi d'une marque et il s'en sert pour accentuer la douleur; cela nous dérange et nous rappelle que nous avons déjà eu mal à un endroit où maintenant, j'avais plus mal. Il faut refuser cela. Si nous entrons dans cette tentation, Satan va se servir de cette douleur pour nous dire : 'Regarde, tu n'es pas guéri'. Il est très rusé.

Lorsque nous recevons une guérison, nous recevons une guérison. Nous devons avoir confiance. Nous devons refuser. Lorsque notre âme reçoit une guérison, nous devons croire que le sacrement de la Pénitence a guéri. Nous ne devons pas douter de cela. Eh bien, quand nous recevons une guérison physique, ne doutons pas de cela. Il n'est pas défendu de tomber et de connaître sa faiblesse, mais levons-nous : 'Je refuse cette tentation. Merci Jésus de l'envoyer au pied de ta Croix. Merci pour les mouvements de vie qui guérissent. Merci Maman Marie de nous donner des grâces'. Il faut persévérer et Maman Marie va nous donner des grâces de persévérance.

Jésus nous a donné un chapelet et c'est la guérison de la chair, parce que notre chair refuse quelquefois des guérisons : elle a peur. Et il y a aussi les mouvements de vie. Mais nous en parlerons demain. Ces mouvements qui sont malades et qui viennent nous atteindre et qui viennent des autres, des autres chairs. On ne peut pas comprendre en une soirée ce que le Seigneur veut nous faire comprendre, mais nous savons que nous recevons des guérisons. Nous avons la paix et cette paix nous montre : "Oui, Seigneur, tu as pris soin de nous, tu vas toujours prendre soin de nous". Alors, ne nous inquiétons pas, lorsqu'il y a une guérison : "Merci, Seigneur". Amen.

Q. Puisqu'il est tellement facile qu'on nous mente, comment peut-on discerner si la souffrance vient comme conséquence de l'amour, comme conséquence de la peur?

R. La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Lorsqu'il y a une souffrance et qu'elle est accompagnée d'amour, inconditionnellement pour Dieu, pour toi-même et pour le prochain, cette souffrance t'amène à découvrir encore plus profondément l'amour de Dieu. Tu as l'impression de toucher à ce que tu n'avais jamais touché : à un amour pur, à un amour qui te montre que tu es aimé de Dieu, sans jamais chercher à savoir, mais à aimer. Ça, c'est la passion. Amen.

Alors, on va s'arrêter ici et demain, c'est à quelle heure demain? Sept heures, demain? Il n'y a pas de rencontres pareilles. Nos pouvons demander à Mary-Lyne. Ce que vous venez de recevoir a transformé ce que vous étiez avant d'arriver ici; alors, demain, c'est d'autres personnes nouvelles qui viendront, car Dieu nous aura renouvelés. Amen.

Alors, mon Père, est-ce qu'on peut recevoir une bénédiction?

Paroles de bénédiction en anglais par le Père. Amen.