Rencontre d’amour avec l'agir de Dieu à Edmonton, Alberta,

par son instrument, la Fille du Oui à Jésus.

 

2004-11-08 – Soir

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Jésus dit : «Je vais changer la face de la terre», et cela va se faire par la puissance du Saint-Esprit car, en chacun de nous, nous avons la puissance de Jésus.

Là où est Jésus, là est sa Mère; la Mère de Dieu est aussi présente avec chacun de nous en ce moment même; lors de la messe, (j’ai vu) Maman Marie qui se tenait en arrière de ses prêtres, un peu sur le côté droit : elle regardait chacun de nous en  bougeant sa tête de côté et (de) l’autre côté; et cela s’est fait au moment (où les prêtres ont donné) la bénédiction, au moment de l’action de grâces.

Jésus dit que sa Mère est en ce moment présente; elle nous donne des grâces d’abandon et d’obéissance à la voix de son Fils; elle nous prend dans son Cœur afin que nous puissions entrer dans le Cœur de Jésus : le seul refuge pour nous dans ces temps où il y a de la confusion.

Chacun de nous avons une mission : c’est de se donner pour ceux qu’on aime; par nous-mêmes, nous ne pouvons pas nous donner à ceux que nous aimons (comme) Dieu le Père le voudrait, parce qu’à l’intérieur de nous, il s’est infiltré des mouvements contre l’amour de Dieu, et nous souffrons de cela.

Dieu veut mettre la lumière en chacun de nous.

Il veut nous préparer à ce qui vient, il veut se servir de chacun de nous, il veut que nous devenions des enfants de la Divine Volonté pour les autres.

Il connaît chacun de nous, il sait que nous voulons n’être qu’à lui; il a choisi chacun d’entre nous ici ce soir, parce qu’il vous sait prêts pour ce qu’il veut vous faire entendre.

Alors Dieu me demande de fermer les yeux car lorsque je ferme les yeux, j’entends la voix de Jésus à l’intérieur de moi; c’est comme si je n’étais plus moi-même : lorsque je parle comme en ce moment avec les yeux ouverts, c’est par la force de l’Esprit Saint que je me donne, afin que tout de moi ne soit pas ce que moi je suis : un être dans sa volonté humaine.

C’est par la puissance du Saint-Esprit que je m’abandonne en sa Divine Volonté; il n’y a rien qui vient de moi, tout vient de la Divine Volonté parce que le Fils écoute le Père.

 

Jésus : Je crie dans vos cœurs de vous abandonner, je veux que vous pénétriez en vous, mes enfants; ces moments sont des moments choisis dans toute l’éternité.

Je veux vous faire comprendre ce qui se passe autour de vous, je veux vous faire comprendre ce qui se passe en vous.

Lorsque vous êtes troublés, lorsque vous êtes dans la confusion, je donne la lumière à ceux qui veulent voir, je fais entendre ma Parole à ceux qui veulent entendre, et à celui qui refuse de voir et entendre, qu’il demeure dans son aveuglement et dans sa surdité : le temps m’appartient, il n’appartient pas à votre monde, à moi seul de savoir ce que mon Père veut pour vous.

Parce que ce monde a écouté la volonté humaine, ce monde est entré dans une très grande confusion.

Peu ont abandonné tout d’eux pour ne vouloir que Dieu; peu ont connu l’abandon : abandon total et absolu en tout ce que Dieu veut pour l’être humain.

Lorsque Dieu veut laisser passer sa Volonté, Dieu choisit des êtres humains : il les transforme lui-même afin qu’ils soient totalement en sa Volonté; il leur ferme les yeux à ce monde, il les rend sourds à ce monde, suivant les pas du Christ.

Mes enfants, je veux vous apprendre à être tout pour moi,

je veux vous arracher des mains du Troubleur.

Satan s’est attaqué à mon Église, Satan s’est attaqué à tous les membres de mon Église : il est venu la nuit semer le trouble, il est venu mettre du désordre dans le cœur de mes enfants afin qu’ils puissent être à son écoute : le pouvoir de Satan est au-dessus de tout ce que vous pouvez imaginer.

Les enfants qui ont foi en moi, en mon amour, ne craignent pas le Troubleur, car ils savent que Dieu est au-dessus de lui.

À celui qui veut entendre, qu’il entende; la voix de Dieu se fait entendre à vous par la Volonté de l’Amour, rien ne sera négligé pour vous : tout vous sera appris.

Depuis le commencement de ce monde, vous avez été dans un mouvement contre Dieu : c’est le mal qui vous habite.

Le mal en vous n’est pas de Dieu, il est un mouvement qui n’appartient pas à votre être; vous êtes faits d’amour, vous n’êtes pas faits pour le mal, mais le mal vous habite à cause du péché de la désobéissance.

Il est contre vous, il est contre la création de Dieu; le mal en vous ne veut pas de Dieu : son maître, c’est Satan.

Dieu vous fait connaître ces choses afin que vous acceptiez de voir ce qui vous habite.

Le mal est un mouvement qui fait le contraire de l’amour.

Il vous amène à faire des actions contre Dieu, contre vous, contre votre prochain; le mal veut contrôler votre vie, il veut prendre une place en vous, il veut se rendre maître de votre vie intérieure afin de contrôler vos pensées, vos paroles et vos actions.

Lorsqu’il contrôle vos pensées, lorsqu’il contrôle vos paroles et vos actions, vous êtes à la merci de Satan; mais lorsque vous, mes enfants, vous savez que le bien vous habite et que le bien écoute Dieu, en vous un mouvement contre le mal se fait : vous faites taire le mal.

Vous avez ce pouvoir en vous de ne pas écouter le mal, mais à cause de votre volonté humaine, vous êtes tellement faibles devant les attaques du mal parce que vous manquez de foi en Dieu : Dieu est en vous, c’est lui qui est la vie en vous, il est au-dessus de tout.

Vous devez donner votre vie à Dieu afin que Dieu vous protège de vous-mêmes; Dieu va vous faire avancer là où vous ne pensiez pas aller : Dieu va faire la lumière en vous.

Vous qui ne pensez pas à être lumière, Dieu va créer des mouvements à l’extérieur de vous afin que vous puissiez réaliser ce qui se passe en vous : tranquillement, vous allez vous apercevoir de la puissance qu’il y a en vous.

Depuis que cet instrument s’abandonne, je donne des enseignements afin que les enfants de Dieu se retrouvent : vous vous êtes perdus dans un monde imaginaire, dans un monde faux, plein d’erreurs, vous avez cru aux mensonges, vous vous êtes divisés : en vous, vous avez tellement souffert; tout votre être s’est penché vers le mal, et combien ont laissé pénétrer en eux le Diviseur, le Trompeur!

L’esprit du mal a fait de vous des êtres qui ont peur.

Vous devez croire que Dieu est avec vous, que Dieu vous protège; vous devez croire que vous êtes des enfants de Dieu et que Dieu ne peut quitter ses enfants.

Comprenez ce que je veux vous enseigner ce soir, mes enfants : vous êtes choisis pour aider vos frères et vos sœurs.

Je veux vous transformer en des enfants de la Lumière pour eux, je veux que vous quittiez ce que vous êtes et entriez dans ce que mon Père veut que vous soyez : des êtres abandonnés entre les mains de Dieu, des êtres qui disent oui à Dieu sans condition, des êtres d’amour, assoiffés d’amour, des êtres faits pour n’écouter que Dieu, se bouchant les oreilles à ce monde, fermant les yeux à ce monde.

Je suis la Parole, je suis la Vie, à moi de faire de vous des êtres d’abandon.

Je suis le Verbe et j’accomplis la Volonté de mon Père : rien ne viendra de vous, tout viendra de la Divine Volonté.

La Divine Volonté est un mouvement de lumière, la Divine Volonté est tout ce que vous pouvez concevoir et tout ce que vous ne pouvez pas concevoir, mais qui existe.

Lorsque vous regardez le ciel, vous y voyez une couleur bleue lorsqu’il fait jour et pourtant, au-delà de cela, il y a la vie encore; au-delà de cela, il y a la présence de Dieu partout où vos yeux ne peuvent pas se poser, et cela est depuis toute éternité : réalisez la petitesse de votre être dans cette éternité.

Tout mouvement appartient à la Divine Volonté, il n’appartient pas à vous : que la Divine Volonté cesse et vous, vous n’êtes plus; tout mouvement est la Divine Volonté et vous faites partie de ce tout : voilà pourquoi vous ne ferez rien de vous-mêmes, vous laisserez tout à Dieu.

La Divine Volonté va vous transformer et vous, vous n’aurez qu’à prononcer votre oui.

Ce monde a besoin de vous, mes enfants; je vais vous transformer en enfants de lumière, en enfants abandonnés dans la Divine Volonté afin d’aller vers eux : vous serez des instruments pour eux.

À ceux qui veulent écouter, ils donneront beaucoup car Dieu multipliera leurs actions, multipliera leurs paroles dans un mouvement infini; cela apportera beaucoup à vos frères et vos sœurs; l’impact que cela aura dans leur vie sera au-dessus de ce que vous pouvez imaginer.

"Un jour, un Enfant vint en ce monde, il prit tout en lui : toute action, toute pensée, toute émotion; tout ce qu’il était était dans un mouvement d’amour car il pénétrait l’infini; il entrait dans tout ce qui était créé, il pouvait voir l’agir de Dieu.

Toute création s’inclinait devant sa Présence, car la création reconnaissait cet Être d’amour qui venait de Dieu le Père : il était le Fils de Dieu le Père.

Les êtres créés virent cet Enfant, certains reconnurent l’Être divin qu’il était; en adoration devant cet Être d’amour, ils chantaient à Dieu leur reconnaissance de leur avoir accordé leur espérance.

Cet Enfant grandissait en grâce, en lumière, en joie, en bonté, en tendresse; l’obéissance, dans laquelle il était, était une joie pour ceux qui le regardaient; là où il était, beaucoup se réjouissaient de sa présence.

Un jour, il parla au nom de son Père : il fit connaître la Volonté de Dieu le Père à ses parents; Marie, la Vierge bénie, écoutait ses paroles et se réjouissait en son Cœur; par humilité, devant le monde elle demeura la Mère de cet Enfant, mais son être s’inclinait intérieurement devant son Dieu d’amour, devant sa Volonté.

Joseph, le père choisi de Dieu le Père pour être père sur la terre, reconnut l’obéissance; son humilité augmenta devant la grandeur de ce qui était devant ses yeux, car la Divine Volonté l’enveloppa de son amour.

Et l’Enfant-Dieu grandissait comme Dieu le Père le voulait jusqu’au jour où il partit, quittant son lieu d’amour pour aller parler aux enfants de Dieu : il choisit ceux qui devaient le suivre.

Tout ce qu’il était, était de Dieu le Père : il ouvrait les yeux à ceux qui voulaient voir, il donnait la connaissance à ceux qui voulaient l’entendre; mais ceux qui s’approchaient de lui avec orgueil, ils ne virent rien, ils n’entendirent rien, car ils étaient couverts d’orgueil de la parole qu’ils avaient apprise.

Ils étaient devenus comme des temples vides, ils connaissaient ce qui était des lois de Dieu, mais tout en eux : rien n’était vrai, car ils ne se nourrissaient pas de la Volonté de Dieu le Père.

Leurs cœurs s'étaient endurcis à cause du pouvoir, ce qu’ils étaient n’était pas la Volonté de mon Père et le Fils leur fit savoir ce qu’ils étaient devenus; mais ils n’ont pas voulu écouter la voix de l’amour, ils ont commencé à former des plans contre moi, le Fils de Dieu; ils voulaient faire taire la voix qui criait l’amour car ils ne voulaient pas se plier aux lois de mon Père; ils ne voulaient pas croire en l’amour qui sortait de moi, et ils ont été contre eux-mêmes : c’est contre eux qu’ils travaillaient et non pas contre la Volonté de mon Père, car la Volonté de mon Père était au-dessus d’eux.

Alors Dieu fit sa Volonté car Dieu le Père connaissait ce qu’ils étaient pour faire à son Fils, il était en leur présence; et parce qu’ils se voulaient dans ce qu’ils étaient, ils ont crucifié le Fils de Dieu : par amour pour tous ceux qui devaient se donner à la Divine Volonté, la Divine Volonté a accepté ce mouvement qui était de crucifier le Fils de Dieu, car ce mouvement était les vôtres : mouvement d’amour qui enveloppa tous vos mouvements contre l’Amour".

Ce mouvement était la Divine Volonté.

Vous avez été dans ce mouvement, vous avez été dans la Divine Volonté, et le monde a connu ce qui vient car j’enseignais ce qui était pour arriver : trois ans avec mes apôtres, trois ans à vivre avec eux, trois ans leur montrant et leur enseignant ce qui était pour venir.

Vous, vous étiez les enfants de l’avenir : vous étiez présents en moi; chaque parole était pour votre vie, chaque parole était pour la vie de tous ceux qui avaient déjà été, chaque parole était pour tous ceux qui viendraient après vous, car c’est la Divine Volonté qui parlait.

C’est la Divine Volonté qui, en ce moment, vous parle et je parle pour ceux qui seront; tout est en moi : à moi seul de vous faire connaître la Volonté de mon Père.

Vous êtes dans ce mouvement d’amour et parce que vous acceptez d’entendre : ouvrez vos yeux, ouvrez vos oreilles en disant : "Oui, me voici".

Voilà que je parle pour chacun de vous : «Tu es à moi, tu n’appartiens plus à ce monde parce que tu as dit oui. Une grande vague se présente à toi et je te fais monter au-dessus de cette vague; bientôt, je vais balayer la surface de la terre et tous ceux qui seront au-dessus de cette vague demeureront sur la terre.

Toi et les autres, vous serez appelés enfants de la Divine Volonté : tu seras enfant de la Divine Volonté.

Et cette vague qui passe dans ta vie, c’est moi qui l’ai préparée pour toi; elle a été en moi avant même que tu sois, elle te fait connaître l’amour de mon Père.

Le monde dans lequel tu vis ne croit pas en moi : on va essayer de te convaincre que cela est faux, on va essayer de te montrer le contraire.

N’aie pas peur parce que c’est moi qui te tiens au-dessus de la vague, je connais ton oui à l’Amour et, par ma puissance, je vais te faire avancer là où tu ne penses pas être capable d’aller; tu n’auras rien à faire mais seulement qu’à te laisser faire, car je ferai tout pour toi : tu prononceras tes oui à tous les jours; tu renonceras à ta volonté humaine en venant mourir en moi; ta foi en moi grandira; je te montrerai des mouvements intérieurs en toi.

Ce temps est voulu de mon Père pour toi; aie confiance en ce que je te dis, j’ai payé de mon Sang ta vie et tu as de la valeur à mes yeux.

Tout ce que tu es est pour moi; je ne changerai pas l’être que tu es, je le transformerai afin que tu sois parfait.

Tu es appelé/e à être un saint sur la terre, à être une sainte sur la terre, parce que tu es fait pour la pureté.

Tu n’écouteras que le bien et je ferai taire le mal en toi, et plus tu t’abandonneras, et plus le mal ne sera plus présent dans ta vie, car il craint ma présence, il craint ma force.

Je vais t’apprendre que tu es en moi et que tu n’as pas à craindre le mal en toi; toute influence de Satan ne t’atteindra plus, tu n’auras plus peur de lui ni de ses acolytes.

Ce monde de noirceur dans lequel tu as consenti à vivre ne sera plus pour toi, parce que tu as consenti à me donner tout de toi, tu vivras dans la lumière : ma lumière est pure, ma lumière est sécurisante.

Tu n’auras rien à craindre, je prendrai soin de toi en tout; tranquillement, ta confiance en moi sera absolue : c’est tranquillement que je ferai cela pour toi.

Je respecterai l’être fragile que tu es, je ne te demanderai pas ce que tu n’es pas capable de m’offrir; je mettrai en toi des grâces de force, des grâces d’obéissance en ma Volonté.

Tranquillement, tout ton être se transformera en un être d’amour, car pour être un être de la Divine Volonté, il faut que tu sois un être d’amour.

Tout ce que tu as connu sera pour toi des moments de purification; durant tes journées, il y aura souvent des moments de purification, car tu apprendras; je parle pour toi, j’ai écrit pour toi : tous ces enseignements vont t’aider à connaître ton intérieur.

Vois l’importance que tu as pour moi : tu es unique; chaque partie de toi deviendra lumière; crois et tu verras car je prépare ta gloire.

Mon Père a glorifié le Fils et je te glorifierai, tu seras par moi dans cette lumière.

Il faut que tu sois dans l’obéissance et dans l’abandon; les jours qui vont suivre ce jour seront des joies pour toi; tu accepteras ta souffrance comme tu ne l’as jamais acceptée, car ta souffrance se changera en grâce pour toi et elle se changera en grâce pour ceux qui sont en toi et que tu aimes; ces grâces sont pour toi et sont pour ceux que tu aimes, et pour ceux que tu ne connais pas et qui sont en toi aussi.

Bientôt, tu connaîtras un monde nouveau, un monde fait de l’amour de Dieu, un monde que j’ai moi-même payé de mon Sang; car à moi seul de changer ce monde, à  moi de faire de chacun de vous un être d’amour, un être comme mon Père veut : crois en ce que tu entends parce que Dieu, mon Père, t’a choisi.

Ne regarde plus ce monde, car il ne peut plus t’apporter ce que tu veux maintenant; car depuis que tu es en ce monde, on ne t’a jamais parlé ainsi; on ne pouvait pas te parler ainsi, car on ne connaissait pas ton intérieur; c’est moi qui connais tout de toi et c’est moi qui vais te transformer : donne à Dieu ce qui est à Dieu : toi.

Maintenant, reçois des grâces par mes prêtres, mes choisis; par leurs mains consacrées, je vais passer et t’envelopper de mes grâces d’amour.»

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Tout cela est au dessus de ce que nous pouvons imaginer; c’est parce qu’à l’extérieur de nous, nous regardons un monde qui est très agité; mais lorsqu’on s’arrête un instant et qu’on entre en nous, là on commence à croire que Jésus peut tout pour nous.

Dieu est venu sur la terre, Dieu nous a donné des enseignements d’amour pour nous; ces enseignements sont vivants, ils font partie de notre vie quotidienne; mais ces enseignements sont en nous : c’est en entrant à l’intérieur de nous que nous commençons à regarder ce que Dieu veut qu’on voit.

Si nous consentons à laisser toute la place à Dieu, c’est là que nous commençons à voir ce qui s’est passé et nous commençons aussi à voir tout ce qui nous a échappé.

Nous avons besoin d’amour, nous avons besoin de l’amour de Dieu pour aimer nos frères et nos sœurs.

Dieu le Père nous a donné des commandements par Moïse et le premier : «Aime ton Dieu de toute ton âme, de toutes tes forces, de tout ton esprit et de tout ton cœur», et celui qui vient après est d’autant plus grand, c’est : «Aime ton prochain comme je t’ai aimé» : ce sont les paroles de Jésus qu’il nous a enseignées dans l’Évangile.

Nous sommes rendus en l’an 2004 et nous n’avons pas encore vécu ce premier commandement : c’est parce qu’il faut mourir en Jésus; il faut apprendre à entrer en nous et laisser toute la place à Jésus; si nous ne le faisons pas, nous n’apprendrons jamais à aimer Dieu le Père comme il veut qu’on l’aime.

Nous disons aimer Dieu le Père, mais c’est avec nos fragilités, avec nos faiblesses, nos tentations au mal que nous aimons Dieu; voilà pourquoi nous sommes dans la douleur.

Lorsque nous n’avons pas obtenu quelque chose : nous critiquons Dieu.

Ceux qui le critiquent n’ont pas foi en Dieu parce qu’ils mettent en question l’amour de Dieu qu’il a pour eux; s’ils mettent en question l’amour de Dieu qu’il a pour eux, c’est parce qu’ils ne l’aiment pas de tout leur être, de tout leur cœur, de tout leur esprit.

Nous nous débattons sans cesse pour aimer Dieu, alors que cela doit être naturel en nous; cela devrait faire partie de nous comme l’air qu’on respire : nous devrions aimer Dieu sans condition envers et contre tout.

Lorsque nous voyons des inondations, lorsque nous voyons des guerres, lorsque nous voyons des famines, nous devons continuer à aimer Dieu de toutes nos forces, nous devons jamais avoir une idée comme : "Mais, pourquoi Dieu fait-il cela?"

Si nous avons des idées de la sorte, c’est parce qu’en nous il y a tellement de blessures, il y a des peurs, des doutes, des manques de confiance en Dieu; parce que l’homme a nourri en lui ces sentiments envers Dieu, le Tout-Puissant, il a lui-même fait en sorte que cela se produise.

Cela, Dieu le Père ne le veut pas pour nous parce qu’il nous aime plus que nous pouvons l’aimer et que nous pouvons nous aimer : il nous aime jusqu’à nous donner son Fils unique, l’Être de son Être.

Dieu est tout, et il nous a donné son Fils; il nous a regardés avec les yeux de l’amour, il nous a contemplés avec les yeux de l’amour : tout ce qui était en Dieu n’était que de l’amour pour nous, et nous, nous avons levé nos yeux vers le ciel, nous avons tourné notre regard vers Dieu pour lui dire notre mécontentement.

Même si nous n’avons pas prononcé les mots, même si nous n’avons pas crié vers Dieu, nous avons quand même eu des doutes, des sentiments, et Dieu, lui, l’a vu, l’a connu; mais Dieu est si amour, il n’a pas cherché à nous changer par la force, il a été patient envers nous.

Continuellement, il nous a envoyé des êtres qui voulaient aimer Dieu au-dessus de tout, et eux nous parlaient de l’amour de Dieu, eux nous disaient d’écouter Dieu.

Il nous suppliait, Dieu, de l’aimer.

Un Dieu qui nous supplie de la sorte est un Dieu plein d’amour pour nous, et nous, nous ne l’avons pas compris.

À cause de notre entêtement, à cause de notre manque d’amour envers Dieu, envers le premier commandement de Dieu, nous avons failli envers l’Amour, envers ce que nous sommes nous-mêmes parce que nous sommes amour.

À l’intérieur de nous, il y a le souffle de Dieu; lorsqu’il l’a insufflé en Adam, cela n’est jamais sorti d’Adam et toute création qui est chacun de nous, nous avons ce même souffle en nous.

Alors lorsque nous doutons de Dieu, lorsque nous réprimandons Dieu, mais c’est nous qui faisons cela : à nous-mêmes; lorsque nous nous réprimandons, lorsque nous nous négligeons, eh bien, le mal en nous se réjouit : il nous donne des sentiments contre nous-mêmes.

Nous ne sommes pas à la hauteur de Dieu : nous ne méritons pas d’être amour; nous ne faisons pas ce que Dieu nous demande.

Voilà ce que le mal fait en nous; toutes ces paroles viennent du mal en nous, et nous, nous croyons en ces paroles.

Alors nous manquons envers l’amour du prochain; lorsque nous manquons envers l’amour de Dieu, nous manquons envers nous-mêmes : nous manquons aussi envers notre prochain.

À l’intérieur de nous, il y a tous les enfants de Dieu; Jésus est en nous, Jésus est la Vie; alors, lorsque ces paroles sont en nous, eux aussi les entendent.

Ces paroles nuisent à notre vie sur terre.

Lorsque nous manquons d’amour, nous manquons de grâces, car nous coupons le mouvement de Dieu pour nous.

Dieu veut, quotidiennement, nous nourrir de son amour, mais il ne peut pas nous obliger à nous nourrir de ses grâces d’amour.

Alors lorsque nous manquons envers nous-mêmes en disant des paroles comme : "Je n’ai pas confiance que Dieu va m’accorder ce que je lui demande", alors nous formons un pont entre ses grâces qui veulent pénétrer et nous-mêmes : nous manquons de grâces et eux aussi en manquent.

Voilà pourquoi nous avons fait beaucoup de péchés depuis que le monde est monde.

À cause de tous ces péchés qui sont en nous, l’homme a souffert dans sa chair.

Les pensées qui ne sont pas amour nous rendent dépressifs, nous rendent coléreux : la colère nous nourrit plus facilement; alors notre comportement devient ce que nous sommes à l’intérieur.

Voyez-vous, tout vient de l’intérieur, alors ça sort à l’extérieur; c’est pour ça que nous avons des colères, c’est pour ça que nous avons des mouvements de jalousie, d’hypocrisie, de paresse, d’envie; nous voulons aussi, sans nous en rendre compte, dominer les autres.

Si nous manquons d’amour à l’intérieur de nous, nous qui sommes amour, nous allons vouloir en avoir pour nous; nous allons être portés à aller le chercher chez les autres : on va obliger les autres à nous donner ce qu’il nous manque à l’intérieur de nous.

Pourquoi? Parce que nous sommes faits d’amour.

Nous avons besoin d’amour pour vivre, alors nous allons chercher de l’amour à l’extérieur pour le laisser entrer en nous : pour nous combler, mais l’amour ne peut pas être à l’extérieur : c’est Dieu qui donne l’amour, ce n’est pas ce qui est à l’extérieur.

Ce n’est pas avec l’argent que nous allons avoir de l’amour en nous, ce n’est pas avec tout ce qu’on peut se procurer de matériel, ce n’est pas en nous donnant des plaisirs que nous allons avoir l’amour à l’intérieur de nous, ce n’est pas en cherchant à contrôler ceux qui sont comme nous que nous allons arracher de l’amour d’eux pour le laisser entrer en nous : l’amour, c’est Dieu, c’est lui qui veut nous nourrir de ses grâces d’amour.

Voilà pourquoi Jésus veut nous apprendre à fermer nos yeux à l’extérieur de nous et les ouvrir à l’intérieur de nous.

Il veut nous faire découvrir la source même qui est en nous; c’est Jésus la Source de l’amour, c’est de lui que découle l’amour; Jésus a tout reçu de son Père : tout ce qu’il a reçu, il veut nous le donner.

Voilà pourquoi Jésus est venu sur la terre : pour nous enseigner l’amour.

Il veut nous donner ce que nous avons besoin pour vivre, pour être heureux, (pour) avoir confiance en son Père; il veut que l’amour entre en nous parce que c’est notre Père qui nous donne notre pain quotidien; à chaque jour de notre vie, Dieu le Père nous nourrit par son Fils, et cela est pour nous.

Mais si nous continuons à regarder le monde, si nous continuons à ne pas entrer en nous, nous allons continuer à vivre avec les péchés, avec tout ce qu’il y a autour de nous.

Mais Jésus nous dit que cela va bientôt s’arrêter, voilà pourquoi il fait entendre sa voix; il veut nous apprendre comment entrer en nous pour être prêts pour ce qui vient.

Jésus est venu pour accomplir la Volonté de son Père; maintenant, c’est à notre tour d’entrer en nous, en Jésus, pour faire la Volonté de son Père afin que tout s’accomplisse.

Celui qui ne fera pas la Volonté du Père ne pourra plus demeurer sur la terre : ceux qui croient à tout cela sont des êtres qui veulent s’abandonner entre les mains du Fils de Dieu; ceux qui ne croient pas à ce qu’ils entendent, ceux-là continuent à vivre dans leur incrédulité jusqu’au moment où Dieu, lui-même, décidera de les faire entrer en eux.

Dieu ne fera pas cela sans qu’eux en soient avertis.

Personne ne pourra dire qu’il n’a pas été averti par Dieu, parce qu’il va transformer des enfants de la Lumière en enfants de la Divine Volonté, et ces enfants de la Divine Volonté vont parler : ils vont enseigner en Jésus et non pas en eux; c’est Jésus lui-même qui va enseigner et cela se fera par la puissance du Saint-Esprit, parce que Jésus dit : «Vous êtes mes membres, vous êtes ce que moi je suis; je vais me servir de mes membres qui se sentent vivants afin qu’ils puissent connaître ce qui est de mon Père, car tout ce qui sera, sera de la Volonté du Père et non pas de la volonté des hommes»; voilà pourquoi Dieu parle dans ces rencontres, Dieu fait connaître ce qui vient.

Beaucoup ont entendu, beaucoup se sont laissé transformer.

Lorsque nous entendons le mot beaucoup, cela est de la Volonté de Dieu parce que Dieu connaissait tous ceux qui étaient pour être présents lors des rencontres : tous ont été appelés, mais peu sont venus; parce qu’ils ont refusé, Dieu a respecté leur choix; alors Dieu enverra des enfants vers eux, ce seront ceux qui ont été dans sa Volonté divine.

Cela n’est pas à nous de savoir le moment où nous serons prêts pour aller vers eux; ce qui est présent, c’est ce qui doit être.

La Divine Volonté est un mouvement présent; la Divine Volonté est en tout ce que nous, nous ne pouvons concevoir; la Divine Volonté contient le tout de Dieu parce que la Divine Volonté est Dieu, et nous devons faire ce que la Divine Volonté nous dit de faire : vivre notre vie au présent afin de nous protéger contre nous-mêmes.

À vouloir savoir ce que va être demain, nous nous mettons dans des conditions qui ne sont pas amour pour nous, parce que nous devançons la Volonté de Dieu; alors, lorsque nous nous mettons devant Dieu, eh bien, nous sommes seuls avec nous-mêmes, parce que nous sortons de nous-mêmes.

Dieu nous veut en nous; il veut que nous apprenions à aller chercher tout ce qui nous est nécessaire à tous les jours à l’intérieur de nous.

Lorsque nous entrons en nous, nous gardons tout simplement le silence et nous disons à Jésus : “Me voici”, et tout se fait par Dieu : c’est Dieu qui fait tout ce qu’on est.

Depuis trois ans, je dis constamment mes oui à Jésus; c’est lui qui a transformé ma vie et je n’ai rien fait, j’ai tout simplement prononcé mes oui et tout s’est accompli; j’ai reçu des grâces de la Sainte Vierge et elle m’a nourrie, tout comme elle veut nous nourrir en ce moment.

La Mère de Dieu veut accorder à chacun de nous des grâces; elle demande à ce que nous entrions en nous en fermant nos yeux.

 

Marie, Mère de Dieu : Enfants d’amour, laissez à Dieu faire de vous des êtres d’amour; apprenez à vous abandonner entre les mains de mon Fils; ce n’est pas à vous d’accomplir ce que le Père veut pour vous, c’est à mon Fils.

La Mère de Dieu est en la Divine Volonté; tout mon être s’est laissé envelopper dans le mouvement de l’amour.

Avant même que je sois en ce monde, tout mon être était enveloppé de la Divine Volonté; je recevais tant de grâces, mes enfants, tout mon être se laissait dans ce mouvement d’amour : la Mère de Dieu est pour vous un exemple d’amour.

Soyez des petits enfants et écoutez la voix de votre Dieu en vous.

Mes enfants, le temps presse, il faut faire ce que Dieu vous demande; tout a été préparé pour chacun de vous.

Il vient le temps où le mal sera devant vous, il vient le temps où chacun de vous, vous devrez prendre une décision; par mes grâces, mes enfants, vous serez prêts pour ce qui vient; par les grâces de mon Fils, vous obtiendrez la force de dire non au mal.

Mes enfants, je vous enveloppe de mon manteau d’amour; je déverse sur vous des grâces d’abandon, je vous donne, mes enfants, de l’amour; j’ai porté en mon sein l’Amour, je vous ai portés tous en moi.

Faites ce que mon Fils vous dit de faire : détournez votre regard de ce monde, il n’est plus pour vous; soyez obéissants à notre demande.

Mes enfants, il est important que vous vous gardiez purs; allez vers mes prêtres, allez vers mes choisis : les sacrements sont pour vous des grâces; soyez fidèles à la messe du dimanche; le chapelet, mes enfants : dites votre chapelet et faites les méditations, cela est grâce pour vous; portez les sacramentaux, ne négligez pas cela; aimez-vous, aimez-vous, mes enfants;

demandez-moi des grâces d’humilité, il est très important de demeurer humble, car l’Orgueilleux veut faire de vous des enfants désobéissants.

La Mère de Dieu vous demande, mes enfants, de vous tenir prêts pour ce qui vient : soyez obéissants envers vos frères et envers vos sœurs qui vous demandent de prier pour les prêtres; soyez obéissants envers l’Église, fidèles en tout à la sainteté de Jean-Paul II : tout ce qui est saint, mes enfants, plait à Dieu.

Mon Fils vous a demandé d’être tout attentifs à la Volonté de Dieu le Père, votre Père, mon Père du Ciel.

Je suis la Fille bien-aimée du Père, en moi j’ai reçu beaucoup de grâces; je veux vous accorder beaucoup de grâces, mes enfants : demandez, mes enfants, demandez; n’oubliez pas de demander pour ceux qui ne demandent pas.

Votre Maman vous bénit, mes enfants.

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Maintenant, nous avons reçu beaucoup de grâces; Dieu me demande d’être obéissante et d’aller chercher les écrits qu’il m’a fait écrire.

Dans un premier temps Dieu me parlait, je n’écrivais pas ce qu’il me disait; c’était comme des enseignements pour moi, de l’abandon, parce qu’en premier, je ne croyais pas à tout ce qui m’arrivait, c’était trop grand pour moi.

Malgré tout ce que je voyais à l’intérieur de moi, malgré tout ce que je voyais à l’extérieur de moi, il y avait toujours ces doutes qui m’habitaient; il fallait que j’apprenne à renoncer à ma volonté humaine, mais je ne le pouvais pas de moi-même, ce sont les grâces qui m’aidaient.

Parce qu’avant que j’ouvre les yeux le matin, j’entendais la voix de la Sainte Vierge qui me demandait ma volonté humaine et aussi la volonté humaine de tous mes frères et sœurs du monde entier; alors je les lui donnais, et elle me bénissait, et elle me donnait des grâces de la Divine Volonté, qu’elle me disait; elle me donnait beaucoup de grâces d’abandon.

Lorsque mon mari est décédé, le 4 mars 2001, des grâces m’ont été accordées; pendant un mois de temps, je recevais des grâces; je les ai tout inscrites d’ailleurs sur un calendrier, parce que lorsque je recevais ces grâces-là, je recevais des enseignements qui étaient en rapport avec ces grâces et c’était tellement beau; cela transformait ma vie : je ne vivais que de la Parole, je ne respirais que par ce que j’entendais.

Tout autour de moi n’avait plus d’importance, je vivais l’absence de mon mari avec les grâces de la Sainte Vierge; j’ai eu une grâce qui est pour moi absolument merveilleuse : celle d’entendre mon mari.

J’entends continuellement mon mari aussi; il me parle, mais c’est en ce qui concerne ce que je vis et pas en dehors de ça; je ne lui pose jamais de questions, seulement en ce qui concerne ce que je dois savoir.

Jésus m’a dit : «Ma fille, tu entendras, mais ta chair souffrira parce qu’elle n’oubliera jamais la relation qu’elle a eue avec celle de ton mari» : cela veut dire que je ne peux pas oublier mon mari; il est toujours présent avec moi et je souffre souvent parce que je m’ennuie de la façon qu’il était avec moi, lorsqu’on se promenait, lorsqu’on déjeunait : tout cela ne s’oublie pas en moi.

Mais je vis plus, maintenant, de mon intérieur avec lui; il est en Jésus, il me parle souvent de ce qui concerne la vie en Dieu : c’est une union qui se fait, mais dans la pureté, dans la sainteté de Dieu.

Nous avons besoin d’amour parce que nous sommes faits d’amour;

nous avons besoin de Dieu parce qu’il est en nous et que nous, nous sommes en lui.

Toutes ces paroles sont comme vivantes en moi parce que dans les premiers temps, ce n’était que de l’amour que j’entendais, il fallait que ce soit ainsi parce que Dieu voulait m’expliquer que seul l’amour nous fera entrer dans la Divine Volonté.

Jésus dit que nous, nous avons eu un lavage de cerveau : nous avons tout appris sauf ce qu’est l’amour; nous avons utilisé le mot amour, mais pas pour nous apprendre qui nous étions; l’amour pour nous devenait physique, devenait quelque chose d’absolu, mais pour contrôler l’amour; alors que l’amour, c’est libre; l’amour, ça donne; l’Amour, c’est Dieu.

Il y a tellement d’amour dans le livre I qu’on ne peut pas trouver une seule phrase sans que le mot amour y soit inscrit.

Jésus m’a fait écrire cela, seule chez moi; il disait : «Tu n’as pas à sortir parce que tu es à moi et parce que tu t’abandonnes, beaucoup de grâces sont données», et il disait : «Un jour, tu verras ce que tu as accordé à ton Dieu».

Il disait comme ça : «Parce que tu as donné de toi-même, j’ai pris de toi-même pour le donner aux autres», parce qu’il disait : «Tu ne peux pas être amour sans donner»; alors, j’ai entendu souvent Jésus et je l’entends encore : «Donne, ma fille; donne, ma fille»; alors je suis devenue pour Jésus un don et je n’ai fait aucun effort pour le faire parce que je ne savais pas comment et je ne méritais pas d’être un don, non plus : le don vient de Dieu, pas de nous; nous n’avons aucun mérite, mais nous l’avons par Jésus.

Voilà pourquoi nous devons nous donner, parce que Jésus l’a gagné de sa Vie; il nous a gagné notre vie, alors nous la lui devons.

Jésus est tellement amour qu’il nous donne sa propre Vie, alors nous avons beaucoup à gagner : nous lui donnons un rien et il nous donne un tout.

Tout cela je l’ai appris parce que j’ai écouté la voix de Dieu :

il a écrit le premier volume avec des mots d’amour.

Lorsque je fus amour, il me donna des écrits aussi pour chacun de nous : dans le deuxième volume, il parle de ce que nous sommes devenus à cause de la volonté humaine.

Il ne dit pas cela avec des reproches, il nous montre une lumière que nous, nous n’avons jamais vue à l’intérieur de nous : cette lumière éclaire notre intérieur et éclaire aussi l’intérieur de nos frères et de nos sœurs.

Parce que lorsque nous apprenons pourquoi nous sommes en colère, nous apprenons aussi pourquoi eux autres aussi sont en colère, alors nous apprenons à nous aimer et nous apprenons à aimer les autres.

Voilà ce qu’est le deuxième volume :

une nourriture pour notre intérieur et une nourriture pour nos frères et nos sœurs.

Parce que Jésus dit comme ça : «C’est moi qui vais t’apprendre, c’est moi qui vais te donner des grâces.»

Chaque mot qui a été écrit, je les ai entendus et je les ai écrits dans l’obéissance; je ne savais pas écrire, je n’avais pas eu d’instruction assez pour écrire des livres, là.

Parce que les premiers temps, je disais à Jésus : “Jésus, tu t’es sûrement trompé parce que moi je n’étais pas bonne à l’école; demande-moi de faire quelque chose avec mes mains, là je suis bonne parce que j’ai été gardienne, coiffeuse, et j’ai été dans la rénovation avec mon mari : on a démoli pour reconstruire"; alors Jésus me disait : «Sois obéissante et fais ce que je te dis».

Alors j’ai reçu beaucoup d’amour et j’ai découvert la tendresse du Père : le mouvement de l’Amour; vous savez, quand on est marié et qu’avec notre mari on a des relations, mais lorsqu’on fait ça dans la volonté humaine, il y a quelque chose qui nous dit que ce n’est pas tout à fait comme il faut : là, on fait le mouvement de l’amour et on a honte du mouvement de l’amour, parce qu’on a toujours pensé que ce n’était pas correct; c’est à cause de notre volonté humaine, nous avons en nous des mouvements qui nous ont appris que faire l’acte sexuel n’était pas correct.

Satan a réussi à faire entrer cela en nous; alors nous avons cru à cela et nous avons fait ces mouvements dans la honte; comme nous avons eu honte de cela, nous avons voulu nous cacher devant Dieu; alors nous sommes devenus des êtres qui ont abusé de ce mouvement d’amour : nous sommes devenus esclaves de nos sens, alors que Dieu nous avait créés en être d’amour.

La femme est faite pour recevoir (la vie) et l’homme est fait pour donner le germe de la vie afin de redonner à Dieu son mouvement d’amour; nous n’avons jamais compris ce mouvement d’amour qui est de Dieu : voilà ce que Dieu m’a appris dans le troisième volume.

Comme j’aurais voulu que cela soit lorsque mon mari était vivant; mais Dieu m’a fait découvrir aussi un autre mouvement : celui d’être avec lui pour l’éternité devant la face de Dieu, de rendre grâce à Dieu pour cette union d’amour en le louant, en l’aimant, en l’adorant; ça, c’est un mouvement éternel, c’est un mouvement qui va combler notre vie en Dieu; le bonheur que nous ressentirons dépassera notre entendement, mais pour arriver jusque-là, nous devons aussi aider nos frères et nos sœurs.

Beaucoup ont souffert du manque d’amour, alors ils ont été vers d’autres personnes du même sexe qu’eux.

Dieu nous en parle pour qu’on puisse les aider, pour qu’on puisse les aimer comme des êtres d’amour, des enfants de Dieu.

Dieu nous a dit : «Aime ton prochain comme je t’aime»; c’est ce qu’il nous apprend à faire dans ces volumes : nous devons entrer dans la Divine Volonté, nous devons renoncer à tout le mal que la volonté humaine a fait de nous.

C’est avec tendresse et amour que Dieu m’a fait écrire tous ces livres et que j’ai entendu sa Volonté; lorsque j’écoutais Jésus, j’écrivais ce qu’il me disait : tout cela s’est accumulé, j’avais beaucoup d’écrits.

En 2004, en janvier, Jésus m’a dit : «C’est le dernier volume que tu écris»; j’ai dit : "Jésus, tu as écrit pour plus que quatre volumes?" Il a dit : «Oui, ma fille»; j’ai dit : “Sept volumes au moins, Jésus”; il a dit : «Plus que cela, ma fille, plus que cela!»

Il m’a expliqué : «Tu étais trop petite, il fallait que tu sois à l’école de l’amour afin que tu sois obéissante pour ce que tu dois écrire», parce que j’entendais des mots à l’intérieur de moi, des paroles qui me parlaient de l’enfer, de ce qui s’en vient, de la Grande Purification.

Il fallait que je pénètre l’amour et que je vive l’amour afin d’écrire ce que j’entendais : cela a été très difficile d’entendre que certains de nos frères et de nos sœurs vont dire non à Jésus; lorsqu’on entend qu’il y en a qui vont aller en enfer parce qu’ils vont cracher au visage de Jésus, et lorsqu’on entend ce qui va leur arriver : cela ça fait mal.

Lorsque j’écrivais, non seulement j’écrivais, mais je ressentais ce que j’écrivais, et quelquefois je voyais : je voyais ce qui était pour se passer; ça été très difficile, mais avec les grâces de Marie : elle était tout le temps là et elle disait : «Ma fille, sois obéissante» et elle me frottait et elle me disait : «Je te frotte le dos avec un baume d’amour»; alors là, je pouvais respirer un peu mieux et je pouvais continuer à écrire.

Lorsque j'ai commencé, on était rendu à tel numéro, parce que ça se suit d’après des dates : mettons qu’on est rendu à la fin de janvier : il fallait que j’aille retrouver les écrits de la fin de janvier et que je les mette devant mon écran d’ordinateur, parce que des personnes que Jésus avait choisies m’avaient aidée à mettre tous les écrits dans l’ordinateur; alors, lorsqu’il a commencé, je me suis placée et il m’a dit : «Place-toi en bas et écris ce que je te dis.»

Alors il a parlé et j’écrivais : une page, deux pages, trois pages, quatre pages; alors il a dit : «Maintenant, va au commencement et mets en noir jusqu’au moment où je viens de te faire écrire et supprime».

Sur le coup, j’ai dit : “Ah! Jésus, je ne peux pas faire ça.” C’était comme si c’était nous qui partions, là, devant l’écran; c’était tous nos écrits qui étaient là; alors il a dit : «Fais ce que je te dis»; alors je l’ai fait.

Il y avait un autre écrit d’une autre date qui suivait : il faisait encore la même chose; il a fait aussi la même chose avec les autres écrits; si bien que tout le volume IV : c’était comme s’il venait de tout l’écrire; alors le quatrième volume a été écrit en quelques jours dans le mois de janvier 2004.

Tout cela c’est pour nous : ce sont des écrits qui nous préparent à ce qui s’en vient; tout ce que vous entendez vient en moi par la puissance du Saint-Esprit : ça aussi nous prépare à la Grande Purification; on ne peut entrer dans la Grande Purification, pas tout seul, il faut entrer avec tous ceux qui sont en nous.

Alors, demain, nous partons et nous allons à Winnipeg pour faire une autre rencontre et d’autres vont suivre, jusqu’au moment où Dieu décidera de me laisser à la maison.

Il dit : «Tu n’es pas près, ma fille»; alors, tout pour Dieu. Merci, Seigneur d’amour; merci, à chacun de vous.

 

Les personnes qui n’étaient pas présentes hier et celles qui y étaient ont reçu le signe de la croix sur le front par le sacerdoce des prêtres présents.