Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Guillac, France,

par son instrument, la Fille du Oui à Jésus.

 

2008-03-05 – P.M.   Partie 2 

 

♪♪♪   Je te cherche mon Dieu

 

♪♪♪ : La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Entends la voix de tes enfants, ô Dieu d’amour, et viens nous consoler. Ils sont dans un pays où la souffrance est si grande. On veut dominer ce pays? Rien ne les empêche de chanter leur amour pour toi. Regarde, ô Dieu d’amour, leur fidélité. Ne permets pas que la volonté humaine continue de les faire souffrir.

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Je vais me présenter comme Dieu veut que je me présente. Dieu a choisi une personne comme vous afin d’être fidèle à sa Volonté. Mon nom est Francine Bériault.

Alors, je viens du Canada et je demeure dans la province de Québec. Je porte le nom de mon mari, malgré qu’il soit décédé le 4 mars 2001.

Juste deux mois avant, j’ai entendu la voix de Marie à l’intérieur de moi et, quinze jours plus tard, la voix de Jésus. C’est une voix; c’est en moi et ça parle, alors j’écoute. Mais pour écouter, il a fallu que je reçoive beaucoup de grâces. J’ai reçu des grâces pour vivre dans l’abandon et cela n’est pas venu de moi. Ce qu’il a fait avec moi, il l’a fait avec le temps.

Je vivais tout comme les autres avec mon mari, mes enfants. Nous étions une famille unie. Je viens d’une famille de 13 enfants. Ma mère en a eu 14, mais le quatorzième est décédé. Nous étions une famille pratiquante, nous étions une famille qui avait appris à dire le chapelet avec le Cardinal Léger. Mais, avec les années, dans les années 70, nous avons comme détourné notre regard de Dieu pour le fixer sur ce monde, et comme nous avions beaucoup de souffrances en nous, en notre chair, alors on s’est perdus.

On a continué à aller à la messe, on a continué à élever nos enfants dans la religion catholique, mais nous avons arrêté de dire le chapelet : ce qui nous maintenait ensemble : c’est le chapelet qui unit la famille. Lorsqu’il n’y a plus de prière dans la famille : la famille se divise. C’est comme si Satan met une main sur notre cœur : il tient notre cœur entre ses griffes; alors, ça nous porte à nous retirer des uns et des autres.

Une fois qu’on vieillit, eh bien, on vit notre petite vie sans trop fréquenter nos frères et nos sœurs parce qu’eux aussi ont leur petite vie.

À 18 ans, j’ai rencontré mon mari. Lui, il venait aussi d’une famille de onze enfants catholique pratiquante. Alors, nous nous sommes rencontrés et nous avons uni nos vies pour ne faire qu’une seule vie. Mais cela a apporté aussi dans notre vie quelque chose qui n’était pas en nous, mais qui a pénétré en nous : je prenais ce qui était à mon mari et j’en faisais ma vie. Tout comme mon mari, il avait pris épouse, alors mes pensées devenaient ses pensées, ma façon de parler, de faire sortir de moi-même ce que j’étais devenait pour lui des connaissances et il acceptait. L’un et l’autre avons fait ça.

Alors j’ai vécu avec la souffrance de mon mari et mes souffrances, et mon mari a fait de même, et nous avons eu trois enfants. Ce que nous avons donné à nos trois enfants, c’est ce que nous avions accepté dans notre vie avant le mariage et ce que nous avions accepté dans notre vie après le mariage. Alors, ce que nous étions : enfants de souffrance, nous l’avons donné en héritage à nos enfants, malgré que nous ayons toujours amené nos enfants à l’église.

Nous leur avons montré la religion catholique. J’enseignais même à mes enfants le catéchisme parce que l’une de mes sœurs, la deuxième, qui était comme ma deuxième maman, avait essayé d’entrer trois fois religieuse, mais elle tombait toujours malade; alors, elle revenait vers nous, mais elle nous maintenait devant Dieu.

Lorsque nous avons une personne habillée en jupe noire, blouse blanche, avec un petit manteau et un foulard noir sur sa tête, avec la grosse médaille sur sa poitrine, et qui nous rappelle que Dieu est toujours dans notre vie, cela nous maintenait droits devant Dieu. Mais à cause de nos souffrances, il y en a qui, dans ma famille, se sont comme dit : "Oh! c’est trop ça!" Ça leur rappelait qu’ils devaient toujours être droits dans leur vie, qu’ils ne devaient pas aller vers d’autres femmes, ne pas aller vers d’autres hommes. Tout cela pour vous dire que je vivais dans une famille de souffrances.

Mon mari aussi vivait dans une famille de souffrances, mais la fidélité entre les couples a toujours été présente. L’un de mes beaux-frères, il y a plusieurs années, était dans la souffrance (ainsi que) son épouse, alors ils ont décidé de se séparer. Mon beau-frère a toujours été fidèle à Dieu, mon beau-frère a toujours gardé sa voie sur le chemin de Dieu malgré ses défauts. Sa mère a vécu dans la souffrance parce que son mari a été, lui, dans une très grande souffrance; incapable de supporter tout cela, il a vécu, lui, dans une autre vie avec ce qu’il avait choisi. Elle, elle a toujours été fidèle. Cela a donné une force à son enfant. Ce qu’il a été témoin, il l’a vécu. Aujourd’hui, c’est difficile. On est beaucoup tentés, aujourd’hui, à vouloir bifurquer. Tous (nous) avons des sens qui ont été développés par Satan, mais lui a toujours voulu être devant Dieu. Lui aussi a eu des tentations, mais il disait : "Je suis marié." Tout cela pour vous dire que nous vivons dans la souffrance continuelle et nos enfants vivent cela.

Combien de nos enfants se séparent parce que l’un ou l’autre – nous ne disons pas la femme de notre enfant, c’est l’un et l’autre – sont dans la souffrance. Alors, nous devons apprendre à prier, nous devons apprendre à donner leurs souffrances à Dieu.

C’est ce que Dieu m’a enseigné depuis 2001. Ça fait depuis 2001 que j’entends et que je fais la Volonté de Dieu avec l’aide de l’Église. Sans l’Église je ne serais pas ici aujourd’hui.

J’ai mon Père spirituel : Clément Provencher. Il prie pour moi. Justement, hier, Nicole a envoyé un courriel. C’est par Internet, au Canada, et elle en a reçu (un) quelques minutes après, nous informant que le Père Clément, mon Père Clément, nous mettait sur l’Autel pour qu’on reçoive beaucoup de grâces du Canada et de la France. Dieu est partout et Dieu nous maintient dans ses grâces.

Nous allons avancer dans la Purification. C’est la mission du Seigneur, ce n’est pas ma mission, je n’ai rien à faire là-dedans. Ce qu’il me demande : «Abandonne-toi et moi je ferai. Rien ne viendra de toi. Tu entendras au même moment que les autres. Tu te laisseras purifier au même moment que les autres. Tu apprendras ce que je veux leur apprendre au même moment que les autres.» C’est l’Église.

J’ai mes souffrances comme vous avez vos souffrances. Je suis en avant, mais vous êtes en avant de moi : il n’y a pas de différence.

Dieu connaît votre cœur, vous l’avez entendu tantôt, et il connaît mon cœur. Nous nous sommes comme mis en avant, tout le monde, pour les enfants du monde entier. Il n’y a personne de plus favorisé que les autres. Dieu ne veut pas que vous mettiez aucun messager sur un piédestal, car personne ne peut être mis sur un piédestal : personne autre que Dieu.

Si, aujourd’hui, nous avons des saints sur … Comment on appelle ça, mon Père, des tablettes? Oui, le vitrail et sur des tablettes? Des paniers!!! Alors ce n’est pas pour nous montrer qu’ils sont supérieurs à nous, c’est pour nous montrer qu’ils ont été des enfants abandonnés entre les mains de Dieu.

Ils ont eu leurs souffrances comme nous on a nos souffrances, mais ils ont eu confiance en Dieu et c’est ça que Dieu vient nous dire : «Ayez confiance. Ce que j’ai fait avec mes choisis, je vais le faire pour vous.»

Nous ne sommes pas dans une religion qui idolâtre les saints. Nous n’idolâtrons pas les saints, mais c’est comme si Dieu permet que nous soyons témoins de son amour pour nous. S’il a réussi à faire des saints avec des personnes comme nous, alors gardons l’espoir. C’est (de) cela que nous sommes témoins de l’agir de Dieu, de la Volonté de Dieu.

La Mère de Dieu est une personne, elle n’est pas Dieu, elle est une créature de Dieu. Elle a été créée, mais pas dans le même mouvement que nous; cela veut dire : nous, nous sommes venus avec une tache originelle. Marie, dès sa conception, était pure; dès sa conception, Marie était immaculée.

Savez-vous que Dieu avait tout vu qui nous étions? Dieu savait que nous étions pour tomber dans la tentation devant le Tentateur, mais il avait vu Marie : la douce Marie, Celle qui était pour prononcer son fiat avec son âme pure, avec la Volonté de Dieu et non pas avec sa volonté. Elle avait la volonté humaine et elle n’a pas été dans sa volonté humaine : elle est la seule.

Mais nous n’adorons pas Marie, nous remercions Marie, nous l’honorons, parce qu’elle est notre Maman par son fiat.

Elle porta Dieu : elle nous porta, alors nous devons honorer notre Mère. Quatrième commandement de Dieu : Honore ton père, honore ta mère. Honore ta maman afin que tu puisses vivre longuement, n’est-ce pas notre quatrième commandement de Dieu? Alors, nous devons honorer notre Maman du Ciel et de la terre. Combien plus nous vivrons longuement!

C’est notre droit d’enfants de Dieu, nous n’avons pas à nous abaisser lorsqu’on dit : "On ne donne pas la place à Marie". Levez la tête et dites : "Je te donne, Seigneur, mon frère ou ma sœur qui parle ainsi", car ils ne s’aperçoivent pas que Maman Marie les berce.

Moi, je ne le vois pas, mais je sais qu’elle le fait parce qu’elle me berce quand je pleure; elle me donne confiance lorsque j’ai besoin d’être consolé parce que mon enfant est seul, mon enfant est à la guerre : elle vient mettre un baume sur notre cœur. Alors, si elle le fait et qu’on le ressent en nous, elle le fait pour eux.

Un jour, Maman Marie, elle m’a raconté une histoire. Elle a dit : «Un jour, des enfants passaient devant un pommier et ils allaient se faufiler pour prendre une pomme. Un autre passait, puis il voulait faire ça. Alors, ils ne se demandaient pas à qui sont ces pommes, ils ne savaient pas qui était le propriétaire de ce pommier. Alors, un jour, ils le sauront. Ils sauront que c’est moi la propriétaire de ces fruits. Ce sont les grâces que je leur présente et qu’ils prennent sans savoir que cela est de moi.» Alors, elle m’a dit comme ça : «Maintenant, fais-moi une bonne tarte aux pommes.» Alors, je lui ai présenté tous mes frères et mes sœurs du monde entier, sans exception.

Quelque temps plus tard, quelques jours plus tard, je faisais une rencontre à Montréal et une personne est venue me voir en pleurant et elle a dit : "Merci, j’ai eu le courage de sortir d’une secte en lisant le Livre 1." C’étaient les Jéhovah : ils n’honorent pas Marie. Et voilà la tarte qui avait porté des fruits!

Nous ne savons pas ce que Dieu attend de nous. On n’a pas à savoir, on a seulement qu’à s’exécuter, à faire ce que la Volonté de Dieu fait. Si, à l’intérieur de nous, il monte quelque chose et (que) cela nous donne le goût de prier pour une telle personne : faisons-le; pour un tel groupe : faisons-le. Cela regarde le Ciel, cela ne nous regarde pas. Je n’avais pas à savoir, c’était pour qu’on puisse témoigner de l’agir de Dieu.

Maman Marie nous demande d’écouter son Fils : son Fils est Dieu. Maman Marie se tient près de nous afin que nous puissions profiter des grâces du Ciel. Maman Marie est la distributrice de toutes grâces. Elle n’est pas la propriétaire, malgré qu’elle se disait être la propriétaire de l’arbre, mais elle savait trop bien que ce n’est pas elle qui avait créé le pommier : c’était Dieu. Si Dieu voulait qu’elle soit la distributrice de ses pommes, elle, elle savait : elle savait que tout était de Dieu.

Alors, lorsque nous prions, nous devons savoir que tout est de Dieu; lorsque nous sommes en avant ou en avant (là-bas), nous savons que tout est de Dieu. Soyons à notre place devant Dieu, pas plus grand qu’un autre, pas plus important qu’un autre.

Nous sommes là sur la terre pour faire des œuvres, des fruits. Si nous voulons que nos fruits portent la grâce de Dieu, eh bien, demeurons à notre place, c’est-à-dire à la dernière place, là où nous serons avec ceux qui prient et qui ne demandent pas autre chose que d’être les instruments de Dieu.

Entre Dieu et nous, il y a tous nos frères et nos sœurs : à eux les premières grâces, pas à nous; à eux de recevoir et nous, nous prendrons ce qui nous reste.

C’est bien, mon Père? Alors, quatre heures, mon Père! Il est obéissant le Saint-Esprit, hein? Amen. Merci.