Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Indian Harbour (Melbourne), Floride,

par son instrument, la Fille du Oui à Jésus

 

2009-11-15 – Partie 1

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Il a fallu recharger les batteries, il a fallu que Nicole puisse s'ajuster avec l'appareil. Alors, chacun de nous, on est ainsi. On a besoin de notre Seigneur pour qu'il charge nos batteries et qu'il nous mette à son diapason. Comment se fait-il que le Seigneur soit obligé de toujours recharger nos batteries? C'est parce qu'on les épuise à force de penser. On est, nous les humains, obligés toujours, toujours, toujours de s'alimenter. Et nous, on s'alimente avec tout ce qu'il y a autour de nous : les revues, la télévision, les conversations. Alors, le Seigneur, il dit : «Vous vous épuisez avec votre volonté humaine. Alors, venez à moi, je vais vous redonner votre état d'enfants de Dieu.»

En ces temps, le Seigneur nous envoie Marie et il envoie un peu partout des messagers. Il n'y a que Marie qui n'ait pas besoin d'être rechargée. Tout enfant de Dieu a besoin du Christ, tout enfant de Dieu a besoin de se faire redire ce qu'il a oublié : «C'est moi ton Dieu, c'est moi ta Nourriture, c'est moi la Vie, la Vérité, le Chemin. Alors, pourquoi aller dans ce monde, pourquoi aller chercher ce qui te nourrirait, alors que moi j'ai tout pour toi?» Le Seigneur vient parler dans notre cœur tout doucement. Il le fait avec des mots d'amour, avec ce qu'il a déposé en nous, parce qu'il connaît chacun de nous.

Dieu sait ce que nous avons laissé entrer par nos pensées, notre regard, notre écoute, par nos paroles, nos actions et nos sentiments, à l'intérieur de nous. Il sait, notre Dieu d'amour, que ce qui nous fait peur nous éloigne de nous-mêmes. Tout ce qu'il y a en nous, c'est nous qui l'avons fait entrer par l'extérieur, et nous, nous essayons de fonctionner avec ce qu'il y a à l'intérieur de nous. Combien de fois nous avons eu peur, combien de fois nous avons douté, combien de fois nous avons recherché ce qu'on avait perdu? Oui, on a peur de ne pas trouver l'amour; oui, on doute qu'un jour on trouvera le bonheur. On doute de nous-mêmes, on doute de ce que nous sommes face à Dieu. Dieu nous a donné sa Vie. Dieu est venu sur la terre. Il est monté sur la Croix et il a apporté à la mort tout ce qui était contre nous, et nous doutons de nous-mêmes, nous doutons de ce que Jésus a fait pour nous. Nous sommes sauvés. Jésus nous a redonné notre état d'enfants de Dieu.

Pourquoi, tous les jours, on se bat continuellement pour avoir une place au soleil? On s'occupe de notre quotidien comme s'il était à nous. C'est Dieu qui prend soin de nous, c'est lui la Vie, ce n'est pas nous, on doit s'appuyer que sur lui. Remarquons ce que l'on fait. Lorsque tout va mal, on se débat, là; on se demande qu'est-ce que je vais faire demain, qu'est-ce qui va m'arriver. Lorsqu'on est bien fatigués, lorsque la maladie nous attrape, là, on s'arrête, puis on pense à Dieu. Là, on apprend, on apprend avec notre cœur blessé à lui parler : "Si tu es là, montre-le-moi. Si tu es dans ma vie, ouvre des portes!" Eh bien, c'est vers nous qu'on crie : 'Qui je suis moi? Qu'est-ce que je vais faire? Où je vais aller? Quel chemin je vais prendre?' Ce sont ces mots que nous nous disons lorsque nous parlons à Dieu, ce sont ces paroles que nous disons, mais comme on ne se connaît pas, on dit : "Seigneur, tu es là? Montre-le-moi!" Il est plus facile de dire ça à Dieu que de nous dire à nous-mêmes : 'Est-ce que je suis en moi? Est-ce que je suis vraiment vrai? Est-ce que je vais prendre le chemin qui m'est montré?' Ça, c'est difficile de se parler ainsi. Oui, on s'est perdus, mais une fois perdus, on ne s'est plus retrouvés; alors on crie, on accuse, on condamne, on doute toujours de Dieu.

Lorsqu'il y a des guerres, des épidémies, lorsqu'un enfant vient au monde avec le sida, lorsqu'on meurt d'un cancer, on est toujours là en train de demander : "Jésus, tu permets ça?" C'est vers nous qu'on crie maladroitement, c'est vers nous que nous tournons notre regard : 'J'ai rien compris, je n'ai rien vu de ce qu'est ma vie. Si j'avais su ce qu'était ma vie, je me regarderais et là, je trouverais des réponses à l'intérieur de moi pour me demander : Dieu, qu'est-ce que je dois faire?' Alors, à cet instant, Dieu répondrait : «Laisse-moi ta vie, je vais te montrer. Combien de fois tu as eu des pensées et tu ne savais même pas d'où venaient tes pensées? Qu'est-ce qui a fait que tu as eu des pensées? Qui a nourri tes pensées? Quelle est cette alimentation qui te donne tout le temps, tout le temps des pensées? Regarde ce que tu lis, regarde ce que tu regardes, écoute ce que tu écoutes, et tu réaliseras que tout ce qui est extérieur, tu l'as fait entrer en toi.

«Voilà ta nourriture. Voilà ce qui t'a alimenté et depuis toujours. Tu as en toi les pensées de tes ancêtres, tu as en toi les pensées que tu as façonnées depuis que tes yeux regardent, tu écoutes et dis tes paroles. Lorsque tu faisais des actions, lorsque tu ressentais, c'était une nourriture pour tes pensées. Tu ne peux pas te séparer de toi-même; alors, regarde ce qui t'a nourri. Aujourd'hui, tu t'étonnes de voir un monde sans foi; aujourd'hui, tu t'étonnes de voir les guerres sur guerres, des épidémies, une terre qui commence à s'éteindre à cause de la pollution. Pourquoi t'étonner de tout cela puisque cela, c'est ce que toi tu es devenu? On a ouvert devant toi des images, on a mis devant toi des paroles, et cela est entré en toi si facilement. Que m'as-tu donné? As-tu pensé que moi j'étais le seul qui pouvait te nourrir? Es-tu venu à moi à chaque instant pour me donner tes pensées? As-tu pris le temps de t'arrêter et dire : "Dieu, toi qui es Esprit, nourris mon esprit et protège-moi de moi-même afin que je cesse de me polluer".»

On n'a pas fait cela parce qu'on ne le savait pas. Des années à avancer, des années, des siècles, des siècles, des siècles, à vivre sur la terre en ne sachant pas que Dieu attendait tout de nous. On s'est vendus au plus offrant pour vivre une vie aisée sur la terre. Aujourd'hui, on s'étonne, on s'étonne que ce monde pense pour nous. Ce monde nous dit à quelle heure se lever, comment manger, comme s'habiller, quoi faire durant notre journée, comment nous distraire, non pas pour nous, mais pour ce monde. Qui est ce monde? Ce monde est un esprit contrôleur, dominateur; ce monde n'est que mensonge, qu'hypocrisie; ce monde n'a que faire de nous. Tu viens au monde pour ce monde, et lorsque tu ne fais plus ce que ce monde attend de toi, eh bien, tu disparais pour que ce monde puisse continuer.

Nous appartenons à Dieu, nous appartenons à l'éternité, nous appartenons à la merveille de Dieu, et nous sommes éternels. Avant que nous soyons dans le sein de notre maman, nous étions. Une fois que nous serons, pour un temps, sur la terre, nous continuerons dans le Royaume de Dieu. Est-ce que ce monde peut nous donner ça? Non, parce que ce monde ne sait pas ce qu'il est dans la vie. Ce monde n'a pas de vie, ce monde n'est qu'existence. C'est comme un vent qui se présente : il fait tourbillonner tout ce qu'il y a autour de lui, et une fois qu'il a fini de s'étourdir, il disparaît, et continuellement il cherche à revenir. Ce monde est un esprit vide qui veut nous remplir de son vide. Lorsqu'il y a des pensées de ce monde, il y a en nous un attachement vers ce monde, alors il s'assure toujours de revenir.

Dieu, Dieu notre Créateur, il sait, lui, que nous sommes vivants, il sait que nous sommes à lui et que sa Nourriture est une splendeur pour nous. Dieu ne nous oblige pas à aller vers lui. Il nous a fait goûter à sa Vie. Une fois qu'on a goûté à la vie en Dieu, là, on ne peut plus se passer de la vie en Dieu parce qu'on vit, on goûte, on savoure, on avance, on grandit. C'est l'éternité sans cesse, sans cesse. Il y a de l'amour en nous sans cesse, on veut goûter tout le temps à cet amour. Mais ce monde, ce monde ne veut pas qu'on goûte à l'amour, ce monde veut qu'on consomme, qu'on consomme et qu'on consomme pour exister.

À l'intérieur de nous, nous avons laissé entrer l'esprit de ce monde. Nous sommes libres, mais tant que nous aurons les pensées de ce monde, nous serons des esclaves comme les Hébreux ont été esclaves des Égyptiens. L'Égypte voulait bâtir une cité : ce monde veut bâtir son monde de consommation, de pouvoir, de domination. L'Égypte, sous la gouverne du pouvoir qui n'est autre que Satan, maintenait les enfants de Dieu prisonniers par la force : ce monde moderne, sous le pouvoir de Satan, veut gouverner ce monde par la force. L'Égypte maltraitait les Hébreux sous le coup des fouets, des privations : le monde moderne a son pouvoir sur nous par la consommation : toujours nous maintenir en haleine avec les besoins qu'il nous a fait connaître. L'Égypte contrôlait la naissance; il avait pouvoir sur les femmes et sur les enfants : aujourd'hui, le monde contrôle les naissances et a pouvoir sur les femmes et les enfants. Voilà que nous découvrons que nous sommes esclaves.

Nous sommes enfants de Dieu, nous sommes libres. Nous n'avons pas le droit de demeurer aveugles. Les enfants d'Israël, lorsqu'ils ont été dans le désert, ils ont reproché à Moïse : "Pourquoi tu nous as emmenés ici? On mangeait, on avait de quoi manger, boire, et on avait des lieux pour dormir, ici, tout est aride." Aujourd'hui, est-ce que je vais me priver de ce que le monde veut me donner? Me priver de télévision? Me priver de mes revues? Me priver de mon luxe? Ce monde moderne me plaît! Il n'y a pas de différence entre eux qui étaient dans le désert et nous qui vivons dans notre désert. Tout n'est que contrôle.

Aujourd'hui, Dieu parle en nos cœurs pour nous ramener à la maison. Dieu parle en nos cœurs afin que nous puissions comprendre son amour pour nous. Dieu parle dans nos cœurs afin de nous faire réaliser qui nous sommes devant la puissance de Dieu. Dieu parlait à Moïse, à son peuple, pour atteindre leur intérieur. Dieu était présent avec eux, Dieu marchait avec eux. Dieu leur a donné ses lois d'amour afin qu'ils apprennent à s'aimer, afin qu'ils apprennent à aimer leur prochain devant Dieu, devant lui, devant l'Éternel. Dieu ne cesse de parler dans notre cœur par la Mère de Dieu afin qu'on apprenne, qu'on apprenne que ses lois d'amour sont imprimées dans notre cœur. Lorsque Dieu a écrit sur des pierres ses lois d'amour, il les a écrits sur notre cœur et les lois de Dieu sont toujours inscrites dans notre cœur. Il faut aller à l'intérieur de nous pour aimer ce que Dieu nous a donné. Là, nous pouvons le faire librement, mais viendra un temps où Dieu nous amènera là où nous devons être pour lire ses lois d'amour. Mais si nous ne nettoyons pas ce que nous avons laissé entrer à l'intérieur de nous, nous ne voudrons pas lire ces lois d'amour inscrites sur notre cœur.

Pour nettoyer nos pensées, il faut les donner à Dieu : "Oui, je te donne. Oui, je te donne mes pensées qui me font souffrir. Lorsque je pense à mon enfant, lorsque je pense qu'il a le cancer, cela me fait souffrir, alors, je te donne cette pensée. Je te donne la cause, je te donne mes choix, je te donne cette conséquence, elle est à toi." Et ce qu'on donnera à Dieu, Dieu le prendra, et Dieu nous redonnera ce qui est à nous : l'amour. Il nous montrera combien son Père nous a aimés jusqu'à donner son Fils par amour pour nous, et cela guérira, guérira des pensées malades, car nos pensées, ce sont des pensées qui ont peur, qui doutent, qui sont dépressives, qui ne savent pas comment regarder la beauté de notre intérieur. Il n'est pas normal que les enfants de Dieu soient dans des pensées qui les détruisent. Nous sommes faits pour créer parce que Dieu est notre Créateur. Nos pensées doivent nous donner continuellement de la nourriture, et cette nourriture doit être de l'amour.

Une pensée remplie d'amour est une pensée qui a confiance en Dieu : "C'est mon enfant, mais il est à toi. Il ne m'appartient pas, tu me l'as confié. Je sais que tu prends soin de lui comme tu prends soin de moi. Je sais que tu me regardes comme tu le regardes. Je sais que tu vas lui ouvrir les portes pour qu'il passe là où il doit passer. Oui, j'ai confiance en toi, j'ai confiance que tu vas être pour moi ma lumière comme tu vas être pour lui la lumière. Je sais que mon Père c'est ton Père, et que mon Père me donne ce qu'il y a de meilleur pour moi. Puisqu'il t'a donné à moi, puisqu'il t'a donné à mon enfant, de quoi aurais-je peur? Tu vas me donner la force que j'ai besoin, et cette force va couler en mon enfant parce que tu es la Vie, tu m'as donné la vie, ta Vie; et coule en moi cet amour qui coule en mon enfant. Que mes pensées soient des pensées d'amour pour que mes pensées nourrissent les pensées d'amour de mon enfant. Tu es la Chair Parfaite, la Chair Immaculée, tu m'as donné ta Chair. Ton enfant, ton choisi, tu l'as mis en mon sein en déposant le germe de la vie. Mon enfant, c'est ta Chair et tu prends soin de ta chair. Voilà ce que ma pensée est devant toi, ô mon Dieu."  

Dieu guérit nos pensées lorsqu'on lui donne nos pensées. Lorsqu'on est comme de tout petits enfants qui viennent au monde nus, mais entre les mains de Dieu, c'est ainsi que Dieu nous veut. Il n'en tient qu'à nous de donner nos pensées. Si en moi monte une pensée de jadis et que je la nourris au présent, je dois lui donner à Jésus : "Je te la donne. Je te donne causes, choix et conséquences"; alors Jésus va prendre cette pensée et il va nous donner de l'amour. L'amour, c'est la force, alors il nous donnera sa force. Nous sentirons la paix, la joie et l'amour en nous. Chaque instant de notre vie est important. Une pensée est importante pour Dieu, alors ne négligeons pas une pensée en disant : 'Ah, ce sera pour une autre fois!' C'est à cet instant que nous devons donner cette pensée qui monte en nous dont elle ne porte pas de joie, de paix et d'amour. Tout doit être pour nous un élan d'amour vers notre vie, parce que si nous continuons à faire ce que nous faisons, nous goûtons à notre mort constamment terrestre.

Et regardons ce qu'est notre vie sur la terre : elle n'est pas vivante, je m'épuise à travailler, je m'épuise à penser, je m'épuise à vouloir toujours faire plaisir aux autres sans penser à moi-même. Je suis l'amour de Dieu devant Dieu, alors je dois apprendre à m'aimer devant Dieu. Dieu ne me demande pas ce que je ne suis pas capable de lui donner, mais moi, est-ce que je me demande ce que je ne suis pas capable de me donner? Oui, on a fait, la plupart du temps, cela. On s'est demandé ce qu'on n'était pas capables de nous donner à l'instant où on vit : 'Oui, je suis fatigué, faut que j'aille me coucher, bien non, j'ai pas écouté mes nouvelles encore', toujours, toujours et toujours.

Chacun de nous, nous devons nous réveiller. Nous devons apprendre à vivre, mais chacun de nous on a des préoccupations dans notre vie. Est-ce que je suis vraiment prêt à vivre de cette nourriture? Est-ce que je suis vraiment prêt à prendre le chemin de ma libération? Est-ce qu'en ce moment, je ne suis pas en train d'entendre ce qui est une fantaisie? Eh bien, chacun de nous, nous portons cela en nous. Chacun de nous, nous sommes libres et Dieu connaît le moment où nous, nous serons prêts à répondre à sa demande. Jésus vient chercher chacun de nous là où nous sommes. Nous, on ne sait pas trop trop où on est rendus, mais lui le sait, alors faisons-lui confiance. Aujourd'hui, donnons seulement : "Seigneur, bon, me voilà. J'ai pas trop trop compris ce que tu viens de dire, mais c'est pas grave, je te donne mon oui."

Eh bien, Jésus, ça fait depuis qu'il est venu sur la terre qu'il nous a parlé ainsi. Là, il semble vouloir insister un tout petit peu, mais il a peut-être ses raisons que nous, nous ne connaissons pas. Aujourd'hui, nous avons été à l'église Saint-Joseph, je crois. Je n'ai pas compris l'homélie parce qu'il parle en anglais et moi en français. Mais ce que j'ai compris c'est : now, now, now. Ça, je savais que ça voulait dire : maintenant, maintenant, maintenant. Alors, c'est toujours au présent qu'on doit vivre. Et j'ai demandé à Nicole : "Qu'est-ce qu'il a dit?" Alors, elle a dit comme ça : "Il nous rappelait que notre vie est importante à l'instant, et qu'il faut toujours se préparer à vivre notre vie au présent comme si c'était la dernière journée." Et c'est ce que l'Église nous dit depuis longtemps. On a la tête dure, hein? On ne se prépare pas comme si c'était la dernière journée.

Mais Jésus nous dit : «Faites ce que vous avez à faire.» Alors, en fin de compte, faire ce que nous avons à faire, c'est vivre en Jésus au présent : "Oui, je pense à toi; oui, je te donne ma vie; oui, je te donne mon mari, mon épouse, mes enfants, mes petits-enfants; oui, je fais ce que toi tu attends de moi : que j'aime mon prochain plus que tout." Eh bien, en faisant ça, on s'assure un bon présent. Alors, s'il veut venir nous chercher, bien, peut-être après-midi ou ce soir, eh bien, il viendra. Est-ce qu'on serait prêts à ce moment? Il faut dire oui. C'est ce qu'il nous demande. Le Seigneur instruit les petits êtres que nous sommes par amour pour lui, par amour pour son Père, par amour pour le Saint-Esprit.

N'ayons pas peur de demain. Soyons sûrs que le Seigneur prend soin de nous : "Seigneur, là, ce que tu viens de me dire, j'suis bien prête à le vivre, mais j'suis pas rendue là encore, mais seulement parce que je dis oui, je sais que tu es là, que tu prends soin de cet instant d'amour avec toi."

Alors, on va s'arrêter un tout petit instant, puis on va poser des questions. On ne prendra pas de break.