Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Lengenfeld, Autriche,

par son instrument, la Fille du Oui à Jésus

 

2010-03-17 – P.M.  Partie 2

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Ce que vous avez entendu cet après-midi nous a ouvert le cœur à nous abandonner entre les mains de Dieu. Personne ne peut nous redonner notre état d'enfants de la Divine Volonté. Lorsque nous avons choisi notre volonté humaine, nous avons quitté la Divine Volonté. Il n'y avait que le Fils Jésus qui pouvait nous redonner notre état d'enfants de la Divine Volonté. Nous n'avons pas été créés pour vivre dans notre volonté humaine.

À l'instant où nous avons dit oui à la volonté humaine, nous nous sommes séparés les uns des autres. Nous avons été créés en un instant et nous avons tous été en Jésus. Mais à l'instant où nous avons entré dans notre volonté humaine, à l'instant où nous avons voulu et accepté de connaître la connaissance du bien et du mal, à cet instant, nous nous sommes séparés les uns des autres. En Jésus, nous avions la même pensée : la pensée de Dieu. Tout nous était connu. On se regardait et on savait : on savait que nous étions en Dieu, en Jésus. Notre regard était une nourriture pour ceux qui nous regardaient, notre joie était une joie pour les autres. Notre  vouloir d'adorer Dieu remplissait de joie notre être tout entier, car nous sommes créés pour servir Dieu, pour contempler Dieu et adorer Dieu.

Voilà qu'au moment où nous avons été dans notre volonté humaine, il a fallu choisir : 'Comment est-ce que je vais servir Dieu? Comment est-ce que je vais contempler Dieu? Comment est-ce que je vais adorer Dieu?' Nous étions dans nos interrogations. Lorsqu'on était dans la Divine Volonté, tout nous était accordé. Comme on voulait servir Dieu, on se donnait de l'amour et ceux qui recevaient l'amour redonnaient cet amour; ainsi, lorsqu'on se donne de l'amour, on sert l'amour, on est au service de l'amour. Lorsqu'en Jésus on voulait être tout pour notre Dieu, c'était ensemble : on avait la même pensée.

Avant le péché d'Adam et Ève, on servait Dieu. Lorsqu'Adam, dans la pensée de Dieu, a donné un nom à tout ce qu'il voyait, il servait Dieu. Dieu lui donnait sa connaissance et lui, il lui redonnait la connaissance qui était celle de Dieu. Lorsqu'Ève regardait la beauté des arbres, elle rendait à Dieu sa beauté, elle donnait à Dieu ce que Dieu lui donnait. Voilà ce qu'est être au service de Dieu. Lorsqu'Adam regardait Ève, il regardait Ève avec l'amour de Dieu; alors, Adam donnait, Adam donnait l'amour de Dieu et Ève recevait l'amour d'Adam qui était l'amour de Dieu. Lorsqu'Ève recevait, elle redonnait cet amour à Adam.

Dieu le Père, Dieu le Fils, Dieu le Saint-Esprit se donnent continuellement de l'amour. Adam et Ève se donnaient continuellement de l'amour, ils étaient en Dieu et ils donnaient l'amour de Dieu. L'amour de Dieu ne peut être inactif, il est toujours dans son mouvement. Lorsqu'Adam et Ève se regardaient et qu'ils se donnaient cet amour, c'est l'amour de Dieu qui donnait et qui recevait et qui redonnait : toujours ce mouvement d'amour. Nous qui étions en Jésus, dans la pensée de Dieu, nous étions en Adam, nous étions en Ève; alors, on était dans l'amour de Dieu, on recevait continuellement cet amour.

Lorsque nous avons tous été dans le refus à Dieu, là, la chair, la chair ne se souvenait plus, la chair se séparait. Adam ne connaissait plus la pensée d'Ève et Ève ne connaissait plus la pensée d'Adam : deux enfants de Dieu qui venaient de se séparer. Lorsqu'Adam et Ève se sont connus, ils ont eu des enfants. La chair de la chair de la chair mettait de l'amour sur la terre : l'amour de Dieu, mais chaque enfant maintenant était séparé de la pensée de Dieu. Caïn, Abel et tous les enfants d'Adam et Ève n'ont pu vivre dans la pensée de Dieu, ils l'avaient refusée, 'nous' l'avions refusée. La matière, la matière parfaite, la matière créée par Dieu, était dorénavant imparfaite. Lorsqu'Adam et Ève ont mis des enfants au monde, bien, c'était la chair, la même chair qui se multipliait.

Aujourd'hui, c'est encore cette même chair qui se multiplie. Cette chair est dans la souffrance parce qu'elle ne se reconnaît pas, elle ne se souvient plus. C'est Dieu qui choisit le moment où les chairs en Jésus doivent venir sur la terre pour s'accomplir, c'est Dieu qui choisit le moment où ses enfants doivent venir sur la terre. À l'instant où nous quittons la Présence, le 'je t'aime', à cet instant où nous prenons place en la vie pour la terre, la chair, la chair vit ses conséquences. Lorsque nous sommes en Jésus, lorsque nous sommes en la Matière Parfaite, la Matière Immaculée, lorsque nous sommes dans notre éternité que nous quittons afin de nous accomplir sur la terre, notre chair parfaite prend vie dans une chair imparfaite, et parce que nous avons consenti, nous vivons la conséquence de notre refus à demeurer dans la Divine Volonté.

Que se passe-t-il entre le moment de la perfection et le moment de l'imperfection? Notre chair connaît un passage et ce passage, c'est : "Je t'aime. Ta Volonté." La Volonté de Dieu a fait qu'on s'accomplisse sur la terre. Au moment où nous, nous prenons naissance en le sein d'une maman sur la terre, au moment où nous quittons la Présence, la chair entre dans sa chair qui a connu le non à Dieu, et notre chair reconnaît la chair imparfaite qui, à cet instant, a goûté à la connaissance du bien et du mal. Souvenons-nous que Dieu nous a fait savoir que tous nous avons dit non à la Divine Volonté. Nous avons donc goûté à un droit d'enfants de Dieu.

En Adam et Ève, il y a, dans la Divine Volonté, le passé, le présent et le futur. La chair d'Adam et Ève, dans la Divine Volonté, avait en elle toutes les chairs créées parce qu'Adam et Ève étaient en la présence continuelle de Dieu et ils se nourrissaient de la connaissance de Dieu. Nous, chairs créées, qui ne pouvons pas nous séparer de toutes les chairs créées, avons goûté à la Divine Volonté au moment où Adam et Ève ont été dans la Divine Volonté sur la terre. La chair, notre chair a connu ces instants, car la vie que nous avons reçue est éternelle.

Lorsqu'Adam et Ève ont décidé de choisir la volonté humaine : la connaissance du bien et du mal, cette connaissance, ce choix, se faisait connaître à nous. Avec le 'je t'aime' de Dieu, nous étions présents. On aurait pu dire, comme la Vierge des vierges, l'Immaculée Conception, non à cette désobéissance, mais notre choix a été de vouloir connaître nous aussi. Voilà pourquoi, lorsque nous sommes en présence d'une chair sur la terre et que nous grandissons en le sein, comme nous avons goûté à ce moment à ce consentement, notre chair se souvient et notre chair vit les conséquences de la désobéissance.

Dieu le Père : Enfants d'amour, ce que vous entendez, c'est votre vie. Lorsqu'on reconnaît que la vie que nous avons choisie est un choix connu de vous-mêmes, là, vous êtes prêts à écouter, vous êtes prêts à ouvrir votre intérieur. Les interrogations, mes enfants, que vous vous posez font partie de votre chair qui, elle, a toujours en elle ce besoin de connaître le pourquoi afin de choisir. Votre chair est esclave de ce qu'elle a voulu connaître : le choix. Voilà pourquoi vous entendez ces paroles et votre être réagit de par votre intérieur. Votre intérieur veut savoir où est sa place. Vous n'êtes pas faits pour vivre que de l'extérieur, vous avez été créés pour vivre dans le bonheur, dans la paix, la joie, l'amour. Vous êtes tous appelés à devenir ce que vous, vous étiez avant le péché originel.

Vous êtes les enfants de la Divine Volonté. Vous êtes créés pour agir, agir dans l'agir de Dieu. Ce que vous apprenez, c'est pour ce qui s'en vient : un monde d'amour où il n'y aura plus le mal qui va vous tenter. Laissez-vous instruire, laissez-vous entre les mains de la Divine Volonté. Il y a des guérisons en ce moment, il y a des chaînes qui tombent. L'ignorance, mes petits enfants, vous a maintenus dans la souffrance. Si Dieu, le Puissant, vous avait demandé de renoncer à votre volonté humaine il y a quelques années, vous auriez répondu non parce que vous êtes amoureux de votre liberté qui vous a enchaînés. Cette liberté, mes enfants, que vous connaissez est entre les mains de celui qui l'a enchaînée.

Oui, vous avez un droit d'enfants de Dieu. J'ai laissé en vous mon amour et mon amour vous a protégés. Vous avez marché sur la terre en être indépendants les uns des autres. Seul mon amour en vous vous maintenait ensemble. D'âge en âge, vous avez dû connaître vos souffrances, car à cause de votre indépendance les uns envers les autres, vous vous êtes fait souffrir. J'ai envoyé parmi vous des prophètes pour vous rappeler que mon amour était en vous. Je vous ai donné mon Fils bien-aimé et vous avez, enfants d'amour, été sous sa protection. Il est venu vous parler d'amour, il est venu vous parler de Celui qui EST. Le Fils du Dieu Vivant vous a parlé de vous aimer les uns et les autres, d'aimer vos ennemis. Et aujourd'hui, mes enfants, combien d'enfants disent ne pas aimer son prochain comme ils voudraient l'aimer, parce qu'ils ont de la difficulté à se pardonner. Tout enfant qui a de la difficulté à se pardonner, c'est qu'il a de la difficulté à comprendre ce vide qu'il a en lui : c'est son absence en la Divine Volonté.

Vous qui êtes créés pour la Divine Volonté, je vous appelle à vous reconnaître être de moi. Il va falloir, enfants d'amour, que vous regardiez votre souffrance avec amour et vivre votre souffrance ensemble. Vivre la souffrance avec amour, c'est accepter les grâces du Ciel; accepter les grâces du Ciel, c'est vous reconnaître être sous la protection de la Vierge Marie. La Vierge Marie, la Fille bien-aimée du Père, n'a cessé d'intercéder pour vous. Tout son être est le Fiat du Fils, tout son être est dans l'agir de Dieu, car l'agir, c'est l'amour. Lorsque vous vous accomplirez, petits enfants, vous obtiendrez de ma Fille ce que vous lui demanderez.

Ce temps vous amène vers un monde nouveau. C'est le monde que je veux vous faire connaître, et tout se passera par votre vie intérieure. Je ne viens pas vous montrer votre monde, je viens vous montrer votre vie. Votre vie est en vous, mon souffle est en vous, mon éternité est pour vous. Petits enfants d'amour, tous ceux qui ont un oui en eux, ils vont le vivre avec ma justice d'amour et ma justice d'amour, c'est de vous avoir purs comme moi, votre Père, je vous ai créés. Ce temps est le temps voulu par la Divine Volonté. La Présence a parlé.

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Chacun de nous, nous avons à écouter notre Dieu. Nous sommes à l'école de l'amour. Depuis 2001, le Seigneur parle en mon intérieur. Depuis 2001, j'entends la voix qui est en moi et qui se dit être la Divine Volonté. Chaque mot que nous avons entendu ensemble, je les ai prononcés en la Divine Volonté sans savoir ce que le mot suivant était pour être en moi. Je n'ai pas à le savoir, je n'ai qu'à m'accomplir. Nous sommes tous ensemble pour apprendre, et Dieu dit qu'il ne favorisera pas un plus qu'un autre. Il m'a dit : «Tu es dans une chair impure comme eux sont dans une chair impure. Je veux parler en mes enfants, ils ont faim et ils ont soif de vérité.»

Personne ne peut être dans la vérité que Dieu seul; personne ne peut parler de notre vie antérieure avec une telle lumière. Il n'y a que Dieu qui puisse nous dévoiler ce que nous, nous n'avons jamais connu sur la terre. Dieu seul va nous guider, il va nous amener dans un monde d'amour. Dieu dit que nous sommes les pionniers. Est-ce que nous allons entrer tous dans ce monde que le Seigneur nous parle? Je n'en sais rien, mais si c'est la Volonté de Dieu, que cela soit, et si c'est pour nos enfants, que cela soit. Mais nous avons les deux pieds dedans.

Nous sommes ensemble pour accomplir la Volonté de Dieu et non pas notre volonté humaine qui veut savoir : on veut savoir le futur, on veut savoir ce qui va nous arriver demain, demain et après-demain. À l'instant où nous faisons cela, nous sommes dans notre moi. Arrêtons-nous et demandons-nous : "Toi, Maman Marie, si tu écoutais cela, que ferais-tu?" Maman, l'humble Marie, elle ne dirait rien. Maman Marie savait, elle savait ce qui était pour arriver à son Fils et elle vivait le présent. Si notre bonne Maman du Ciel avait voulu toujours interroger Dieu, elle aurait fait souffrir son Fils, son Dieu, son adorable Enfant. Lui, il s'accomplissait et elle, elle devait aussi s'accomplir au présent. Notre Mère est un témoin d'amour; alors, nous devons aller vers elle pour obtenir des grâces d'obéissance, d'abandon.

Depuis 2001, je reçois à tous les jours des grâces d'abandon. Lorsque, le matin, je n'ai même pas ouvert les yeux et j'entends le Seigneur : «Je t'aime. Reçois des grâces d'abandon, sois obéissante, fais ce que je te demande», et je dis oui. Je ne lui demande pas : "Qu'est-ce que tu vas me demander?" Je m'abandonne. Et c'est depuis 2001 que, tranquillement, le Seigneur m'a transformée. Il a transformé l'être que je suis et ceux qui ont été autour de moi aussi en ont reçu les effets.

J'ai trois enfants et j'ai six petits-enfants, et mes enfants voient une maman qui s'abandonne entre les mains de Dieu. Au début, ils ont dit : "Papa est décédé, mais on a aussi maman qui n'est pas avec nous, car on a perdu notre maman. Elle ne vit plus comme les autres, elle ne parle plus comme les autres." Mais avec mes 'je t'aime' que le Seigneur me faisait connaître pour eux, ils ont, eux aussi, reçu des grâces. Au tout début, lorsque le Seigneur me donnait des visions, avant même que je sache qu'il m'avait choisie pour entendre sa voix, j'en parlais beaucoup à mes enfants. Et lorsque j'ai entendu le Seigneur, au tout début, au tout début, bien, je disais les merveilles que le Seigneur faisait pour moi, en moi, par la Parole; cela les effrayait et ils étaient portés à regarder cela de loin. Et Jésus m'a montré que c'est lui qui était pour les transformer et non pas la maman : par l'intérieur, le Seigneur allait les chercher.

Aujourd'hui, on en parle, on parle de l'amour de Dieu, mais ils ont leur quotidien. Il y en a une qui a une garderie, l'autre, elle a choisi d'élever ses deux petits enfants; elle est à la maison pour élever ses enfants et ils ont leur petit train-train, mais ils savent maintenant qu'ils peuvent compter sur les grâces du Ciel. Et pourtant, je n'étais pas là pour toujours les évangéliser, parce que depuis quelque temps je vais ici, je vais là, je vais ici, je vais là. Dieu nous demande de donner nos enfants, Dieu nous demande d'être des parents, des témoins Ils en ont assez de notre volonté humaine.

Le monde leur apprend par la télévision, par la  radio, les journaux, ce qu'ils doivent faire et ils vivent dans un stress. Ils courent à tous les jours pour faire comme tout le monde et ceux qui ne font pas comme les autres sont pointés du doigt. Ce qu'ils veulent, c'est de l'amour; ce qu'ils veulent, c'est être vrais. Voilà pourquoi ils sont portés à regarder cette technologie. Ils découvrent dans cette technologie ce qu'eux ne sont pas capables d'analyser, parce qu'elle est toujours en train d'évoluer : elle avance, elle avance et elle avance et eux courent, courent, courent, courent après, et comme ils courent, ils courent, ils courent, ils s'étourdissent.

On leur a montré, nous, les parents, comment courir. On leur a dit : 'Fais ceci, fais cela, ne fais pas ci, ne va pas là.' On leur a imposé nos souffrances, on leur a montré comment vivre dans la peur; alors, ils se sont mis à douter, à douter au bonheur. Si on s'interrogeait, si on se demandait un instant : 'Est-ce que je crois au bonheur éternel? Est-ce que je crois que là où Dieu m'attend, je vais être heureux?' On peut se tricher et dire : 'Mais non, mais non, moi, j'ai pas pensé ça!' Votre chair le sait et votre chair le montre au prochain et nos enfants voient. Voilà pourquoi Dieu vient parler en notre intérieur et il nous dit : «Vous ne pourrez pas vous tricher de l'intérieur», car le Saint-Esprit se charge de nous montrer ce que nous avons accepté dans notre vie et qui a fait souffrir tous les enfants de Dieu. Une fois que nous regarderons nos souffrances avec les grâces de Dieu, il y aura des guérisons, des libérations et nos enfants se laisseront transformer. Dieu sait ce qu'il fait.

Tous les enfants inscrits dans le Livre de la Vie sont des oui. Nous sommes le Oui du Fils de Dieu : «Ta Volonté, Père, pas ma Volonté.» Il avait pris notre volonté humaine, toutes nos souffrances, nos douleurs, nos mauvais choix. Il les avait pris comme si c'était lui qui avait tout vécu ce que notre volonté humaine nous a fait faire, et lorsqu'il a dit à son Père : «Ta Volonté, pas ma Volonté», c'était nos êtres en lui, en sa Volonté, qui criaient : "ta Volonté, Père." Voilà notre oui, mais il faut le connaître, il faut l'aimer, et plus nous allons connaître ce que nous avons fait, avec les grâces de Dieu par la puissance du Saint-Esprit, plus il y aura des guérisons, des libérations. On ne passera pas d'un monde de souffrance à un monde d'amour avec ce que nous avons en nous, il faut lui donner à Jésus, c'est lui qui a tout pris.

Voilà pourquoi il faut donner à Jésus : causes : "Je te donne ce mal, je te donne tous les tentateurs, ils sont les péchés, car je ne suis pas péché, eux sont le mal; je te donne les choix". Tous les choix qui ont été contre Dieu, tous les choix qui ont été contre nous, tous les choix qui ont été contre notre prochain, nous les donnerons à Dieu. Le Saint-Esprit va faire en sorte de nous faire connaître nos mauvais choix; là, nous les donnerons à Dieu. Nous ne garderons plus ce que nous, nous avons prononcé et qui a été une flèche contre nous, nous les donnerons à Celui qui veut nous guérir, Celui qui veut nous libérer, car nous ne voulons plus de ces conséquences. La maladie, les séparations, les guerres, tout ce qui est dans notre vie et qui fait souffrir tous les enfants de Dieu, ce sont des conséquences; alors, nous devrons les donner à Dieu, mais il ne faut plus être aveugle.

Dieu nous demande : «Portez vos frères et vos sœurs. Ne dites pas : lui a violé, moi je n'ai pas violé; lui est menteur, moi je ne suis pas menteur.» Nous avons tous choisi la volonté humaine et, avec cette volonté humaine, nous avons choisi. Qu'un seul ait fait un mauvais choix, eh bien, il l'a fait en la chair de la chair, de la chair, de la chair jusqu'à tous les enfants du monde. Alors, pouvons-nous nous séparer de qui nous sommes? C'est comme si on se disait : 'Bien, ma main, je la coupe', parce que ma main se souvient de ce que mon autre main a fait. Nous devons être ensemble pour vivre ce temps de purification. Eh bien, nous avons à nous accomplir, et cela ne se fera pas du jour au lendemain. Quand il faut donner causes, choix et conséquences? C’est lorsque nous sommes incapables de nous changer. Ce qui nous rappelle que Dieu nous a aimés tels que nous sommes. Alors laissons à Dieu ce qui est à Dieu.

J'ai la manie de parler trop vite et cela nuit à mon prochain : "Je te donne causes, choix et conséquences", ce qui va faire qu'on ne se jugera plus, nous allons garder notre paix, notre joie, notre amour. Parce que qu'est-ce qu'il arrive lorsqu'on se juge? Nous sommes une nourriture, et comme nous sommes une nourriture, nous nourrissons toutes les chairs. Et nous nous étonnons lorsque nous entendons notre enfant se dire : 'Je ne vaux rien, je ne veux plus vivre!' Lorsqu'on s'abaisse, on devient une nourriture impropre aux autres; alors, au lieu de s'abaisser, donnons à Dieu : causes, choix, conséquences. Aussitôt qu'on voit la colère monter en nous, n’allons pas jusqu'au bout de notre colère qui veut sortir : "Je te donne ça, Seigneur, causes, choix et conséquences." Et cela est pour tout ce qui nous a enlevé la paix, la joie et l'amour. Dieu est là pour nous guider en ce moment. Ce que nous avons été, c'est une porte ouverte aux tentateurs.

Seigneur, il est quand même dix heures moins vingt! On ne peut pas apprendre ces enseignements en un seul soir, et le Seigneur a bien pitié de notre chair qui a froid!

Le Seigneur nous a envoyés ici, en Autriche. Nous ne le savions pas, Nicole et moi, que nous étions pour venir ici, mais le Seigneur, il a dit : «Je veux parler à mes enfants qui parlent allemand.» Nous allons avoir d'autres rencontres d'amour comme celle-ci. Pour ceux qui ne pourront pas être présents, ils vont pouvoir avoir ces enregistrements. Il faut s'en nourrir, il faut faire la Volonté de Dieu, et c'est le temps, c'est le temps où nous devons faire.

Vous avez eu beaucoup de messagers, vous avez lu beaucoup de messages. Si vous ne vous accomplissez pas dans ce que le Seigneur demande, le temps va continuer son cours et la Grande Purification de la Chair aura lieu, et nous verrons tout ce que notre pensée, notre écoute, notre regard, nos paroles, nos actions et nos sentiments ont accepté. Mais Dieu vient parler dans notre cœur afin qu'on puisse être dans cette purification avant la Grande Purification. Il nous demande d'agir, de vivre ce qu'il nous enseigne.

Ne croyez pas que Satan et les esprits impurs vont vous laisser faire. Ils ont réussi à entrer en nous leur poison; ils vont se servir de ce qu'ils ont mis en nous dans le but de nous empêcher de nous laisser guérir et libérer par Dieu. Ils savent que le temps où ils sont maîtres sur la terre va s'achever; ils savent que la Mère de Dieu le Fils a préparé nos cœurs à entendre la voix du Seigneur; ils savent que beaucoup d'enfants maintenant ne veulent plus de leur volonté humaine, car c'est par la volonté humaine qu'ils ont réussi à nous affaiblir pour voler des mouvements de vie et nous, nous avons tombé dans ces pièges.

Jésus, il a dit : «Vous vivez comme des menteurs à 99.99.999.» Lorsqu'on ne se regarde pas comme des enfants parfaits, on se regarde comme des enfants imparfaits ne croyant pas que Dieu nous a créés à son image. Lorsqu'on ne croit pas en ça, eh bien, on vit notre conséquence. Satan, il a dit : "Je me servirai de votre père, de votre mère, de votre sœur, de votre frère, je me servirai de votre prochain pour vous maintenir dans le mensonge." Toute notre vie n'a été que mensonge, nous sommes incapables de nous maintenir comme Dieu veut qu'on se maintienne. Il nous l'a dit par son Fils et son Fils est la Lumière, est la Vérité, est le Chemin, il est la Vie : «Soyez parfaits comme mon Père est parfait, comme je suis parfait.» Nous n'avons pas cru en cela : 'Lui, pas nous! Je ne suis pas un saint, je ne suis pas une sainte, lui est Dieu, moi je ne suis pas Dieu', eh bien, si nous ne sommes pas Dieu, ne nous conduisons pas comme des dieux! Redonnons à Dieu ce qui est à Dieu : sa Vie parfaite.

Alors, donnons à Dieu ce qu'il attend de nous. Il va reprendre sa vie qui est toute tachée et il va nous la montrer en nous disant : «Vois ce que j'ai fait de ta vie : je l'ai nourrie de ma Chair, je lui ai donné à boire mon Sang, afin de la préparer à redevenir incorruptible». Et cela ne vient pas de la volonté humaine, cela vient de notre seul Dieu, et cela est écrit dans l'Évangile et personne ne peut retrancher un seul mot de l'Évangile, car on ne retire pas la Parole à la Parole. Ce qui est à Dieu est à Dieu. Amen.

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Est-ce qu'ils en veulent encore? Est-ce qu'il y en a qui veulent en poser?

Q. Les tremblements de terre et autres catastrophes dans le monde sont-ils des punitions de Dieu, tout ce qui s'est passé en Haïti, en Nouvelle-Orléans, au Chili, les tremblements de terre? Nous ne savons pas ce que Dieu fait parce que Dieu ne se laisse pas regarder dans les cartes, mais il faudrait réfléchir si ce n'est pas une punition de Dieu pour les péchés...

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Dieu est amour. Lorsqu'il nous a créés, il nous a créés avec son amour. Dieu est notre Père et un père prend soin de ses enfants. L'enfant doit reconnaître qu'il doit obéissance au Père. Lorsque l'enfant veut prendre l'amour du Père et l'utiliser pour s'éloigner du Père en ne regardant que son nombril, il devient sa propre victime. Ses pensées sont des pensées contre lui, ses actions sont des actions contre lui, son cœur se ferme à l'amour du prochain. Lorsque son cœur se ferme à l'amour du prochain, c'est qu'il ouvre des portes à celui qui ne veut pas que nous soyons les enfants du Père.

Celui qui ne veut pas que nous soyons les enfants du Père a refusé d'adorer le Fils du Père. Il met les enfants de Dieu contre les enfants de Dieu, il ne cesse de semer des non dans la noirceur. Tout devient pour l'enfant que noirceur : il est égoïste, menteur; il boit son propre pouvoir; il n'est plus avec lui; il est contre lui et tout son être se met à trembler lorsqu'il reconnaît qu'il est contre lui; il veut se sauver de lui-même, mais ce qu'il est le poursuit partout. Les enfants de ce monde sont ainsi.

Les enfants de ce monde ne sont plus amour les uns pour les autres : l'enfant qui prie juge son prochain, l'enfant qui ne prie plus est indifférent envers son prochain, l'enfant qui ne croit pas est froid envers ceux qui regardent le Ciel; on ne cherche plus à aimer, mais à se consoler en se donnant bonne conscience. Les enfants de ce monde boivent leur amertume et Satan s'amuse à les faire souffrir.

Regardez ce temps, mes enfants. Regardez ce qu'on a fait à la création de Dieu. Regardez ce que le Ciel vous demande : prières, prières, prières, afin de vous protéger contre vous-mêmes, car les ténèbres ont pris des mouvements de vie et ils les ont utilisés contre les enfants de Dieu. Dieu ne punit pas, Dieu sauve. Dieu ne s'éloigne pas, Dieu rassemble. Dieu est la Vie et il donne la vie. Lorsque les enfants de Dieu meurent avant le temps que Dieu voulait pour eux sur la terre, c'est qu'ils se donnent eux-mêmes une sentence. Dieu accueille ses enfants et il leur demande d'entrer à la maison. La terre tremble parce que la terre a été entre les mains de la volonté humaine. Dieu laisse ses enfants vivre dans leurs conséquences afin qu'ils puissent, un jour, ouvrir leurs yeux.

Mes enfants, Dieu aime sans condition. Il a donné son Fils bien-aimé pour que vous soyez tous en son Cœur, protégés de ce qui s'en vient. La Mère de Dieu vous demande de prier, la Mère de Dieu vous demande encore de prier. Que faites-vous, mes enfants? Apprenez à prier en aimant votre prochain, en ne jugeant pas votre prochain, en ayant confiance en Dieu. Il est souffrant, mes enfants, de voir d'autres enfants qui sont dans les conséquences de tout ce que les enfants de Dieu ont accepté, ce n'est pas une conséquence d'un seul pays, mais de la terre entière. Soyez bons envers vous-mêmes, donnez-vous de l'amour.

Je suis le Maître, c'est moi qui ai créé. Lorsqu'on fait confiance en Dieu, Dieu montre sa puissance d'amour. Je ne suis pas comme les magiciens de ce monde, eux font de la magie pour vous tromper, moi je vous montre mon amour pour vous montrer votre vie. Je ne vous cache rien. Tous ceux qui ont été à l'écoute de Dieu savent étudier les Écritures avec leurs cœurs, non pas avec leurs pensées, mais avec leurs cœurs.

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Ce que Dieu fait, il le fait avec amour. Il a créé la terre et à lui de la protéger, mais à nous de le vouloir. N'ayons aucune pensée contre notre Dieu, car une seule pensée contre Dieu est contre nous, contre notre prochain. Dieu est infiniment bon, infiniment aimable, et nous n'avons pas un Dieu punisseur, mais un Dieu de vérité, un Père qui aime reprendre ses enfants afin qu'ils puissent comprendre qu'ils sont aimés de lui inconditionnellement. Amen.