Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Locminé, Bretagne, France,

par son instrument, la Fille du Oui à Jésus.

 

2008-03-05 - Soir  Partie 1

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Dieu d’amour aime bien mettre ses enfants dans son confort à lui. Il veut nous montrer pourquoi nous, on aime bien notre confort alors que parfois notre confort nous éloigne du confort de Dieu.

Lorsqu’on ressent le feu d’amour à l’intérieur de nous, eh bien, c’est comme si on s’installait devant un bon feu et là, on découvre qu’on aime écouter Dieu, on découvre qu’il y a de l’amour à l’intérieur de nous, et cet amour semble nous bercer : cet amour semble nous amener à découvrir ce que Dieu attend de nous.

Ce que Dieu attend de nous, c’est l’obéissance. Ce que Dieu attend de nous, c’est faire de nous des enfants prêts à sortir de notre confort que, nous, nous nous sommes fabriqué : Dieu veut que nous puissions réaliser que ce qu’il y a à l’intérieur de nous vaut tous les conforts du monde. C’est là notre éternité, c’est là où nous allons nous retrouver avec notre Père du Ciel, c’est là où nous allons contempler les yeux de Jésus, c’est là que nous allons être réchauffés de la puissance du Saint-Esprit, et cela, c’est pour l’éternité.

Nous sommes venus, ici sur la terre, pour connaître un mouvement : celui d’être obéissants à Dieu. C’est l’obéissance à Dieu que Dieu veut nous faire connaître. C’est Celui qui nous apprend à toujours être fidèles aux dix commandements de Dieu, c’est Celui qui nous montre comment vivre les paroles mêmes de Jésus.

Les paroles mêmes de Jésus sont éternelles, cela vient de la Vie Éternelle. Lorsque nous serons dans notre éternité devant Dieu le Père, toutes les paroles de Jésus vont retentir en nous, cela va nous faire goûter à l’amour qu’il a toujours voulu nous faire goûter sur la terre. La Parole de Jésus est une nourriture qui a une saveur, une saveur qui nous amène toujours à vouloir écouter la Parole de Dieu.

Le langage de Dieu, c’est un mouvement d’amour; le langage de Dieu, c’est ce qui nous fait découvrir notre beauté. Si nous écoutons Jésus, nous voyons la lumière qui est pour nous, une lumière qui vient de Dieu à nous et qui nous embellit, une lumière qui vient frapper notre être pour qu’on puisse être pour les autres de la beauté. Le langage de Dieu n’est pas notre langage. Le langage de Dieu nous amène toujours à nous dépasser, à ne pas demeurer sur place.

Dieu est l’Eau Vive. C’est une eau qui coule toujours, toujours et toujours, elle ne demeure jamais sur place. Là où elle va, elle s’agrandit, elle s'agrandit et elle s’agrandit toujours et toujours, et nos yeux ne peuvent pas atteindre la fin, car la fin n’existe pas. C’est une nourriture sans fin, notre Dieu d’amour, et cela est pour nous.

Que nous soyons là devant son Père dans son Royaume, que nous soyons sur la terre, lorsque nous écoutons la Parole de Jésus, c’est une eau qui coule en nous, c’est une eau qui nous amène toujours à être dans son bonheur, à découvrir que nous pouvons aller toujours, toujours et toujours plus loin. On n’arrive pas à trouver de limites à notre besoin d’écouter sa Parole. Plus nous écoutons la Parole de Dieu, et plus nous voulons l’écouter.

Lorsque nous entrons dans notre confort, à l’intérieur de nous, cette chaleur nous prend, cette chaleur nous envahit : là, on regarde, on regarde autour de nous et on voit une lumière, on regarde autour de nous et on découvre, on regarde autour de nous et tout semble venir à nous sans aucun effort.

Cela n’est pas épuisant être en Dieu, pour Dieu, c’est une saveur, toujours, qui se laisse goûter : on ne se fatigue pas. Il n’y a pas d’effort venant de nous-mêmes puisqu’il n’y a pas d’effort qui force dans l’amour de Dieu : on se laisse plonger, on se laisse prendre dans ce mouvement et on avance avec ce que nous sommes, mais en nous découvrant. C’est comme si on multipliait ce qu’il y a à l’intérieur de nous en découvrant qu’à chaque fois que cela apparaît, on en veut et on en veut. On veut plonger cette multiplication-là et lorsqu’on se laisse plonger, eh bien, là on apprend : là on apprend, là on savoure, et plus on savoure, plus ça se multiplie, plus ça se multiplie, plus on en veut. C’est une fontaine d’amour!

Il n’y a pas de limites en Dieu, alors il n’y a pas de limites à l’intérieur de nous. Nous sommes vivants, nous sommes éternels. Lorsqu’on goûte à l’amour de Dieu, on veut toujours goûter à l’amour de Dieu. Nous ne sommes pas déçus en Dieu, c’est le bonheur total, c’est un mouvement de lui à nous, de nous à lui. Plus nous sommes à lui et plus lui nous veut, et plus lui nous veut, plus, lui, il nous fait découvrir qui nous sommes avec lui, en lui, pour lui : mouvement d’amour qui ne cesse de se donner, mouvement qui attire, mouvement qui nourrit, mouvement qui prend, mouvement qui monte, mouvement qui s’élève à Dieu.

C’est l’amour de Dieu qui nous élève à lui, c’est l’amour de Dieu qui nous fait avancer dans un mouvement que nous, nous ne pouvons pas contrôler. Nous ne pouvons pas contrôler l’amour parce que l’amour ne se contrôle pas. L’amour se donne, l’amour ça se fait goûter. Lorsqu’on goûte à l’amour, tout notre être devient une saveur : on goûte à ce que nous sommes. Mais c’est comme si la saveur était ce que nous sommes : nous nous goûtons.

Nous sommes ce mouvement d’amour. C’est comme si on voyait tout ce qui est en nous, c’est comme si on appréciait tout ce qui est en nous : on veut goûter à ce qui est nous-mêmes parce que nous sommes amour en Dieu, pour Dieu. Alors, lorsqu’on veut goûter à ce que nous sommes, nous goûtons à Dieu, nous nous laissons dans ce mouvement d’amour et Dieu fait tout pour nous, il nous envahit.

C’est ça l’amour, c’est ça être en Dieu : c’est savourer sa présence, c’est laisser tout notre être entre les mains de Dieu, et là, Dieu nous fait goûter à ce que nous sommes : nous sommes enfants de Dieu, nous sommes l’amour de Dieu. En nous, il n’y a pas d’ombrage, en nous il n’y a pas de limites; on veut ouvrir ce que nous sommes pour donner aux autres ce que nous avons reçu de Dieu.

Comme nous avons reçu de Dieu : nous goûtons à ce qu’il est, nous goûtons à son amour, nous goûtons à son mouvement; alors là, on est, nous aussi, une source de bonheur; nous aussi, on coule, là, sans limites vers tout ce qui est devant nous. Notre intérieur ne se retient pas, notre intérieur va où il y a l’amour, car l’amour veut l’amour, l’amour veut être pour ceux qui sont devant nous : de l’amour.

L’amour, ça se goûte, ça se reconnaît. Lorsque nous sommes amour, nous voyons l’amour; lorsque nous sommes amour, nous goûtons la saveur de tout ce qui est amour. On ne peut pas passer à côté de quelqu’un sans découvrir son amour.

Lorsque nous sommes enfants de Dieu, on a l’impression d’être l’un en l’autre, on a l’impression de toujours s’être connus, on savoure qui nous sommes dans le regard de l’autre; son amour, c’est mon amour; mon amour, c’est l’amour de Dieu; son amour, c’est l’amour de Dieu; alors, on se reconnaît en Dieu, on se sait être plongés dans le mouvement de Dieu sans faire d’effort.

C’est Dieu qui est l’amour, c’est Dieu qui nous nourrit; nous, nous n’avons pas à faire d’effort, nous nous laissons plonger dans ce mouvement d’amour, alors on apprend à découvrir l’autre comme étant nous-mêmes. Pourtant, on n’a pas vécu sa vie et on a l’impression de savoir ce qu’il pense, on a l’impression d’être dans sa vie parce qu’on veut y goûter, on veut partager ce que nous sommes de l’intérieur, pas de l’extérieur.

Ce qu’il a bâti dans sa vie est pour lui, ce qu’il s’est procuré dans sa vie est pour lui, ce qu’il a créé dans sa vie, c’est pour lui : il s’est créé un monde et son monde est à lui. Cela, c’est chacun de nous à l’extérieur : 'tu fais ta vie, je fais ma vie; tu as ta famille, j’ai ma famille; tu as ton métier, j’ai mon métier.'

Ce qui est extérieur, on découvre dans notre vie que nous n’en voulons pas, ce n’est pas ça qu’on veut : 'je ne veux pas ta maison, je ne veux pas ton travail, tes études je n’en veux pas', parce qu’avec mon extérieur, j’ai fait ce que je devais faire. Je me suis acheminé avec ce que je connaissais, je me suis instruit avec ce qui était en moi : mon intelligence, ma mémoire, mes paroles, mon écoute. Avec ça j’ai bâti, j’ai bâti mes œuvres.

Ce que chacun de nous veut, c’est ce qu’il y a au plus profond de nous : de l’amour, et ça, allez partout à la surface de la terre et vous y découvrirez ce que vous trouvez : l’amour dans un regard, dans une parole, dans une écoute, parce que lorsque cela sort de l’intérieur de chacun de nous, nous le reconnaissons être pour nous, et ce qui est en nous je le reconnais être pour vous.

Nous sommes unité d’amour, nous sommes faits de l’amour de Dieu et cela ne se trompe pas, ça sort de notre intérieur sans effort : 'Je ne me force pas à être amour, c’est Dieu qui le fait pour moi; je n’exige rien de ton amour, je le reçois gratuitement parce que c’est Dieu qui le fait; ça vient me frapper, je le reconnais, et ce qui entre en moi vient rencontrer l’amour qui est en moi et je te le redonne.' Voilà le partage! Voilà l’harmonie! Voilà l’Église, l’Église que Jésus a bâtie sur la terre!
Il s’est promené pendant trois ans avec douze personnes qu’il a choisies comme étant pour être des apôtres. Il s’est promené avec des disciples. Son nombre était au nombre que lui voulait qu’on soit : patients, être amour dans la perfection, être amour sans limites, être tout pour les autres, et que les autres soient tout pour nous : un chiffre parfait, un chiffre qui devait nous montrer que nous avions tout pour rendre les autres heureux, et aussi un chiffre qui ne se compte pas parce que ce chiffre n’a pas de limites.

On ne compte pas le zéro, on ne compte pas ce qui n’est pas et on ne peut pas atteindre ce qui n’est pas. C’est être au moment où nous devons être, et lorsque nous sommes dans ce mouvement-là, là nous savons qu’il y a pour nous l’éternité. Ce n’est pas quelque chose qui se compte : zéro plus zéro donne zéro, zéro moins zéro, c’est zéro.

Alors, c’est notre présent. C’est être là pour ceux que nous aimons, c’est ne pas penser à hier et ce n’est pas penser à demain, c’est penser, là, au moment, et c’est là qu’on découvre que nous sommes ensemble, que nous sommes parfaits pour être ensemble.

Nous sommes faits pour ne former qu’une seule Église : une Église! Mais il est vrai que nous sommes différents. La différence fait que nous avons marché selon ce que nous étions avec nos tempéraments, avec ce que Dieu attendait de chacun de nous.

Dieu a donné à chacun de nous ce qu’il nous fallait pour combler l’autre. Lorsqu’une personne chante, elle nous comble : on entend; lorsqu’une personne vient à nous en nous présentant un bon pain : nous partageons ce pain. Nous sommes faits pour les autres, nous ne sommes pas faits pour être que pour nous-mêmes. Ce que nous avons reçu, c’est pour le donner, comme l’amour à l’intérieur de nous.

L’amour, ça se donne. Si nous gardons l’amour que pour nous-mêmes, nous allons être solitaires dans notre amour, alors cela va s’assécher, il n’y aura pas cette eau vive qui coule, qui coule, et qui s’étend et qui s’étend, et qu’on ne peut pas voir la limite. Mais si nous gardons l’amour à l’intérieur de nous, là, nous interrompons le mouvement, nous devenons une eau stagnante, nous devenons quelqu’un qui n’a rien à donner et elle ne reçoit rien. Nous sommes faits de mouvements.

L’amour, c’est un mouvement. L’amour, ça donne. L’amour, ça prend, ça saisit, ça contemple, ça remercie. L’amour, c’est un mouvement d’amour. Nous sommes ici sur la terre pour les uns et les autres. C’est ainsi que nous allons présenter nos œuvres à Dieu.

Dieu nous a donné des talents et ces talents doivent être multipliés. On ne peut multiplier un talent si on l’enfouit : on le multiplie lorsqu’on le présente, on le multiplie lorsqu’on le donne, car l’autre reçoit le talent et il nous en donne en retour; un autre reçoit un talent et il nous en donne en retour; un autre donne de ses talents et nous les redonnons : ces talents, c’est de la multiplication.

On ne retient pas ses talents. Si nous retenons nos talents, nous ne serons pas dans la multiplication, nous allons arrêter le mouvement, nous allons devenir égoïstes, nous allons devenir des êtres que pour nous-mêmes. Dieu veut qu’on soit sans limites, Dieu veut qu’on partage, alors partageons notre vie, aidons notre prochain.

Tranquillement, Dieu vient nous apprendre ce que nous sommes et ce que nous devons être pour lui. Tout ce qu’il y a sur la terre est de Dieu, n’est pas de nous. La terre appartient à Dieu et nous sommes de Dieu. Nous devons prendre ce qu’il nous a donné, ce qu’il nous a confié pour le multiplier, car un jour nous serons devant lui et il regardera nos œuvres, les œuvres seront en nous.

Nous ne présenterons pas notre maison, nos tiroirs, notre usine, nos comptes en banque, nous serons comme des tout petits enfants devant Dieu, dénudés de tout. Il verra ce qu’il y a en nous. Il verra la multiplication, il verra ce qu’il attend de nous : «Je t’ai donné, montre-moi. Je t’ai offert tout ce qu’il t’était nécessaire d’avoir, alors qu’as-tu fait avec ce que je t’ai donné?» Tout sera en nous. Il regardera l’amour et il le mesurera.

C’est l’amour qui va être pour nous sur la balance, ce ne sont pas ce qui est de nos mains. Que j’aie, moi, une banque et que j’aie prêté mon argent, leur argent qui devient mon argent, ça, il ne le mesurera pas, mais il va mesurer l’amour. Il va dire : «As-tu aimé sans condition? As-tu aidé le pauvre? As-tu soutenu la veuve?» Voilà ce qu’il demandera au banquier. Car tout ce qu’il sera, sera la réponse que Dieu attend de lui, et lui-même se regardera, lui-même mesurera son amour.

Tout cela, c’est dans notre vie. Dieu ne veut pas nous cacher qui nous sommes, Dieu ne parle pas pour nous dire : «Tu n’as pas honte de ce que tu es devenu?» Oh non! Dieu nous aime trop. Il vient parler dans nos cœurs afin qu’on puisse être son amour.

Dieu est un Père, Dieu est le Sauveur, Dieu est la Lumière, Dieu est l’Amour, alors il nous a donné son amour. N’est-il pas naturel qu’il prenne soin de ce qu’il est, lui en nous et nous en lui?

Lorsque la terre a besoin d’être retournée afin qu’elle puisse être dans sa nature, ressortir tout ce qu’il y a de bon afin qu’elle produise, il le fait. Si, nous, nous le faisons avec la terre afin qu’elle puisse produire lorsque nous y planterons une graine, eh bien, Dieu le fait avec nous. Il vient semer à l’intérieur de nous des paroles afin que cela fasse retourner tout ce qu’il nous a donné : les grâces.

Nous devons utiliser tout ce qu’il nous a donné. Nous devons faire en sorte que les grâces puissent nourrir notre regard, notre écoute, nos paroles, nos pensées, nos mouvements, nos sentiments. Nous nous sommes laissé engourdir de siècle en siècle, de siècle en siècle, de siècle en siècle.

Alors, Dieu a dit : «Maintenant, maintenant, je vais aller, moi, retourner ma terre.» Il a ce droit, il nous a confiés à l’un et à l’autre et nous n’avons pas su nous donner comme lui le voulait. Alors, voilà qu’il vient reprendre ce qui est à lui, voilà qu’il vient parler directement dans nos cœurs, car la chair que nous avons a besoin d’être secouée, époussetée; cette chair qui nous a été donnée a besoin d’être alimentée par son amour.

Nous avons reçu une âme. Notre âme, il l’a confiée à ses prêtres qui sont en le Christ-Prêtre et Dieu, lui, en a pris soin, Dieu l’a alimentée, et de notre âme coulent des grâces afin qu’on soit amour.

Mais aujourd’hui, si nous regardons notre chair, nous allons voir qu’elle est pauvre, qu’elle n’a plus de saveur : elle est asséchée, elle est dure. Elle est tellement dure qu’il n’y a plus rien de bon en notre chair, alors il est venu; il est venu parler pour que nous puissions réaliser que nous sommes faits de la Chair Éternelle, que nous sommes faits d’une chair d’amour : nous sommes la saveur de Dieu.

L’âme, elle, se voit en Dieu. Notre chair doit se voir en Dieu. Elle est vivante notre chair, elle n’est pas morte. Nous regardons ce que nous sommes et nous avons peur, nous regardons notre prochain et nous doutons de lui, nous n’en voulons pas : il parle d’amour, on ne reconnaît pas l’amour; il rend service et on se méfie de son service.

On ne se conduit plus en enfants de Dieu, on construit notre confort, on pense à nous-mêmes, on est dans une vie en Dieu, mais on ne veut plus de Dieu.

Nous sommes de Dieu, nous ne sommes pas de ce monde. Jésus lui-même l’a dit : «Je ne suis pas de ce monde», alors par cette parole, il nous disait que nous n’étions pas de ce monde : nous sommes de son Père et Jésus est en son Père, son Père est en lui; nous sommes enfants de Dieu, nous sommes en Jésus et Jésus est en son Père; alors, nous ne sommes pas de ce monde.

Dieu vient parler dans notre cœur afin qu’on renonce à ce monde. Nous avons été séduits, nous avons été trompés, nous n’appartenons pas à ces idoles, nous n’appartenons pas aux ténèbres, nous n’appartenons pas au péché, nous appartenons à la Pureté, à la Lumière, à la splendeur de Dieu, à l’obéissance à Dieu.

Nous sommes enfants de la Divine Volonté, nous ne sommes pas enfants de la volonté humaine. La volonté humaine ne peut pas nous avoir créés, la volonté humaine n’a aucun pouvoir, elle doit écouter Dieu, il est le seul qui a le pouvoir sur la vie et sur la mort.

Voilà le pouvoir que nous devons connaître. Si nous connaissons ce pouvoir, nous allons reconnaître l’amour, nous allons reconnaître qui nous sommes, nous allons reconnaître le partage, l’harmonie, nous allons reconnaître que nous sommes faits pour donner. Voilà le pouvoir de Dieu.

Le pouvoir de Dieu ne domine pas, le pouvoir de Dieu ne cache pas, le pouvoir de Dieu n’emprisonne pas, le pouvoir de Dieu ne tue pas. C’est un pouvoir d’amour qui ne cesse de se donner et qui nous fait pénétrer pour qu’on puisse connaître tout du pouvoir afin d’être dans ce pouvoir, utiliser ce pouvoir : le pouvoir de Dieu; il veut nous le donner.

Mais le pouvoir de ce monde, c’est le pouvoir de Satan : il contrôle, il manipule, il séduit, il ment, il trompe, il emprisonne, il étouffe et il tue. Voilà le pouvoir de Satan. C’est ce monde dans lequel nous vivons : un monde qui a peur, un monde qui veut contrôler.

On a peur de ce que nous ne connaissons pas, alors comme nous avons peur de ce que nous ne connaissons pas, alors on contrôle, on contrôle ce que l’on ne peut percevoir : un avenir. Alors, si je contrôle, je m’assure pour demain. Je m’assure de quoi? Je m’assure d’être présent dans un mouvement qui ne veut pas perdre le contrôle.

On l’a déjà perdu le contrôle, car nous l’avons donné à Satan. Si nous regardons ce que nous sommes devenus, nous allons nous apercevoir que nous n’avons jamais eu le contrôle, nous avons consenti à mettre entre les mains de Satan notre volonté humaine. Notre volonté humaine a perdu, car elle ne devait choisir que le bien, elle ne devait pas connaître le mal parce qu’à l’instant où la volonté humaine connaît le mal, elle vient de faire entrer le mal à l’intérieur, et le mal, lui, se multiplie.

Le mal ne vous demande pas, le mal se cache pour mieux contrôler. Le mal, lui, il étouffe afin que chacun de nous ne puisse être dans notre esprit en Dieu. Le mal, c’est le poison.

(Exemple) l’océan et mettez-y une goutte : une goutte dans l’océan, voilà que l’océan est contaminé. Pas un tout petit peu contaminé, car le poison, lui, fait son chemin. De fraction de seconde en fraction de seconde, il se multiplie, de fraction de fraction de seconde, il se multiplie. Essayez de compter les fractions et fractions de seconde qu’il y a dans 100 ans, dans 1 000 ans, dans 6 000 ans, l’océan est empoisonné; il n’y a plus moyen d’enlever cette goutte qui a contaminé l’océan entier. Si vous enlevez une seule goutte de l’océan afin de purifier, cela ne changera rien, la goutte que vous tenez dans les mains, il va falloir que vous la posiez quelque part, car on n’en veut pas une goutte qui empoisonne, on la dépose dans la terre. Alors voilà qu’elle se répand, voilà qu’elle se multiplie, elle empoisonne la terre. Tout ce qui va sortir de la terre aura cette goutte et le vent la prendra et le vent multipliera tout, et toute la végétation sera empoisonnée : personne ne peut enlever le mal dans notre chair, car c’est nous qui avons consenti à nous laisser empoisonner avec notre volonté humaine.

Dieu est le seul qui a pu purifier l’âme, aucune volonté humaine n’a pu purifier l’âme, aucune, sauf Jésus. Il n’y a que le prêtre qui peut purifier notre âme. Le prêtre, c’est le Christ-Prêtre, c’est la Volonté du Fils devant la Volonté du Père. Aucun être humain ne peut faire cela; même ceux qui ont crucifié notre Jésus d’amour l’ont dit : "Il n’y a que Dieu qui puisse pardonner", ils l’ont dit eux-mêmes.

Mais à cause de la mauvaise semence qu’ils étaient, à cause de tout ce poison qu’il y avait à l’intérieur d’eux, ils n’ont pas pu voir la lumière, ils n’ont pas pu voir la beauté de Dieu, ils n’ont pas pu goûter à la saveur de Dieu, parce que ce qu’ils étaient était empoisonné, ils ne pouvaient pas voir cela.

La chair ne peut se purifier par elle-même. La chair appartient à la Chair, la Chair Éternelle : Jésus est la Chair Éternelle.

Lorsque nous prenons le Pain de Vie, nous prenons la Chair Éternelle, lorsque nous goûtons au Vin de Vie, nous goûtons au Sang de Jésus : la Chair Éternelle. Il n’y a qu’une seule Chair et c’est celle de Dieu le Fils fait Homme : Homme-Dieu.

Nous ne sommes pas avant le Créateur, nous venons du Créateur. Notre chair, nous l’avons que par la Volonté de Dieu : Dieu le Père en Dieu le Fils, Dieu le Fils en Dieu le Père, en le Saint-Esprit, le Saint-Esprit qui nous fait comprendre qui nous sommes. Nous sommes de la Chair : de la Chair Éternelle.

Dieu vient nous parler en notre cœur afin que nous puissions nous laisser purifier par le Purificateur, par le Sauveur, par Celui qui est : Jésus. C’est lui qui nous a tous pris puisqu’il nous avait tous en lui. Avant que nous soyons sur la terre, nous étions en Jésus; alors, lorsqu’il est venu sur la terre, il nous avait en lui et il a accepté : il a accepté de prendre nature humaine, il a accepté que sa Chair ressente notre chair impure. Il a accepté de se présenter à son Père comme une chair impure, comme étant, nous : la chair de la Chair qui n’a pas obéi à Dieu, la chair de la Chair qui a refusé Dieu, la chair de la Chair qui a voulu être Dieu.

Il a tout accepté notre Dieu d’amour, et aujourd’hui il vient reprendre ce qui est à lui, il vient saisir la chair en prenant chacun de nous : les cœurs de pierre. Il a ce pouvoir de prendre tout cœur de pierre, car il sait qui sont les enfants de Dieu. Le peuple de Dieu, nous sommes répandus de par le monde : de par le monde, il y a la chair de la Chair.

Il vient saisir tout cœur de pierre et il parle aux cœurs de pierre pour qu’ils redeviennent des cœurs de chair : la chair de la Chair.  Nous sommes de la Chair de Jésus. Notre cœur appartient au Cœur du Christ. Il veut que nous puissions réaliser que notre cœur est en le Cœur du Fils.

Il nous a envoyé sa Mère, Dieu le Père nous a envoyé sa Fille, Dieu le Saint-Esprit nous a envoyé son Épouse Immaculée pour préparer nos cœurs à aller vers Marie, Celle qui n’a jamais eu un cœur de pierre : son cœur était uni au Cœur de Jésus, à son Fils.

L’amour de Dieu coulait en le Cœur de Marie et Marie recevait un flot de grâces, et cela coulait comme un océan d’amour pour nous : les cœurs blessés, les cœurs froids, les cœurs indifférents, les cœurs qui jugent, les cœurs qui ne s’aiment pas, les cœurs qui n’aiment pas les autres cœurs.

Maman Marie est venue bercer nos cœurs, est venue nous dire que nous devions tout à son Fils; elle est venue nous dire d’obéir à son Fils, d’aimer Jésus-Eucharistie, d’adorer son Fils.

Tout ça a fait en sorte que notre cœur est devenu un cœur qui a commencé à battre, et lorsque le cœur a commencé à battre, là, il y eut des fissures et là, la lumière a passé dans ce cœur de pierre. La lumière, plus elle a passé, plus le cœur se sentait chaud; là, la chaleur donnait de l’amour au cœur : il revivait, il savait qu’il venait de la chair de la Chair, car il était de la Lumière.

Notre cœur a reçu la lumière de Dieu. C’est notre Maman du Ciel et de la terre qui a préparé nos cœurs à entendre la Parole de Dieu en notre chair.

Nous avons entendu la Parole de Dieu par les choisis de Dieu : les prêtres, et nous n’avons pas compris. Nous avons continué à être des personnes qui jugeaient son prochain; nous les avons même jugés : eux qui nous nourrissaient. Nous avons lâché de prier (pour) eux qui nous alimentaient. Nous n’avons pas pris la peine de prendre soin de la main qui s’ouvre et qui nous nourrit.

Dieu vient nous dire que nous devons reprendre le chapelet. Nous avons, avec l’aide de Maman Marie, laissé Dieu réchauffer nos cœurs. Maman Marie nous maintient dans l’espérance, Maman Marie vient consoler nos cœurs parce que, là, on réalise que nos choix ne nous ont pas conduits dans le bonheur. Nous voyons nos enfants qui pleurent, nos enfants qui se droguent : ce sont les conséquences de ce monde.

Dieu est venu nous parler sur la terre, il a mis une semence en nous afin que nous soyons multiplication d’amour, mais avec les années, nous nous regardons et nous voyons que nous ne sommes pas une bonne récolte à travers de ce que nous sommes : nous nous sommes laissé ensorceler par la mauvaise herbe. Cela a durci notre cœur.

Nous avons jeté notre regard sur des faussetés et cela a fait que le vent nous a amenés très loin, là où nous ne voulions pas aller. Nous avons été incapables de nous enraciner en l’Église, car ce que nous sommes devenus : ce sont des êtres de surface, rien à l’intérieur, tout à l’extérieur.

Mais Jésus nous connaît, il sait qu’à l’intérieur de nous il y avait cette petite flamme qui brillait tout le temps, mais que nous, on ne voyait pas. La prière a maintenu cette flamme car, depuis la Genèse, il y a toujours eu des enfants qui ont jeté leur regard vers Dieu, ils ont toujours été ouverts à l’appel de Dieu. Ils ont mis leurs paroles entre les mains de Dieu pour qu’ils puissent se servir de ce qu’ils avaient appris avec l’amour de Dieu. Ils ont appris à donner à Dieu ce qui était à Dieu. Lorsque Dieu leur demandait d’aller à un tel endroit, ils y allaient. Ils ont affronté la mort pour Dieu, alors d’année en année cela nous a maintenus dans l’amour.

Nous sommes faits pour être ensemble, et c’est ensemble qu’ils nous ont donné ce que nous devons aujourd’hui à Dieu : cette petite flamme, à l’intérieur. Alors, ce que nous faisons en ce moment même, c’est l’œuvre de Dieu, ce n’est pas l’œuvre de la volonté humaine.

Si nos arrière-grands-parents ont prié, c’est par ce qu’il y en avait d’autres qui se sont maintenus dans l’appel de Dieu. Si ce soir nous sommes ici, c’est parce que nous avons écouté l’appel de Dieu, et si nous sommes ensemble, c’est parce que c’est l’amour qui est en nous.

Dieu utilise qui nous sommes comme il a toujours utilisé ses enfants. Dieu veut aller chercher tous ses enfants. Si notre cœur a commencé à battre d’amour, nous le devons à notre Maman; alors, notre Maman, elle veut tous ses enfants.

Dieu va utiliser notre cœur et il l’utilise en ce moment même, notre cœur, car ce que nous entendons vient de notre intérieur, ne vient pas de l’extérieur de nous; alors, ce qui est en nous : l’amour, alimente l’amour et l’amour coule, l’amour entre dans cette eau et l’amour prend sa place.

Lorsque nous consentons à donner notre écoute, lorsque nous consentons à donner les paroles par le cœur, Dieu utilise. Lorsque nous consentons à ne plus avoir de pensées, mais à être dans l’Esprit de Dieu, voilà que ça coule : l’amour coule. Lorsque nous sommes dans le mouvement de Dieu, là, notre cœur bat dans l’Église et ce que nous ressentons, c’est la paix. Voilà que l’eau commence à se laisser purifier. La petite goutte qui a été déposée, nous ne la connaissons pas, nous ne savons pas quelle est cette goutte; nous n’avons pas à le savoir, Dieu, lui, le sait.

Nous sommes dans le mouvement de la Purification de la chair. À Dieu de purifier notre chair puisqu’il l’a déjà fait, mais nous, nous devons donner à Dieu ce que nous sommes.

C’est comme si Dieu encore prenait ce que nous étions et refaisait ce qu’il a fait : arracher le mal, l’amener à la mort pour que le mal ne nous manipule plus, être un feu d’amour, accepter tout ce que nous, nous avons consenti avec nos choix à faire et lui, il brûle avec son feu d’amour : lui donner les conséquences de nos mauvais choix devant le péché et lui, il guérit, il libère. Voilà que Dieu fait de nous des mouvements de vie. Notre chair reprend vie.

C’est ce que nous sommes en ce moment même, et c’est ce que nous serons à la seconde, et c’est ce que nous serons demain, et après demain, et après demain, tant que cet océan ne sera pas pur, immaculé.

L’océan, c’est comme notre chair, tant que notre chair ne sera pas immaculée, nous devrons tout donner à Celui qui est : le Purificateur, le Sauveur, le Messie, le Fils de Dieu; c’est lui la Chair Parfaite, ce n’est pas nous.

C’est lui qui a présenté sa Chair afin de nous protéger. Lorsqu’il a reçu les coups de fouet, il les a reçus pour que nous, nous puissions un jour avoir la force de nous laisser guérir par lui. Tous les coups de fouet qu’il a reçus, ce sont des marques en nous, ce sont les mêmes marques en nous et cela a tracé sa Chair. Il nous a montré ce que nous, nous étions en nous.

Souvenons-nous des paroles d’Isaïe : «Il sera l’opprobre du péché, il sera à l’image du péché.» Alors, à l’intérieur de nous, c’est ce que nous sommes. Si on a vu un homme avancer avec une croix et qu’on a voulu détourner notre regard de cet homme tant il était hideux, alors dites-vous que ce que nous sommes : c’est l’enfant hideux.

Nous avons regardé un homme passer en ayant de la difficulté à avancer tant qu’il souffrait, eh bien, dites-vous que c’est l’enfant de Dieu en nous. Il avance avec sa souffrance : cela le fait si souffrir qu’il ne veut plus se regarder parce qu’il a trop mal.

On a vu un homme qui a été cloué au bois, eh bien, c’est nous. Nous avons été attachés à notre volonté humaine qui nous a fait souffrir, nous avons été incapables de nous détacher de notre volonté humaine. Seul Dieu nous détachera de notre volonté humaine lorsque nous la lui donnerons, mais pour cela il faut savoir ce qui nous a cloués. Qu’est-ce qu’elle a fait notre volonté humaine dans notre vie? Dieu le Saint-Esprit a commencé à nous le montrer.

Dieu le Saint-Esprit continuera à nous le montrer et nous donnerons : "Je te donne le jugement que je viens de me rappeler, je te donne : cause, choix et conséquences, car ce jugement c’est une conséquence. Je souffre à cause de cela. C’est un choix, c’est moi qui ai voulu choisir, j’ai été devant le péché, et j’ai dit oui au péché. Alors, Dieu, je te donne tout cela."

Il nous apprend à donner, il n’a que faire de nos holocaustes. Il veut que nous soyons vivants. Ce que nous ne lui donnerons pas, il ne le prendra pas parce qu’il est l’amour, s’il n’était pas amour, il nous aurait obligés, alors il a attendu. Dieu a attendu que nous soyons prêts à lui donner tout ce qui a meurtri notre chair. Tout ce que nous avons consenti avec notre pensée, avec notre écoute, avec notre parole, avec ce que nous avons fait, avec notre cœur, eh bien, devra être donné et ça ne se fera pas du jour au lendemain parce que tout ce qui a été dans notre vie, c’est depuis la première chair : Adam, jusqu’au dernier qui, lui, devra dire oui à Dieu : "Je ne veux plus de ma volonté humaine."

Nous porterons tous nos frères et nos sœurs. Toute souffrance est en nous, on ne peut pas éviter ça. Leurs pensées vont devenir nos pensées, leurs souffrances nous les vivons, mais nous allons les accepter comme étant nous qui avons causé la souffrance.

Chacun va vivre sa purification. Nous ne ferons pas la purification de nos enfants, de nos petits-enfants. Non, ils devront passer par où le Christ a passé. Le Christ a été ressuscité, glorifié. Est-ce que Dieu va priver nos enfants, nos petits-enfants de goûter à cet amour, à ce mouvement : la résurrection de la chair, la gloire? Nous redeviendrons vivants en notre chair.

Ceux qui vont et ont commencé la purification de la chair et qui demain vont se présenter devant Dieu, la chair ira dans ce repos parce qu’elle n’a pas terminé la purification, mais ce qu’elle a commencé, Dieu le mettra dans la balance.

Nous avons commencé une ère d’amour pour notre chair : Dieu vient parler en nos cœurs. C’est le plus grand rassemblement qui se fait en ce moment : Dieu vient chercher ses enfants et les ramène à sa Demeure.

Nous avons fui notre cœur, là où Dieu nous a toujours parlé; maintenant, nous allons entrer chez nous, dans notre cœur, là où Dieu nous attend : voilà le retour.

Nous sommes enfants de Dieu, nous avons été en Jésus. Nous sommes l’Église, nous ne sommes pas en dehors de l’Église, nous sommes en Jésus, Jésus est en nous. Nous, nous avons fui notre présence avec Jésus. Nous, nous avons consenti à vivre dans ce monde et le monde de Jésus n’est pas ce monde. Nous avons été en dehors de chez nous, nous appartenons à Jésus, à l’Église de Jésus.

L’Église, c’est le Cœur de l’Amour et c’est là que nous allons retourner. Notre chair reconnaîtra qu’elle est parfaite, notre chair reconnaitra qu’elle est immortelle.

Lorsque tout sera accompli, nous serons les élus qui vivront d’amour, nous serons les élus qui ne connaîtront plus le mal jusqu’au jour où Satan reviendra pour tenter les élus et là, Jésus de son souffle l’anéantira. Là, ce sera la fin du monde, mais ‘fin du monde’, c’est la fin du monde qui a été dans la souffrance : plus jamais les enfants ne seront tentés, plus jamais.

Là, les corps vont ressusciter : la chair qui n’a pas été purifiée s’unira à l’âme, la chair qui a commencé à se laisser purifier par Jésus ressuscitera et s’unira à l’âme.

Telle est la Volonté de Dieu et le mouvement de la Purification sera dans son accomplissement, dans sa gloire totale.

Dieu regardera son peuple et il dira : «Vous, élus du Très-Haut, vous qui suivez la Lumière, vous qui avez consenti à goûter à la Lumière, vous qui êtes d’âge en âge devant votre Dieu, adorant votre Dieu, soyez la blancheur de Dieu, avancez et pénétrez l’amour indéfinissable de Dieu, car vous avez accompli l’œuvre de l’Œuvre.

Vous êtes en moi et moi en vous, et parce que vous êtes en moi et moi en vous, vous serez éternellement ma splendeur, car je vous regarderai et je vous appellerai ma beauté.»

Chacun de nous, nous voulons atteindre cette beauté. Pourquoi voulons-nous être si beaux? C’est parce que notre chair appartient à Dieu et que notre chair est attirée par la Beauté. Tout ce qu’il y a de beau n’est que pour nous, tout ce qu’il y a de la pureté est ce que nous nous sommes, alors Dieu veut pour nous ce qu’il y a de meilleur, et la purification de la chair va nous montrer tout cela.

Alors, il dit : «Voilà, maintenant, reposez-vous. Levez-vous, car votre chair n’est pas encore purifiée.»

Merci.