Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Marseille, France,

par son instrument, la Fille du Oui à Jésus

 

2009-03-22         

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Alors, on va laisser pénétrer en nous ce que Dieu veut nous donner, et ce que Dieu veut nous donner, c’est au-delà de tout ce que nous, nous pouvons demander. Oui, nous demandons des grâces, nous supplions la Mère de Dieu de nous accorder des grâces qu’elle reçoit de la Trinité, mais nous sommes si petits devant cette immensité, ces besoins, ces besoins que le Ciel veut nous accorder, alors que nous, nous demandons si peu. Dieu veut nous donner encore plus que ce que nous, nous pouvons comprendre, car ce qu’il y a à l’intérieur de nous, c’est ce que nous, nous connaissons. Dieu connaît ce que nous, nous ne connaissons pas, et à Dieu de nous amener là où nous devons aller.
Ces temps nous sont montrés par la puissance de Dieu comme des temps d’amour, de révélations. Les grâces surabondent sur la terre pour nous amener à vivre ce que nous devons vivre sur la terre. Oui, nous vivons avec le mal, mais combien plus le bien veut nous accorder ce que nous on aimerait connaître : un bonheur parfait, l’harmonie avec nous et tout ce que Dieu nous a accordé. Nous voulons vivre en frères et en sœurs en l’Église, en Jésus.
Jésus est la Parole, et Jésus nous maintient en sa Parole, mais nous devons laisser plus de place à Dieu. Nous devons lui accorder toute notre vie et notre vie n’est pas seulement ce que nous voyons, c’est plus que cela notre vie. Notre vie, c’est depuis : premier créé jusqu’au dernier créé. Voilà notre vie. Notre vie a une valeur que nous, nous ne pouvons pas comprendre. Alors Dieu nous demande : «Donne-moi ta vie, je vais t’accorder ce que moi je veux pour toi. Mais lorsque tu te tiens dans ce que tu connais, tu te limites, et moi je veux te faire connaître ce qui est sans limites. Alors approche-toi et fais-moi confiance». Alors, pour réaliser tout cela, il va falloir qu’on lui donne de la place à Jésus, cette place que nous, nous avons contrôlée. Nous avons contrôlé la place qui revient à Jésus dans notre vie : "Jésus, je te demande de prendre soin de mes enfants, mais ils pleurent encore! Jésus, je te demande de changer mon mari, hum, j’ai encore de la difficulté à endurer son caractère, Jésus". On prend la place de Jésus et on discute avec lui sur tout ce que nous, nous lui demandons; alors Jésus n’est que témoin, il devient un témoin de notre propre souffrance.
Jésus, lui, dit : «Enfants d’amour, que faites-vous? Pourquoi ces lamentations? N’entendez-vous pas les cris qui viennent de votre cœur? N’entendez-vous pas ce son qui se fait retentir du plus profond de vous-mêmes? Ce son, ce sont les pleurs des enfants d’autrefois, ce sont vos pleurs, ce sont les pleurs de vos enfants et de tous ceux qui vont venir après vous. Cessez de vous lamenter et venez puiser, venez puiser à la source même de mon Eau vive, je vais vous donner ce que vous voulez. Ce que je suis, c’est l’amour de mon Père. Ce que je veux vous donner, c’est votre vie. Votre vie, mes enfants, est inconnue de vous-mêmes car vos yeux ont regardé trop l’extérieur. Je vais vous faire goûter à votre vie telle que vous vous la vivez maintenant à cause de tout ce qui est entré en vous. Je vais mettre en vous des grâces. Je vais mélanger tout cela avec ma lumière et je vais faire en sorte de vous faire pénétrer dans ce qui est, pour vous, une vie bien compliquée.
Tout cela, mes enfants, est nécessaire afin que vous puissiez vous apercevoir ce que vous, vous avez accepté dans votre vie et qui n’était pas pour vous. Il faut que cela soit, car une vie, mes enfants, inconnue est une vie qui ne se présente pas. Alors je veux vous présenter votre vie, je veux qu’elle soit devant vous, je veux que vous saisissiez toutes les paroles qui font parties de vous. Tout ce que vous avez vu sera pour vous, devant vous : vous regarderez. Tout ce que vous avez fait, vous devrez en savourer les fruits et je ne vous dis pas, mes enfants, que ces fruits auront la saveur du miel, vous devrez goûter à ce que vous avez semé, mais avec mes grâces, avec les grâces de ma Mère que le Ciel lui a accordées pour vous. Vous devrez passer par ce chemin, car ce chemin je l’ai connu, moi; vous, vous devez le connaître. Une fois que vous aurez connu ce chemin, vous amènerez avec vous d’autres enfants qui devront, à leur tour, connaître leur vie, et cela sera ainsi jusqu’au moment où mon Père décidera de présenter aux enfants de la terre leur vie.
Oh! enfants d’amour, il est bon de parler ensemble, il est bon de vous faire entendre ma Parole. Ma Parole n’est que saveur, ma Parole est la lumière, ma Parole est la vérité. Tout ce que vous deviez être est ce que moi je suis, mais ce que vous êtes aujourd’hui est le résultat de ce que la volonté humaine a voulu pour vous. Je suis la Divine Volonté, je suis le Verbe, et j’accomplis la Volonté de mon Père. En passant par moi, vous allez accomplir la Volonté de mon Père. En écoutant votre intérieur, vous allez comprendre l’amour de mon Père pour vous, vous ne vous rebuterez pas sur ce qui va être dans votre quotidien. Cela est important pour vous, car mon Père sait ce que demain sera et il va vous amener là où vous devrez être : dans sa Volonté, que dans sa Volonté.
Aucune volonté humaine ne pourra s’interposer entre l’enfant de Dieu que vous êtes et votre Père du Ciel, car moi, le Fils de Dieu, qui suis en vous, moi qui parle en ce moment en votre intérieur et que vous entendez à l’extérieur par la Volonté de mon Père, je vais vous guider. Je vais prendre en vous ce qu’il y a de meilleur : l’enfant, l’enfant de Dieu qui veut, qui veut obtenir toutes les grâces nécessaires pour vivre ces instants dans notre quotidien. Tout ce que vous vivez, mes enfants, est pour votre temps. C’est votre temps, petits enfants, que vous vivez en ce moment et moi je suis en mon temps, car le temps de mon Père est le temps du Fils, et vous devez vous accomplir dans le temps de mon Père. Combien d’entre vous avez souhaité ce temps, ce temps où vous verriez ce qui est en vous pour vivre votre vie dans la lumière de Dieu!
Vous allez guérir, mes enfants, vous allez être libérés du mal. Je vais me servir de vous, de votre petitesse, vous qui êtes si blessés. Toutes ces blessures, vous allez les ressentir en votre chair, mais à l’extérieur. Vous avez en vous tant de blessures! Votre chair est marquée par le mal et tout cela est invisible de vous-mêmes, mais les esprits impurs voient ces marques et ils les utilisent contre vous et ils les utilisent contre ceux qui sont en votre vie. Moi, l’Amour, je vais vous montrer, je vais vous faire ressentir que lorsque vous doutez de ma Volonté, cela est contre vous et vous en vivez les conséquences. Lorsque vous vous trouvez devant votre miroir et que vous regardez le visage qui se présente à vous et que vous dites : 'Qu’as-tu fait aujourd’hui? Pourquoi as-tu levé la voix sur ton enfant? Pourquoi est-ce que je n’ai pas su l’aimer? Pourquoi est-ce que j’ai été incapable de me taire?' Ce doute, mes enfants, se présente à vous, car vous doutez de l’amour que vous êtes, vous doutez de vous-mêmes. Mon Père a mis en vous l’amour, et que faites-vous de l’amour de mon Père? Vous ne l’utilisez pas, vous utilisez vos réflexions. Vous vous montrez tel vous êtes dans la souffrance, et vous regardez et vous vous jugez.
Oh! enfants d’amour, c’est la conséquence de votre manque de confiance envers ce que vous êtes : des enfants aimés de mon Père. Tout cela à cause de vos mauvais choix. C’est vous qui choisissez d’être ainsi, c’est vous qui prononcez ces paroles, c’est vous qui pensez ainsi et c’est vous qui ressentez cela devant votre propre image. Satan, Satan a réussi à mettre en vous son venin. Une fois qu’il a mis en vous son venin, il utilise ses acolytes pour vous maintenir dans le mal et il se joue de vous. Il vous utilise contre vous-mêmes et lorsque vous êtes contre vous-mêmes, vous êtes contre les enfants que vous aimez, contre vos frères, contre vos sœurs, car une seule pensée de vous ne peut demeurer pour vous-mêmes; cela voyage, mes enfants, à l’intérieur de vous et cela va toucher à tous ceux qui forment l’Église : le Corps Mystique. Vous n’êtes par seuls, vous êtes avec tous les choisis de mon Père.
Voyez et comprenez. Telle est la lumière de Dieu pour vous en ces temps. Il faut que vous preniez conscience de cela avec mes grâces, sans souffrance pour vous-mêmes. Je vous ai gagné ces grâces et ma Mère, ma Mère a été près de moi et elle vous a soutenus. Car, regardez-vous aujourd’hui, vous êtes capables d’entendre par la puissance de Dieu Trinitaire ce qu’il y a en votre vie et vous êtes prêts à tout accepter car, mes enfants, vous avez touché le bas-fond de votre vie sur terre. Vous ne pouvez aller plus loin, car ce qui est au plus profond de vous-mêmes vous a amenés dans la souffrance, incapables de croire que ce monde est sauvé, incapables de croire que vos enfants sont à moi et que j’en prends soin, incapables de croire que ce pays va redevenir la fleur de l’Église, incapables de saisir la puissance de mon Père sur tous les pays du monde. La terre est à mon Père, elle n’est pas aux hommes, et tout ce que contient la terre est à mon Père et le tout doit obéissance au Créateur. Comment vous, petits enfants, pouvez-vous douter de cela?
Tout est accompli, car mon Père a donné son Amour, mon Père a regardé son Amour, mon Père a glorifié son Amour, car JE SUIS est en mon Père et mon Père est en moi. Croyez-vous que Satan va m’arrêter de parler en les cœurs? Vous êtes à moi, vous n’êtes pas à lui. À moi de vous amener à découvrir la splendeur que vous êtes, à moi de vous faire découvrir que vous êtes enfants de mon Père. L’amour est en vous et c’est l’amour de mon Père, ce n’est pas votre amour. Vous êtes les choisis de mon Père et c’est mon Père qui a mis en vous son amour et, avec son amour, vous vivez sur cette terre, cette terre de larmes. À travers les âges, à travers l’infidélité à mon Père, mon Père vous a toujours conservés dans son amour éternel. Comprenez la puissance qu’il y a en vous. Cette puissance est sans limites. Il n’y a pas d’ombrage en l’amour de mon Père, il n’y a pas de faiblesse en l’amour de mon Père, il n’y a pas de tiédeur en l’amour de mon Père, alors ne soyez pas tièdes, soyez de feu. Le feu réchauffe et le feu éclaire. Soyez vrais. Vous êtes les choisis.
Ne regardez plus en arrière, ce qui est passé est passé. Ne donnez pas cela à Satan, car il va s’en servir contre vous. Moi, je suis le Présent et lorsque je vous amène, moi, en le temps voulu par mon Père, JE SUIS est avec vous et vous êtes au présent. Il n’y a pas de passé en moi. Que je vous parle d’Adam, de Moïse, d’Abraham, de Jacob, d’Isaac, et que je vous dis 'amen', vous êtes au présent. C’est moi qui vous fait présence, ce n’est pas vous, c’est moi qui vous amène là où mon Père le veut, ce n’est pas vous. Vous n’avez en vous aucun pouvoir si ce n’est la liberté de dire : oui, me voici. Mais, mes enfants, lorsque, avec ce que vous êtes, avec l’amour incompris de mon Père pour vous, vous allez dans ce passé, vous donnez le temps de l’amour à Satan, vous utilisez votre liberté et avec cette liberté vous prenez ce que vous êtes : l’amour de mon Père, et vous le présentez à Satan et Satan s’en sert. Il se sert des mouvements de vie, car vous êtes vie. Vous vous mouvez en mon Père, en moi. Vous êtes des petits verbes en le Verbe et lui, cet être de ténèbres qui n’est que le mal, se sert de ce que vous vous lui présentez. Vous le faites par ignorance, mais, mes enfants, vous le faites.
Je viens vous parler pour que vous puissiez comprendre ce que de tout âge l’homme, dans sa volonté humaine, a fait. Depuis que l’homme connaît la connaissance du bien et du mal, il utilise ce qui est à mon Père : la liberté, et il fait ce qui ne doit pas être fait devant mon Père. Oh! mes amours, je prépare ce qui est pour vous quelque chose de grand et d’inconnu de vous-mêmes. Pourquoi cela est inconnu de vous-mêmes? Parce que vous n’êtes pas au présent, vous êtes dans vos souffrances. Vous qui êtes de mon Père, vous qui avez en vous son amour, sa protection, rien ne devrait vous arrêter. Vous avez l’intelligence de mon Père, car l’intelligence est nourrie par mon Père, c’est l’amour. Vous avez le regard, mais il est assombri parce que vous ne pouvez regarder l’amour qui est de mon Père. Vous êtes sourds, mes enfants, sourds à l’appel de l’Amour.
Voilà que je parle en vous, voilà que je pénètre ce qui est sale en vous, mes enfants, pour vous faire voir, pour vous faire entendre, pour vous faire comprendre ce qui est pour vous : l’amour inconditionnel de mon Père. Et vous allez avancer, et chaque pas vous fera découvrir de l’intérieur pour l’extérieur ce que vous devez refuser, ce que vous devez donner, ce que vous devez remercier, ce que vous devez accepter pour vivre ce temps de guérisons et de libérations, jusqu’au jour où tous les élus de mon Père ne seront plus dans leur volonté humaine. Certains d’entre vous, vous savez de quoi il s’agit, d’autres le présument, d’autres commencent à vouloir le vivre. Je vous parle de ce que vous devez accomplir. Vous devez tout me donner : pensées impures, écoutes impures, regards impurs, paroles impures, vos actions impures et vos sentiments impurs. Je veux tout, mes enfants. Tout ce que votre chair a accumulé et qui fait de vous des enfants incapables de vivre dans la pureté.
Votre âme, amours de ma vie, est dans les grâces lorsque vous allez vers les sacrements. Votre chair est incapable de se maintenir dans la grâce sanctifiante, mais elle devra, elle devra être obéissante à ce que Dieu a préparé. Elle est le temple de votre âme. Vous êtes des tout petits bébés en ce moment qui commencent à vouloir ne rien faire, mais tout accepter. Comment pouvez-vous, petits enfants, aller à l’intérieur de vous prendre ce qui est en vous au plus profond de vous-mêmes, si profond que vous ne connaissez pas les âges qui se sont accumulés en vous pour vous maintenir dans la souffrance? Moi, je le sais. Moi, je vais vous prendre dans mes bras et je vais vous consoler et vous apprendrez à renoncer à vous-mêmes. Vous allez apprendre que le Ciel n’a pas besoin de votre force extérieure, de vos paroles extérieures, de votre regard extérieur. Le Ciel veut de l’abandon. Vous ne pouvez rien, mes enfants, contre ce qui est en vous, mais moi je peux tout.
À moi d’amener les esprits impurs au pied de ma Croix afin qu’ils y soient enchaînés. À vous d’agir comme des tout petits qui voient le mal et qui refusent le mal et qui disent : "Non, je ne veux pas faire de la peine au petit que je suis". À moi de vous guérir. Le tout petit fait confiance en Celui qui est le plus puissant et je suis la Toute-Puissance. Je vais aller guérir ce qui a fait de chacun de vous des êtres menteurs, des êtres hypocrites, des êtres envieux, coléreux, orgueilleux, des êtres avares, là où tout a débuté. Moi j’ai ce pouvoir et je vais faire cela pour vous lorsque vous, vous me le demanderez. Je vais vous mettre en présence même de ma Mère, ma Mère qui est remplie de grâces. Elle va vous accorder les grâces nécessaires pour votre abandon afin que vous puissiez persévérer.
Satan, mes enfants, va s’acharner contre vous au moment où vous allez avoir une seule pensée que vous êtes capables, que vous êtes grands; là il va attaquer, et vous, vous allez encore tomber. Vous allez, mes enfants, ressentir cette souffrance, mais lorsque vous allez redevenir le tout petit enfant, là une force en vous jaillira, vous retrouverez votre paix et vous refuserez. Vous me remercierez parce que je prendrai cet esprit impur qui s’est servi de votre orgueil et je l’enchaînerai. Vous serez reconnaissants envers votre Dieu, car je guérirai les mouvements qui vous ont empoisonnés et ces mouvements, mes enfants, sont en tous les enfants du monde. J’irai là où vous vous n'êtes pas capables d’aller et vous serez dans la joie de remercier ma Mère de vous avoir accordé des grâces d’abandon. Ainsi, sera un pas dans votre vie et vous en ferez un autre, et vous en ferez un autre et un autre et un autre, car je vous conduis dans mon monde d’amour là où les enfants de mon Père vivront en êtres de paix. Il n’y aura plus de mal, il n’y aura que de la joie et de l’amour. À vous de croire, à vous de vouloir, à vous de vous accomplir. Cela est pour vous. Vous avez la liberté de choisir. Cette liberté vous a été accordée par mon Père; vous ne l’avez pas par vous-mêmes, vous l’avez par mon Père.
Chacun de vous êtes présent aujourd’hui parce que c’est mon Père qui l’a voulu. Il a envoyé sa Fille Marie pour mettre dans votre cœur le besoin de venir entendre le Fils et, par la puissance du Saint-Esprit, vous avez été incapables par vous-mêmes mais, par lui, vous avez été dans la lumière, cette lumière qui vous montre votre intérieur. Tout est devant vous en ces temps. Le Ciel parcourt la terre à la recherche de petits enfants qui veulent se donner pour tous les enfants de la terre, et vous êtes de ces enfants et d’autres le sont. Et le Ciel va encore parcourir la terre, jusqu’au jour où le Ciel montrera sa puissance, car un signe se fera voir pour demander à chaque enfant de la terre : «Crois, car tu es devant la puissance de Dieu. Il t’est demandé ton oui». Chaque enfant devra le faire, mais il y en aura qui ne voudront pas, mais vous, petits enfants, vous les nourrirez de l’intérieur par les grâces que vous obtenez. Vous serez témoins de l’amour de mon Père pour eux, car lorsqu’ils vous regarderont, vous verrez leur regard qui se changera en questionnement, et peu à peu jailliront de vous ces paroles qui les consoleront, et ils apprendront que la volonté humaine a été contre eux. Vous ferez ce que moi je fais pour vous, non pas avec votre volonté humaine, mais avec ce que je suis en train de vous faire connaître : la Volonté de mon Père, l’amour de mon Père, la puissance de mon Père. Tout est pour vous, enfants d’amour. L’Amour vous aime.

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Ce que le Seigneur en ce moment fait pour nous, il le fait pour tous ses enfants. Ces instants sont des instants voulus de Dieu dans son éternité. Nous sommes entrés dans le temps de Dieu et nous apprenons à quitter notre temps : un temps d’interrogations, de doutes, d’inquiétudes. Bientôt, nous ne voudrons plus aller dans le passé, ce passé que Satan a toujours voulu nous maintenir. Il se sert de nos pensées, de nos blessures, pour nous maintenir là où nous souffrons. Ainsi, il nous amène dans l’avenir et lorsque nous sommes dans l’avenir, nous voyons ce que nous sommes sans Dieu, car lorsque nous voulons que ... : 'Dieu, qu’est-ce que tu fais? Pourquoi mes enfants sont ainsi? Qu’est-ce qui va arriver, comment on va vivre?', voici que ce temps est un temps voulu de notre volonté, manipulé par Satan, car Dieu est au présent, il n’est pas dans notre passé et il n’est pas dans notre futur, il est au présent. C’est lui qui nous amène en lui, ce n’est pas nous.
Lorsque nous sommes dans le passé, eh bien, il n’est plus, nous l’avons mis de côté. Nous sommes là à ruminer nos souffrances et nos souffrances nous nourrissent. Continuellement elles nous nourrissent et Satan, lui, il est toujours en train de nous voler. Il ne peut pas nous voler au présent lorsque nous sommes en Jésus, parce que nous sommes en la Lumière. Il a refusé la Lumière, il a refusé d’adorer, de contempler et de servir Jésus, donc il ne peut pas être au présent; alors, lui, il veut nous amener dans le passé ou dans le futur, ainsi il nous maintient.
C’est nous qui nous nous mettons au passé. Une fois qu’on est au passé, là il fait ce qu’il veut de nous : "Tu t’inquiètes, ton enfant va plus à l’église, crois-tu qu’il va être sauvé? Qu’est-ce que tu vas faire avec tes petits-enfants? Ils sont aux prises avec Harry Potter, et regarde comment ils s’habillent; ils sont plus capables de se nourrir comme il faut? Regarde ta mère, ta mère est dans un Centre de personnes âgées, elle va mourir, qu’est-ce que tu vas faire sans elle? Tu vas t’ennuyer, hein, à ne plus penser à ce qu’elle est en train de faire? As-tu pensé à tout l’avenir de tes enfants? Qu’est-ce qui va arriver avec ta retraite? Est-ce que le gouvernement va encore être pour toi ou contre toi? Est-ce qu’on va t’enlever ce que tu as déjà acquis?" Alors on est dans le futur, on n’est pas dans le présent et c’est Satan qui fait ça. Et en faisant cela, eh bien, nous, dans le passé, on se maintient dans une tristesse, on se maintient dans la peur pour nous amener au futur : 'Là, je vais régler mes affaires. Avec ma peur, j’vais essayer de trouver une solution au cas où je n’aurais plus d’argent. Avec mon doute, je vais essayer de penser comment je pourrais aider mes enfants, même s'ils ne viennent plus à la messe, même s'ils ne veulent plus entendre parler de Dieu.'
Voyez-vous, Satan fait ce qu’il veut de nous. Ainsi, nous pouvons être entre ses mains un objet facile : juger, ne plus avoir confiance en Dieu, démontrer à nos enfants ce que nous sommes devenus : des parents possesseurs, manipulateurs, des parents qui n’ont pas confiance en ce qu’ils disent. Nous sommes une image; alors nous sommes une image bien fanée ou nous sommes une image remplie d’illusions. C'est ce que nous présentons à ceux qui sont autour de nous et que nous aimons. Alors, comment regarder notre visage le matin devant notre miroir et être heureux de ce que nous voyons? Nous avons de la difficulté à nous dire : 'Je m’aime, je m’aime parce que je suis moi-même. Je m’aime parce que je fais confiance en Dieu face à moi-même, face à mes enfants, face à mon avenir qui sera l’avenir de tous ceux qui sont avec moi.' Comment dire cela? Cela est impossible parce que nous voyons ce qu’il y a en nous : des regards inquiets qui se détournent, qui posent des questions, qui se camouflent : 'Bon, un petit peu de maquillage, ça va peut-être changer ma peau qui commence à plisser; tiens, je vais me coiffer d’une telle façon, comme ça, et avec le temps, bien, j’arriverai à oublier qui je suis. J’arrive à oublier que je m’aime pas. Je suis une autre personne, alors je ne suis plus moi-même et c’est ce que je présente à ceux qui sont autour de moi.'
Nous sommes des étrangers, nous ne sommes pas dans notre demeure. Voilà pourquoi on dit souvent : 'Comment est-ce que j’vais faire pour prier avec le cœur? Comment est-ce que je peux faire, moi, pour entrer en moi?' Et pourtant, nous sommes enfants de Dieu. On ne devrait même pas se poser cette question, tout devrait être au présent : me voici. Mais on doute de nous-mêmes parce qu'on ne s’aime pas, alors lorsqu’on dit : "Jésus, je t’aime. Donne-moi des grâces, Jésus, pour que je puisse ressentir cet amour. Donne-moi des grâces, Jésus, pour t’aimer, t’aimer et t’aimer, parce qu’il y a des moments, Jésus, j’ai l’impression que je ne pense plus à toi, que tu n’es pas dans ma vie. J’ai travaillé pendant huit heures et j’ai honte, j’ai honte parce que je n’ai pas pensé à toi. Aujourd’hui, j’suis tellement fatigué, je n’ai pas dit mon chapelet." Eh bien, si on s’aimait, on saurait que c’est Jésus qui a travaillé pendant huit heures; pendant huit heures Jésus nous a nourris de grâces, pendant huit heures nous avons été en contact avec sa puissance, avec son amour, avec la Volonté de son Père afin de lui présenter ses fruits. Voilà le plus beau chapelet rendu au soir! Je me suis accompli!
Satan ne veut pas qu’on soit dans notre présent. Il veut nous maintenir dans notre passé; ainsi, même si nous sommes devant notre assiette bien remplie, eh bien, nous ne mangeons pas avec amour, on mange parce que c’est nécessaire, on mange parce que c’est l’estomac qui nous le dit. Mais Jésus, il nous donne ce qu’il y a de meilleur et qui vient de nos frères et de nos sœurs, et cela nous est présenté. Nous devons manger par amour : "Merci, Seigneur, parce que c’est toi qui me donnes ce que j’ai aujourd’hui, et même si c’est un tout petit peu, je sais que ce que j’ai vient de toi et cela est sans limites; il ne m’en faut pas plus pour obtenir ce qui m’est nécessaire pour demain". Nous, on ne s’aime pas assez pour ça, ça nous en prend beaucoup, on pense plus à l’estomac qu’à l’amour. Comment on va faire lorsqu’il y aura des moments où nous serons privés de nourriture? Il faut commencer aujourd’hui, il faut commencer aujourd’hui à nous laisser nourrir de l’amour de Dieu pour que nous puissions vivre notre présent, dans la force de Dieu, dans la puissance de Dieu. C’est ce que Dieu veut pour nous.
Oui, on nous prépare pour ce qui s’en vient : des temps où il y aura, pour certains, de la récession très forte, le portefeuille sera très mince, mais Dieu prépare ce temps et ce n’est qu’avec l’amour qu’il prépare ce temps. La France est un modèle d’amour et vous avez oublié votre France. Marie-Madeleine est venue ici accompagnée de sa sœur, de son frère, accompagnée de leurs amis et ils ont vécu avec l’amour de Dieu, et c’est l’amour de Dieu qui les nourrissait. Ils n’allaient pas au supermarché : ils avaient l’amour de Dieu; ils n’avaient pas les habits chauds, bien épais, avec les foulards, leurs manteaux de fourrure : ils avaient l’amour de Dieu; ils ne se fiaient que sur Dieu et pas sur leur volonté humaine et cela a amené de l’amour en ce pays. Et les gens ont commencé à faire confiance en l’amour et non pas en des futilités, en ce qui n’était rien, car l’esprit du mal était sur cette terre, mais eux ont regardé et ils ont voulu connaître l’amour.
N’oubliez pas que l’esprit du mal les voulait à eux. Il les maintenait dans une grande souffrance, dans la peur, et eux croyaient, ils croyaient qu’il y avait des pouvoirs autour d’eux qui étaient plus puissants qu’eux et se maintenaient sous ce pouvoir. Lorsque les amis de Jésus sont arrivés ici, il leur a parlé de l’amour et c’est cet amour qui les a nourris et qui leur a montré qu’ils étaient eux-mêmes de l’amour. Ils ont commencé à faire confiance à Dieu, ce qui les a amenés à faire confiance en leur prochain. Voilà ce que nous, nous devons comprendre. Nous devons cesser d’avoir peur. La peur ne nourrit pas, la peur éloigne, la peur vide, la peur refroidit. Alors, comment voulez-vous que nous ayons chaud à l’intérieur de nous? Comment pouvons-nous nous maintenir ensemble et faire confiance qu’un autre qui a reçu des talents de Dieu peut nous aider? Nous devons être ensemble pour nous maintenir dans la force de Dieu. La force de Dieu est en tous les enfants de Dieu. Chacun de nous avons reçu de Dieu pour le prochain.
Regardons-nous. Avons-nous tous les mêmes traits? Nous n’avons pas tous les mêmes traits, mais nous avons tous le même regard : le regard de l’amour. Certains entendent ce que d’autres n'entendent pas, mais l’écoute doit servir. Alors, nous voulons tous servir l’amour. Voilà ce qui va aider les uns et les autres. Chacun de nous avons des facilités de faire telle ou telle chose, d’autres ont des gros muscles, d’autres un petit peu plus petits, d’autres sont plus vite, d’autres sont plus lents, mais nous avons tous reçu de Dieu le mouvement, l’action. Alors, servons-nous de ce qui est à Dieu et donnons-nous de l’amour. Chacun va s’entraider avec ce que Dieu nous a donné. Pourquoi avoir peur?
Lorsque la France était sous l’emprise de nos frères les Anglais qui, eux, étaient manipulés par Satan, la France se maintenait dans la peur et elle ne bougeait pas. Il a fallu une enfant, une toute jeune fille pour leur montrer que Dieu avait donné une force : "Rassemblez-vous, rassemblez-vous pour la foi, pour le règne de Dieu, pas pour abattre les enfants de Dieu, mais pour la foi, pour le règne de Dieu, pour l’amour". Et ils ont avancé. Mais Jeanne d’Arc n’a quand même pas chanté sur la mort, non, elle a pleuré, elle a pleuré parce qu’elle savait que cela n’était pas de Dieu, mais l’œuvre de Satan. La volonté humaine, qui est incapable de se maintenir dans l’amour, elle se préparait à en vivre les conséquences. Elle qui a démontré que seuls la foi et l’amour de Dieu étaient pour vaincre le mal, elle savait que les hommes n’étaient pas prêts encore à vivre un amour inconditionnel, car elle pleurait aussi bien sur les Français que sur les Anglais. Elle aimait, elle aimait ses frères. Elle s’est battue contre la violence, elle s’est battue contre l’injustice, elle s’est battue contre le mal et elle a été un témoin d’amour pour nous. Mais elle a tout accepté jusqu’au bout afin d’être un témoin de l’obéissance.
L’homme n’était pas encore prêt à renoncer à sa volonté humaine. C’est cette volonté humaine qui l’a fait monter au bûcher et elle savait. Il n’y avait aucune haine en elle contre ceux qui l’ont amenée au bûcher, elle était trop amour. Elle était une enfant de Dieu. Elle avait entendu la Voix, elle avait vu ceux qui étaient amour pour Dieu, comment ne pouvait-elle pas pénétrer cet amour, comment ne pouvait-elle pas se donner? Elle ne pouvait pas se retenir, tout la saisissait de l’intérieur et non pas de l’extérieur, mais de l’intérieur, car les voix étaient en elle et ce qu’elle voyait de l’extérieur venait du plus profond d’elle-même : la Volonté de Dieu, l’amour de Dieu. Cette force l’a amenée là où elle devait aller : à être obéissante à Dieu pour démontrer au monde entier qu’il faut se réunir dans l’amour pour l’amour, afin que le règne de Dieu soit sur la terre. Elle est devenue un symbole d’amour pour nous, pour le monde entier. Partout dans le monde entier on parle de Jeanne d’Arc, elle qui, une toute petite fille, partit pour la gloire de Dieu.
Elle s’est battue pour nous et qu’avons-nous fait? Elle est montée sur le bûcher. Pouvons-nous, nous, être indépendants de ceux qui l’ont amenée sur le bûcher? Qui d’entre nous n’a pas connu la peur? Qui d’entre nous n’a pas jugé son prochain? Qui d’entre nous n’a pas à un moment donné eu le besoin de se donner un bien-être? Nous avons tous voulu cela. On aime bien s’asseoir sur un banc, on aime bien se réchauffer, on aime bien manger nos trois repas, on aime bien dormir avec une couverture, eh bien, c’est à cause de cela qu’eux l’ont brûlée, car ils ne voulaient pas perdre ce que la volonté humaine leur procurait : le pouvoir d’être un homme et une femme en ce monde. Ils ne voulaient pas s’effacer comme elle, elle, elle s'est effacée. Elle, elle a disparu complètement pour se donner à Dieu. Elle a renoncé à ce qu’elle était : une jeune fille. Elle a renoncé à sa beauté, elle a renoncé à son confort, elle a renoncé à tout son avenir, elle a renoncé à ce que les autres pouvaient lui apporter. Elle a disparu par amour pour son Dieu, car Dieu lui demandait : «Va, va dire à mon choisi qu’il doit se maintenir droit devant son peuple, car il est choisi de Dieu». Elle, elle a obéi; elle, elle a été jusqu’au bout. Elle n’a pas dit : "Est-ce qu’il va, lui, aller jusqu’au bout?" Non, elle faisait confiance en l’amour de Dieu qui la maintenait dans la fidélité de l’amour du prochain.
C’est ce que Dieu veut que nous on puisse découvrir. Nous devons vivre ce qu’elle a vécu, mais sans les grâces de Dieu comment on va pouvoir le faire? Est-ce qu’elle s’est inquiétée, elle? "Qui va me procurer le cheval? Qui va faire en sorte de me montrer tel ou tel chemin? Où est-ce que je vais aller chercher le roi? Comment faire pour franchir ses gardes? Une fois que tout cela est fait et accepté, comment je vais faire, moi, pour me présenter devant tous ces soldats? Qu’est-ce qui va arriver à ma pureté?" Non, elle n’avait qu’une seule chose : l’amour, la liberté de dire : oui, me voici. Et c’était tout ce qu’elle avait besoin; le reste, c’est l’affaire de Dieu et c’est ce qu’elle a fait. Et c’est ce que Dieu est en train de nous enseigner. La première chose : «Acceptes-tu de renoncer à ta volonté humaine? Acceptes-tu d’entrer dans le Oui du Christ?» Car à l’instant où tu entres dans le Oui du Christ, tu pénètres tous les oui, tu viens à ressentir ces oui, ces oui qui doivent être prononcés par des enfants souffrants, des enfants qui sont dans la peur, des enfants qui ne veulent pas encore quitter leur volonté humaine.
La Passion, voilà ce que Dieu va nous faire pénétrer : sa Passion, un amour, un amour pour nous-mêmes, un amour pour le prochain et c’est lui qui va le faire, car notre amour pour lui va être tel qu’on passera là où nous, à un moment donné, on ne voudra pas passer. Mais il va nous demander : «As-tu confiance?» – oui, Seigneur – parce que le oui reviendra toujours, et là, il nous fera passer, et il nous amènera à connaître toutes souffrances : les nôtres et celles de notre prochain et nous l’accepterons. Après cela, il nous fera goûter à ce qu’est porter la croix de notre prochain : 'Ne t’inquiète pas, je suis là. Regarde, je ne suis pas mieux que toi. Viens, on avance ensemble. Ta croix est trop lourde? Donne-la-moi, je vais avancer avec toi dans le silence; mon silence te donnera des forces, on marchera ensemble. Lorsque tu seras à terre, je m’arrêterai, je t’attendrai. Je ne te montrerai pas que je suis debout et que toi tu es à terre, je me mettrai à terre auprès de toi et je te parlerai au creux de l’oreille et je te dirai : je t’aime, tu n’es pas plus mauvais que moi, regarde, je suis à terre comme toi.
'Alors ensemble, on va écouter ce que Dieu a à nous dire, car nous montrerons que ce que lui a besoin, nous, nous en avons besoin, et là on se lèvera ensemble et on continuera. On regardera ensemble le monde d’aujourd’hui, on regardera la destruction de ce monde et là, on se dira : regarde pas, regarde pas cela, regarde la Croix, regarde Jésus qui nous dit d’aimer. Ils ont besoin de l’amour en nous, ils n’ont pas besoin de notre conversation inutile. Viens, viens, on va lire la Bible ensemble. Viens, avec les enseignements que Jésus nous a donnés en notre cœur, nous allons comprendre ce que nous sommes en ce moment en train de vivre et là on va avancer ensemble. On fermera notre porte au mal, car on ne laissera plus entrer en nous de l’inquiétude. N’aie pas peur et on va faire un bout de chemin ensemble. Tu vois, on n’est pas seul.'
Dans le monde entier, Jésus est en train de préparer les cœurs et on parlera, on parlera ensemble. À des moments, on se réunira ensemble et là on verra des regards tout chauds, on entendra des paroles remplies d’espérance, on touchera à la foi et on avancera. On continuera, et là, Dieu nous montrera que tout ce que nous sommes est devenu un don. Oui, je te donne tout ce que je vois et qui t’a fait de la peine; je te donne tous les mauvais choix, car ces mauvais choix qui ont été en nous, en chacun de nous, ont été faits à cause de la tentation. Oui, on donnera ces causes, les causes, ces tentations, on les donnera et on ne regardera plus en arrière, on dira, j’avance. Oui, j’ai volé, mais j’avance aujourd’hui; oui, j’ai menti, mais j’avance aujourd’hui; oui, j’ai été orgueilleux; oui, mais j’avance aujourd’hui. Oui, je vais encore tomber, mais on est ensemble et d’autres donneront cause, choix et conséquences et on avancera. Et on passera, on passera à travers, à travers les personnes qui ne sont pas prêtes et on donnera sans juger, sans avoir peur, et l’amour se gonflera en nous, car là on se servira, on se servira du pouvoir que Dieu a mis en nous : l’amour, et là, on refusera.
Je refuse ce mensonge qui vient à côté de moi et qui veut que je mente. Oui, Jésus, on te remercie d’envoyer ce mensonge, cet esprit du mal au pied de la Croix, car nous croirons que seul Jésus a la pouvoir de les enchaîner au pied de la Croix. Oui, nous saurons que cela se fait à l’instant même où nous le disons ce merci à Jésus. Oui, nous serons ainsi et nous nous accomplirons parce que c’est Dieu qui nous le demande avec son amour et nous recevrons, nous recevrons le fruit de notre accomplissement : la guérison. Oui, il y aura des guérisons pour tous nos frères et nos sœurs du monde entier afin qu’ils puissent à leur tour nous suivre. Nous serons capables de dire : merci Marie, toi l’Immaculée, toi qui n’as jamais tenté Dieu pour te consoler. Tu as tout accepté, tu as médité cela en ton Cœur et parce que cela est, tu es la Médiatrice de toutes grâces. Et nous aurons des grâces par Marie et nous allons persévérer, et c’est ce que Dieu nous montre.
Ensemble, nous nous maintiendrons dans cette force. Nous serons ce que Jésus veut qu’on soit pour ce temps, et pas pour demain, pour aujourd’hui. Ce que nous faisons aujourd’hui nous prépare pour demain, seulement pour demain. Un autre jour sera accompli en Jésus et là, nous serons prêts pour vivre notre autre demain : le présent, cette vie éternelle, car nous sommes la vie éternelle en la Vie Éternelle. Alors, nous serons tous l’amour et Satan verra, verra que ses acolytes sont en train de se laisser enchaîner par Jésus, car ils n’ont pas d’autres choix que d’écouter Jésus. Mais il faut le demander. Jésus attend après nous pour qu’on lui dise : merci de les envoyer au pied de la Croix. Il ne le fera pas si nous ne le faisons pas. Il veut qu’on passe où lui a passé. Alors, accomplissons-nous.
Il n’y aura plus d’enfant qui se séparera. Dieu unira les cœurs et les cœurs ne pleureront plus. Lorsque cela sera, il y aura une telle joie en nos cœurs. Comment pouvons-nous vouloir ressentir cette joie alors que les autres ne sont pas encore prêts? Nous allons comprendre que la seule joie qui sera pour nous une joie d’une extrême valeur, c’est lorsque nous serons tous dans la même joie. Mais, pour cela, ramenons-nous au début : il ne faut plus de volonté humaine. Nous sommes prêts à vivre une civilisation de l’amour là où il n’y aura plus de mal, intérieur et extérieur. Alors, il ne faut pas demeurer dans notre fameuse volonté humaine, elle n’est pas pour nous, elle est contre nous. Mais notre chair, elle doit obéissance à Dieu; pour cela, il faut qu’elle obtienne une force et cette force, elle doit la recevoir par Jésus lui-même. Notre chair doit être marquée d’un signe, d’un signe qui rappellera à la chair qu’elle est à la Divine Volonté et non pas à la volonté humaine.
Adam, lorsqu’il a désobéi, il est entré dans sa volonté humaine : connaissance du bien et du mal. Maintenant, nous savons que Jésus nous a regagné notre place en la Divine Volonté et notre chair doit le reconnaître. Alors, en acceptant une marque sur le front, cela signifie que notre chair doit se maintenir dans l’obéissance à la Divine Volonté et non plus à la volonté humaine. Mais cela ne fera pas que, du jour au lendemain, on ne sera pas sous l’influence de la tentation; oui, encore, mais cette marque nous donnera une force. C’est comme si on recevait ce signe-là, un signe. Maintenant, Dieu voit, les anges purs voient que nous acceptons et les anges impurs voient cette marque; ils le savent maintenant que nous venons de refuser la volonté humaine. Ils vont encore s’acharner contre nous en se servant de ce qu’il y a à l’intérieur de nous, mais ils savent qu’il y aura bientôt une fin. Un bon nettoyage reste à faire à l’intérieur de nous.
Nous avons ici un prêtre qui est le Christ-Prêtre : Jésus, et c’est seulement Jésus qui peut nous marquer sur le front. Nous pouvons recevoir cette marque une fois seulement, mais nous pouvons revenir pour ceux qui sont en nous, c’est-à-dire, on leur obtient des grâces.
À eux d’accepter la marque, mais à nous de les aider pour qu’ils l’acceptent cette grâce : la marque sur le front. Alors, nous allons laisser toute la place à celui qui nous a été envoyé par le Ciel devant notre seul Dieu. Levons-nous et remercions, remercions notre Dieu pour tout ce que nous venons d’obtenir.
"Ô Dieu d’amour, voici que nous nous maintenons devant toi. Nous voici tous ensemble depuis que tu es en chacun de nous. Adam, notre premier parent sur la terre, a été pour nous un signe d’amour. Nous avons regardé Adam comme étant celui qui nous avait fait souffrir. Maintenant, nous reconnaissons qu’il est l’amour et qu’il nous a donné sa chair et que sa chair s’est multipliée jusqu’à nous, afin d’être aujourd’hui dans la grâce de reconnaître que nous venons de la seule Chair qui est la Chair de Celui qui est Jésus, le Fils de Dieu fait Homme. Par notre premier parent, nous sommes aujourd’hui devant toi. Nous nous reconnaissons être des petits qui ont été incapables de comprendre cet amour éternel, cet amour qui nous a maintenus en vie aujourd’hui.
Par la Mère de Dieu, la Divine Marie, nous avons obtenu des grâces afin que nous puissions reconnaître que nous sommes à toi, ô Dieu Éternel. L’humble Marie nous a maintenus dans l’humilité afin que nous puissions aussi reconnaître que nous sommes enfants d’Ève, celle qui a reçu la vie pour procréer. Mère d’amour, aujourd’hui nous remercions le Ciel d’avoir été sous ton regard pour accomplir depuis toute éternité la Volonté de Dieu qui est de prononcer notre oui à ton Fils, celui qui nous ramène en la Divine Volonté."
La Mère de Dieu veut que nous fassions sur notre chair entière le signe que nous venons de recevoir sur le front. Faire notre signe de la croix avec l’amour de la Mère de Dieu pour son Adorable Fils sera pour nous une grâce, car c’est elle la Mère de Dieu, debout au pied de la Croix, qui nous a gagné le droit de faire notre signe sur notre chair. Amen. Au nom du Père, du Fils, du Saint-Esprit. Amen.

Alors, ce que nous venons d’entendre, Jésus nous met cette croix et la Mère de Dieu, par la grâce que nous recevons, nous avons le devoir maintenant de le faire sur notre chair. Merci Marie. Amen.