Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Mayenne, France,

par son instrument, la Fille du Oui à Jésus

 

2009-03-10 - Partie 2

 

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Est-ce que ça fait 15 minutes? Alors, on peut en poser une autre.

 

Q. Inaudible.

 

R. La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Eh bien, plus vous allez être dans la paix, dans la joie, dans l’amour, plus vous reconnaîtrez le langage de Dieu. Satan et les esprits impurs, on les a bien reconnus, nous : il nous a tentés par le vol et nous avons entendu : nous avons volé; il est venu, il nous a tentés par l’orgueil : on s’habille, on se coiffe, on se maquille; 'toi, t’es pas à ma hauteur, moi je te juge, toi pousse-toi, je m’en vais en avant, tu es en arrière, ne prends pas ma place, parce que ce que je viens de quitter est à moi'; ça, c’est ce que nous avons entendu.

Et alors, maintenant, voici le contraire qui s’en vient. Nous allons vivre en Dieu. Nous allons entendre que ce que je suis en ce moment même n’est pas de moi, c’est le langage de l’amour. Alors, le langage de l’amour se fait entendre. Amen. Merci Seigneur.

Q. Inaudible.

 

R. La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Il faut lire les livres, les petits cahiers. C’est le chemin. C'est le Cœur de Marie qui nous a amenés sur ce chemin, et ce chemin s’est écrit en nous et on a pu l’écrire sur des feuilles. C’est de toute beauté. Est-ce qu’il y a une question?

 

Q. Comment enlever notre volonté humaine?

 

R. La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Première chose : ne pas faire comme le Pharaon. Dieu a demandé de laisser sortir son peuple. Dieu nous demande : «Aime ton prochain, aime ton prochain inconditionnellement». Et à l’instant où on dit oui, alors il va dire : «Maintenant, je prends ta volonté humaine, car si tu te gardes dans ta volonté humaine, tu ne pourras jamais aimer ton prochain inconditionnellement». Et c’est ce que le Pharaon n’a pas compris. Il se disait être Dieu, hein, le soleil : le soleil se lève parce que je veux qu’il se lève. Il était une volonté humaine de A jusqu'à Z. Il voulait brimer tous les enfants de Dieu.

Alors Dieu va nous demander simplement : «Aime ton prochain, je vais te montrer». Car lorsque le peuple de Dieu est sorti, il l’a amené dans le désert. Qu’est-ce qui a commencé? Une nuée les suivait partout et Moïse se laissait instruire par Dieu lui-même, et les enfants pouvaient savoir que Dieu instruisait Moïse. Et Moïse sortait et il instruisait les peuples. Alors, laissons-nous instruire par la Divine Volonté. Dieu lui-même vient nous instruire, mais notre chair ne voit pas encore la nuée, elle est trop impure encore.

Nous, lorsque notre chair sera purifiée, nous verrons à l’intérieur de nous le Fils de Dieu dans toute sa gloire. Telle est notre récompense, car eux ne méritaient que la nuée parce qu’ils avaient – Seigneur! - des têtes de cochon! Alors, nous devons vivre ce que nous allons vivre. Amen.

Q. Comment on purifie notre chair?

 

R. La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : L’autre question avant, c’était : comment enlever notre volonté humaine? Maintenant, la deuxième question : comment on se purifie? En se laissant faire. C’est Dieu le Purificateur, ce n’est pas nous. Il vient directement nous parler en notre cœur. Pourquoi en notre cœur plutôt qu’en notre chair? Parce que nous avons consenti à nous consacrer au Cœur Immaculé de Marie. Eh bien, Marie, elle, a nourri notre cœur et nous avons pu comprendre que ce que nous sommes, nous le sommes par le Fils. Il nous a donné sa chair, il nous a donné son sang et nous nous nourrissons de son Corps et de son Sang. Alors notre cœur s’est gonflé d’amour pour tous les enfants du monde.

La purification de la chair, c’est la purification de toutes les chairs. Alors, il fallait que nous puissions comprendre ce sacrifice d’amour qu’est notre seul Dieu : un Père qui dit oui, un Fils qui répond oui à son Père, le Saint-Esprit qui nous fait comprendre ce oui : celui du Père et du Fils. Il fallait que cela soit pour que nos cœurs puissent répondre à l’appel de Marie qui nous conduit dans le Cœur de son Fils afin qu’on puisse paraître complètement, car nous serons enfants de la Divine Volonté : ne plus être dans notre volonté humaine, mais être dans la Divine Volonté. Amen.

Alors, nous allons poursuivre, questions et réponses.

 

Q. Est-ce que le Seigneur peut se servir d’une maladie pour nous purifier?

 

R. La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Oh, maladie d’amour! Cela ne nous a pas conduits là où nous devions apprendre, cela nous a conduits à pleurer sur notre chair qui ne comprenait pas que cette maladie était la conséquence des mauvais choix devant le péché.

Dieu est amour, Dieu est tendresse, Dieu est notre Sauveur. À cause de nos mauvais choix devant les tentateurs, nous avons fait souffrir notre chair. Notre amour a été tel que nous nous sommes vus devant notre Dieu incapables de comprendre ce qui nous arrivait. Alors, nous avons étendu les bras vers lui et nous avons espéré que cette maladie était purifiante à cause des péchés et nous avons voulu porter une croix, une croix d’amour, une croix qui démontrait : "Jésus, prends ma souffrance, prends la souffrance de ma chair et aime-moi parce que je t’aime. Mais je ne sais pas comment t’aimer avec ce que je suis dans ma pureté, mais à travers ma souffrance, tu peux comprendre que je regrette, je regrette ce que ma chair m’a fait subir, ce que ma chair a fait subir à toutes les chairs." Tout cela ne peut venir de toi, mais de Dieu.

Ce que nous sommes, nous le sommes pour Dieu. Dieu prend ce qui est contre nous et il nous le présente comme étant quelque chose qui nous apporte des grâces. La purification de la chair ne se fera pas à travers la maladie. La maladie est une conséquence des mauvais choix devant la tentation, parce que tout enfant de la Divine Volonté ne devait connaître aucune souffrance, car Dieu a dit : «Parce que tu as désobéi, tu enfanteras dans la douleur; parce que tu as désobéi, tu travailleras à la sueur de ton front, car tu n’as pas mérité ce que moi je t’avais donné. Il faudra que tu le mérites. Tu travailleras la terre et elle te donnera ce que toi tu lui donneras. Tu auras des enfants et les enfants te donneront ce que toi tu leur donneras.» Soyons amour pour tout ce que nous faisons. Travaillons avec l’Esprit de Dieu. Soyons toujours reconnaissants que tout ce qui vient de la terre, c’est pour nourrir tous les enfants de Dieu. «Ne garde pas un seul grain d’épeautre que pour toi, car cela te donnera des sueurs. Ce que je te donne, je l’ai donné à tous mes enfants. Alors, partage afin que cela se multiplie; ainsi, ce que tu me présenteras aura une valeur inestimable, car je verrai tout ce que mes enfants auront fait pour moi lorsque je regarderai ton petit grain d’épeautre.»

Dieu veut tous ses enfants et Dieu aime tous ses enfants. Lorsqu’on donne à Dieu le fruit de la chair, lorsqu’on présente à Dieu ce qu’il a mis en nous, tout ce que nous sommes devient une offrande pour Dieu, tout ce que nous sommes devient l’amour pour Dieu. Alors, ce que nous, les femmes, sortons de notre sein devient pour nous de l’amour, devient pour nous ce que nous avons besoin pour avancer afin que nous puissions être présentées à Dieu. Chaque enfant qu’on offre à Dieu, eh bien, chaque enfant devient pour nous l’offrande, l’offrande qui est aimée par Dieu. Alors, Dieu regarde son enfant et il dit : «Comme tu es beau parce que la terre qui t’a nourri a donné son œuvre». Alors, chaque enfant qui vient au monde est, pour Dieu le Père, la beauté de tous les enfants de Dieu. Aucune personne sur la terre ne vient sans que tous les autres aient participé à cette offrande. Une seule pensée d’amour qui nourrit l’être nourrit tous les êtres. Une seule parole d’amour qui nourrit la personne qui parle nourrit toutes les personnes qui parlent. Une seule écoute d’amour est l’écoute de tous les enfants pour Dieu et Dieu écoute, écoute ce qui vient de lui.

On ne peut comprendre que si Dieu se fait comprendre. Tout ce que nous faisons en action et qui est bon devient un seul mouvement : celui de tous les enfants du monde. Cela est une nourriture. Cela ne peut pas nous tromper, car nous le ressentons dans notre cœur puisque nous avons un cœur pour aimer. Nous n’avons pas un cœur pour se séparer, car un cœur qui se sépare est un cœur qui meurt. Il faut être ensemble. Regardons notre cœur : il y a un cœur à droite, il y a une partie à gauche; séparez-le, il ne vit plus. Dieu a fait en sorte d’unir l’amour. Alors, nous sommes une nourriture pour tous les enfants de Dieu. C’est ce que nous sommes. Nous devons nous aimer inconditionnellement afin d’être pour tout le monde une nourriture sans fin. C’est ce que Dieu nous demande.

N’est-ce pas ce que nous faisons en ce moment même? Nous sommes une nourriture, en ce moment même, d’amour, d’espérance, de foi pour tous les enfants du monde, même ceux qui nous rejettent, même ceux qui ne croient pas en nous, même ceux qui nous ridiculisent, même ceux qui ne veulent pas qu’on leur parle de Dieu, même ceux qui nous haïssent jusqu’à vouloir nous faire disparaître de la terre. Nous sommes nourriture d’amour pour eux, car si nous sommes des enfants d’espérance, eh bien, vivons le jusqu’au bout. L’espérance, c’est de tous se retrouver au royaume de Dieu le Père ensemble. Alors, vivons cette espérance. Ne regardons pas ce que Satan a fait avec la chair, car si nous regardons ce que Satan a fait avec la chair, nous allons nous maintenir dans l’erreur, mais regardons ce que Dieu a fait pour notre chair, là nous ne serons que de l’espérance pour chacun de nous.

Jésus est mort sur la croix, c’est sa chair qui s’est laissée ouverte par amour pour nous et Jésus n’a pas eu peur de laisser sa chair entre les mains des bourreaux, parce qu’il savait que son Père prenait soin de sa chair parce qu’elle était à son Père et tout était de lui; alors, il l’a ressuscité. Il a été dans la glorification pour nous montrer que nous serons glorifiés.

Alors, soyons dans cette espérance, ne doutons pas que nos enfants seront sauvés. À qui sont nos enfants? À Dieu. Il s’est servi de notre chair pour multiplier sa Chair, alors il a donné à nos enfants ce qu’il nous a donné. Alors si, nous, nous avons confiance qu’un jour Dieu leur pardonnera, c’est que nous avons confiance que nous pouvons nous pardonner devant Dieu, car lui, il nous a pardonné. Cela veut dire que lorsque nous doutons que nos enfants vont prononcer leur oui, nous doutons de notre propre chair : nous avons de la difficulté à croire à notre pardon. Comprenons ce que nous venons d’entendre.

Dieu connaît qui nous sommes. Il savait que lorsqu’il viendrait nous parler d’amour, on quitterait notre bowling, nos danses en ligne, notre télévision, nos romans-savon; tout ce qui a été contre nous : nos jeux de cartes, tout, absolument tout, nos idoles; il le savait notre Dieu : volonté humaine, il savait; alors, il nous a fait goûter à quelque chose : au pardon. Il faut continuellement nous aimer afin qu’on soit toujours dans le pardon : le nôtre. Lui, il connaît sa miséricorde, mais nous, est-ce que nous avons confiance en ce que nous sommes devant Dieu? Lorsque nous allons à confesse et que nous prononçons 'pardon', eh bien, nous devons savoir que 'pardon' a de la signification pour Dieu, si bien que notre âme reçoit la grâce sanctifiante. Eh bien, si cela est, nous devons le vivre jusqu’au bout. Nous devons pardonner à chaque fois que nous tombons par terre, à chaque fois que nous avons une chair qui nous fouette avec une pensée : 'Voilà que je commence encore à penser que j’ai été impur à un moment donné; pourtant, j’l'ai confessé ça'. Eh bien, c’est parce que le Tentateur qui a empoisonné notre pensée, afin que nous ayons une pensée impure, se sert encore de notre vieille carcasse qui se souvient.

Notre âme est purifiée et ça c’est pour l'éternité, mais nous, nous sommes encore dans une chair faible : elle se souvient. Alors, lui, il se sert de notre mémoire et il nous fait revenir dans le passé. Et si nous ne refusons pas cela, eh bien, il va encore avoir un oui de nous : 'Bon, je mets mon venin. Voilà que ma pensée encore faiblit. Ah je ne suis pas sûr, je ne suis pas sûr que je suis correct, je ne suis pas sûr que ma confesse est correcte. Bien, voyons donc, je me remets en question; ah, s’il fallait que je n’aie pas tout dit à la confesse, s’il fallait que je ne sois pas correct. Qu’est-ce que je vais faire? Ah non, je ne pourrai plus aller recevoir mon Jésus, ah non!' Alors, voyez-vous, il maintient nos pensées dans la souffrance si bien qu’il ne veut pas que nous allions communier. Et là, il se sert de ce doute. Ce doute me met dans l’incertitude que la confesse était valable. Nous venons de juger notre Dieu, nous venons de juger sa miséricorde. C’est beaucoup et nous le faisons inconsciemment, pourquoi? Parce que nous laissons de la place aux esprits impurs et eux viennent nous empoisonner encore.

Mais Dieu a dit : refusez. Et ça ne fait pas longtemps, ça ne fait que depuis le mois de mai 2008 : «Mes enfants, je vais vous apprendre à refuser la tentation lorsque vous sentez que ce qui est près de vous, qui veut entrer en vous par la pensée, n’est pas amour, joie, paix, prononcez ce mot : je refuse. Parce que vous vous servez des droits que je vous ai donnés : droits d’enfants de Dieu». Je me sais aimé de Dieu, je me sais protégé par Dieu. Mon refus est tel qu’il est de Dieu. Les esprits impurs sont bloqués. Ils ne peuvent plus, ils sont obligés d’obéir à la puissance de Dieu que Dieu a mise en nous. Cette même puissance que nous nous sommes servi pour les laisser entrer en nous, voilà que nous allons refaire le contraire : je refuse. À cet instant, ils ne peuvent plus se servir de notre mouvement malade. Une fois qu’ils ne peuvent plus se servir de notre mouvement malade, eh bien, remercions Jésus.

Allons plus loin. Jésus dit : «Mes enfants, maintenant, dites-moi merci. Parce que cela viendra de vous et que vous me donnerez cela, j’enverrai cet esprit impur au pied de ma Croix et il y restera jusqu’au jour où mon Père dira : «Maintenant va retenter mes enfants». Et là, de son souffle d’amour, Jésus dans toute sa gloire l’anéantira». Mais, pour le moment, Jésus nous ramène là au refus : je refuse. Il n’est plus capable de faire entrer son venin en nous et cet esprit impur qui voulait prendre notre pensée pour s’en servir, voilà que nous : 'Je refuse. Merci Jésus de l’envoyer au pied de la Croix', là, parce qu’on l’aura demandé à Jésus, parce que cette demande est faite, puisque nous disons merci nous vivons l’être au présent, la puissance est telle que Jésus l’envoie, cet esprit impur, au pied de la Croix et il y reste.

Maintenant, que faisons-nous avec cette pensée que l’esprit impur a voulu contaminer? Eh bien, Jésus, on lui dit : 'Merci Jésus de guérir notre mouvement de vie malade', et ce mouvement de vie malade, Jésus va le guérir. D’où part notre mouvement de vie malade? Il part de la première fois qu'un enfant de Dieu a dit oui à la tentation. Cet esprit est venu contaminer un mouvement de vie qui était à Dieu : Dieu et la pensée de l’enfant. Toujours cet amour qui est entre Dieu et l’enfant, cet amour qui est dans sa puissance; mais, à un moment, l’enfant, dans sa puissance, dans cette liberté que Dieu lui a donnée, voilà qu’il avait dit oui à un Tentateur et le Tentateur avait empoisonné le mouvement de vie de l’enfant : cette pensée. Alors Dieu, lui, a toujours nourri cet enfant, mais lorsqu’il était très malade, cet amour ne pouvait plus passer, ne pouvait plus nourrir cette pensée de Dieu. Alors, là, maintenant que nous, nous disons : 'Merci de guérir mon mouvement de vie malade', notre mouvement de vie malade, croyez-vous que l’Amour n’est pas assez puissant pour guérir ce mouvement de vie malade? Est-ce que la puissance de Dieu n’a pas ce pouvoir? Il a ce pouvoir. Alors là, voici qu’un mouvement de vie malade reprend sa force et ce mouvement de vie malade, il a peut-être été malade il y a mille ans, deux mille ans, sept mille ans, nous ne savons pas. Oh! que cela a débuté depuis longtemps : depuis Caïn; alors, il y a des mouvements qui vont se faire.

Voilà pourquoi beaucoup d’enfants vont le dire. Des mouvements de vie malades vont reprendre vie, des mouvements de vie malades : notre pensée va redevenir en santé. Ça prendra le temps que ça voudra, Dieu va guérir. Voilà ce que nous sommes en train de vivre. Notre chair, notre chair qui vient de Dieu, mouvement qui vient de Dieu, nourri de l’amour de Dieu, va reprendre sa force, sa puissance, son intelligence, sa lumière, son amour, il va être guéri par le mouvement de Dieu. Dieu est plus puissant que ce que les impurs ont voulu faire entrer en nous et qui a empoisonné notre pensée. Voilà ce que Dieu est en train, dans les petits cahiers, de nous montrer. C’est une école! Oui, il y a beaucoup d’écrits dans ces cahiers, au-dessus de cinq cents rencontres (au-dessus de trois ans, soit plus de sept ans), eh bien, notre vie ne vaut-elle pas ces 500 rencontres? Allons apprendre ce que nous, nous avons consenti de donner aux esprits impurs et donnons-nous la force de dire : 'je prends une minute de ma vie pour mon éternité'. C’est ce que Dieu veut, il nous supplie. La Mère de Dieu pleure sur nous des larmes de sang : «Mes enfants, je vous ai donné tout ce qu’il vous fallait pour que vous puissiez prier avec votre cœur. Prenez vos mouvements de vie malades et apprenez comment vous en libérer». Voilà ce que Dieu veut pour nous.

Savez-vous ce qu’il va arriver lorsque nous, tous ensemble, allons comprendre ce que nous avons fait contre nous? Eh bien, nous allons refaire le contraire, nous allons nous remettre à vivre, nous allons nous remettre à l’endroit. Nous étions à l’envers, maintenant nous allons nous remettre à l’endroit. C’est là où nous sommes. Nous devons reprendre notre place.

Qu’est-ce qui est le plus important? Ah Dieu! Quarante heures d’ouvrage par semaine pour gagner notre salaire ou dix minutes par semaine pour regagner notre place en l’éternité? Eh bien, lorsque nous lui aurons donné dix minutes de notre temps, nous aurons assez de guérisons pour prendre une autre semaine à quinze minutes; quinze minutes nous conduiront à vingt minutes une autre semaine; et là, vingt minutes nous conduiront à une demi-heure, et là, rendus à une demi-heure, on sera bien capables de lui donner deux heures. Et nous apprendrons à nous connaître, à lui donner ce qu’il veut : 'Je refuse. Merci d‘envoyer les esprits impurs au pied de la Croix. Merci de me guérir'.

Oui je verrai à apprendre à vivre, oui je verrai à ouvrir les yeux, oui je vais apprendre à me servir d’un grain d’épeautre, oui je vais apprendre à ne pas me tricher, à ne pas manger plus que ce que je suis capable de manger : je vais m’aimer. Je vais apprendre à être ce que Dieu veut que je sois afin d’être un modèle d’amour pour mes enfants qui ne veulent plus aller à la messe, un modèle d’amour pour mes petits-enfants qui croient qu’Harry Potter c’est bon pour leur petite imagination. Comment pouvons-nous aider nos petits-enfants qui croient en ce qui les a empoisonnés? Est-ce que nous, avec tout le poison que nous avons en nous, pouvons aider nos petits-enfants qui sont empoisonnés? Nous avons nous-mêmes ce poison. Alors, apprenons.

C’est une richesse ce que Dieu est en train de nous donner. Ça ne s’est jamais vu, jamais. Je vais me faire écraser par les théologiens qui vont me dire : 'Qu’est-ce que tu dis là? La chair de la Chair, Jésus? Pour voir si Jésus nous portait! Est-ce qu’il était créé avant Adam alors qu’il est venu après Adam? Eh bien, Dieu s’arrangera avec ça, c’est lui qui le dit. Je me tairai et je laisserai le cœur parler, car nous serons ensemble. Ce sont les cœurs d’amour qui vont guérir les cœurs blessés, les cœurs de pierre. Qu’avons-nous compris de la Parole de Dieu? Avec notre volonté meurtrie, nous n’avons pas compris. Nous n’avons eu que des petites lumières : ce que nous méritions. Eh bien, ces petites lumières nous auront amenés à prononcer notre oui grâce à notre Maman d’amour. Elle a pris soin de nous, alors prenons soin de nous.

Jésus a fixé les prix. Croyez-vous, vous, qui connaissez les prix des imprimeries, vous connaissez ce que c’est. Au tout début lorsque les livres ont commencé, chaque livre, on voulait les vendre vingt-cinq dollars. Jésus a dit non. Il n’a pas voulu; il les a mis à quinze dollars lors des enseignements. À un moment donné, il a dit : «Ce n’est plus ça, c’est à huit dollars, parce que vous le méritez». Alors, il a descendu les prix encore.

Après, lorsque le temps est venu pour imprimer des petits cahiers, on avait mis ça à dix dollars (je vais leur faire comprendre selon la monnaie que le Seigneur veut que je comprenne) canadiens. Alors là, la personne que le Seigneur avait choisie pour faire les petits cahiers avait dans le cœur de les imprimer. Ça coûtait dix dollars canadiens pour les imprimer par une photocopieuse. Elle dit ça. J'entends le Seigneur qui lui dit d’aller voir le frère Germain. Elle téléphone au frère Germain. Germain dit : 'Tu es mieux avec les photocopieuses, c’est trop dispendieux d’aller dans une imprimerie, c’est tout un procédé'. Elle me dit ça et le Seigneur la renvoie. Il lui dit : «Va voir le frère Germain». Je lui répète. Elle rappelle le frère Germain, il lui dit non, c’est encore trop dispendieux. Encore là, une troisième fois, le Seigneur la renvoie à Germain. Alors là, le frère Germain a dit bon : "C’est correct, je vais aller faire des prix". Il s’est fait faire des prix et nous avons pu les avoir à six dollars. Ce qui veut dire qu’on peut les avoir, en donner à des prêtres qui n’ont pas les moyens, en donner à des pauvres qui n’ont pas les moyens d’en acheter, pour les faire réimprimer sans être dans le rouge; et cela se fait, et tout se fait très, très, très bien.

Alors, si le Seigneur nous donne cela pour qu’on puisse vous donner cela à bon marché en nous envoyant trois fois voir le frère Germain, eh bien, c’est parce qu’il veut qu’on les ait. Il a dit comme ça : «Je veux que cela sorte de l’Internet, parce que ce qui s’en vient, vous ne le savez pas, moi je le sais. Faites ce que je vous dis.» Alors, il a insisté à ce qu’on les fasse venir ici en France, et là c’est à vous de prendre ce choix. Moi, j’ai fait ce qu’il me demande, et c’est tout.

Mais je crois que ce que nous venons d’entendre, moi je n’ai jamais entendu ça qu’il fallait refuser les tentateurs, et qu’avec la puissance de Dieu ils sont obligés de nous écouter, et que les démons au pied de la Croix sont obligés d’y demeurer. Savez-vous combien il y en a maintenant au pied de la Croix? Eh bien, lorsque nous avons été en décembre à Plantagenet, le Seigneur, par l’instrument que je suis (a dit) : Rappelez-vous de Léon XIII, lorsqu’au pied de l’autel il a entendu deux voix : une voix douce et une voix gutturale. Alors là, lorsque la voix de douceur parlait, l’autre écoutait, mais ce qu’il a dit, la voix qui était une voix rugueuse, c’était : "Donne-moi un siècle et je te ferai oublier de tes enfants, et donne-moi plus de pouvoir, plus de démons." Dieu dit : «Va, tu l’as.»

Alors là, Jésus a dit : «Maintenant que je vous ai montré, et que vous avez refusé et que vous avez fait ce que je vous ai demandé, le pouvoir de Satan a diminué. Les démons qui sont au pied de ma Croix ne peuvent plus sortir», ce qui a diminué le pouvoir de Satan sur les enfants de Dieu; et cela s’est dit en 2008, décembre. Et ce n’était que depuis six mois que nous avions commencé à refuser. Voyez-vous la puissance que nous, nous avons? Ce qui a fait que nous sommes plus dans la paix. Nous avons eu des témoignages de personnes qui ont commencé au tout début. C’était vraiment, ils le disaient, ils étaient attaqués, ils étaient attaqués, parce qu’il l’a dit, hein, 'un qui ne peut pas va en chercher sept autres et après ça une légion'. Alors, lorsqu’on envoie un esprit au pied de la Croix, eh bien, les autres, ils viennent attaquer et après ceux-là, d’autres viennent attaquer. Alors, ils ont dit : 'c’était épouvantable, à des moments donnés on ne savait plus. On es-tu rendus dans le refus, dans le remerciement, il y a trop d’attaques'. C’était incroyable les attaques qu’il y avait.

Moi-même j’ai vécu quelque chose au tout début. Je crois que c’est la deuxième journée qu’on avait appris le refus, ou la sixième journée? Alors là, à un moment donné, nous étions..., il nous apprenait ce qu’était le refus, et le prêtre qui était présent a contacté une maladie. J’ai eu une pensée : "J’espère que je n’attraperai pas ça". Et voilà que je n’ai pas vu le Tentateur et cela a pénétré en moi. Et après la rencontre, le Seigneur, à la fin de la rencontre (a dit) : «Va t’assoir tu es malade.» Eh bien, je ne le sentais pas. «Ma fille, va t’assoir, tu es malade.» Alors là, je sentais, houp, le monde était tout autour de moi. Une troisième fois : «Va t’assoir, tu es malade.» Je suis venue blanche, je suis venue blanche, blanche, blanche, le virus faisait son effet. Alors là, une personne a juste eu le temps de me regarder et de m’amener aux toilettes. Et j’ai été malade! La nuit, là : 'Tu es une menteuse'. Je disais : 'Je refuse, j’envoie ça au pied de la Croix, Jésus. Merci Jésus, merci Maman Marie de nous combler." Je n’avais même pas fini ma phrase que : "Tu es une menteuse, va-t-en chez toi, tes enfants te croient même plus. Le monde ne te croit pas, vas-y, tu es une hypocrite.' Ça n’arrêtait pas! Une nuit au complet dans cet état à refuser, à refuser, à l’envoyer au pied de la Croix, à remercier Jésus et c’était continuellement.

Le lendemain matin, Nicole, lorsqu’elle est arrivée pour demander des nouvelles, j’ai dit : "C’est toi qui vas aller faire la rencontre, moi  je suis incapable de me lever". Mais j’ai parlé à travers l’Esprit-Saint, parce que lorsqu’il a dit (à Nicole) : «Je t’ai donné, alors va et va parler à mes enfants.»

Toute une nuit à refuser! C’était un arsenal de tentations. Lorsque je suis allée au père Galbert par téléphone, il a prié sur moi; eh bien, j’en suis ressortie beaucoup…, c’est comme si j’étais envahie d’une puissance, d’une paix. J’étais prête à affronter ce que Dieu voulait. Tout mon intérieur était dans une confiance, dans une telle paix, une telle paix! C’était tellement beau de vivre ça. Et aujourd’hui, oui, il y a de la tentation, mais je le fais dans une joie, dans un bonheur, tout est merveilleux. Refuser, c’est merveilleux, on goûte à la paix. Non seulement on y goûte, on se baigne, on se laisse baigner dans la paix, c’est tellement bon. D’autres personnes témoignent de la même chose que moi. Nous avons eu une personne qui a lu les petits cahiers et elle dévore tous les enseignements jusqu’à la fin. Elle a été sur Internet et elle a tout fait ça et elle a dit : 'mais c’est bon, c’est bon de vivre dans cette paix'. On vit dans la paix. On va être des artisans de paix pour nos enfants.

Nous sommes les enfants de Dieu et nous allons vivre sur la terre en enfants de Dieu. Les démons vont être tous enchaînés et lorsque le dernier sera enchaîné, grâce à ce que Dieu fait à travers nous, nous aurons un monde d’amour. Nous vivrons sur la terre et le mal ne pourra plus nous tenter jusqu’au jour où Dieu les libérera à nouveau pour venir tenter les élus. Et nous savons ce que l’Évangile dit : «Jésus viendra sur des nuées et il anéantira le mal.» Mais nous verrons la victoire, car Satan devra adorer le Fils de Dieu fait Homme devant tous ceux qu’il a voulu écraser, devant chacun de nous. Il devra le faire devant tous les anges purs et tous les anges impurs pour s’en retourner dans ses ténèbres, mais pas avant. Et c’est ce que Dieu dit. Amen.

Q. Vous avez dit de prendre à l’occasion une minute, un quart d’heure, justement pour ces refus et puis elle nous a parlé des 40 heures. J’ai maintenant compris quelque chose … Je me demande, puisqu’on est atteint justement par le mal, on est atteint par ces pensées qu’on a laissé entrer qui nous viennent des tentations depuis des générations, depuis même jusqu’au début de la création. Alors, quand un prêtre, comme il y a une dizaine de jours, à Pontmain, vient nous faire des prières pour nous couper les liens, ça correspondrait peut-être avec ce que vous dites là.

 

R. La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Les prêtres ont un pouvoir de nous libérer. Les prêtres ont le pouvoir de nous amener là où nous devons être. Ce ne sont pas les prêtres qui vont faire la purification pour chacun de nous, c’est chacun de nous. Eux vont nous aider. Sans les prêtres nous ne pourrons pas réussir, parce que le prêtre c’est Jésus. C’est Jésus, la Divine Volonté. Le prêtre aussi aura à passer par sa purification parce qu’il est homme, il a une chair meurtrie lui aussi, pas le prêtre, la chair. Mais la libération nous aide à aller plus loin. Notre âme ne doit avoir aucun obstacle à nous nourrir de grâces, aucun. La chair n’a pu être libérée, car la chair doit passer par la Passion.

Ce que Jésus veut nous dire, c'est que tout enfant qui a accepté de se laisser enchaîner doit être libéré par les prêtres. La chair a subi ce que les esprits impurs ont voulu faire, les empêchant de voir qu’ils étaient enfants de Dieu. Lorsque nous nous découvrons enfants de Dieu, c’est que des chaînes tombent. Lorsque nous nous découvrons enfants de Dieu, c’est que nous avons prononcé notre oui à l’Amour. Maintenant, vivons notre jugement.

Lorsque nous allons refuser, lorsque nous allons dire : 'Merci Jésus d’envoyer cet esprit impur au pied de la Croix', lorsque nous allons dire : 'Merci de guérir tout mouvement de vie malade', nous allons faire ce que Dieu attend de nous. Ce que tu as fait endurer à tous les enfants de Dieu, tu devras en vivre en ta chair, afin que ta chair reconnaisse que tout ce qui a été contre elle a été contre toute chair. La chair s’est affaiblie à cause d’une seule pensée. Cette pensée devra mettre à terre celui qui a voulu s’élever plus haut que le Fils de Dieu : la chair. La pensée impure devra être présentée à l’enfant et l’enfant devra remettre à Dieu ce qui est à Dieu : l’impureté. Lorsque l’impureté sera au pied de la Croix, la pensée impure ne sera plus, elle sera une pensée pure. La chair appartient à la chair. La pensée qui est malade est malade, elle n’est pas le péché. Elle est incapable, la pensée malade, de résister au Tentateur qui est le péché. Tout enfant devra vivre son impureté afin de connaître ce qu’il a fait à sa chair pure. La chair pure est à l’enfant tout comme l’enfant est à Dieu.

L’enfant devra être devant son Créateur et reconnaître que son Créateur lui a tout donné, lui a tout accordé : son amour. La purification de la chair est le mouvement entre le Créateur et l’enfant : le créé. Dieu veut donner à l’enfant créé son amour inconditionnel en lui disant : «Tu es mon enfant, je t’ai donné vie, je t’ai fait chair parce que tu es de ma Chair, la Chair Parfaite, la Chair Immaculée, et par toi, par ton oui, reconnais-toi être aimé de moi, reconnais-toi être mon enfant. Mon Fils : je te l’ai donné; mon amour : je te l’ai offert; mon éternité : je te l’ai présentée. Viens, viens à moi comme je t’ai créé. Toi seul tu le peux. Regarde ce que je fais pour toi. Ce temps est un temps dans mon temps d’amour. Il est pour toi, il te fait connaître ce que tu es pour moi, car ce que tu es, c’est moi qui l’ai voulu, c’est moi qui t’ai choisi. Mon amour pour toi n’a pas de limites. Approche-toi plus près, viens écouter ton Dieu, Celui qui est plus brillant que la lumière du jour. Approche-toi, car ce que tu connais de toi est voulu pour que tu puisses t’aimer davantage.

Mon amour n’a jamais cessé. D’âge en âge, je t’ai amené là où tu es aujourd’hui pour que tu puisses apprendre à goûter à la saveur de ce que tu es. Comment ne pas vouloir que tu sois dans ce mouvement de lumière qui te montre que tu as été contre toi, mais aimé de moi, que tu m’as refusé alors que je t’ai protégé? Avance, avance et viens, viens à moi. Plus jamais tu ne détourneras ton regard de la Lumière, plus jamais tu ne douteras de qui tu es, car j’ai voulu tout cela pour toi. Au moment où tu as douté de toi, tu as connu la volonté humaine. Tu ne douteras plus jamais de toi, car tu apprendras que malgré le Tentateur, malgré tout ce qu’il a voulu te faire faire contre toi, tu as toujours voulu aimer, tu as toujours voulu ton éternité.  Je te fais goûter à ce que tu es pour moi. Avance, avance, la beauté de ton intérieur te fait connaître tout ce qui est de toi. Et plus encore, plus encore tu apprendras, plus tu te remercieras, car tu te serviras de ce que moi j’ai mis en toi : mon amour.

Tu es mon enfant et je t’aime. Ce 'je t’aime' jaillira de tout ton tout et je te montrerai ce que tu n’as jamais vu, je te montrerai tout ce que tu devais vivre. Ce mouvement qui se prépare pour toi va t’amener dans une lumière telle que rien ici-bas n’a de semblable; même Adam n’a pas vu cela, car il devait ne pas douter de ce qu’il était.»

Voilà pourquoi la libération est importante pour la purification, mais elle n’est pas la purification. Amen.

 

Le prêtre : La libération, c’était peut-être un petit peu long, car c’était très profond, là. La libération n’est pas la purification, mais pour entrer dans la purification, il faut d’abord se libérer. Et quand on a cette libération, qu’il est bon justement que des prêtres, quand vous allez vous confesser : n’hésitez pas à demander au prêtre qu’il coupe les liens que vous avez avec certains péchés. Vous pouvez avoir des mauvaises pensées qui vous arrivent comme ça. Il y en a un qui me disait encore là, je passe devant un crucifix et il me vient cette pensée : "Ah, quel tordu!" Vous voyez, ça lui arrive et ça, c’est le type de pensée. Alors, il faut demander au prêtre de te confesser. Alors, lui, il faut qu’il réponde : 'pardon Seigneur'. Et ça ne lui donne pas une forme de péché. Et comme c’est l’autre qui lui envoie cela, s’il dit assez de : 'pardon Seigneur', eh bien, il ne va pas s’y refrotter. Mais s’il n’arrive pas à s’en débarrasser, tu demandes au prêtre qu’il t’impose les mains et coupe le lien. Je coupe ce lien. Le prêtre, bon, il faut trouver le prêtre qui veuille le faire. C’est ce que disait le père Jaffré. Non, mais ils ont tout un travail à faire! Mais on va le faire parce que je découvre de plus en plus ce travail qui est à faire pour nous libérer.

J’ai vu ce dimanche soir comment, dans la salle, je ne sais pas combien, 700 personnes, comment tout le monde était joyeux. Il y avait une joie qui indique bien cette présence de l’Esprit Saint. Alors, quelles que soient, c’est pour chacun différent, quelles que soient les habitudes où ont revient et on a ces pensées, eh bien, voilà, il faut le demander au prêtre. J’ai ça, mais écoutez, coupez-moi ce lien, vous avez le pouvoir et imposez-moi les mains. Et puis, de votre côté, eh bien, vous allez prendre cette minute : je t’envoie..., comment il faut dire?

 

R. La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Je refuse.

 

Le prêtre : Je refuse et je t’envoie au pied de la Croix.

 

R. La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Non. Jésus, envoie cet esprit impur au pied de la Croix.

 

Le prêtre : Alors, vous avez bien compris? Je refuse. Merci Jésus d’envoyer cet esprit impur au pied de la Croix.

 

R. La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Merci de me guérir de tout mouvement de vie malade et merci Marie de nous combler de grâces. La purification de la chair, c’est connaître, par la puissance de la Divine Volonté, ce qui est caché en nous.

 

Le prêtre : On doit le connaître par le cœur?

 

R. La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Ne demandez pas à le connaitre. Le Saint-Esprit, lui, sait le moment où vous devrez refuser, vous devrez remercier, remercier pour la guérison et demander des forces pour continuer. Il faut continuer la purification de la chair jusqu’au dernier. Cela veut dire que nous ne savons pas qui a accepté d’ouvrir une porte à l’esprit impur pour que nous, nous puissions passer devant le crucifix et dire devant le crucifix que ça nous plaît pas, qu'on vienne offusqué de le voir et ça nous choque, et on sort une insulte à notre Jésus. D’où vient cela? Cela vient dans notre chair et qui vient d’Adam. Si nous ne faisons pas ce que Dieu nous demande, nous allons demeurer encore avec tout cela cachés, jusqu’au moment de la grande purification où on entrera en nous et là tout se fera voir.

La libération est essentielle pour nous donner des forces. Il nous libérera de ce que nous avons accepté. Qui n’a pas joué aux cartes? Savez-vous que jouer aux cartes, c’est un mouvement contre la chair?

 

Q. Mais quels jeux?

 

R. La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Jouer aux cartes, mettons au paquet voleur. Ce n’est pas grand-chose le paquet voleur.

 

Q. Le casino voleur. Chez moi, on joue à la belote, et je ne pense pas…

 

R. La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Tout jeu qui amène un enfant à jouer pour gagner sur un autre enfant n’est pas de Dieu. Tout jeu qui nous amène à vouloir compétitionner n’est pas de Dieu. Et savez-vous que cela ne vient pas de Dieu, mais des démons qui nous ont enchaînés? Cela a fait que nous sommes devenus des tout petits dieux, aussi petits que cela, et Jésus nous l’explique.

Alors, à un moment donné, lorsqu’il a dit ça, j’ai dit : "Ah Seigneur, ce n’est pas grand-chose jouer aux cartes". Alors là, j'ai été voir le prêtre et le prêtre a dit : "Fais ce que le Seigneur te demande et sois obéissante." Il me l’a expliqué comme ça. Plus tard, un prêtre a dit : "Là, j’ai surveillé comment on est quand on joue à un jeu de cartes bien simple. Et là, j’ai vu des émotions". Le Saint-Esprit lui faisait monter des émotions qu’il n’avait jamais remarquées. Et là, il a vu :"Oh, ça, c’est pas de Dieu", et pourtant c’était bien simple. On n’a pas vu ça, c’est le Saint-Esprit qui nous révèle. Mais nous avons été enchaînés. Comment voulez-vous qu’on accepte certaines choses si on ne se laisse pas libérer? Combien qu’il y en a qui n’ont pas voulu passer en dessous d’une échelle parce que ça portait malheur? Combien qu’il y en a qui ont joué au bingo avec un éléphant rose, porte-bonheur? Combien qu’il y en a qui n’ouvrait pas un parapluie dans la maison? Combien qu’il y en a qui prenait un fer à cheval? Alors, coupons ces liens, ils nous tiennent prisonniers. Allons voir le prêtre. Le prêtre va prier sur nous afin qu’on poursuive, poursuive notre purification de la chair, sinon on va dire : "Bien là, là, je ne suis pas prête à accepter ça." Si nous ne sommes pas prêts à accepter ça, eh bien, nous allons demeurer dans notre chair assujettie au péché.

Voilà pourquoi Satan, il a vu venir, hein, les choses; alors, il a voulu attaquer les prêtres. Et il s’est servi de qui pour attaquer les prêtres? De nous. Il s’est servi de nous. Un prêtre qui se laisse séduire par une femme..., et voilà, on vient de comprendre. Il s’est servi des enfants de Dieu contre les enfants. Il n’allait pas attaquer le prêtre, il est inattaquable le prêtre, il allait attaquer sa chair.

 

Le prêtre : Eh oui, même pour le consoler, pour consoler la personne?

 

R. La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Oh oui! Son hypocrisie est telle qu’on ne peut pas la voir. Voilà pourquoi nous avons besoin de libération. Nous en avons besoin : la confession, les sacrements, les dix commandements de Dieu, les sacramentaux, la prière, l’adoration, les méditations, tout ça, et la Bible, la Parole de Dieu.

 

Q. On a de moins en moins de prêtres.

 

R. La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Prions pour les futurs prêtres, prions pour les futurs prêtres, prions pour les futurs prêtres. Nous aurons toujours ce que Dieu veut pour nous. Ayons confiance.

Alors, nous allons nous arrêter ici.