Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Methuen, Massachusetts,

par son instrument, la Fille du Oui à Jésus.

 

2008-05-22  Partie 2

 

Q.  Comment discerne-t-on de jour en jour la Volonté de Dieu pour nous; où il nous veut, tout ça?

 

R.  La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Lorsqu’on regarde le soleil, on ne se demande pas si le soleil est chaud : on le ressent. Lorsqu’on regarde la lune, on ne demande pas si elle apporte le repos : on ressent le repos venir en nous. Lorsqu’on sent le vent sur notre chair et qu’on ressent le besoin d’être dans ce vent : c’est comme si toute la chair répondait à cet appel. Lorsqu’il fait très chaud et que l’eau coule sur notre chair, cela est si bon : cela remplit notre être d’un moment de détente. Lorsqu’on est enfant et qu’on se sait aimé de Dieu, il y a la lumière, il y a la douceur, il y a la tendresse, il y a la présence : voilà que l’enfant est en présence de l’amour de Dieu et de la Volonté de Dieu.

 

Jésus : Comment peux-tu, mon fils, vivre ma tendresse, mon amour, ma présence, ma chaleur, si tu ne sais pas qui tu es?

Enfants d’amour, laissez-moi vous aimer, laissez-moi vous apprendre à connaître ce qu’est votre vie, ainsi vous me donnerez ce que j’attends de vous : votre volonté humaine. Plus vous allez connaître ce que votre chair a en elle, plus vous allez me donner votre volonté humaine, et plus moi je prendrai vos souffrances et je vous ferai goûter à ma Divine Volonté. Vous sentirez en vous l’amour du Père, vous sentirez en vous la lumière du Fils, vous sentirez en vous la force du Saint-Esprit, car vous saurez que vous êtes aimés de Dieu et que Dieu n’exige pas de vous ce que vous n’êtes pas capables de lui donner. La Volonté de Dieu est amour, est patience, alors laissez à Dieu ce qui est à Dieu et ne vous inquiétez pas.

Regardez-vous, petits enfants d’amour, c’est ma Volonté que vous soyez ici et non pas votre volonté. Vous avez voulu vivre ce moment d’amour parce que j’ai mis en vous ce besoin. Vous laissez pénétrer en vous mes grâces de guérison et de libération et tout se fait, et pourtant, vous ne mettez pas votre volonté humaine. Vous voulez goûter à la vérité. Cela n’est pas de vous, mais de moi. Tout ce que vous êtes, vous l’êtes par moi. Lorsque tout est pour moi, lorsque tout est pour vous et lorsque tout est pour vos frères et vos sœurs, vous n’avez plus peur, vous vous laissez bercer.

La volonté humaine a tant contrôlé. Lorsque vous savez que vous êtes dans votre contrôle, c’est lorsque vous voulez trop. Alors, laissez à Dieu ce qui est à Dieu et mangez l’amour de Dieu, ainsi vous pourrez bien digérer les grâces de Dieu, dans le temps de Dieu, mes enfants, non dans votre temps.

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Amen.

 

Q.  Vous avez mentionné l’année 2001, est-ce que cela a été le début des temps de châtiments que nous vivons maintenant?

 

R.  La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Non, non. Lorsque j’ai signalé 2001, c’est l’année où j’ai entendu à l’intérieur de moi la Voix. C’est en 2001 que j’ai pris conscience qu’il y avait des voix à l’intérieur de moi qui parlaient.

 

Q.  J’ai entendu des choses tellement extraordinaires ce soir, mais en même temps j’ai peur de ne pas m’en souvenir. Est-ce qu’on peut compter sur le fait que le Seigneur va nous donner la grâce de nous en souvenir? Parce que je voudrais ouvrir mon cœur et commencer à changer des choses, mais j’ai vraiment peur de ne pas m’en souvenir.

 

R.  La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Ce que Dieu fait, il le fait en son temps, en son intérieur. Il ne nourrit pas en ce moment la pensée, elle est trop malade. Ce qu’il fait, il nourrit l’amour, l’amour qui est blessé. Nous sommes des êtres d’amour, mais nous sommes trop blessés pour comprendre l’amour. Et n’oublions pas qu’à l’intérieur de nous, il y a tant d’enfants qui sont blessés et qui ne s’aiment pas.

Lorsqu’on entend des paroles qui viennent du Saint-Esprit, lorsqu’on entend des paroles qui viennent directement de Dieu, il y a de la guérison et cela apporte le repos; ça nous fait pénétrer à l’intérieur de nous et là, on se laisse aller et, à ce moment-là, ça va où nous on n’est pas capables d’aller; et il y aura des moments où ça remontera. La guérison elle-même fera en sorte que nous serons en présence d’une telle phrase, d’un tel mot : nous sommes la vie.

Lorsqu’on lit un livre et que cela est écrit avec la volonté humaine, on cherche à retenir avec notre volonté humaine ce qui est écrit, mais lorsque nous sommes en train d’écouter ce que notre Livre de Vie a été dans le présent, alors le Saint-Esprit nous fait lire notre vie avec l’amour. Mais comme nous sommes blessés, notre amour a besoin de guérison afin qu’on puisse rendre à Dieu les grâces qu’il nous donne.

Nous vivons un moment de grâces qui nourrit notre vie, qui guérit nos blessures et pas seulement les nôtres, mais celles qui sont en les autres aussi. Si on analyse ça avec notre volonté humaine, on va se dire : "Oh! on n’aura jamais fini, on n’atteindra jamais la purification de la chair", mais si on laisse ça à Dieu, Dieu va nous faire comprendre : «Tu n’as rien à faire là-dedans, c’est moi la Vie, alors n’essaie pas de te rappeler, mais laisse-moi te rappeler.»

 

Q.  Tu reçois des messages à propos des guérisons, à propos d’autres personnes, as-tu reçu certains messages ce soir?

 

R.  La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Je ne reçois pas des messages depuis le dernier volume qui a été écrit; si j’en reçois, c’est pour moi : des petits. Mais ce que je fais, je donne mon oui et lui se sert de qui je suis : ça coule et vous entendez au même moment ce que moi je répète.

Au début, nous n’avions pas nos micros sur nous, ça m’était impossible de faire deux choses à la fois. Je ne peux que sortir ce qu’il met en moi. Alors Guilmer, lui, il a vu le moment en lui de faire fonctionner le DVD, sinon on n’aurait pas eu ce qui a été dit. Mais je ne peux rien, le Saint-Esprit ne me le dit pas à l’avance. Tout se fait dans le présent. À chaque fois que vous entendez, eh bien, il y a quelque chose qui se passe et le Saint-Esprit vous transforme; alors là, oups! ça vient, ça vient, puis on l’entend. C’est comme si votre intérieur était tout lié les uns aux autres et ça forme les mots. Mais lorsque j’ai les yeux fermés, c’est différent, là c’est Dieu qui parle, c’est lui qui vient nourrir votre cœur pour que vous entendiez ses paroles à lui.

Lorsque je suis à la maison, ce n’est pas ce qui se passe; il n’y a pas de rencontre, alors il n’y a rien qui se passe. Je l’entends : «Je t’aime, abandonne-toi, reste avec moi», mais ce ne sont pas des enseignements comme ça. Il faut qu’on soit ensemble, il faut que les cœurs soient là pour qu’il y ait quelque chose qui soit dit par le Saint-Esprit. Il m’a dit : «Je me servirai de toi pour aller chercher mes enfants. Je ne suis pas avec toi que pour toi.» Il dit : «Tu ne sauras pas plus que les autres.» On fait notre purification ensemble.

 

Q.  Il semble que le monde devient de plus en plus pire. Est-ce que le Seigneur peut te donner une espèce d’indication si le grand avertissement ou si l’illumination des consciences est proche parce que pour nous qui voyons ça et qui portons la souffrance des autres, c’est pas mal difficile des fois?

 

R.  La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Le Seigneur, il dit : «Oui, c’est près.» Il a dit que nous étions tous prêts à prononcer notre oui. Mais comme il veut ses enfants sans qu’ils souffrent, alors il se sert de nous pour leur obtenir des grâces de force. Il est amour, il ne veut pas que ses enfants souffrent.

Il a dit tantôt qu’il y aurait des événements qui étaient pour arriver, et ceux qui ne seraient pas dans cet abandon perdraient leur paix et ils vont avoir besoin de nous. Ils n’auront pas besoin des personnes comme eux : nerveux, qui ont peur, ils vont avoir besoin de soutien, de paix.

Satan va attaquer. Plus nous allons donner cause, choix et conséquences, plus il va être dans la colère. Nous avons un choix à faire : soit que nous écoutions les enseignements de Jésus, (soit) que nous apprenions à refuser les attaques en ayant la connaissance que le Saint-Esprit veut nous donner : là il y aura des refus. Satan, lui, va s’acharner parce qu’il sait que nous aiderons. Souvenons-nous que tous ceux qui ont voulu aider les autres ont été attaqués, mais les prêtres sont là. Voilà pourquoi il veut que nous allions à la confesse, que nous allions vers les prêtres à l’Eucharistie, pour l’Eucharistie. Servons-nous des sacramentaux. Maman Marie nous aide, elle est avec nous. Sans Marie, sans les prêtres, (sans) Jésus, ouf! il n’arrêtera pas. Il a toujours été contre nous, mais maintenant qu’il se sait à découvert, là il va centupler ses attaques.

Mais Dieu donne des enseignements, il nous apprend à ne pas avoir peur. Il a dit que Satan et les esprits impurs n’étaient que le néant, les ténèbres.

Pour pouvoir nous attaquer, nous atteindre, il faut que nous on le veuille. On l’a voulu, maintenant on n’en veut plus. Alors, plus nous allons refuser, plus il va prendre les armes contre nous : celles qu’on a consenti à lui donner, c'est-à-dire, lorsque nous allons refuser : "Je refuse la jalousie. Je te donne cause, choix et conséquences pour tout nous autres", bien là, il va attaquer : il va attaquer avec la peur, le désappointement, la colère, la maladie, parce qu’il va nous faire sentir notre chair qui est malade avec l’arthrite, le diabète, les migraines, il va attaquer les sentiments pour augmenter cela. En attaquant nos sentiments, là notre nervosité augmente, donc nos douleurs augmentent. Plus on a mal, plus il attaque, à un point qu’on va se demander : "Bien, ça ne donne rien de faire tout ça, ce n’est pas bon, ce n’est pas vrai". Il va tout faire et c’est ce qu’il va faire. Il ne nous ménagera pas. Il nous a contrôlés et il sait nous contrôler. Alors il va falloir les grâces : le chapelet, la messe, les sacrements. Usons de tout ce que l’Église veut nous donner, que nous on a douté de la puissance.

Maman Marie nous a dit aussi : «Tenez-vous entre vous, aidez-vous les uns et les autres, vous aurez besoin de soutien.» Un qui est à terre, l’autre va le soulever et un jour, l’inverse sera. C’est ce qu’on est en train de vivre, et c’est commencé. Regardons-nous, on s’entraide entre nous. La purification de la chair est commencée et Jésus a dit : «Cela ne s’arrêtera pas.»

Je crois, Nicole, si je me souviens bien, en 2003, août 2003, Dieu le Père a dit : «Mon bras vient de tomber». Alors là j’ai vu, j’ai vu son bras, et là c’est comme s’il y avait un barrage : ça permet l’écluse, ce qui coule. Il a dit : «Les grâces n’iront plus aux enfants qui portent un non catégorique à mon Fils, mais aucune grâce ne se perdra, ces grâces iront à tous ceux qui portent un oui en eux». Voilà pourquoi nous voyons la souffrance, la haine augmenter tout le temps et tout le temps. Mais il a dit : «Ils continueront à vivre dans les grâces que je leur avais données jusqu’à l’épuisement de ces grâces.» Il a dit : «Mes enfants du oui, vous ne saurez pas qui porte un non catégorique en eux. Vous porterez tous ceux qui vont dire non à mon Fils, tout comme mon Fils a porté jusqu’au bout la Croix, vous la porterez» et c’est ce que nous vivons.

 

Q.  Est-ce que tu veux parler comment tu es devenue malade lundi soir et comment éventuellement chacun de nous, on devra être instrument de Dieu et faire connaître sa Parole?

 

R.  La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Je suis arrivée ici j’étais en parfaite santé. À un moment donné, voilà que je me retrouve malade, incapable d’aller dans une rencontre, alors que nous avions une rencontre le matin. Mais je savais que Nicole était pour aller à cette rencontre, alors lorsqu’elle est venue (dans ma chambre), ce que je sortais, je savais que c’était le Saint-Esprit qui le lui disait. Alors le Saint-Esprit lui a dit : «Tout ce que tu diras viendra du Saint-Esprit et non pas de toi». Il a dit : «Je t’ai formée pour ça.» Elle n’avait pas été préparée, Nicole. Alors, elle est arrivée et elle a parlé deux heures, trois heures de temps sans chercher ses mots : ça sortait tout seul. Alors, c’est ce qu’il attend de chacun de nous.

Nicole, ça fait depuis début 2003 que Nicole vit les enseignements, mange les enseignements.

Nous ne pourrons pas être des instruments sans être instruits. Il prépare beaucoup d’enfants, des petits groupes ici et là. Par l’Internet, Dieu a dit : «Je me servirai des instruments de Satan», mais il avertit aussi : «N’allez pas dans cette mer d’images». On reçoit des courriels de l’Australie, du Mexique, on reçoit d’un peu partout des États-Unis, de la France, de l’Allemagne, de la Suisse, on en reçoit de partout et ils sont avides de lire les enseignements.

Dieu voulait nous montrer, Dieu voulait nous montrer, par l’instrument que j’étais, qu’il fallait que je sois dans l’obéissance : depuis que nous sommes arrivées ici, il ne cesse de parler d’attaques; alors, lorsqu’il m’utilise, il ne me dit pas ce que je vais dire, mais quelquefois il me le fait vivre. Alors, pour arriver à passer à travers tout ça, j’ai besoin des prêtres. Je sais que sans les prêtres, je n’y arriverais pas. Lorsqu’on se fait attaquer toute une nuit…, parce que ce que vous avez entendu, je l’ai vécu cette nuit. Il fait ça le Seigneur : il me fait vivre pour que je puisse être à son écoute, mais il ne dit pas pourquoi, mais il est là, puis il me donne des grâces. Mais il ne m’enlève pas les expériences par où je dois passer; alors, ce que je vis, d’autres vont le vivre; mais avec les grâces de Dieu, on y arrive.

Cette nuit, il y a eu des moments où je ne pensais pas m’en sortir, et c’était lorsque j’avais la présence de Jésus, pas un instant je n’ai pas dit à Jésus que je ne l’aimais pas, j’étais tout le temps dans son amour et je lui disais : "Je t’aime Jésus, je t’aime Jésus". Et pourtant, j’avais des attaques : "Tu es une menteuse, ce n’est pas vrai ce que tu dis, tout est faux, c’est de l’imagination". Alors, il y a des moments, je disais à Jésus : "Je t’aime Jésus. Enlève ça de moi Jésus, enlève ça de moi. Ne permets pas que je nuise à mes frères et à mes sœurs". Alors, j’allais voir Maman Marie, je disais : "Maman Marie, va voir ton Fils, dis-lui que je l’aime".

Mais Jésus voulait que je vive ça jusqu’au bout. Il aurait pu m’arracher ça, puis empêcher que l’autre me donne des attaques. Mais comment peut-on aider nos enfants, comment peut-on aider nos frères et nos sœurs si on est toujours dans la ouate? Il nous a dit, dans une rencontre : un alcoolique va aider un autre alcoolique, une personne battue va soutenir une autre personne qui est battue, parce qu’on sait ce qu’ils vivent. C’est un peu ça qu’il fait avec nous, il ne nous purifiera pas sans qu’on ne ressente pas notre chair de souffrance, et croyez-moi qu’il ne nous ménagera pas afin qu’on aille toucher à sa puissance. Si on n’a pas ce besoin d’aller toucher à la puissance, on ne fera pas les pas pour le faire.

La purification va se faire avec un amour absolu en Dieu : aimer Jésus plus que soi-même, ça, il va falloir qu’on y touche : ne pas avoir peur de faire des pas par amour pour Dieu et avoir conscience aussi d’aimer notre prochain, d’aimer notre prochain, d’aimer notre prochain. Alors, pour mériter ça, il va falloir qu’on y goûte. Tout ce qu’on a pu faire de mal, il va falloir qu’on le vive pour le donner. Parce que cette nuit, je ne cessais, à travers l’amour de Dieu, de dire : "Je te donne, je te donne cause, choix et conséquences, Jésus. Jésus, je te donne cause, choix et conséquences". Cela a duré des heures et des heures. Lorsque je me suis levée, j’ai demandé à Nicole d’appeler le père Galbert pour que je puisse lui parler. Et lorsque j’ai parlé au père Galbert, lorsqu’il a prié sur moi, quel bien-être! C’est comme si je recevais une pluie, une pluie de rafraîchissement sur mes douleurs. Et là, à ce moment-là, j’étais prête pour ce soir.

 

Q.  Il semble que je vis la purification depuis quelque temps. Là, le Seigneur, c’est comme s’il nous disait qu’il veut nous donner une mission. Comment sait-on quelle est notre mission et quand on doit y aller?

 

R.  La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Le Seigneur n’instruit pas pour dire ce qui va se passer dans l’avenir, il instruit pour le présent, alors il veut l’abandon. C’est ce qu’il fait avec chacun de nous : l’abandon, s’accomplir au présent. "Je te donne cause, choix, conséquences", maintenant, "Je refuse de tomber dans les pièges de Satan". Sitôt qu’on sent qu’il y a de la peur : "Je refuse cette peur". L’abandon : faire ce que Dieu veut.

Lorsque le moment sera venu, ce sera devant nous. C’est ce qu’il fait et c’est ce qu’il va faire, il va aller en chercher d’autres. Alors, continuons ce qui est déjà commencé. Tout est de lui, on n’a pas à se poser de question. C’est ce qui m’amène à l’abandon : c’est de ne rien savoir de ce qui va se passer! Ça, c’est une arme d’amour qui me sert, et Nicole aussi.

Alors, on va arrêter ici et on va avoir une petite pensée pour sainte Rita, pourquoi? Parce que ma sœur Rita a été dans ma vie comme une poussée qui m’a amenée là où je suis aujourd’hui. On l’invoque pour les causes désespérées. Eh bien, j’étais une cause désespérée, alors on peut dire qu’on est tous des causes désespérées, mais en Dieu, que d’espoir! C’est ce qu’elle avait compris, elle. Elle avait abandonné son mari entre les mains de Dieu, et ses enfants. Alors, abandonnons notre vie, la vie de notre mari ou notre épouse, nos enfants, nos frères et nos sœurs entre les mains de Dieu et tout s’accomplira. Amen.