Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Moncton, N.B.,

par son instrument, la Fille du Oui à Jésus.

 

2007-09-23 – Partie 2

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Le Seigneur ne nous enlève pas nos malaises, il nous donne la force de continuer.

C’est la même chose pour chacun de nous, ça : nous entendons la Volonté de Dieu, nous lisons des messages du Ciel, et Dieu nous laisse vivre dans ce que nous sommes.

C’est lentement que Dieu va nous montrer ce qui est entré en nous et qui nous donne des malaises.

Dieu nous veut à lui, il ne nous enlèvera pas ce que nous, nous avons en nous, il nous montrera ce qui est en nous afin de nous combler de sa miséricorde.

Lorsque nous serons dans le Royaume de son Père, nous verrons et nous ressentirons toutes les merveilles de sa miséricorde; il nous aime trop, Jésus d’amour, pour nous priver de ces mouvements.

Lorsque nous voyons un jeune qui est dans la drogue, nous, on manque de courage, on prie Dieu, on veut qu’il revienne normal, ce que nous ne voyons pas, c’est l’amour de Dieu qu’il a pour cet enfant. Ce que nous ne pouvons pas percevoir, c’est que Dieu prend soin de cet enfant malgré qu’il soit incapable d’en saisir sa présence.

Dieu respecte son enfant jusqu’au bout, mais il lui fait comprendre qu’il doit faire de bons choix. Il va le laisser faire et il va vivre ses propres choix, mais Dieu, il va lui mettre dans sa vie des personnes qui vont l’aider.

Dieu va toujours se tenir auprès de lui; même si nous, nous ne percevons pas cela, cela se fait.

Dieu dit : «Si mes enfants priaient pour ces petits enfants avec l’abandon, avec la confiance en ses grâces, j’aurais plus de place dans la vie de ces personnes qui prient afin que les grâces surabondent, pour qu’elles coulent jusqu’à cet enfant.»

Nous avons un Dieu rempli d’amour et il respecte qui nous sommes.

Il respecte le jeune homme, la jeune fille qui consomment de la drogue parce qu’il connaît les souffrances des personnes qui sont autour d'eux, et il connaît que ce jeune homme et jeune fille souffrent à cause de ces personnes, parce que leurs cœurs sont comme liés les uns avec les autres, c’est comme si un supportait l’autre.

La maman qui pleure a besoin de son enfant qui le comprenne et l’enfant, de même, a besoin de la maman qui le comprenne, mais leurs choix ne sont pas les mêmes, leurs conséquences ne sont pas les mêmes, mais tous les deux portent dans leur chair la souffrance de tout ce qui l'a amené là aujourd’hui.

Alors, Dieu veut leur montrer à tous les deux l’abandon, veut développer en eux leur oui à Dieu.

Dieu va toujours se tenir près d’eux pour les soutenir dans les moments les plus noirs de leur vie.

Malgré les cris, malgré les pleurs, ils vivront avec les grâces que Dieu leur accordera; cela va les faire cheminer dans leur vie jusqu’au moment où eux seront totalement dans le oui. S'ils ne s’aperçoivent pas qu’ils sont dans le oui, c’est parce qu’ils ont d’autres souffrances dans leur vie.

Il faut comprendre que chacun de nous nous avons des choix à faire devant nos conséquences, afin d’aller là où Dieu nous attend.

Dieu, lui, a le pouvoir de prendre ce qui est mal et le transformer en ce qui est bien : il va ouvrir une source d’amour dans le cœur du plus souffrant et le plus souffrant donnera à l’autre.

Comment on peut comprendre ça? Comment regarder un enfant qui est dans la drogue et qui pense au suicide? Comment regarder la mère qui ne cesse de pleurer, qui ne cesse de désespérer, qui s’aperçoit que son enfant la vole?

Dieu va mettre dans le cœur de l’enfant de l’espoir, parce que dans les moments les plus noirs de sa vie, il va vouloir s’en sortir parce qu’il ne sera pas fier de lui.

Eh bien, dans ces moments-là, Dieu passera : il lui accordera des grâces de force et la mère recevra, et là, parce que la mère a reçu, il y aura comme un moment où elle respirera : elle rencontrera quelqu’un qui a vécu la même chose, elle rencontrera quelqu’un qui est une personne-ressource qui la guidera. Dieu veillera, veillera à ce qu’elle soit dans la lumière.

Le temps, il appartient à Dieu; tout cela se vivra selon l’abandon des deux personnes.

Nous sommes l’Église. Lorsque nous prions, nous prions non seulement pour telle personne, mais nous prions pour tous les membres.

La prière est un mouvement qui fait confiance en Dieu, cela apporte des grâces à tous les membres, pas seulement aux personnes qui se droguent et aux mamans ou aux papas là, mais à tous les membres.

Pourquoi nous, nous qui ne connaissons pas ça, que nous n’avons pas ça dans notre famille, on a ce besoin de prier pour ces personnes? Parce qu’un petit garçon, une petite fille ont crié vers Dieu et cela est venu vibrer en nous, et cela nous a fait prier.

Voyez-vous, on est tous ensemble, nous formons un mouvement d’amour en Jésus. Il faut arrêter de désespérer, il faut arrêter de se plaindre, il faut agir dans la prière.

La personne qui est prise du cancer et qui crie à cause de ce qu’elle vient de découvrir ne s’apporte pas de l’amour, elle s’enlève de la force, elle fait le contraire de ce qu’elle est en elle. Elle a besoin de paix, elle a besoin d’amour, elle a besoin de savoir que Dieu est dans sa vie afin de l’aider.

Une personne qui a le cancer et qui se donne à Jésus fait la Volonté du Père; certains guérissent et d’autres ne guérissent pas, mais tous les deux ont cette joie de faire la Volonté du Père.

La peur n’est pas pour les enfants de Dieu, elle fait comme un ravin entre les enfants : on est comme séparés; on regarde le ravin, oups, on recule; il faut le passer ce ravin-là, mais on n’a pas ce qu’il nous faut pour le faire.

Je regarde mon prochain, mais ce que je regarde avant mon prochain, c’est le vide que j’ai entre lui et moi, ce qui m’empêche de lui demander de l’aide dans la prière afin que je puisse enlever cette séparation.

Nous avons besoin les uns des autres, nous avons besoin de goûter à son cœur, afin de ne former qu’un seul cœur : le cœur de l’Église.

Si nous, nous sommes dans la souffrance, eh bien, nous avons besoin d’autres personnes qui prient dans la foi; nous n’avons pas besoin de personnes qui sont, comme nous, dans la peur, nous devons laisser couler les grâces de Dieu entre nous.

Nous sommes liés ensemble autant que l’enfant est lié à sa mère; la mère qui veut aider son enfant, elle le fait avec ses tripes, alors nous devons en faire la même chose pour notre prochain, Jésus n’a-t-il pas dit : «Il n’y a pas de plus grand amour que de donner sa vie pour ceux qu’on aime?»

C’est ça le bonheur, c’est ça notre mission sur la terre; nous avons mission d’être ensemble pour l’amour de Dieu.

Quelqu’un qui apprend à s’aimer, à être amour, il apprend que les autres aussi sont amour et que ce mouvement fait partie de sa propre vie. Alors, nous n’avons pas peur de nous promener sur la terre, nous avons confiance que Dieu est là partout et qu’il y a de l’espérance partout.

Alors, le Seigneur, il dit : «Je vais vous raconter une histoire.»

«Un jour, des enfants sont partis à la découverte de la lune. Avant de partir, ils ont étudié; avant de partir, ils ont rassemblé tout ce qu’ils avaient besoin; ils avaient vérifié, avant de partir, que tout était prêt pour ce long voyage.

Alors, ils sont entrés, ils sont entrés dans une fusée; ils se sentaient en sécurité, car toutes les lumières vertes se sont allumées, alors là, dans un souffle, tous ensemble, ils sont partis.

L’un regarda par le hublot, il vit que tout était noir et que cela était si vaste; l’autre regarda et lui, il vit des lumières, il voyait que ces lumières étaient nombreuses.

Un autre regarda et ce qu’il vit, c’était une boule; elle était toute bleue, elle semblait briller et, en même temps, elle semblait être dans l’ombre.

Celui qui regardait par le hublot et qui voyait que tout était noir se dit : “Oh! montre-moi.”

Le deuxième dit : “Est-ce qu’elles sont plus brillantes que toutes les étoiles?” Alors, celui-ci lui dit : “Mon ami, il n’y en a qu’une seule.”

Alors, il dit : “Mais pourtant, pourquoi qu’il n’y a qu’une seule boule qui est lumière et en même temps qui porte de l’ombrage? Moi j’aime mieux regarder les étoiles parce qu’elles sont toutes brillantes, il y en a beaucoup.”

Celui qui était dans le hublot et qui regardait dehors et que tout était noir se dit : “Pourquoi cette discussion, moi, je ne vois rien, comme ça je me garde dans la paix.”

Alors, les deux autres se regardèrent et haussèrent les épaules; alors, ils se sont dit : “De quoi parleras-tu lorsque tu retourneras sur la terre?” Alors, celui-ci dit : “Je parlerai de l’immensité, je parlerai de l’abandon; un être qui se trouve dans cette immensité fait confiance en Celui qui a créé l’immensité.

Celui qui a créé cette profondeur connaît ce qu’il y a en toute chose parce qu’il peut tout atteindre, il peut atteindre ce que nous ne voyons pas, ce que nous ne comprenons pas, parce qu’il est la Puissance; avez-vous remarqué cette puissance?” Alors, les deux autres se regardèrent et dirent : “Quelle puissance?” “Mais celle qui tient les étoiles à sa place, celle qui tient cette boule bleue dans les airs.”

Alors, les deux autres lui dirent : “Qui te dit qu’il y a une puissance?” Celui-ci dit : “C’est parce qu’il y a quelque chose qui vient d’apparaître : une grande lumière.”

Les autres n’avaient rien vu, ils n’avaient pas vu la grande lumière; celui qui avait vu la grande lumière dit : “C’est parce que vous n’avez pas regardé par le bon hublot!” Alors, il invita ses deux camarades à regarder par le hublot dans lequel, lui, il regardait.

Alors, tous les trois ont regardé : ils ont vu la lumière, la lumière avançait et elle prenait tout ce qui était noir, et tout ce qui était noir devenait lumière par cette lumière : les trois étaient dans le ravissement.

On ne pensait plus aux étoiles ni à la boule bleue, car ils avaient devant eux ce qu’il y avait de plus beau : la lumière qui envahit tout, la lumière qui semble avaler tout.

Tout était dans un éternel mouvement parce que tout ce qui était noir n’avait pas de commencement, ni de fin, et la lumière, elle, avait avalé, couvert, rempli tout ce qui n’avait pas de commencement ni de fin.

Alors, la lumière était la Puissance.

Ces trois camarades ont atterri sur la lune, ils ont compris, ils ont compris qu’ils étaient très petits, ils ont compris que la Puissance leur avait permis d’aller là où ils étaient, parce que la Puissance avait tout pouvoir sur l’immensité.

Ce qu’ils ont découvert était plus que ce qui était dans leur projet; ils ont découvert ce que la Puissance voulait qu’ils découvrent; rien n’était venu d’eux-mêmes, la Puissance avait fait d’eux des enfants qui avaient vu et compris.

Petits enfants d’amour, votre vie est ainsi.

Vous êtes dans un monde où on apprend, où on veut, et lorsque votre vouloir est à l’égal de ce que vous êtes, vous discutez entre vous de votre propre connaissance et vous vous mettez dans des états d’inquiétude, à savoir si vous êtes là au bon moment avec vos connaissances.

La puissance de Dieu vous fait savoir, mes enfants, que tout viendra au moment où Dieu le voudra.

La venue de la Puissance en votre monde est de mon Père, la venue de la Puissance en votre intérieur est de mon Père; chacun de vous vous devrez devenir aussi petits que ceux qui étaient dans cette fusée.

Mes petits enfants, cette fusée n’est-elle pas votre volonté? Votre regard n’est-il pas votre propre choix? Vos paroles ne sont-elles pas vos souffrances? L’abandon, l’abandon est tout autour de vous, cela fait partie de votre vie, il faut que vous réalisiez que vous êtes en moi, Jésus.

C’est moi qui suis la Toute-Puissance; si vous marchez sur cette terre, c’est parce que j’accepte que vous marchiez en moi; si vous respirez cet air, c’est parce que j’accepte que vous respiriez mon amour.

Vous êtes en Jésus, mais vous ne voyez rien et vous n’entendez rien, vous êtes trop pris dans votre propre fusée et là, elle vous amène à toujours aller plus loin.

Viendra le moment où j’arrêterai votre volonté : vous découvrirez votre Dieu en votre intérieur, je ferai naître en vous des besoins d’abandon, des besoins de confiance, et tous ceux qui seront avec vous, en vous, sauront que je suis en eux pour eux, parce que j’aurai fait de vous des instruments d’amour, parce que j’aurai fait de vous mes choisis pour parler à mes choisis : je rassemble vos cœurs pour parler à tous les cœurs.

Je suis, moi, la Lumière du monde, je viens parler en vos cœurs par la toute-puissance de Dieu.

Vous êtes en Dieu, c’est Dieu votre vie, ce n’est pas ce monde; ne faites plus confiance en ce monde extérieur, il vous a emprisonnés dans une fusée, mes enfants, et ce monde veut vous faire voir ce qu’il veut vous faire voir, et ce que vous voyez, vous croyez être dans vos propres connaissances.

Ces connaissances, mes enfants, sont les connaissances de ce monde, ne sont pas vos connaissances, on vous montre ce que vous devez apprendre.

Moi, je viens parler par ma toute-puissance pour vous parler de ce que vous vous êtes, pour vous apprendre à reconnaître que vous êtes amour et que vous avez la liberté de vivre pour l’éternité.

Laissez à la Lumière ce que vous, vous ne pouvez comprendre.

Je vais vous faire vivre, mes enfants, sur la terre et vous allez vous reconnaître tout petits, aimés de Dieu pour la plus grande Gloire de Dieu.

Maintenant, petits enfants d’amour, réjouissez-vous, les grâces que vous avez reçues ont aidé ceux qui souffrent à comprendre qu’ils vivent sur la terre pour Dieu.

Si, aujourd’hui, ils ne le réalisent pas, un jour il y aura quelqu’un qui leur dira : “Regarde, regarde ta vie; viens, je te montrerai. Ce que je vois : c’est la beauté de Dieu, c’est pour toi. Ensemble, ensemble, nous marcherons sur une terre d’amour.”

En attendant, mes enfants, commencez à marcher sur ma terre d’amour.

Vous êtes en moi, c’est moi votre Dieu, c’est moi qui ai créé cette terre, je vous montrerai comment regarder à travers mes yeux, je vous montrerai à écouter la voix de votre Dieu, afin que tout soit dans son plein accomplissement.

Ce qui est commencé, mes amours, est pour vous, et ce qui se continuera sera encore pour vous et pour tous ceux que vous aimez.

Je suis la Lumière, celle qui vous enveloppe, pour vous démontrer que vous êtes lumière pour les enfants qui sont dans les ténèbres.

Si vous avez cru à une boule bleue qui était dans la lumière et qui était dans l’ombre, alors croyez que vous êtes lumière et que vous vivez parmi ceux qui sont assoiffés de lumière, parce que ce qu’ils connaissent c’est l’ombre de leur vie.

Soyez une nourriture.

Allez, allez dans la paix de Dieu, là où vous êtes : en votre intérieur.

Lorsque vous marchez et que vous vivez en vous, savez-vous, mes enfants, que vous marchez avec sécurité sur ma terre d’amour? Cela vous fait avancer parmi ce monde de ténèbres.

Ne vous arrêtez pas, ils ont besoin de lumière.

Je vous aime. Aimez-moi.»

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Ce que Dieu nous a donné aujourd’hui, c’est un moment dans l’éternité et l’éternité ne s’arrête pas.

Ces moments continueront, ils se multiplieront; comme nous, lorsqu’on fait un mouvement, il ne s’arrête pas, il porte des conséquences; alors, voyez-vous, ce mouvement d’amour portera des conséquences.

Soyons tout amour pour nous-mêmes, pour ceux que nous aimons.

Alors, donnons-nous ce moment de repos, certains ont besoin d’aller à la maison pour manger. Merci.

Merci, Seigneur, merci, Marie.