Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Moncton, N.B.,
2007-09-24 - Partie 2
Jésus : La foi, c'est l'œuvre de Dieu.
Ce que vous êtes, vous l'êtes par la Volonté de mon Père; accueillir la présence même du Christ, c'est accueillir votre propre présence.
Rendez à mon Père ce qui est à mon Père; vous êtes à mon Père, alors donnez-vous, donnez-vous sans compter.
Ce que vous vivez présentement est de la Volonté de Dieu.
Vous êtes tous des instruments d'amour; je connais chacun de vous, je connais votre oui, je connais vos interrogations, je connais vos besoins d'amour pour votre Dieu.
Lorsque vous découvrez que Jésus est présent dans votre vie, vous découvrez que je fais de vous des enfants pour ceux qui ont faim, pour ceux qui ont soif; lorsque vous apprenez à prier, mes enfants, vous ouvrez votre intérieur aux grâces; lorsque vous acceptez d'être en présence d'instruments, vous laissez votre intérieur ouvert aux grâces et ce que vous recevez, c'est pour tous les enfants du monde.
Je construis mon monde d'amour, je vous amène avec moi, vous marchez avec moi sur la terre; bien que vous soyez assis, mes enfants, vous marchez avec moi, vous n'êtes pas des enfants inactifs.
Il n'y a seulement que ceux qui se croient être forts devant leurs propres épreuves, se croyant être seuls, qui demeurent sur place; ils n'avancent pas, ces enfants, ils croient évoluer dans un monde pour apporter ce que ce monde attend : des idées nouvelles, des paroles nouvelles, des façons d'agir et qui répondent à ce monde; tout cela est faux, ils n'avancent pas, ils demeurent sur place : ils paralysent leur vie.
La pensée de Dieu est éternelle, elle est un mouvement d'amour qui apporte de la nourriture.
Les enfants de ce monde, qui se disent être capables de nourrir les enfants avec des paroles qui ne portent pas la grâce de mon Père, ne donnent pas de nourriture, ils empoisonnent la vie de ceux qui ont besoin de nourriture.
Je viens parler dans les cœurs, je viens apporter des consolations; tous ceux qui ont eu foi en ma Parole : ma Parole est vivante, ma Parole est agissante.
Je suis la Volonté de mon Père et tous ceux qui croient en moi vivent dans la vie éternelle; n'ai-je pas dit que tous ceux qui croiront en le Fils vivront pour l'éternité?
Je suis venu sur la terre et je me suis présenté comme étant le Fils de Dieu; je leur ai parlé de mon Père, je leur ai parlé du Fils de Dieu; tous ceux qui m'ont suivi voulaient entendre la Parole, la Parole qui apportait de la guérison, la Parole qui les rendait libres : ils ont écouté et ils ont espéré.
Lorsque je fus entre les mains de ceux qui ne voulaient plus entendre parler de la Parole, j'ai accepté la Volonté de mon Père; ils m'ont mis sur la croix, ils ont mis dans mes mains leur volonté.
Ils voulaient faire taire la Parole : en y mettant ces clous, mes enfants, ils croyaient interrompre la Parole, mais la Volonté de mon Père a fait sortir de mes mains un Sang d'amour qui s'est répandu sur eux; mon Sang a rendu la Parole à tous ceux qui devaient être dans la Parole.
Par mon Précieux Sang, mes apôtres ont pu parler; ils ont étendu leurs mains, ils ont accueilli la puissance du Saint-Esprit, ils ont guéri, ils ont libéré, ils ont compris que la Parole était en eux, qu'ils étaient choisis pour guérir et libérer les enfants de Dieu de la tyrannie des hommes qui voulaient séparer les enfants de Dieu.
Tous ceux qui ont écouté le mal voulaient séparer, ils voulaient être eux-mêmes la seule parole; ce qu'ils avaient connu, c'est l'orgueil; les hommes d'aujourd'hui doivent reconnaître qu'ils sont sous la puissance de ma Parole.
Tous prêtres qui croient en moi, qui ne se veulent qu'en moi, qui renoncent à leur volonté humaine, ont tout pour guérir et libérer; ils ne sont plus eux-mêmes, ils sont le Christ-Prêtre, ils sont la nourriture que les enfants de Dieu ont besoin; ils donnent à boire à tous ceux qui ont soif de vérité.
Aujourd'hui, mes enfants, vous avez besoin de cela : comme les enfants qui ont suivi les apôtres, ils ne voyaient plus l'homme, ils voyaient la présence même du Christ parmi eux; ils se sont laissé consoler, ils se sont laissé envelopper de la Lumière.
Aujourd'hui, cela est toujours présent; le prêtre est moi et lorsque je parle, je parle toujours pour mon Père : l'enfant doit apprendre à reconnaître que Dieu le Père l'attend.
Vous êtes à mon Père, mon Père vous a donné à moi et j'ai appris à mes apôtres à faire d'eux des enfants qui accueillent les enfants : ils ont les bras ouverts, ils accueillent les enfants de mon Père; leurs mains sont les mains du Christ, coule de leurs mains le Sang du Christ.
Ce Sang est puissant, c'est le Sang de Dieu fait Homme pour vous; tout ce que je suis, je vous le donne : venez manger et boire à la source même de mon amour.
Lorsque le prêtre étend sa main et qu'il vous la présente, il vous présente mon Sang; l'enfant de Dieu qui est tout petit peut sentir la présence de mon Sang sur lui.
Enfants d'amour, ayez confiance en mon Sang, ayez confiance que mon prêtre est moi, il a toute puissance.
Oh! enfants de peu de foi, croyez en ma Parole; ma Parole est vivante, ma Parole est vérité, vais-je donc me contredire? La Parole a été dite et la Parole sera éternelle.
Ce monde vous a trompés, mes enfants; ne croyez plus à ce monde; ce qu'on essaie de faire de vous, ce sont des enfants qui ne croient plus qu'en ce monde; ce monde ne peut vous guérir, ce monde ne peut vous libérer.
Mon Sang, mon Sang coule sur vous, il vous enveloppe et il vous prend afin de purifier tout ce que votre chair a d'impur en elle; je vous ai appris, mes enfants, à venir à moi, à venir puiser à la source même de mon Cœur.
Mon Cœur vous a accueillis et mon Cœur vous a rendu la beauté de votre âme; chaque sacrement, mes enfants, c'est une source qui vous montre la beauté de votre âme; vous avez besoin de cela pour comprendre ces paroles, vous avez besoin de cela afin d'être attentifs à ce que vous êtes en vous, mes enfants.
Je vous aime, je veux vous nourrir de mon amour, il coule de mon Cœur pour aller à vous, venez vous plonger en moi, les sacrements sont pour vous, il est si important de comprendre cela.
Mes enfants, vous courez partout pour avoir des consolations! Lorsque vous avez des douleurs dans vos membres, c'est votre âme, mes enfants, qui vous fait réaliser que vous avez besoin de consolation, mais la première place où vous devez aller, c'est la place que Dieu vous a préparée : près du Fils.
Lorsque vous venez près de moi, je vous accueille, je vous parle de ma miséricorde, je vous parle de vous-mêmes, je vous préviens des pièges de Satan, je vous rappelle que vous devez toujours bien vous conduire devant mon Père, tout cela, je vous le dis à travers de mon prêtre.
Vous entendez ma Parole en ce moment même et vous écoutez tout cela par la puissance du Saint-Esprit; ces paroles vont droit en votre cœur, parce que vous savez que ce que vous entendez n'est pas de l'être humain; on ne peut répéter ces paroles que si Dieu le veut.
Aucun enfant dans sa souffrance ne peut guérir un autre enfant; aucun enfant dans sa volonté humaine ne peut comprendre un autre enfant dans sa volonté humaine, car l'enfant qui est dans sa volonté humaine est dans sa souffrance, et l'enfant qui entend un autre enfant, qui est dans sa volonté humaine, perçoit sa volonté humaine, alors il résiste à ce qu'il entend parce qu'il reconnaît sa propre souffrance en l'enfant qui parle.
Si je parle à travers d'un enfant de souffrance, c'est pour vous faire comprendre, mes enfants, que vous êtes rendus à ne plus croire à mes prêtres; vous confondez, mes enfants, vous confondez! Vous n'êtes plus capables de regarder ma présence.
Ce que vous voyez, c'est vous-mêmes; vous vous voyez dans la souffrance de l'enfant qui parle, parce que vous n'êtes pas en vous, vous écoutez avec votre extérieur; il n'y a que l'enfant qui est en présence même de Jésus qui peut percevoir ma présence.
Lorsque vous êtes en état de grâce, lorsque vous allez vers mes sacrements, votre âme, elle reçoit des grâces et votre âme vous aide à demeurer en vous, afin que vous puissiez profiter de ce que mon prêtre vous donne.
C'est moi qui vous donne ce qui vous est nécessaire, c'est moi qui vous guéris, c'est moi qui vous libère; si peu croient en cela, si peu vont vers mes prêtres pour obtenir guérison en leur chair.
Enfants d'amour, vous devez redevenir l'enfant digne de mon Père.
Combien d'enfants ont écouté mes apôtres? Combien d'enfants ont suivi mes disciples et ont guéri? Leur âme accueillait les grâces et la chair guérissait.
Pourquoi, aujourd'hui, mes enfants, êtes-vous tant dans la maladie? Parce que vous manquez de foi envers moi, le Christ-Prêtre, je viens vous apporter, mes enfants, de la lumière dans votre vie.
Vous priez, mes enfants, mais vous priez avec vos souffrances : allez, allez vers mes prêtres qui ont foi en ce qu'ils sont et vous obtiendrez guérison et libération.
Je viens apporter à ce monde des mouvements d'amour; je viens apporter à votre monde, à votre temps, mes enfants, des mouvements qui vont vous faire comprendre que vous êtes les choisis de mon Père pour vivre dans mon monde d'amour.
Avancez tous ensemble en prenant tous ceux qui ne croient pas en moi, qui ne croient pas en mes prêtres, en mes prêtres qui se donnent pour servir.
Je suis venu pour servir et mes prêtres sont là pour vous servir; tous ceux qui sont au service de Dieu sont au service du tout de Dieu.
Mangez, mes enfants, et buvez, car le temps est à la moisson, c'est le temps de la vendange.
Réjouissez-vous, c'est le temps d'amour où tous vous danserez et chanterez pour Dieu parce que vous serez guéris et libérés.
Mes enfants, vous êtes les premiers, mais vous ne serez pas les derniers; croyez en cette annonce, cela est vérité et c'est gratuit, mes enfants! Je vous aime.
La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Ce que nous vivons est un temps d'amour, nous sommes entourés de grâces; en ce moment même, nous sommes dans la grâce de Dieu, nous avons avec nous ce que Dieu veut pour nous.
Dieu veut nous bénir, Dieu veut nous apporter la lumière.
Il veut que nous nous reconnaissions tous être dans la lumière de Dieu pour avancer; il veut que nous renoncions en ce que nous, nous avons cru : notre volonté humaine.
Nous avons cru en notre volonté humaine, maintenant, il faut laisser tout cela à Dieu et ne croire qu'en sa Divine Volonté.
Dieu veut faire un mouvement d'amour; il l'a fait hier : il nous a bénis, il a béni plutôt notre chair, il a mis sur notre front une croix, une croix qui nous rappelle que notre volonté humaine doit obéissance à la Volonté de Dieu.
Voilà pourquoi Dieu veut renouveler ce mouvement d'amour pour ceux qui l'ont reçu hier, et il veut le donner pour la première fois à ceux qui ne l'ont pas reçu.
Dieu nous a expliqué que les enfants de Dieu doivent recevoir le signe d'enfants de Dieu pour montrer au tout de Dieu qu'il n'appartient qu'à Dieu : nous appartenons à Dieu, nous n'appartenons pas à ce monde.
Ce monde veut nous marquer de sa marque, disant : "Vous êtes à nous et on a le droit de vous instruire comme nous on veut le faire", jusqu'à nous faire accroire qu'ils peuvent nous guérir avec tout ce qui n'est pas de Dieu.
Cela est faux, il faut refuser cette marque; si nous acceptons cette pensée, nous acceptons la marque de Satan; cela veut dire que si nous acceptons de nous laisser pénétrer par des faussetés, nous recevons la marque de Satan.
Tous ceux qui croient à tout ce qui est d'énergie en dehors de Dieu, tous ceux qui croient à ce qui est contre Dieu comme croire en des pierres, croire en des métaux qui ont un pouvoir de guérison autre que Dieu, ceux qui continuent à aimer le matériel plus qu'eux-mêmes, ceux-là, ceux-là se font marquer par le signe de la Bête.
Satan est très subtil, il n'ira pas cogner à notre porte pour dire : "Hé, veux-tu te faire marquer par mon signe?" Lui le fait hypocritement et sa marque, croyez-moi, elle est tout autour de nous.
Mais lorsqu'on se laisse marquer par le prêtre, on se laisse marquer par Jésus; nous croyons en sa Parole, nous croyons en sa Présence, alors, lui, il sait quoi faire avec notre chair, il sait en prendre soin, il sait lorsque le moment sera nécessaire pour nous enlever toutes maladies; s'il le faisait en un seul instant, savez-vous que, de nos enfants, il leur manquerait des grâces?
Nous devons accepter la croix pour que nos enfants reçoivent la croix; on parle de la croix d'amour, la croix qui guérit, la croix qui libère, la croix qui nous fait avancer vers le Royaume de Dieu le Père, c'est de celle-là que nous voulons; une croix sans Jésus, c'est une croix lourde.
Lorsque nous avons la croix en Jésus, par Jésus, avec Jésus, elle est légère parce que c'est lui qui la porte, mais nous, lorsque nous acceptons tout cela, nous acceptons de porter la croix de nos enfants, de nos petits-enfants, de nos frères et de nos sœurs.
Lorsque tout cela se fait en Jésus, avec Jésus, pour la plus grande gloire de Dieu le Père, cela devient une joie pour nous, la paix nous envahit.
Alors, tout cela c'est pour notre temps.
Jésus, lui, ne vient pas hypocritement nous marquer, il vient nous demander la permission : «Me permettez-vous de vous approcher, de mettre sur votre front mon signe d'amour? Je veux que vous vous reconnaissiez tous aimés de moi.»
Jésus veut qu'on se regarde et qu'on se dise : "Ah! tu es aimé de Jésus comme moi je suis aimé de Jésus! Alors, ça fait une unité : nous sommes le Tout de Dieu."
Alors, ce soir nous avons un cadeau du Ciel : nous avons avec nous le Christ-Prêtre, nous avons avec nous la présence même de notre Jésus qui veut mettre sur notre front ce signe d'amour.
Ceux qui l'ont reçu aiment encore le recevoir pour tous ceux que nous portons en nous. Ceux qui ne l'ont pas reçu vont pouvoir le recevoir, et ceux qui veulent le recevoir, pour ceux qu'ils portent en eux, vont pouvoir encore le recevoir.
Nous avons soif et nous avons faim; alors, si nous avons soif et nous avons faim, c'est le temps de manger et de boire les grâces de Dieu.
Alors, on va prendre ce temps d'amour voulu du Ciel.
La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Nous avons reçu beaucoup; Dieu ne cessera jamais de nous donner beaucoup.
Quelquefois, lorsque les deux mouvements : du Saint-Esprit et le mouvement de l'agir qu'on a en Jésus sont terminés, on a des moments de questions et de réponses.
Les gens posent une question qui n'est pas personnelle, comme : "Est-ce que je vais être guéri de mon ulcère d'estomac?" On laisse ça à Dieu le Père.
Mais il en a qui posent des questions sur ce qu'ils n'ont pas compris et le Saint-Esprit va répondre ou Jésus, je ne sais pas, là; alors, on peut prendre quelques minutes comme ça.
Alors, si vous posez une question, on va quand même la répéter pour l'enregistrer.
Oui, mon père?
Q. Je trouve intéressant que Dieu nous révèle son amour aussi généreusement et, en même temps, on a beaucoup de difficulté à l'accepter, peut-être parce qu'on a peur de lui demander autre chose!
R. La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : On a beaucoup de difficulté à accepter les grâces de Dieu.
Dieu nous parle beaucoup, nous donne beaucoup de grâces, de lumière mais, en même temps, on se recule.
Dieu nous donne beaucoup et nous accueillons ça dans notre cœur, mais on ne sait pas quoi faire avec ça dans notre cœur, on a peur qu'il nous demande trop.
Le Saint-Esprit : L'Esprit de Dieu est en chacun des enfants de Dieu.
Lorsque Dieu demande, Dieu donne les grâces; Dieu prépare l'enfant à ouvrir son cœur et à accueillir les grâces, et Dieu prépare l'enfant à vivre les grâces; ce que l'enfant reçoit, il le reçoit par la Volonté de Dieu avec tout ce qu'il a reçu depuis sa naissance; ce qu'il n'a pu profiter, Dieu, lui, l'a conservé.
C'est comme un bon réfrigérateur : Dieu ouvre la porte et y dépose de la nourriture, et cela d'année en année, et lorsque la personne a faim, elle rouvre le réfrigérateur, elle mange la nourriture et la nourriture lui donne tout ce qu'elle a besoin pour être en bonne santé; et comme elle est en bonne santé, elle peut courir le marathon sans avoir de douleurs aux genoux, en ayant confiance qu'elle va remporter du bien-être.
Elle ne s'est même pas posé la question si elle avait assez bien mangé : elle fait son marathon, car plus elle court et plus, à l'intérieur d'elle, il y a la nourriture qui l'alimente.
C'est le sucre qui sort des muscles; alors, ne suis-je pas capable d'en faire autant avec mes grâces? Tout cela est en vous depuis si longtemps! Ce qui vous fait peur, mes enfants, c'est ce que vous ne connaissez pas.
Je vous donne aussi des grâces de foi, afin que vous soyez tout abandonnés entre mes mains, et plus vous avancez dans cet abandon et plus vous découvrez que Dieu est présent et que c'est lui qui prend ce qui est le plus souffrant.
N'ayez pas peur, ma grâce est éternelle, vous n'en manquerez pas, mes enfants!
La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Merci, Seigneur.
Q. Vous avez parlé hier d'une fusée…. il y avait un nuage, j'ai pas tout compris ce que le Seigneur nous a dit hier dans son histoire…
R. La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Hier, le Seigneur nous a raconté une histoire.
Trois hommes sont partis pour conquérir la lune; la fusée dans laquelle ils ont monté a quitté la terre.
La fusée représente notre volonté humaine, la fusée emprisonne l'être humain.
L'être humain a besoin de se sentir libre; lorsqu'il est emprisonné par sa volonté humaine, il voit, mais il ne comprend pas.
Celui qui regardait par le hublot et qui voyait ce qui était dans l'univers regardait et il était fasciné par cet univers, c'est comme s'il avait saisi l'abandon.
Les deux autres qui parlaient, qui regardaient, il y en avait un qui regardait les étoiles : lui contemplait ce qui était déjà créé; l'autre qui regardait la boule bleue et qui voyait la lumière, et tantôt l'ombre, regardait la terre : lui il s'attachait à ce qu'il était, il s'attachait plus à la matière qu'à l'enfant de Dieu.
Celui qui regardait l'univers apprenait à s'abandonner; il était quand même dans la fusée qui, elle, l'emmenait où elle, elle voulait l'emmener; (durant) tout son voyage, il fallait qu'il fasse confiance là où il était.
Les deux autres, qui se posaient toujours les questions, croyaient être dans leur propre connaissance, disant à l'autre : "bien, regarde, moi j'aime beaucoup mieux les étoiles"; alors, ils faisaient conversation avec ce qu'ils voyaient eux autres même, c'était leur extérieur; l'autre, qui a vu cette grande noirceur, il a été saisi par son intérieur, et comme il était abandonné dans ce qu'il voyait, là le Saint-Esprit l'a envahi : c'est notre vie, ça.
Lorsque nous regardons et que nous ne comprenons pas ce que nous voyons, mais que nous donnons ça à Dieu, le Saint-Esprit nous fait comprendre ce qui est devant nous.
Pourtant lui, il voyait quoi? Il voyait de la noirceur, il ne voyait rien, mais il était tellement abandonné qu'il comprenait sans voir; alors, il était dans l'émerveillement.
Alors, le Saint-Esprit lui a montré ce que le Saint-Esprit voulait qu'il voie, toujours dans le but de le transformer pour être l'enfant de Dieu qu'il était; voilà pourquoi il a vu la lumière.
La lumière s'est montrée à lui, là il a compris qu'il était lui-même lumière; il ne pouvait voir la lumière en premier parce qu'il ne se savait pas être lumière; lorsqu'il s'est abandonné, la lumière s'est présentée, alors là, il s'est reconnu être de la Lumière.
Après, il a été prêt, il a comme évangélisé les deux autres, mais pas avec ses paroles, avec la lumière et les autres ont compris, ils ont arrêté de s'interroger.
Eux autres aussi ont vu la lumière et lorsqu'ils ont atterri sur la lune, là ils savaient que ce n'était pas la volonté, c'était la Divine Volonté qui les avait amenés là. C'est ce que Dieu nous a parlé hier.
C'est la Divine Volonté qui va nous amener à découvrir qui nous sommes, pas la volonté humaine, pas avec nos savoirs, pas nos connaissances qui nous amènent à découvrir ce que nous on ne voit pas; on va toujours demeurer aveugles et orgueilleux.
Dieu nous aime et Dieu vient lui-même nous parler afin que nous soyons lumière, petite lumière dans sa Lumière.
Toujours le tout dans le Tout. Merci, Esprit-Saint.
Q. Jésus a parlé ou l'Esprit Saint a parlé des enfants, qu'on ne devait pas se soucier pour nos enfants, mais j'ai un peu peur.
R. Jésus : Ce que Dieu a déposé en chacun des enfants de Dieu, il l'a déposé en tous les enfants.
Ce que vous voyez, c'est la Volonté de Dieu, ce que vous entendez, c'est la Volonté de Dieu.
Chacun de vous voit des enfants de Dieu et vous êtes tous appelés à être des instruments pour eux.
Lorsque vous priez pour vos enfants, vous ouvrez à l'intérieur de vous un mouvement d'amour pour accueillir les grâces de Dieu, afin que vous soyez tout abandonnés, afin que vous soyez lumière, tout petits entre les mains de Dieu.
Enfants d'amour, vous avez entendu cette histoire de la fusée avec ses trois enfants? Celui qui s'est abandonné pour être lumière a pu faire comprendre aux deux autres qu'ils étaient eux-mêmes lumière.
Tout cela s'est fait par la puissance du Saint-Esprit; il a fallu que celui qui regarde s'abandonne et qu'il laisse toute la place à Dieu.
Alors, je demande à chacun de vous qui avez des enfants, qui aimez les enfants de Dieu, à tous ceux qui veulent servir les enfants de Dieu, d'être abandon, d'être entre les mains de Dieu pour que Dieu puisse faire de vous des instruments d'amour, des êtres de paix, de joie, afin que ceux que vous aimez voient l'agir de Dieu.
Je commence par vous, mes enfants; je vous apprends à être abandon, à vivre dans la paix de Dieu.
Ils ont besoin de voir, ils ont besoin de comprendre que Dieu est présent, que Dieu n'est pas un mythe : Dieu est la vie, leur vie.
Vous qui mettez des enfants au monde, ils savent qu'ils sont sortis de votre ventre, ils savent que vous avez reçu le germe de la vie et qui a fait ce qu'ils sont, mais ils ont besoin de voir que vous croyez en Dieu, que vous acceptez les grâces de Dieu, ils ont besoin de sentir auprès d'eux la vérité.
Soyez vérité, soyez vous-mêmes mouvement d'amour de Dieu pour eux; laissez-moi vous transformer en êtres d'amour, en êtres de paix, ils ont besoin de croire en quelque chose de vrai.
À cause de tout ce qu'ils ont entendu, à cause de tout ce qu'ils ont vu, ils ont perdu, ils ont perdu devant eux la vérité, car tout ce qu'ils voient autour d'eux n'est que mensonges, n'est que lamentations, pleurs.
Ils ont besoin de vérité afin de s'y plonger, ils ont besoin de joie afin de croire qu'ils peuvent vivre dans la joie; alors, je commence par vous afin qu'ils puissent voir et croire.
Soyez mes artisans d'amour et de paix avec mes grâces; je vais vous montrer lentement à tout accepter de moi.
Je suis la Lumière du monde, alors soyez en ma lumière pour être lumière pour eux.
La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Merci, Seigneur.
Alors, on va remercier le Seigneur et si on demandait au prêtre de nous bénir, afin de pouvoir rendre grâces à Dieu de ce que nous venons d'entendre et de voir; nous ne pouvons pas le faire sans les grâces du prêtre.