Rencontre d’amour avec l'agir de Dieu à Montréal, Québec,

par son instrument, la Fille du Oui à Jésus.

 

2004-11-26  

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Mon nom est Francine Bériault et voici celle que le Seigneur a choisie pour être avec moi lors des rencontres : Nicole.

Depuis quelque temps, Nicole et moi nous voyageons ensemble; nous avons eu des rencontres dans l'Ouest Canadien et ces rencontres nous ont appris beaucoup lors de ces voyages.

Dieu parle beaucoup et, nous qui croyons savoir ce qu'est la Purification, au bout de trois ans nous avons appris que nous devons avancer dans le Seigneur.

Dieu prépare chacun de nous à vivre la Purification; il nous veut obéissants, il veut qu'on soit entre ses mains; il nous fait découvrir notre intérieur, il nous apprend que ce qui nous habite a été contre nous.

Oui, lorsque nous avons accepté des sentiments qui ne nous appartenaient pas, qui appartenaient à nos parents, qui appartenaient à nos éducateurs, qui appartenaient à ceux qui habitaient avec nous dans notre maison, qui appartenaient à nos amis dans la cour d'école et (qui appartenaient à nos amis) à notre travail, et que ces sentiments nous les avons pris en nous : ces sentiments qui ne nous appartenaient pas nous ont fait souffrir et nous font souffrir.

Dieu est en train de nous libérer, c'est comme s'il ouvrait une lumière, là où nous, nous n'avons pas vu.

Tranquillement, Dieu parle de ce qui est en nous et qui n'aurait pas dû être en nous.

Dieu a vu des gestes que nous avons posés à cause de ces sentiments qui étaient en nous et qui ne nous appartenaient pas; ces sentiments ont fait naître en nous des sentiments, et ces sentiments ont formé notre caractère, nous qui n’étions faits que de l'amour de Dieu.

Parce que nous avons accepté involontairement les sentiments des autres, nous sommes devenus aigris de la vie; nous avons cru qu'il était de nous de nous défendre lorsque nous étions attaqués par les autres.

Nous n'avons pas compris que les sentiments qui avaient pénétré en nous avaient fait la guerre aux sentiments qui étaient en nous, et la guerre qui était en nous sortait de nous.

Comment, nous, aujourd'hui, pouvons-nous être heureux dans ce monde? Comment, nous, pouvons-nous regarder ce monde et vouloir la paix? Comment, nous, pouvons-nous regarder nos enfants et les vouloir heureux, alors que ce que nous leur montrons est la guerre de notre intérieur?

Dieu tranquillement fait sortir de nous ce qui nous habite.

Dieu a connu tout ce qui nous habitait avant même que nous, nous venions en ce monde, puisqu'il a accepté de prendre en lui tous nos sentiments : tout ce qui nous a rendus malheureux.

Ce qui nous rendait malheureux a rendu aussi le monde malheureux et, parce que nous étions malheureux, nous avons commis des gestes de violence; ces gestes de violence étaient portés contre Dieu parce que lorsqu'on se faisait du mal à soi-même et lorsque l'on faisait du mal à notre prochain, c'était contre Dieu qu'on faisait du mal; alors Dieu a regardé ce que nous étions devenus à cause du péché : à cause de la désobéissance d'Adam et Ève et à cause du péché de Caïn.

Nous sommes devenus des êtres de péchés et, parce que Dieu nous aime, il a tout porté en lui.

Chaque regard que nous avons posé vers notre prochain qui regardait la douleur du prochain et que nous avons accepté en nous, Jésus l'a pris comme si c'était lui qui regardait cette souffrance; chaque action que nous avons posée et qui nous a fait du tort à cause que nous avons regardé notre prochain et que nous avons accepté cela en nous : le résultat de ce que nous avons eu a fait faire des actions en nous, alors Jésus a tout pris.

Lorsque nous avons accepté les sentiments des autres, nous nous sommes transformés, nous avons laissé le mal nous transformer, alors Jésus a tout vu et il a accepté de tout prendre en lui : il nous a pris tels que nous étions.

Il s'est penché sur nous et il a eu pitié de nous; nous étions comme sans défense devant le péché, nous étions des enfants contre une marée qui montait et qui nous enveloppait; nous n'avons pas pu nous défendre contre cette marée de sentiments et, Jésus qui avait tout pris, Jésus se tenait en nous pour nous protéger contre nous-mêmes : c'est la miséricorde de Dieu qui était en nous et qui nous enveloppait.

Jésus nous fait découvrir ce qui nous habite : lentement.

Il a fallu qu'il nous parle de l'amour, il a fallu qu'il nous fasse découvrir sa Présence en nous, il a fallu qu'il nous fasse découvrir notre présence en lui et, aussi, il a fallu qu'il nous fasse découvrir que nous portions en nous tous nos frères et nos sœurs, et il nous a fait avancer dans la Purification.

Maintenant, nous savons que nous devons accepter de lui donner notre volonté humaine, parce que si nous n'avions pas accepté de lui donner notre volonté humaine, on n'aurait pas pu accepter ces révélations : notre volonté humaine se serait battue pour conserver ce qu'elle a accepté en elle.

Notre volonté humaine s'est toujours prise pour des petits dieux, car nous portons la trace du péché en notre chair.

Notre âme, elle, a été dans la grâce du sacrement du Baptême; notre chair, elle, a été fouettée par notre volonté humaine.

Malgré que nous ayons reçu notre baptême, malgré que la tache originelle n'ait plus été en nous, nous avons continué à accepter les sentiments de nos frères et de nos sœurs qui ne nous appartenaient pas.

C'est parce que notre chair est ignorante de la puissance du sacrement du Baptême; notre chair s'est toujours prise pour plus grande que notre âme : notre intelligence a fait de nous des êtres qui combattaient l’âme parce que notre intelligence écoutait le mal en nous.

C'est le mal qui accepte ce qui est à l'extérieur et le fait entrer en nous : le mal est devenu le maître de notre vie; il l’a été avec douceur, avec ruse.

Nous connaissions les sentiments qui nous habitaient : les sentiments de l'amour.

Lorsque nous sommes sortis du ventre de notre mère, nous avons aimé ses bras, sa tendresse; nous avons recherché le regard de notre mère et de notre père; nous avons voulu écouter la voix de nos parents parce que cela était bon pour nous, parce que nous étions amour et l'amour cherchait l'amour; mais combien de fois nous avons aussi regardé les yeux de notre mère et de notre père qui étaient blessés, qui étaient fatigués, qui étaient parfois en colère, qui étaient parfois sous la domination de l'un ou de l'autre.

Et nous qui étions si petits, nous avons accepté ces regards-là et nous les avons laissés pénétrer en nous, et nous avons fait de même lorsque nous avons regardé combien eux étaient malheureux parce que leurs paroles ne portaient pas des mots d'amour : il y avait de la rancœur dans leurs paroles parfois, il y avait de la jalousie, il y avait de la colère, il y avait du désespoir, il y avait tellement de peur, et nous qui entendions ça, nous acceptions ces paroles et nous les laissions entrer en nous.

Nous avons appris à accepter des gestes; nous avons appris à faire la même chose que nos parents et, avec le temps, nous avons fait la même chose avec tous ceux qui étaient autour de nous parce que cela venait tellement facilement en nous, puisque nous l'avions fait depuis que nous étions sortis du ventre de notre mère.

Nous devenions des étrangers : puisque nous avions accepté ce qui ne nous appartenait pas, alors nous avons vécu à l'intérieur de nous comme des étrangers; nous avons pris la vie des autres et nous avons essayé de vivre avec.

Comment un tout petit enfant peut-il vivre sa vie, qui ne devrait être qu'amour, et vivre la vie de ses parents, de ses frères et de ses sœurs qui sont malheureux? Alors il est devenu un être malheureux qui cherche l'amour.

Dieu nous parle de Purification, Dieu nous parle de ce qui s'en vient.

Chacun de nous avons espéré que cela arrive et vite; chacun de nous avons regardé les événements autour de nous et nous avons recherché les signes qui nous amèneraient tout cela.

Alors Jésus nous a dit : «Maintenant que vous avec regardé à l'extérieur, maintenant que vous avez comme satisfait votre curiosité, satisfait vos sentiments, maintenant, à mon tour de vous parler d'amour, à mon tour de vous attirer en vous.»

Il fallait qu'il commence par l'amour, qu'il nous parle d'amour pour aller en nous; on n'aurait pas été prêts à entrer en nous sans l'amour parce que s'il aurait commencé tout de suite à nous parler des sentiments qui nous ont rendus malheureux, on n'aurait pas voulu entrer en nous, parce que le mal en nous avait pris trop d'emprise sur nous, il nous contrôlait par la peur, par le doute, par le désespoir, surtout par la souffrance; aujourd'hui, il est facile pour les gens d'aujourd'hui de les contrôler par la souffrance.

Nous avons jeté notre regard vers l'extérieur et nous avons vu qu'il y avait des plaisirs, qu'il y a des biens matériels, du confort, que l'argent pouvait apporter un soi-disant bonheur, alors nous qui avons goûté à tout cela, nous ne voulons pas souffrir.

Qui de nous renoncerait à ce que nous connaissons en sachant que nous allons souffrir? Qui de nous accepterait d'augmenter sa souffrance qui l'habite?

Le monde entier souffre du pouvoir.

Satan a su contrôler le monde entier par le pouvoir; dans tous les pays, nous retrouvons la grande souffrance qui est causée par le pouvoir : pays riches, pays pauvres; tout est contrôlé par le pouvoir et le monde entier souffre parce que le pouvoir est sans amour, et comme nous ne sommes faits que d'amour, nous souffrons.

Comment aurions-nous pu accepter d'entendre parler encore de souffrance? Nous aurions rejeté cela du revers de la main, refusant d'entendre parler d'abandon, refusant d'entendre parler de donation, refusant d'entendre parler de confiance, nous avions perdu toute confiance en l'amour : tout cela, c'est le résultat de ce monde.

Voilà pourquoi Jésus a commencé à parler de l'amour, à nous attirer tranquillement avec des mots d'amour en nous.

Maintenant que nous avons fait un bout de chemin en nous, Jésus nous ouvre des portes inconnues qui sont en nous; ces portes sont fermées en nous, mais parce que nous avons appris à dire oui à Jésus, maintenant Jésus est en train de nous ouvrir des portes, avec des oui répétitifs.

Oui, maintenant nous acceptons de regarder le péché en nous; oui, nous acceptons maintenant de comprendre la miséricorde de Jésus; oui, nous commençons à comprendre que la souffrance est la cause de nos péchés; oui, nous acceptons de tout laisser à Dieu; oui, nous acceptons qu'il fasse de nous des êtres d'amour comme lui le veut; oui, nous acceptons de souffrir encore et encore pour nous et pour nos frères et nos sœurs; oui, nous comprenons aujourd'hui que lorsque nous donnons à Jésus notre vie, nous ne pouvons pas oublier nos frères et nos sœurs maintenant, parce que notre vie est reliée avec tous nos frères et nos sœurs du monde entier.

Au moment où que Jésus acceptait de prendre tous nos péchés, il nous prenait tous en lui, et son Sang a commencé à couler; alors chacun de nous, lorsque nous acceptons de nous laisser purifier, il n'y a pas seulement que nous qui se laissons purifier, mais ceux qui sont en nous.

Lorsque nous voyons une colère à l'extérieur, maintenant nous allons apprendre à dire : "Seigneur, je ne veux pas que cette colère entre en moi. Seigneur, maintenant que tu m'as ouvert les yeux, il y a beaucoup de colères qui sont entrées en moi; ces colères qui m'habitent, Seigneur, je te les donne et je te donne aussi toutes les colères qui sont en mes frères et mes sœurs. Par la puissance du sacrement du Baptême, prends tout Seigneur.”

À cet instant, Jésus, parce que nous lui avons dit que nous ne voulons pas ces colères, l'empêche d'entrer en nous : nous devenons comme une lumière.

La colère n'est pas de Dieu, la colère est un péché contre Dieu, contre nos frères et nos sœurs.

Lorsque nous avons dit que nous n'acceptions plus cette colère, nous avons accepté d'être enfants de Dieu; alors nous sommes devenus comme une lumière : la colère qui a vu qu'il y avait une lumière n'a pu s'approcher de nous, elle a été comme repoussée.

Nous sommes des êtres d'amour, nous sommes faits pour vivre d'amour; alors lorsque nous acceptons d'être amour, nous acceptons de briller comme Dieu brille : alors la lumière qui est nous n'est pas nous, elle est Jésus, alors c'est Jésus qui repousse la colère.

Lorsque les anges ont désobéi à Dieu, ils ont été chassés du Paradis, du Ciel, ils ont été retirés de la face de Dieu, alors Dieu en un instant fit l'enfer.

L'enfer est un lieu qui est comme au centre de la terre : cela est pour vous faire comprendre que nous, nous avons des limites à comprendre la Volonté de Dieu; afin d'être dans la connaissance, Dieu parle d'un lieu, mais Dieu dit : «Enfants d'amour, ce que Dieu veut vous faire comprendre doit se limiter à ce que vous êtes capables de comprendre»; alors voilà pourquoi Dieu dit que l'enfer est comme au centre de la terre.

Lorsque le moment sera venu, nous saurons ce que Dieu veut dire par là; alors lorsque les anges ont été en enfer, ils sont devenus comme des êtres diaboliques, se donnant un droit sur la terre à cause du péché de la désobéissance; alors ils errent les lieux, ils sont des êtres de noirceur : alors ils cherchent à se loger.

Lorsque nous sommes des êtres de noirceur à cause du péché, eux se collent à nous parce qu'ils veulent nous pénétrer : ils veulent habiter notre intérieur; mais ils ne peuvent pas entrer en nous s’il n'y a pas d'ouverture : leur but à eux c'est de provoquer des événements qui nous mettent dans des situations de péché.

Comme les enfants d'aujourd'hui ne prient plus, ne croient plus, ne vont plus à la messe, ne vont pas vers les sacrements, ne portent pas de sacramentaux, ne font pas de sacrifices, ils deviennent des proies faciles.

Alors, voilà pourquoi depuis tant et tant d'années, nous sommes sous l'emprise du mal : qui d'entre nous n'avons pas accepté la colère d'un autre?

À l'instant où nous, nous réagissions devant la colère d'un autre, c'est que la colère de l'autre avait pénétré en nous et avait fait réveiller un sentiment qui était en nous, et il y a eu comme un combat en nous; alors les diables, qu'on appelle les petits diables, qui étaient collés sur nous autres, étaient très contents.

Pouvez-vous vous arrêter un instant pour penser, à chaque fois que nous avons accepté les sentiments des autres, comment ils ont pu nous manipuler? Plus grand encore est le danger aujourd'hui.

Des petits enfants qui n'ont même pas un an sont assis devant la télévision et ils entendent et voient la violence; même si les parents cherchent à protéger leurs enfants en contrôlant les émissions, essayez de trouver un seul sentiment qui est absent devant un écran de télévision : que ce soit des petits bonhommes qui se mettent à chanter pour donner un sentiment de joie afin de faire passer une idée, cette idée vient du contrôle.

On veut contrôler le monde en mettant l'idée du monde dans les enfants afin de mieux les contrôler.

On ne croit plus aujourd'hui à Satan : qui peut avoir eu ce pouvoir sur les enfants du monde, si ce n'est pas Satan? Et nous, les parents, nous n'avons rien vu.

N'est-ce pas parce que nous aussi il y a des sentiments qui ne nous appartiennent pas qui sont en nous? Lorsqu'on regarde un parent qui est plein d'amour, lorsqu'on regarde des parents qui s'entraident, cela c'est un sentiment d'amour, c'est ce qui doit nous habiter : l'amour, parce que l'amour est en chacun de nous.

L'Amour, c'est Jésus, il nous habite; alors parce qu'il nous habite, il habite aussi nos frères et nos sœurs, nos parents; alors lorsque nous, nous étions petits et nous voyions nos parents qui s'aimaient, c'était une partie de nous qui était en eux et qui s'aimait : nous nous nourrissions de l'amour de Jésus.

Jésus est un être infiniment présent; il est dans tout être vivant, il nourrit l'amour avec l'Être qu'il est.

Comme nous sommes en l'Église, nous ne faisons qu'un avec tous nos frères et nos sœurs; alors parce qu'on voyait l'amour chez nos parents, on devenait une unité avec eux autres, et ce que nous voyions faisait partie de nous, ça nous habitait : on regardait nos parents et on se retrouvait en eux, cela n'était pas étranger en nous parce qu'on faisait partie d'eux.

Le père avait donné son germe de vie afin qu'il soit dans le nid de l'amour de la mère, alors ça faisait notre lieu d'amour, et lorsque nous regardions nos frères et nos sœurs à la maison, nous nous reconnaissions en eux : nous avions goûté le même amour qu'eux; alors nous parlions en nous de l'amour : de nos frères et de nos sœurs à la maison; avant même que nous puissions aimer nos frères et nos sœurs de sang, nous les aimions en Jésus.

L'amour est plus fort que tout, il règne dans tous nos frères et nos sœurs du monde entier.

Puisque nous aimons nos frères et nos sœurs de sang, nous sommes prêts à les défendre, prêts à les aimer tels qu'ils sont, à les défendre contre leur propre peine à eux en cherchant à les consoler, à les aimer tels qu'ils sont malgré qu'ils étaient parfois contre nous, c'était nos frères et nos sœurs de sang.

Mais, par notre intérieur, par l'amour de Jésus, nous aimons nos frères et nos sœurs en Jésus.

La puissance de Jésus a été jusqu'à mourir et à nous sauver de la mort éternelle, cela est si puissant que cet amour devient éternel; voilà ce que Jésus nous dit tranquillement : «Je vais vous apprendre à reconnaître tous les sentiments qui sont en vous. Parce que, maintenant, vous savez que vous êtes amour pour vos frères et vos sœurs, vous allez apprendre à me donner les sentiments qui ne sont pas pour vous et qui ne sont pas non plus pour vos frères et vos sœurs qui sont en vous».

Lorsque Jésus disait : «Vous ne pouvez pas faire votre Purification seuls», Jésus nous fait comprendre par là que si nous voulons qu'un sentiment sorte de nous, il faut le faire sortir de nos frères et nos sœurs qui sont en nous parce que, sans cela, le sentiment va encore demeurer.

C'est la rédemption d'amour; une rédemption au-dessus de tout ce que nous avons connu : Jésus nous fait entrer en lui dans sa Divine Miséricorde, il nous fait vivre la vie en Dieu.

Lorsqu'il a dit : «Tous ceux qui croiront auront la vie éternelle», alors cela voulait dire qu’il acceptait de nous faire entrer dans sa vie éternelle.

Chaque mouvement de nous-mêmes nous sera connu, tout ce que nous avons voulu accepter nous sera connu; tous ceux qui, tranquillement, ont accepté de se laisser transformer en êtres d'amour, maintenant ils sont prêts à tout accepter, sans condition, pour nous et pour nos frères et nos sœurs.

Il n'y aura plus de jugement puisqu'un seul jugement, c'est un jugement contre nous : un seul refus d'aider son prochain maintenant, c'est un refus contre nous.

Jésus vient maintenant; Jésus vient nous montrer qu'il a toujours pris soin de nous, il est la Lumière; il veut nous rendre lumière intérieurement pour que toute notre chair soit purifiée d'un feu d'amour.

Ce feu d'amour va réchauffer tout notre intérieur, il va brûler tout ce qui est étranger en nous : ce sera comme (dans) un creuset dont le feu brûle jusqu'à ce qu'il soit blanc et (dans) ce creuset (l’intérieur) devient maniable; ainsi, lorsqu'il coule entre les mains de Dieu, Dieu par sa puissance enlève toute impureté.

Nous allons devenir comme des tout petits enfants, purs, exempts de toute impureté; nous allons être des êtres de lumière et ceux, les êtres diaboliques, qui ont voulu prendre notre chair comme un lieu qui leur appartenait, vont quitter notre chair : ils ne nous attaqueront plus.

Ce ne sera pas seulement que la colère que nous n'accepterons plus, ce sera la jalousie, l'hypocrisie, le mensonge, le vol : tout ce qui a pu nous nuire et tout ce qui a pu nuire à tous ceux qui sont en nous.

C'est Jésus qui va nous faire découvrir tout cela, même si jamais nous n'avons commis de meurtre, nous ne pourrons pas dire maintenant que cela ne nous habite pas parce que maintenant nous savons qu'à l'intérieur de nous un frère ou plusieurs ont commis des meurtres; à chaque fois que nous allons entendre parler de meurtre, nous allons faire des dons; nous allons donner ces gestes contre Dieu par la puissance des sacrements, par la puissance de l'amour de Dieu, par la puissance de son Précieux Sang, selon ce qui vient en nous.

Jésus ne viendra pas nous compliquer la vie en nous donnant des formules parce qu’il sait très bien, Jésus, que nous, nous n'avons pas une mémoire (parfaite), et Jésus aussi ne veut pas que nous soyons des orgueilleux, parce que si quelqu'un apprend des formules, qu’il dit à nous : “Non, ce n'est pas comme ça”, cela sera contre nous.

Jésus va nous utiliser comme nous sommes et il va changer la surface de la terre; maintenant, nous savons que les êtres de lumière vont aider tous les enfants du monde entier.

Lorsque Jésus a commencé à écrire, il a dit : «L'amour sera l'arme que je me servirai contre le mal, aucune arme terrestre ne sera aussi puissante que l'amour»; voilà pourquoi avec des enfants de la Lumière aussi petit est le nombre, aussi grand est la puissance; alors lorsque nous apprenons à découvrir ce que Dieu a préparé pour nous, nous ne pouvons que rendre grâce à Dieu.

Ces temps sont des temps d'amour pour nous, ce sont des temps d'espérance.

Nous n'avons plus à avoir peur de demain, il faut vivre le présent; il est très important de vivre le présent parce qu'il faut être attentifs à ce qu'il va nous montrer.

Durant la journée, il va vous arriver des événements et ça va vous faire sortir des sentiments : et c'est là que nous devons agir; il y aura aussi des moments durant la nuit aussi; vous allez entendre, voir à l'intérieur de vous des sentiments qui surgiront et là aussi il va falloir que vous donniez tout.

Le mal qui s'est accroché à nous, lui, va continuer à nous troubler, il va tout faire pour nous décourager; il va faire en sorte de mettre devant nous des erreurs pour nous inciter à oublier ce que nous devrons faire.

Notre volonté humaine est entre les mains du mal, il ne le faut pas l'oublier parce que nous avons écouté le mal depuis plusieurs années; tant que le bien ne sera pas plus grand que le mal, nous serons sur l'influence du mal et le mal va tout faire pour que nous ne vivions que de l'extérieur, afin que nous ne puissions pas donner ces sentiments.

Croyez-vous qu'il n'a pas écouté ce qui vient de se dire? À l'intérieur de nous il y a des enfants qui consentent à faire le mal; il y a à l'intérieur de nous des enfants qui se sont donnés à Satan : nous les portons en nous, mais Jésus est en nous et nous protège.

Jésus ne dit pas ces mots pour nous faire peur, mais pour nous faire comprendre la réalité de ce que nous vivons en nous : tant que Jésus poursuivra sa Passion, tant que le moment choisi de Dieu le Père ne sera pas arrivé, nous porterons en nous des enfants qui ont dit non à Jésus.

Alors nous devons être vigilants : nous devons (laisser) nos lampes allumées, en allant vers les prêtres recevoir les sacrements; nous devons porter des sacramentaux sur nous; nous devons nous servir de l'eau bénite; nous devons prier; nous devons faire des sacrifices et tourner notre langue sept fois avant de parler : ça, ça sera difficile.

Nous sommes portés à aller trop vite, à penser trop vite et à agir trop vite et là, quelquefois, on dit : "Ah! je le regrette"; la vie aujourd'hui nous a appris à aller trop vite, à ne pas demeurer calme, ça c'est l'œuvre de Satan; alors nous devons apprendre à demeurer dans la paix.

Dieu nous dit : «À ceux qui ont commencé à fermer la télévision, à ceux qui ont commencé à fermer la radio, à ceux qui refusent d'acheter les journaux, à (ceux qui) choisissent les bonnes lectures, soyez généreux et pensez à ceux qui regardent la télévision, pensez à vos frères et vos sœurs que vous portez en vous et qui lisent encore les journaux, pensez à ceux qui lisent des romans, pensez à ceux qui vont vers des jeux diaboliques, à ceux qui s'adonnent à des méthodes diaboliques pour se relaxer, pensez à eux car ils vous habitent : eux sont pressés, eux ne réfléchissent pas, et vous les portez; alors, ne vous prenez pas au-dessus d’eux, vous n'êtes pas mieux que vos frères et vos sœurs; ce qui a fait que vous êtes différents, c'est que vous êtes les premiers à dire oui.

Il a fallu que vous vous arrêtiez et cela est venu de moi, pas de vous; alors soyez humbles, soyez obéissants et attentifs à ce que vous allez découvrir, parce que Satan est malin; il va continuer à faire de vous des marionnettes, mais moi, je vais me servir de vous pour aider ceux que vous portez en vous.

Croyez-vous que je vais vous boucher les oreilles? Croyez-vous que je vais vous rendre aveugles sur le mal?

Vous allez continuer à souffrir pour vos frères et vos sœurs; je n'interdirai pas au mal à vous faire découvrir des sentiments en vous, mais je vous rendrai plus puissants que le mal, plus forts dans les attaques, plus obéissants à ma voix, plus amour envers vous et votre prochain, ainsi vous serez mes instruments d'amour.

Vous êtes mes choisis, et tant qu'il y aura des enfants qui auront besoin de vous, je vous utiliserai; parce que ce que je vous ai donné, je veux le leur donner : votre récompense sera à la hauteur de vos dons d'amour.

Je vous rendrai si lumière qu'au moment où vous me verrez en vous, vous entrerez dans la lumière, dans la joie, car la lumière reconnaîtra la Lumière.

Enfants d'amour, écoutez la voix de celle qui a obéi.»

 

La Vierge Marie : Enfants d'amour, je suis la Mère de Dieu; mon Fils est auprès de vous afin que vous puissiez comprendre ce qui se passe : le monde d'aujourd'hui est en train de se perdre, le monde d'aujourd'hui à besoin de vous.

Moi, la Mère de Dieu je me suis donnée, j'ai pris en moi toutes blessures que mon Fils a acceptées pour vous; ma chair a connu la souffrance parce que j'ai accepté d'être votre Maman.

Mon oui, mes enfants, vous enveloppe.

Je suis avec vous dans ces temps de souffrance : reconnaissez la puissance de mon Fils.

L'Église souffre, mes enfants, elle a besoin d'enfants comme vous; il faut vous donner, il faut que vous preniez en vous mes choisis, mes fils de prédilection.

Priez pour eux, mes enfants, parce que tous les enfants ont besoin d'eux; Satan s'acharne contre eux, car il sait qu'ils sont pour vous des êtres précieux, alors prenez bien soin d'eux, mes enfants, faites ce que vous avez appris, écoutez la voix de mon Fils qui vous apprend à découvrir ce qui vous habite.

Moi, la Maman de Dieu, de Dieu le Fils, je n'ai pas connu le péché, je n'ai pas de sentiments qui sont contre Dieu, je n'ai pas connu des sentiments contre l'amour du prochain, tout mon être a été enveloppé de la puissance de Dieu, mon Cœur est habité de Dieu, il a reçu tant de grâces : venez, dans les moments difficiles, dans mon Cœur et amenez-y tous ceux que vous portez en vous, vous êtes les choisis de Dieu.

Le temps que vous vivez est un temps de grâces; rien sur la terre n'a été pareil, et rien ne sera pareil car Dieu Trinitaire a choisi ce temps : vous devez avancer dans la Lumière.

Devenez des êtres de lumière, car la Lumière va éclairer la terre; bientôt, aucune ombre n'existera sur la terre; tout le mal sera avalé par la terre et un feu d'amour règnera en vous : c'est le feu de l'amour de mon Fils.

Soyez bons envers vous-mêmes et faites ce que mon Fils vous demande.

La Mère de Dieu demande à son Fils de venir vous bénir.

Allez dans la paix, mes enfants.