Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Nashua, New Hampshire,

par son instrument, la Fille du Oui à Jésus.

 

2006-06-08

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : La plupart d’entre vous ne me connaissez pas; la plupart d’entre vous ne connaissez pas Nicole; Dieu a lui-même choisi chaque personne ici, à lui seul de rassembler ses enfants; ce qu’il fait en ce moment même, il le fait pour son Église.

Jésus est le battement de l’amour de l’Église; il veut nous amener là où nous ne sommes pas capables d’aller : au plus profond de nous-mêmes, là où nous sommes vraiment, là où nous sommes avec tous nos frères et sœurs du monde entier.

Jésus a su rassembler ses enfants, Jésus a su nous donner un mouvement d’amour, nous regarder comme nous sommes : comme des enfants de Dieu; nous sommes tous pareils; nous sommes faits pour nous aimer, nous sommes faits pour être unis dans le Cœur de Dieu; chacun de nous, nous apportons aux autres et les autres nous apportent aussi.

Lorsque nous avons été choisis pour venir en ce monde, Dieu le Père a pris soin de chacun de nous; il a mis en chacun de nous son souffle de vie; c’est ce souffle de vie qui fait que nous puissions nous reconnaître les uns et les autres comme ses enfants; par Jésus, nous avons appris à nous identifier comme étant tous frères et sœurs; par Jésus, nous avons reçu l’amour du Père.

Dieu le Père avait mis son souffle de vie en nous, mais les souffrances dans notre vie (ont) fait en sorte que nous (ne) pouvions pas nous reconnaître enfants de Dieu; on avait beau se regarder, on ne se retrouvait pas; on se regardait comme si nous étions tous des étrangers : moi, je m’apporte quelque chose et toi, tu t’apportes quelque chose, ce qui a fait que nous nous sommes éloignés les uns des autres.

Seul le Fils de Dieu pouvait nous redonner un cœur d’amour, et lorsque ce cœur bat d’amour, là, nous nous reconnaissons; il a fallu que le Fils de Dieu vienne sur la terre pour nous parler d’amour, il est venu nous démontrer que nous étions aimés de Dieu le Père.

Lorsqu’on se reconnaît aimés de Dieu le Père tels que nous sommes, là, nous apprenons à nous reconnaître comme frères et sœurs.

Jésus est le seul qui peut nous faire comprendre son langage d’amour : c’est le langage de Dieu le Père; il vient accomplir la Volonté de Dieu le Père en nos cœurs puisqu’avec ce que nous sommes, nous n’avons pas compris ce que nous étions vraiment; il vient directement là où nous, nous allons pouvoir comprendre qui nous sommes : aimés de Dieu le Père avec ce que nous, nous avons fait dans notre vie.

Dieu le Fils est venu nous parler, Dieu le Fils a donné sa Parole; elle nous a été nécessaire et elle nous est nécessaire pour vivre en êtres d’amour; nous devons vivre en êtres d’amour pour aller vers Dieu le Père.

Mais avec les années notre chair, elle, a voulu vivre sa vie; notre volonté humaine, notre volonté humaine a fait ses propres choix; notre volonté humaine nous a amenés là où nous, comme enfants de Dieu, on ne voulait pas aller.

Si on (s’était) reconnus comme étant vraiment enfants de Dieu, nos choix (n’) auraient été que pour Dieu, mais les choix que nous avons pris étaient pour nous plaire; nous ne pouvions pas faire des choix d’amour pour Dieu le Père, puisque nous-mêmes, nous (ne) nous connaissions pas; la volonté humaine a pris le dessus sur l’enfant de Dieu.

L’enfant de Dieu est soumis au Père, l’enfant de Dieu est fidèle au Père, parce qu’il sait qu’il vient du Père; pas un instant, il n’oublie que le Père est le Créateur; pas un instant, l’enfant de Dieu oublie que Dieu le Père l’a aimé.

L’enfant de Dieu aspire au Père : ses pensées sont pour le Père, ses paroles sont pour le Père; il aime entendre parler de son Père et il aime faire tout pour Dieu le Père.

Nous, nous n’avons pas toujours fait ce que Dieu le Père attendait de nous; avec nos choix, nous avons oublié tout ce que nous étions au plus profond de nous-mêmes.

Dieu le Père a regardé ce que nous sommes devenus, Dieu le Père a continué à nous aimer tels que nous sommes, Dieu le Père n’a pas condamné qui nous sommes; Dieu le Père a donné son Fils pour nous, parce que Dieu le Père nous aime; son amour est parfait, son amour va nous conduire à la vie éternelle, parce qu’il nous a donné son amour, il nous a donné son Fils.

Dieu le Père vient avec nous dans notre vie; lorsque nous prenons le Corps du Christ, lorsque nous prenons le Sang du Christ, nous nous nourrissons de l’amour du Père, alors Dieu le Père vient à nous; chaque instant, Dieu le Père crie son amour pour nous.

Dieu le Père est obligé de crier dans ces temps-ci parce que nous avons été portés vers l’extérieur; nous oublions souvent notre vie à l’intérieur de nous; la vie à l’intérieur de nous, c’est celle qui nous fait connaître qui nous sommes à l’extérieur.

Notre vie à l’extérieur n’est que si la vie à l’intérieur de nous-mêmes est; alors, c’est doucement que Dieu vient dans notre vie extérieure pour nous ramener là où nous devons être : alors, Dieu le Père le fait à sa façon à lui.

Les voies de Dieu ne sont pas nos voies, elles sont impénétrables puisqu’elles nous amènent à la vie éternelle, puisqu’elles nous (font) comprendre que nous sommes à Dieu le Père, avec son amour.

Dieu envoie ses instruments parmi ses instruments : nous sommes instruments d’amour et vous êtes instruments d’amour; il se sert de ce que vous êtes à l’intérieur de vous pour aller rejoindre tous les enfants du monde.

Chacun de nous portons en nous la voie qui va nous conduire là où Dieu le Père veut que nous allions, et là où il nous amène, il amène tous ses enfants; il ne peut pas amener que quelques-uns, il les amène tous; puisque Dieu le Fils est venu pour porter tous les péchés du monde pour nous amener à la vie éternelle, alors il a amené tous les enfants de Dieu le Père en lui.

Nous avons tous été en Jésus; nous sommes en Jésus et il va nous conduire là où nous, nous devons être; chacun de nous, ici, nous sommes comme un chemin pour nos frères et nos sœurs.

Les paroles que vous entendez, ce sont vos paroles, parce que Jésus vous donne la Parole; cela vous appartient, c’est notre vie; il se sert de notre vie afin d’aider nos frères et nos sœurs du monde entier; ces paroles, c’est par la puissance de Dieu que vous les entendez, elles sont à l’intérieur de vous.

Il permet que j’entende ces paroles pour que vous puissiez, vous, vous donner; il veut nourrir ses enfants de ses grâces de libération, d’amour, de joie, ses grâces d’abandon; il nous apprend à nous donner pour les autres, parce que Dieu le Fils est venu pour tous les enfants de son Père; en ce moment même, ces paroles guérissent, (elles) guérissent tous ceux qui ont été en nous, qui sont en nous et qui seront en nous, parce que Jésus est la Présence.

Il n’y a pas de temps en Jésus; il y a un temps pour nous dans notre volonté humaine, mais lorsque nous renonçons à notre volonté humaine, nous entrons dans le présent; alors, tout ce qui a été, est et sera, devient pour nous, là, maintenant, présent; alors tous les enfants de Dieu profitent de ces paroles.

Dieu dit maintenant : «Ma fille, tu vas fermer les yeux, je veux parler directement à mes enfants, parce que je veux qu’ils soient témoins de mon agir.»

 

Jésus : Vous, enfants de la Divine Volonté, vous, enfants de mon Père, je suis en votre présence, telle est la Volonté de mon Père.

Chacun de vous, vous avez prononcé votre oui; il fallait, mes enfants, que vous, vous preniez conscience de votre présence ici, personne de vous n’a été forcé.

La vie de Dieu est ainsi; il prend ses enfants et il montre son amour, un amour divin; mon amour pour vous est parfait, inconditionnel; apprenez à reconnaître que vous êtes aimés de Dieu.

Je n’ai jamais rien exigé de vous-mêmes, j’ai toujours attendu que vous veniez à moi; combien de fois je vous ai parlé? Combien de fois, je vous ai montré ma Présence? J’ai regardé votre vie, j’ai été présent à chaque instant dans votre vie.

Enfants d’amour, je suis le Parfait et je vis dans votre vie, et c’est moi qui vous fais vivre en ma Vie; apprenez à être dociles à la Parole de Dieu par mes grâces.

Un jour, mes enfants, un enfant est venu près de vous, il vous a parlé de son Père; ses paroles étaient apaisantes, ses paroles étaient remplies de lumière; il parlait d’amour, il parlait de rassemblement; il aimait parler de droiture, de justice; il aimait parler des enfants de son Père.

Il disait à ceux (qui) voulaient écouter qu’il était là pour eux, et tous ceux qui l’écoutaient découvraient qu’ils étaient unis les uns et les autres; ils se regardaient et ils se disaient : “Oh! tu es mon frère, tu es ma sœur, je suis comme toi et toi, tu es comme moi, nous avons le même Père”; toutes ces paroles, ils l’apprenaient de lui.

Il leur parlait de libération, il leur parlait d’un monde qui ne serait qu’amour; il leur (a) dit que dans le Royaume de son Père tout n’était que beauté et que tous ceux qui croiraient en ce qu’il disait étaient pour connaître ce lieu d’amour.

Ceux qui l’écoutaient étaient dans l’émerveillement; eux qui étaient dans la souffrance, eux qui se sentaient si délaissés, eux qui voulaient connaître le bonheur, étaient remplis d’espoir; le bonheur leur apparaissait comme étant quelque chose d’accessible.

Eux qui étaient des pécheurs, eux qui se disaient être impurs, ne méritant pas de parler à Dieu, entendaient parler de Dieu; ils se sentaient si liés à Dieu qu’ils ne pouvaient expliquer ce qu’il y avait à l’intérieur d’eux; toutes ces paroles leur redonnaient vie; ils se di(rent) : “Serait-ce celui que nous attendons? Serait-ce celui qui viendrait nous libérer?” Ils accueillaient toutes ces réflexions, personne n’osait vraiment affirmer cela.

Une porte venait de s’ouvrir devant eux; on voulait entrer, on voulait connaître, on voulait savoir; parmi eux, il y avait des enfants qui ne semblaient pas accueillir ces paroles : ils avaient peur, peur de perdre ce qu’ils avaient connu, pouvoir garder ce qu’ils avaient, eux, eu dans leur vie.

On leur avait donné un droit et ils ne voulaient pas perdre ce droit; à eux, on leur avait donné le droit de la parole, de savoir qui était digne de parler d’amour, de parler de lois, de parler de comportements; ils ne voulaient pas perdre cela, alors leur cœur s’est endurci sur les paroles qu’ils entendaient.

Tout leur être souffrait; ils voulaient arrêter cette souffrance, ils ne voulaient plus entendre ces paroles, alors ils ont voulu interrompre ces paroles; plus ils essayaient d’interrompre les paroles et plus les paroles semblaient prendre de l’importance dans le cœur de ceux qui voulaient entendre, car ceux qui écoutaient ces paroles semblaient vivre de ces paroles; mais eux se sont dit : “Il faut arrêter tout cela, il faut que cela cesse!” Alors, ils ont tué Celui qui sortait les paroles d’amour de son intérieur.

On a pleuré de ne plus entendre ses paroles, on s’est retiré pour se consoler, car ce qu’ils avaient connu n’apparaissait plus devant eux : “Où est notre espoir? Où est notre raison de vivre? Allons-nous retourner dans notre noirceur? Nous avions vu la Lumière et maintenant nous avons perdu la Lumière.”

Mais (vinrent) des hommes, (vinrent) des hommes qui leur parla de la Lumière; ces hommes semblaient être remplis de quelque chose, leurs paroles semblaient rassurantes; ils semblaient reconnaître un langage déjà entendu et le cœur de ceux qui entendaient ces paroles se mit à battre de nouveau, car ce qu’ils entendaient étaient des paroles de vie, étaient des paroles de résurrection; tout était vrai, tout était lumière, tout leur apparaissait si amour.

Alors, on a voulu se nourrir de cela; des hommes ont écrit la Parole, des hommes ont fait connaître la Parole et tous ceux qui écoutaient s’en nourrissaient; une flamme était allumée en tous ceux qui se nourrissaient de la Parole, ils avaient la foi en Dieu, ils étaient prêts à suivre Dieu.

Mais ces hommes et ces femmes, et ces enfants, avaient en eux quelque chose aussi : de la souffrance; ils se souvenaient, ils se souvenaient que des paroles avaient été dans leur vie, ils se souvenaient que des actions avaient été dans leur vie.

Tout ça avait fait naître en eux des mouvements de peur, de doute; ils se débattaient toujours entre ce feu qui brûlait en eux et cette douleur qui leur apparaissait de l’extérieur, mais ils ne savaient pas quoi faire avec ce qu’ils connaissaient.

Alors, les années ont avancé; d’autres personnes sont venues et d’autres personnes sont venues, et tous ceux qui sont venus avaient comme héritage ce que les autres avaient eu en eux : il y avait ce feu d’amour et il y avait cette souffrance.

Alors, un jour, Dieu dit : «Je vais parler à mes enfants; je vais parler dans leur cœur, là où j’ai déposé cette flamme d’amour, là où ma Parole s’est inscrite, là où elle les a nourris; je vais leur réveiller l’espoir, je vais réveiller en eux cet amour inconditionnel et je vais leur parler aussi de ce qui a fait d’eux des êtres de souffrance».

Alors, il a commencé à rassembler des enfants qui voulaient entendre parler de Dieu; il leur a dit combien il tenait à eux; eux écoutaient avec une certaine crainte, car ils ne voulaient pas qu’on les fasse plus souffrir, et la Voix leur parlait doucement, car tout se passait à l’intérieur d’eux, et ils ont commencé à laisser la Voix guérir des blessures; et plus ils entendaient la Voix et plus ils voulaient faire ce que la Voix demandait, plus leurs souffrances disparaissaient.

Ils devenaient des êtres calmes; ils commençaient à vivre dans la paix; ils compri(rent) que c’était l’amour qu’ils entendaient, cet amour qui guérissait leur vie, une vie qui était en Dieu, parce que ces enfants avaient oublié qu’ils vivaient en Dieu, parce que ces enfants ne savaient pas quoi faire avec leurs souffrances; ils auraient tant voulu être heureux, mais ils n’ont jamais su comment.

Oh! ils ont pensé souvent : “Oh! comme nous aimerions vivre dans un monde de paix, qu’il n’y ait plus jamais de violence dans le monde entier”; mais lorsqu’ils regardaient ce qu’ils étaient, ils avaient de la difficulté à croire à cette paix; ils se disaient : “Il faudrait un grand miracle pour qu’il n’y ait plus de violence dans le monde”; alors la Voix leur dit : «Croyez et vous verrez; vivez et vous serez récompensés.»

Tout cela, mes enfants, c’est votre vie; je viens parler dans votre cœur, je viens réveiller ceux qui se sont laissé prendre aux pièges de Satan.

Je vais me servir de mes tout petits enfants afin d’aller rejoindre ceux qui croient qu’ils sont grands; ce sont des petits blessés, je les entends, moi, pleurer; je les entends, moi, qui demandent de l’aide; alors, je vais me servir de vous pour aller chercher tous ces enfants; vous êtes à moi; mon Père vous a donnés à moi, son Fils.

Enfants d’amour, lorsque vous entendez ces paroles, laissez-vous soigner par Jésus; il n’y a que moi qui connaisse ce qui vous a blessés; je vais arracher le mal, mes enfants, de ce monde, je vais brûler de mon feu d’amour toutes vos blessures afin que vous (ne) soyez qu’amour.

Je fais un monde nouveau.

Rappelez-vous, mes enfants, lorsque j’ai porté la Croix : tout s’accomplissait; j’ai pris chacun de vous; j’ai pris toute pensée, toute parole, toute écoute, (tout) sentiment, toute action : tout cela a été en moi; tout a été accompli par le Fils.

Tranquillement, maintenant, je vous apprends à suivre le chemin du Fils : mes pas, mes enfants; je vais vous apprendre à mettre vos pas dans mes pas; vous allez connaître votre patience; combien d’entre vous connaissez déjà votre patience? Je veux que vous alliez jusqu’au bout de votre patience.

Puisque j’ai porté tous les enfants du monde, je vais vous montrer comment porter tous les enfants du monde; vous le ferez dans la paix avec mes grâces; chaque jour, vous allez découvrir un monde d’amour.

Je ne vous promets pas, mes enfants, de vivre cela sans souffrances; regardez votre vie, n’est-elle pas souffrante? Avec mes grâces, mes enfants, vous allez vivre cela; avec mes grâces, mes enfants, vous allez avancer, la joie sera dans votre vie.

Lorsqu’on connaît la souffrance, mes enfants, et qu’on ne connaît pas comment arrêter la souffrance, cela amène le désespoir; mais lorsque quelqu’un connaît la souffrance et qu’il connaît que cela va s’arrêter, parce que quelqu’un connaît le moyen d’arrêter la souffrance, là vous connaissez l’espoir.

J’ai déjà tout accompli cela, moi; j’ai pris votre souffrance et j’ai fait de vous des êtres d’amour, j’ai fait de vous des êtres ressuscités; maintenant, il faut que vous le viviez.

En moi, tout est accompli, car je suis Dieu; je sais tout, je vois tout, je connais votre vie, à vous de la vivre; il faut que vous obteniez des grâces pour vivre votre bonheur éternel; ces grâces seront en vous par vos oui à l’Amour.

Chaque mouvement dans votre vie est important; chaque mouvement vous amène à connaître un autre mouvement et ce mouvement nouveau dans votre vie vous amène à connaître un autre mouvement; lorsque, au bout d’un certain temps, vos mouvements vous appa(raissent) amour, la douleur disparaît.

Si, mes enfants, Dieu vous (avait) fait connaître à l’avance ce que vous alliez vivre, les mouvements que vous auriez connus ne vous auraient pas apporté cette récompense : de voir que vous vous êtes accomplis par amour, abandonnés dans la Volonté de Dieu, par amour pour Dieu.

Voyez-vous, la Vie de Dieu est amour pour vous, et lorsque vous acceptez tout, la vie de l’enfant devient une vie d’amour pour Dieu, et Dieu récompense ce qu’il reçoit, car ce qu’il reçoit c’est vous; vous devenez le mouvement dans le mouvement de Dieu.

Enfants d’amour, ces paroles (sont) un baume sur vos mouvements qui n’ont pas été dans la Volonté de Dieu; soyez tout amour pour vous et continuez à vouloir vivre en Dieu.

Enfants d’amour, je vous aime; ce soir, ce n’est qu’un tout début, je vais vous amener encore plus loin; prenez un temps où votre corps prendra du repos.