Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Notre-Dame-de-Grâce, Montréal, Québec,

par son instrument, la Fille du Oui à Jésus.

 

2007-04-21 – Partie 2

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Dieu a choisi cette journée et Dieu a choisi ce lieu.

Plusieurs d’entre vous, (vous) parlez polonais, plusieurs d’entre vous, (vous) parlez anglais et plusieurs d’entre vous, (vous) parlez français.

Si Dieu a choisi de vous parler avec l’instrument que je suis, c’est sa Volonté, et si Dieu a parlé à travers de l’instrument de Nicole, c’est sa Volonté, et c’est par respect pour ce lieu, pour soutenir tous ceux qui ne reconnaissent plus ce lieu comme étant pour eux.

Regardez les écritures sur le dessus de notre tête : ce sont des écrits d’amour, gravés avec le cœur des enfants de Dieu.

Est-ce que ces écrits ont une langue? Ils ne le sont que pour ceux qui parlent français, anglais, polonais : chaque langue est une langue d’amour, chaque cœur est un cœur d’amour, chaque pays est un pays d’amour.

Nous sommes l’Église de Dieu et Dieu ne regarde pas la langue, Dieu ne regarde pas le pays, Dieu est présent; la Volonté de Dieu est amour et la Volonté de Dieu prend.

Si des personnes (avaient) aimé que nous parlions qu’en français, qu’ils donnent à Dieu, qu’ils offrent à Dieu ce besoin de langue; et si le cœur de chacun de nous voulait entendre parler polonais, qu’il donne à Dieu son cœur, qu’il ouvre son cœur, qu’il accueille tous les enfants de Dieu pour présenter son cœur à Dieu, un cœur qui se donne, un cœur qui s’offre; si l’esprit de chacun de nous voulait entendre parler anglais, que cet esprit soit fixé vers l’Esprit de Dieu : un esprit qui s’ouvre, un esprit qui s’offre, un esprit qui n’a que la Volonté de Dieu comme nourriture.

 

Jésus : Enfants d’amour, je vous ai donné ma Vie; j’ai pris chacun de vous et je vous ai fait avancer, je vous ai conduits vers vos chemins et je vous ai pris par la main, parce que vos chemins n’étaient pas toujours des chemins d’amour.

Je vous ai montré ma lumière afin que vous puissiez me donner ce qui vous faisait souffrir, je vous ai fait comprendre combien Dieu est amoureux de vous.

Là où il y avait la souffrance, moi, je guérissais; là où il y avait des pleurs, je consolais; là où il y avait délaissement, moi, j’accompagnais; là où il (n')y avait qu’indifférence, moi, j’offrais, je prenais votre vie et je la vivais, je prenais ce qui était de vous pour le présenter à mon Père.

Enfants de ma joie, je viens vous parler de libération et de guérison, je viens vous parler d’un corps qui connaîtra le bonheur, je viens faire de vous des êtres qui (ont) foi en Dieu; avoir foi en Dieu, c’est avoir foi en ce que vous demandez en Dieu et en ce que Dieu vous donne.

Demandez, mes enfants, ne cessez pas de demander, mon Père écoute, il écoute son Fils, il vous accorde ce qui est bon pour votre âme, pour l’âme de tous ceux que vous portez en vous; toutes les âmes sont en vous; puisque je suis, moi, amoureux de mes âmes, je ne me sépare pas de mes âmes.

Enfants d’amour, Dieu prend soin aussi de votre chair, votre chair que vous avez si négligée, votre chair qui a connu le péché et qui se souvient des péchés que vous avez confessés.

Je viens vous apporter des lumières afin que vous puissiez voir là où vous êtes rendus dans votre vie; je vous fais voir un monde d’amour, je vous fais comprendre que vous êtes dans le mouvement de la renaissance.

Vous étiez comme morts, mes enfants, et aujourd’hui vous apprenez à espérer, vous apprenez à vivre votre vie d’enfants de Dieu; tout ce que vous êtes, mes enfants, en ce moment même, est un mouvement d’amour pour l’Église, pour vos frères et vos sœurs, pour ceux que vous aimez et ceux que vous aimez moins.

J’aime tous les enfants de mon Père, sans exception; sans cesse, je vous rappelle, mes enfants, que vous ne devez avoir confiance qu’en Dieu afin d’aider les enfants que vous aimez; sans cesse, mes enfants, je veux que vous (n')ayez confiance qu’en moi, afin que vous n’ayez pas de regard vers ceux qui peuvent vous consoler, vous libérer, vous guérir, car tout ce (qu'ils) peuvent vous apporter n’est qu’éphémère.

Vous entendez des paroles consolatrices, mais elles ne sont qu’en surface; vous croyez être libérés et guéris, mais cela n’est que passager, car ce qui est humain n’est pas pour vous, car ce qui vient des humains ne peut vous apporter libération et guérison, cela ne fait que vous enfoncer dans vos douleurs.

Écoutez bien, mes enfants : "Un jour, un enfant a regardé le ciel; au-dessus de sa tête, il regardait le bleu, il regardait le blanc qui venait des nuages.

Lorsque tout était à son goût, il était heureux, il n’allait pas plus loin que ce qu’il regardait, il ne se demandait pas pourquoi le ciel était bleu : il aimait.

Lorsqu’il voyait un nuage blanc, il aimait, car il n’obscurcissait pas son ciel bleu; lorsqu’il était devant des nuages gris, lorsque ces nuages s’unifiaient et qu'ils formaient au-dessus de sa tête un écran gris, il ne pouvait pas voir le ciel.

Alors, il n’était pas bien dans ce qu’il vivait : il était comme amorti, fatigué, il avait souvent le goût de dormir, il faisait son travail et son travail était alourdi par ses muscles qui ne recevaient pas la force qu’ils auraient dû recevoir; tout cela le rendait maussade.

II cherchait consolation, il cherchait quelque chose qui pourrait lui donner de la force; à ces moments-là, il était plus porté à penser à sa souffrance : souffrance qui venait de ses choix face au péché, il ne réalisait pas qu’il vivait la conséquence de ses choix face au péché.

Il avait perdu le sens du péché car, pour lui, il n’y avait pas péché lorsqu’il y avait désobéissance; pour lui, être dans le péché était quelque chose qui était contre lui, Dieu, et le prochain.

Mais dans des mouvements de violence, de colère, de haine, de rejet : il fallait que dans son cœur il y ait nourriture qui détruise, nourriture qui apporte la destruction, la haine; cette nourriture détruisait, cette nourriture était contre l’Amour : tout cela, il le sentait lorsqu’il vivait ce péché.

Mais il y avait péché aussi lorsqu’il ressentait la désobéissance, manque d’amour, manque de douceur, manque de patience, manque de partage, manque de don de soi; il ne savait pas reconnaître ce péché, il ne savait pas comment reconnaître l’égoïsme, l’orgueil.

Tout était devant lui et il ne voyait pas parce que tout était sombre, lourd, difficile à porter : cela faisait si souffrir, il fallait libération, il fallait guérison.

Qu’importe le prix, il fallait que la souffrance s’arrête : voilà son ciel gris; il était si humain, il était si blessé, si souffrant, il portait tant de souffrances en lui.

D’où venaient ces souffrances? Il ne le savait pas. D’où venaient ces refus de voir le péché? Il ne le savait pas.

Qu’est-ce qui faisait qu’il rechutait toujours devant le péché? Il ne le savait pas.

Tout était caché en lui, tout était inconnu de lui, parce que, il était habitué de vivre dans ce temps de noirceur : cela était sa vie.

Il se rappelait ce soleil, il se rappelait de ce ciel bleu et il voulait cela; alors, lorsque le ciel bleu apparaissait, lorsque les nuages blancs étaient tout petits dans le ciel, il était heureux, il se convainquait qu’il était à la bonne place : il vivait ces journées ensoleillées dans sa souffrance, dans son ignorance; il ne cherchait pas à savoir, il vivait; il avançait ainsi jusqu’au moment où tout redevenait gris.

C’était sa vie sur la terre, une vie parmi les autres avec ce qu’il était; il connaissait la souffrance, il connaissait la souffrance de ceux qu’il aimait; il savait qu’eux aussi vivaient ce que lui vivait; il savait qu’eux aussi étaient pour être bien sous ce soleil bleu avec ces petits nuages blancs.

Il espérait, il espérait que ce ciel bleu avec ces nuages blancs continue, mais lorsque les nuages remplissaient ce ciel, il savait que les autres aussi vivaient de la tristesse, du désespoir, jusqu’au moment où il apprit.

Il apprit qu’il y avait en lui un Ciel; il apprit qu’à l’intérieur de lui vivait la Trinité; il apprit que la Trinité n’était qu’amour, que la Trinité le comblait; il apprit que tout lui était accordé lorsqu’il était un tout petit enfant devant la Trinité.

Tout ce qu'il était en lui était si beau, si rempli de paix! Il apprenait à s’aimer, il apprenait à se connaître, il apprenait à se pardonner, il apprenait à connaître ce qui était inconnu de lui, parce que tout se faisait par la puissance de Dieu : ce Ciel était en lui, ce Ciel était vivant.

Lorsque ce Ciel lui montrait des mouvements qui l’avaient fait souffrir, il découvrait que les nuages à l’extérieur de lui étaient moins lourds dans sa vie.

Lorsqu’il était en présence même de mouvements qui devaient lui apporter libération, guérison, il apprenait à donner à Dieu, à offrir à Dieu et à accepter de Dieu des grâces, des grâces de paix.

Alors, lorsqu’il était en présence, dans sa vie quotidienne, de nuages, ces nuages ne lui apparaissaient plus comme quelque chose de lourd, de pesant, de triste, alors il s’apercevait que sa santé était de plus en plus forte.

Il avait ses douleurs, mais ses douleurs étaient moins accablantes, ces douleurs n’atteignaient plus l’enfant qu’il était devant Dieu; il devenait de plus en plus patient, il devenait de plus en plus tolérant devant les erreurs des autres, car il ne regardait plus les autres comme avant : il ressentait à l’extérieur de lui de l’amour qu’il avait découvert en lui.

Alors, lorsqu’il était devant ce ciel bleu et ces petits nuages blancs, cela lui donnait un élan pour aller vers ses frères et ses sœurs, afin qu’il puisse être un témoin d’amour de Dieu.

Le plaisir devenait pour lui prière, la joie devenait pour lui partage; il se sentait vivant sous ce ciel bleu avec ce petit nuage blanc, il se sentait vivant sous ces nuages gris parce qu’il savait, il savait que le ciel était toujours bleu.

Il acceptait ce petit nuage blanc, c’était comme lui; oui, il était un nuage blanc dans ce ciel, car il savait que Dieu devait continuer à lui parler; il savait maintenant qu’il devait accepter les grâces pour devenir parfait; il savait qu’à l’intérieur de lui était le Ciel, le Ciel rempli d’amour, le Ciel rempli de bienfaits pour lui.

Il avait appris maintenant à vivre son quotidien avec son Ciel à l’intérieur de lui, en lui, pour lui, car tout était de la Trinité.

Dieu le Père l’avait choisi pour être sur la terre; Dieu le Fils avait pris tout ce qu’il était d’impur et l’avait purifié par amour pour lui; il découvrait qu’il marchait sous la mouvance du Saint-Esprit.

Un esprit de force, un esprit de grâce, un esprit de paix étaient sur lui.

Il savait qu’il était enfant de Dieu, il savait qu’il était, avec tous ses frères et ses sœurs, égal à eux; il savait qu’il était sous ce Ciel d’amour avec tous ses frères et ses sœurs en lui, que tout ce qui était extérieur n’était que pour un temps, mais un temps essentiel à sa vie spirituelle.

La vie qu’il avait reçue de Dieu le Père était choisie pour les autres, guidée par Dieu le Fils, afin de lui apprendre à toujours présenter ses œuvres à Dieu avec les dons du Saint-Esprit qu’il avait reçus, afin de vivre son éternité dans le Royaume de Dieu devant la Trinité : mouvement éternel, mouvement puissant, mouvement qui l’appelait à être là pour l’éternité, en son âme, âme qui est en lui pour l’amener dans son Ciel éternel, là où Dieu le Père l’appelait pour l’amour.

Il apprenait à ne plus avoir peur d’une mort temporaire; il apprenait à regarder sa chair comme étant une enveloppe pour son âme; il apprenait à aimer sa chair, une chair qui avait été sous l’influence du mal, ce qui l’avait fait si souvent chuter devant le péché : oui, il avait appris à aimer sa chair.

Dieu le Père avait choisi sa chair pour son âme, alors il découvrait combien sa chair était importante pour lui, mais regardée avec son âme.

Il devenait un être d’amour pour Dieu : ne plus prendre sa chair comme étant une chair qu’il avait déjà idolâtrée.

Oui, il apprenait maintenant à être tout petit devant Dieu et à accepter tout ce que Dieu le Père voulait pour lui : il demandait à Dieu de diminuer sa souffrance jusqu’à le libérer totalement de ses maladies, mais comme il avait maintenant appris à aimer sa chair comme un enfant de Dieu, il avait appris à accepter tout ce que Dieu le Père voulait pour lui.

Tout ce qui était amour était maintenant devant lui : sa vie devant la Vie de Dieu, la Vie de Dieu dans sa vie; il comprenait, il comprenait que Dieu l’appelait à la libération de sa chair.

Il apprenait que le Fils avait déjà accompli pour lui ce mouvement de libération et qu’il était dans ce mouvement d’amour; il apprenait que ces temps étaient les temps que Dieu le Père avait choisis pour libérer la chair du péché; il apprenait qu’il devait suivre les mouvements de Dieu comme Dieu le voulait; tout devait être pour lui qu’amour."

Voyez-vous, petits enfants d’amour, c’est votre vie devant votre Ciel; en vous, il y a tout ce qui vous est nécessaire pour vivre ces temps de libération, de guérison.

Je viens parler en vos cœurs, je viens changer vos cœurs de tristesse en cœurs d’espérance, je viens vous dire que c’est moi, Dieu, et je suis en vous, je viens vous rappeler, mes enfants, ma Parole.

J’utilise des instruments qui se donnent afin que vous puissiez comprendre ce que vous vivez; je vous fais comprendre que votre monde est en évolution de libération; je viens vous apporter la solution, mes enfants, à votre vie de souffrances; je viens vous mettre en garde contre ce que vous êtes lorsque vous vous laissez prendre par votre volonté humaine.

Enfants d’amour, votre volonté humaine n’est pas pour vous libérante, guérissante; aucune volonté humaine n’a le pouvoir de Dieu; aucune volonté humaine ne pourra vous apporter consolation devant vos souffrances; aucune volonté humaine ne pourra vous conduire là où Dieu veut vous conduire; aucune volonté humaine ne pourra vous apporter les grâces que vous avez besoin pour entrer dans la Terre Nouvelle; aucune volonté humaine ne peut vous faire vivre en votre Ciel en vous.

Il n’y a que moi, votre Dieu, qui, par la puissance du Saint-Esprit, vous parle, qui va vous conduire dans votre Ciel intérieur par mes grâces : grâces de paix, grâces de libération, grâces de guérison, grâces d’amour, grâces d’abandon, qui (vont) faire en sorte de vous maintenir en êtres d’amour pour vous; être amour pour vous-mêmes, c’est avant tout être un enfant de Dieu.

Dieu est avec vous, mes enfants.

Je viens préparer votre intérieur à vivre dans votre chair qui ne sera plus assujettie au péché : laissez-vous prendre, mes enfants.

Plusieurs d’entre vous, (vous) avez déjà entendu ces paroles et ils ont reçu des grâces, ils ont été libérés et guéris de certaines blessures; il y en a qui ont beaucoup reçu : ils ont beaucoup à donner; ils prennent leurs frères et leurs sœurs et ils donnent, et Dieu prend : il prend tous ceux qui souffrent et il libère, et il guérit.

Ô enfants d’amour, si vous pouviez voir les mouvements qui se font en ce présent, vous danseriez, vous chanteriez pour Dieu dans votre Ciel.

Souvenez-vous, mes enfants, pour ceux qui l’ont lu dans l’Ancien Testament, lorsque le temple (est) entré dans la ville choisie de David, David s’est dénudé et il a dansé, il a chanté pour Dieu; ainsi, il vous montrait que lorsque vous vous laissez dénuder par Dieu, votre chair se sait être reconnaissante d’être libérée et guérie par Dieu, votre chair se dénude du mal et votre âme danse, votre âme chante pour Dieu dans votre Ciel intérieur, là où je suis, là où je vous regarde.

Vous êtes des enfants d’amour, vous êtes des enfants de Dieu; je vous appelle tous, mes enfants, à reconnaître votre présence en vous.

Mes enfants d’amour, voulez-vous regarder la croix au-dessus de ces deux instruments? Regardez-moi, ne suis-je pas beau? Je vous tends les bras, je vous invite dans le Royaume de mon Père, je vous invite vous aussi à porter votre couronne, enveloppés d’un vêtement d’amour, cintrés d’une ceinture d’amour, afin que vous soyez tous devant mon Père dans la lumière.

C’est moi qui suis la Lumière, c’est moi qui vous enveloppe de ma lumière et je vous attire à moi.

Je suis, moi, la Croix, je suis la Croix d’amour, la Croix Glorieuse; mon Père m’a glorifié et, par moi, mon Père vous glorifiera; vous serez dans votre gloire en la Gloire du Fils.

Mes enfants, ma Gloire est en le Ciel; le Ciel, votre Ciel, mes enfants, est pour vous mouvement d’amour; par des enfants qui se sont donnés, votre Ciel a été dans un mouvement d’amour.

La Croix est en le Ciel, mes enfants, en votre Ciel, prêt(e) à se laisser voir de vos yeux, de vos yeux qui se laissent purifier par Dieu, de vos yeux qui acceptent de tout donner à Dieu, afin que ceux que vous portiez en vous aient aussi leur regard fixé vers la Croix, afin qu’ils puissent être devant ce mouvement d’amour, prêts à recevoir les grâces de la Croix : ayez le regard de Dieu.

Je vous demande, mes enfants, d’entrer en vous, de vivre en votre Ciel, jusqu’au moment où Dieu le Père ouvrira le voile et vous verrez sa Volonté, son amour, sa gloire, sa lumière, car le Fils est tout en le Père et le Père est tout en le Fils.

Ces moments sont des moments d’amour, mes enfants; ces moments sont des moments où ils vous préparent à vivre ce moment d’amour.

Recevez la grâce de la patience, patience d’amour, patience qui accepte, patience qui laisse la place à Dieu, patience qui fait en sorte que les enfants de Dieu, tous les enfants de Dieu, soient prêts pour ce moment.

Que chacun sache reconnaître la Volonté de Dieu, car tel est son bon Vouloir.

Je vous aime, mes enfants.