Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Paris, France.

par son instrument, la Fille du Oui à Jésus.

 

2009-03-02 - p.m.  Partie 2  

 

 

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Est-ce que vous voulez continuer tout de suite des questions et des réponses?

 

Assistance : Oui.

 

R.  La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Oui? Comment ça se passe? C’est que vous posez des questions, pas personnelles : 'vais-je me trouver un mari?', mais des questions qui peuvent intéresser tout le monde. Oui?

 

Q.  Est-ce que nous vivons la fin des temps de l’Apocalypse selon saint Jean en ce moment?

 

R.  La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Oui, nous la vivons.

 

Q.  Et allons-nous voir bientôt la croix glorieuse promise à nos évêques?

 

R.  La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Ce que tu verras, mon fils, sera ta gloire. Ce que tu vivras sera la splendeur de Celui qui a laissé couler son Sang et qui a fait de la croix une Croix glorieuse. Mon fils bien-aimé, en qui je mets mon temps, tu découvriras que le temps que tu dois vivre pour ce temps est un temps d’amour.

Enfants de ma Volonté, réjouissez-vous de ce que vous venez d’entendre, car vous venez de faire un pas où vous verrez les temps s’accomplir. Amen.

Q.  Alors, certains parlent du retour intermédiaire de Jésus, c’est-à-dire qu’il viendrait d’une manière intermédiaire et que ce ne serait pas la fin du monde. Est-ce que c’est vrai?

 

R.  La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Ce que nous allons vivre va être intérieur. Nous ne verrons pas Jésus de l’extérieur, mais de notre intérieur. Nous saurons qu’il n’y a qu’un seul Dieu. Nous renoncerons à tout ce qui a fait de nous des êtres qui ont été loin de la vérité. Dieu se fera voir, entendre, ressentir. On contemplera notre Dieu, on s’inclinera devant lui et on l’adorera. Ces jours seront pour nous des jours bénis du Ciel.

Rien ne s’est fait comme cela pour nous, car même les apôtres n’ont pu voir leur Christ dans sa Gloire. Ils l’ont vu transfiguré, mais après la mort il est monté vers son Père, car ce n’était pas le temps encore. Lorsqu’il se présentera en nous, il nous fera ressentir sa Gloire qui sera notre gloire d’avoir refusé la tentation, le mal. Le mal ne se fera plus connaître à notre chair et nous le vivrons à ce moment-là. Lorsque Jésus viendra en Gloire, à la fin du monde, cela est un autre temps. Il viendra avec tous ses anges.

Mais Jésus nous dit que nous entendrons un grand cri qui sera un cri de joie qui viendra des anges, et cela se fera au moment où la Croix paraîtra glorieuse.

 

Q.  Et c’est pour bientôt, cette croix glorieuse?

 

R.  La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Le Seigneur dit que le temps est à lui. Nous devons vivre le présent. Si nous voulons tant savoir, c’est que l’Autre nous met dans ce besoin. Le Fils accomplissait la Volonté de son Père et lorsque les apôtres lui disaient : "Quand cela arrivera-t-il?" Il leur disait : «Lorsque mon Père le voudra». Alors, il nous répond encore la même chose : «Lorsque Dieu le voudra». Ils savaient, les apôtres, qu’ils devaient attendre, mais ils savaient qu’ils devaient dès l’instant se préparer puisque, si nous lisons les Écritures, les apôtres attendaient cela pour tout de suite, ainsi que les disciples. Alors, nous faisons la même chose.

Soyons dans le présent. Ce que nous avons commencé, eh bien, cela sera dans notre présent. Si demain je me fais frapper par une auto et que je me présente devant le Père, eh bien, ce que j’aurai accompli dans sa Volonté, voulu par lui dans son temps, il sera devant moi. Il n’y a rien de perdu. Alors, c’est ce que Dieu a toujours demandé à son Église, et c’est ce qu’il nous demande encore et encore. Vivons notre éternité. Notre éternité, c’est aujourd’hui. Quand il y aura la croix? Dieu le sait.

 

Q.  Et votre mission est-elle de nous marquer sur le front? Vous n’avez pas une mission?

 

R.  La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Oh, pas moi, le Christ a cette mission. Moi, je ne prendrai pas la mission du Seigneur.

 

Q.  Il n’a pas donné ça à des messagers pour cette fin des temps?

 

R.  La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Oui, il a préparé cela, mais je ne suis pas la seule qui le dit, d’autres aussi ont cette mission. Oui, Jésus parle du signe d’enfant de Dieu sur la Croix.

Il faut que la chair reconnaisse qu’elle appartient à Dieu et non pas à la volonté humaine. Lorsque le peuple de Dieu a été pendant quatre cents ans esclave, il était esclave de la volonté humaine, ce qui est pour nous une révélation. Le Pharaon voulait faire sa volonté, et c’est avec sa volonté qu’il se prenait pour être le soleil qu'il devait être lui-même : on devait s’incliner devant sa volonté. Alors, il était donc la volonté humaine qui faisait souffrir les enfants de Dieu. Alors, cela nous rappelle que nous devons renoncer à notre volonté humaine.

Lorsque Dieu frappa la vie, le premier enfant du Pharaon, il lui démontrait : «Tu choisis ta vie au lieu de choisir la vie éternelle». Il démontrait que tous ceux qui n’étaient pas pour choisir la vie éternelle devaient se séparer de la vie éternelle. Et c’était son choix. Le Pharaon avait été averti et il n’a pas voulu écouter.

Nous serons nous aussi avertis de cela et nous le sommes. Nous vivons exactement le même cheminement. Lorsqu’ils sont sortis et qu'ils ont vécu pendant quarante ans dans le désert, eh bien, c’est notre désert. Nous aurons aussi à vivre cela : un court temps après notre purification. Tout est là. Mais Dieu va nous demander de renoncer à notre volonté humaine. Il nous prépare avec des grâces, pas seulement pour nous, mais pour ceux que nous portons en nous.

En acceptant cette croix, c’est le Christ qui nous le demande. Nous acceptons sa demande. Et c’est lui-même qui vient accomplir la Volonté de son Père : «Ta Volonté Père, pas ma Volonté.» J’accepte de renoncer à ma volonté humaine, car ma chair doit reconnaître qu’elle est de la Chair Éternelle et non pas de la volonté humaine. La volonté humaine n’a pas choisi. Ce n’est pas l’homme qui pénètre la femme pour déposer la vie qui fait qu’il a un enfant voulu par lui, cela n’est que volonté humaine; cela est de Dieu. C’est le choix de Dieu.

L’agneau qui a servi pour marquer les portes dans ce temps, eh bien, c’est le Sang du Christ. Ces portes représentent la chair; l’intérieur de ces portes, ce sont les enfants de Dieu. À l’intérieur de nous, nous avons la vie, nous avons l’enfant de Dieu qui a été prisonnier à cause de sa volonté humaine. En acceptant de se laisser marquer du signe d’enfant de Dieu sur le front, nous acceptons notre croix qui a été purifiée par le Sang de l’Agneau, et cela va couler sur nous. Ce sont des grâces que nous obtenons.

Le Baptême, c’est l’onction : nous nous reconnaissons être enfants de Dieu. Pourquoi sommes-nous incapables de nous reconnaître comme enfants de Dieu et toujours faire ce que l’enfant de Dieu doit faire devant son Père? À cause de notre volonté humaine, nous sommes incapables. Alors Dieu vient nous aider, il vient lui-même nous marquer du signe d’enfant de Dieu, et lorsque nous recevons ce signe, une grande lumière nous envahit, extérieure, ce qui éloigne les démons. Les démons ne peuvent pas approcher la lumière, car ils ont refusé la Lumière. Et là, nous nous reconnaissons comme des enfants, nous voulons vivre notre baptême intérieur et extérieur. Nous avons renoncé aux pompes de Satan, mais nous n’avons jamais été capables de ne pas faire ce qu’il voulait de nous : refuser.

Aujourd’hui, nous apprenons à refuser avec ce qu’il y a en nous : notre liberté d’enfants de Dieu, le droit d’être aimés de Dieu et protégés par Dieu, et nous allons l’utiliser ce droit jusqu’au bout. Les anges sauront bien marquer ceux qui ne pourront pas avoir de prêtre, car c’est le prêtre qui va nous marquer, c’est le Christ lui-même qui est en le prêtre. Tout se fera tel Dieu nous l’a demandé et c’est commencé si nous avons cette force d’entendre que nous avons été menteurs, violeurs, homosexuels, des prostitués, des tueurs, parce que nous devons porter ce que Jésus a porté, mais c’est avec les grâces, c’est avec cette force. Nous allons avancer avec cette force en n’oubliant personne. Jésus veut qu’on porte la croix de nos frères et de nos sœurs. Alors, nous allons la porter, mais nous allons lui donner tout ce qui a été, par lui, en enfer, là où on ne revient plus. C’est la victoire.

Nous allons devoir refuser les tentations et dire merci à Jésus, merci de les envoyer au pied de la Croix. Il faut que tous les démons aillent au pied de la Croix et ce n’est pas nous qui pouvons faire cela, c’est Celui qui l’a déjà fait : Jésus, notre Sauveur. C’est lui qui a vaincu Satan et les démons : le mal. Là, il y aura des guérisons : 'Merci, Jésus, de guérir tout mouvement de vie malade'. Vous souvenez-vous le mouvement, toujours ce mouvement de vie dans nos actions? Eh bien, ce mouvement, ces mouvements de vie ont été empoisonnés. Si on pouvait compter toutes les fois que nous avons regardé ce qui était impur, eh bien, cela serait incalculable, car notre regard s’est porté sur de l’impureté, et cela depuis Adam jusqu’au dernier qui sera dans la purification.

Voyez-vous, cela est impossible pour nous, mais pour Dieu, c’est possible. Alors, il va guérir nos mouvements de vie malades, et plus nous allons guérir, plus nous allons avoir cette force de les refuser. Tout cela, Jésus nous en parle, il nous révèle ce que nous devons vivre. Ce ne sera pas facile, car il est dit dans l’Évangile, et il nous a avertis : «Lorsqu’on refuse un démon, il y en a sept qui reviennent; lorsqu’on refuse ces sept, il y a une légion qui revient». Eh bien, cela nous allons le vivre.

Alors, oui, ma sœur. Voyez-vous comment les grâces de Marie vont être importantes?

 

Q.  Comment peut-on se défendre?

 

R.  La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : En étant un bébé entre les mains de Dieu, Dieu nous défendra. La puissance du Saint-Esprit va nous faire découvrir que nous sommes en tentation. Plus nous allons refuser, plus Jésus va envoyer les esprits impurs au pied de sa Croix, plus nous guérirons. Nos mouvements de vie malades vont revenir dans leur puissance, alors nous nous apercevrons que nous perdons notre paix, notre joie, notre amour. Quand vous allez être devant une situation et que vous n’êtes pas en paix, en joie, en amour, eh bien, là, c’est le temps de refuser : "Je refuse cette tentation. Merci Jésus de l’envoyer au pied de ta Croix, de guérir nos mouvements de vie malades".

N’oubliez pas que nous sommes enfants de la Divine Volonté, alors il ne faut pas oublier personne. Si on refuse pour soi, ça, Dieu va nous rappeler : «Vis ta purification de la chair; ta chair, c’est la chair de tout le monde». Et nous allons dire merci à Marie de nous combler de grâces. Qui est la dispensatrice de toutes grâces? Marie. C’est d’une telle simplicité, mais d’une telle puissance!

Il fallait que Dieu vienne nous parler afin qu’on puisse vivre ce mouvement d’amour. Mais cela ne se fera pas, Jésus dit, avec de l’eau de rose, parce que lorsque le tentateur : 'Bon, tu devrais dire telle chose à l’autre'. "Non, je refuse, Seigneur." 'Tu devrais le dire, regarde, il est en train de t’écraser'. "Je refuse cette tentation". Et une fois refusée, on n'est même pas rendus à : "Merci, guéris nos mouvements de vie malades", que les sept autres nous attaquent d’en arrière : 'Tu vas refuser, voyons donc, tu vas te faire prendre. Tu vas manquer ton autobus. Pousse-le donc celui-là, avance donc, il a pris ta place. T’es pas tannée, tu es en retard. Chez vous, tu vas te faire chicaner par ton mari, lui il est toujours en colère contre toi'. Et voilà que ça va nous en prendre des refus pour arriver à cela!

Ne nous inquiétons pas. Laissons cela à Dieu et faisons ce que nous devons faire au présent. Ce petit mouvement de vie qui vient de guérir va nous donner la force pour refuser les sept autres, les mille autres, les deux mille autres, les autres qui vont venir. Nous aurons plus de force encore, pourquoi? Parce qu’on va retrouver sa paix plus vite. Oui, c’est vrai qu’on va perdre les pédales. Est-ce qu’on dit ça, en France, 'perdre les pédales?'   Oui  alors, oui, on va les perdre, mais notre paix va revenir plus vite. Les grâces obtenues par Marie pour nous, eh bien, vont nous donner de la persévérance.

Nous allons poursuivre. Oui?

 

Q.  La confession est importante pour obtenir ça?

 

R.  La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Vous souvenez-vous, lorsqu’on a parlé au tout début que notre âme, par la justice de Dieu, on va se voir? Maintenons notre âme en état de pureté. Comment pouvons-nous guérir de mouvements de vie malades si notre âme est malade?

 

Q.  La guérison, c’est la confession?

 

R.  La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : La guérison est la confession pour l’âme, pas pour la chair. La chair, elle est toujours en train de se laisser malmener par l’extérieur. Combien de saints? On va prendre saint François d’Assise qui avait une âme qu’on aimerait tous avoir. On voudrait faire connaitre ça à notre âme, pas avoir son âme, mais connaître ça, et pourtant, il allait se lancer dans les ronces parce que sa chair était attaquée et il ne voulait pas.

Dieu nous parle pour notre chair. Il nous a parlé pour notre âme. Depuis qu’il est venu sur la terre, nous devons profiter des sacrements : Baptême, Confirmation, la Pénitence, la communion, le sacrement du Mariage, de l’Ordre, de l’Extrême Onction. C’est une nourriture essentielle pour notre âme et c’est à partir de notre âme que nous aurons la force de passer à travers ça. Tout ça va nous aider à prononcer ce que nous devons prononcer. Comment pouvons-nous comprendre la puissance du Saint-Esprit qui vient nous faire ressurgir en nous, alors qu’on se débat comme un diable dans l’eau bénite? Pour réaliser, va à confesse, tu en as besoin. Et voilà ce que Dieu veut.

 

Q.  La confession guérit l’âme qui guérit le péché de la chair?

 

R.  La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Le péché de la chair! Il faut le reconnaître qu’on a péché, et on ne connaît pas les souffrances de notre chair. Ce qu’on connaît, c’est ce que l’autre a vu devant son miroir. Nous ne connaissons pas ce que nous portons en nous. Ce que nous portons en nous, c’est Dieu qui l’a porté. Dieu ne révèlera pas la souffrance de notre chair, car s’il nous révélait la souffrance de notre chair, on serait dans un état tel qu’on voudrait mourir pour que cela cesse.

Q.  Donc, les âmes en enfer sont en permanence dans le péché de la chair, dans la souffrance de la chair?

 

R.  La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Du choix de l’enfant qui a condamné une âme à une mort éternelle, ils vont vivre une très grande souffrance lorsqu’ils sauront que leur chair va les suivre. Eux qui voulaient avoir du plaisir avec leur chair souffriront en leur âme et en leur chair. L’âme qui est à Dieu souffrira. Ils se sont condamnés, et ce n’est pas Dieu qui condamne. Dieu n’enverra jamais une de ses âmes en enfer, mais l’enfant, dans sa liberté, condamne son âme. Ça, nous ne devons pas accepter cette souffrance. La justice de Dieu est pleine de miséricorde, mais nous devons refuser qu’un seul de nos frères et de nos sœurs aille en enfer. Ça, nous n’avons plus le droit de laisser une seule chance aux tentateurs de nous tenter pour les atteindre, car c’est ce qu’il fait Satan et les tentateurs.

Nous les priants, nous qui allons à la confesse, nous qui suivons les dix commandements de Dieu, les tentateurs viennent tout le temps à nous pour nous faire souffrir. Alors, pour nous faire souffrir, ils tentent notre chair et lorsqu’ils tentent notre chair et que nous disons oui, eh bien, nous nous retrouvons dans une grande souffrance qui fait souffrir la chair de tous ceux que nous portons en nous. Là, lorsqu’on s’aperçoit qu’on vient de dire un mensonge, parce que nous avons choisi de ne pas dire la vérité, comme il disait hier : un tout petit mensonge, même si cela n’est pas dit parce qu’on ne veut pas faire de la peine à notre enfant, cela est contre nous, et cela est contre la chair que nous portons en nous : toutes les chairs.

Et Satan fait tout pour nous maintenir dans la souffrance. Il veut qu’on soit faible. Ça nous fait souffrir de voir que notre enfant n’est pas devant Dieu comme il devrait être devant Dieu. Lorsque nous savons qu’il ne va pas à la messe, oui, nous devons lui dire : "Je ne suis pas en accord avec ce que tu fais". Mais Dieu nous dit : «Ne l’étouffez pas avec votre volonté humaine. Ne lui dites pas qu’il est condamné, moi je ne l’ai même pas condamné, mais vous, vous le condamnez. Vous lui démontrez qu’il est contre moi, alors que moi je ne lui montre que mon amour, que ma miséricorde. J’ai été patient envers vous-mêmes, soyez patients envers vos enfants, aimez-les inconditionnellement.»

Nous avons un amour dominateur possessif. L’amour de Dieu n’est pas dominateur, il n’est pas possessif, il n’est pas contrôlant, c’est un amour gratuit, c’est un amour qui aime sans condition. Nous devons dire à nos enfants : "Je n’accepte pas ta blonde dans ma maison, dans ta chambre toute la nuit"; mais pouvons-nous lui dire : "Sors de ma maison, ne reviens plus jamais?" Avons-nous le droit de faire ça à notre enfant parce que, lui, il couche avec Gisèle? Un jour quelqu’un s’est approché et il a dit : "Qu’est-ce que je vais faire? Mon enfant vient à la maison et ce qu’il fait est honteux, si honteux que si cela on le savait, on le mettrait en prison". Alors, Jésus, il a dit : «Accueille ton enfant. Il sait que tu n’acceptes pas cela parce que tu le lui as dit, mais tends-lui les bras et dis-lui : 'Je t’aime, je t’aime, je vais toujours t’aimer et je vais prier pour toi'.» Un an plus tard, il est venu me revoir et il a dit merci, parce que son garçon a commencé à changer.

Voyez-vous, on ne connaît pas la puissance de l’amour inconditionnel de Dieu. C’est ce que Dieu veut nous apprendre : c’est son amour qui guérit. Et tranquillement, il a commencé à guérir le père et lorsque le père guérissait, eh bien, il laissait plus de place à Dieu. Étant donné qu’il laissait plus de place à Dieu, il cessait de s’inquiéter pour son enfant et Dieu laissait couler ses grâces à travers le cœur du père pour aller rejoindre le cœur de cet enfant. Et c’est ce que Dieu veut pour nous. Il veut que ça coule. On empêche Dieu d’agir, on lui attache les mains avec notre amour contrôleur, on aime tellement maladroitement qu’on dit à notre enfant : "T’es pas correct, tu devrais aller à la confesse, ce n’est pas beau ce que tu fais, tu es un renégat." Eh bien, ça, c’est notre amour. À travers ça, on attend à peu près une heure pour lui dire que je l’aime, pas tout de suite, parce qu’on a peur qu’il oublie les mots qu’on vient de dire, on les dit seulement qu’une heure après.

Dieu, lorsqu’il a enveloppé Judas de son amour, il lui disait combien il l’aimait. Il avait confiance en son amour, Jésus. Il lui démontrait qu’il se conduisait mal, par son amour. Mais Judas était incapable et Jésus le savait, et Jésus n’a jamais laissé un seul instant son enfant sans lui démontrer son amour, jamais. Même la Mère de Dieu qui savait que Judas était pour trahir son enfant, elle aimait Judas et elle ne lui disait pas : «Tu es un ci, tu es un ça, tu vas faire en sorte de condamner mon fils.» Elle le prenait et elle le berçait, parce qu’elle avait confiance en l’amour. Mais c’est lui constamment qui refusait cet amour.

Q.  Lorsqu’on ...

 

R.  La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Alors ce que Dieu veut pour nous, c’est qu’on se laisse nous-mêmes découvrir amour afin qu’on puisse laisser de la place à Dieu et avoir confiance en son amour qui ira vers nos enfants, vers tous les enfants de Dieu. Est-ce que ça va, ma sœur?

 

Q.  Avez-vous eu la vision du ciel, du purgatoire et de l’enfer?

 

R.  La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Ça, c’est privé, mon fils.

 

Q.  S’il vous plaît, je voudrais poser une question et je demande pardon pour ce que je vais dire. Quand on a violé des petits enfants et qu’ils sont déjà morts en naissant et ça continue, Jésus souffre-t-il encore et encore de toutes ces souffrances dans tous ces enfants?

 

R.  La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : On viole la pensée, on viole l’écoute, le regard, les paroles, on viole les actions et les sentiments et l’enfant devient lui-même un violeur, et lorsqu’il est devant ses gestes, il est si endurci qu’il ne peut pas s’apercevoir que Satan se réjouit de ce qu’il a fait et son âme agonise. Et Jésus se penche sur son âme et lui parle. Il lui parle d’amour, il lui parle d’espérance, il lui parle de foi, afin que l’enfant puisse ressentir ce qu’il veut lui donner et Jésus ne cesse de déverser son Sang, afin que d’autres enfants se nourrissent de son Sang pour qu’ils comprennent que la miséricorde de Dieu est au-delà de toutes les souffrances.

La souffrance de Dieu, c’est de nous savoir incapables de comprendre son Sacrifice. Satan et les démons se servent des enfants de Dieu contre les enfants de Dieu. Qu'un tout petit enfant se fasse violer ou qu’une personne âgée se fasse violer, il n’y a pas de différence pour Dieu : il hait le péché. Il veut ses enfants, il veut qu’on se laisse envelopper de la miséricorde afin qu’on puisse pardonner inconditionnellement le pécheur, car il a accepté d’être ce pécheur pour lui sauver la vie.

Soyons amoureux de tous les enfants de Dieu et refusons de regarder cela comme étant quelque chose qui ne peut pas être enlevé en la chair des enfants de Dieu. Cessons de nous maintenir dans notre faiblesse, ainsi nous goûterons à la victoire du Fils de Dieu, mort par amour pour nous et ressuscité pour la plus grande Gloire de son Père. Amen.

Alors, nous allons maintenant nous arrêter ici.

 

Nous avons apporté avec nous….. Qui connaît les quatre parties de "Amour pour tous les miens", le livre? Il n’y en a pas beaucoup...

Lorsque Jésus a commencé à me parler, c’est en 2001, Maman Marie, le 1er janvier 2001, quoique j’avais été préparée avant. Mais je ne savais pas ce qui se passait dans ma vie, alors je ne pouvais pas expliquer ce que je voyais, ce que j’entendais, ce que je ressentais, et même lorsque j’étais plus jeune, je voyais des choses, mais j’attribuais ça à mes émotions. Lorsque cela a commencé, surtout très intensément vers 98, j’avais un petit peu peur de ce que je voyais; je laissais ça un petit peu de côté. La prière était pour moi ma seule source de joie. C’était tellement bon de prier, parce qu’à ce moment-là, je voyais des choses qui étaient tellement agréables en moi. Mais il y avait aussi l’Autre qui voulait que j’arrête de prier; alors, il y avait les attaques qui venaient de l’extérieur. Ça, cela a été dans ma vie.

En 2001, lorsque Maman est arrivée, là il s’est passé quelque chose : c’est que cette paix qui m’envahissait, cette joie qui m’envahissait, faisaient de moi une enfant abandonnée. J’ai refusé. Je refusais de me regarder dans ce que je vivais. La volonté humaine, bien, était en moi, et comment je peux, moi, consentir à entendre? J’étais indigne, très indigne; alors, je repoussais tout cela. Mais ce que Dieu me faisait découvrir m’apportait beaucoup de joie, beaucoup de paix, mais il y avait quand même l’extérieur.

Lorsque j’ai commencé à prier beaucoup, et d’autres personnes se sont rejointes c’est plutôt moi qui me suis jointe à eux –, elles parlaient contre l’Église. Alors, cela me faisait très souffrir, parce qu'à la maison papa et maman ne parlaient pas contre les prêtres. Ça, c’était dans la maison : ça ne se faisait pas. Mais lorsque ça venait de l’extérieur, voyons, ça ne se peut pas que la voix en moi veuille de ça! Alors là, je confondais l’extérieur et l’intérieur : je repoussais ça, je repoussais ça, si bien qu’à un moment donné je ne voulais plus entendre. Ça faisait six mois que j’entendais et je ne voulais plus entendre, parce que je me disais que l’extérieur et l’intérieur je mélangeais toujours ça : ça veut dire que si j’entends ça à l’extérieur, c’est à cause de la voix que j’entends à l’intérieur de moi.

Cela m’a amenée à découvrir des priants. Et c’est dans les priants que j’ai entendu le plus de paroles contre l’Église. Et ce n’était pas ceux qui ne priaient pas; ceux qui ne priaient pas, ils s’occupaient bien plus de la mode, de la musique, de faire ce qu’ils veulent : la danse en ligne, le Nouvel Âge. Mais les priants parlaient beaucoup contre Dieu. Alors, comment voulez-vous que je voie ça comme ça? Alors, j'ai dit c’est à cause de la voix : "Jésus, si c’est bien toi, tu vas continuer à m’aimer. Tu n’as pas besoin de me parler, je sais que tu m’aimes. Alors la voix, si ce n’est pas toi, je ne veux plus t’entendre". Alors, c’est Maman Marie qui m’a ramenée et lorsque j’ai entendu Jésus : «Prends la voix de l’amour», il y avait des guérisons qui se faisaient, des guérisons qui se faisaient. Avec tout ça, j’ai continué; comme j’entendais la voix, j’écrivais, j’écrivais ce que Jésus me donnait.

Il n’y a pas un seul mot, comme cela est dit en arrière (du premier livre) qui est venu de moi, même pas. Je dis souvent, même les 'je t’aime'. «M'aimes-tu ma fille?» C’est lui qui répondait et ce n’est pas moi. Il disait : «Je ne veux aucune volonté humaine». Cela s’est fait dans l’amour. C’est par amour que j’écoutais Dieu et c’est par amour que j’acceptais tout pour Dieu. Je découvrais l’amour de mes frères et de mes sœurs : un amour inconditionnel. J’apprenais à ne pas penser qu’ils étaient contre moi, malgré les apparences. Dieu me disait : «Ce n’est pas contre toi qu’ils parlent, c’est contre ce que je te fais vivre». Alors, j’acceptais tout.

Le livre 1, c’est l’amour, c’est l’amour de la Trinité pour nous. Le livre 2, c’est l’amour que nous devons avoir pour nous-mêmes. On doit apprendre à s’aimer, on doit apprendre que les autres sont en nous. Le 3e, c’est l’amour. C’est l’amour qui est aussi physique parce que l’amour physique en nous vient de Dieu. Nous, nous avons honte de cet amour. Nous ne savons pas comment aimer avec l’amour de Dieu, alors on s’est comme fabriqué un amour selon ce qu’on était et Dieu nous le démontre. Voilà pourquoi il y a tant de personnes qui sont portées à s’aimer, mais cet amour, c’est avec leurs sens, ce n’est pas avec l’amour de Dieu. Le 4e s’est fait comme Dieu l’a voulu.

Ces trois-là, c’est à partir des écrits que Dieu me donnait, parce que j’ai écrit à tous les jours et ça s’est accumulé tout seul. Les écrits qui se sont faits se sont faits sur peut-être cinq à six feuilles, mais écrit à la main, ça représente peut-être une page et demie. Mais Jésus, lui, lorsqu’il a voulu que les livres se fassent, dans la correction il rajoutait tout le temps des mots; alors, c’est devenu une page, deux pages, trois pages, quatre pages. Et ça s’est fait. C’était vraiment, vraiment spécial, parce qu’il partait d’un mot du milieu d’une phrase et lorsque cela arrêtait, ça continuait la phrase. Alors cela veut dire qu’il venait de rajouter deux pages en plein milieu d’une phrase. Et tout coulait, ça coulait, c’était tellement merveilleux!

On a vu l’agir de Dieu. Dieu disait : «Tout est de moi, rien ne sera de toi». Alors, je lui disais tout le temps : "Pourquoi, Jésus, tu ne l’as pas fait avant? Ça nous fait souffrir ça", parce qu’il y a eu des mots qui avaient l’air comme des mots coupés dans une phrase. Alors là, je disais : "Seigneur, ce n’est pas un bon français!" Surtout avec le Frère Germain qui disait : "Le Seigneur ne sait pas écrire, il ne sait pas son français. Lui, la grammaire, lui qui est savant, il ne sait pas comment écrire". Alors là, il disait : "Je ne dis pas ça à toi, je dis ça au Seigneur, c’est lui qui veut écrire, qu’il écrive comme il faut". Alors le Seigneur voulait nous démontrer : «Vous ne ferez pas cela sans les souffrances. Vous ne serez jamais plus haut que le Maître. Vous devrez apprendre qu’il faut passer par le chemin de la croix afin que tous les cœurs puissent s’ouvrir. Ils reconnaîtront que cela est de moi.»

Alors, cela s’est fait comme ça les livres. Le 4e, eh bien, non, c'a été différent. Tous les écrits, il en restait, il avait pris ça. Peut-être que ça termine... je vais regarder…

 

Nicole.  Le 11 de septembre.

 

R.  La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Le 11 de septembre? Ah bien, je te fais confiance. Le 11 de septembre.

 

Nicole.  2001.

 

R.  La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : 2001?

 

Nicole.  Le jour des tours.

 

R.  La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : qui ont tombé?

 

Nicole.  C’est-à-dire, le 4e commence à ce moment-là.

 

R.  La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Ah! OK. Alors, à partir de ce moment-là, il ne s’occupait plus de ce qu’il m’avait fait écrire. Là, j’écrivais au fur et à mesure qu’il me disait les mots, et si on compte le temps qu’il a pris pour écrire ce livre les mots qu’il m’a donnés pour que je puisse écrire le livre, mais ce sont les mots du Seigneur c’est quinze jours. Cela veut dire il ne faut pas que je compte mon sommeil, ni les moments où j’allais à la messe –, mais si on calcule toutes les heures, là, ça peut avoir pris que quinze jours. Alors, au bout de quinze jours, je n’étais pas grosse, j’avais beaucoup, beaucoup maigri, pourquoi? Parce que je n’avais pas faim, et je souffrais.

 

Q.  Comment cela se manifeste-t-il, c’est une extase, c’était comment?

 

R.  La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : C’est comme à l’école.

 

Q.  Comme à l’école?

 

R.  La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Eh oui, c’est comme à l’école.

 

Q.  Le maître et l’élève.

 

R.  La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Oui, lui, il parle. J’entends la voix et il me fait écrire, et je vis ça. Mais quand j’ai écrit ça, je l’ai vécu aussi. Lorsque Maman Marie parlait de ce qui se passait en enfer, c’était tellement dur qu’il y a souvent eu des moments où elle disait : «Ne t’inquiète pas, je mets un baume sur ta chair afin que tu puisses continuer». Et là, la douleur dans mon dos, l’essoufflement que je connaissais, partaient tout de suite; alors, je pouvais continuer.

Alors, je ne crois pas que personne puisse, en quinze jours, si on calcule les heures, écrire un livre comme cela. Et d’ailleurs, je ne connaissais aucun mot de cela, pourquoi? Il n’a jamais.... un peu avant, il m’a donné peut-être cet abandon de ne plus regarder la télévision, de ne pas écouter la radio, de ne lire aucun journal, ni aucune revue. Je ne faisais rien de tout cela. Même le Nouveau Testament. J’allais à la messe, mais je ne comprenais pas. Je m’en revenais à la maison, mais j’avais eu des grâces, ça me suffisait. L’Ancien Testament : j’ai lu l’Ancien Testament. Lorsque, effectivement, mon mari regardait la télévision, je me mettais des bouchons dans les oreilles et là je lisais l’Ancien Testament. Je trouvais ça tellement beau, c’était le plus beau roman! On court acheter des romans, et c’est le plus beau roman qu’on ne peut pas avoir dans notre vie : c’est l’Ancien Testament. Mais je n’ai pas lu les Psaumes, c’était trop compliqué. Je ne comprenais pas les Psaumes, les Proverbes non plus. Tout ça, je n’ai pas lu ça, parce que c’était trop compliqué. Je n’ai pas eu d’instruction.

Le Saint-Esprit, par Jésus j’ai su qu’il m’avait tenue dans l’ignorance. Je viens d’une famille où on a tous eu de la difficulté à étudier. Alors, mon père et ma mère, s’ils ont fait leur 2e et leur 3e!... C’était comme ça avant, les grosses familles étaient comme ça. La plus vieille prenait soin des plus petits, alors l’autre suivant lâchait l’école de bonne heure pour prendre soin des autres, et ça s’est fait comme ça. Mais moi, les grandes à la maison disaient : "Tu es chanceuse toi, tu vas à l’école jusqu’en 9e général pour pouvoir être coiffeuse." Elles me trouvaient chanceuse. Eux autres avaient dû tout de suite lâcher l’école dès neuf ans. C’était voulu de Dieu. Sur le moment, on ne comprend pas, on veut étudier, on veut réussir. Mais je n’ai jamais pu étudier, je n’avais pas de mémoire. Prendre un livre, j’en ai déjà pris avant, là; bien avant, j’ai déjà pris des livres qui… Un été, j’ai voulu lire, mais lire avec un dictionnaire au côté, ça vient long. Alors, j’ai pris des romans-savon, et au bout de quelques romans-savon c’est des Arlequins, là, vous les connaissez? au bout de quelques-uns, on les a tous lus. Alors, une amie, elle m’avait apporté un sac, tu sais un sac de poubelles vert ou noir, c’est gros là, alors j’ai tout remis ça à l’intérieur et j’ai mis ça sur le bord du chemin. Je n’avais pas besoin de ça. Mais je crois que c’est le Seigneur qui me nourrissait. Tout ce désintéressement pour tout ce qui était de ça, ça venait sûrement du Ciel, pas de moi.

Tout ça pour m’amener à être dans la Volonté. Dieu a dit comme ça : «Je ne veux pas que tu mettes aucune connaissance entre ce que je dis et ce que tu dois être». Alors, lorsque je répète, soit les yeux ouverts comme tantôt ou soit fermés, il faut que je sois complètement abandonnée et que je n’aie rien, rien, rien d'extérieur en moi. Alors, en ne me donnant rien comme mémoire pour me rappeler de telle ou telle chose, eh bien, c’est facile, je ne connais rien. Alors, je préfère entendre plutôt et répéter.

Lorsque je répète, j’entends ce que vous entendez et ça m’émerveille. Même Nicole, elle a été… Depuis combien de temps on est ensemble, Nicole, pour faire des rencontres? Cinq ans depuis cinq ans accomplis. Il y a eu tellement de rencontres et aucune n’est pareille, aucune n’est pareille. C’est merveilleux de voir comment Dieu nous instruit avec chacun de nous. Cela, c’est pour nous amener là où nous devons aller : la Grande Purification, là où nous serons en nous.

Depuis 2009, nous amenons avec nous des petits cahiers oui, Nicole, merci Nicole ces petits cahiers, c’est dès la première fois que je me suis présentée; ça débute en 2001. Dieu nous a demandé d’enregistrer, et les DVD n’ont pas commencé tout de suite, seulement l’année passée. Il nous a demandé de tout enregistrer. Alors nous, on faisait ça et on laissait ça de côté. On ne savait pas qu’il fallait les mettre sur un site pour l’internet pour que les autres le lisent, c’est après qu’on l’a su. Alors, ils ont tout pris : tous les enregistrements qui se sont faits, et des bénévoles ont tout transcrit ça et d’autres ont corrigé ça avec l’écoute pour que ça soit exact. C’est sûr que les fautes, comme s’il dit 'la personne' et là il continue avec un 'il', là, il permet que la grammaire soit corrigée. C’est tout ce qu’il permet. Si c’est au féminin, eh bien, le verbe va être au féminin, mais si c’est au pluriel, bien, le verbe ne peut pas demeurer au singulier, ne peut pas demeurer au singulier s’il est dit au pluriel. Alors, un prêtre, une fois, il a dit : "La seule chose qu’on reproche à l’instrument (il a dit ça en riant), c’est son manque de français; elle est pleine de fautes". Mais il a dit que ce qu’il avait entendu avait répondu à plusieurs questions qu’il s’était posées. Beaucoup disent la même chose. On se pose des questions et lorsqu’on entend, des réponses se donnent : c’est la Volonté de Dieu. Il dit, comme ça, que toutes les rencontres sont à l’intérieur et les enfants devront apprendre pour évangéliser.

Nous allons vivre une Grande Évangélisation, et cette évangélisation ne se fera pas avec la volonté humaine. Tout sera de Dieu. Alors, lorsque nous, nous comprenons cela, nous comprenons pourquoi il a permis que nous entendions nos cœurs. Ce que nous entendons, c’est vraiment notre cœur, et nous allons apprendre. Nous sommes ici pour combien de jours en France, Nicole? Pour 23 jours et vous allez en apprendre. Vous allez apprendre ce qu’il y a dans le cœur des Français, afin que le cœur des Français s’unisse à tous les autres cœurs pour que les autres apprennent. Vous allez l’apprendre avec les enregistrements et le DVD. Vous allez comprendre que nous vivons tous la souffrance en notre chair.

Tout a été accompli : 2001 nous a amenés à 2008. Les sept ans se sont accomplis. Nous avons entendu cela quand Jésus nous avait parlé au début : «Viendra un autre temps où vous devrez vivre votre oui à l’Amour. Vous serez dans votre refuge. Vous devrez apprendre afin que votre chair se souvienne, et vous parlerez, vous parlerez par la toute-puissance du Saint-Esprit, car vos enfants, vos amis, qui ne sont pas dans les rencontres, devront entendre eux aussi ce que nous savons». Voilà pourquoi il nous a demandé de sortir cela et de mettre ça dans les livres. Et il a dit aussi : «Ce qui s’en vient, vous ne le savez pas, vous le comprendrez le moment venu».

Alors, nous faisons ce que Dieu nous demande. Voilà pourquoi il a insisté à ce que les volumes "Amour pour tous les miens" soient avec nous, et il a demandé à ce qu’on amène les cahiers de 1 jusqu’à 6 ici. Il y aura 13 cahiers comme celui-là, 13 petits cahiers. Il nous a tous montré comment les faire et les prix, on essaie de les mettre le plus bas possible. C’est sûr que dans les rencontres, vous les avez meilleur marché, mais lorsqu’il n’y aura pas de rencontres, vous pourrez les avoir, je crois, par les Éditions Résiac pour ici, l'Europe. Pour toute le France?

 

Nicole : Deux librairies à Paris.

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Deux librairies?

 

Personne dans l'assistance : Oui, qui vendent tous ces livres, messages du Ciel dont, bien sûr, les vôtres. C’est la librairie Guettier et en face de Notre-Dame des Victoires, c’est le Cœur Immaculé. Ce sont deux sœurs qui ont deux librairies qui ne vendent que des bons livres.

 

Q.  Est-ce que vous avez eu le don de guérison? Vous avez le don de voyance, le don de guérison, c’est? Quels sont les…

 

R.  La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : C’est Jésus qui guérit.

 

Q.  Jésus guérit.

 

R.  La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Si Jésus guérit, ça ne vient que de lui, que de lui. Et en ce qui concerne le don de voyance, je vois mon intérieur, je vois l’invisible à l’extérieur, mais je ne vois pas comme je vous vois là, mais je peux voir l’invisible.

 

Q.  Vous n’avez pas ce que Padre Pio avait : la pénétration des âmes?

 

R.  La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Non, je n’ai pas la pénétration des âmes, pas moi, mais Jésus l’a. Alors, s’il veut me faire répéter ce qu’il voit en vous parce qu’il veut que vous le sachiez, il va le faire.

 

Q.  Est-ce que lorsqu’on verra notre âme, l’état de notre âme, est-ce que c’est bien l’avertissement annoncé à Garabandal?

 

R.  La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Voyez-vous, l’avertissement à Garabandal, moi, j’étais loin de penser que c’était cela, parce que je ne connais pas ce qui va se passer, mais il y a des personnes qui disent oui, et Jésus, à la communion, je crois que c’est hier, avant-hier, j’ai dit : "Jésus". Il a dit tout simplement sans que je pose la question : «Oui». Alors, j’ai dit : "Tu t’arranges avec ça, Jésus, moi je ne connais rien de tout ça". Alors, moi, je ne fais que répéter ce qu’il y a dans vos cœurs et c’est tout, parce que Jésus parle dans votre cœur. Voilà pourquoi vous entendez en direct ce qu’il y a en vous, et c’est beaucoup, hein? Amen. Alléluia.

 

Q.  On peut avoir une petite dernière question? Oui, comment savoir si on a besoin d’aller voir un exorciste, autrement dit, comment savoir si des choses en nous nous empêchent de dire oui, voilà. Est-ce que ça va jusqu’à aller voir un exorciste?

 

R.  La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Eh bien, si la personne va communier, adore Dieu, aime son Dieu, ce qui n’est pas possible (pour une personne ayant besoin d'exorciste). Mais la personne qui a touché à la numérologie, à l’astrologie, tout ce qui est du Nouvel Âge, mais tout ce qui est du Nouvel Âge, allez voir un prêtre et il va faire une prière de libération.

Et vous allez en entendre parce que 2007, 2008, ça a été des années qui nous ont... : 'Ouf, j’ai besoin d’aller me faire libérer'. Nous avons pratiquement tous touché à ça. Des fers à cheval, nos parents croyaient à ça; on contournait une échelle, on n’ouvrait pas un parapluie dans la maison.

 

Q.  C’était mon père, il a dit : "Fais attention". Je n’ai jamais..., il faisait pas de l’horoscope mon père, mais j’étais préservée de ça, je n’ai jamais, je vous dis jamais, c’est grâce à ma maman.

 

R.  La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Ah oui, les mamans avec les prières, et les pères avec leur chapelet.

 

Q.  Il faut que l’amour de Dieu soit immense, parce que dans la bible, il est marqué : «Si vous ne respectez pas un seul commandement, vous ne respectez pas les neuf autres». Et quel est celui d’entre nous qui ne respecte pas un seul commandement? C’est énorme si on ne respecte pas les neuf autres. Celui qui vole ne peut pas aimer Dieu de tout son cœur, de toute son âme et de toutes ses forces.

 

R.  La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Vous allez entendre Dieu lui-même expliquer le premier commandement de Dieu. Et qu’il est d’une richesse incroyable, incroyable! Il nous donne son Cœur, son Esprit, il nous donne l’âme, nous donne la force, et c’est avec ce qui est de Dieu que nous pouvons aimer avec ce que nous sommes. Nous ne pouvons pas aimer avec notre âme si cela ne vient pas de Dieu. Nous ne pouvons pas aimer avec notre force si Dieu ne nous donne pas sa force. La force est de Dieu. Il nous fait comprendre. Il prend tout sur ses épaules, Dieu, il prend tout sur ses épaules, il nous aime tellement. Voilà pourquoi une seule, mais une seule pensée qui fait en sorte que nous avons besoin d’autres que de Dieu ou autre chose que de Dieu : nous n’aimons pas assez Dieu.

Q.  Passer en premier, jamais en second. On passe son temps à le faire passer en second.

 

R.  La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Oui, à cause de notre chair. Alors, on arrête ici?