Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Plantagenet,

par son instrument, la Fille du Oui à Jésus.

 

2007-05-26 – P.M.   Partie 1 

 

♪♪♪ :                Vous recevrez l’Esprit Saint en vos cœurs, dit le Seigneur.

 

                        Ne craignez pas, je vous laisse ma paix,

                        Ne craignez pas en ce monde.

 

                        Et jailliront les torrents de l'Esprit

                        Et jailliront les eaux vives.      

 

                        Vous recevrez le grand feu de la joie

                        Vous recevrez ma puissance.

                                              

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : "Esprit d’amour, Esprit de vérité, accueille tes enfants.

Ouvre nos cœurs afin que nous puissions accueillir tous nos frères et nos sœurs.

Par ta toute-puissance, ô Esprit d’amour, tu fais naître en chacun de nous le besoin de nous donner.

Ô Dieu d’amour, nous accourons vers eux, nous les appelons et nous les invitons à entrer en nous.

Nous acceptons d’être le berceau du monde et de prendre toutes les souffrances du monde et de te les présenter afin que tu viennes nous libérer, nous guérir de nos manques d’amour envers nous-mêmes.

N'est-ce pas cette maladie qui a grugé notre vie : ce manque d’amour? Nous voulons faire acte de réparation.

Un acte de présence en toi, ô Esprit Saint, est un oui, un oui à l'appel de l’Amour.

La grâce est sur nous, la grâce nous prend : nous donnons le oui, le oui d'un enfant pour chacun de nous.

Chacun de nous, (nous) sommes ce que toi tu veux que nous soyons : un tout en le Tout de Dieu.

Gloire à toi Dieu Éternel!"

 

Une personne dans la salle prie en langue.

 

"Paroles d’amour te laissent entendre, paroles de foi, de lumière.

C'est comme un écho qui vient du Ciel pour parler directement à notre âme.

Merci, Esprit Saint!

Lorsque tu te manifestes ainsi, nous guérissons : paroles incompréhensibles pour nous, mais paroles qui nous apportent la vie.

Ensemble, nous te remercions de te servir de nous, car un seul de nous qui te laisse prier est pour nous une guérison.

La foi, la foi fait de nous des enfants pour ceux que nous aimons; il n’y a que la foi qui puisse nous donner cet élan d’amour.

La langue de l’Esprit Saint est une langue qui vient du Ciel; elle porte directement la saveur de l’amour, elle nous conduit à l’ivresse.

À cet instant, nous avons si faim d’entendre, si faim de savoir; (nous) nous laissons envelopper par ce mouvement, ce mouvement du Saint-Esprit.

Que chaque langue prie sous la puissance du Saint-Esprit, que chaque oreille entende ce langage d’amour par l’âme, que l’âme accueille, accueille la puissance de Dieu et que notre corps accepte de se laisser prendre dans ce mouvement d’amour, mouvement qui nous enveloppe, mouvement qui prend tout de nous, (ne) nous laissant que notre oui, un oui d’enfant qui se tend vers Dieu le Père, qui accourt vers lui pour déposer à ses pieds la vie, la vie qui vient de lui, la vie qui aspire à toujours être en la Vie, en la Vie du Christ.

Ô Esprit Saint, tu fais de nous des enfants d’amour, tu fais de nous des enfants à la ressemblance du Fils.

(Quoi) de plus beau que le Cœur de Dieu qui s’ouvre et qui se laisse voir à tous les enfants! Rien ne peut être comparable à ce moment d’amour, ce moment qui nous est réservé à nous, pauvres de cœur.

Aujourd’hui est un moment d’intimité avec toi, ô Esprit Saint.

Tu viens nous chercher tels que nous sommes, tu (ne) nous demandes rien et tu prends tout.

Tu veux qu’on accueille tes dons d’amour, tu veux qu’on soit le fruit de tout acte d’amour.

Il n’y a que toi qui puisses nous faire comprendre que nous sommes des fruits entre les mains de Dieu, il n’y a que toi qui puisses nous rendre tels que nous sommes.

Esprit de droiture, de vérité, de lumière, de chaleur, tu nous acceptes pour nous transformer.

Les mots que nous entendons sont des mots qui sortent de nous enveloppés de la puissance de Dieu; ces mots nous conduisent dans notre vie; notre vie n’a-t-elle pas débuté au moment d’Adam et Ève?

Aucun mouvement ne peut nous apparaître aussi lumière que celui qui se fait connaître.

Un mouvement qui est lumière est un mouvement de vérité, un mouvement qui nous apprend à reconnaître ce que nous sommes devenus.

Tu nous fais avancer à travers nos choix, tu nous fais avancer pour qu’on puisse reconnaître que notre vie est celle qui est fait(e) de nos choix.

Ô Dieu d’amour, viens percer l’armure que nous avons acceptée, viens nous mettre à nu afin que nous puissions voir et entendre ce que Dieu seul connaît et qui a fait de nous des êtres qui pleurent, qui ont peur, qui se sont appauvris, qui ont perdu ce que tu nous avais donné.

Viens, Esprit Saint, nous sommes à toi.

Dans la règle de l’Amour, il n’y a qu’une seule mesure, et c’est le tout; alors, nous acceptons d’être entre tes mains ce que toi tu veux.

Ce qu’il y a en nous, ô Dieu d’amour, fais-le remonter afin que nous puissions guérir de nos habitudes.

Viens, Esprit d’amour."

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Lorsqu’on laisse couler en chacun de nous la puissance du Saint-Esprit, il y a des mouvements qui se font, des mouvements de guérisons.

Dieu nous libère à chaque instant de ce qui nous a emprisonnés.

Nous sommes devenus des êtres (emprisonnés et nous) n’avons pu nous regarder tels que nous sommes.

Aujourd’hui des pas se font, aujourd’hui nous nous reconnaissons êtres des enfants qui (ont) besoin les uns des autres.

Nous marchons vers notre grande purification afin de découvrir l’importance de notre vie sur la terre avec les uns et avec les autres.

Qu’un seul accepte de se laisser prendre par la puissance du Saint-Esprit, ceux qui sont en nous en ressentent les fruits : Dieu passe, Dieu libère.

Il y a tant de mouvements que nous avons apportés à nos frères et à nos sœurs qui les ont fait souffrir.

Aujourd’hui, nous acceptons (de) faire des actes d’amour et il nous fait comprendre qu’eux guérissent, qu’eux se laissent libérer.

Nous vivons dans la nuit des ténèbres; tout autour de nous, il y a des enfants qui ont perdu la foi; tout autour de nous, il y a de nos frères et de nos sœurs qui ne se reconnaissent plus comme étant enfants de Dieu; ils vont vers des dieux croyant que cela est bon pour eux.

Nous les regardons et nous hochons de la tête; nos épaules sont si lourdes, nos bras ont de la difficulté à s’élever vers le Ciel, nos pas sont si hésitants, car nous avons mal en nous; nous avons peur de demain et en même temps nous espérons à demain : nous voulons que la Grande Purification vienne.

Oui, nous crions pour que la Purification, la Grande Purification, nous envahisse, que le Saint-Esprit, en un mouvement, nous entre en nous : nous voulons cela.

Nous voulons connaître ce mouvement d’amour afin que nous puissions vivre en êtres bons envers Dieu, envers nous-mêmes, envers notre prochain; nous voulons de la Nouvelle Jérusalem, nous voulons avancer là.

"Fais-nous goûter, Esprit Saint, ce mouvement, fais-nous entrer en nous, nous voulons voir les conséquences de nos choix face au péché; nous voulons tout accepter.

Cesse, ô Esprit Saint, de nous faire attendre; vois nos enfants qui se meurent, vois nos jeunes qui se droguent, vois nos adolescents qui ne pensent plus à toi et qui veulent mourir : ils se meurent dans la musique, ils se meurent dans les jeux, ils se meurent dans la sexualité, et lorsque tout cela les égorge, ils veulent arrêter de vivre.

Regarde, ô Dieu tout-puissant, nos frères et nos sœurs : ils connaissent les dix commandements de Dieu et ils n’en veulent plus; ils ont des enfants : ils ne veulent plus les faire baptiser.

Quand viendras-tu, quand achèvera notre calvaire, quand cesserons-nous nos larmes dans cette vallée, quand aurons-nous la paix?

Quand on va se coucher et que ce sera le dernier moment, est-ce que nous aurons vécu ce moment, nous qui savons parce que tu nous as instruits? Connaîtrons-nous cela ou sera-t-il pour les autres? Entends-tu nos paroles? Nous voulons faire ce que tu veux, nous sommes prêts à tout.

Je t’en supplie, Esprit d’amour, nous avons l’impression que si tu ne viens pas tout de suite, il y aura encore de la corruption, et nos enfants seront dans cette corruption.

Nous sommes mères, nous sommes grands-mères, nous sommes pères, nous sommes grands-pères, nous regardons nos petits-enfants : là où ils rentrent, il n’y a plus de croix, là où ils vont, on parle contre toi.

Vont-ils se laisser empoisonner par ce monde? Que pouvons-nous faire? Rien, tu nous l’as dit, tu nous dis de ne pas parler parce que lorsqu’on parle on attise un feu déjà allumé par Satan.

On sent leur cœur se durcir contre nous, on nous tourne le dos; ce sont nos enfants et ils ne veulent plus de nous, ils veulent s’amuser, ils ne veulent plus qu’on prie, ils ne veulent plus entendre parler d’amour, un amour de Dieu; ils veulent entendre un amour calculateur, un amour qui possède, un amour qui est dans les sens.

Si tu veux notre vie elle est là, prends-la, mais viens, ô Esprit d’amour, arrête cette souffrance, ce sont nos cœurs qui parlent.

Pourquoi ces mots, Esprit d’amour? Si ce n’est que tu veux nous entendre crier vers toi, si ce n’est que tu nourris notre cœur afin qu’on puisse continuer à aimer, à aimer, et à aimer sans condition, dans un abandon total.

Nous prions, nous prions, nous supplions d’arrêter ces souffrances dans notre chair qui nous emmènent à connaître les maladies.

Nous voyons perdre nos amis, nos frères, nos sœurs; nous voyons notre mère et notre père partir dans la souffrance et avec un sourire parce qu'ils ont en leur cœur le chapelet, mais nous, nous avons l’impression de n'avoir que la croix du chapelet.

Ô Dieu d’amour, nous voulons aimer sans condition, oui nous acceptons tout.

Oui, il n’y a que toi qui sais tout; oui, il n’y a que toi qui puisses nous conduire là où nous devons être; toi, tu vois tout; toi qui connais tout, tu nous instruis à chaque pas que nous faisons dans cette vallée de larmes.

Il y a de la lumière : tu nous as fait goûter à cette lumière, nous ne sommes plus capables de nous en passer; tu nous fais goûter à la paix, cette paix que nous avons tant désiré connaître; il y a des mots qui montent à nos lèvres et ces mots sont remplis d’amour pour nos enfants, pour ceux qu’on aime, pour ceux qui sont dans la violence.

Tu as gonflé notre cœur de miséricorde, de ta grâce; tu as fait de nous des enfants qui (sont) des oui; tu nous apprends à reconnaître ton Vouloir, que ton Vouloir, non le nôtre.

Tu nous parles de purification comme un mouvement d’amour; tu nous saisis, tu nous fais plonger dans une lumière qui nous montre le chemin à suivre, et tranquillement, très tranquillement nous acceptons, nous acceptons d’avancer comme tu veux; nous prenons sur nos épaules la croix de nos enfants, la croix de nos petits-enfants, et tu viens charger nos bras d’espérance.

Tu nous apportes consolation, notre intelligence se met au diapason avec ta Volonté, que ta Volonté; notre cœur se remplit de piété (ne) voulant qu’offrir à Dieu : mouvements d’humilité, de chasteté, d’obéissance, d’abandon en ta Volonté; tu nous apprends à craindre Dieu avec ton amour.

Nous voyons et nous entendons la sagesse de Dieu; ton regard est sur nous, ce regard est rempli de force, cela coule en nous; tu nous amènes à découvrir un amour sans fin, un amour qui se donne, sans jamais rien demander qui n’est pas de Dieu.

Tu es notre vie d’amour; tu mets dans notre cœur la foi en ton pouvoir; tu nous apprends à être vrais, à être sincères, à croire en la Divine Volonté pour notre gloire.

Chaque instant des guérisons se font en nous, des libérations se laissent connaître en notre chair : la peur s’éloigne, le doute n’a plus sa place, l’acceptation est dans notre quotidien.

Lumière de nos jours, Repos de nos nuits, Saveur de nos regards accepte notre élan d’amour, car ce que tu es en train de faire pour nous c’est pour ceux que nous aimons, pour nos enfants, nos petits-enfants, pour nos frères et nos sœurs.

Qui peut nous faire avancer comme toi, sinon l’Amour? Tu es l’Amour, tu nous rends amour; tu nous fais connaître ce langage, ce langage d’amour qui monte de notre intérieur pour que les autres entendent.

Viens, Esprit Saint, viens dans notre cœur, envahis-nous, transforme-nous, nous sommes à toi, qu’à toi."

 

♪♪♪ :                Viens Esprit Saint enflammer ton Église,

Viens Esprit Saint envahir l’univers. (bis)

 

Mets en nos cœurs la bonté la sagesse,

Et fais de nous des enfants de lumière.  (ref.)

 

Mets en nos cœurs la jeunesse et la foi,

Et fais de nous un printemps pour ton peuple. (ref.)

 

Mets en nos cœurs la prière et la paix

Et fais de nous un ferment d’unité. (ref.)

 

Le Saint-Esprit : Vous êtes si petits! L’Esprit de Dieu vous prend sur ses ailes et il vous amène, il vous amène dans un endroit si beau où tout n’est que lumière, où l’eau coule et laisse entendre un chant, un chant d’amour, où le regard se pose sur la blancheur du jour, et la blancheur du jour envahit, réchauffe, apaise, où il y a l’herbe comme un tapis qui prend vos pas et qui vous fait avancer en déposant dans vos mouvements l’Esprit de Dieu, un Esprit qui apporte toute connaissance où rien ne peut vous arrêter.

Cet endroit est en vous, cet endroit fait partie de votre vie; vous êtes à Dieu et Dieu prend soin de vous.

Votre vie est grâce parce que Dieu le veut ainsi : tout n’est que nourriture en Jésus, tout n’est que bonheur en Jésus.

L’Esprit de Dieu vous fait comprendre que l’enfant de Dieu est en le Christ et en l’amour du Père.

Le Christ est pour vous, il vous a été donné afin que vous puissiez vivre votre vie d’enfants de Dieu éternellement.

Être en Jésus c’est vivre, c’est goûter, c’est apprécier, c’est contempler, c’est louer, adorer, c’est servir, c’est redonner sans cesse et sans cesse l’amour du Père.

Vous êtes mouvement en le Mouvement, vous êtes amour; là vous êtes vrais, là est votre place; tout vous est permis parce que vous connaissez l’amour de Dieu.

Rien ne peut vous arrêter, car vous êtes la flèche qui est lancée par Dieu pour ne jamais arrêter : là où vous allez, là où vous voulez aller.

Les mouvements sont des mouvements d’amour; petits enfants, laissez-vous prendre, Dieu guérit, Dieu libère.

Vous voulez ce temps où tous les enfants seront rassemblés pour regarder leurs choix : que cela soit, vous connaîtrez ce mouvement; vous avez ouvert une porte, cette porte vous avait été présentée.

Parce que vous avez accepté : entrez, entrez dans le mouvement de la purification, mouvement qui vous est nécessaire afin de préparer tous ceux que vous voulez avec vous.

Ce qui est commencé ne s’arrêtera pas : telle est la Volonté de Dieu.

Rien ici-bas ne pourra arrêter ce qui est : telle est la Volonté de Dieu.

Que chacun de vous soit dans ce mouvement de purification, que chacun de vous prenne les grâces de Dieu : grâces d’abandon, grâces de lumière, afin que vous puissiez vivre en tous vos frères et vos sœurs ce mouvement.

Ainsi en sera-t-il au moment où eux entreront en eux; ils sauront que vous avez soutenu l’être qu’ils sont; vous serez enfants d’amour présents dans leurs mouvements par la puissance de Dieu, en Dieu.

Ce que vous vivrez, mes enfants, vous apportera des grâces de joie, des grâces qui viendront de leur reconnaissance à vous être donnés et, par leur oui d’amour, vous serez en présence de ce qu’ils vivront par Jésus.

Là où vous serez vous demeurerez, là où sera le Christ vous serez : telle est l’Église.

Parce qu’en ce moment même vous acceptez de vous donner sans condition par amour, sans rien demander pour vous-mêmes, vous recevrez la joie de l’abandon.

Soyez tout amour, mes enfants.

Maintenant, vous allez entendre ce qui est déjà commencé.

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Ce matin, le Saint-Esprit nous a parlé du moi, ce moi qui fait de nous des êtres orgueilleux, des êtres vaniteux; ce moi est en nous, ce moi fait partie de notre vie.

Qui a fait que nous soyons dans ce moi, sinon Satan? Qui a fait que nous demeurions dans ce moi, sinon les tentations présentées par les démons? Qui a fait que nous choisissions de continuer à vivre dans ce moi, si ce n’est que nous avons eu jadis des frères et des sœurs qui ont alimenté ce moi? Qui a fait que ce moi nous amène à désirer vivre dans ce moi comme étant quelque chose de normal? Ce sont tous ceux qui montrent comment vivre en être orgueilleux de ce qu’il est.

Qui fait que nous sommes orgueilleux de ce que nous sommes? Satan, Satan qui a plusieurs visages, plusieurs noms; nous, nous le connaissons, mais (nous) sommes-nous fiés lorsque nous avons entendu les dieux, les dieux païens? Pourtant, il n’y a qu’un seul Dieu : «Un seul Dieu tu adoreras, celui qui est et qui sera.»

Mais nous avons entendu, nous avons accepté, nous avons été incapables d’ouvrir nos yeux, d’entendre, car notre moi nous en empêchait; nous avons accepté dans notre vie des dieux qui ont la forme de la laideur.

Qui est comme Dieu? Nous savons que Dieu le Fils est venu sur la terre, qu’il s’est présenté à nous comme un Être de beauté, doux, humble de cœur, plein d’amour, ayant des traits d’amour, des mouvements d’amour.

Pourtant, notre regard a accepté ces êtres difformés, ayant le corps humain mélangé avec des formes animales, nous les avons acceptés comme étant normal dans notre vie : nous avons accepté dans notre vie des êtres se prenant pour des dieux ayant des formes, des formes proéminentes de la sexualité et nous les avons acceptés, disant que c’était beau.

Combien d’entre nous avons cela, (chez-nous), ne se méfiant pas, disant : "Ce sont des petites déesses, des petites fées", et tout cela n’était pas de Dieu? Nous sommes devenus aveugles, nous avons accepté dans notre vie ce qui est contre Dieu.

Nous avons regardé Jésus crucifié, notre Dieu, notre Amour; il a porté sur lui tous nos péchés et cela l’a rendu dans une telle laideur que notre cœur se déchirait lorsque nous le regardions avec notre intérieur; là est notre Dieu, notre Dieu d’amour.

Il est devenu ce que nous sommes devenus : la laideur, parce qu’à l’instant où nous acceptons des dieux, nous devenons laids comme eux.

Si nos yeux ne voient pas ce que nous sommes devenus, c’est parce que Dieu nous protège, car nous tomberions morts et nous verrions ce que nous sommes devenus; une grande douleur serait connue à nous-mêmes, nous serions incapables de nous pardonner, et Dieu ne veut pas cela.

Dieu a accepté de prendre ce que nous sommes et (de) porter notre laideur afin que nous soyons forts, et nous, notre regard se tourne vers les dieux, portant autour de notre cou les œuvres de Satan, portant à nos doigts les œuvres de Satan, acceptant de nous comporter comme des déesses, comme des dieux, voulant devenir autre que ce que nous sommes.

Nous sommes des enfants simples et nous nous conduisons en êtres orgueilleux, mettant sur nous-mêmes de l’artifice pour mieux paraître jusqu’au niveau des déesses et des dieux.

Qui a mis cela en nous si ce n’est que nous avons contemplé notre moi? Nous avons voulu nourrir notre moi.

Qui nous a rendus jusque-là si ce n’est que Satan s’est présenté à nous et nous n’avons rien vu? Nous avons voulu être à sa ressemblance.

Satan est un être immonde plein de laideur.

Nous qui sommes enfants de Dieu, nous qui sommes des tout-petits qui avons un oui en nous, nous avons accepté de contrôler notre vie, nous avons accepté de nous former à l’image même de ses propres savoirs à lui, prendre ses connaissances et nous les attribuer, car à l’instant où nous faisons une seule action, un seul mouvement, qui n’est pas de Dieu, nous acceptons d’être ce que lui est.

Il veut être à la place du Fils de Dieu, il veut que nous le reconnaissions comme étant Dieu.

L’Enfant qui a été auprès de nous pour nous amener à la vie éternelle, il veut que nous le bafouons pour qu’on soit avec lui, pour qu’on le suive à la mort éternelle : c’est son but, il y en a pas d’autres, et il a mis dans notre vie tout ce qu’il a imaginé pour nous perdre, et nous avons utilisé cela dans notre vie.

Tout ce qui ne porte pas des grâces vient de Satan; tous ceux qui nous ont apporté des connaissances qui ne portaient pas de grâces vien(nent) de Satan.

N’essayons pas de séparer le bien d’avec le mal, car cela est du moi, n’est pas de Dieu.

Dieu sait ce qui est bon pour nous; nous, nous ne le savons pas, car nous (ne) savons pas les conséquences d’aller vers ce qui ne porte pas de grâces.

Dieu sait, lui, jusqu’où cela va nous emmener et lorsque Dieu fait, c’est qu’il parle de chacun de nous en l’Église pour tous les enfants de Dieu.

Voyez-vous, combien de nous, (nous) avons suivi des personnes qui portaient un moi, qui nous ont apporté leurs connaissances voulant nous faire du bien, alors que cela ne portait pas des grâces de Dieu? Alors, nous avons pris ce qu’il y avait avec et nous avons avancé avec cela.

Combien d’entre nous, (nous) avons pris des livres et nous avons lu des livres qui nous parlaient de connaissances venant de leurs études alors qu’ils avaient renié Dieu, alors qu’ils ne croyaient pas en Dieu, alors qu’ils n’étaient que des païens qui croyaient en leur savoir, et nous avons suivi cela comme une règle, d’autres ont suivi cela comme étant naturel puisque les autres le font; d’autres ont suivi cela parce que cela leur avait été montré, (ne) se posant pas plus de questions que ça?

Eh bien, nous avons accepté tout ce qui venait à nous par la tricherie, la tromperie : l’Orgueilleux; cela devenait de l’orgueil pour nous.

Quel enfant humble peut se dire être humble en acceptant ce qui ne vient pas de Dieu, en acceptant de voir un bien à travers tout cela? Quel bien avons-nous à retirer de ce qui ne porte pas de grâces? La grâce vient de Dieu.

Comment reconnaître la grâce? La grâce a la saveur de Dieu, a la beauté de Dieu; la grâce se reconnaît parce qu’elle suit le mouvement de Dieu dans notre vie : c’est une nourriture.

La grâce est une nourriture et Jésus nous a nourris : Jésus nous a alimentés de sa Chair et de son Sang; là est la grâce.

Allez puiser dans la Parole de Jésus, nous aurons toute la nourriture nécessaire, et cela pour l’éternité; mais qu’une seule Parole n’ait pas été en Jésus, dite par Jésus, vécue par Jésus, il n’y a pas de grâces, cela est faux.

Nous sommes en Jésus ou nous ne le sommes pas; nous ne pouvons pas avoir un pied en Jésus puis l’autre dans ce monde, cela est impossible parce que Jésus ne peut pas accepter le mal, ça serait être contre l’Amour, contre lui-même, contre ce qu’il est.

Jésus est le tout du Père, est l’amour du Père, est le souffle du Père, est notre souffle, est notre amour, notre regard.

Il nous tricherait, Jésus? Il nous dirait : «C’est pas grave, moi j’ai pris les conséquences, tu n’as pas à t’inquiéter, j’ai tout pris?» Ce serait encore notre écoute parce que Jésus n’a pas dit cela.

«Celui qui me regarde, regarde mon Père; celui qui m’écoute, écoute mon Père. Je suis le Chemin, je suis la Vérité, je suis la Vie», il n’y a que Vie en Dieu le Père, en Dieu le Fils, en Dieu le Saint-Esprit; en dehors de Dieu, il n’y a point de vie.

Alors nous, lorsque nous acceptons un mouvement, un seul petit mouvement qui n’est pas de Dieu, nous ne suivons pas les pas du Christ, nous ne sommes pas en Jésus; cela est faux (de penser autrement).

Il n’y a qu’en les grâces que nous pouvons comprendre que Dieu nous aime, que Dieu nous veut tout amour.

Dieu nous donne tout ce qui nous est nécessaire.

Lorsqu’il a créé Adam et Ève, il les a mis dans un endroit de délices où tout n’était que beauté : le Paradis terrestre, l’amour.

C’est comme (si) Dieu avait ouvert ses mains et avait déposé Adam et Ève, et là où ils étaient, il les nourrissait.

La terre sur laquelle ils marchaient n’était que grâce; les arbres qui étaient autour d’eux, leur montrant cette grandeur, n’étaient que grâces; tout ce qui était dans le ciel, les étoiles, n’était que grâces; tout ce qui était de la couleur était grâce.

Dieu a peuplé de ses grâces le ciel, la terre, les eaux : tout n’était que grâce, tout était pour eux.

Dieu les tenait dans ses mains, tout ce qu’il avait créé était dans les mains de Dieu; que pouvaient-ils demander? Tout leur était accordé! Ils vivaient, ils étaient dans le bonheur : tout cela était.

Dieu veut nous le redonner, Dieu veut nous ouvrir les mains et nous inviter à entrer en son Fils, en sa Vie pour tout nous redonner.

Cela a été pour nous, va-t-il nous enlever ce qu’il nous a donné? Non, Dieu n’est pas ainsi, ce qu’il donne, il le donne pour l’éternité; il nous a donné la vie et c’est pour l’éternité.

Ne refusons pas d’aller dans sa terre d’amour, elle est pour nous, elle nous est offerte.

Mais Dieu nous dit : «Entrez en mon Fils, ne vivez qu’en mon Fils, n’acceptez que ce qui vient de moi, là vous pouvez le savourer, là vous pouvez vivre dans mes grâces. Sortez de mon Fils, vivez dans votre moi, et je ne puis vous donner ce que vous refusez; c’est vous qui vous vous éloignez, c’est vous qui prononcez votre non, non à Dieu».

Voyez-vous, si nous savons qu’un seul mouvement qui nous est présenté n’est pas en Jésus, nous disons non à Dieu : "Je ne veux pas de tes grâces, j’ai ce qu’il me faut. Je n’ai pas besoin de me pencher sur toi, je me suffis à moi-même".

Il est vrai que nous ne disons pas ces paroles, mais nous agissons comme ces paroles.

Lorsque nous allons vers ce qui semble pour nous être un moyen de nous consoler, être un moyen de nous guérir, être un moyen de nous apporter de la joie, être un moyen de connaître le bonheur, eh bien, puisque nous acceptons tout cela, nous acceptons de vivre dans notre moi, mais notre moi porte un nom : c’est Satan.

Ce qui est à nous, c’est : oui; Dieu a dit hier : «Voilà votre nom : oui», et tout le reste nous est donné.

Mais lorsque nous acceptons de vivre comme des enfants de Dieu voulant aller vers ce qui ne porte pas de grâces, eh bien, ce que nous mangeons devient ce que nous sommes : notre regard, notre écoute, nos paroles, nos mouvements; nos sentiments deviennent de l’orgueil, de la fausseté, de la trahison envers nous-mêmes : nous nous mentons, nous nous trichons.

Lorsque quelqu’un triche un autre, il (ne) se dévoile pas, il triche par en arrière; lorsque quelqu’un veut frauder un autre, il agit hypocritement sans que l’autre s'en aperçoive, il lui monte un bateau; eh bien, c’est ce que nous avons fait avec nous-mêmes : nous nous sommes trichés et nous nous sommes cachés, nous avons fraudé et nous nous sommes construit un bateau.

Car croire que nous obtenons des guérisons, des libérations, sans que cela soit des grâces voulues du Ciel et de Dieu, eh bien, nous nous sommes conduits comme Satan voulait que nous nous conduisions.

Aujourd’hui, les enfants du monde entier connaissent le moi; même ceux qui sont retirés, le moi s’est rendu jusqu’à eux.

Comment se fait-il que le moi s’est rendu jusqu’à eux? Eh bien, le moi porte en soi un pouvoir, le moi porte en soi quelque chose qui sort et qui se répand, et qui envahit, et qui pénètre, et qui se faufile, qui se cache, qui contrôle, qui domine, qui emprisonne, qui étouffe, qui tue.

C’est ce que nous avons fait : un seul moi qui est en activité se répand sur toute la surface de la terre et attaque tous les enfants de Dieu.

Satan nous a fait connaître le moi, et cela depuis très longtemps.

Nous savons, par l’Esprit de Dieu, que cela a débuté lorsqu’il a tenté Ève, lorsqu’Adam a dit oui; nous en portons la marque : le péché originel.

Par le baptême, cela a été effacé, mais notre chair, elle, elle a cette marque.

Ce moi est en notre chair, et il porte son pouvoir sur nous; il nous fait accroire que nous aidons notre prochain, il nous fait accroire que cela est bon pour nous, il nous fait accroire que cela vient de Dieu.

Eh bien, croyez-vous que Satan qui a mis ça en nous n’a pas voulu cela? Oui, il l’a voulu, il a mis cela en notre chair afin de l’utiliser.

Tout ce qui est du moi sert Satan, il ne sert pas Dieu.

Est-ce que Dieu aurait besoin de notre moi pour guérir les enfants de Dieu, pour libérer les enfants de Dieu? Est-ce que Dieu aurait besoin de notre moi pour nous rendre heureux, pour nous faire découvrir le bonheur, pour nous amener à la vie éternelle? Non.

Dieu n’a pas besoin de notre moi, Dieu est Dieu, il est le Tout de son Tout, il est la Puissance, il est Dieu, il a pouvoir sur tout ce qui est vivant ou mort.

La mort est présente, la mort est Satan, mais Dieu a pouvoir sur Satan, mais c’est nous, à cause du moi à l’intérieur de nous, nous le mettons en mouvement.

Dieu, dans son amour, va nous regarder; Dieu, dans sa toute-puissance, va nous maintenir en vie; Dieu, dans son éternel mouvement, va nous faire avancer malgré notre moi.

Ce que nous sommes aujourd’hui : nous sommes des enfants de Dieu blessés par le moi; ce que nous sommes aujourd’hui, c’est : des enfants qui (ont) développé ce moi, (ont) laissé de la place aux manœuvres de Satan.

Aujourd’hui, nous vivons en présence même de l’Antéchrist; il est dans notre vie, il est dans nos pensées, il est dans nos mouvements, il est dans nos paroles, dans notre cœur, dans tout ce que nous faisons.

Satan a voulu nous marquer afin que nous (ne) soyons qu’à lui; il s’est servi des enfants de Dieu pour nous détruire, il s’est servi de ce que nous sommes pour mettre son venin dans notre cœur.

Mais Dieu a toujours été là, Dieu a toujours veillé sur nous : le oui détruit le moi; le oui empêche le moi de nuire à nos frères, à nos sœurs; le oui nous ouvre des portes afin que nous voyions, afin que nous comprenions ce que le Saint-Esprit veut que nous voyions et comprenions.

Le fiat de Marie nous a amenés à découvrir l’image du Christ, car lorsque le Christ est venu sur la terre, il s’est montré à nous et tous ceux qui l’ont regardé ont vu l’image du Christ, et cette image est en nous; nous avons le visage du Christ en nous, nous avons ses mouvements en nous, nous avons sa Parole en nous.

Le fiat de Marie a été un mouvement de splendeur pour nous; il a été présenté à la Trinité, et la Trinité l’a accueilli, et il a fait de son fiat un fiat qui a pénétré dans le oui de Dieu : le oui du Père, le oui du Fils, le oui du Saint-Esprit.

Car Dieu est l’Amour, il ne se refuse pas, il donne, donne et donne, et Marie a reçu, a reçu de la Trinité la splendeur du oui, la beauté du oui, le oui qui a accompli.

Tout ce que nous sommes est accompli, à nous de poursuivre notre oui; à nous de réaliser tout ce que nous avons accepté dans notre vie et qui ne portait pas des grâces.

À nous de demander au Saint-Esprit de nous faire connaître tout ce qui ne portait pas de grâces et qui est en notre vie, a été dans notre vie.

Ce qui a été dans notre vie et qui n’est plus (pour nous) aujourd’hui doit sortir de nous; pour sortir de nous, il n’y a que par la puissance du Saint-Esprit que tout va remonter et que tout sera donné à Jésus, car Jésus a vécu nos conséquences, cela l’a fait souffrir.

Tous les choix que nous avons acceptés devant le péché, car il y a péché lorsque nous acceptons ce qui est contre notre âme, doi(vent) être donnés au Christ : n’hésitons pas.

Tout ce que nous avons regardé, tout ce qui a été dans notre vie de connaissances était depuis les premiers qui ont regardé et accepté ce qui n’était pas de grâces.

Souvenez-vous que les enfants, les descendants de Caïn qui ont dû se séparer de ceux qui étaient d'Adam et Ève, des enfants et des enfants d’Adam et Ève; ceux qui se sont éloignés ont regardé ces formes, ces formes qui n’étaient pas humaines et qui portaient notre trace humaine; ils ont accepté cela dans leur vie; cela ne portait pas de grâces.

Nos yeux ont rencontré cela, pouvons-nous nous séparer d’eux? La chair de la chair ne peut pas se séparer, elle donne naissance, elle donne création, elle donne mouvement; nous sommes mouvement, nous ne sommes pas morts, pas encore.

Nous sommes vivants tant qu’il y aura de la vie en nous, tant que nous dirons oui : "Oui, tout pour toi Dieu Éternel", mais nos yeux ont vu.

Ne cherchez pas à savoir si c’est en 2007 ou si c’est 6000 ans avant Jésus-Christ, ne cherchez pas à savoir les années, car cela serait votre moi.

Acceptons d’être des enfants de Dieu illuminés par la lumière de Dieu; demeurons ce que nous sommes : des enfants.

Si Dieu veut nous instruire d’une telle façon : merci, Seigneur; si on a découvert que la terre avait des milliards d’années et que Dieu nous dit que les hommes étaient 6000 ans avant Jésus Christ : "Oui, Seigneur, c’est (en) toi que je crois", ce n’est pas à la connaissance humaine.

Qui nous dit que la connaissance humaine n’a pas été trompée par Satan? Allons-nous nous fier aux livres, à la recherche? Celui qui cherche trouve ce qu’il veut trouver, Satan va mettre sur son passage tout ce qui lui sera nécessaire.

Heureux le pauvre d’esprit, il accepte tout de Dieu; il n’a pas dit : «Heureux les niaiseux.»

On nous traite de niaiseux parce qu’on croit aux paroles de l’Esprit Saint; eh bien, réjouissons-nous si nous croyons en l’Esprit Saint, en ses paroles, il a la vérité pour nous, il est la Droiture, rien ne lui manque.

Alors, si nous sommes des niaiseux en le Saint-Esprit, alléluia, tiens-nous ainsi, mais méfions-nous de nous-mêmes; ne nous méfions pas de Dieu, mais de nous-mêmes.

Parce que nous avons entendu, nous avons entendu des paroles qui venaient des démons qui ont approché ces femmes : ces démons qui avaient pris une forme semblable à nous ont approché ces femmes, mais avant ils ont entendu, ils ont étudié, ils ont calculé; leur intelligence est supérieure à l’homme et à la femme; alors, ils ont connu le langage des enfants de Dieu qui voulaient demander à Dieu; ils ont entendu tout cela et ils ont transformé; ils ont mis du venin dans ses paroles pour tricher ces femmes afin de les approcher, de les séduire, afin de coucher avec elles; ces paroles que ces femmes ont accepté d’entendre, ces paroles qui n’ont pas été rejetées, ont pénétré en elles, en leur chair; ces paroles ne portaient pas de grâces, ces paroles étaient contre Dieu, contre nous, et notre chair se souvient.

Voilà pourquoi il faut se méfier de ce qui pourrait sortir de notre moi parce que Satan est très habile pour mélanger les cartes.

Comment pouvons-nous discerner que ces paroles viennent de l’enfant de Dieu, du oui? Par la puissance du Saint-Esprit.

Ce sont des paroles qui viennent du moi, qui ont pénétré en notre chair, et qui d’âge en âge, d’âge en âge, ont réussi à nous amener là où nous sommes aujourd’hui.

Dieu nous a dit : «Lisez la Bible, lisez celle qui est remplie de lumière».

Pourquoi il dit : «Lisez celle qui est remplie de lumière?» Parce que c’est lui qui va nous remplir de lumière, nous allons être en diapason avec ce que nous allons lire dans la Bible.

Une seule parole qui ne portera pas de grâces sera, comme nous, une flèche qui nous atteindra; nous sentirons un mouvement contre l’enfant de Dieu qui (ne) désire s’instruire que de Dieu.

Il y aura comme un mouvement qui se laissera mouvoir à l’intérieur de nous, mais gare à celui qui ne se laissera pas plonger dans cette lumière.

Ce matin, l’Esprit de Dieu nous a dit que nous résistons à la mouvance du Saint-Esprit; lui-même, le Saint-Esprit, nous a dit qu’il nous instruit, mais que nous résistons.

Il faut prier, il faut demander à Maman Marie de nous aider, il faut être à l’écoute de Dieu afin que nous puissions vivre l’Évangile, vivre la Parole de Dieu, tout est là pour nous, il ne manque rien.

Lorsqu’on lit l’Évangile sous la mouvance du Saint-Esprit, tout nous vient en nous; plus nous donnons notre oui, oui d’enfant, un oui qui se laisse prendre par le Oui de Jésus, plus nous guérissons et plus nous nous laissons libérer.

C’est Dieu seul qui fait ce mouvement parce que nous allons vers les grâces; d’autres mouvements de guérisons, de libérations se font.

Lorsque nous retournons vers la Parole, vers la grâce, encore nourriture, encore nourriture, encore nourriture, la nourriture de Dieu guérit, nous nous maintenons en lui.

Voyez-vous, il n’y a qu’en allant vers la grâce que nous pouvons comprendre ce qui est de Dieu, ce qu’est la grâce.

Allez vers Dieu et Dieu vous nourrira; demeurez dans ce que vous êtes, ne priez pas, ne vous ouvrez pas à la mouvance du Saint-Esprit, rien ne pourra entrer en vous, alors vous serez devant une bible qui porte des erreurs et vous ne verrez rien.

Il faut être des tout petits enfants, il faut être dans la mouvance du Saint-Esprit; tout vient de Dieu et rien ne vient de nous-mêmes, absolument rien.

Alors, il vient de dire : «Prenez un repos, mes enfants».