Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Plantagenet, Ontario,

par son instrument, la Fille du Oui à Jésus

 

2006-10-07 – A.M.  Partie 2

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : En chacun de nous, il y a des paroles et ces paroles, quelquefois, sont interrogatives; alors, nous allons les sortir; ces paroles doivent servir la vie spirituelle et non pas la vie extérieure.

Dieu sait ce que nous avons besoin à l’extérieur, alors laissons-lui toute la place.

Si vous voulez bien, nous allons commencer.

Merci, merci, Esprit Saint.

 

Q. Dieu est si amour, il me donne tout. Je lui ai parlé de mes agacements dans les oreilles. Il me donne tellement!  Je lui dis combien je l’aime; je lui dis souvent qu’il est tout pour moi. Qu’est-ce que je dois lui dire pour que cela s’arrête dans mes oreilles sans trop lui demander ce que je ne dois pas lui demander?

 

R. Jésus : Un jour, un être parfait se disait être capable de comprendre jusqu’au jour où il s’est aperçu qu’il n’était pas parfait; alors, il s’est tourné vers Dieu et il a dit : "Dieu, toi, tu es parfait et moi, je suis imparfait; j’accepte de me reconnaître imparfait, mais toi, fais en sorte de me rendre parfait."

Alors, à ce moment, Dieu lui dit : «Puisque tu te reconnais imparfait, puisque tu sais que cela est en toi, regarde, je te montre que les choix dans ta vie ont apporté de la souffrance; ces souffrances, c’est les conséquences de tes choix.

Lorsque tu me donnes tous tes choix et que tu me laisses entre les mains tes souffrances, moi, je prends tout cela et je te donne des grâces; je te donne des grâces afin que tu puisses comprendre la Volonté de mon Père qui connaît tout et qui voit tout.

La guérison est à mon Père, la libération est à mon Père.

L’âme a besoin, a besoin de se sentir aimée par Dieu; l’âme a besoin d’être alimentée par Dieu et, lorsqu’elle reçoit, elle donne à la chair ce qui lui est nécessaire.

Alors, lorsque vous demandez des guérisons, mes enfants, et lorsque vous voyez que vous avez encore la douleur, croyez-vous que Dieu, lui, a négligé de vous donner des guérisons? Croyez-vous, mes enfants, que Dieu n’a pas écouté? Croyez-vous que votre prière est tombée dans la poubelle? Non, Dieu a écouté et Dieu a fait ce qui est bon pour vous.

Si, aujourd’hui, il y a des enfants qui continuent dans leur maladie, à l’intérieur d’eux, ils ont reçu, ils ont reçu des guérisons qui étaient plus important(es) que la guérison qu’ils avaient demandée.

C’est comme un chemin : vous avancez sur votre chemin et vous regardez un arbre; vous continuez votre chemin et vous voyez une maison; vous continuez sur votre chemin et vous voyez un parterre; vous continuez sur votre chemin et vous voyez un nuage; vous continuez sur votre chemin et vous constatez que le soleil est bien haut : voyez-vous, tout cela est dans votre vie.

Maintenant, mes enfants, pouvez-vous me dire ce qui a fait que vous avez remarqué l’arbre et que vous n’avez pas remarqué le petit lapin au pied de l’arbre? Pouvez-vous me dire pourquoi vous avez remarqué la maison, alors que vous n’avez pas vu le petit enfant qui était dans la fenêtre de la maison?

Voyez-vous, c’est qu’à l’intérieur de vous, il y a des blessures; à l’intérieur de vous, il y a des maladies : maladies de l’âme, de cœur, de pensées qui ont interrompu des mouvements d’amour essentiels à votre vie éternelle.

Vous êtes sur la terre pour aller vers mon Père pour connaître la félicité éternelle; si votre chair extérieure n’est pas dans le mouvement d’amour avec votre vie spirituelle, c’est qu’il faut qu’il y ait des guérisons : tout cela est connu de Dieu.

Mais, mes enfants, si vous remarquez qu’une personne qui a blasphémé, une personne qui a négligé la messe, une personne qui, elle, à vient juste de commencer à prier et elle reçoit une guérison, tel son cancer est guéri : c’est que vous en aviez besoin.

Voyez-vous, Dieu sait ce qu’il fait.

Cette personne qui vient de guérir de son cancer, elle en avait besoin pour découvrir que dans sa vie Dieu a mis des personnes autour d’elle afin qu’elle puisse découvrir qu’elle a besoin d’eux : tout est de Dieu.

Toi, ma douceur, qui as des bourdonnements dans les oreilles, n’as-tu pas reçu de Dieu ce que tu as demandé : sa Présence, son amour? "Père, je t’aime", et Père est avec toi.

Oh! ma bien-aimée, donne à Dieu tout cela et remercie Dieu pour ce que tu reçois; le moment où Dieu te donnera ce que tu demandes est connu de lui; alors, donne à Dieu cela et demande de la patience.

 

Q. Si la souffrance est la conséquence de nos choix, comment se fait-il que beaucoup de souffrance est causé par nos non : quand l’enfant qui n’a pas atteint l’age de raison est abusé sexuellement, quand les femmes dans les pays de guerre sont violées par des soldats ennemis etc. etc. etc.…. les personnes qui ont souffert n’ont pas fait ce choix et elles souffrent?

Jésus : Fils d’amour, ce que tu présentes à ton Dieu vient du Saint-Esprit.

Il y a longtemps, des hommes sont venus et ils ont fait leur volonté, alors que Dieu leur avait dit : «Parce que vous avez péché, vos enfants connaîtront la conséquence de vos choix.»

Enfants d’amour, vous vivez dans un monde sans amour; enfants d’amour, vous vivez dans vos choix et vous subissez vos conséquences.

Si aujourd’hui vous êtes prisonniers de vos choix, c’est parce que vous vivez les conséquences de ceux qui ont fait des mauvais choix, et ceux qui ont fait des mauvais choix vivent la conséquence de ceux qui, avant eux, ont fait des mauvais choix.

Mon Père vous a donné des commandements et il m’a envoyé sur la terre pour parler de son amour, de sa Présence, de ses attentions, afin que vous puissiez suivre ses lois d’amour, afin que vos choix soient des choix d’amour, afin que ces choix soient réparation pour que les enfants de toute génération ne souffrent plus.

Lorsque un peuple marche contre Dieu, les enfants souffrent, les femmes souffrent, les vieillards souffrent, les orphelins souffrent, alors qu’ils n’ont pas voulu de la souffrance, puisqu’ils étaient venus au monde dans ce peuple sans connaître ce que ce peuple avait délibérément choisi : de ne pas suivre les dix commandements de Dieu.

Des enfants, aujourd’hui, viennent au monde avec le sida; est-ce qu’ils ont fait ce choix d’aller vers l’impureté alors qu’ils sont des bébés? Non, ils viennent au monde avec cette maladie, conséquence du péché, parce que d’autres avant eux ont, eux aussi, été dans la conséquence de leur choix.

Connaissez-vous, mes enfants d’amour, le début de ce choix qui a été provoqué par Satan? Personne ne peut le dire, moi si; moi je le connais puisque je l’ai porté en ma chair.

Aujourd’hui, des enfants connaissent la violence; on prend des petits enfants et on abuse d’eux, parce que la chair connaît l’impureté, et la chair répond à ses besoins impurs en prenant de force des petits enfants, en prenant l’innocence : tout cela, c’est la conséquence de l’impureté, péché qui est en ce monde.

Satan provoque des mouvements pour éveiller en ces enfants souffrants le besoin de l’impureté, et des enfants souffrent.

Les péchés sont en ce monde parce qu’il y a eu des mauvais choix.

La volonté humaine devait dire 'non' au mal, devait dire 'tais-toi', mais la volonté humaine ne l’a pas fait; alors mon Père a donné les dix commandements afin d’aider les enfants à faire de bons choix, mais ces enfants n’ont point voulu : aujourd’hui, les enfants connaissent la conséquence du péché.

Je viens, moi, parler en les cœurs afin de vous faire voir et entendre votre vie en souffrance, votre vie qui crie qu’elle en a assez de voir cette misère.

Petits enfants d’amour, si aujourd’hui vous avez crié que vous ne voulez plus de votre souffrance, c’est parce que vous étiez prêts à entendre que vous portiez des choix qui ont causé votre souffrance.

Ne savez-vous pas, mes enfants, que mon Père a choisi ce temps plutôt qu’un autre temps avant celui-ci, parce que mon Père savait que ses enfants n’auraient point voulu entendre leurs souffrances?

Votre chair crie, votre chair dit qu’elle en a assez.

Il n’y a, mes enfants, que l’amour qui guérira tout, il n’y a que l’abandon entre les mains de Dieu qui fera en sorte de vous sortir de vos souffrances; à  cause des enfants qui ont cherché à plaire à la volonté humaine plutôt qu’à plaire à la Divine Volonté, vous souffrez.

Souvenez-vous, mes enfants, que le peuple de Dieu, lorsqu’il est sorti du désert, avait reçu de ne point aller vers le peuple impur, mais il n’a point écouté.

Les hommes ont folâtré avec des femmes impures, ils ont idolâtré des dieux, des statues, plutôt que Dieu, alors qu’ils avaient été témoins de la présence de Dieu en leur vie.

Dieu n’avait point caché à ces hommes ce qui leur attendait, puisque leurs parents qui avaient désobéi à Dieu dans le désert n’ont point sorti du désert; eux portaient la conséquence de cette désobéissance et Dieu leur avait prévenus du danger qu’ils couraient puisque tout leur était connu; ils partaient, avec eux, avec des lois, des lois d’amour.

Aujourd’hui, mes enfants, qu’est-ce qu’il y a de changé dans votre vie? Vous avez avec vous les enseignements de Jésus qui vous parlent des lois de son Père : lois d’amour, de miséricorde, d’abandon.

Vous, (vous) êtes le peuple choisi qui devez former le peuple d’amour pour mon Père; ensemble, mes enfants, vous avancerez en aidant ceux qui font souffrir les enfants du peuple de Dieu; oui, vous devez donner toutes causes de vos choix.

Que vous ayez commis, mes enfants, l’impureté qui amène le sida ou que vous n’ayez pas commis l’impureté qui amène le sida, quelle est donc cette importance pour vous sinon que vos enfants souffrent, que vos frères et vos sœurs souffrent? Vous portez en vous ce choix, vous portez en vous la conséquence de l’impureté, et cela fait partie de votre vie.

Vous êtes l’Église, l’Église est en souffrance; vous devez avancer dans la paix, et tout donner à Dieu, et cela est pour toute maladie, mes enfants.

J’ai, moi, porté la Croix et j’ai avancé en prenant sur mes épaules toutes vos conséquences; j’ai porté vos péchés et j’ai avancé; j’ai regardé ce monde autour de moi qui criait après moi, et je les ai aimés; mon regard se portait sur eux, afin qu’ils puissent reconnaître qu’ils sont aimés de moi.

J’ai avancé et j’ai monté jusqu’au sommet en aimant la Croix; c’étaient vous, mes enfants, c’étaient vos choix, et je présentais tout à mon Père, car mon Père me regardait et je regardais mon Père, et il y avait de l’amour, un amour inconditionnel qui vous montrait comment vous regarder.

Regardez-vous les uns et les autres et aimez-vous; aimez ce que vous êtes; mes enfants, qui acceptez de vous aider, malgré vos choix qui font souffrir votre chair, qui font souffrir la chair de vos enfants, apprenez à aimer sans condition l’être de pécheur que vous êtes, l’être qui a été sauvé par moi, Jésus, l’être qui doit connaître sa résurrection en sa chair.

Ô fils d’amour, ces enfants qui souffrent sont des témoins de l’amour de mon Père pour vous.

Oui, mes enfants, ne regardez pas leur maladie, mais regardez le choix de mon Père; il a permis que ces enfants viennent en ce monde avec vous pour que vous, vous puissiez prendre en vous toute cause et conséquences du péché de ceux qui ont été avant vous, de ceux qui sont avec vous pour la plus grande gloire de mon Père, car il vous attend comme il les attend.

La souffrance de ce monde, mes enfants, est extérieure, mais l'âme, la vie spirituelle, elle, elle se reconnaît être à Dieu, qu’à Dieu, car elle vient de lui pour aller à lui.

Là est votre regard qui doit se poser vers Dieu le Père : un regard d’amour, un regard sincère, un regard qui accepte l’amour sans condition.

Merci, Seigneur.

 

Tous : Merci, Seigneur.

 

Jésus : J’aime l’Église, j'aime ton service. Merci.

 

Q. Aujourd’hui, le Seigneur, nous apprend beaucoup. Il y a des âmes qui aiment Dieu, il y a des âmes qui refusent l'amour de Dieu. J’aimerais savoir de qui dépend l'âme, est-ce qu’elle dépend de la volonté humaine ou de la chair?  Je voudrais avoir une réponse.

 

R. La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : L’âme vient de Dieu, l’âme est pour Dieu.

Si, aujourd’hui, l’être humain ne se reconnaît pas à Dieu, c’est qu’il a perdu; il a perdu ce souffle qui lui dit : "Tu es à moi, mais parce que tu ne te reconnais pas à moi, tu vis dans ton désert et tu fais souffrir ta vie spirituelle."

Tout être humain qui est venu sur la terre a reçu de Dieu la vie, et tout être humain qui vient sur la terre sait qu’il vient d’un Être supérieur à lui.

Celui qui ne reconnaît pas qu’il vient de quelqu’un, c’est qu’il ne sait pas qu’il est quelqu’un; il s’identifie à la matière inerte; non la matière vivante, car même la matière reconnaît qu’elle vient du Créateur.

L’âme vient de Dieu et l’âme sait qu’elle vient de Dieu.

Si l’être humain ne reconnaît pas Dieu, l’âme, elle sait qu’elle est de Dieu et l’âme souffre; l’être qui refuse Dieu, lors de son jugement, son âme est appelée à souffrir et connaître la mort éternelle.

Il aurait mieux valu qu’il ne soit jamais venu en ce monde et qu’il n’y ait jamais eu d’âme, mais le choix de Dieu est un choix impénétrable.

Ce qui est de Dieu est de Dieu, et ce qui est de l’humain ne peut comprendre le choix de Dieu, car la souffrance nous y empêche.

Tant que nous serons dans une chair de souffrance, nous ne comprendrons pas, jusqu’au moment où toute chair ne sera plus dans la souffrance, là, la chair comprendra.

 

Q. Moi, je suis en train de lire un livre de Maria Valtorta, sa biographie; ça allait bien, puis à un moment donné, elle s'est mise à parler que Satan lui a fait beaucoup de mal, beaucoup, beaucoup; là, j'ai paniqué à des endroits; depuis ce temps-là, j’ai peur; je le sais que j'ai une nervosité en dedans de moi. Je demande au Bon Dieu quelque chose.

 

R.  Jésus : Il y a des âmes si belles, si pures, si illuminées, à cause de la demeure qui accepte tout.

Dieu connaît ces petites âmes; il connaît que ces personnes ont tout donné par amour pour leur prochain.

Tu sais, ma douceur, tu n’as pas à avoir peur, Dieu connaît ses enfants; non que : elle soit plus importante pour Dieu que toi; (tous) les enfants sont importants pour Dieu, tout enfant de Dieu est important pour Dieu, mais vois-tu, il y en a qui reçoivent selon ce que Dieu demande, et ils disent tout le temps oui.

Souviens-toi des ouvriers à la vigne : il y en a qui sont arrivés de bonne heure, d’autres au midi, d’autres au soir, et pourtant ils ont eu le même salaire; mais combien plus celle qui est arrivée le matin a reçu! Elle a été dans la vigne de Dieu; elle a vu Dieu, elle a senti Dieu, elle a loué Dieu, elle a chanté, elle a dansé pour Dieu : comme cela est bon!

Toi, ma petite douceur, Dieu t’a donné ce que tu étais, toi, et si Dieu a donné à ma petite Marie ce qu’elle était, loue le Bon Dieu parce que tu reçois à travers elle.

Ce n’est pas parce qu’elle est au Ciel, mes enfants, que vous ne recevez pas d’elle : elle, elle prie, elle intercède; voyez-vous, mes enfants, dans la Divine Volonté, il y a le présent; alors, plongez-vous dans cette âme et acceptez tout.

Merci Seigneur.