Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Plantagenet, Ontario,

par son instrument, la Fille du Oui à Jésus.

 

2007-12-02

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Le rassemblement est voulu de Dieu, ce rassemblement est toujours voulu de Dieu. Il est de Dieu de réunir ses enfants afin de les combler de ses grâces, et lorsque Dieu rassemble ses enfants, il ne rassemble pas seulement ceux qui sont ici. C’est Dieu qui connaît tous ses choisis. Tous ceux qui sont inscrits dans le Livre de la Vie se font rassembler par l’Éternel : tel l’Éternel donne la vie, tel l’Éternel a choisi chaque vie, tel l’Éternel, il est le seul à rassembler ses enfants en le Christ.

Le Christ fait la Volonté de Dieu le Père. Il a tout reçu de Dieu le Père. Tout ce que Jésus fait est déjà accompli devant son Père. Lorsque le Fils de Dieu est venu sur la terre, tout était déjà accompli : sa mort, sa résurrection, sa glorification étaient accomplies.

Souvenons-nous des paroles que Jésus a dites à Pilate. Pilate, il a dit : “Tu sais, je peux te condamner comme je peux te sauver” et Jésus a dit : «Tu ne peux rien faire que si mon Père le veut.» Par ces paroles, Jésus nous faisait savoir que tout était accompli. Et souvenons-nous aussi les dernières paroles que Jésus a dites à son Père : «Tout est accompli», c’est la Divine Volonté qui parlait à la Divine Volonté. Alors, nous, nous sommes dans ce même mouvement; Dieu a tout préparé pour nous : notre purification, la Grande Purification. Croyez-vous que Dieu ne voit pas ce qui se passe sur la terre? Il sait tout, Dieu, puisque tout est en lui; alors, nous nous accomplissons dans la Volonté de Dieu.

Ce que nous avons reçu, dans les jours précédents, était pour nous depuis tout temps. Il savait que nous étions pour être totalement dans nos interrogations face à ce que nous vivons. Alors, le Seigneur dit que ce temps est accompli; bientôt un autre temps commencera. Regardons les signes : nous sommes les signes voulus de Dieu. Nous sommes des petits signes, mais nous sommes des signes. À Dieu le Père de nous démontrer sa Volonté au moment où lui le veut. Il y aura pour nous d’autres mouvements après ceux que nous venons de vivre.

Il ne faut jamais oublier que le Ciel nous demande de poursuivre notre passion jusqu’au bout. Tant que nous ne serons pas dans notre gloire, en la Gloire du Fils, tant que nous ne nous serons pas vus ressuscités, nous allons continuer jusqu’au bout. Souvenez-vous, lorsque Jésus est mort, il a apporté à la mort tout mal; à cet instant, tout était accompli : la miséricorde de Dieu était devant tout mouvement. Maintenant, tous les mouvements doivent être plongés dans la miséricorde de Dieu. Alors, ça veut dire : tous nos choix face au péché, toutes nos conséquences face à nos choix devant le péché. Tant qu’il y restera un seul de ces mouvements, nous ne serons pas ressuscités. Là, en ce moment, nous goûtons à ce qu’est sortir de la tombe, hein? Alors, nous allons continuer à ressentir ce mouvement de guérison et de libération.

Dieu nous appelle à toujours être obéissants; nous ne pouvons être obéissants que si nous recevons des grâces. Qui a obéi jusqu’au bout, si ce n’est le Fils de Dieu et la Fille de Dieu? Le Fils de Dieu a obéi jusqu’à la mort et Maman Marie a obéi jusqu’à la mort de son Fils, et elle a obéi, jusqu’à sa propre vie sur la terre, jusqu’au bout. Maman Marie, elle a été jusqu’à accompagner son Fils à la mort, elle l’a accompagné jusqu’à la mort. Elle ne devait pas connaître la mort. Elle est la seule humaine qui n’a pas connu la mort et qui a été, directement de sa naissance à la venue du Père, dans la perfection. Tout ce que nous pouvons penser de Marie est si peu à côté de ce qui nous sera révélé. Nous devons demander à notre Maman du Ciel et notre Maman de la terre, car elle a été notre Maman de la terre, des grâces d’obéissance.

La Mère de Dieu est en le Fils et le Fils est en la Mère, ils ne se sont jamais séparés; par la puissance du Saint-Esprit, tout se faisait. Ce droit, elle l’a eu parce qu’elle a porté la Vie Éternelle, la Chair Éternelle, en son sein; à cet instant, Maman Marie venait de tous nous connaître. Le mystère dans lequel Marie a été plongée a été pour elle des moments d’émerveillement, car elle savait ce que Dieu était pour faire pour nous. La Mère de Dieu est l’endroit où nous devons aller, elle est l’autel de la Vie. Souvenons-nous de ce que nous avons entendu hier et que nous avons essayé de comprendre : la femme, autel de la vie qui porte la vie, la Vie Éternelle qui prend entre ses mains tout ce qu’elle porte et le présente à Dieu le Père. Alors, lorsque nous allons vers Marie, nous allons vers l’autel de la vie : elle nous prend et son Fils prend tout ce qui est sur elle, comme si c’était le bien le plus précieux de tout ce qui est vivant parce qu’il reconnaît l’offrande de son Père. Nous sommes le choix de son Père, nous sommes la vie de sa Vie voulue par Dieu le Père; alors, le Fils donne à son Père ce qui est à son Père.

Lorsque nous allons à Marie, nous sommes donc sur l’autel, nous sommes l’offrande; comme nous sommes l’offrande, nous devons mettre dans cette offrande nos demandes et, à cet instant, c’est le Fils, lui-même, qui prend ce qui est à sa Mère et qui le présente à son Père. Lorsque le Père regarde l’offrande de son Fils qui a été portée par sa Fille bien-aimée, il agrée cette offrande; tout s’accomplit parce que c’est la Volonté de Dieu. Marie est la Volonté de Dieu parce qu’elle a porté le Verbe. Elle a été préparée à ce qu’elle devait être : un autel vivant, un autel parfait qui devait porter la Perfection. Voilà pourquoi, Marie, elle nous donne des grâces, des grâces d’obéissance, des grâces d’amour, des grâces d’abandon, des grâces de pauvreté, des grâces d’humilité, des grâces de piété : tout ce qui nous est accordé par Marie nous prépare à être une offrande acceptable.

Marie nous rappelle toujours les dix commandements de Dieu le Père, Maman Marie nous rappelle toujours d’écouter les enseignements de son Fils, et Maman Marie prend soin de nous accorder des grâces afin que nous puissions les vivre. Lorsque nous disons notre chapelet, nous nous adressons à Maman Marie afin d’obtenir les grâces que le Ciel veut nous accorder. Maman Marie ne prend pas la place de son Fils, tout comme le Fils ne prend pas la place du Père. Elle s’exécute dans ce qu’elle est : mouvement d’amour, mouvement de perfection, d’accomplissement. Elle est l’autel de la vie, alors l’autel de la vie reçoit tout ce qui est de la Vie Éternelle; comme elle reçoit sans cesse de la Vie Éternelle tout ce qui est pour la vie éternelle, alors elle distribue aux vies que nous sommes ce qui est pour nous. Lorsque Maman Marie reçut en son sein la Chair Éternelle, la Chair Pure, elle connut toutes les chairs et, par ce mouvement, Marie connaît tout ce dont les vies ont besoin en grâces.

Maman Marie a vu tous les refus que nous étions pour dire envers Dieu, envers la Divine Volonté. Maman Marie a été témoin des attaques des mauvais esprits qui se sont acharnés contre les vies qui appartenaient à son Fils : Maman Marie nous regarde avec amour, elle connaît chacun de nous. Maman Marie a connu les attaques de Satan, donc Maman Marie sait combien cela est souffrant : le Ciel a permis que sa Fille bien-aimée connaisse ce qu’était la souffrance causée par Satan. Lorsque Maman Marie pleurait, elle pleurait sur nous, elle savait combien Satan s’acharnait contre ses enfants. Elle connaissait tout cela, Maman Marie, et elle était prête à tout pour redonner à son Fils toutes les vies qui étaient à son Fils.

Maman Marie aimait tellement son Fils! Son amour était parfait dans une telle connaissance que tout ce qu’elle faisait pour nous, elle le faisait pour son Fils : elle nous regardait comme étant vie en son Fils. Chacun de nous était pour Maman Marie des mouvements de souffrance parce qu’elle voyait combien notre chair était assujettie au péché à cause de Satan et la vie, notre âme, était dans la souffrance : la vie de son Fils. Marie priait à genoux pour nous, elle prenait nos souffrances comme si c’était ses propres souffrances à elle; elle nous berçait, elle nous consolait, car elle consolait son Fils, elle berçait son Fils. Pas un seul instant, Maman Marie n’a eu une seule pensée qui aurait pu nous faire de la peine, elle n’aurait jamais fait de la peine à son Fils. Et nous sommes la vie en son Fils, notre chair est la Chair du Fils Éternel; nous sommes de la Chair de son Fils, alors elle nous regardait tout entier comme étant l’œuvre de l’Amour. Elle aimait Dieu le Père, elle était sa Fille. Elle regardait chacun de nous comme l’œuvre de Dieu le Père, alors elle s’est associée à son Fils pour faire acte de réparation : l’œuvre parfaite que nous étions en son Fils était devenue une œuvre imparfaite, ce qui faisait souffrir Marie.

Voilà pourquoi, lorsque nous allons à Marie, lorsque nous nous présentons à Marie, nous sommes sur l’autel. Elle nous a préparés comme pour être une offrande d’amour à son Fils : elle ouvre ses mains et elle présente à son Fils qui nous sommes, et son Fils prend cette offrande et la présente à son Père. Voyez-vous, lorsque nous sommes comme Maman veut que nous soyons, alors nous sommes une bonne offrande. Voilà pourquoi il est dit que le Fils ne refuse rien à sa Mère. Il est aussi dit que le Père ne refuse rien à son Fils, car l’offrande n’a plus d’intérêt humain, tout devient céleste : nos pensées s’envolent vers le Ciel, notre regard, notre écoute, nos paroles, nos actions, nos sentiments. Il n’y a pas une seule pensée, regard, écoute, parole, action, sentiment, qui portent de la volonté humaine : volonté humaine blessée, souffrante, qui ne veut pas se regarder.

La volonté humaine, c’est comme un mouvement qui ne cesse de se refermer. Lorsqu’elle est tout à fait abandonnée, là, la Vie Éternelle, c’est elle qui donne : la Vie qui va à la vie, la vie qui se donne à la Vie pour que la Vie donne à la vie. Nous qui entrons dans la Vie, qui allons à Marie, que Marie donne à la Vie du Fils de Dieu et le Fils de Dieu qui redonne à Dieu le Père sa Vie : mouvement éternel, nous vivons pour la gloire de Dieu, nous redonnons à Dieu ce qui est à Dieu. Lorsque nous vivons dans cela, nous nous laissons guérir par la Vie, il n’y a pas seulement notre vie qui reçoit, mais toute vie.

Comment une vie peut-elle demander quelque chose sans y mettre son tout? Comme Maman Marie elle a connu toute vie et elle se savait être en toute vie, telle Maman Marie, Mère de la Vie, veut que nous connaissions ce mouvement d’amour; alors, nous, nous sommes la vie de tous nos frères et nos sœurs du monde entier. Lorsque nous nous mettons sur l’autel en allant à Marie pour que tout se fasse par Marie, Maman Marie, elle, nous rappelle que nous sommes dans la vie de tous nos frères et nos sœurs du monde entier.

N’oublions pas ce que nous avons su hier à propos de notre cœur; nous savons maintenant que notre cœur est le Cœur du Fils, il n’est plus le nôtre, et qu’il contient tous les enfants du monde : la vie.

Comment ne pas croire que tout est accompli? C’est notre chair qui faut qu'elle avance, c’est notre chair qui va voir, entendre, c’est notre chair qui va être témoin des paroles, des actions et des sentiments, car notre chair n’est-elle pas éternelle? Si, en ce moment, il y a des chairs au repos, elles ne sont pas disparues, car il est dit que les os vont se rhabiller d’une chair et qu’elles vont être ressuscitées; alors, ces chairs vont voir, entendre, elles vont être témoins de la parole, des mouvements et des sentiments, afin qu’éternellement la chair rende grâce à la Chair Éternelle. Voyez-vous ce beau mouvement que nous vivrons pour l’éternité? Il faut que cela s’accomplisse jusqu’au bout.

Dieu le Père ne négligera aucun mouvement qui nous amènera à découvrir cette grâce dont nous sommes appelés à vivre éternellement : grâce qui vient de Dieu le Père et qui sera redonnée à Dieu le Père. La Mère de Dieu, qui est la dispensatrice de toute grâce, ressentira cette joie et le Fils, le Fils qui a tout reçu, aura ces grâces continuelles à présenter à son Père et le Père sera dans son mouvement d’amour, car il est le Mouvement d’amour. Et comme il est le Mouvement d’amour, il ne peut s’empêcher d’être encore Mouvement d’amour; alors, il multipliera les grâces afin qu’on puisse redonner ces grâces. S’il y en a qui pensent qu’on va s’ennuyer pour l’éternité, non! Nous serons la joie du Père : le Père qui regarde son Fils, le Fils qui le regarde, Mouvement Éternel, Esprit Saint qui vit : Mouvement qui donne et qui donne, qui reçoit, qui ne cesse d’être la Lumière. Nous serons lumière par la toute-puissance du Saint-Esprit. Alors soyons fidèles à ce que nous allons vivre.

Le Ciel nous dévoile de grandes joies, mais le Ciel nous dévoile aussi que nous devrons vivre totalement notre passion enveloppés de la protection de Marie, sous le regard de Jésus, avec la puissance du Saint-Esprit, toujours voulue par Dieu le Père. Tout cela nous devons le vivre, mais comme tout est accompli, parce que nous venons d’entendre, nous allons garder une grande paix, malgré les attaques de Satan, nous allons passer au travers. Il y a des tribulations! Croyez-vous que ces tribulations ne se tripleront pas, ne se quadrupleront pas, ne se quintupleront pas? Cela nous est annoncé et cela, nous le vivrons. Mais nous n’avons rien à craindre, le Ciel nous a tout dit à l’avance, afin que nous soyons prière, afin que nous soyons la foi en la foi. Ce qui viendra nous sera connu au moment où Dieu le Père le voudra, mais il nous dit que cela est pour nous.

Est-ce que le Fils a fui la Croix, sa Passion, alors qu’il savait tout? Il était avec son Père; alors, nous, nous sommes avec son Fils et tout se passera comme son Père le veut. Alors, n’ayons pas peur! Il a mis à la tête de l’Église Benoît XVI, un homme fidèle en tout en la Parole de son Fils, un pape qui aime Marie! Alors, nous n’avons rien à craindre. Au Canada, nous avons été témoins en ces jours de l’amour de Dieu pour nous. Monseigneur Ouellet se tient debout devant des rafales d’insultes, d’humiliation, alors il est un modèle pour nous, un soutien pour nous. Alors, nous sommes où, nous? En avant de lui, ou en arrière?

 

Tous : En arrière.

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : On est à la bonne place! Mais il a besoin de savoir que nous sommes en arrière de lui. Lorsque David allait combattre les ennemis de Dieu, il se tenait en avant, mais il savait que son armée l’écoutait, il pouvait compter sur son armée. Alors, Monseigneur Ouellet doit savoir qu’il peut compter sur nous, que nous ne baisserons pas les bras et que nous ne ralentirons pas nos pas : nous sommes à Dieu, il est à Dieu, et nous sommes ensemble.

Alors, il y a une arme que nous avons dans les mains : le chapelet; alors, tenons notre arme d’amour dans les mains, ce qui lui montrera que nous n’avons pas baissé les bras. Faisons ce que nous avons à faire au présent dans la foi en sachant que Dieu est là; alors, nous serons l’armée qui avance : il le ressentira! C’est ce que le Ciel veut : prière et foi que tout est accompli.

N’allons pas le bombarder de nos opinions, il a assez de l’opinion publique! Il sait que les enfants de Dieu sont pour lui, il sait reconnaître tous ceux qui ont la foi envers Dieu, envers ses lois. Puisqu’il se bat pour les lois de Dieu, nous devons être affirmatifs dans ce que nous croyons. David, il y avait toujours quelqu’un qui allait lui rapporter ce que son armée pensait de lui, et c’est Jésus, le Fils de Dieu vivant, qui disait : «Toi, va servir mon Père», et cette personne désignée allait vers David, et il en sera de même pour nous. Alors, cela ne nous empêche pas d’écrire dans notre cœur : "Nous sommes avec toi, Monseigneur Ouellet."

Souvenez-vous de l’histoire d’hier! Allons-nous écrire au Ciel, alors que le Ciel sait tout? Alors, adressons-nous au Ciel et disons : “Je t’aime, Papa d’amour.” Là est notre place! Alors, remercions le Ciel pour tout ce que nous venons d’entendre, remercions le Ciel pour tout ce que nous avons reçu en ces heures, et ces heures ne datent pas seulement que de vendredi soir, c’est depuis le premier moment où Dieu nous a donné vie afin qu’on puisse venir sur la terre et être en mission. Soyons des êtres vrais devant lui, soyons de l’armée de Dieu, et pour être dans l’armée de Dieu il va falloir qu’on tienne une arme : le chapelet. C’est cela que nous avons besoin et Dieu ne nous a pas fait connaître d’autres armes, c’est ça, et c’est tellement simple : parler à Marie de prier pour nous.

'Je te salue Marie' : n’est-ce pas ce que les enfants ont voulu écrire sur la lettre?

'Tu es comblée de grâces', je sais où m’adresser : n’est-ce pas ce qu’ils ont voulu écrire aussi, leur adresse?

'Tu es bénie entre toutes les femmes et Jésus est le fruit de tes entrailles', voilà que je sais où est ma place : n’est-ce pas mon numéro de téléphone?

'Maman Marie, prie pour nous pécheurs' : n’est-ce pas monter la montagne?

'Maintenant et à l’heure de notre mort' : n’est-ce pas lever les yeux vers le Ciel et espérer que tout soit pour le Ciel?

Lorsqu’ils ont regardé et qu’ils ont vu cet éclair, ils savaient où regarder eux, et c’est le Ciel lui-même qui est venu leur répondre : «Amen, mes enfants. Je vous aime.»

Amen, Seigneur.

 

Tous : Amen, Seigneur.

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Merci, Seigneur.