Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Plantagenet, Ontario,

par son instrument, la Fille du Oui à Jésus

 

2006-06-02

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Le Seigneur, il me demande de fermer les yeux.

 

Jésus : Chacun d’entre vous, vous attendez votre Dieu, vous attendez de voir son agir; je suis Celui qui est, je suis Celui qui vient accueillir chacun de vous : «Bonsoir, mes enfants.»

Tous, ici présents, vous avez été appelés par mon Père; c’est mon Père lui-même qui rassemble ses enfants afin qu’ils soient présents; vous êtes en la présence même du Vouloir de mon Père, car je suis le Verbe et je fais la Volonté de mon Père.

Si, aujourd’hui, vous êtes rassemblés, c’est pour que vous puissiez ne faire qu’un en mon Cœur; vous êtes l’Église, vous êtes en le cœur même de l’Église, afin que vous puissiez donner de vous-mêmes.

Accorder à Dieu votre temps, c’est vous donner, c’est donner aussi à vos frères et à vos sœurs, car je suis en vos frères et en vos sœurs; là où est la vie, là je suis.

L’avenir appartient à mon Père; le présent, je vous le donne; vous êtes en présence de votre vie.

À l’intérieur de vous, je fais des mouvements : je vous apprends à vous reconnaître, je vous apprends à vivre votre vie avec abandon, renoncement de vous-mêmes pour mieux apprendre à aimer, aimer l’être d’amour que vous êtes.

Enfants d’amour, vous êtes (tout) ouïe pour vous-mêmes; vous venez entendre parler de l’amour; vous êtes amour, c’est pour vous que je parle; chacun de vous, vous êtes ici par moi; le Saint-Esprit vous couvre, il fait entendre ce qu’il y a à l’intérieur de vous; vous êtes vous-mêmes témoins de ce que Dieu fait en vous.

Je vous prépare à ce que vous allez entendre, à ce que vous allez vivre, parce que ce que je veux faire de vous, c’est vous faire vivre : vivre l’Église, vivre l’agir de Jésus en l’Église.

En ce moment même des grâces vous sont données; en ce moment même des grâces d’abandon sont en vous; acceptez, mes enfants, ce que je dépose en vous, pour vous, et pour ceux que vous aimez, pour ceux que vous ne connaissez pas, mais que vous voulez dans votre vie.

Lorsque vous, vous acceptez de vous rassembler, vous acceptez de former un troupeau; un troupeau parmi les autres troupeaux, voilà ce que vous êtes; vous êtes une partie de l’Église et l’Église a besoin de ce que vous êtes, comme vous, vous avez besoin de l’Église, des autres troupeaux.

Ce rassemblement est un rassemblement d’amour, afin que vous puissiez connaître que Dieu a préparé ce temps pour vous; agissez en moi en donnant votre oui, en vous reconnaissant petits devant mon agir.

Enfants d’amour, laissez couler en vous ces paroles, laissez-vous abandonner dans mon agir; je viens vous parler d’amour, je viens vous parler de confiance, d’unité; tous ceux qui s’unissent pour ne former qu’un (sont) amour.

Je suis, moi, l’Amour; vous avez accepté de croire en moi; voilà pourquoi, mes enfants d’amour, tout vous paraît simple; vous n’avez seulement qu’à écouter et à accepter; vous ne cherchez pas à vous rebuter sur ce que vous entendez, vous accueillez, parce que déjà vous étiez préparés.

Soyez dans ce mouvement d’amour; le vent souffle sur vous : ce vent vient du nord, vient du sud, vient de l’est et de l’ouest; ce vent est captivant, il fait naître en vous le besoin d’entendre, le besoin d’accueillir, le besoin de vous donner, le besoin de vous accomplir; tout est pour vous, en Dieu, avec ceux que vous aimez.

Je ne tourne pas en rond, mes enfants, je vous fais avancer, là où vous devez être pour mieux accueillir les grâces de Dieu.

Beaucoup d’enfants, en ce moment, ont besoin de se reconnaître dans ce mouvement d’amour et vous les portez; certains ont le regard fixé vers leur extérieur; certains ont perdu la foi en leur propre avenir; certains ne veulent plus écouter la voix de Dieu, ne veulent plus suivre le troupeau de Dieu; certains sont incapables de comprendre ce qui se passe, car ce qu’ils voient, c’est la déchéance, c’est l’infidélité.

Ils perçoivent le mensonge, mais ils (ne) sont pas capables de savoir d’où vient ce mensonge, qui est l’auteur de ce mensonge; certains enfants se laissent prendre par le piège de Satan, le Diviseur, le Trompeur; c’est lui l’auteur du mensonge, car il est le Mensonge.

Enfants d’amour, soyez amoureux de vous-mêmes, soyez vrais avec vous-mêmes, soyez des êtres purs, car là où est la pureté, là est la lumière.

Je veux démontrer à votre intérieur votre propre présence en l’Église; lorsque vous avez accepté d’être présents ici, vous avez accepté d’être des instruments de Dieu, tout comme cet instrument; je me sers d’elle pour mon Église, pour mes enfants qui souffrent.

Je veux me servir de vous; je veux faire de vous des êtres d’abandon, des instruments pour ceux que vous aimez, ceux qui ont foi en Dieu, mais qui sont chancelants en ces temps, en ces temps où le mensonge nourrit les enfants de Dieu.

Mes enfants donnent de la nourriture à mes enfants et mes enfants mangent; ils mangent ce qui est faux, ils mangent la douleur, car ce qu’ils acceptent en eux forme une douleur en eux et ils s’en nourrissent.

Il y a des enfants qui sont perdus en eux-mêmes, ils se gardent dans le silence ne sachant pas quoi faire; ils voudraient crier au monde entier que l’Église est vraie, que l’Église est fidèle, que l’Église a toujours été une Église vivante, prêt(e) à suivre le Christ, le Crucifié.

Enfants d’amour, je vous emmène là où est la douleur, la douleur en ceux qui ne veulent pas suivre les pas du Christ, Celui qui s’est donné pour prendre toute vie et la présenter au Père comme si c’était sa propre Vie.

Il y eut un temps où les enfants regardaient et voulaient comprendre; il y eut un temps où les enfants qui avaient compris ont voulu suivre les pas du Crucifié; il y eut un temps où ces enfants ont avancé dans la souffrance, malgré tout ce qu’ils vivaient, ils avançaient; il y eut un temps où la souffrance était si présente qu’ils ont recherché des moyens pour amoindrir leurs souffrances; il y eut un temps où ils ont découvert l’agir du Saint-Esprit; il y eut un temps où ils se sont laissé envelopper par le mouvement du Saint-Esprit; il y eut un temps où l’agir de Dieu se faisait voir : on guérissait, on libérait, on témoignait sur l’agir du Saint-Esprit; il y eut un temps où les enfants de Dieu avançaient en cherchant toujours à comprendre la vérité; il y eut un temps où la vérité est devenue pour ces enfants une vérité qui leur apprenait à avoir foi en ce qu’ils entendaient puisqu’on parlait de Dieu, puisqu’on parlait de l’Évangile, puisqu’on leur rappelait les dix commandements de Dieu; il y eut un temps où les enfants sont devenus confiants d’eux-mêmes, si confiants qu’ils se sont regardés comme étant des enfants importants devant Dieu; ils ne se disaient pas importants, mais au plus profond d’eux-mêmes, ils y croyaient à cette importance.

Ces enfants sont devenus des êtres qui n’ont pas pris garde à la tournure de leur propre agir : ils ont écouté leurs paroles, ils ont regardé leur agir; ils remerciaient Dieu, ils louaient Dieu, ils chantaient Dieu pour leur avoir donné autant, à un tel point qu’ils ont regardé leur prochain du haut de leur être se disant qu’ils avaient, eux, reçu, se disant qu’ils avaient le discernement pour reconnaître le vrai du faux; ces enfants sont devenus maîtres de l’agir, de leur propre agir.

Dieu n’a point arrêté (leur agir), car il aime, Dieu; il ne punit pas comme les humains; Dieu est Dieu, Dieu est la Puissance; il a écouté et il a attendu; il a regardé et il a constaté que des enfants gardaient au plus profond d’eux-mêmes l’humilité, car parmi ces enfants il y avait des tout-petits qui avaient gardé le silence, qui donnaient tout à Dieu, qui se sentaient si indignes que pas un regard n’était porté sur leur prochain.

Enfants d’amour, Dieu est la Puissance, Dieu est la Lumière, Dieu est l’Éternel.

C’est avec simplicité que je suis venu en ce monde, c’est avec amour que je me suis donné pour ce monde : ce monde était pécheur; je ne suis pas venu en ce monde pour ceux qui étaient les bien-portants; mon Sang a coulé sur les pécheurs; j’ai donné ma Chair en nourriture pour alimenter ceux qui avaient faim de moi; reconnaissez en votre Dieu la simplicité, je suis venu servir et non pour être servi.

Moi qui suis Dieu, moi qui suis le Tout-Puissant, je vous ai parlé d’amour, d’unité; je vous ai montré à reconnaître qui avait besoin de moi : le plus petit, celui qui se reconnaît être le plus humble, celui qui se reconnaît le plus grand des pécheurs est de moi; parce que je me suis donné à lui, j’ai voulu prendre tout de lui, je me suis fait lui pour le sauver, je l’ai pris en moi afin qu’il se reconnaisse tel qu’il est : pécheur.

Il faut qu’il se reconnaisse pécheur avant qu’il soit à ma ressemblance; il faut qu’il se regarde tel qu’il est avant qu’il puisse se regarder comme étant un saint; il est de moi de (lui) démontrer mon amour, il est de moi de faire de lui un être pur.

Ce monde est rempli d’enfants imbus (d’eux-) mêmes, ce monde est rempli d’enfants qui sont incapables de se regarder tels qu’ils sont; parce que des enfants se sont vus comme étant des grands, étant sûrs d’être à la première place : l’Église a souffert.

Oui, enfants d’amour, lorsque je donne des grâces, je demande, je demande beaucoup afin de donner beaucoup.

Combien d’enfants sont devenus des saints parce qu’ils se sont reconnus comme étant indignes d’être devant Dieu! Ils ne se reconnaissaient pas comme étant à la hauteur de Dieu; ils étaient choisis de mon Père, je les nourrissais de ma Vie, le Saint-Esprit les enveloppait de sa toute-puissance afin qu’ils puissent avancer dans leur petitesse en êtres humbles; ils se méfiaient d’eux-mêmes, ils savaient qu’ils étaient des êtres pécheurs, ils savaient qu’à l’intérieur d’eux était la faiblesse de l’être humain; ils aimaient leur Dieu plus qu’eux-mêmes.

Ce monde dans lequel vous vivez aujourd’hui, mes enfants, crie sa souffrance; il a mal; il veut connaître la libération, être libre, connaître la vérité, savoir pourquoi il y a tant d’opinions divergentes sur les religions.

Enfants d’amour, vous avez entendu la souffrance de ce monde, vous avez été témoins de ce que ce monde accepte, avez-vous gardé la paix? Avez-vous eu confiance en moi? Avez-vous été capables de consoler celui qui était scandalisé par tout ce qu’il entendait sur moi? Avez-vous été capables vous-mêmes, mes amours, de réaliser que j’étais là, moi, toujours présent?

Aujourd’hui, on parle contre moi, contre mon agir, contre mon Église, et ces paroles que l’on prononce, ce sont des paroles qui viennent d’une source qui n’est même pas; elle n’existe pas cette source.

L’être humain, avec son imagination, a écrit une histoire pour de l’argent, et l’être humain qui a publié cette histoire a voulu aller plus loin; il a mis autour de cette histoire de la publicité, il a été jusqu’à faire des mouvements pour attiser la curiosité de la clientèle ciblée, et une fois la clientèle ciblée, il a (agrandi) son mouvement en criant scandale : tout était préparé.

Enfants d’amour, combien de mes enfants, mes choisis, se sont laissés prendre par ces mouvements préparés pour mettre, en les cœurs des choisis, la peur! Les mouvements contre l’Église, mes enfants, peuvent atteindre les enfants de mon Père par la peur.

Satan, mes enfants, ne peut rien contre les enfants de mon Père qui se gardent dans la paix, qui demeurent humbles, mais s’ils laissent entrer en eux des paroles et que ces paroles ne sont pas amour, la peur se réveille, la peur nourrit et l’Église souffre; les enfants ciblés, pour qu’ils soient attirés par ces mensonges, sont laissés à eux-mêmes, sans protection.

Vous êtes choisis pour vous donner.

Je suis l’Église, croyez en moi; l’Église, mes enfants, est Moi; j’ai triomphé, j’ai apporté à la mort tout mouvement contre la Vie éternelle; alors, ce mouvement est vécu par moi; de quoi avez-vous peur? De quoi avez-vous eu peur? Laissez ces mensonges nourrir les auteurs de ces mensonges et priez pour eux, car leurs souffrances, ils s’en nourrissent.

Soyez vrais, mes amours, soyez tout amour et avancez; soyez humbles et purs, purs, mes enfants, en votre esprit; vous êtes tout amour; tout ce qui se passe à l’extérieur de vous ne doit pas pénétrer en vous; c’est vous-mêmes qui avez ce choix.

Regardez, mes enfants, il y a des jeunes qui, eux, ont entendu la même chose que vous et eux ne se sont pas arrêtés à cela, parce qu’ils se sont dit : “Mais ce n’est qu’un roman!” mais, à l’intérieur de vous, il y avait la peur, il y avait la peur pour ceux qui étaient pour lire, et cela a fait naître en vous de la souffrance.

Enfants d’amour, tout est en moi; gardez-vous dans la paix; regardez ma Mère, elle ne cesse d’intercéder auprès de la Trinité afin que vous puissiez vous garder dans la paix; à tous ceux qui ont demandé des grâces de lumière, combien Dieu a donné; tous ceux qui ont demandé des grâces de paix, Dieu a donné; tous ceux qui ont demandé des grâces d’obéissance à l’Église, Dieu a donné.

Voyez-vous, mes enfants, Dieu ne peut refuser rien à ceux qui demandent; ne cessez pas de demander; gardez-vous ensemble, ne vous séparez pas les uns (les) autres, demeurez unis dans la paix, dans la lumière, dans l’obéissance à l’Église, à moi, Jésus.

JE SUIS est avec vous, je ne vous quitte pas, moi; ne me quittez pas.

Enfants de ma Volonté, maintenant, elle va ouvrir les yeux.

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Jésus nous a parlé de ce que nous avons vécu depuis quelques semaines; tous ici, vous avez entendu parler du Code Da Vinci; cela a fait beaucoup parler de personnes.

Jésus, lui, savait tout cela; Jésus n’a pas donné à l’instrument que je suis des messages à propos de cela avant ce soir; il m’a gardée dans la paix; j’écoutais certaines personnes qui me parlaient de cela.

Jésus (ne) prenait pas part à la conversation, il était amour et continuait toujours d’être amour.

Jésus, c’est l’Église, c’est la Force, c’est notre force; il ne s’abaissera pas au même niveau que nous; il nous soutient et il nous a soutenus dans notre faiblesse; s’il a parlé de peur, c’est parce qu’il y a eu de la peur; s’il a parlé d’écoute, c’est parce qu’il y a eu de l’écoute; s’il a parlé d’agir, c’est parce qu’il y a des personnes qui ont agi.

Il faut garder sa paix; il nous a parlé depuis plusieurs années de paix, d’abandon; il nous avait prévenus d’un mouvement qui se ferait connaître à la surface de la terre, et il nous a dit que ceux qui garderaient leur paix ne perdraient pas leur joie; tout cela a été dit, nous devons faire ce qu’il nous demande.

Lorsqu’il donne ses enseignements, chaque enseignement nous apprend comment nous comporter, comment vivre le présent; à l’instant même où il nous parlait de ce mouvement, il nous donnait des grâces, il nous préparait à vivre ce que nous étions pour vivre; il ne nous a pas laissés tout seul, il a pris soin de nous.

Nous devons continuer à suivre ce que Jésus nous demande, dans l’abandon, en gardant notre paix, en vivant ce que nous allons voir et entendre, en enfants humbles; si nous nous prenons comme des êtres à l’abri, nous allons tomber, à cause de cela.

Maman Marie, elle a dit que les priants, ce qui était pour être leur faiblesse, c’est l’orgueil; l’orgueil guette les priants; c’est sur cela que Satan va travailler, cela va être contre nous.

Si nous (ne) nous gardons pas humbles, obéissants, comme étant des enfants toujours faibles, là nous allons avancer, enveloppés du manteau de Marie; mais si nous (ne) nous reconnaissons pas humbles, petits, faibles devant notre volonté humaine, eh bien, nous allons nous éloigner du manteau de Marie, et Dieu va nous regarder.

Dieu ne nous obligera pas à retourner sous la protection de Marie; il va nous laisser aller jusqu’au moment où il va nous rattraper, il va nous parler; Dieu nous demande d’être à son écoute et pas à l’écoute du monde; si le monde avance en écoutant ces mensonges, eh bien, nous, nous souffrirons comme eux souffrent; Dieu veut qu’on les aide, et ce n’est pas les aider en écoutant ces enfants qui écoutent ceux qui veulent détruire Jésus.

On veut détruire Jésus, on veut détruire l’Église; regardez le mouvement : ce mouvement est répandu partout; nous devons demeurer à l’écoute de Jésus; nous devons être humbles; ne cessons pas de prier avec le cœur, Maman Marie nous le rappelle.

Oui, il y a des dangers et nous avons été avertis de cela; Jésus nous a dit qu’on essaierait d’abattre son Église, qu’on était pour être ridiculisés, mis au pied du mur : souvenez-vous de ces paroles.

Eh bien, ce mouvement nous a mis au pied du mur : on ridiculise l’Église, on ne veut plus croire que Jésus est la Pureté, on ne veut plus croire en la puissance de l’amour de Dieu; ne plus croire en la puissance de la Pureté, ne plus croire en la puissance de l’amour de Dieu, ce n’est plus croire en ce que nous sommes : nous sommes l’Amour.

Si nous vivons, c’est parce qu’il y a la Vie à l’intérieur de nous; s’il y a la Vie à l’intérieur de nous, c’est qu’il y a mouvement, et s’il y a mouvement, c’est qu’il y a le Verbe, et s’il y a le Verbe, c’est qu’il y a le Fils de Dieu obéissant à Dieu, le Créateur, le Puissant, l’Éternel, le Suprême.

Enlevez l’amour et nous (ne) sommes plus, et c’est ce que Satan veut faire; mais Satan ne peut rien contre les enfants de Dieu, contre les humbles, parce que les humbles se regardent comme ayant toujours besoin de Jésus.

Lorsque nous nous regardons humbles, nous n’avons pas peur de nous dire indignes de cet amour; mais combien Jésus nous enveloppe, combien Jésus nous comble de son amour à ce moment-là; si on pouvait voir dans notre vie les mouvements de Jésus pour nous, on ne porterait jamais un regard vers ce monde, jamais, parce que ce monde nous apparaîtrait sous la puissance de Jésus.

Nous n’avons pas regardé dans ces temps-ci le monde sous la puissance de Jésus, mais sous la puissance des ténèbres; eh bien, à ce moment-là, nous avons laissé une place, et (ce n’était) pas la place de Jésus que nous avons laissée; à nos frères et à nos sœurs, nous les avons laissés seuls, et Satan les a manipulés.

Mais Jésus nous a parlé qu’il y avait des enfants qui ont continué à garder le silence, à prier, à avoir confiance en Dieu; un seul petit groupe est très puissant; malgré tout ce qui se passe, regardez autour de vous : des jeunes se rassemblent pour chanter Dieu; des personnes se rassemblent pour prier, écouter Dieu; des gens ont continué, malgré tout cela, à avoir confiance en Dieu; ils étaient petits, mais ils étaient là et cela a suffi.

L’Église, c’est nous-mêmes, puis elle est vivante l’Église, elle est vraie l’Église; nous n’avons pas à baisser la tête; il faut croire, il faut avoir foi en Dieu.

Il y en aura d'autres, vous savez, des mouvements contre Jésus; mais plus nous avancerons ensemble et plus ces mouvements tomberont très vite; c’est comme un tourbillon : il apparaît, mais (ne) donnez pas de nourriture à ce tourbillon et il va disparaître; le calme va venir très vite.

Ne tournons pas autour du tourbillon, parce que le tourbillon va durer et il va vous emmener; c’est lui qui va avoir le contrôle sur vous; alors, demeurons là où nous sommes, là, en Jésus, en lui, et lui va apaiser tout cela : c’est lui l’agir.

La foi est en chacun de nous pour l’amour de Dieu; nous devons avoir confiance en ce que nous vivons.

Dieu commence lentement à nous parler; il a vu combien nous avions besoin de cela; Dieu ne vient pas parler pour vous faire trembler, il vient parler pour apaiser; c’est ce qu’il fait en ce moment : il nous apaise parce que nous en avions besoin; tout ce que nous avons vu et entendu, il fallait le donner.

Alors, dans un mouvement d’amour, dans la Divine Volonté, donnons chaque parole, donnons chaque mouvement, donnons chaque sentiment qui ont été contre l’Église, donnons aussi la cause et les conséquences et ne cherchons pas à savoir, parce que cela nous emmènerait encore très loin, car ce qui a été présent devant nous a été préparé par Satan depuis des centaines d’années; alors, soyons présents et gardons le silence quelques minutes pour offrir tous ces mouvements à la Divine Volonté.

 

Jésus : Père d’amour, il y a en moi des paroles, des paroles qui ont été dites contre moi; Père adorable, je prends en moi des mouvements; ce sont des actions posées contre votre Fils.

Père, il y a tant de manques d’égard envers moi; tout cela je le prends afin de vous le présenter; tout est de moi, Père, afin que tout soit dans votre Volonté.

J’accepte, Père d’amour, tout mouvement qui vient de vous, car votre justice est droite, votre amour est sans limites, votre Volonté est immuable, rien n’est imparfait, tout n’est que pureté.

Ils avancent ces mouvements d’amour pour aller en moi, et moi, je distribue en tout mon Être ces mouvements de guérison : mouvement qui apaise, qui guérit, qui apporte la libération, qui fait augmenter la foi, la confiance en votre sainte Volonté, mouvement d’amour qui se répand en tous les enfants qui acceptent votre Volonté, lumière qui se laisse voir, paix qui se laisse ressentir, obéissance qui descend là où sont ces enfants; tout est de vous, Père d’amour, car ces enfants sont de vous.

Laissez pénétrer, enfants de mon Père, ces mouvements, car c’est moi qui les accueille en vous, c’est moi votre oui, c’est moi qui vous apporte de la nourriture afin de réparer ce qui a pu être interrompu; je laisse mon Être couler en vous.

Je suis Celui qui a pris votre vie; votre vie est la mienne, ma Vie est vous; tout de vous est moi, l’Amour; vous êtes amour, vous êtes amour pour vous-mêmes, vous acceptez les grâces du Ciel parce que vous avez confiance en la Sainte Trinité; vous acceptez vos frères et vos sœurs tels qu’ils sont, sans porter un seul jugement sur eux; vous ne portez plus de rancœur contre les auteurs de ces mouvements contre moi, ma miséricorde vous nourrit.

Une grande lumière vous entoure : vous pénétrez dans l’agir de mon Père par moi, la Lumière, et mon Père déposent en la Lumière sa Volonté d’être des enfants accomplis depuis le premier jusqu’au dernier du monde; tout cela est en moi, car JE SUIS.

Votre présence en l’Église fait que les autres enfants reçoivent des guérisons.

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Le Seigneur nous accorde ses grâces afin que nous puissions répondre à l’appel de l’Église : être unis, être en Jésus, ne faire qu’un en Jésus, avancer pour toujours être ce que Dieu attend de nous : des êtres accomplis.

Maintenant, le Seigneur, il dit : «Allez vous reposer.»