Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Plantagenet, Ontario,

par son instrument, la Fille du Oui à Jésus

 

2012-03-24 – P.M.  Partie 1

 

♪♪♪       L'Esprit de Dieu

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Merci, merci à chacun de vous. Nous avons tous besoin des uns et des autres. Nous avons tous besoin de marcher sur le chemin de Dieu. Est-ce que le chemin de Dieu est large? (R : Non.) Le chemin de Dieu est étroit et Dieu ne nous l'a pas caché.

Nous tous, nous vivons des difficultés, n'est-ce pas? Nous tous, nous connaissons des personnes qui ne veulent pas entendre parler de Dieu. Nous tous, nous connaissons des personnes qui vont à la messe. Nous tous, nous connaissons des personnes qui, malgré qu'elles vont à la messe, parlent contre leur prochain. Nous tous, nous connaissons des personnes qui ont de la difficulté à vivre la Parole vivante de Dieu le Fils. Nous tous, nous voudrions qu'après avoir entendu parler notre Seigneur, comme cet avant-midi, on voudrait qu'ils soient avec nous pour entendre ce que nous avons entendu. Qu'avons-nous entendu ce matin? L'amour. Oui, nous avons entendu aussi l'Immaculée Conception. L'amour, l'amour porte un prix. Alors, ça veut dire qu'il y a un prix à entendre parler d'amour. Quel est donc ce prix? L'abandon.

Dieu attend de nous notre vie. Elle est à qui cette vie? Elle est à Jésus, elle n'est pas à nous. Pourquoi notre vie ne nous appartient pas? Il l'a rachetée au prix de sa Vie. Ça, nous comprenons tout ça, n'est-ce pas? Nous sommes prêts à nous abandonner au prix de notre vie. Est-ce qu'il en a fallu des enseignements pour que vous compreniez cela? La majorité d'ici, est-ce que vous avez déjà lu la Bible, l'Évangile, l'Ancien, le Nouveau, le Nouveau, l'Ancien? Vous l'avez lu? Avant les enseignements du Seigneur, étiez-vous prêts à vous abandonner comme aujourd'hui? (R : Non.) Étiez-vous prêts à donner votre vie? (R : Non.) Mais non, sans l'abandon, on ne donne pas sa vie. Et pourtant, on avait lu la Bible, on avait lu qu'il ne fallait pas aller vers d'autres dieux que notre Dieu. Nous avons aussi lu qu'il ne fallait pas d'idoles. Levez donc la main ceux qui ont découvert, après les enseignements, qu'il y avait des idoles dans leur maison? Levez donc la main tous ceux qui ont cru en des faux dieux? On va s'expliquer. Stéphane, c'était quoi les faux dieux pour toi? Il faut que tu parles très fort, Stéphane.

Stéphane : L'argent.

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Merci. Il fallait l'Esprit Saint pour nous donner une réponse comme ça. Avons-nous tous aimé avoir de l'argent dans nos poches dans notre vie? (R : Oui.) Pour se procurer quoi avec l'argent? Plus fort. (R : Des idoles.) Nous en avons eu des idoles, n'est-ce pas? Qui n'a pas été vers les horoscopes, même si on n'y croyait pas, hein? Tiens, il y a un petit journal… on va aller voir ce que ça dit aujourd'hui, hein, juste pour nous laisser tenter un petit peu; c'est des folies ça, mais… on y allait pareil! Qui n'a pas été vers les cartomanciennes, consulter les étoiles? Qui n'a pas connu ce qu'était de passer des heures et des heures et des heures devant la télévision au détriment de la prière? On ne perdait pas notre temps! On apprenait, on apprenait ce qu'étaient les couples! On nous a appris ce qu'était la sexualité! On n'avait jamais été à la guerre, nous, on a appris ce que c'était que de participer à la guerre! On n'a jamais joué aux courses, hey! on a participé aux courses par la télévision! On n'a jamais tué personne et pourtant on a même participé à faire des bombes, à placer des bombes, et à attendre que ça explose!

Quand est-ce que cela a été écrit dans l'Évangile? 'C'est pas écrit ça, la télévision, dans l'Évangile?' Il est écrit dans l'Évangile : «Si ton œil participe au mal…» Qu'est-ce qu'il est écrit? «Arrache-le plutôt que de tomber dans l'abîme.» N'est-il pas écrit dans l'Évangile? Est-ce que notre œil n'a pas vu de l'impureté? (R : Oui.) Si, à l'instant où, moi, je regardais la télévision, alors qu'il se passait un meurtre et que j'avais un sentiment de satisfaction parce que cet homme avait tué plusieurs personnes, comment est-ce que je me serais retrouvé moi, devant mon Jugement? Merci, mon Dieu, de m'avoir épargné ce moment. Maintenant, dans l'Évangile, il y a une autre place où il est dit : «Si tu penses à un autre homme que ton mari, déjà tu es adultère.» Avons-nous besoin de continuer? Eh bien, on va le faire. On va aller jusqu'au bout.

Combien de fois nous avons été adultères? Nous avons aimé, hein, regarder des beaux films d'amour! Je n’en avais pas, moi, de l'amour comme ça. Combien de fois j'ai lu des livres d'Arlequin, hein? Combien de fois… hé…? On se couchait le soir et on faisait notre propre scénario, on l'arrangeait à notre goût. Nous avons été dans ce qui est contre l'Évangile, et pourtant Dieu l'a fait écrire noir sur blanc. Qu'est-il arrivé pour qu'on ne voie pas, qu'on ne comprenne pas ce qui, en ce moment même, est en train de se vivre avec nos frères et nos sœurs? Si nous, aujourd'hui, nous sommes ici rassemblés pour entendre parler l'Esprit de Dieu en notre cœur, c'est que le Seigneur avait connu notre oui. Il savait que nous avions besoin d'être repêchés, comme il a dit ce matin. Nous aussi, on était partis à la dérive. Nous aussi, nous avons fait ce que les autres font aujourd'hui, mais notre oui a surgi de nous par les grâces de Marie.

Si chacun de nous s'arrêtait pour penser : 'Est-ce qu'il y a eu dans ma vie un moment où Dieu est venu, est venu montrer qu'il était là?' On réaliserait qu'il y en a beaucoup ici. Si je vous demandais – et on va demander à André de tourner la caméra vers la salle, s'il te plaît – maintenant, levez-vous debout tous ceux qui ont ressenti que Dieu est vivant, que ce soit par une vision, que ce soit par une parole, que ce soit… (Beaucoup se lèvent dans la salle). 'Merci, mon Dieu, merci'. Est-ce qu'il y a de l'espoir pour nos frères et nos sœurs? (R : Oui.) Oui, il y a de l'espoir. Nous avons tous été touchés par l'Esprit de Dieu. Ce que le Seigneur nous montre, c'est sa puissance. Nous allons tous avancer ensemble. Oui, nous allons être sur ce chemin étroit pour aller chercher nos frères et nos sœurs qui ont de la difficulté à comprendre l'Évangile.

Au début, le Seigneur, lorsqu'il nous a entrepris, il ne nous a pas caché qu'on était pour être en mission, n'est-ce pas? Il a dit : «Je vais vous transformer à votre rythme, pas au rythme de vos jets.» Eh bien, nous avons tous été transformés, malgré que cela a été difficile. Est-ce que cela a été difficile pour certains d'entre vous? Oui, cela a été difficile. C'est difficile de quitter ce qui nous engourdit. C'est difficile de vivre l'Évangile, n'est-ce pas? On a des moments où c'est plus facile, d'autres moments c'est plus difficile. Cela va bien quand il n'y a pas d'épreuve, n'est-ce pas? Mais quand il y a des épreuves, là c'est difficile. Je dois accepter l'ami de mon enfant; il a de l'influence sur mon enfant alors qu'il se drogue. Quelle doit être mon attitude? Tu dois aimer, tu dois te donner, tu dois prier, tu dois l'amener à l'Eucharistie comme tu dois amener ton enfant et tous ceux que tu aimes, parce que cela est écrit dans l'Évangile.

Lorsque Jésus allait vers les pécheurs, il y allait en sachant qui ils étaient. Il ne disait pas : vous les apôtres, restez en arrière, vous êtes trop influençables, vous pourriez changer d'idée. Il n'a pas dit cela, Jésus, pourquoi? Parce qu'il avait la foi, il était la Foi. Il était solide notre Dieu. Alors, nous devons aussi l'être à notre tour. Nous devons faire confiance à notre enfant. Parce que nous avons donné de l'amour à notre enfant, alors nous devons faire confiance à notre amour. C'est l'amour de Dieu qui a fait que nous avons pu aimer. Nous avons aimé maladroitement, mais nous avons aimé. Nous devons avoir confiance envers l'amour, s'abandonner en l'amour. Alors, nous devons accepter l'ami de notre enfant; ah! pas dire : viens, tu viendras fumer à la maison, non, mais on doit avoir un sourire. Un sourire, c'est quelque chose qui vient directement de notre cœur et lorsque le sourire est sincère, on ne cache pas la vérité. La sincérité se laisse voir.

C'est la même chose pour tous ceux que nous rencontrons. Nous devons faire confiance en Dieu, nous devons aimer. Oui, il est vrai que nous rencontrons des personnes qui nous calomnient et nous le savons. Qu'est-ce qui est le plus important : nous arrêter sur ce que nous savons, ou nous arrêter sur l'amour que nous devons avoir pour eux? Oui, si ça déborde, hein, si la souffrance prend le dessus, allons prier, retirons-nous et prions, alors on va revenir plus forts. Nous garderons le silence, nous ne ferons pas conversation avec nos souffrances, nous prierons, nous nous donnerons, nous nous abandonnerons, nous vivrons l'amour. Est-ce que cela n'est pas écrit dans l'Évangile? Nous devons suivre les pas du Christ. Le Seigneur, il a dit : «Mes enfants, vous souffrez à cause de vos frères et de vos sœurs. C'est une souffrance d'amour. Vous la connaîtrez jusqu'à la fin, jusqu'au dernier qui prononcera son oui absolu, total.» Cela veut dire que tant qu'il restera en lui une souffrance, nous souffrirons cette souffrance d'amour que nous acceptons.

Il y en a, après qu'ils aient entendu ces paroles, peuvent dire : 'Il n'en est pas question.' C'est parce qu'ils n'ont pas encore lu les enseignements du Seigneur. Si on regarde ça comme ça, est-ce que c'est possible de tout emmagasiner ce que nous avons appris depuis 2001? (R : Non.) Lorsque nous entendons l'instrument répéter les mots du Seigneur, et que ces mots disent : «Vous serez dans une souffrance d'amour jusqu'au dernier qui ressentira de la souffrance» et, qu'après avoir entendu ces mots, qu'on refuse : 'Non, je ne peux pas vivre autant de souffrances. Dieu ne me demanderait pas cela.' Est-ce que cela ne nous a-t-il pas été enseigné depuis 2001? Pour qu'eux comprennent ce que nous, maintenant, avec beaucoup de patience venant de Dieu nous ayons compris, faut-il qu'eux lisent tout ce qui a été dit depuis 2001 jusqu'à aujourd'hui? Cela fait combien d'années? Cela fait onze ans – 2001 à 2012 – et nous avons déjà commencé notre onzième année. Est-ce que c'est depuis ce temps que nous avons compris ou nous comprenons encore de jour en jour? Alors, nous comprenons tous qu'eux ne peuvent pas faire ce que nous, nous avons fait. Alors comment vont-ils arriver au point où nous, nous sommes?

Savez-vous ce que le Seigneur vient de me montrer? (R : Non.) Les apôtres dans la chaloupe pendant la grande tempête. Ils étaient tous dans la chaloupe avec qui? Jésus. Et ils avaient peur de ce qu'ils ne connaissaient pas et Jésus leur a dit : «Hommes de peu de foi.» Alors, il dit : «Vous m'avez avec vous et vous avez peur!» Alors, c'est la même chose pour les enseignements. Dieu nous enseigne, il nous donne de la lumière sur son Évangile. Il n'y a rien de nouveau, tout a été écrit. Alors, nous avons Dieu avec nous, de quoi avons-nous peur? Qu'ils ne soient pas prêts? Il est en train de nous préparer pour eux. Est-ce qu'il y en a parmi vous que cela ne fait que quelques années, pas trop longtemps là, qui connaissent les enseignements? Est-ce qu'il y en a parmi vous qui trouvent ça compliqué?

R. On ne comprend pas toujours du premier coup, mais je pense que Jésus continue de nous parler; puis, tout à coup, on comprend un petit bout. Je pense que tout comprendre d'un coup sec, ça doit être un peu ardu, beaucoup même. Je me dis : peu à peu. Ce matin, il y a une phrase qui m'a frappée, tantôt aussi. C'est comme ça, il y va, je pense, avec ce qu'on est capable de prendre, pas plus, parce qu'on s'en irait et là, on serait engourdi pour vrai.

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Est-ce que ça ne nous ressemble pas, nous aussi? C'est Dieu qui se charge de notre perfection. C'est Dieu qui sait ce que nous devons faire, ce que nous devons être, pas nous. Il sait, Dieu, que nous allons, nous, avec ce que nous sommes, rencontrer des personnes qui ont besoin de nous, pas des autres, de nous. Si une personne qui a besoin d'une toute petite nourriture rencontrait une personne qui, elle, parlerait de tous les enseignements, est-ce qu'elle serait écrasée? (R : Oui.) Alors qu'elle rencontrerait une personne qui, elle, en sait un tout petit peu, mais qui sort avec son amour ce qu'elle a reçu. C'est ce qu'ils ont besoin. Tout comme nous, c'est ce que nous avions besoin. Dieu va se servir de chacun de nous.

Dieu connaît ceux qui ont besoin d'entendre notre cœur parler, pas notre volonté humaine, notre cœur parler. Et avec quelles paroles notre cœur s'adresse aux autres? Avec des paroles d'amour. On ne commencera pas à leur parler de la masse, même si les personnes ont déjà lu dans l'Apocalypse qu'il va y avoir une masse qui va venir purifier la terre. Est-ce qu'ils ont besoin de savoir cela? Oui et non. Non, si cela entraîne de la peur. Oui, si cela leur montre que Dieu a préparé ses enfants à ce qui vient. Comment peut-on dire que nous sommes préparés? Par la prière.

Lorsque le Seigneur nous a dévoilé certains événements qui vont arriver, c'était pour nous dire de prier : «Priez mes enfants, priez mes enfants! Mes autres enfants sont engourdis, ils lisent l'Évangile, ils lisent mes paroles que j'ai données pour eux à travers mes apôtres et ils ne font rien». Ils se disent : 'Ah! Ce n'est pas pour notre temps.' Ils démontrent par là qu'ils sont indifférents envers la souffrance de leurs frères et de leurs sœurs qui, eux, vont être présents lorsque la grande masse va arriver. Si on ne voit pas que le Seigneur nous prépare par la prière afin d'aider les autres, nous allons demeurer une mauvaise nourriture envers notre prochain. Nous devons être une nourriture d'amour, pas une nourriture stérile. Lorsque le Seigneur dit qu'il y aura guerre sur guerre, épidémie sur épidémie, eh bien : «Priez, mes enfants, priez pour ne pas tomber en tentation. On vient me chercher, on vient me crucifier. Priez pour ne pas tomber en tentation!»

Quand allons-nous vivre la Parole de Dieu? Quand allons-nous aimer la Parole de Dieu? Cessons de nourrir nos émotions et soyons abandon. Je ne suis pas là à répéter pour que vous m'aimiez, mais pour que vous appreniez de Dieu ce qu'il attend de vous. Nous sommes tous ensemble pour donner à notre Dieu ce qu'il attend de nous : un oui, et lui fait tout. À lui de nous donner des grâces pour la prière, mais il faut donner notre oui. Si nous nourrissons nos peurs, c'est de la peur que nous donnerons comme nourriture à nos frères et à nos sœurs. Si nous nourrissons nos contradictions lorsque nous sentons qu'il faut fermer la télévision, c'est de la contradiction, c'est un sentiment de contrariété qui nourrira nos frères et nos sœurs.

Que va-t-il arriver lorsqu'ils seront en eux dans les trois jours où ils devront tout regarder, et que Satan et les démons susciteront de la souffrance en eux : 'Quoi, tu vas dire oui à Dieu? Tu ne pourras même plus regarder la télévision, tu ne pourras plus t'amuser, tu n'auras rien à faire qu'à prier, tu vas t'ennuyer!' – à moins que vous croyiez qu'il y aura des émissions de télévision encore après la très Grande Purification de la chair. Que voyez-vous à la télévision? Est-ce qu'il y en a qui peuvent énumérer ce qu'ils voient à la télévision? Et, chacun votre tour, nommez quelque chose que vous voyez à la télévision ou que vous avez déjà vu. (R : violence, meurtres, calomnies, sexualité, magie, divorces…). N'oubliez pas, il y a la messe à la télévision.

Maintenant, avec tout cela, après la très Grande Purification de la chair, est-ce qu'il y aura des meurtres, des divorces, de la violence, de la magie? Là, on va éliminer tout ça, n'est-ce pas? Maintenant, après la très Grande Purification de la chair, est-ce que j'aurai, moi, assez de santé pour aller vers le prêtre et célébrer ensemble avec tous mes frères et mes sœurs la messe, l'Eucharistie? Est-ce qu'on aura encore besoin de la télévision? Il n'y en aura plus. Aujourd'hui, est-ce que Dieu vous défend de regarder la télévision? (R : Non.) Il vous demande. Mais il nous a dit : «Allez vers ma Mère.» Pourquoi il nous envoie vers sa Mère, en ce qui concerne la télévision? Il a dit : «Allez vers ma Mère, elle va vous aider.» Elle va nous donner des grâces. Cela est difficile de se priver de ce que nous avons été habitués depuis plusieurs années, hein? Bobino et Bobinette là… Il y en avait aussi en anglais?

R. Pas des Bobino, mais ça se ressemblait.

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Alors, voyez-vous, ça fait plusieurs années que cela a débuté. C'est difficile de retirer notre regard de cet écran, pourquoi? Parce que toutes ces images-là nous habitent encore, tous ces sons-là nous habitent encore. Il faut demander des grâces à Marie. Croyez-vous que Satan et les démons peuvent passer par cet écran pour nous atteindre? (R : Oui.) Oui. Il y a eu des témoignages de personnes qui ont vu une lumière sortir de la télévision et venir les frapper, et après ils ont été troublés. Plusieurs voix se faisaient entendre en eux et ils ont été obligés de se faire exorciser. Et cela est vrai. Les écrans, ce sont des objets, ce n'est pas un objet vivant, l'écran, c'est mort, cela ne vit pas. Qui vit? Oui, Jésus est la Vie, mais qui vit en Jésus? Alors, c'est nous qui sommes vivants.

Et les démons, est-ce qu'ils sont vivants? (R : Non.) Ils sont néant, ils sont vides. Mais est-ce qu'ils veulent, eux autres, avoir la vie, prendre la vie, voler la vie? Comme ils veulent nous atteindre, ils ont besoin de la vie pour nous atteindre, alors ils ont mis en nous de la peur, ils ont mis en nous des sentiments de violence. Lorsque nous regardons ce qui est non-vivant avec de la peur, de la curiosité, avec des émotions qui n'appartiennent pas à l'enfant de Dieu, mais qui ont pénétré en nous sans notre consentement, eux qui sont le vide, eux qui sont le néant, ils se servent de ce qu'ils ont réussi à faire entrer en nous : ce qui n'a pas de vie, et comme ils rencontrent le vide, là, ils peuvent pénétrer.

Comme il est important de prier pour nos frères et nos sœurs! Comme il est important de prier pour nos enfants! Savez-vous que cela les protège? Savez-vous que ceux qui n'ont pas de vie sont incapables de les habiter? Parce que nos prières les habitent, habitent nos enfants, les grâces sont en nos enfants. Sommes-nous vivants? (R : Oui.) Lorsque nous prions, est-ce que cela entre en nous et est-ce que cela devient une nourriture pour tous les enfants de Dieu? (R : Oui.) Alors nos enfants, qui sont vivants, est-ce qu'ils ont des grâces en eux? Est-ce qu'ils ont cette nourriture? Est-ce qu'ils sont protégés? (R : Oui.) À quel niveau, ils sont protégés?

Maintenant, pensons à la vie. La vie, Dieu nous l'a donnée. Nous avons la liberté, nos enfants ont la liberté comme nous, nous avons la liberté. Ils sont libres de regarder la télévision comme nous, nous sommes libres de regarder la télévision. Dieu ne nous oblige pas. C'est avec notre liberté que nous acceptons de regarder un écran vide, un écran vide de vie. Lorsqu'un démon veut pénétrer notre intérieur qui a en lui du vide, il doit rencontrer quoi? La vie. S'il n'y a pas de prière, il n'y a donc pas d'obstacle; s'il n'y a pas de foi, il n'y a donc pas d'obstacle. Mais priez, là, il y a un obstacle. Il ne peut pas nous habiter, il ne peut pas habiter nos enfants, mais il entre encore son venin et là, il va nourrir la peur. Alors, il faut dire à nos enfants, à ceux qui veulent nous écouter, qu'ils sont vivants, qu'ils n'ont pas à avoir peur de la peur, qu'ils n'ont rien à craindre, car c'est eux la vie et Satan et ses acolytes ont refusé la vie. Battons-nous sur un terrain vivant!

Nous devons témoigner à nos enfants de la présence de Dieu en eux. Ils ont la force en eux, c'est eux qui sont vivants, pas cet écran qui ne porte pas la vie. Éduquons nos enfants! Disons-leur souvent : 'Attention, ce n'est pas vivant! Demande à la Vie de toujours te protéger contre ce qui est néant.' Combien de parents ne veulent pas parler à leurs enfants qu'il y a le mal, parce qu'ils ne veulent pas que leurs enfants aient peur. Racontez-leur des histoires, des toutes petites histoires, mettez-vous au niveau de votre enfant. Vous souvenez-vous, lorsque nous étions tout jeunes, au catéchisme, qu'est-ce qu'ils nous disaient? 'Il y a, à côté de toi, un ange gardien et il y a, de l'autre côté, un  petit démon qui ne veut pas que tu écoutes maman'. Est-ce que cela fait peur? Cela amène une conversation : 'Tu sais, lorsque tu racontes à maman ou à papa un mensonge, cela ne vient pas de ton ange gardien, mais du petit démon, il ne veut pas que tu sois sage, il ne veut pas que tu obéisses à Jésus.' Avons-nous honte de parler ainsi à nos enfants? Il y en a qui, aujourd'hui, parlent à leurs ados du démon, ils leur envoient un gros steak.

Parlez-leur de leur ange gardien au tout début. Parlez-leur que leur ange gardien est semblable à eux : 'Il a comme un caractère, comme toi, mais toujours dans la perfection. Il aime ce que tu aimes, parce que c'est depuis que tu es tout petit bébé qu'il est auprès de toi, et que Dieu qui sait tout l'a déjà choisi pour toi. Lui, il peut te protéger, lui te suit partout, mais lorsque tu fais le mal, il ne peut pas te suivre, mais il y en a un autre qui te suit, c'est le mal. Il est la laideur du péché, il est laid comme le mensonge, il est laid comme l'orgueil, il est laid comme la gourmandise, l'envie, la paresse. Si tu le voyais, si Dieu permettait que tu le voies, tu tomberais sans vie tant que cela est laid. Mais Dieu est si amour, il a mis un ange auprès de toi pour te protéger afin que tu n'aies pas envie de le regarder. Tu es si curieux que tu voudrais voir le mal, tu es si curieux que tu voudrais entendre parler des démons, tu es si curieux que tu ne te méfies pas de la peur. Si tu as cette curiosité en toi, c'est parce que tu as laissé pénétrer de la peur.

'Essaie de penser qu'est-ce qu'il y a en toi de plus précieux : le bien, ton ange – ou le mal, le démon, avec ce qu'il a mis en toi? Un ange gardien a la splendeur de l'Amour. C'est grand, c'est fort! Il est si puissant que rien ne peut l'arrêter. Mets toute l'armée du monde ensemble, un seul souffle de lui, il pourrait tous les faire tomber, car il a le souffle de Dieu. Ton ange gardien est si beau! Rassemble toutes les fleurs sur la terre, les plus belles, et essaie de penser à ce qui pourrait les rendre plus belles encore, tu ne pourrais pas y arriver, alors que ton ange, oui, car il a la beauté de Dieu sur lui. Il est si bon, il est si patient, il est si doux, il est si loyal que jamais il ne te laisse seul. Même lorsque tu l'oublies, même lorsque tu vas vers le mal, il respecte ta liberté, mais il se met à prier pour toi et il te protège malgré toi. Il ne veut pas que tu te fasses mal. Il va jusqu'à se mettre devant toi pour empêcher qu'une auto vienne te frapper. Il n'est pas orgueilleux, il ne vient pas te dire : aïe! c'est grâce à moi si tu n'as pas eu d'accident! Oh non, il est humble, il a l'humilité de Dieu.'

Quel enfant n'aimerait pas entendre parler de son ange gardien. C'est la puissance que Dieu a mise auprès de nous et nos enfants sont ignorants. Il faut parler d'amour à nos enfants pour les protéger contre ces écrans diaboliques, autant la télévision que les ordinateurs, autant les télévisions, les ordinateurs que ces petits appareils qui commencent à vivre pour eux. On capte l'attention de nos enfants, n'est-ce pas? Il faut prévenir nos enfants du danger qu'ils courent de vivre avec des appareils non vivants. Est-ce que vous croyez que la croix que vous avez dans votre cou, c'est vivant? Est-ce que vous croyez que la médaille miraculeuse, c'est vivant? Est-ce que vous croyez que le chapelet, c'est vivant? Eh bien, dites-le à vos enfants. Oui, c'est vivant; oui, ça nous protège; oui, ça guérit, ça libère.

La médaille miraculeuse a fait beaucoup, beaucoup de guérisons. Combien ont reçu des guérisons après avoir prié la Mère de Dieu avec leur chapelet! Voyez-vous que c'est vivant? Pourquoi c'est vivant? Parce que cela nous vient du Ciel. Alors, si nous avons la foi, servons-nous de ce que nous croyons. Nous devons croire en ces objets bénis. Cela est puissant. Si notre enfant a peur parce qu'il a vu quelque chose qu'il ne devait pas voir, parlez-lui du chapelet, parlez-lui de la médaille miraculeuse, parlez-lui de la médaille de saint Benoît, oh oui, parlez-lui de la Sainte Face, parlez-lui de ce que le Dieu tout-puissant nous a donné.

Vous souvenez-vous de ce que Dieu nous a fait dire? "Que toutes les puissances se réunissent pour contrecarrer les puissances de l'enfer." Et que sont toutes les puissances? Tout ce que nous avons reçu de la Divine Volonté : passé, présent, futur. Servons-nous de ce que le Ciel nous donne et faisons connaître cela à nos enfants, à nos ados. Lorsque Nicole et moi, nous avons été dans les réserves indiennes, autochtones, hein, amérindiennes, que de témoignages nous avons eus de la part de jeunes qui ont été aux prises avec des démons! Des personnes ont prié, ont prié, parce que eux savent ce que c'est que des attaques du démon. On a entendu parler d'ombrages qui se faisaient voir et ce sont ces enfants qui nous en ont parlé. Nous avons entendu parler de mots entendus dans leur tête et ce sont eux qui nous en ont parlé, et ces mots n'étaient pas des mots qui venaient de Dieu. Mon Dieu d'amour! Savez-vous combien de temps ils passent, les parents, devant la télévision? Douze heures ne sont pas assez.

Il faut croire en ce que notre Seigneur, notre Maître, nous dit. Dieu ne nous obligera pas à croire en lui, parce qu'il l'aurait fait avant aujourd'hui. Il nous le demande, il ne nous obligera pas à croire en lui. Jésus est venu sur la terre et il a fait des miracles, il a guéri, il a ressuscité, il a montré aux enfants de Dieu qu'il était l'Envoyé du Père. Aujourd'hui, vous avez témoigné de la présence de Dieu en vous levant tous, témoignant que Dieu s'est manifesté à vous. Est-ce que ce n'est pas beau? C'est merveilleux! Nos enfants, ceux qui sont dans le Nouvel Âge, et c'est si nombreux, ils ont besoin de nous. Mais allons-nous les obliger? Dieu ne nous a pas obligés comme il ne les a pas obligés et il ne nous demandera pas d'aller vers eux en les obligeant à croire en lui. Il est venu sur la terre et il a parlé, il a aimé, il a consolé. Eh bien, il nous demande de faire la même chose. N'est-ce pas ce qu'il a fait avec nous? Il ne nous a pas fait peur, il nous a parlé d'amour, il nous a fait ressentir l'amour et il nous a transformés.

Alors, parlons d'amour, soyons patients comme notre Maître est patient. Demandons à l'Esprit Saint de nous donner des paroles pour qu'on puisse dire les mots qu'ils doivent entendre, pas les mots qu'on voudrait leur dire. Soyons toujours devant nos enfants comme nous sommes. Avez-vous peur de vos faiblesses? Vos faiblesses, Dieu les connaît. Dieu, il sait que vous parlez trop. Dieu sait que vous manquez de patience. Dieu sait que vous voudriez trop pour eux et il nous envoie vers eux. Alors, demeurez comme vous êtes en demandant à Maman Marie de bien vous comporter. Si vous voyez que vous avez trop parlé, si vous voyez que vous les avez trop forcés, gardez votre paix, gardez votre joie, votre amour, Dieu saura bien réparer ce qui a été fait à cause de ce que nous sommes devenus avec les années. C'est lui qui se charge de nous transformer et il a commencé à le faire.

Le Seigneur, il dit : «Levez-vous debout pendant qu'elle va continuer. Tenez-vous debout devant qui vous êtes.» Dieu a de la patience envers nous, il nous transforme. Il nous montre tranquillement que, oui, nous avons encore des défauts, mais que, oui, nous nous abandonnons entre ses mains. Ce qui a été hier n'est plus aujourd'hui, alors la parole que nous avons dite trop vite, elle n'est plus aujourd'hui, croyez en cela! Puisqu'à cause des enseignements, nous lui avons dit : 'Je te donne ça, Seigneur', alors, cela n'existe plus. Déjà, aujourd'hui même, je suis transformé.

Acceptez votre transformation, acceptez que Dieu se serve de vous comme nourriture pour votre enfant, pour votre sœur, pour votre frère. C'est lui qui se sert de nous; nous, ce que nous avons, c'est un oui. Nous sommes nourriture. C'est lui qui va faire en sorte que notre enfant, notre sœur, notre frère vont à nouveau revenir vers nous. Mais si nous gardons en nous ce que nous avons dit à notre enfant, notre frère et notre sœur, nous serons ce que nous avons dit. Ce que nous ne donnons pas à Dieu demeure. Si nous avons dit un jugement, nous serons encore pour notre enfant, notre frère ou notre sœur un jugement envers eux et ils le ressentiront. Soyez l'Évangile, l'Évangile est vivant. Soyez la Parole, vivez dans la Parole, vous êtes morts en la Parole! La Parole a pris qui vous êtes et la Parole vous fait naître toujours à nouveau à chaque fraction de fraction et de fraction et de fraction de seconde, et déjà c'est trop long.

Ayez foi en ce que vous êtes! La foi est de Dieu, elle n'est pas de nous, elle est de Dieu. C'est Dieu qui met en nous la foi. «Ayez confiance en Dieu, en mon Père», n'est-ce pas les paroles de Jésus? Alors, ce qui est aujourd'hui est en Dieu, ce qui est hier ne nous appartient plus. N'ayez pas peur. La peur n'est pas pour nous. Donnez à Dieu ce qui est à Dieu. Ayez confiance. Dieu sait, lui, qui nous sommes. Dieu connaît nos enfants, Dieu connaît nos frères, Dieu connaît nos sœurs. Chaque événement arrivera à leur montrer qu'ils sont enfants de Dieu.

Allez voir dans les prisons, il y a des hommes de foi, des femmes de foi. À travers leurs larmes, vous y rencontrerez du regret : 'Ah! Si je pouvais être à nouveau libre, je ne recommencerais pas!' Mais à cause de nous, lorsqu'ils sortent, ils sont attaqués; à cause de nous ils rentrent à nouveau en prison. Qui a été parmi le monde, eux ou nous, pendant cinq, dix, quinze, vingt ans? C'est nous. Qui les a nourris? C'est nous. Alors, voyez-vous, on se croit innocents : nous ne sommes pas innocents. Dieu nous aime tellement. Il ne veut pas qu'on porte les péchés, il veut qu'on porte les pécheurs. Il veut que l'on apprenne à aimer, il veut qu'on apprenne à se donner de l'amour et qu'on apprenne aux autres qu'il est possible, oui, qu'il est vrai qu'il est vivant de s'aimer; oui, il est vrai que nous sommes dans une vallée de larmes; oui, il est vrai qu'il y a de la souffrance. Allons-nous avoir peur de la souffrance ou aimer la souffrance? Lorsqu'on apprend à aimer la souffrance, la souffrance, elle devient amour : on n'accuse plus personne. – Vous pouvez vous rasseoir si vous le voulez. La souffrance, lorsqu'elle est acceptée, devient une souffrance rédemptrice pour soi-même.

Un jour, un tout petit garçon s'est vu grand. Il a constaté que toute sa vie avait été de travailler pour ceux qu'il aimait, qu'à travers ses journées, il avait connu la colère, qu'à travers ses nuits, il avait dit : 'Pardon, mon Dieu, je n'ai pas été capable de me retenir.' Il avait appris à être ce qu'il était : un homme qui avait accepté de fonder un foyer. Toutes ces années avaient été des années de privation. Ce qu'il avait pu donner à sa famille, c'était des joies autour d'une table. Sa souffrance, il l'avait en lui. Comme il aurait aimé donner de la facilité à sa famille! Mais il a accepté, il a accepté, avec les années, ce qu'il n'avait pu donner. Son cœur était rempli d'encouragements pour les autres : quelqu'un avait besoin d'aide, il s'offrait; quelqu'un avait besoin d'une attention, il était là, prêt à écouter. Son sourire remplissait souvent la maisonnée. Et, ainsi de suite, ses jours ont avancé.

La maladie est venue et s'est fait connaître. Il a donné sa confiance en la médecine et la médecine n'a pas vu ses erreurs qu'elle avait données à cet homme : un pied amputé; un moment où le cœur avait cessé à cause d'une mauvaise anesthésie; un cancer non aperçu, négligé, non pas par cet homme, mais par des papiers qui disaient : cela n'est pas le cancer, cela va se résorber; quelques années plus tard, une jambe ouverte et une bactérie qui pénètre par négligence de soins. Et pas un mot, pas de révolte, toujours présent, prêt à prendre ce qu'on lui présente. Et là, tranquillement, on lui annonce qu'il lui reste quelques jours à vivre, et pas un reproche vers la médecine, parce que cela est humain, disait-il. Et il a demandé qu'on aide ses frères et ses sœurs.

Cet homme, tout petit enfant de Dieu, avait appris à travers ses misères l'amour. Il avait appris à se donner et à accepter la souffrance. La souffrance était devenue pour lui quelque chose qui le faisait avancer vers le vrai amour, pas vers la tricherie, alors qu'il avait aussi connu la tricherie. Il avait accepté dans sa vie ce qui n'était pas de Dieu. Dieu connaissait son cœur. Dieu l'amenait à se donner par amour pour son prochain avec ce qu'il était. Dieu seul pouvait prendre ses défauts et les transformer en grâces, car Dieu avait suivi ses pas, malgré que ses pas n'avaient pas été toujours sur le chemin de Dieu. Dieu n'ignorait rien de lui. Dieu l'aimait inconditionnellement. Quand vint le moment où il devait se présenter, Dieu lui dit : «Mon enfant, comme je t'ai attendu!» Et il comprit que les derniers moments de sa vie avaient enveloppé tous les autres moments. C'est comme si Dieu ne se rappelait plus des mauvais moments, mais que des beaux moments.

Dieu était dans la joie, car son enfant acceptait une souffrance de réparation, une souffrance d'amour. 'Aujourd'hui, je sais, je sais qu'il faut aimer inconditionnellement mes frères et mes sœurs. Aujourd'hui, je sais que le plus grand amour pour ma famille était de parler de Dieu. Aujourd'hui, je sais que l'Eucharistie est une nourriture que tous nous avions besoin. Aujourd'hui, je sais que le sacrement de la Réconciliation est un sacrement qui nous apporte consolation où on peut se voir tels que nous sommes. Aujourd'hui, je sais qu'il faut que je fasse ce temps, ce temps de purification, par amour pour mes frères et pour mes sœurs du monde entier. Je répare donc avec amour tout ce que j'ai pu faire contre mes frères et contre mes sœurs : ce manque d'amour, ce manque de nourriture. Je veux montrer à mon Père, à mon Papa, combien je l'aime. Je veux lui dire que tous mes frères et mes sœurs sont des trésors qui viennent de son Cœur."

Oui, cet enfant apprenait que toute sa vie devait être dorénavant, pour l'éternité, de l'amour pour Dieu le Père, Dieu le Fils, Dieu le Saint-Esprit, de l'amour pour sa Maman du Ciel, pour tous ceux qui étaient au Ciel, tous ceux qui étaient au purgatoire et tous ceux qui étaient sur la terre. Car sa grande joie, à travers ses souffrances, était de nous aider à comprendre l'Évangile, qu'il n'y a pas de plus grand amour que de donner sa vie pour ceux qu'on aime, qu'au moment du jugement on connaîtra la valeur de notre oui.

Chacun de nous, nous avons à apprendre de nos frères et de nos sœurs. Oui, nous, nous prions, la grâce nous est accordée, mais ceux qui sont à l'extérieur de ces murs et qui sont dans le Nouvel Âge, qui sont athées, qui sont dans le matériel avec beaucoup d'égoïsme, qui sont dans la colère, dans les guerres, sont tous regardés par Dieu, qu'ils sont tous choisis pour aller vers Dieu et que nous devons tous, nous, savoir que pour Dieu, tous, nous sommes à lui. Qui sommes-nous pour dire que les autres ne seront pas sauvés? Qui sommes-nous pour dire qu'il y a des difficultés qu'eux ne seront pas capables de passer? Lui, notre seul Dieu qui connaît tout, qui sait tout, lui seul le sait. Nous devons avoir une confiance sans égale pour notre Dieu d'amour qui mérite tout de notre part. Nous n'avons qu'un seul Dieu et c'est à lui que nous appartenons. Est-ce que c'est important nos souffrances? Si elles sont accompagnées de grâces, là, elles deviennent importantes. Nous devons nous donner continuellement à notre Dieu.

Alors, nous allons faire un chant et nous allons avoir une petite période de questions et de réponses. Est-ce que ça vous va?

♪♪♪      Oh! Père, je suis ton enfant

            J'ai mille preuves que tu m'aimes

            Je veux te louer par mon chant

            Le chant de joie de mon baptême.