Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Plantagenet, Ontario,

par son instrument, la Fille du Oui à Jésus.

 

2005-02-25

 

Jésus : Enfants d’amour, Dieu est avec vous; chacun de vous, (vous) avez été appelés, chacun de vous, (vous) avez été à l’écoute de votre Dieu; entrez en vous, c’est là que vous allez comprendre l’Évangile, c’est là que vous allez saisir votre place.

Soyez attentifs à votre intérieur; Dieu vous demande de ne point sortir de vous; là où je vous emmène, peu d’enfants y ont accès.

C’est votre Dieu qui vous emmène à l’intérieur de vous, par vous-mêmes vous ne pouvez pas; il n’y a que Dieu qui puisse faire de vous des êtres d’abandon, des êtres qui avez appris à prononcer votre oui.

À l’intérieur de vous, mes enfants, il y a la Vie, il y a votre vie en la Vie.

Vous avez fait des pas avec Dieu; je vous ai conduits là où vous vouliez aller, mais pour savoir si vous vouliez être là, il a fallu que je vous montre qui vous étiez, il a fallu que je vous parle de vous, que je mette devant vous votre vie extérieure.

Depuis plusieurs années, mes enfants, je parle afin que les enfants de mon Père puissent se reconnaître tels qu’ils sont.

Je vous ai demandé, mes enfants, de ne plus écouter votre extérieur; je vous ai parlé de votre monde, monde dans lequel vous vivez : un monde sans foi, un monde qui ne vit que pour lui-même, un monde qui a perdu le sens de la vie en Dieu : ce monde n’a plus été capable d’avancer.

Vint un temps où les hommes et les femmes avançaient : ils avançaient avec le chapelet dans la main, ils avançaient en ayant la tête haute, en n’ayant pas de honte de parler de Dieu.

Il y a eu un temps où les hommes et les femmes se regardaient dans les yeux; ils savaient qu’ils avaient de la difficulté à s’endurer, mais ils se regardaient parce qu’ils avaient la foi, ils savaient que Dieu les regardait, alors ces hommes et ces femmes faisaient des efforts, ils voulaient être loyal l’un envers l’autre; ils ont dû faire beaucoup d’efforts, mais beaucoup y sont parvenus.

Il y eut un temps où les hommes et les femmes savaient reconnaître son prochain, ils se penchaient vers celui qui pleurait; ils allaient aider celui qui était dans l’impossibilité d’accomplir ce qu’il avait à faire, alors ils allaient lui donner un coup de main.

Chaque homme et chaque femme donnaient d’eux-mêmes pour pouvoir prouver qu’ils étaient des enfants de Dieu à eux-mêmes, mais ils le faisaient.

Il y eut un temps où l’homme et la femme se demandaient ce qui était pour plaire à leurs enfants devant Dieu; ils leur apprenaient à prier, ils les emmenaient à l’Église, ils leur faisaient comprendre qu’ils devaient bien se conduire; ils les éduquaient devant la face de Dieu, car ils savaient que Dieu les voulait ainsi; c’était votre monde, votre monde extérieur qui (avait) appris à se conduire comme il le fallait devant Dieu.

Vous, mes enfants, qui vivez dans votre monde moderne, vous, mes enfants, qui regardez autour de vous ce monde sans foi : vous voyez des hommes et des femmes qui ne parlent plus de Dieu, qui ne veulent plus rien savoir des Commandements de Dieu et encore moins de l’Église; vous voyez des hommes et des femmes qui vivent ensemble sans le sacrement du Mariage, pour eux ça leur importe guère, car si cela ne leur convient plus, ils quittent l’autre pour en prendre un autre.

Aujourd’hui, vous voyez des parents qui n’ont pas à se préoccuper de la vie de leurs enfants durant la journée, à savoir s’ils se comportent bien devant Dieu afin qu’ils puissent devenir : un bon chrétien; cela est dépassé, on ne pense plus à cela aujourd’hui puisque Dieu n’est plus dans la conversation, puisqu’on ne met plus Dieu dans la famille.

Vous voyez ce monde qui est malade, vous voyez ce monde qui est violent, vous voyez ce monde qui ne se préoccupe plus du prochain, car le prochain, c’est lui, avec lui, pour lui : ce monde est axé vers le moi.

Oh! enfants d’amour, depuis que vous vous êtes donnés à Dieu en sachant ce qui se passe autour de vous, vous avez appris à donner des oui, vous avez appris à vous abandonner; je veux que vous appreniez maintenant à aller encore plus loin, plus profondément en vous, là où Dieu va vous montrer l’abandon total, le renoncement à votre volonté humaine; je veux vous faire comprendre que le premier moment où vous avez saisi le oui, tout votre intérieur se préparait à vivre dans l’amour de Dieu, à vivre dans l’amour du prochain; à l’intérieur de vous le mouvement de l’amour se faisait : un nettoyage, un nettoyage de votre vie.

Lorsque vous entrez chez vous et que vous voyez votre maison en désordre, avant que vous puissiez commencer vous avez déjà formé un plan; vous savez par où commencer, vous mettez dans un coin ce qui devra être fait en dernier.

Vous voyez qu’il y a quelque chose à faire pour mettre de l’ordre, afin que vous puissiez atteindre des morceaux qui traînent depuis très longtemps et qui n’ont pu être atteints à cause que vous aviez des obstacles devant vous : tout cela, vous l’avez calculé.

Avec de la patience, beaucoup de patience, vous vous êtes mis à l’oeuvre, vous avez avancé; il est vrai que parfois il a fallu que vous arrêtiez, fatigués de votre journée; vous étiez crevés, mes enfants, vous avez regardé tout cela et, par moment, vous vous êtes dit : “Ah! qu’est-ce que je vais faire avec tout ça? Comment est-ce que j’ai pu mettre tout ça à l’envers? J’ai tellement de stock de sorti, où est-ce que je vais les ranger? J’ai l’impression de ne plus avoir de place.”

Alors, vous dites : “Bon, ça y est, il faut que je me lève, assez de rêvasser, il faut que je commence, si je ne vais pas de l’avant il y a personne qui va m’aider”; alors, vous repartez de bon train et vous continuez.

Oh! vous vous arrêtez, vous dites : “Ah! si je mettais un peu de musique ça irait mieux”; alors vous vous mettez de la musique, voyez-vous, cela donne de l’entrain.

Un petit peu par ci, un petit peu par là, vous commencez à ranger : vous voyez qu’un tiroir est trop plein, vous le refermez, vous en regardez un autre : “Oh! il reste de la place”, alors vous mettez à l’intérieur ce qui était à l’extérieur, et à la fin de la journée vous êtes rendus aux gros morceaux; vous regardez en arrière, et vous vous êtes aperçus qu’il en restait : vous aviez oublié un morceau en dessous d’un meuble, vous aviez oublié un autre morceau qui était en arrière d’une porte.

Enfants d’amour, je suis en train de décrire votre vie, je suis en train de dire ce que vous avez fait dans votre maison, c’est ce que vous avez fait à l’intérieur de vous; durant votre vie, mes enfants, vous avez laissé des choses traîner, vous avez oublié de ranger : vous avez oublié de mettre de l’ordre dans votre vie.

Il vient un temps (où), lorsque vous regardez en arrière votre vie, parfois vous êtes découragés; vous pensez à tout ce que vous avez fait depuis votre enfance, vous vous dites : “Oh! je me souviens lorsque j’étais obligé d’aller faire telle commission, il fallait que je passe à travers d’un terrain qui appartenait au voisin et là, je me demandais tout le temps si quelqu’un regardait par la fenêtre, et lorsque j’étais de l’autre côté, il fallait repasser pour retourner à la maison”; cela, ce sont vos pensées à vous; vous avez gardé ce mouvement à l’intérieur de vous et vous en avez un autre aussi; vous pensez au moment où vous avez rencontré un jeune homme; vous avez dû le présenter à votre père en sachant que votre père était pour être en désaccord parce que lui prenait de la boisson, mais vous y teniez tant à ce monsieur, c’est lui que vous vouliez, et aujourd’hui vous repensez à tout cela, vous vous dites : “Si j’aurais écouté mon père, je ne serais pas mariée avec un alcoolique aujourd’hui.”

Et vous avez d’autres pensées, mes enfants : vous vous rappelez la fois que vous étiez malade et que vous avez dû quitter votre emploi parce que votre patron n’a pas accepté votre congé de maladie; aujourd’hui, vous ruminez cela dans votre chaise de cuisine en pensant à ce que vous avez quitté comme poste; vous regardez ce que vous avez et vous dites : “J’ai manqué ma chance, j’aurais été bien dans ce poste, j’aurais un meilleur salaire”; toutes ces pensées sont en vous, et il y en a tant, mes enfants!

Tout cela, c’est un ménage qu’il faut que vous appreniez à faire : il faut que vous puissiez mettre de l’ordre dans votre vie.

Mais comment mettre de l’ordre dans votre vie en sachant ce que vous êtes devenus aujourd’hui, en sachant que tout ce que vous avez fait vous a conduits là où vous êtes, en sachant que Dieu vous demande de renoncer à tout ce que vous avez été : à votre volonté humaine?

“Pourquoi est-ce que je renoncerais à ma volonté humaine en sachant que Dieu me demande de lui donner tout ce qui est en ma vie? Puisque je lui donne ma volonté humaine, pourquoi faut-il que je lui donne toutes mes pensées passées, actions, émotions?” Mes enfants d’amour, à l’intérieur de vous il y a des blessures, à l’intérieur de vous il y a une chair qui est meurtrie, à l’intérieur de vous cette chair a été meurtrie par tout ce que vous avez fait.

Écoutez la voix de votre Dieu : «Un jour, un enfant se promenait, il se demandait si l’endroit où il était pour aller serait l’endroit de ses rêves; il se demandait si l’endroit lui apporterait le bonheur, s’il trouverait la personne qui pourrait devenir l’être aimé; il se demandait s’il pourrait devenir un être complet avec lui-même en ayant beaucoup d’argent, une belle maison, en ayant une belle position.

Alors, il se mit à avancer, et plus il avançait dans sa vie et plus sa vie lui démontrait que ce n’était pas facile; à chaque pas qu’il faisait, il devait faire des efforts, parce qu’une journée arrivait et il était fatigué, une autre journée arrivait et il trouvait sur son chemin des personnes qui lui parlaient en mal de lui-même : on le jugeait, on démontrait qu’il n‘était pas à la hauteur de ce que les autres attendaient de lui.

Alors il a avancé, il a commencé à courber ses épaules, il a rencontré d’autres personnes qui lui ont fait du mal; on lui a enlevé des biens matériels en trichant; il a vu tout cela, mais comme il ne voulait pas se battre, il a continué son chemin, mais ses épaules ont courbé; il a avancé encore et là, il a rencontré d’autres personnes qui étaient jalouses de lui et cela lui faisait de la peine parce qu’il ne comprenait pas pourquoi ces personnes étaient jalouses de lui alors que lui ne possédait rien, alors il a avancé et toujours en courbant les épaules.

Il a avancé, il a vu des personnes qui lui ont dit : “Pourquoi es-tu si triste? Pourquoi as-tu les épaules courbées? Ne sais-tu pas que la vie est celle que toi tu veux, alors suis-nous, et tu verras que la vie peut être ce que toi tu choisis?”

Alors, ne sachant quoi faire, il a suivi ces personnes et ces personnes lui ont parlé, ils (elles) lui ont montré comment agir, comment penser, ils (elles) lui ont montré comment sourire, ils (elles) lui ont montré comment parler, ils (elles) lui ont montré comment se tenir : il est devenu quelqu’un; il a avancé avec ce qu’il était devenu : il marchait droit, la tête bien en avant, il est devenu fier; il ne se demandait plus ce qu’il était pour devenir, il ne pensait même plus à l’endroit où il devait se rendre, car ce qu’il avait découvert le satisfaisait.

Alors, il a avancé et là, il a vu un enfant, un tout petit enfant qui est venu vers lui, et lui ne comprenait pas ce que l’enfant voulait; il s’est penché, et l’enfant l’a regardé, il lui a souri, et lui s’est demandé : “Pourquoi me sourit-il? Pourquoi est-ce que cet enfant me regarde ainsi? Pourquoi cet enfant s’intéresserait-il à moi?”

Alors, il a avancé avec cet enfant qui le suivait, qui le suivait partout; alors, un jour, il lui demande : “Pourquoi me suis-tu?” L’enfant lui sourit et ne dit point de mots; alors ils ont avancé ensemble et un jour, alors qu’il était à la fin de son voyage, il s’est tourné vers l’enfant et il lui a dit : “Maintenant, je sais qui tu es, tu es moi, tu représentes ce que j’ai toujours voulu être : un enfant devant Dieu, un enfant qui sait sourire à Dieu, un enfant qui fait confiance en Dieu, un enfant qui s’abandonne entre ses mains.”

Dieu a permis que je voie, que je voie l’être que je suis à l’intérieur de moi : un enfant qui a avancé dans le silence.»

Enfants d’amour, vous avez avancé dans votre vie dans le silence, vous avez avancé dans la vie en ne sachant pas qui vous étiez; je vous ai fait voir, depuis 2001, mes enfants, votre intérieur : le petit être que vous êtes; vous êtes cet enfant : à l’intérieur de vous, vous êtes prêts à accueillir tout ce que Dieu veut vous donner : de la joie, de l’amour, de la paix, mes enfants.

Depuis que je suis en votre présence de voix, j’ai parlé d’amour, je vous ai enveloppés de mon amour, j’ai déposé sur vous un manteau d’amour, afin que vous puissiez vous reconnaître tels que vous êtes : un enfant d’amour; cela a été lourd sur vos épaules.

Vous avez avancé en ne sachant pas ce que Dieu attendait de vous, mais vous avez avancé; vous avez découvert que l’être que vous étiez avait des défauts mais que ces défauts-là, mes enfants, étaient en vous.

Les défauts que vous avez vus à l’extérieur, chez votre prochain, étaient en vous; lorsque vous avez rencontré dans votre vie des enfants qui étaient colériques, qui étaient jaloux, menteurs, qui étaient avares, froids, paresseux, tout cela était en vous, mes enfants, parce qu’à l’intérieur de vous vivent des pensées, vivent des actions et vivent des émotions : c’est tout ce que vous avez vu, c’est tout ce que vous avez entendu qui vous habite.

Je vous fais comprendre, mes enfants, que vous avez avancé dans votre vie avec tout ce que vous avez vu et entendu : cela vous a habités, cela a été comme un compagnon de vie dans votre vie.

Voir ce qu’il y a à l’intérieur de vous, c’est prendre conscience qu’à l’intérieur de vous, il y a des mouvements, et lorsque vous prenez conscience qu’il y a des mouvements à l’intérieur de vous, vous commencez à avoir moins peur, vous commencez à voir et à entendre ce qui se passe à l’intérieur de vous : vous découvrez la vie en vous; oui, mes enfants, à l’intérieur de vous il y a la vie.

Vous savez, vous, que vous êtes vivants, vous savez qu’à l’intérieur de vous est la vie, mais saviez-vous ce qu’il y avait en la vie, à l’intérieur de vous? Saviez-vous, tous ces mouvements qui vous habitaient, ils faisaient partie de votre vie, et tout cela vous le traîniez à chaque jour? Voilà pourquoi vos épaules étaient si lourdes, mes enfants.

Lorsqu’on porte un poids et qu’on ne connaît pas son contenu, cela est plus difficile, mais lorsque (vous) commencez à découvrir ce qui est en vous, vous devenez plus forts, plus confiants; alors c’est comme si votre extérieur prenait de la force pour supporter ce qu’il y a à l’intérieur de vous.

Dieu vous couvre de son manteau d’amour, voilà votre force : l’amour de Dieu; cela vous ne pouvez pas par vous-mêmes puisque vous n’êtes pas Dieu, vous êtes enfants d’amour, mais c’est Dieu l’amour, c’est Dieu qui vous donne l’amour pour que vous soyez enfants d’amour.

Je veux vous démontrer qu’avec la force de Dieu vous allez pouvoir faire du nettoyage à l’intérieur de vous avec ce que vous êtes devenus par mes grâces, car vous allez voir, mes enfants, qu’à l’intérieur de vous il va y avoir un gros ménage à faire.

Certains d’entre vous ont commencé à voir, à voir qu’il y avait des paroles étrangères, des paroles qui ne vous appartenaient pas; il y en a aussi qui ont commencé à faire du ménage en voulant trier les paroles qui leur appartenaient : paroles d’amour, paroles de haine, paroles de rancoeur, de colère, d’hypocrisie, de gêne, paroles de douceur, d’encouragement; voyez-vous, tout cela vous appartient.

Dieu va vous montrer tout ce que vous devez donner à Dieu et tout ce que vous devez aussi garder, car Dieu vous a nourris de paroles d’amour; Dieu vous a donné aussi des paroles d’encouragement qui font plaisir et ces paroles, c’est Dieu qui vous les a fait connaître afin que vous puissiez grandir en enfants d’amour.

Voyez-vous, mes enfants, je veux que vous puissiez enlever la mauvaise herbe; voici le temps où vous devez aller nettoyer à l’intérieur de vous l’ivraie, ce que Satan a semé en vous lorsque vous étiez dans l’ignorance, lorsque vous étiez endormis.

Enfants d’amour, à chaque fois que vous consentez à me donner ce qui n’est pas amour, la mauvaise herbe commence à sortir de vous, car Dieu vous prépare à vous présenter devant lui.

C’est le temps de la moisson, mes enfants; c’est à l’intérieur de vous que cela se passe; je ne cesse, mes enfants, de vous expliquer ce qui va se passer pour chacun d’entre vous, là, au présent.

À l’intérieur de vous, il y a des mouvements qui se font; ce n’est pas vous qui les faites par vous-mêmes, c’est Dieu; lorsque je vous montre des paroles qui sortent de votre intérieur, qui se font entendre en vous, c’est pour que vous puissiez me les donner; lorsque cela se fait entendre, gardez votre paix et donnez cela à Dieu : ce n’est qu’un début, mes enfants.

Je vais vous faire découvrir ce qu’il y a de caché en vous; je vais faire sortir de l’intérieur de vous, du plus profond de vous-mêmes, ce que vous, vous avez entendu et qui vous a fait peur, qui vous a fait mal; il faut que cela soit, il faut que vous puissiez toujours être ce petit enfant qui sourit et qui a confiance.

Dieu sait ce qui est bon pour vous, Dieu sait ce que demain sera, alors faites confiance en Dieu.

Je vous ai montré que Dieu était puissant; beaucoup d’entre vous avez vu mon agir, beaucoup d’entre vous avez entendu ma présence, beaucoup d’entre vous avez été témoins de l’agir de Dieu afin que vous puissiez vous abandonner, vivre ces moments d’amour.

La Purification, mes enfants, c’est un moment d’amour, c’est un moment attendu de votre Dieu pour vous; vous avez été préparés pour vivre ces instants de purification.

Avancez, n’ayez crainte, mes enfants, vous êtes sur le chemin de l’amour, celui qui vous conduit à la Terre Promise; vous avancez dans le silence, dans la paix, dans la joie avec vos frères et vos soeurs.

Mes enfants d’amour, vous allez découvrir d’autres mouvements : ceux-ci étaient pour le présent.

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : L’agir de Dieu est comme un mouvement d’amour : on ne peut pas le saisir, c’est comme si on (essayait) de retenir l’eau entre nos doigts, cela est impossible; l’agir de Dieu, c’est quelque chose qui nous fait avancer, c’est quelque chose qui nous fait connaître ce qui nous appartient; l’agir de Dieu, c’est pour chacun de nous; nous sommes l’agir de Dieu, nous sommes mouvements de l’Amour, nous sommes en Dieu, Dieu est l’Amour; l’amour, c’est si bon l’amour! C’est chacun de nous, l’amour.

Comment décrire l’amour? C’est seulement qu’à se regarder; pas soi-même, c’est se regarder les uns et les autres; c’est comme si on découvrait le mouvement de Dieu en l’autre; c’est découvrir que Dieu a fait quelque chose pour chacun de nous, en chacun de nous.

Comment découvrir ce mouvement? C’est que chaque personne nous apporte l’amour de Dieu, chaque personne nous fait découvrir la présence de Dieu parmi nous; chaque enfant de Dieu est Dieu : il n’est pas Dieu, il est en son Tout.

Dieu est la profondeur de tout ce qui est, Dieu est l’infini de tout ce que nous ne connaissons pas, Dieu est le mouvement de tout ce qui est, était et sera dans le visible et dans l’invisible; Dieu, c’est dans tout ce que nous respirons, dans tout ce que nous voyons, dans tout ce que nous entendons.

Alors, lorsqu’on regarde notre prochain : nous voyons; lorsqu’on écoute notre prochain : nous entendons; lorsqu’on est avec notre prochain : nous comprenons, parce que le prochain est en Dieu; il ne peut pas être en dehors de Dieu, car à l’intérieur il y a Dieu et comme Dieu est le Tout-Puissant, est l’Infini, est le Tout, il sort; mais à cause de notre volonté humaine, à cause de ce que nous sommes devenus, on était aveugles, on était sourds, on était ignorants, nous avions l’intelligence mais nous étions ignorants; à cause du péché, nous avons été comme incapables de saisir l’amour de Dieu, incapables de voir l’amour de Dieu.

L’amour de Dieu, c’est chacun de nous, nous (ne) sommes complets qu’avec les autres, Dieu est en chacun de nous.

Nous avons eu peur de dire que nous étions ce que Dieu voulait qu’on soit : des enfants de Dieu; pourquoi je dis qu’on a eu peur? Lorsqu’on regard(ait) notre prochain et qu’on ressent(ait) de l’adversité, de la jalousie, de la froideur, de l’indifférence, tout cela nous habitait, tout cela faisait partie de ce que nous (étions), alors tout ce que nous (étions) à l’intérieur de nous, on le voyait à l’extérieur de nous, mais comme on ne voulait pas se regarder comme étant ainsi, on accusait les autres; nous, on était corrects, on n’avait pas de défaut, du moins on savait qu’on avait des défauts, mais les autres en avaient des bien plus gros que nous autres; c’était la peur qui nous habitait, on était envahis de cette peur, elle nous enveloppait.

Comment nous qui sommes enfants de Dieu, comment nous qui sommes sortis de Dieu, avons-nous eu ces pensées vers les autres? C’est parce qu’à l’intérieur de nous le mal nous faisait peur; à l’intérieur de nous le mal avait tellement pris d’ampleur qu’il montrait ce que nous étions à l’intérieur de nous à l’extérieur; on voyait ce qu’on était à l’extérieur de nous : la vie, la vie sans Dieu, sans amour.

Lorsqu’on vit sans amour, on a peur; alors pour ne pas avoir peur, on a projeté ça sur les autres et on s’est protégés nous-mêmes, en s’entourant : en s’entourant de qualités; on était capable, on était franc, on était loyal, on était fort, on était intelligent; c’est comme une enveloppe qu’on s’était mise pour pouvoir s’endurer, pour pouvoir se regarder, pour pouvoir avancer, pour pouvoir accomplir.

Comment on aurait pu sans cela? Il fallait qu’on s’enveloppe d’une carapace pour pouvoir vivre avec les autres : c’est notre volonté humaine; cette volonté humaine a fait notre vie, c’est comme ça qu’on a pu fonctionner dans notre vie.

Alors, lorsqu’on regarde ce que nous sommes devenus, lorsqu’on regarde le résultat de notre intérieur, eh bien, on se demande : “Seigneur, comment se fait-il qu’aujourd’hui je me retrouve, moi, parmi les autres? Comment se fait-il que j’arrive à m’endurer, à m’aimer? Comment se fait-il que tu me fais découvrir mes imperfections? Tu dis m’aimer, tu dis que je suis fait d’amour et pourtant je découvre que des défauts, à cause de ma volonté humaine.

Seigneur, j’ai l’impression de crier, j’ai l’impression de vouloir sortir quelque chose de l’intérieur de moi, et en même temps j’ai l’impression que je m’écarte. Tu m’emmènes où tu veux, mais en même temps je sais pas où je m’en vais; j’ai pas confiance en moi; j’ai confiance en toi, mais pas en moi. Qu’est-ce que tu veux faire de moi? Oh! Seigneur, c’est ça la purification? Toutes ces questions, Seigneur, c’est chacun de nous, ça!”

Voyez-vous, quand on est laissé à nous-mêmes, on est tout mélangé; quand on est laissé à nous-mêmes, on veut avancer mais, croyez-moi, on est bien plus porté à reculer; on ne se comprend plus, on se demande si c’est vraiment ce que Dieu attend de nous. 

Dieu va nous faire vivre cela; il y a des moments où ça va être très clair devant nous; la purification va nous sembler ‘high’ : "Je suis entré dans ma purification, ça va bien”.

Houp! une heure après, ça va moins bien : "J’ai des doutes. Est-ce que c’est vraiment ça la purification? Ah! je suis convaincu que je suis sur le bon chemin là. J’ai trop vu de belles choses; je peux pas oublier qu’il y en a une qui m’a dit qu’elle avait vu la Sainte Vierge. Je peux pas oublier non plus qu’il y en a une autre qui a dit qu’elle a senti les roses”; tout ça, ça a entré en nous, on ne peut pas oublier ça : "Je peux plus revenir en arrière, mais des fois ça me tente; pourquoi ça me tente de revenir en arrière des fois? C’est parce que j’ai l’impression de ne pas avoir le courage d’aller en avant, alors je vais continuer."

Houp! une heure après c’est parti : "J’avance, je suis un petit peu plus sûr de moi, je suis convaincu que c’est ma purification.”

Le lendemain, on se lève après avoir fait des rêves : “J’ai vu des choses; j’ai pas compris ce que j’ai vu, mais j’ai vu des choses; puis ça, c’était pas comme d’habitude”; alors, je me lève en laissant ça de côté, et je fais ma journée.

Mais lorsque je fais ma journée, je réalise que ce n’est pas toujours évident : "Encore une journée comme hier : je monte, puis je descends; mais aujourd’hui je sais pas, il me semble que ça va aller mieux".

Voyez-vous, c’est ce que nous sommes en train de vivre; nous allons avoir des hauts et des bas; il y a des moments, ça va nous paraître plus clair; d’autres moments, ça va nous paraître moins clair; on va beaucoup se poser des questions, on va avoir à donner beaucoup de oui, ça (ne) sera pas toujours comme on croit.

Oui, nous avons eu des odeurs de rose; oui, nous avons eu des visions; on a vu la Vierge Marie; on a senti l’encens, la présence de Jésus; oui, on a eu les mains qui ont suinté; d’autres ont vu des images qui ont suinté; mais cela c’était hier, ou avant hier, ou un mois, ou un an, ou deux ans : " Et aujourd’hui, je n’ai plus rien de tout ça, mais j’y crois; j’y crois parce que j’ai plus de paix qu’avant, je m’en fais moins. Oh! c’est vrai, quand je suis en présence de ma fille qui vient de perdre son emploi, houp! j’ai un petit découragement; mais quand je me retrouve devant toi, Jésus, devant toi, Marie, ma paix revient; je la vis, c’est différent.” 

Jésus : C’est ce que vous allez vivre; vous allez vivre cela et vous allez continuer, vous allez continuer parce que vous ne pouvez plus retourner en arrière.

Le manteau que Dieu vous a mis sur vos épaules, c’est le manteau de l’Amour; vous avez tous reçu le manteau de l’Amour.

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Lorsqu’on goûte aux grâces, on ne peut plus s’en passer, même si on est découragé, fatigué, même si parfois : "J’ai été guéri à une épaule, et maintenant c’est le genou qui me fait mal"; vous allez continuer parce que vous savez au plus profond de vous que Dieu est capable encore de vous guérir; s’il l’a fait pour votre épaule, il est capable de le faire pour votre genou.

Mais, aujourd’hui, il va y avoir des choses qui vont vous apparaître différemment; c’est que la douleur au genou a perdu de son importance; vous avez mal, oui, mais c’est moins douloureux qu’avant parce que vous offrez cela pour votre purification ou pour une purification pour une autre personne que vous aimez beaucoup : vous découvrez le don de soi.

Et ça se fait tranquillement, pas par nous autres, cela ne dépend pas de nous, mais des grâces de Dieu, des grâces de Marie; Marie nous enveloppe de son manteau d’amour, Marie nous fait découvrir l’abandon en son Fils, l’obéissance à Dieu en tout, et comme on apprend à obéir en tout, ça devient de plus en plus facile.

On découvre qu’on est capable de pardonner; avant c’était difficile de pardonner à ceux qui parlaient contre nous, aujourd’hui c’est facile parce qu’on découvre qu’ils sont blessés puisque Jésus nous a montré qu’à l’intérieur de nous on avait des blessures; maintenant on sait que notre prochain a des blessures et lorsqu’il me dit des bêtises, eh bien, c’est lui-même qui sort ce qu’il a à l’intérieur de lui et qui le projette à l’extérieur.

On apprend à donner, on apprend tellement à donner que c’est devenu une parole qui sort de nous automatiquement; donner devient pour nous comme un bonjour, un sourire, ça sort sans qu’on s’en rende compte parce que Dieu nous a éduqués, il nous a envoyés à la bonne école, à l’école de l’Amour.

C’est ce que nous sommes, nous, devenus : nous sommes devenus des êtres d’amour; nous avons été à la bonne école depuis quelques années.

Dieu a préparé ces instants pour nous, il nous en prépare d’autres, d’autres mouvements, c’est ce qu’il nous dit; il va nous faire avancer dans la purification qui est commencée.

Lorsque nous avons parlé de la Grande Purification, nous avons cru que nous étions pour souffrir; c’est vrai qu’on souffre et on souffre beaucoup, vous savez; mais à cause des grâces de Dieu, à cause de la présence de Marie, ça nous semble pas souffrant.

Regardez bien : nous, nous avons appris à quitter la télévision, du moins à couper beaucoup d’heures devant la télévision; allez demander ça à votre enfant, votre adolescent, vos filles de 20-25 ans, vous allez voir : une journée, deux jours sans télévision, ça va être trop dur pour eux autres, ça va être très souffrant et nous on le fait avec de la joie : c’est parce que ce sont les grâces; nous avons accepté les grâces et les grâces nous ont donné des forces.

C’est ce que nous faisons aussi, nous renonçons maintenant à aller magasiner le dimanche, nous le faisons avec amour; cela n’est plus des souffrances, mais demandez à votre volonté humaine voir si elle n’a pas souffert? Vous allez voir qu’elle va vous dire oui, qu’elle a souffert.

Parce que la volonté humaine est encore en nous, mais elle perd de la place et plus elle perd de la place, et plus nous découvrons la paix, plus nous découvrons la joie; alors, nous souffrons dans notre volonté humaine, mais nous découvrons la joie et la paix dans notre vie spirituelle.

Notre vie spirituelle prend plus de place dans notre vie et notre vie humaine : notre volonté humaine perd de la place; ça c’est de l’agir de Dieu, ça c’est le mouvement de Dieu.

Voyez-vous, Dieu est en nous; Dieu est le mouvement de l’Amour, nous sommes mouvements en Dieu : nous renonçons à ce que nous sommes pour être ce que Dieu veut; nous disparaissons, nous mourons en Jésus, alors nous pouvons dire que nous ne sommes plus nous, mais Jésus; nous sommes ce que Dieu veut que nous soyons : enfants de Dieu, enfants de l’Amour.

Dieu va se servir de nous dans les heures qui viennent; il va mettre à l’intérieur de chacun de nous des grâces, ce qui va faire ouvrir à l’intérieur de nous des mouvements pour nos frères et nos soeurs, eux qui souffrent à cause de leur volonté humaine; il va se servir de nous parce qu’il sait que nous sommes capables de supporter cela.

Il veut que nous puissions nous abandonner pour nos enfants, pour nos frères à la maison, nos soeurs, nos neveux, nos nièces, nos cousins, nos cousines, nos oncles, nos tantes; il veut faire ce mouvement à l’intérieur de nous, pour eux; il veut que nous puissions devenir des instruments entre ses mains.

La purification est aussi pour eux; nous ne pouvons pas vivre leur purification, mais notre oui doit être total, un oui à Dieu, complètement à Dieu : nous avons reçu beaucoup, beaucoup nous est demandé.

C’est en chacun de vous que Dieu dépose des grâces de force, de joie, d’abandon.

Jésus s’est donné; il a dit : «Il n’y a pas de plus grand amour que de donner sa vie pour ceux qu’on aime»; c’est ce qu’il veut faire pour chacun de nous, il veut que nous goûtions au bonheur de se donner.

Comment Dieu va le faire? Nous n’avons pas à savoir, mais à prononcer notre oui, à nous abandonner; nous devons vivre ces instants dans la paix, dans la joie, dans la confiance en Dieu.

Puisque Dieu nous a fait avancer jusqu’à ce moment en faisant découvrir à chacun de nous l’amour, la paix, la joie, c’est qu’il a toujours pris soin de nous; il sait ce qu’il fait, il veut nous faire avancer comme lui le veut : c’est la Purification.

Ce qui est en nous, nous est inconnu; nous ne savons pas ce que nous, nous avons fait à notre intérieur à cause de nos pensées, à cause de nos actions, à cause des sentiments que nous avons consenti à conserver à l’intérieur de nous : tout cela nous habite.

Dieu sait que nous avons donné notre oui, notre oui d’amour; nous devons le faire pour l’Église, pour la plus grande Gloire de Dieu le Père; tout ce que nous sommes, c’est pour Dieu; puisque nous venons de lui, nous retournons à lui : nous sommes fidèles à son appel en tout ce que nous sommes.

Si Dieu nous parle ainsi, c’est pour nous faire comprendre que nous devons être totalement entre ses mains avec amour, afin que nous n’ayons plus peur, afin que nous puissions comprendre que ce que nous vivons cela est vrai, que cela est total : c’est notre purification; nous avons encore des doutes face à cela.

Nous savons que nous avons reçu des grâces, nous savons qu’il nous parle d’immortalité, mais notre volonté humaine résiste encore : notre volonté humaine porte encore la trace du doute; alors, Dieu veut nous faire avancer dans son amour, voilà ce qu’il attend de nous.

Alors, Dieu vient de me dire : «Mes enfants, fermez vos yeux, laissez à Dieu prendre la place, la place que vous avez donnée à votre volonté humaine.

"La volonté humaine est venue en vous à cause de la désobéissance, la volonté humaine n’a pu vous faire découvrir votre place en Dieu.

À l’intérieur de vous, il y a la lumière; cette lumière brille, cette lumière vous enveloppe, cette lumière couvre tout votre être : intérieur, extérieur.

Il n’y a pas un coin de votre personne qui n’est pas dans ce mouvement lumineux; tout est en Dieu, tout se fait par la puissance de Dieu; Dieu n’a pas de limite, Dieu est le Tout, Dieu prend tout, Dieu est le Pouvoir; Dieu le Père, Dieu le Fils, Dieu le Saint Esprit : la Puissance, l’Éternel; l’Éternel est avec vous, il a tout pouvoir sur vous, vous êtes tout à lui.

Vous m’appartenez, vous n’appartenez pas à ce monde, vous appartenez à Dieu, Dieu en tout; vous êtes dans ce Tout; Dieu vous prend dans sa main : vous êtes dans la main de Dieu, Dieu a le regard sur vous : "Enfant, tout ton être est le mouvement de Dieu; le mouvement de Dieu est toi, tu fais partie de mon Être, en moi tu es.

Le Pouvoir te couvre, tout ce que tu es ressent la présence de Dieu; je fais vibrer en toi des mouvements de purification afin que tu puisses être dans ton présent; en toi, l’Amour se fait connaître; en ton intérieur, tout commence à découvrir que Dieu est le Maître de la pensée, que Dieu est le Maître de l’écoute, que Dieu est le Maître du mouvement.

Dieu couvre toute pensée qui a été en toi; chaque pensée qui n’a pas été dans le mouvement de l’Amour devient une pensée qui ne peut être dans le mouvement de Dieu, et ces pensées ne peuvent demeurer, ne peuvent plus être dans leurs éléments puisque leurs éléments n’existent plus, car Dieu a fait savoir à chaque pensée qui n’était pas amour, qu’il ordonnait de ne point demeurer.

Dieu, dans son pouvoir, te fait connaître que tu es enfant d’amour, et parce que tu es enfant d’amour, tes pensées sont amour, et une grande joie s’est fait connaître, car en toi tu sais maintenant que Dieu connaît tes pensées et que tes pensées appartiennent à Dieu; il s’est rendu maître de tes pensées, car tu lui as donné tout de toi.

Le mouvement de l’Amour est toi; par la puissance de Dieu, par la puissance de l’Amour, Dieu te fait savoir que tu es dans le mouvement de la purification par la pensée.

Il n’y a que Dieu qui a tout pouvoir; toi, tu as consenti à ne plus être, mais à n’être qu’à Dieu; par la profondeur de ton être, tu es comme Dieu veut que tu sois.

Consens-tu à vivre cela pour l’éternité? Consens-tu à vivre dans le bonheur en n’ayant des pensées que pour Dieu, en ne voulant être que pour Dieu? Dieu te fait savoir combien c’est grand l’infini où les mouvements ne cesseront jamais; telles seront tes pensées pour l’éternité : pensées d’amour, pensées de joie, pensées de louange, pensées d’adoration, pensées de beauté.

La splendeur est Dieu et Dieu te fait savoir que tu es splendeur parce que tu consens parce que tes pensées sont à Dieu.

Dieu te dit : "Oui, tu es choisi pour l’éternité à n’avoir des pensées que pour Dieu".

Amour, ce moment a été préparé pour toi; il y aura des mouvements en toi et tu verras ta vie intérieure; maintenant, va maintenant".»  

Dieu nous amène à nous découvrir, mais à sa façon, ce qu’il fait; d’autres le vivent et ce qu’il y a de plus particulier, c’est qu’il nous le fait vivre ensemble pour démontrer que son Église, c’est chacun de nous.

Chaque enfant de Dieu, c’est une cellule dans l’Église de Dieu, et lorsque nous vivons ces mouvements en l’Église, c’est comme si l’Église de Dieu reprenait vie dans le monde entier : l’Église de Dieu se met à fleurir dans le monde entier, l’Église de Dieu s’unit pour ne faire qu’une.

C’est Jésus, partout où il y a des enfants, partout Jésus est.

Alors ce qu’il vient de faire pour nous, Jésus, il l’a fait partout; alors chacun de nous, nous allons rendre grâces à Dieu pour ce que nous venons de recevoir; alors, je vous remercie beaucoup; allons, chantons un chant à Dieu.