Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Plantagenet, Ontario,

par son instrument, la Fille du Oui à Jésus.

 

2005-02-27 – A.M.

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Maman Marie veut ouvrir nos cœurs à l’appel de son Fils. Aujourd’hui est un jour de grâce, est un jour béni par Dieu le Père, car Dieu le Père a fait le septième jour, jour de grâce, jour pour sa gloire.

Jésus veut nous faire participer à sa gloire; il nous demande d’entrer dans le Cœur même de sa Mère afin que nous puissions accueillir les grâces de l’amour, les grâces de la divinité; alors, allons nous réfugier dans le Cœur de Marie et laissons prier la Mère de Jésus dans le Coeur même du Fils; rassemblons-nous avec tous nos frères et sœurs du monde entier et laissons toute la place à Marie.

Tous récitent le Rosaire.

 

Marie : Mes petits enfants d’amour, je me suis penchée sur chacun de vous, j’ai regardé votre coeur, votre coeur qui s’est ouvert à mon appel; parce que vous avez été attentifs à mes demandes, le Ciel s’est ouvert, j’ai laissé pleuvoir sur vous des grâces, des grâces d’amour; vous avez été enveloppés d’amour : tout cela est votre récompense pour ce rosaire.

Je suis la Porte du Ciel; j’ouvre grand le Ciel pour vous apporter des consolations, pour vous démontrer que nous sommes avec vous.

Nous savons que vous vivez des moments difficiles; nous vous avons enveloppés de notre amour afin que vous soyez tout petits dans vos demandes; lorsqu’on se tient petit dans les demandes, les demandes prennent de l’importance, car ces demandes sont pour vos frères et vos sœurs : vous suppliez la Trinité de venir consoler ceux que vous aimez, de venir leur donner des grâces de foi, d’espérance.

Si vous avez appris à faire des demandes comme des petits enfants, c’est parce que la Mère de Dieu vous a pris dans ses bras, elle vous a protégés contre vous-mêmes, contre votre orgueil.

La volonté humaine, mes petits enfants, s’est enveloppée de l’orgueil; il n’y a que la grâce d’humilité qui peut faire tomber ce manteau; lorsque le manteau tombe, vous découvrez que vous êtes des enfants, que vous êtes des enfants choisis par Dieu le Père pour vous donner, vous accomplir en mon Fils.

Vous accomplir en mon Fils et prononcer votre oui, c’est tout donner à mon Fils, lui laisser la place, la première place dans votre vie; tranquillement, vous apprenez à lui donner tout de vous-mêmes, à renoncer à votre vie et vivre en Jésus, en mon Fils.

Enfants d’amour, vous avez reçu beaucoup; la Trinité a eu un regard sur vous, elle vous a montré la valeur du Précieux Sang du Sauveur; vous avez été dans le mouvement de la Rédemption à l’instant où votre oui se fit connaître en vous-mêmes : vous acceptiez tout de la Rédemption, vous preniez en vous tous vos frères et vos soeurs et vous acceptiez tout.

Vous avez connu l’abandon, vous avez connu le renoncement, un renoncement à votre volonté humaine : ce manteau qui n’a pu vous apporter le bonheur.

La volonté humaine n’est qu’une enveloppe, mes enfants, mais elle a pris tellement de place dans votre vie : elle a géré votre vie, elle vous a amenés là où les enfants de Dieu ont connu la souffrance; tout de vous a connu le mal et le mal a voulu se rendre maître de votre vie.

Tout cela, mes enfants, vous l’avez appris depuis que l’Esprit de Dieu vous a ouvert votre intérieur; vous avez consenti à regarder, vous avez consenti à entendre, et tout s’est accompli; vous faisiez la Volonté de Dieu le Père comme Dieu le Père le voulait, pas comme vous vous aviez appris.

Faire la Volonté de Dieu le Père dans votre volonté humaine était vouloir ce que vous vouliez, était renoncer à l’abandon pour pouvoir diriger vos demandes.

Mes enfants d’amour, vous, mes petits choisis, vous, mes enfants de la Lumière, vous êtes mes êtres d’amour, vous êtes placés en rang maintenant et vous avancez dans la paix et dans la joie; à chaque pas que vous faites maintenant, vous laissez sortir de vous la lumière, et partout où vous allez, la lumière sort de vous et éclaire les ténèbres; les ténèbres s’éloignent, car les ténèbres doivent s’incliner devant la Lumière.

La Lumière est mon Fils; vous avez accepté de mourir en la Lumière, et c’est la Lumière qui luit et qui se fait voir aux ténèbres : la Lumière a triomphé et les ténèbres s’inclinent.

Il a fallu beaucoup de renoncement de votre part, beaucoup d’acceptation, et la Mère de Dieu vous dit : «Mes enfants, il y a d’autres renoncements qui vont se faire connaître à vous-mêmes, des renoncements qui vous apporteront la paix et la joie sans interruption.»

Il est de Dieu de vous faire connaître ces paroles par la Mère de Dieu; je suis l’Immaculée, je suis l’enfant de la Divine Volonté qui fut la première à prononcer son oui sur la terre; le Fils de Dieu est Dieu, son oui est divin; le oui du Fils fut au-dessus du oui de la Mère de Dieu.

Vos oui, mes enfants, doivent passer par la Mère pour entrer dans le oui du Fils; voilà pourquoi, mes enfants, je suis avec vous; je serai avec vous jusqu’au moment de la Grande Purification.

Vous verrez la Mère de Dieu et sachez, mes enfants, que je serai auprès de tous les enfants qui se verront devant la Lumière : je vous envelopperai de ma maternelle présence.

Tous ceux qui auront terminé leur purification seront dans la joie de savoir que la Mère de Dieu a toujours été présente et qu’ils ont toujours été reconnaissants envers la Mère de Dieu; ces grâces seront pour ceux qui auront tout accepté de Marie pour aller au Fils.

À l’instant même où cela vous est connu, des grâces vous sont données afin que ceux que vous portez en vous puissent profiter de ces grâces; voilà, mes enfants, pourquoi vous êtes en présence de la Mère de Dieu afin que vous puissiez profiter de ces grâces, et afin que ceux que vous portez en vous puissent un jour profiter de ces grâces.

Le Ciel est grand ouvert, le Ciel vous accorde des grâces pour ce temps d’amour qui se prépare; ayez la foi en l’Église, soyez assurés des grâces du Ciel, gardez votre paix.

Mes enfants d’amour, ne jetez pas un regard sur les ténèbres, ne nourrissez pas vos conversations avec des paroles de peur, l’Église a besoin de foi; l’Église de mon Fils a besoin d’abandon, de paix, d’amour.

Mon fils Jean-Paul II a confiance en Dieu, a confiance en la Mère de Dieu, il connaît la puissance de Dieu; il vit des moments de souffrance par amour, sa force est la force de Dieu; il a la confiance de Dieu, il ne défaillit pas; il soutient l’Église malgré tout ce que vous pouvez voir à l’extérieur; l’Église : sa force est en Jésus, en mon Fils.

Les ténèbres, mes enfants, ne (peuvent) atteindre la Lumière, car la Lumière repousse les ténèbres; gardez cela dans vos coeurs, ayez confiance.

L’Église souffre à cause de la désobéissance, l’Église souffre à cause du manque d’humilité, l’Église souffre parce qu’elle a besoin de ses enfants, mais ses enfants ont si peu de foi.

Ayez la foi, mes enfants, soyez forts et marchez en rang; vous êtes la lumière, éclairez, mes enfants, dans la foi; soyez assurés de notre protection; tout ce qui va se passer, mes enfants, passez cela dans la foi.

Soyez forts, plus que vous serez forts, mes enfants, dans la foi, et plus l’Église resplendira de son intérieur et la Lumière sortira de son intérieur et brillera et éloignera les ténèbres : c’est ce qui vous est demandé.

Ne savez-vous pas, mes enfants, que la Trinité a tout vu? Elle a vu ce que vous vivez, elle a vu tout ce que vous ne pouvez voir et qui va venir; la Trinité a préparé vos coeurs pour ces temps que vous allez vivre.

Je vous ai demandé, mes enfants, de prier avec le cœur; je vous ai demandé, mes enfants, d’avoir la foi en mon Fils, de regarder, d’adorer le Divin Rédempteur, votre Sauveur, dans le Tabernacle.

Tous ces moments que vous avez donnés, le Ciel vous a regardés; tout ce que vous nous avez donné est venu par nous à cause des grâces que le Ciel déversait sur vous, et cela porte des fruits; vous êtes les fruits de l’amour, vous êtes les fruits de la prière.

Ayez la foi et avancez; ne vous ai-je pas dit que les tribulations seront amoindries par la prière? Vous êtes les enfants de la Lumière, vous êtes les élus de Dieu et parce que vous êtes les élus de Dieu, Dieu protège ce monde de sa destruction; je suis avec vous.

Chacun de vous, (vous) prenez connaissance que vous êtes liés les uns aux autres par la prière; un enfant qui prie en Jésus est un enfant qui prie avec tous les enfants du monde et cela, depuis le premier qui a prié jusqu’au dernier qui priera, et savez-vous que celui-là, mes enfants, son mouvement est éternel?

La puissance de Dieu est au-dessus de tout ce que vous pouvez imaginer et au-dessus de tout ce que vous ne pouvez pas imaginer, car la Puissance est : c’est le Présent.

Vivez en mon Fils, soyez dans la foi, avancez dans la paix, car la Mère de Dieu est avec vous; là où est la Mère de Dieu, là est le Fils, car la Mère de Dieu ne quitte pas son Fils.

La Trinité m’a ointe, j’ai été enveloppée de l’Amour divin, j’ai été plongée dans les grâces de la Puissance; je suis un Océan d’amour pour vous, mes enfants, je suis remplie de grâces et ces grâces je veux vous les donner, comme lorsque vous avez dit votre rosaire en moi, Marie, qui était en Jésus.

Soyez bénis, mes enfants; par la puissance de Dieu qui m’a été donnée, la Mère de Dieu vous bénit : «Dieu le Père, Dieu le Fils, Dieu le Saint-Esprit. Amen.

 

Tous : Amen.

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Nous, les enfants de Dieu, pouvons-nous douter un seul instant, en ce moment, que Dieu a préparé pour nous cet instant? Dieu nous a regardés et Dieu nous a bénis.

Il n’y a pas un instant où Dieu ne profite pas de nos moments d’abandon pour nous couvrir de ses grâces; il se sert de nous, de chacun de nous, pour tous nos frères et nos soeurs qui souffrent dans le monde, et il y en a beaucoup.

Comment se fait-il qu’il se serve de nous qui sommes au Canada, alors que nous ne le méritons pas? Nous sommes suffisants de nous-mêmes, nous sommes des orgueilleux, des petits gâtés; nous avons réussi par nous-mêmes à gâter la sauce : nous avons été plongés dans l’amour lorsque nous sommes venus ici : venir dans une terre, une immense terre où tout était à défricher, à bâtir, et tout s’est fait avec les grâces de Dieu.

Il y a dans nos ancêtres des saints, il y a parmi nos enseignants des saints, il y a parmi ceux qui ont pris soin de nous mettre au monde des saints : nous pouvons, avant de nous coucher, invoquer des saints qui ont été parmi nous; tout cela a été dans notre vie, nous avons été plongés dans une potion d’amour.

Dieu dit que nous sommes comme ‘Obélix’, et qu’avons-nous fait de cette potion magique? Nous l’avons prise pour nous-mêmes parce que nous l’avons appelée ‘magique’, alors on s’est attribué ce que le Seigneur nous avait donné.

Nous sommes devenus forts en ayant besoin de beaucoup de vitamines; nous sommes devenus puissants à nous adonnant à de la culture physique; nous sommes devenus orgueilleux en nous donnant des biens matériels; nous avons voulu démontrer au monde entier que les canadiens, les américains, étaient des êtres évolués.

Imaginez-vous, nous sommes venus ici que depuis 300 quelques, 400 quelques années, alors que les autres ont des milliers d’années, et nous sommes devenus : pays industrialisés dans les premiers; alors, on s’est tapé les bretelles : on était fiers de nous-mêmes; on pouvait se payer l’avion pour aller visiter les pauvres, aller leur démontrer qu’on avait un coeur placé à la bonne place : donner le change de nos poches et laisser ça sur la table ou peut-être (laisser) une paire de bas, de jeans; on savait que rendus chez nous on était capables de s’en payer; on démontrait par là que nous étions des êtres de coeur, mais il n’était pas placé à la bonne place : on s’est servi du matériel.

Aujourd’hui, nous regardons les résultats de ce que nous sommes devenus : des êtres dépressifs, des êtres qui ont de la difficulté à garder leur famille unie, des êtres qui vendent leur corps pour peu d’argent ou un petit plaisir d’un soir; nous sommes devenus des êtres qui ont tout laissé de côté pour se payer du bonheur.

Mais ce bonheur, entre nos mains, c’est comme quelque chose de volatile, on ne peut pas le garder parce qu’on se l’est payé; alors, comme on l’use à la journée, il faut toujours continuer, et nous sommes épuisés : nous sommes fatigués.

Alors, Dieu nous dit ces paroles pour nous démontrer que nous n’avons pas profité des grâces qu’il nous a données; il nous avait plongés dans un océan d’amour afin que nous puissions nous donner pour les autres.

Mais Dieu avait vu ce que nous étions pour devenir; Dieu s’est dit : «Le Canada m’appartient, il n’appartient pas à Satan.»

On a voulu consacrer le Canada à Satan, et cela s’est fait, et nous avons eu des retombées de tout cela, mais Dieu veillait; la Mère de Dieu était avec nous : pas un seul instant la Mère de Dieu n’a quitté les enfants de Dieu, ceux qui avaient été choisis pour venir au Canada; elle veillait sur son troupeau : elle nous a toujours appris la prière.

On a voulu nous enlever le chapelet, nous le faire oublier, alors Marie l’a implanté à l’intérieur de nous : elle a planté à l’intérieur de nous le chapelet par nos mères, par nos grands-mères, par nos arrière-grands-mères et nous, nous l’avons en nous.

Satan n’a pas pu nous faire oublier les ‘Je vous salue Marie’; les moments d’amour que nous avons eus avec notre Mère, cela appartenait au Ciel; à chaque fois que notre mère a dit des ‘Je vous salue Marie’, une lumière s’allumait et faisait comme un parapluie sur les retombées sataniques, parce qu’il y a beaucoup de retombées sataniques au Canada.

La Mère de Dieu a toujours été là avec nous, elle s’est servie de petits enfants sans instruction : allez en arrière et vous allez voir que nos ancêtres n’ont pas passé leur temps derrière des livres, mais à se donner, à se donner à leurs enfants.

Nos parents, nos arrière-grands-parents se sont donnés à la famille, à la famille de Dieu; ils n’ont pas compté leurs heures, ils ont ouvert leur cœur, et ils ont accueilli les enfants de Dieu qu’ils recevaient dans leurs mains; ils ont appris à les bercer, ils ont appris à les consoler, ils ont appris à prendre soin d’eux lorsqu’ils étaient malades, ils ont appris à les regarder dormir; au moment où ils les regardaient dormir, ce qu’ils voyaient, (c’était) des anges : Dieu rappelait à ces femmes et à ces hommes qu’il leur avait confié ces petits enfants.

C’est pour nous; nous vivons en ce moment de grandes souffrances, nous voyons nous-mêmes ce que nous avons fait; nous avons compté le nombre d’enfants que nous voulions dans notre vie; à cause de la volonté humaine, nous avons contrôlé les fruits de Dieu; à cause de la volonté humaine, nous avons mis un frein à l’amour de Dieu pour les enfants du Canada, pour nos enfants, pour nos petits-enfants; Dieu a continué à nous aimer et à prendre soin du petit reste; ce petit reste, il veut que nous en prenions soin.

Il veut nous combler parce qu’il avait vu cela, Dieu; il savait que les Canadiens, dans les années 1900, devenaient des petits pourris, pourris de tout ce qu’il leur avait donné, et il a continué parce que l’amour de Dieu est plus puissant que notre manque d’amour envers nous-mêmes.

C’est envers nous-mêmes que nous avons failli; nous nous sommes fait souffrir à cause de nos choix, c’est nous qui avons choisi la vie que nous vivons en ce moment.

Nos parents, qui ont 80, 90 ans, eux ont tout accepté, eux se sont abandonnés entre les mains du Père; pas un instant ils (n’)ont pensé à contrôler les grâces de Dieu; ils ont connu la souffrance, ils ont connu la maladie, ils ont demandé l’aide à Dieu et à Maman Marie.

Certains ont eu moins d’enfants que d’autres, mais ceux qui ont eu 11, 12, 13, 21 enfants, croyez-vous que Dieu ne les a pas comblés de ses grâces? Chaque enfant devenait des pluies de grâces pour eux : ils obtenaient la force, ils obtenaient la présence de Marie.

Ils étaient, eux, dans la Lumière, et ceux qui ne pouvaient pas obtenaient de l’amour d’accepter ce qu’ils devaient vivre; eux avaient confiance en Dieu, ils ne se débattaient pas envers l’obéissance à l’Église parce qu’ils savaient qu’ils devaient obéir à l’Église; ils n’inventaient pas toutes sortes d’excuses pour ne pas obéir à l’Église, ils ne faisaient pas des référendums pour compenser leurs besoins à eux : ils se donnaient comme ils donnaient leur vie à leurs enfants, ils étaient pleins d’amour.

Il est vrai qu’ils ont connu des courbatures, des fatigues, mais lorsqu’ils allaient dormir, ils dormaient à poings (fermés), je vous assure qu’ils étaient fatigués de leurs journées, ils n’avaient pas besoin de pilules contre la dépression; ils savaient qu’il fallait travailler, mais avec les grâces de Dieu; (la femme) le chapelet dans les mains ou dans la poche du tablier et l’homme avait le chapelet dans les poches, et si l’homme n’avait pas le chapelet dans les poches, il savait qu’il avait Dieu avec lui : il travaillait fort; ils ont eu leur caractère, leurs besoins, mais Dieu était là qui veillait et Maman Marie aussi.

Mais, dans les années 1900, là vinrent les ténèbres; ils ont voulu détruire le coeur de l’Amour, le Coeur de Dieu, en s’attaquant aux enfants de Dieu.

Nous qui avons tant reçu et qui avons donné, Dieu nous rappelle à l’ordre, Dieu vient nous chercher; nous qui avons été si indignes d’être en présence des grâces.

Pourquoi Dieu fait cela avec nous, alors qu’il y a tant d’enfants qui souffrent, qui ont froid, qui ont chaud, qui ont faim, qui n’ont rien à boire, qui sont aux prises avec des maladies, alors que nous, nous avons tout, pourquoi nous? C’est pour démontrer à la face du monde que Dieu n’a jamais quitté ses enfants, même les orgueilleux, même les vaniteux, même les imbus d’eux-mêmes.

Dieu a toujours jeté un regard sur ses enfants, il ne les a jamais laissés seuls, ce n’est pas Satan qui va enlever les enfants entre les mains de Dieu; Dieu est la Puissance, ce qui est à Dieu est à Dieu; nous appartenons à Dieu, nous n’appartenons pas à Satan.

Si nous avons été séduits par ce monde, Dieu a le pouvoir de nous éloigner de ce monde, de nous envelopper de son amour; voilà pourquoi Dieu se sert des enfants comme nous pour montrer à tous les enfants du monde l’amour de Dieu pour les plus pourris.

Nous sommes les plus pourris de la terre : nous blasphémons sans cesse, nous négligeons nos enfants, nous battons les records des avortements, des suicides, nous ne cessons pas de manquer de respect envers l’Eucharistie, la Présence de Jésus.

Nous portons cela en nous, nous portons tous nos frères et nos soeurs du Canada; souvenez-vous de ce qu’il a dit, il a dit : «Mes enfants, vous allez porter la souffrance. Maintenant que vous m’avez donné votre souffrance, vous allez porter la souffrance de vos frères et de vos sœurs, voilà ce que j’attends de vous, voilà ce que je veux de vous».

L’Eucharistie, c’est Jésus parmi nous; c’est l’année de l’Eucharistie, alors mettons nos vies et celles de tous nos frères et nos soeurs du monde entier, et spécialement ceux du Canada, sur l’autel, et rendons grâces à Jésus Eucharistie pour toutes les grâces qu’il nous a accordées, pour toute la lumière qui s’est fait voir à nous. Merci.