Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Plantagenet, Ontario,

par son instrument, la Fille du Oui à Jésus

 

2009-05-29 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Ce que nous allons vivre, il n’y a que Dieu qui le sait; personne d’entre nous, parce que nous n’en sommes pas dignes. Qui peut savoir l’avenir? Que Dieu, et il en sera ainsi pour toujours. Mais Dieu, lui, il nous prépare à l’avenir, cela est différent. C’est ce qu’il fait depuis Adam.

Depuis Adam, les hommes se sont préparés à ce qu’ils devaient vivre. Nous qui avions tout, nous qui étions l’amour inconditionnel, nous avons tout perdu cela. Mais Dieu, notre éternel amour, il s’est penché sur ses enfants et il vient nous montrer, il vient nous montrer ce que nous devons voir; il vient nous dire combien il nous aime. Ces paroles-là, nous les avons entendues maintes et maintes fois, mais c’est important de les réentendre, parce qu’il y a toujours de la guérison à chaque fois qu’on sait que Dieu nous aime. Nous savons que ces paroles que vous entendez et que j’entends viennent se faire entendre en nous par la puissance du Saint-Esprit. Lorsque Jésus a dit à Pierre : «M’aimes-tu?», croyez-vous que Pierre pouvait dire oui par lui-même? C’est Jésus lui-même qui le nourrissait. Il lui donnait son amour afin que Pierre puisse lui dire : "Oui, je t’aime". Eh bien, c’est ce qu’il fait avec nous. Il n’a pas changé sa façon d’être, Jésus, il a toujours été comme ça.

Il vient nous dire à travers nos regards, à travers nos paroles qu’il nous aime, qu’il prend soin de nous, qu’il prend soin de notre âme. C’est tellement important de le comprendre. On veut que Jésus soit devant nous; on veut le voir, on veut contempler ses yeux, on veut regarder la couleur de ses cheveux, la carrure de ses épaules, la douceur de ses mains, l’agilité dans ses mouvements; on veut voir sa lumière, sa splendeur, on veut le contempler. Mais Jésus, il nous dit : «Il faut que votre âme, que votre âme soit prête, il faut que votre âme soit pure». Oui, nous avons tellement hâte de le voir, mais nous le verrons qu’après que notre âme soit, elle, dans sa beauté, et Jésus ne nous a pas caché cela. Dès le début, dès le début, Jésus, il nous a dit : «Je prépare votre âme avant votre corps, avant votre chair». Il sait ce qu’il fait.

On voudrait tant qu’il arrive vite pour sauver nos enfants : ils se droguent, ils viennent de quitter leurs épouses, nos filles vont danser, quelques fois elles se déshabillent, l’économie du pays tombe, nos dettes demeurent toujours et les gouvernements en prennent de plus en plus. "Viens-t-en, Jésus". Jésus, lui, ne regarde pas ça, il regarde nos âmes. Il va se montrer à nous, il est vrai, mais notre âme devra être belle pour l’accueillir, afin que notre chair puisse reconnaître sa splendeur. Croyez-vous que cela changerait du jour au lendemain, tel comme nous sommes, de voir Jésus passer dans la rue : "Oh! C’est Jésus, ça!" On réagirait comme ça parce que notre chair passerait avant notre âme. Oui, on dirait : "Mais c’est Jésus", d’autres diraient : "Ben, ce n’est pas vrai". Ils nous feraient encore la guerre, ils iraient jusqu’à vouloir le lapider ou le crucifier, encore et encore. Voilà pourquoi, Jésus, il dit : «Il est important que vous compreniez que je vous prépare à ce qui vient. Votre âme doit reconnaître qu’elle est tout pour vous».

Si on savait combien c’est important notre âme, on n’aurait pas peur pour notre chair, on passerait notre âme avant notre chair. Qui d’entre nous n’a pas peur de ce qui s’en vient lorsqu’on pense à la puce, lorsqu’on pense qu’il n'y aura plus de nourriture, lorsqu’on pense qu'on enlèvera l'électricité, qu’il n’y aura plus de bois et plus de vitamines. Il n'y aura plus de ces choses-là. Oups, qu'est-ce qu’on va faire sans notre vitamine C, hein? Qu’est-ce qu’on va faire sans nos antibiotiques, nos pilules pour dormir? Eh bien, voyez-vous, on se remet un p’tit peu en question. C’est vrai, ça va nous en prendre des grâces, hein, Seigneur, pour tout passer à travers de tout ça, parce que nous passons notre chair avant notre âme. On veut la Grande Purification et c’est séduisant : on ne mourra plus, on va rajeunir, on n'aura plus de maladies, mais Jésus dit : «Et votre âme?» Nous devons penser à notre âme avant tout, c’est très important.

Qui peut comprendre ce que Dieu attend de nous? Ce n’est que lui qui peut nous le faire comprendre, pas nous. Que savons-nous des tentations? Oui, on refuse : 'Oui, je refuse Seigneur de prendre ce chocolat-là : tentateur je refuse; merci de l’envoyer au pied de la Croix, de guérir tout mouvement de vie malade, merci Maman Marie de nous combler'. Oups, une autre tentation, une autre tentation : on refuse. Il nous a appris à refuser maintenant. On refuse cent fois par jour, hein, Maryse? Jusqu’à ne plus dormir, hein, Lucie? Jusqu’à paniquer, hein, Martine? Jusqu’à prendre les téléphones puis demander des prières, hein, Noëlla? Oui, on panique, oui, on refuse, mais Jésus veut nous amener plus loin encore. Il veut nous amener à découvrir ce que Satan a fait dans notre vie, dans nos mouvements de vie qui nous ont été donnés par la Vie, Mouvement de vie, Vie, Verbe en le Verbe, l’Agir en l’Agir, la Volonté en la Volonté.

Nous devons comprendre qui nous sommes. Nous devons entendre ce que Dieu veut nous faire entendre avec de l’abandon. Sans l’abandon, nous ne pourrons pas donner à notre intérieur ce que notre intérieur veut par l’âme. Si nous nous gardons un tout petit peu dans la volonté humaine, eh bien, Dieu va nous montrer, Dieu va nous faire voir, mais pas comme lui voudrait nous faire voir. Il veut qu’on s’abandonne encore et encore. Aujourd’hui est un jour de lumière, de grâces. Quand l’on consent à être abandon, eh bien, Dieu agit. Dieu veut nous démontrer que ce que nous entendons est la vérité. Il veut nous donner un mouvement. Ce mouvement est pour nous un mouvement d’abandon, un mouvement qui doit se laisser voir. Que l’on soit grand ou petit, nous devons comprendre la vérité avec les grâces du Seigneur. Chacun de nous nous sommes prêts à ça parce que nous voulons la vérité.

Un jour, une toute petite fille a marché. Elle était si petite! Elle ne cherchait pas à savoir ce que demain serait. Elle était là à se présenter à chaque matin à la lumière. Lorsqu’elle ouvrait ses yeux, elle regardait le matin qui s’éveillait, la lumière qui pénétrait par les vitres de la chambre. Le son extérieur se faisait comme un écho qui pénètre dans l’espace et qui prépare les enfants de Dieu à ouvrir leur regard sur leur prochain. Elle ne comprenait pas ces paroles, car elle ne pouvait pas les comprendre puisqu’elle ne les entendait pas, mais ces paroles étaient là, elles étaient présentes, car Dieu le voulait. Dieu était bon, car il donnait sa Vie. Dieu était chaleur, car il donnait sa lumière. Dieu était vivant, car il donnait sa Vie. Tout était vrai et Dieu regardait et Dieu nourrissait. Rien en l’enfant ne pouvait prédire qu’elle était pour l’entendre.

Un jour, afin que les autres puissent entendre, son regard qui se portait à l’extérieur était un regard qui était nourri par la force de Dieu. Telle était la Volonté de Dieu, et chaque pas conduisait dans l’éternel Présent qui se faisait toujours et toujours voir et sentir. Rien ne pouvait atteindre l’être, car l’être était présent, il était présent en son Dieu et son Dieu était là. Le regard qui se tournait à droite était le regard voulu par Dieu, le regard qui se tournait à gauche était le regard voulu par Dieu, car Dieu nourrissait. Dieu ne s'attendait pas à ce que tout soit comme elle, elle le voulait, car Dieu était là et il veillait. Il était le Présent.

Un jour vint un grand Vent et ce Vent pénétra. Il pénétra le regard de l’enfant et elle vit, elle vit la noirceur qui s’étendait et cela semblait tellement froid qu'elle se blottit à l’intérieur d’elle plus profondément, comme l’enfant dans le sein de la mère ne voulant plus respirer que par l’amour. Rien ne pouvait présager qu’elle était pour vivre en le sein même de la Divine Volonté, afin qu’elle puisse donner et donner sa vie qui n’était autre que la vie de Dieu, en Dieu, par Dieu : nourriture d’amour. Un Vent vint et souffla si fort et si fort et si fort qu’à nouveau elle pénétra et elle vit une mer rouge. Sur cette mer, on lui fit voir des êtres qui ne pouvaient pénétrer, mais qui étaient à la surface. On les maintenait à la surface de cette mer, car tout ce qu’il y avait comme mouvement n’était pas vie, car la vie s’était retirée d’eux et ils étaient là à ne pouvoir pénétrer. Elle vit, elle vit que la vie pouvait s’éteindre et que la mort pouvait être un mouvement sans vie. Tout ce qui était, était ce que Dieu voulait qu’elle voie.

Jésus : Je suis la Présence pour chacun de vous, l’Alpha et l’Oméga, le Pouvoir et l’Absolu. En moi, tout est. Enfants de ma sainte Présence, il y a en vous ce qui ne doit pas être, il y a autour de vous ce qui fait de vous des êtres faux, de souffrance. La souffrance vient de ce qui a été dans votre vie comme quelque chose qui ne devait pas vous pénétrer. Je vous donne de l’amour, je vous donne ma vie.

Prenez mes enfants, laissez-vous envahir de mes grâces. Ne cherchez pas à comprendre ces paroles, l’avenir est à mon Père. Je veux faire de vous des êtres d’abandon prêts à vous donner pour vos frères, pour vos sœurs. Ce monde, mes enfants, a besoin de connaître la vérité. Il ne peut y avoir de vérité venant de l’humain. La vérité est à Dieu, car Dieu est la Vérité. Le Mouvement, mes enfants, est vérité; en dehors du Mouvement, il n’y a pas de vérité. La vérité est en ce qui est, et ce qui est c’est le Mouvement de vie. On n’a pas besoin de chercher la vérité lorsqu’on est dans le Mouvement de la vie, lorsqu’on vit le Mouvement de la vie, lorsqu’on est vrai, lorsqu’on est lumière, lorsqu’on est présent.

C’est moi qui vous rends présent, c’est moi qui vous rends vrai, c’est moi qui vous rends lumière, puisque je vous donne ma Vie et que c’est avec ma Vie que vous êtes vérité. Je vous fais comprendre ces paroles afin de vous faire avancer là où vous n’êtes pas capables d’aller, là où le néant n’a pas droit d’être en votre vie. Je vous amène dans votre vie. Je vous amène à connaître l’Alpha et l’Oméga, à vous faire saisir ce qu’il y a de plus beau : la vie, la lumière. Là où il y a la vie et la lumière, il y a l’amour et l’amour, mes enfants, est une nourriture. C’est ce qui fait de vous des créatures de Dieu. Créatures de Dieu ou mouvements de vie, mes enfants, n’est-ce pas ce que Dieu veut pour vous, n’est-ce pas volonté? Vous êtes volonté, vous êtes le oui de l’Amour, vous êtes la splendeur qui se laisse voir pour rendre à Dieu ce qui sort de lui.

Combien d’enfants depuis tout âge cherchent à se donner vie? On ne peut se donner vie, la vie est vous-même par Dieu, par l’amour, par le mouvement. Tout est de Dieu. Pénétrez la Lumière, venez en la Lumière, je vous attire à moi. Voyez-vous, mes enfants, combien vous êtes présents en moi? N’hésitez pas, laissez-vous aller. Votre volonté, mes enfants, doit appartenir à Dieu, elle ne doit plus être à vous. Dieu met en vous sa Volonté, une Volonté de puissance, une Volonté d’amour. Il fait naître en vous sa douceur. Vous n’êtes plus en ce monde, vous êtes en moi, Jésus. Je vous amène en mon présent où tout n’est que mouvement. C’est là la vie, vous êtes avec moi.

Laissez votre chair. Ne pensez plus à ce que vous étiez avant de venir m’entendre. Demeurez avec moi, je vous amène en mon Être où tout n’est que splendeur. La vie extérieure n’a plus son cours, tout est en vous. Moi seul ai le pouvoir de vous amener à découvrir ma Vie. Mon 'je t’aime' pénètre votre être, mon 'je t’aime' fait vibrer tous mouvements de vous-mêmes. Lorsque ma Voix se fait entendre en vous, votre vie se tend vers la Voix, elle pénètre la Voix, elle se laisse gagner par l’amour et l’Amour amène votre vie en lui. Elle vous fait pénétrer l’éternité. Chaque rayon de Dieu pénètre en vous et vous êtes là à être dans les premiers mouvements de vie de votre création. Vous êtes dans la création avant même l’univers. Avant toute chose, vous êtes. Il n’y a pas de pesanteur, il n’y a que l’amour, et c’est l’Amour qui vous amène à découvrir votre éternité.

Vous êtes un mouvement, vous êtes à Dieu, vous n’êtes qu’à Dieu, car mon 'je t’aime' vous maintient ensemble. Votre vie fait partie de la Vie et la Vie est vous-même. Tout mouvement ne fait qu’un seul mouvement : un 'je t’aime' de Dieu. Vous êtes tous ensemble, mes enfants, dans l’Alpha, où tout commence, où tout n’est que le 'je t’aime'. C’est le Présent. Vous n’avez besoin de rien d’autre que de Dieu, du 'je t’aime'. Il prend tout de vous : là vous êtes vrais, là vous êtes vérité, là vous êtes purs. Il n’y a pas de passé, il n’y a pas de futur, car vous êtes éternels, vous êtes la lumière en la Lumière. Et là, Dieu regarde sa matière, son unique matière et il amène tout à lui, il le nourrit de son 'je t’aime'. Ce 'je t’aime' est parfait et l’Alpha est parfait, la Lumière est parfaite, le Mouvement est parfait et tout n’est que le 'je t’aime' de Dieu.

Vous êtes ce 'je t’aime'. Sentez en vous la splendeur de Dieu, la perfection de Dieu. Tout vous est permis, tout, mes enfants. Vous pouvez demander tout à Dieu, car tout de vous n’est que perfection. Ce que vous voulez, Dieu le sait, car il met son 'je t’aime' qui pénètre tout ce que vous êtes pour tout ce que vous êtes : la vie. Rien ne vous échappe, car tout vous est donné. Vous êtes dans l’intelligence de Dieu, vous pénétrez partout là où est la lumière, car vous êtes la lumière. Vous ne pouvez arrêter ce mouvement, car ce mouvement est vous-même. Vous êtes le mouvement de Dieu, en Dieu. Aucune vie n’est plus parfaite que la vôtre, car vous êtes la vie en la Vie. Chacun et chacune, vous êtes ce mouvement d’amour. Tout n’est que merveilles. Ce que vous voulez, c’est l’amour, l’amour qui prend et l’amour qui donne. Tout est dans votre vie, rien ne vous manque. Dieu et vous, vous et Dieu : la vie, la perfection.

Maintenant, mes enfants, je vous donne, je vous donne toute création, car la vie est le mouvement. Vous pénétrez l’univers, l’univers est à vous, car là où est la Lumière, là est la Puissance. Vous êtes, vous, en la Puissance. Rien ne vous arrête, vous n’avez pas à chercher, vous savez tout; vous n’avez pas à trouver, vous avez tout. Tout est pour vous, rien ne vous est refusé, car Dieu vous donne tout et vous savez par Dieu, par la Lumière, par la Vie, ce que Dieu vous donne. Tout est vérité, car vous êtes vous-mêmes dans tout ce qui est. Vous connaissez tout. Vous êtes la pureté. Ce que vous êtes, vous l’êtes pour l’éternité. Vous êtes ce mouvement, rien ne vous arrête. L’éternité est vous-même, parce que Dieu veut que vous soyez éternels. Vous pénétrez dans tout ce que vous connaissez; ce que vous connaissez devient pour vous de l’amour de Dieu.

Dieu se donne, car tout est de lui; de lui vous recevez tout. Le 'je t’aime' c’est l’univers, c’est son contenu, c’est la connaissance, c’est la vie qui vous est donnée. Vous pénétrez la vie, car tout ce qui est matière vous est donné, car vous êtes la matière et la matière vous doit obéissance, car Dieu vous donne ce qui est de lui. Vous êtes en vous-même et tout ce qui est vous-même est vie. Vous êtes la splendeur de la vie, vous êtes vrais. Vous avancez, et là où vous allez c’est toujours l’éternité, c’est le mouvement, c’est la beauté. Dieu donne. Dieu vous laisse savourer ces instants de vie éternelle pour vous faire apprendre que votre vie est ainsi. On n’arrête pas la vie, car la vie vient de l’Éternité, de Dieu, Dieu présent, de l’Alpha. Vous êtes le commencement en Dieu.

Je vous amène maintenant dans le sein de l’Amour : vous pénétrez le temps dans un mouvement. Dieu vous amène dans le mouvement de l’amour où l’obéissance est la voie à suivre, où l’obéissance est la beauté de la vie, où l’obéissance est la volonté en la Volonté, où l’obéissance se fait naître, où l’obéissance se fait grandir, où l’obéissance se fait paraître, où l’obéissance se fait connaître, où l’obéissance se nourrit. L’obéissance est vous-même. Vous êtes dans l’obéissance et tout ce qui est dans l’obéissance est dans la splendeur de Dieu, dans la connaissance de Dieu, où les mouvements de vie sont dans l’obéissance. Rien n’arrête les mouvements de vie, car ensemble vous vous regardez, ensemble vous êtes des 'je t’aime' : vous aimez, vous obéissez.

Vous pénétrez maintenant dans un mouvement de vie et ce mouvement de vie pénètre le temps, le temps voulu de Dieu pour paraître à la vie, afin que la vie se fasse connaître. Ce que vous êtes, vous êtes dans le mouvement, et Dieu, dans son pouvoir, fait connaître au mouvement la vie : ce qu’il est. Dieu Volonté, Dieu Verbe agit. Il prend et il moule, il donne et il insuffle, il aime et la vie regarde. La première créature de Dieu est devant Dieu : mouvement de vie qui donne à Dieu ce qu’il est et Dieu regarde ce mouvement de vie qui est de lui, et tout n’est que beauté, tout n’est que merveilles. Et la créature est dans son mouvement de vie. Elle regarde et elle voit son extérieur, car Dieu, dans sa Volonté, laisse paraître le mouvement de vie, afin que l’extérieur puisse connaître et apprécier le 'je t’aime' de Dieu, car ce que la créature regarde c’est le 'je t’aime' : un 'je t’aime' qui se meut sur la terre, un 'je t’aime' qui se nourrit de la terre, un 'je t’aime' qui se laisse voir par la terre, un 'je t’aime', qui apprend à donner ce qui est de lui-même à son Dieu, car il est le 'je t’aime' de Dieu pour lui-même.

C’est la vie qui vient de naître et c’est la vie qui doit tout à Dieu et qui doit obéir à Dieu, car le 'je t’aime' est de Dieu et le 'je t’aime' doit retourner à Dieu. Le 'je t'aime' c’est le oui : la volonté qui se donne à la Volonté qui est Dieu. Ce que vous êtes est ce 'je t'aime'. Vous êtes le 'je t'aime' de Dieu, pour Dieu. Lorsque vous vous regardez, vous regardez le 'je t'aime'; vous ne pouvez être autre que le 'je t'aime', car Dieu a voulu, il a donné sa Vie pour que vous soyez : 'Oui, Dieu, je suis de toi, je viens de toi et je ne veux que de toi. Je suis ton 'je t’aime', je suis ta vie. Je me meus en toi, par toi, pour toi'. Voilà votre vie, votre 'je t'aime'. Il faut que vous soyez dans ce 'je t'aime' pour comprendre votre naissance. Un 'je t'aime' qui se regarde et qui se donne, et Dieu prend et il multiplie. Et un autre 'je t'aime', un autre être qui se dit être : 'Oui, Dieu, pour toi Dieu, avec toi Dieu, car je t’aime'. Un être qui regarde un autre être et qui dit : 'je t'aime' et l’autre être qui regarde et qui contemple son 'je t'aime' et qui dit : 'Moi aussi je t’aime'; mon je t’aime est celui de Dieu et l’autre reçoit le  'je t'aime' de Dieu. Il donne encore le 'je t'aime' et ils se rencontrent, et lui pénètre le 'je t'aime'; il reçoit le 'je t'aime' et le 'je t'aime' à cet instant reçoit mouvement, vie, et c’est le 'je t'aime' de Dieu qui se meut. Et Dieu donne tout, il ne retient rien, et le mouvement se fait. La créature se fait dans le 'je t'aime' de Dieu, mais rien ne manque, absolument rien.

Le mouvement est dans son mouvement et tout n’est que merveilles, tout n’est que beauté. Chaque mouvement apporte sa propre nourriture et la nourriture se nourrit du 'je t’aime', car elle est le 'je t'aime' de Dieu. Chaque instant de l’éternité est présent et là, dans le sein de l’amour maternel de Dieu, tout est présent, rien ne s’arrête, car Dieu est le 'je t'aime' de la créature qui est prêt maintenant à venir se montrer et là, tout se fait.

Cette neuvaine d’amour, c’est le 'je t'aime' de Dieu qui montre aux mouvements de la vie son amour; c’est la fécondité de l’amour, c’est le 'je t'aime' qui se montre et qui valse avec les autres 'je t'aime', c’est le mouvement de la vie. Vous êtes ce mouvement de la vie, vous êtes tous le 'je t'aime' de Dieu pour les uns et pour les autres. N’est-ce pas votre vie? C’est cela qui est important. C’est le 'je t'aime' qui est vous-même et qui est de Dieu. Le mouvement de la vie, c’est vous. Rien ne vous manque, intérieur et extérieur vous êtes le mouvement, vous vous mouvez en Dieu, vous êtes la vie. Ai-je besoin de vous pour vous créer à nouveau? Je n’ai point besoin de vous, vous étiez avant même que vous naissiez sur la terre. Vous êtes la vie. Comprenez cela, mes enfants.

Vous pleurez. Que sont vos larmes si ce n’est que de l’ignorance sur ce que vous êtes : un 'je t’aime' qui est celui de Dieu. C’est Dieu qui a voulu que vous soyez. Vous êtes la vie. Il faut que vous soyez vrais dans votre propre vérité. Rien n’arrêtera Dieu sur ce qui s’en vient, mes enfants. On ne tue pas les 'je t'aime' de Dieu, on ne fait pas disparaître les 'je t'aime' de Dieu. Vous êtes les 'je t'aime' de Dieu. Tous ceux qui se veulent être obéissants regardent le 'je t'aime', et l’obéissance est le mouvement de la vie. Voilà ce que je veux vous faire comprendre. Mouvement de la vie, 'je t'aime'. Il faut que la vie renonce au 'je t'aime' pour ne plus vouloir que Dieu nourrisse le 'je t'aime' par ses 'je t'aime'. Vous êtes tous des 'je t'aime'.

Ce que vous entendez n’est pas pour votre extérieur, mais pour votre intérieur. Beaucoup viennent de recevoir des guérisons. Lorsque Dieu se meut en ces 'je t'aime', ces 'je t'aime' le reconnaissent et ces 'je t'aime' s’amalgament les uns dans les uns : un et un ne font qu’un, les uns dans les uns, car vous êtes uniques. Il n’y a qu’un seul 'je t'aime' et c’est celui de Dieu. Dieu est la lumière et la lumière ne se compte pas puisqu’elle ne se divise pas, mais la lumière est infinie. Elle n’a pas de commencement et elle n’a pas de fin; elle est toujours dans son mouvement et vous êtes ce mouvement en le Mouvement. Vous êtes tous un 'je t'aime'.

N’ayez pas peur, ce que vous allez découvrir, ce 'je t'aime' vous ramènera toujours, mes enfants, dans votre Alpha. Je vous le rappellerai. Cela est très important ce que je viens de vous dire. Rappelez-vous, mes enfants, par mes grâces, que vous êtes le 'je t'aime' de Dieu. Cela est pour vous.

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Dieu va nous préparer à quelque chose pour les autres 'je t'aime'. Ce n'est pas seulement pour nous. Lorsque nous venons de comprendre que, dans l’éternité, nous sommes le 'je t'aime' de Dieu, cela devient pour nous une puissance. Nous ne sommes pas ce que nous voyons comme à l’extérieur, c’est plus que ça; ce n’est pas une tête sur les épaules avec des bras, des jambes, c’est plus que ça. Dieu ne veut pas nous limiter qu’à ce que nous voyons, il veut qu’on saisisse ce que nous sommes vraiment. Il nous a dit souvent : «Vous êtes l’amour». Eh bien, nous sommes le 'je t'aime' de Dieu. Ce n’est pas n’importe quoi le 'je t'aime' de Dieu. Dieu qui prononce 'je t'aime'. Eh bien, lorsqu’il prononce 'je t'aime', eh bien, nous sommes.

Dieu est le 'je t'aime'. Lorsque Dieu le Père regarde son Fils, eh bien, c’est l’amour; c’est tellement amour que c’est le 'je t'aime' qui se nourrit de lui-même. Il n’a pas comme nous, nous avons besoin de l’entendre, mais ce 'je t'aime' n'a pas besoin de se faire entendre, il est lui-même ce 'je t'aime'. Alors, voilà que Dieu le Père et Dieu le Fils, c’est pour ça qu’ils ne font qu’un, c’est le même 'je t'aime'. Il n’a pas besoin de sortir de lui-même parce qu’il est lui-même; il est comme intérieur, extérieur. Nous, nous sommes intérieurs, mais parce que nous sommes créés, nous sommes extérieurs, nous avons besoin d’être extérieur, parce que nous sommes créés.

Une création, c’est quelque chose qui vient de; alors, comme nous venons de, bien nous paraissons : la création qui se montre, la création qui se laisse voir, la création qui, elle, elle est là pour paraître. Dieu lui-même, Dieu le Père, Dieu le Fils, eh bien, n’ont pas besoin d’extérieur, ils sont. C’est Dieu. Et ils sont toujours intérieurs, ils sont dans leur mouvement, c’est l’amour. C’est lui-même qui est l’amour. Dieu le Père, Dieu le Fils, est l’amour. Voilà Dieu. On ne peut pas séparer, on ne peut pas séparer ce 'je t'aime'. Nous, on a en arrière, on a en avant, l’intérieur, extérieur, mais pas Dieu. Dieu n’a pas en avant et il n’a pas en arrière : il est Dieu.

Nous, lorsqu’on voit Jésus sur la terre, eh bien, on voit Jésus qui approche, on voit Jésus qui s’éloigne. Alors, c’est comme si notre besoin à nous s’accomplit dans le 'je t'aime' de Dieu. Nous, nous avons besoin, nous avons besoin à cause que nous sommes venus prendre naissance, que Dieu nous a fait prendre naissance sur la terre, de voir en avant, en arrière et ce qui se passe en dessous, en dessus, on a besoin de ça. Alors, Dieu, par le 'je t'aime', parce que Dieu est le 'je t'aime', nous donne ce que nous, nous voulons. On désire quelque chose, un besoin, parce que nous sommes un 'je t'aime'. J’aime, bien, j’aime, j’aime Dieu, Dieu qui se laisse voir. Mon 'je t'aime' prononcé est devenu pour moi un mouvement : Dieu se montre, Dieu se fait sentir, Dieu se donne. Hein, c’est un 'je t'aime' : mouvement. Mais Dieu, lui, n’a pas besoin, parce qu’il est lui-même le 'je t'aime'. Il n’a pas ce besoin que nous nous avons. Nous, nous avons un besoin par la création, mais Dieu est le Tout, est le 'je t'aime', est l’amour; alors il est comblé par lui-même, alors il n’a pas de besoins. C’est comme si on disait : 'Ben, Dieu a besoin', eh bien, il y aurait quelque chose de vide quelque part qui faut qu'il se remplisse alors que Dieu est un tout. Mais nous, nous sommes créés, alors on a besoin, on a besoin de qui? Du Créateur, de Celui qui nous a créés.

Dieu le Père, Dieu le Fils qui ne font qu’un. Dieu le Fils est toujours en Dieu le Père et le Père est toujours en Dieu le Fils, mais c’est tellement puissant, tellement d’une puissance que ça formé une troisième unité : le Saint-Esprit, mais c’est un seul Dieu. Il n’y a pas de vide en Dieu le Père, en Dieu le Fils, en Dieu le Saint-Esprit. Il n’y a pas de séparation non plus, parce que si on disait : "Bien, Dieu le Fils a besoin, a besoin de savoir que son Père l’aime", ça serait comme si Dieu le Fils avait, oui, comme un besoin, un vide, une nécessité, il ne connaît pas tout, là. Non. Dieu le Fils sait que son Père l’aime, pourquoi? Dieu le Père et Dieu le Fils ne se séparent jamais, il EST.

Voilà que cela devient un p’tit peu plus clair pour nous. Nous, parce que nous sommes créés, nous avons besoin de : du Créateur, et Dieu n’a pas besoin de nous, n’a pas un besoin de lui-même : il se comble, il est toujours dans son absolu. Parce que s’il avait besoin de lui-même, on dirait que : 'Bon, Dieu se vide quelque part, une nécessité. Ça part quelque part cette affaire-là, hein? Ce sont des besoins, hein? Ça s’use'. Dieu n’a pas besoin, il est un tout, il est complet, alors que nous, bien, ça se vide, on a besoin de repos, on a besoin d’amour. Tous nos besoins, c’est un 'je t'aime', tous nos besoins est un 'je t'aime'. Bien, on ne parle pas des sept péchés capitaux, hein? J'ai besoin d’argent, j’ai besoin de gagner à la loterie, j’ai besoin de ma maison; ça, ce n’est pas ça, on parle de 'j’ai besoin d’un repos'. Eh bien, le repos est un besoin chez nous parce que nous sommes créés; parce que nous sommes créés, nous avons besoin de Dieu.

Dieu est le repos. Nous, on n'a pas... je n’ai pas besoin de Pierrette, je n’ai pas besoin, moi, d’Éva, je n’ai pas besoin de Lucille, de Madeleine, je n’ai pas besoin de vous autres. Ce n’est pas vous autres qui allez m’apporter ou ce n’est pas moi qui vais vous apporter un repos, mais Dieu, Dieu va vous apporter un repos, parce que le repos vient de lui. J’ai besoin de nourriture? Eh bien, j’ai besoin de 'je t'aime', j’ai besoin de Dieu. C’est Dieu la nourriture et Dieu est partout. Essayez de trouver une pomme qui n’a pas de 'je t'aime' de Dieu, les rayons, la lumière, la chaleur, la nourriture, la terre : 'je t’aime' de Dieu. Souvenez-vous de ce qu’il nous a dit : «Vous étiez avant», et Dieu nous a donné l’univers, tout son contenu. Alors, tout ce qui est dans l’univers, toutes les planètes, tous les astres, les étoiles, tout est un 'je t'aime'. Alors, cela veut dire que lorsque nous prenons une goutte d’eau pour nous rafraichir, c’est un 'je t'aime' de Dieu.

Nous avons besoin de, absolument de tout. Lorsque cela est sain, tout est de Dieu. Lorsque nous avons besoin de chaleur, la chaleur vient de Dieu, parce que la chaleur est dans la création. Le soleil ne vient pas de lui-même et ce n’est pas un homme qui a créé le soleil, c’est Dieu. Alors, nous avons besoin de 'je t'aime'. Mais avant que nous ayons besoin de ça, nous avons besoin du 'je t'aime' qui est nous-mêmes avant. Voilà pourquoi Dieu nous a fait comprendre tantôt le 'je t'aime'. Il nous a amenés, avant même que nous soyons créés, il nous a amenés en lui, en sa Volonté, en son amour et là, par son vouloir, nous sommes venus. Alors, nous avons connu l’Alpha. Nous sommes l’Alpha, nous sommes 'je t'aime'.

Alors, voilà pourquoi Dieu nous dit : «Vous devez n’adorer que moi, 'je t'aime', que Dieu», et il est dit dans l’Évangile qu’il y en a un autre qui est semblable à ce 'je t'aime', c’est : «Aime-toi comme je t’aime, aime ton prochain», bien, c’est le 'je t'aime'. Voilà pourquoi Dieu dit combien c’est important de comprendre qui nous sommes, c’est toute notre vie. Lorsqu’on prend trop d’importance à l’extérieur, eh bien, c’est là qu’on commence à oublier les 'je t'aime', les 'je t'aime' de Dieu, et si on oublie les 'je t'aime' de Dieu, on s’oublie soi-même : on n’est pas capables de se donner du repos, on n’est pas capables de s’alimenter comme il faut, on n’est pas capables de se donner de la chaleur, de la fraîcheur, on perd des mouvements.

Chaque mouvement est un 'je t'aime', chaque mouvement est un 'je t'aime'; un clin d’œil est un 'je t'aime', une écoute, pouvez-vous comprendre chaque son qui vient frapper l’intérieur de notre oreille et qui fait vibrer afin que notre petite trompe là puisse, elle, capter? Eh bien, savez-vous combien qu’il y a de mouvements à l’intérieur de tout ça? C’est incalculable. Eh bien, ce sont des 'je t'aime'. Un bâillement, eh bien, c’est un 'je t'aime'. Il ne faut pas dire : 'Ouais, le bâillement, bien non, je vais me retenir de bâiller', bien, qui nous a appris à nous retenir comme ça? C’est nos manques de 'je t'aime' envers nous-mêmes. Nous sommes un 'je t'aime'. Tout ce qui est de Dieu pour nous est un 'je t'aime'. Alors, il nous a créés mouvements d’amour. Il a dit tantôt : «Mouvement de vie ou 'je t’aime'?» Quelle est la différence? Il n'y en a pas, nous sommes 'je t'aime'.

Voilà que débute bien notre fin de semaine. Alors, nous allons aller nous coucher. Nous sommes appelés à vivre la Divine Volonté. Merci Seigneur.