Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Plantagenet, Ontario,

par son instrument, la Fille du Oui à Jésus

 

2011-10-08 – P.M.  Partie 2 

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Êtes-vous fatigués? (R : Non.) Alors, nous allons passer par la période des questions et des réponses sur ce que nous venons d'entendre cette fin de semaine.

Q. C'est concernant les quatre volumes que je n'ai pas encore lus d'une page à l'autre, du premier au quatrième; alors, c'est une obligation? Je dois les lire au plus vite là, j'imagine. Je ne suis pas la seule, hein, je sais que je ne suis pas la seule. C'est pour ça. Merci, Seigneur, de me répondre.

R. La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Lorsque le Seigneur a fait écrire l'instrument que je suis, il ne l'a pas fait en quelques jours. Premier volume : il l'a écrit en quelques jours, oui, il est vrai, ainsi que le deuxième et le troisième. À un moment donné, le Seigneur, il a rajouté des mots entre les mots déjà écrits. Alors, Dieu va poser une question.

Jésus : Êtes-vous capables d'assimiler ce qui a déjà été écrit? (R : Non.) Eh bien, si tu as rajouté des mots entre les lignes, n'est-ce pas parce que vous n'étiez pas capables de comprendre? Dieu dit : «Soyez bons envers vous-mêmes». Le temps que vous prendrez à lire, eh bien, ce temps sera un temps d'amour pour tous les enfants du monde : guérisons et libérations seront accordées.

Lorsque vous passez le balai dans votre cuisine, est-ce que vous le passez seulement qu'une seule fois par jour? Oh! Mes enfants, je sais qu'il y en a qui ne passent même pas une fois aux quinze jours. Est-ce que cela vous empêche d'être dans votre cuisine? Eh bien, ce que Dieu va vous demander, c'est de prendre le temps de nettoyer votre moi, car ces lignes, mes enfants, c'est votre vie. Tous ces mots ont été écrits par ma Volonté pour vous montrer que vous n'êtes rien sans Dieu, que vous êtes tout pour Dieu, et que votre prochain a besoin avant tout de Dieu afin qu'il puisse apprendre que Dieu s'est servi de vous pour les aider.

As-tu compris cela dans le premier volume? Et vous, avez-vous compris cela? (R : Non.) Alors, relisez-le. Il n'y a que Dieu qui puisse vous amener à découvrir qui vous êtes. Il en faut des coups de balai, mes enfants, pour vous nettoyer, mais mon balai, il est fait d'amour et il a la douceur des ailes d'une colombe. Alors, n'ayez pas peur, faites confiance en Dieu. Tout est là pour vous, c'est un bon repas. Mais je n'oublierai pas, mes enfants, de vous dire qu'une bonne digestion, ça prend un temps. Dix ans, mes enfants! N'est-ce pas depuis 2001 que je vous parle? Et cela est tout écrit dans les petits cahiers, c'est pour vous, c'est votre digestion. Je vous aime, mes amours!

Lucie : On a manqué de livres, mais on va en avoir ce soir, Éric arrive avec les boîtes. Ceux qui sont venus, puis qu'on n’en avait pas, on va en avoir, inquiétez-vous pas.

Q. Hier soir, vous avez parlé de pardon, de miséricorde. J'aimerais savoir, peut-être pour me trouver une excuse, si Dieu a fait des tempéraments plus explosifs que d'autres, comme le mien? Quand j'étais jeune, je recevais certains coups, puis là, je méditais devant Dieu puis, pour pardonner, ça me prenait du temps. Alors, avec le temps, bien j'ai commencé à connaître un peu plus Dieu et puis là, j'ai essayé de faire comme lui disait : «Père, pardonne-leur parce qu'ils ne savent pas ce qu'ils me faisaient». Puis quand ça empirait, le Seigneur me disait : «Tu peux en baver, mais je ne pense pas que tu vas en baver comme on m'en a fait baver.» Et là, peut-être que, par orgueil, je pardonnais parce que ça empirait. Et là, le Seigneur Jésus m'a confié quelque chose : saint Joseph. On ne rapporte aucun mot de lui. Et là, je fais rien que parler et je demande souvent la grâce un peu, disons de méditer plus avant de parler. C'est tout.

R. La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Lorsqu'il y a une tempête et qu'on voit soulever des autos, des arbres centenaires se déraciner, des tout petits nids d'oiseaux se renverser, une fois que la tempête est arrêtée, là on peut mesurer la force de la tempête. Le caractère est celui que Dieu a voulu pour l'enfant. Il est la force de l'amour, il est la justice du partage, il a la fidélité à l'obéissance, il est vrai parce qu'il vient de Dieu. Dieu ne s'est pas trompé en mettant à chacun de ses enfants un peu de lui-même, mais lorsque l'enfant ne sait pas quoi faire de ce qu'il a reçu, il s'ennuie, il se sent seul et pour combler cette solitude, il se fait des amis, mais il ne réalise pas qu'eux aussi s'ennuient. Alors, deux caractères qui s'ennuient ne peuvent pas se comprendre, car ils ne savent pas pourquoi ils s'ennuient.

Tout cela pour vous dire, enfants d'amour, que seul Dieu vous connaît, seul Dieu connaît votre caractère. Il se mesure selon vos choix : si vos choix ont fait fructifier vos œuvres, c'est que vous avez profité de la sagesse de Dieu, de la justice de Dieu, de l'amour de Dieu, du partage, de la patience; mais lorsque vous n'avez pas profité de ce que Dieu est, c'est que vous avez profité de l'autre, de l'autre qui, lui, ne savait pas qui il était devant Dieu. Vous avez souffert à cause du caractère de l'autre, incapable de regarder le vôtre.

Peut-on accuser un père, une mère, lorsqu'on ne sait pas que l'on a de la patience, lorsqu'on ne sait pas que l'on doit être juste comme Dieu est juste? Dès l'enfance, l'enfant développe ce qu'il voit et qu'il accepte pour lui-même. Il souffre de ne pas comprendre pourquoi il est ainsi. Sa mère et son père deviennent donc pour lui de la souffrance. Un ami, un frère, une sœur qui sont enfants de Dieu comme lui deviennent pour lui des ennemis. Qui a fait tout cela? Dieu qui nous a donné un caractère ou les tentateurs qui nous mettent dans des situations pour que notre caractère se maintienne dans l'ignorance? Nous avons tous un caractère et c'est le choix de Dieu. Si à l'intérieur de nous, nous avons des marques, c'est parce que nous n'avons pas su nous servir de ce que Dieu nous a donné, et aujourd'hui on souffre.

Regardons le monde entier : il souffre. Nous sommes devenus une nourriture, les uns pour les autres, sans amour. Alors, nous devons alimenter notre caractère de foi, d'espérance et de charité. Alors, on va s'entraider en priant Maman Marie. Mettez le soir vos demandes dans le Cœur de Marie. Elle, elle va tout prendre et lorsque nous dirons : 'Maman, on prie à tes intentions', eh bien, tout sera accompli. En attendant d'être exaucés, endurons notre caractère et demandons la protection de Marie et la persévérance de dire : je te donne causes, choix et conséquences. Et voilà : je refuse, et encore et encore et encore jusqu'à dire : nous sommes une nourriture d'amour. Amen.

Q. Seigneur, quand j'étais bébé et que j'étais malade, puis j'allais chez le médecin, si je n’avais pas eu ma mère à côté de moi, j'aurais paniqué et j'aurais pleuré. Est-ce que, lorsqu'on va être jugés par ta miséricorde, est-ce qu'on va sentir la main de Marie et est-ce qu'on va avoir le droit de crier : "Maman!"

R. La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Oui. Un jour, on était en prière et nous avons entendu le Seigneur Dieu, l'Esprit-Saint, à travers moi : "Mon Dieu, souviens-toi de moi lorsque moi je ne me souviendrai pas de ta miséricorde, de ton sacrifice pour moi." À la fin de la prière, là on a réalisé combien c'était pour être difficile de passer à travers de la Grande Purification de la chair. Nous n'avons pas lâché, nous avons continué le chapelet et le lendemain, Jésus a dit : «Mes enfants, j'ai un cadeau à vous donner, est-ce que vous l'acceptez?» (R : Oui.) Alors, il a dit : «Levez-vous debout.» Et là, il a dit : «Je vous donne ma Maman, elle sera auprès de vous.» Oui, Maman Marie sera auprès de nous. Oui, nous crierons : "Maman!" et elle sera là. Amen.   

Q. C'est la première fois que je viens ici et j'ai aucune idée des volumes ni de ce qu'ils contiennent. Alors, ma question serait de savoir : Est-ce qu'on parle des personnes qui souffrent beaucoup, des personnes qui ont des très grandes douleurs, des douleurs qui sont constantes, et essayer de rester dans la joie du Seigneur malgré cette douleur de guérison qui n'arrive pas, qu'on espère, mais qui ne vient pas, le travail que l'on cherche, mais qui ne vient pas non plus? Est-ce que les livres en parlent? C'est ma question.

R. La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Il y a quelques années, avant que le Seigneur parle à l'intérieur de moi, j'ai crié vers Dieu. Lorsqu'on voit des guerres, lorsqu'on entend parler de massacres, lorsqu'on entend parler de cancer, lorsqu'on entend parler des enfants qui viennent au monde avec le sida, lorsqu'on entend parler de ceux qui souffrent, qui se font violer, des toutes petites filles massacrées, que lorsque c'est continuel, lorsqu'on n'entend que cela, on crie vers Dieu : "Mon Dieu, fais quelque chose."

Je ne connaissais pas que la Vierge Marie apparaissait en dehors de Lourdes, de Fatima, je ne connaissais pas de messagers. Lorsque j'ai commencé à prier en groupe, parce que je ne connaissais même pas ce que c'était que de prier en groupe, là j'ai vu une Église souffrante. Dieu a commencé à me parler; puis, pourtant, ce que je voyais, c'était des personnes qui priaient, mais qui se jalousaient : un groupe contre un autre groupe, un prêtre contre d'autres prêtres, des religieuses qui quittaient leur couvent pour vivre comme les autres. J'ai pleuré.

J'élevais mes enfants, j'avais un mari, j'allais à la messe et c'était mon monde à moi, c'est ce que j'avais connu de la prière. Mais Dieu m'ouvrait les yeux, parce que ce que je voyais n'était que de la souffrance. J'avais l'impression de monter une vague; une fois que la vague était en haut, c'était le bonheur vers Dieu, mais je retombais plus bas. Et ce qui me faisait tomber plus bas, c'était la souffrance. Où était notre Église? Où étaient nos priants? Où était la foi? On parlait de fermer les églises. J'entrais dans un monde que je ne connaissais pas. Ça ne se pouvait pas, ça ne se pouvait pas que l'Église puisse faire ces choses! L'Église, c'est chacun de nous, là. Où était donc notre foi? Où étaient les enfants qui croyaient en Dieu, qui suivaient Dieu? Tout ce que je voyais, c'était des priants qui étaient plus souffrants que ceux qui demeuraient à la maison, qui avaient une p'tite foi, mais leur foi, ils la vivaient.

Là, j'ai été aux pieds de Marie et j'ai donné ma vie : mourir pour que mon mari, mon garçon aillent au Ciel. Mais j'y croyais à ça, moi, je n'avais aucun doute, mais voir une Église telle comme elle était, ce manque de foi! C'était une gangrène dans l'Église ce manque de foi. Plus je pénétrais dans ça, plus je voyais : "Mon Dieu, sauve-nous!" Oui, c'est vrai que j'ai crié, j'ai crié vers Dieu, mais lorsque j'ai crié, j'ai cru en mon cri : "Oui, Jésus, tu es là." J'avais pas de doute que Dieu était là parce que Dieu est dans notre vie.

Dieu nous montre ses merveilles. Je les avais découvertes ses merveilles. Quand je regardais des enfants que je gardais : "Merci, mon Dieu." C'étaient eux qui étaient vrais. À un moment donné là, j'en manquais; alors j'ai été travailler encore dans mon métier : coiffeuse. Oh! que j'ai découvert ce monde de souffrance, de souffrance et de souffrance! Je voulais retourner auprès de mes petits enfants, m'asseoir à terre avec eux et chanter, se tenir la main et dire : nous sommes des amis et Jésus est notre ami. Eux y croyaient, mais les grands n'y croyaient pas, pas avec leur cœur d'enfant. Alors Jésus, par Maman Marie, hein, il a envoyé sa Maman en premier, il est venu, il est venu ouvrir nos cœurs. J'ai entendu Maman Marie parler : une voix douce, douce, douce à l'intérieur, tellement belle. Nous avons une vraie Maman.

Une fois, elle m'a montré, elle m'a montré un roseau. Il était dans un champ et le champ n'était pas dans la lumière ni dans la noirceur, mais il était là. Puis le vent soufflait; il penchait d'un bord, et le vent soufflait et il penchait de l'autre côté. Là, elle m'a montré après une jeune fille qui se tenait très fort après le roseau qui se balançait d'un bord et qui se balançait de l'autre. Elle disait : «Prie, prie, parce qu'ils sont fragiles.» On est fragiles, on est comme un roseau. Quand le vent pousse à l'est, on tombe à l'est, quand il est à l'ouest, on tombe à l'ouest. On n'est pas capables de se maintenir debout devant Dieu. Elle, elle s'est tenue debout au pied de la Croix et elle n'a pas bronché. Et elle m'a amenée dans le Cœur de son Fils, et j'ai entendu Jésus, la voix de Dieu. Et cette voix, c'est une voix ferme, mais remplie de douceur.

Il nous a appris ce qu'est l'amour. «Je suis l'Amour, tu es l'amour, je vis en toi, tu vis en moi. Parce que je vis en toi, que tu vis en moi, tous les enfants de mon Père sont en toi.» Pour la première fois, j'entendais parler d'amour, sans détour. C'était l'amour, l'amour et l'amour. J'ai appris à aimer mon prochain, pas à pleurer sur mon prochain puis à me lamenter : à aimer mon prochain.

Aujourd'hui, je travaille pour construire un refuge après avoir laissé Jésus bâtir mon refuge : le mien. Il en a fallu des 'je t'aime', il en a fallu encore des 'je t'aime' pour comprendre qu'il n'y a qu'un seul Dieu et que nous n'avons pas besoin d'idoles, que nous n'appartenons qu'à Dieu et pas à ce monde. Là, on devient armés d'amour pour aimer le monde et c'est Dieu qui me l'a appris, et j'ai appris à me regarder, à ne pas dire : "Jésus, quand est-ce que tu vas faire en sorte que les enfants s'aiment entre eux?" Nous avons appris ensemble qu'il fallait commencer par nous-mêmes, qu'il fallait qu'on se découvre être amour pour Dieu, pour nous-mêmes et pour notre prochain.

Ces moments, je les ai passés avec mes frères et mes sœurs, un peu partout, et j'entendais, comme aujourd'hui, comme cette fin de semaine, la voix de Dieu à l'intérieur et je répétais. Et j'étais toujours accompagnée de Nicole lorsque je sortais du Québec et on apprenait ensemble. On disait : "Ah! C'est la plus belle rencontre!" et on en faisait une autre et on disait : "Ah non, c'est la plus belle!" Il nous a maintenus comme cela depuis 2001 jusqu'à ce jour. Nous ne sommes plus capables, bien, moi du moins, de compter le nombre de rencontres que nous avons eues. Est-ce qu'il y en a… Martine, on n'est plus là à compter les rencontres, n'est-ce pas? On a dépassé de beaucoup le cinq à six cents rencontres?

Pour ceux qui ont lu, est-ce qu'il y a une rencontre qui est identique à une autre rencontre? (R : Non.) Le Seigneur a dit : «C'est parce que chaque personne dans la salle forme la rencontre.» Alors, tout vient de Dieu et pas de nous. Il n'y a pas un humain qui peut lire dans les cœurs et donner ça, en avant, de jour en jour, de jour en jour. Bien moi, j'en connais pas. Et je ne suis pas habitée d'une entité! Une entité ne parle pas d'amour, de sacrements, d'Eucharistie. Non, mais des enfants d'amour qui se laissent entre les mains de Dieu, Dieu s'en sert. Dans les livres, Dieu nous parle d'amour, Dieu parle de l'amour du prochain. Dieu parle de la très Grande Purification de la chair dans le quatrième et, tranquillement, il nous a amenés à comprendre ce qu'il a écrit par l'instrument que je suis.

C'est pour nous amener, là où nous sommes aujourd'hui, à la très Grande Purification de la chair afin qu'on rentre dans un monde d'amour, car il est écrit dans l'Évangile : «Vous vivrez un temps d'amour où Satan, le mal, ne tentera plus les élus de Dieu.» Nous n'avons pas encore vécu ce temps, mais il est en train de le construire. Après ce temps, là, Satan sera déchaîné à nouveau, là il reviendra tenter les élus, et Dieu a dit, hein : «Je l'anéantirai de mon souffle.» Mais avant, il devra s'incliner pour adorer le Fils de Dieu, Celui même qu'il n'a pas voulu adorer. Il le fera devant ses acolytes et devant tous les anges, tous les saints du Ciel et de la terre, car ils seront sur la terre avec nous – si nous sommes encore sur la terre – et ce sera la résurrection de toute chair.

Ce sera la très, très grande victoire sur la Mort éternelle, car tous les enfants de Dieu seront ressuscités dans une chair pure. Tout sera accompli. Mais avant que cela se fasse, nous avons à vivre un temps d'amour et c'est ce temps que Dieu est en train de nous parler. Voilà ce qui est écrit par la Volonté même de la Divine Volonté. Merci, Seigneur.

Q. Le Seigneur, en fin de semaine, nous a parlé. Il y en a qui disent la comète, qu'il y aura quelques poussières… j'aimerais savoir ce que le Seigneur veut nous dire par cela.

R. La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Non, ce ne sera pas la poussière de la comète. Combien de personnes ouvrent leurs oreilles pour entendre parler de la comète? À travers moi, le Seigneur a parlé d'une masse, oui, c'est vrai, l'année passée, il me l'a même montrée, et croyez-moi qu'elle est grosse et immense et elle approche par une très grande vitesse. Et ce qu'elle traîne avec elle, c'est ce qui va frapper la terre.

Mais ce n'est pas là que nous allons le vivre. Nous aurons à vivre la très Grande Purification de la chair avant. Ne mettez pas, hein, la charrue avant les bœufs, qu'on dit! Laissons à Dieu ce qui est à Dieu. Oui, il nous a parlé de cette masse qui viendrait frapper la terre, mais il a dit quoi? «Priez, priez, priez». Et à Noël, qu'est-ce qu'il nous a annoncé? Oui, que le passage de la comète avait été dévié. Eh bien, voilà qu'il écoute nos prières! Oui, le Ciel écoute nos prières et Maman Marie nous demande sacrifices, pénitence, prières, les commandements, oh! la messe, la messe! Dans les commandements, il y a la confession. Il faut suivre les lois de Dieu.

Dieu nous demande de vivre l'Évangile, pas seulement de la lire, mais de la vivre. Maman Marie nous dit : «Aimez-vous les uns et les autres» et elle le dit souvent. Et elle a dit : «Aimez tout enfant de toute religion, de toute langue, de toute nation.» C'est ce que Maman Marie nous dit. Alors, il faut s'aimer, hein, sans condition.

Il y a, oui, les refuges. Notre refuge intérieur, ça, c'est le principal. Sans notre refuge, les refuges n'existent pas à l'extérieur. Et il y a les refuges extérieurs. Là où vous êtes, faites de votre demeure, une demeure de sainteté. Débarrassez-vous de vos idoles, débarrassez-vous de votre lingerie qui peut être partagée et gardez ce qui vous est nécessaire. C'est la même chose dans votre coutellerie ou dans vos armoires, là, et dans votre garage. Ayons une bonne conduite et notre demeure sera un refuge. Ne vous inquiétez pas, là où vous êtes, si vous voulez que votre demeure soit un refuge, eh bien, que la Bible y soit et que votre paix, que votre joie et que votre amour soient pour votre demeure : l'âme. Qui nous donne la paix, la joie et l'amour? Eh bien, elle est à qui votre demeure? La demeure de Dieu.

Une personne qui est dans la paix, est-ce qu'elle panique pour la nourriture? (R : Non.) qui est dans la joie, est-ce qu'elle s'inquiète pour le froid, le manque d'électricité? (R : Non.) Laissez Dieu vous nourrir. Lorsque quelque chose monte en vous, allez tout de suite voir Maman Marie, priez. Et si cela continue, faites ce que le Ciel vous demande, dans la paix, dans la joie et dans l'amour. N'allez pas dévaliser les magasins. Dieu va prendre soin de nous. Il est en train de nous remontrer à cuisiner; oh oui, à faire du pain, à faire nos biscuits, nos conserves. Il est en train de nous remontrer comment faire du savon, savon pour le linge, pour la vaisselle, pour notre corps, pour nos cheveux. Il est en train de nous faire revivre ce que nous avions pensé que cela était mort : les talents.

Croyez-vous que nous allons entrer dans un monde d'amour sans savoir tout cela? Et Dieu dit : «Je multiplierai selon ce que vous donnerez à votre prochain. Plus vous partagerez, plus vous serez dans l'abondance pour donner à nouveau.» Pas pour remplir nos garde-robes : pour donner. «Il n'y a pas de plus grand amour que de donner sa vie pour ceux qu'on aime.» Eh bien, on donne notre vie lorsqu'on fait de la popote, lorsqu'on construit : on donne pour notre prochain. Oui, il est vrai que lorsqu'on finit notre journée, quelquefois on est fatigués! Mais où l'on va? Au chapelet. Alors, là où vous vous trouvez dans votre refuge chez vous, n'oubliez pas le chapelet. Et c'est une fois par semaine ou à tous les jours? (R : À tous les jours.) Si vous n’avez pas connaissance de la quatrième ou la cinquième dizaine, bien, votre ange priera pour vous, mais soyez assurés que vous allez vous relever avec un repos.

Malgré notre âge, hein, des 'old timers' pour la plupart – on ne parle pas de Dominique, puis de François là, puis Marie-Ève, puis les autres là – et puis certains chez vous, mais on parle, pour la plupart là, regardons nos cheveux, hein? Si je vous regarde, moi, là, on est tous des 'old timers'! Alors, on fait des refuges pas pour nous : pour notre prochain. On ne sait pas si ces refuges seront pour nous lorsque nous serons dans la terre d'amour à reconstruire la terre d'amour, on ne le sait pas. Mais c'est le présent qui compte. Faire ce que le Seigneur nous demande de faire pour lui, nous devant lui pour notre prochain. Et c'est cela qui compte.

Lorsque la grande, très Grande Purification de la chair s'accomplira, eh bien, il restera un temps encore où nous vivrons sur la terre avec les enfants du non. Maintenant, est-ce que la masse, elle, nous aura déjà touchés par ses poussières? Car Dieu ne nous aurait pas dit : «Vous allez demeurer, un court temps, avec les enfants du non. Vous vivrez de grandes tribulations. On vous obligera à adorer l'antéchrist.» Est-ce que cela est arrivé? (R : Non.) Est-ce que ce sont les enfants du oui qui vont faire cela ou les enfants du non? (R. Les enfants du non.) Alors, est-ce qu'il faut attendre pour 2012? C'est pas dans quelques mois, ça, là! La masse? (R : Non.) Il y a des choses qu'il faut vivre. Alors, gardons notre paix.

Maintenant, est-ce que, après avoir passé la très Grande Purification de la chair, notre chair sera une chair purifiée? (R : Oui.) Est-ce que cette chair sera une chair comme Dieu a toujours voulu qu'elle soit avant la tache originelle? (R : Oui.) Est-ce que cette chair pure le sera par la Divine Volonté? (R : Oui.) Est-ce qu'Adam et Ève, avant la tache originelle, étaient pour connaître la mort sur la terre? (R : Non.) Alors, est-ce qu'il est dit dans la Bible : «Un sera enlevé et l'autre demeurera»? (R : Oui.) Où ils étaient pour aller? Au marché? Non. Dieu va nous élever de terre. Est-ce qu'il peut élever de terre des enfants impurs? (R : Non.) Il ne le fera pas. Pourquoi? Parce que nous avons une liberté. Alors, il faut donc être enfants de la Divine Volonté : ta Volonté, que ta Volonté. Alors, si nous sommes élevés de terre, c'est que nous serons enfants de la Divine Volonté. Pour être enfants de la Divine Volonté, il faut passer par la très Grande Purification de la chair.

Maintenant, pourquoi Dieu nous élèverait de terre? Dieu ne permettra jamais à des chairs pures de connaître la mort, de connaître l'ensevelissement sous la terre, de connaître ce qui pourrait nuire à une chair parfaite. Nous sommes enfants de la Divine Volonté à le devenir et lorsque Dieu nous appellera, nous monterons vers lui et Dieu purifiera la terre. Tout ce qui a été contre Dieu disparaîtra et nous, nous serons devant Dieu comme nous l'avons été avant de venir sur la terre. Enfants de la Divine Volonté nous avons été et enfants de la Divine Volonté nous serons devant Dieu. Dieu choisira.

Oups! Dieu choisira ses enfants afin qu'ils forment douze tribus. Ces enfants sont déjà choisis puisque je les ai vus. Douze personnes sont les douze tribus d'Israël, le peuple de Dieu, et autour d'eux, il y aura des enfants choisis par Dieu pour que la terre d'amour soit comme Dieu a toujours voulu qu'elle soit. «Tu me serviras, moi, ton seul Dieu. Tu me donneras ce que, moi, je te demanderai. Ta pensée sera ma pensée, car ma pensée nourrira ta pensée. Rien ne sortira de toi si ce n'est ma Volonté. Tu apporteras à ton Dieu tes œuvres, tu me les présenteras et je te ferai chanter ma Gloire. Tu seras mon peuple, je serai ton Dieu, ton Père.» Et Dieu a choisi certains d'entre nous.

Sommes-nous consentants à continuer les refuges pour ceux qui seront choisis, ne sachant pas qui? (R : Oui.) Et voilà ce que Dieu a préparé pour nous. Alors, la masse, c'est pas demain. Tout cela, c'est la chronologie de Dieu. Prenons au présent ce que Dieu va nous faire vivre. Avons-nous fait ce que Dieu nous a dit? Il nous a dit : «Vivez ma miséricorde.» Voilà le pas que nous sommes en train de faire et qu'il nous a demandé hier. C'est pas beaucoup, ça? (R : Oui.) Alors, vivons-le. Amen. Merci, mon Dieu.

Le souper est à cinq heures. Il n'y a pas de prêtre et Michel n'est pas ici dans la salle, hein? Alors, avant de partir, on va dire notre bénédicité tous ensemble, une seule famille. Faisons notre signe de la croix en nous maintenant avec la foi devant tous les prêtres qui, jusqu'à aujourd'hui, nous ont donné une bénédiction avant nos repas. Au nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit. Amen.