Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Plantagenet, Ontario,

par son instrument, la Fille du Oui à Jésus

 

2006-06-03 - A.M.

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Nous sommes l’Église, nous sommes vivants.

Nous avons donné notre oui; nous, ne nous appelle-t-on pas fils du oui à Jésus et fille du oui à Jésus? Nous appartenons au oui de Jésus; nous étions perdus et il nous a appelés pour qu’on puisse se retrouver.

Beaucoup ont besoin, beaucoup ont perdu la foi à cause de tout ce qui se passe dans le monde; nous avons entendu parler hier soir du Code Da Vinci; combien de nos frères et de nos sœurs se perdent dans ce mouvement! Ils perdent leur foi, ils perdent leur confiance en Jésus, mais pas tous; mais Jésus dit : «Une très grande majorité».

On a (voulu) atteindre Jésus, la Lumière; on veut démontrer au monde que la Lumière n’était pas la lumière, que l’Évangile ne disait pas la vérité.

L’Évangile est la Parole et la Parole est Dieu : Dieu ne se contredit pas, Dieu est la Droiture; Dieu est la Pureté, là où il y a la pureté, il y a la vérité, là où il y a la vérité, il y a la lumière.

Tout est pour nous; nous devons continuer avec ce qu’il nous a montré hier et, aujourd’hui, il nous a demandé de prier sa Mère afin de nous aider.

Il y a une différence lorsqu’on dit : “Afin d’aider nos frères et nos sœurs”, c’est comme si on se mettait en face d’eux pour dire : “Vous avez besoin de nous”; Jésus, il dit : «Afin de nous aider».

Nous, comme eux, nous avons besoin de Marie; nous, comme eux, avons besoin de nos frères et nos sœurs du monde entier afin d’avancer tous ensemble vers ce monde d’amour qui est commencé; nous devons nous laisser plonger dans ce mouvement d’amour.

 

Jésus : Tout en vous, il y a un mouvement; tout en vous, il y a la pureté.

Enfants d’amour, que connaissez-vous de la pureté? Comment avez-vous pu être lumière sans connaître la pureté? La pureté, mes enfants, c’est être vrai en Dieu; la pureté, c’est être mouvement en connaissant la Volonté de Dieu le Père; la pureté, c’est l’obéissance, comme le Fils a été obéissant à Dieu le Père; la pureté, c’est être enveloppé du Saint-Esprit afin d’entendre et de comprendre la Volonté de Dieu le Père : là est le mouvement de la pureté.

Dieu va vous raconter une histoire.

"Un jour, un enfant est allé vers un autre enfant; il lui a demandé : “Est-ce que tu pourrais me parler de la pureté?” L’autre lui dit : “La pureté, c’est être capable de se tenir propre devant Dieu.”

Celui qui lui avait demandé cette question lui dit : “Comment être propre devant Dieu?” L’autre lui dit : “Mais tu n’as qu’à tenir ton âme propre; pour tenir ton âme propre, il faut que tu ailles à la confesse.”

L’autre lui dit : “Alors, je suis pur, puisque je vais à la confesse”; et l’autre hausse les épaules et lui dit : “Ah! oui, tu es pur.”

Alors, (tous) les deux partent et ils avancent, et ils avancent jusqu’au moment où ils doivent se quitter; ils s’arrêtent, l’un regarde l’autre, ils disent : “Nous sommes purs, alors allons chacun de notre côté et allons raconter cela aux autres”.

Le premier, qui avait posé la question, rencontre des personnes sur son chemin et il se mit à parler de pureté, disant que la pureté, c’est être capable de reconnaître ce qui est bien, c’est être capable de bien se comporter devant son prochain, c’est être capable de se dire enfants de Dieu; il était très fier de ce qu’il disait et les autres écoutaient; alors, ils se sont dit : “Nous allons essayer de faire ce qu’il dit.”

L’autre, qui était parti de son côté, lui, rencontra aussi un groupe et il dit : “Il faut que je vous parle de la pureté;” les autres se disent : “On en a que faire de la pureté; nous, on veut vivre comme bon nous semble.”

Alors, l’autre insista, il dit : “Mais si vous faites ce que vous voulez, vous n’irez pas au Ciel”; les autres se disent en eux-mêmes : “Il n’a pas, lui, à nous donner de leçons, nous allons continuer à faire ce que nous, nous avons commencé.”

Et l’autre les suivait, il essayait de les convaincre : “Ne faites pas ceci, ne faites pas cela; regardez ce que vous faites, cela fait de la peine à Dieu; ne faites pas cela, vous allez vous perdre”; et plus il parlait et plus les autres s’enrageaient, et plus les autres faisaient pire; et il ne cessait de parler, et de parler, et de parler, si bien qu’il se découragea : “Ils sont sourds, ils ne veulent rien entendre”; il leva les yeux vers le ciel, il dit : “Oh! Dieu, qu’est-ce que je vais faire avec eux? Je veux les aider et ils ne veulent pas être aidés.”

Alors, il se tait et il marchait avec eux dans le silence, et il souffrait en son intérieur, et il souffrait, et il souffrait; les mois, les années ont passé, il souffrait, car ce qu’il voyait était la désobéissance à Dieu.

Tout son être commença à se fermer, à se fermer face à ce qu’il voyait; comme il souffrait trop, il ne voulait pas participer à cette souffrance, alors il devint un être renfermé, ne voulant plus parler; il ne souriait plus; il priait en silence et plus il priait et plus il regardait son prochain avec sa peine à l’intérieur de lui, il hochait la tête; son poids était si lourd, il en devint à oublier qu’il devait tout à Dieu; lui-même perdait ce besoin d’aller à la confesse; il parlait toujours à Dieu, mais il se demandait pourquoi Dieu n’agissait pas, lui avait fait son possible; il se disait : “Dieu, pourquoi ne viens-tu pas leur démontrer ta puissance? Fais tomber le ciel sur leur tête afin qu’ils puissent réagir, viens les brasser.”

Et comme Dieu ne répondait pas à sa prière comme lui le voulait, il commençait à perdre foi, foi en ses prières, foi en ses paroles, foi en l’agir de Dieu, en l’Église.

Il continuait tout le temps à vouloir aimer Dieu, mais comme il était capable de le faire : avec sa souffrance, ses manques de foi; il était si amer, il regardait les autres.

Un jour, il s’est approché d’eux; il voyait qu’ils s’amusaient, il voyait qu’ils se comportaient comme des êtres voulant faire ce qu’ils voulaient; eux étaient dans leurs souffrances et lui était dans sa souffrance.

Sa volonté humaine regardait et écoutait; il laissa pénétrer en lui leur impureté; il combattait cette impureté, mais cette impureté commençait à prendre de la place en lui; il se secouait : “Je ne veux pas de cela,“ mais dans les moments de solitude, dans les moments de tristesse, il allait vers ce mouvement impur.

Ce mouvement impur prenait de plus en plus de la place, si bien que ses sentiments étaient tout mélangés : vouloir plaire à Dieu et vouloir se plaire, vouloir être obéissant à Dieu et vouloir se donner de la paix en chassant cette douleur.

Comment vivre avec cela? Alors, il vient à être un être comme les autres; il ne réalisait pas qu’il était devenu impur dans ses pensées; son cœur s’était perdu dans ses pleurs, dans ses découragements, dans son manque de foi; il était incapable maintenant de voir la lumière de Dieu, car les ténèbres l’envahissaient.

Ses sens commençaient à devenir esclaves de ses sentiments; ses sens étaient sous l’influence de ce qu’il avait laissé pénétrer en lui.

Des besoins commençaient à se faire sentir en lui : des besoins impurs; lorsque ces besoins étaient très forts, en lui, il y avait quelque chose qui disait : “Va, va vers ce besoin, n’aie donc pas peur; tu vois comme c’est agréable, personne ne sait. Il est bon de te donner quelques plaisirs, tu pries tant! Tu te donnes tellement, donne-toi du plaisir.”

Alors, il alla vers cette impureté, et il se laissa prendre au piège par des pensées, des pensées d’impureté puisqu’il avait vu de l’impureté, puisqu’il avait vu des personnes faire des actes impurs.

Car il avait eu devant lui des images accompagnées de sons qui lui avaient montré des actes impurs : des hommes et des femmes, des hommes et des hommes, des hommes et des animaux, des femmes et des animaux se donner des plaisirs sexuels, même il avait vu des enfants faire des attouchements à des êtres adultes; il avait vu cela, il avait été témoin de cela; en premier, il avait pleuré sur cela, maintenant, il se souvenait qu’il avait ressenti et qu’il avait laissé cela pénétrer en lui, et il était lui-même maintenant dans ces pensées.

Et lorsqu’il revenait à lui, il pleurait, il ne comprenait pas pourquoi il s’était laissé prendre par ce besoin sexuel, alors que lui savait que cela était contre la pureté, contre les commandements de Dieu, contre les paroles de Jésus : être doux et humble de cœur, être comme un enfant pur devant Dieu; tout cela était aussi en lui, il aurait voulu disparaître, il aurait voulu ne plus être lui.

Les jours avan(cèrent); à l’intérieur de lui tout était là : l’impureté avait fait son chemin, l’impureté s’était logée; maintenant qu’il était dans ce mouvement, le mal agissait, le mal prenait de l’emprise sur cet être, le mal voulait encore et encore le tenter, parce que le mal avait comme maître Satan.

Ainsi, dans les moments de solitude, dans les moments où il aurait dû prier, s’abandonner entre les mains de la Mère de Dieu, lui se laissait prendre par ce besoin qui venait en lui; c’était si fort, si souffrant et, en même temps, la connaissance!

Il avait connu des sentiments, (des) sentiments s’étaient révélés; les sentiments qui avaient été repoussés – parce qu’il avait choisi la pureté – étaient là dans sa vie.

Il aurait voulu se fouetter, il aurait voulu prendre une douche froide, glacée, mais ce besoin, ce besoin le tenaillait, il était tout plein de frissons, et il tomba, tomba si bas, si bas et si bas, une fois, deux fois, dix fois, vingt-cinq fois : “Oh! cette impureté, oh! ce mouvement, il fait de moi un être impur devant la Face de Dieu; Dieu ne m’aime plus, je ne peux plus dire aimer Dieu, car j’en ai plus le droit”.

Lorsqu’il était seul avec lui-même, il pensait ainsi, mais lorsqu’il était avec ses frères et ses sœurs, là, il démontrait un être qui aime Dieu, un être qui était obéissant à Dieu, un être qui voulait apprendre aux autres les commandements de Dieu, un être qui voulait enseigner la Parole de Dieu, parce qu’au plus profond, c’est ce qu’il voulait faire.

Alors, un mouvement commença à apparaître en lui : à être tout à Dieu et être tout à lui-même; être pour Dieu était devenu pour lui un besoin et ce besoin était de parler, de parler de Dieu, de démontrer que Dieu est vrai; là, il se sentait bien, il pouvait être sincère avec ce qu’il voulait.

Lorsqu’il était dans l’autre mouvement, c’était l’être impur, celui qui se cache, celui qui va vers des plaisirs impurs, celui qui démontre à son intérieur (qu’il) peut faire des gestes impurs, cachés, pour ne pas que les autres sachent.

Il s’était donné ce mouvement, et plus il le faisait, plus il se sentait bien : “Pourquoi ne pas me donner ce que je connais maintenant? Pourquoi ne pas être comme les autres? Ne pas me faire souffrir? J’ai le droit.”

Alors, cet être continua à vivre dans la tromperie; c’était lui qui se trompait; il se trompait et il se faisait souffrir, jusqu’au jour où cette souffrance était tellement grande qu’il alla vers d’autres personnes, car ce qu’il connaissait ne lui suffisait plus, car le mal avait plus d’emprise sur lui.

“Mais comment faire ces gestes sans que les autres le sachent?” Alors, il cibla quelques personnes, et il alla vers ces personnes; et lorsqu’il était incapable de cibler des personnes comme lui, il alla vers l’innocent, car il pensait que le petit être était pour ne pas parler, incapable de distinguer ce qu’il était pour lui demander.

Il était devenu un être si pervers dans ses pensées, dans ses actions, dans ses sentiments! Mais que de souffrances, que de souffrances il ressentait!

Cet esclavage le rendait fou, car lorsqu’il revenait à lui, il était si malheureux; l’enfant qu’il était en Dieu ne pouvait pas accepter cela, et il souffrait; il aurait tant voulu revenir au tout début, il n’en était plus question maintenant, car il se croyait perdu.

L’autre, l’autre qui avait parlé de la pureté, avait été vers des gens qui avaient voulu entendre; lui aussi avait été témoin d’impureté parce qu’il avait vu ces images accompagnées de son qui montraient l’impureté, et il avait prié Dieu : “Oh! Dieu, vois ce que tes enfants montrent aux autres enfants, donne-leur la force de rejeter cela; laisse-moi les nourrir de ta Parole, fais-(moi) démontrer que tu es présent, je te donne ma vie; mes mains sont tes mains, je ne suis plus moi, je suis toi; lorsqu’ils viennent à moi, ils viennent vers toi et non pas vers moi; lorsqu’ils confessent leurs péchés, c’est toi qui écoutes, c’est toi qui parles, c’est toi qui absous; tu es amour, tu es ma force, je veux de toi.“

Et l’être continuait toujours à parler ainsi pour ne pas perdre sa foi, car plus les années avançaient, et plus sa foi était ébranlée par tout ce qu’il voyait et par tout ce qu’il entendait; son âme était fouettée par les tentations, mais il recourait vers les sacrements, il suppliait Dieu de lui conserver la foi, il priait la Mère de Dieu d’être obéissant au Fils de Dieu.

Cet être avait besoin de prières; il demandait aux gens, qui voulaient l’écouter, de prier pour lui; il était dans les sacrifices, et il prêchait les sacrifices; il était dans l’abandon en Dieu, et il prêchait l’abandon en Dieu; il était dans l’obéissance aux dix commandements de Dieu, et il prêchait les dix commandements de Dieu afin que tous ceux qui entendent soient obéissants.

Lui aussi souffrait, souffrait en sa chair d’homme; il savait que sa chair d’homme était dans la tentation, et il continuait à regarder Dieu, à espérer en Dieu, à supplier la Mère de Dieu de lui accorder les grâces de la pureté, de l’humilité, de l’obéissance, de l’abandon; pas un instant, il ne cessait de demander des grâces.

Il pleurait sur l’Église, il pleurait sur son ami, car il avait entendu, il avait entendu “scandale”; on avait crié scandale, car on avait déclaré qu’un prêtre était pédophile, qu’un prêtre était homosexuel, qu’un prêtre était adultère; il pleurait, il demandait pardon : “Pardon Dieu, pardon pour la chair, pardon de ne pas avoir résisté à la tentation de la chair.”

Il savait que la prêtrise était attaquée, il savait que le Christ-Prêtre était attaqué, il savait que Jésus, le Crucifié, était condamné par les enfants de Dieu : on condamnait Jésus, on mettait la couronne plus profondément sur la tête de l’Église.

Il ressentait les épines, car il était en Dieu; il était, lui aussi, aussi victime que celui qui avait été condamné; il était aussi victime que celui qui avait été déclaré comme étant un être abject; oui, il était abject; oui, il était impur; oui, il était un être qui avait écouté le mal; oui, il avait succombé à la tentation; oui, il avait nui à son prochain; oui, il s’était attaqué à des petits enfants; oui, il avait été esclave de ses sens et cela était contre les commandements de Dieu, et cela était contre les enseignements du Christ.

Quelle était sa faute, si ce n’était pas sa faute à lui aussi qui était prêtre? Quelle était sa faute, si ce n’était pas la faute de tous les enfants de Dieu, car nous sommes unis les uns et les autres en le Corps du Christ?

Jésus était fouetté; on le fouettait parce qu’il avait péché; sa chair était en lambeaux parce que sa chair était impure; sa chair avait écouté Satan, sa chair avait connu le péché, et il devait connaître la conséquence du péché; la chair du Christ souffrait, les enfants de Dieu souffraient, car ils sont volonté humaine et le Christ a pris chair pour être en nous, donc connaître la volonté humaine.

Le Christ avait tout accepté : vivre la vie humaine de tous les enfants de Dieu, tout porter les péchés des enfants de Dieu, connaître la conséquence du péché; ce prêtre souffrait tout cela en sa chair; il aurait voulu que cela ne soit pas, mais comment faire pour que cela ne soit jamais arrivé?

Alors, une lumière est venue à lui, une lumière l’a envahi et l’Esprit Saint est venu lui montrer le pardon, le pardon du oui, l’amour : pardonner par amour, tout accepter par amour comme si c’était lui qui avait commis cela.

Il connaît en lui tous les prêtres; il ne cherche pas à connaître si un tel avait commis des actes contre des enfants, ou des actes contre le même sexe que lui, ou des actes avec une femme : il connaît tout; il connaît même les prêtres qui avaient gardé leur pureté en leur chair pour ne faire qu’un prêtre : le Christ-Prêtre.

Il donnait tout à Jésus parce qu’il savait que Jésus avait tout pris, car l’Esprit Saint (le) lui démontrait; l’Esprit Saint lui faisait savoir que c’était le Christ qui avait tout porté cela et que le Christ savait tout, car en sa chair il portait l’impureté pour amener cette impureté à la mort.

Le prêtre reprenait vie, le prêtre reprenait confiance, le prêtre augmentait sa foi en la Passion du Christ; son cœur devenait de plus en plus léger, si bien qu’il retrouvât sa joie; il parlait de la prêtrise comme un mouvement pur, choisi de Dieu le Père pour tous les enfants du monde.

Ce prêtre avait connu, par la puissance du Saint-Esprit, sa place en l’Église; ce prêtre était vrai en tout et il savait qu’il était le prêtre en le Prêtre qui est Jésus, le Grand-Prêtre Melchisédech; il était vrai, il ne baissait plus la tête, il levait la voix lorsqu’on voulait l’interroger sur l’impureté en l’Église, et sa voix était ‘guérissante’, elle n’accablait pas, elle guérissait, elle redonnait la foi, elle était vraie, car il était vrai.

Il savait qu’il avait été choisi pour être prêtre, il savait que Dieu ne faisait pas d’erreur et il savait que ces prêtres avaient été choisis par Dieu, il savait que si ces prêtres avaient succombé, c’est parce qu’ils avaient été tentés par Satan, et qu’ils n’avaient pas répondu non à Satan parce qu’ils étaient dans leur volonté humaine et que le sacerdoce (était) demeuré pur, oui.

Le mouvement de la pureté était en le prêtre, en le sacerdoce, et le mouvement de l’impureté était en l’homme, en la volonté humaine, car la volonté humaine était habitée du bien et du mal, mais le sacerdoce était enveloppé du bien qui était Jésus, car Jésus est le Bien, Jésus est la Pureté, Jésus est la Lumière, il est le Chemin, il est la Vie Éternelle.

Tout cela était en le prêtre; il était en la Lumière et la Lumière était sur lui, car le Saint-Esprit parlait en lui, le Saint-Esprit lui démontrait l’amour, l’amour inconditionnel de Dieu le Père pour ses choisis.

Il alla retrouver son ami; son ami, il (ne) pouvait plus le regarder; alors, il lui dit : “Mon ami, veux-tu que je te parle de la pureté?” Et l’autre le regarda et il se souvint; il se souvint que c’est lui qui avait répondu la toute première fois sur la pureté.

Son cœur se pressa en lui, il se dit : “Je suis indigne de cela, je suis incapable de regarder et même d’entendre la pureté“, et l’autre lui dit : “Mon ami, je suis le Christ-Prêtre, et je viens te parler pour guérir l’enfant blessé que tu es, l’enfant de Dieu que tu es.”

Il sorti de sa poche le crucifix et le déposa dans la main de son ami et lui dit : “Voici Celui qui t’aime, voici Celui qui s’est donné pour toi, voici l’Être aimé, Celui qui t’accepte tel que tu es, afin de guérir tes blessures causées par ta volonté humaine. Viens, suis-moi.”

Et ils parti(rent) tous les deux sur le chemin de l’Amour qui les amena dans un monde d’amour, car il se reconnut prêtre et il se reconnut humain; il s’arrêta et regarda son ami qui lui parlait de la pureté, et une Lumière les enveloppa, et cette Lumière dit : «Voici mes fils choisis, appelés à parler de la pureté aux enfants qui se sont perdus à cause du péché de l’impureté.»

L’un et l’autre se (regardèrent) et ils (virent) dans leurs yeux la présence du Christ : telle était la Volonté de Dieu."

Mes enfants d’amour, cette histoire, c’est votre histoire; vous avez tous connu la souffrance de mes prêtres; un seul prêtre qui est accusé d’impureté, c’est tous mes prêtres qui sont accusés d’impureté, et si mes prêtres sont accusés d’impureté, vous êtes tous accusés d’impureté, car vous êtes mes membres et ils sont mes membres actifs.

Vous êtes volonté humaine et ils sont  volonté humaine; pouvez-vous accuser mes prêtres et être vous-mêmes en dehors de cette accusation? Ma Mère a demandé à ses enfants de prier le chapelet, de méditer le rosaire afin d’être protégés des attaques de Satan.

Enfants d’amour, en acte de réparation, je vous demande, et tous vous êtes libres de l’accepter ou de refuser, de dire le deuxième chapelet du rosaire : à vous de choisir. Amen.