Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Plantagenet, Ontario,

par son instrument, la Fille du Oui à Jésus

 

2007-03-24 -  A.M.

 

Chant : ♪♪♪ Il y a tant d'amour en vous! Dieu comble l'être fragile que vous êtes. Vous êtes si petits! Ce monde a tant besoin de vous! Il a besoin du plus petit de vous! Venez, venez à moi, je vous conduis, je vous conduis là où vous devez être : en moi, en moi Dieu tout-puissant. Je vous emmène là où vous devez être.

 

Jésus : Tout ce que vous êtes est en votre présence, tout ce que Dieu accomplit en vous est dans son accomplissement; soyez tout petits, enfants d'amour, je suis votre Dieu.

Il y a à l’intérieur de vous ma Présence, il y a à l’intérieur de vous votre présence; ensemble, faisons encore un bout de chemin.

Ensemble, avançons, avançons vers une lumière.

Cette lumière, je l’ai allumée pour vous, elle vous montre votre vie, une vie passée, telle est ma Volonté; une vie passée est une vie enveloppée de ma miséricorde : ma miséricorde est en votre présence.

Puisque vous avez accepté d`être des instruments d’amour pour vos frères et vos sœurs du monde entier, vous êtes sous mon pouvoir de miséricorde; tout de vous se laisse prendre, mes enfants, tout de vous se laisse entre les mains de Dieu.

Petits êtres d’amour, comme ce moment est important! Je renouvelle mes grâces pour vous et pour ceux que vous portez en vous; je fais naître l’espérance d’un avenir glorieux, un avenir où tout n’est que splendeur, un avenir où tout n’est que de Dieu.

Continuons, continuons, mes enfants, ensemble.

Ces pas vous conduisent toujours vers cette lumière que j’ai allumée pour vous, une lumière fait(e) de ce que vous étiez.

Petits êtres, j’aime bien vous parler, j’aime bien lorsque vous m’écoutez; je fais naître en vous des mouvements qui vous font voir ce que vous avez fait, qui vous font entendre ce que vous avez accepté d’entendre, qui vous font penser à ce que vous avez accepté de penser, qui vous font penser à ce que vous avez fait, consenti de faire; ils vous font revivre des sentiments, sentiments dont vous avez aimé vivre.

Oui, petits enfants d’amour, ces mouvements je les connais et je vous les fais revivre, non pas pour vous, puisque vous m’avez donné ces mouvements, mais pour ceux que vous portez en vous.

Il y a libération, il y a grâce lorsque vous consentez à être ces petits instruments d’amour; tout est pour vous, pour votre gloire, pour leur gloire.

Ces moments sont uniques, mes enfants, ces moments ont été choisis par mon Père.

Je vais vous faire voir ma sainte Miséricorde.

Je veux demander à deux personnes qui ont les muscles assez forts pour aller chercher ma croix et l’installer à ma droite. Sachez vous reconnaître! Merci, mes tout petits enfants, si petits, si fragiles, si forts et en même temps si faibles.

Vous avez cru, avec vos muscles, que vous étiez capables de dominer ce monde; vous avez cru, avec vos muscles, que vous étiez capables de prendre votre vie en main; vous avez cru être capables de fonctionner dans un monde où la force est un moyen d’obtenir ce que l’être a besoin; je ne parle pas seulement que de mes deux petits, je parle de tous ceux qui se croient être bien musclés.

Ce monde, mes enfants, a été formé par mon Père; ce monde a été formé pour servir, pour donner, pour partager, pour être au service de chacun.

Regardez ma Croix, elle est votre croix; regardez ma Croix et vous vous verrez : vous allez voir chaque mouvement de votre vie.

Nous nous sommes promenés ensemble, souvenez-vous, vous étiez là, et je vous montrais; nous avons avancé ensemble hier et je vous ai demandé de déposer votre tête sur mon épaule, et ensemble nous avons avancé dans un lieu où il y avait des maisons toutes cordées l’une à côté de l’autre.

La première maison, souvenez-vous, vous avez entendu de la musique et je vous ai demandé : «Reste, reste avec moi, continuons ensemble»; eh bien, là, je vais vous demander de vous arrêter avec moi.

Regardez cette croix, regardez les bras de cette croix; les bras sont ouverts à tout ce qu’il y a autour : la croix ouvre grand ce que vous êtes pour que vous puissiez comprendre.

Vous avez entendu, dans votre vie, ce monde parler; vous avez entendu vos propres paroles qui ont été nourries par ce monde et votre parole s’est répandue partout, mes enfants.

Il n’y a pas un seul endroit sur la terre qui n’a pas entendu vos paroles; là où il y avait un seul enfant créé par mon Père, là étaient vos paroles, car chaque enfant porte tous les enfants du monde, alors toutes vos paroles se sont répandues à la surface de la terre : toutes vos paroles ont porté des conséquences.

Vous avez été devant des mouvements; ces mouvements devaient être des mouvements d’amour qui vous portent vers l’amour, qui vous amènent à donner de l’amour, à partager de l’amour, à offrir l’amour, mais parce que vous vivez en moi, je vous parle de ce que vous avez accepté de répandre.

Tout ce que vous avez entendu (a) formé vos paroles, (tous) les enfants, qui étaient en vous, ont formé leurs paroles de ce qu’ils entendaient, de ce qui était en eux : tout se répandait.

Vous étiez devant des tentations et combien vous avez, de fois, tombé en tentation! Pouvez-vous calculer cela, mes enfants? Pouvez-vous calculer tout ce que les enfants de Dieu ont entendu à l’extérieur d’eux et qui retentissait à l’intérieur d’eux pour se répandre?

Regardez ma Croix, mes bras se sont étendus sur cette croix pour prendre tout ce que ce monde entendait et qui ne les portait pas à l’amour.

J’ai tout pris, mes enfants d’amour, j’ai pris toutes tentations qui vous faisaient tomber, trébucher, incapables de vous relever; mes bras s’étendaient vers vous, ils vous ramassaient pour vous prendre sur mes épaules, pour vous ramener là où vous deviez être.

Voilà pourquoi je vous demande de ne pas écouter votre prochain qui souffre; pourquoi écouter les paroles qui sont des blessures? Petits enfants d’amour, souvenez-vous de ce que je vous ai dit.

Combien écoutent ce monde qui souffre? Combien écoutent ce monde et se sentent détruits? Combien écoutent ce monde, ils sont portés à juger? Combien écoutent ce monde et pleurent sur ce monde? Combien écoutent ce monde et sont incapables de bien réagir face aux catastrophes, à ce qui s’en vient? Combien écoutent ce monde et vivent dans la peur, dans la crainte de ce qui s’en vient?

Je vous demande de rester avec moi, je vous demande de poursuivre votre purification en moi, pas avec ce monde.

Je sais ce qui se passe en ce monde, j’entends, mes enfants.

Ma Croix, regardez-la, elle est ouverte à ce monde : mes bras sont étendus encore sur la croix, et ces bras portent ce monde encore.

C'est vous le bois de cette croix; ces bras, ce sont vos bras; je vous demande de porter vos frères et vos sœurs : vous êtes la croix, vous êtes les bras de la croix.

Vous ne devez écouter que votre Jésus, vous ne devez vivre que pour moi, vous devez renoncer à écouter ce monde, ayez confiance en moi.

Lorsque vous assistez à la messe dominicale, moi qui suis en le prêtre, je vous parle par la puissance du Saint-Esprit, et je vous fais connaître les souffrances de ce monde.

Je ne m’attarde pas à vous parler de peur, je ne m’attarde pas à vous parler pour vous inquiéter, vous rendre malades, pour vous porter à juger, à émettre votre opinion : je parle pour que vous puissiez donner la cause, la conséquence qui est le résultat de vos choix, les choix de ce monde.

Voyez-vous, je sais moi, vous, vous ne savez pas; ce que vous devez savoir, vous devez le savoir de moi, pas de ce monde; ce monde écrit et fait lire pour que vous entendiez ce qu’eux sont capables de comprendre.

Que comprend ce monde, si ce n’est que la souffrance, si ce n’est que par la souffrance, il se donne un pouvoir, un pouvoir de contrôler le petit être que vous êtes? Vous aurez beau, mes enfants, vous servir de vos muscles pour écouter, vous ne ferez que vous faire souffrir.

Les enfants de ce monde ont besoin de vous, les enfants de ce monde ont besoin d’enfants qui s’oublient pour eux : vous êtes au service du monde, vous êtes un membre qui avez accepté votre purification, et votre purification leur amène des grâces afin qu’ils puissent vivre leur purification au moment où ils vont entendre tout ce qu’ils ont consenti, devant la tentation, de dire, et ils vont comprendre leurs souffrances enveloppées de mes grâces.

Voyez-vous votre importance, mes petits enfants? Vous êtes les bras de la Croix glorieuse.

Je vous aime, mes amours.

Maintenant, nous allons poursuivre le chemin.

Vous souvenez-vous, je vous ai montré, sur le chemin, de la lumière et je vous ai dit : «Reste avec moi»; alors, vos yeux doivent être tout pour Dieu, que pour Jésus.

Regardez-moi, je suis sur la Croix, n’ayez les yeux fixés que sur moi, Jésus.

Je suis pour vous un être d’amour, j’ai pris chair pour vous afin que vous me voyiez, afin que vous participiez à ma Vie sur la terre.

Oui, mes enfants, je veux que vous me regardiez comme étant un exemple d’amour dans votre vie; pour être un exemple d’amour dans votre vie, il faut que vous me regardiez, il faut que vous voyiez ce que j’ai fait pour vous.

Pourquoi regarder ce monde? Tout ce que vous y verrez, c’est la misère de ce monde, un monde qui souffre à cause de ce qu’ils ont accepté de regarder; ils ont regardé le mal, ils regardent le mal et ils continuent à regarder le mal, et ce monde souffre.

On passe devant les enfants de mon Père des images, des images qui ne sont que l’oeuvre de Satan; oui, lorsqu’on passe la souffrance et qu’on étale cela comme on étalerait des animaux pour vendre la marchandise, on souffre.

Vous êtes dans un monde de souffrance; on prend la souffrance du monde et on cherche à faire de l’argent; on prend la souffrance de ce monde et on cherche le pouvoir; on prend la souffrance de ce monde et on cherche le succès; on prend la souffrance du monde et on cherche à dominer, à vous rendre esclaves.

La violence rend esclave, l’attendrissement qui est (faux) rend esclave, tout ce qui est sensationnalisme rend esclave et votre vie devient de l’esclavage, votre quotidien devient ce que vous voyez.

Nourris par ce monde, votre époux/votre épouse deviennent les images de ce monde; vos enfants deviennent les images de ce monde, vos petits-enfants deviennent les images de ce monde; votre voisin, votre paroisse, diocèse, votre pays : votre monde n’est plus que souffrance parce que vous regardez la souffrance comme étant une nourriture, comme un besoin.

Vous vous nourrissez de ce que vous voyez; ce monde se nourrit d’une nourriture malsaine; il ne veut pas mon Corps comme nourriture, il ne veut pas de mon Sang comme nourriture, il détourne son regard pour le tourner vers lui-même, car sa nourriture est une drogue; il ne peut plus se passer de ce qu’il est : ce monde est souffrance, sa souffrance détruit, sa souffrance amène la mort.

Je suis la Vie, regardez-moi sur la Croix, je suis la Lumière du monde! Tous ceux qui me regardent, regardent la vie, tous ceux qui me regardent, regardent l’amour, tous ceux qui me regardent, regardent ce qu’ils sont.

Lorsque vous, mes choisis, vous acceptez de me regarder, vous acceptez de regarder la Vie, le Pain de vie, le Liquide de vie : je nourris ce monde par vous; lorsque vos yeux s’ouvrent et que vous voyez votre Jésus d’amour, tous ceux qui sont en vous se laissent nourrir par mon Corps, par mon Sang, car je vous prends, je vous fais moi.

J’ai ce pouvoir, mes enfants, j’ai vaincu le mal, je suis un Être parfait, divin, pur.

À la vue du Christ glorifié, tous se frapperont la poitrine, car ils verront : ils verront la gloire de ma Croix; ils verront l’Être parfait qui s’est étendu sur la Croix par amour pour eux, et ils accepteront de voir mon amour pour eux et, à cet instant, leurs yeux verront leur propre gloire.

Soyez les yeux, mes enfants, de l’Amour, ne regardez pas ce monde, mais regardez-moi et vous verrez tout; vous verrez tous les enfants de mon Père, car il y a en moi, sur moi, l’empreinte de l’amour; chaque partie de mon Être est une présence : vous voyez tous les enfants de mon Père, du premier jusqu’au dernier; je porte tous ceux qui sont inscrits dans le Livre de la Vie, il n’en manque aucun.

Lorsque vous fixez votre regard sur moi, vous ouvrez la lumière à tous ceux qui sont aveugles à cause de ce monde, et moi je passe par cette ouverture pour aller vers eux, pour leur déclarer mon amour, pour les prendre dans mes bras et leur dire combien je les aime; je leur donne des forces, du courage, afin qu’ils puissent avancer et aller jusqu’au bout, là où il y a la lumière.

Voyez-vous l’importance de votre présence? Comprenez-vous, mes enfants, que vos yeux sont à Dieu? Comprenez-vous que votre regard, c’est mon regard? Je vous fais voir ma Présence glorieuse, je vous fais voir votre place sur la croix, cette Croix glorieuse, cette Croix d’amour.

Vous êtes l’œil de Dieu par moi, le Christ, car vous ne regardez plus ce monde du même œil depuis que vous savez.

Mes enfants, continuons, continuons ce chemin.

Souvenez-vous, il y avait une autre maison et vous avez entendu, vous avez entendu une épouse qui avait des pensées sur son mari, oh! mes enfants, j’aurais pu dire la même chose pour l’époux qui avait des pensées sur son épouse.

Regardez ma Croix, elle est belle, n’est-ce pas? Regardez au-dessus de ma tête; au-dessus, au-dessus de ma tête, elle pointe vers le ciel : tout vers mon Père.

Toute pensée doit être pour mon Père; les enfants de ce monde ne pensent pas à Dieu, les enfants de ce monde ne pensent pas à ce qu’ils sont, les enfants de ce monde ne se soucient pas de ce que Dieu pense d’eux.

Petits enfants, que vos pensées soient des pensées d’amour, que vos pensées soient une nourriture spirituelle qui vous amène à réagir dans l’amour du prochain.

Lorsque vous regardez les enfants de ce monde et que vous voyez la misère de ce monde à cause de votre place près d’eux, ne laissez pas vos pensées vous perdre, s’éloigner de votre mission.

La pensée est un mouvement qui amène les enfants de Dieu à aller vers la souffrance à cause de la chair, à cause des besoins, à cause des manquements envers l’Amour; la pensée doit être que pour Dieu.

L’esprit de ce monde, mes enfants, ne vous a pas montré à être amour; l’esprit de ce monde vous a montré à être contre vous-mêmes, contre votre prochain; l’esprit de ce monde détruit l’amour; l’esprit de ce monde est égoïste; l’esprit de ce monde est indépendant, il ne vit que pour lui-même; l’esprit de ce monde n’apporte rien, il est trop gonflé d’orgueil; l’esprit de ce monde veut obtenir, il veut avoir le pouvoir, il veut contrôler; l’esprit de ce monde n’a que faire de vos pensées; l’esprit de ce monde ne veut pas s’occuper de votre vie familiale, sociale, votre vie d’enfant de Dieu; l’esprit de ce monde veut faire de vous des pions; l’esprit de ce monde veut que vous soyez à son service jusqu’au moment où il n’aura plus besoin de vous et il vous fera disparaître; l’esprit de ce monde a engendré la pauvreté; l’esprit de ce monde a engendré la haine; l’esprit de ce monde a engendré la destruction totale, car l’esprit de ce monde a un maître : Satan.

Lorsque vous êtes témoins qu’une personne pense à la souffrance, en disant vouloir obtenir de l’amour d’un autre pour être moins souffrante, c’est qu’(elle) n’a pas appris à avoir des pensées d’amour pour elle, elle n’a pas pensé que tout est de Dieu, que tout doit aller vers Dieu.

L’enfant de Dieu doit être entre les mains de Dieu, vivre pour Dieu, regarder Dieu, savoir que Dieu est là, que Dieu comble, que Dieu pourvoit à tout : vous devez être avec Dieu.

Si ce monde est en la souffrance à cause de ses pensées, vous devez, vous, me donner vos pensées, les moindres de vos pensées pour vivre que pour Dieu : vivre avec votre mari, votre épouse, avec la pensée de Dieu, élever vos enfants avec la pensée de Dieu, être avec votre prochain avec la pensée de Dieu, vivre votre vie d’enfant de Dieu avec la pensée de Dieu, aller vers les sacrements avec la pensée de Dieu.

Vous devez être totalement en Dieu, ne plus accepter de laisser pénétrer à l’intérieur de vous les pensées qui font mal.

Moi je connais tout, moi je sais tout, mon Père m’a tout donné.

J’ai été sur la terre, mes enfants, avec la pensée de mon Père; mon Père témoignait de moi et je témoignais de la présence de mon Père en moi; j’avais le regard fixé vers mon Père, j’avais l’écoute fixée vers mon Père, parce que mes pensées n’étaient que pour mon Père; tout était si présent en moi, tout était si vrai en moi.

Alors, je vous ai montré, je vous ai montré comment me donner vos pensées qui étaient blessées par l’esprit du monde; vos pensées fabriquées par l’esprit du monde étaient votre destruction.

Vous avez été devant cela tant et tant, et tant, et tant, et tant, et tant de fois, et vous m’avez donné, et vous me donnez, et vous me donnerez toutes conséquences, car les enfants de ce monde ont besoin, ont besoin de moi, ont besoin de mon réconfort, ont besoin de ma puissance, ont besoin de l’espérance, de l’amour.

Soyez témoins de ma Présence auprès d’eux et gardez vos pensées vers mon Père en passant par moi; mon Père vous nourrit, il nourrit l’esprit d’amour : vous n’avez plus de pensées, vous avez mes pensées : je vous apprends.

Regardez la Croix, regardez le sommet de la Croix, elle est glorieuse, elle est lumineuse; elle est portée vers mon Père, car vous êtes portés vers mon Père.

Tout est pour la Gloire de mon Père, et vous êtes témoins, car vous avez l’Esprit de Dieu en vous.

Vous êtes, mes enfants, tous ensemble pour former le sommet de ma Croix; tous vous êtes brillants d’amour.

Petits enfants, poursuivez le chemin, ensemble.

Vous souvenez-vous ce bruit? L’adolescent qui frappait la porte, n’est-ce pas votre caractère qui est en mouvement? Tout votre être réagit lorsque vous entendez, lorsque vous voyez, lorsque vous comprenez pas ce que vous devez faire, alors que votre être souffre : il refuse.

C’est ainsi que ce monde est : il refuse de regarder l’amour comme étant une protection.

Les lois de mon Père vous ont été données pour que vous puissiez vous accomplir dans ce monde en étant protégés des attaques de Satan; vous devez être mouvement d’amour, vous devez être vrais : vous devez être dans l’agir de Dieu.

Soyez bons, mes enfants, envers vous-mêmes, ne vous laissez pas prendre par la distraction, laissez tout cela à Dieu, Dieu sait ce qui est bon pour vous, laissez-vous nourrir par ma Présence.

Je vous parle d’amour, je vous parle de vous-mêmes, je parle de ceux que vous portez en vous; vous êtes mouvement d’amour, agissez par moi, ne regardez plus les mouvements de ce monde comme étant des mouvements perdus.

J’ai pris tout mouvement et l’ai amené à la mort; j’ai purifié tout mouvement le présentant à mon Père pour que vous, vous puissiez présenter vos œuvres.

Tout ce que vous faites est mouvement d’amour, mais ce monde vous a montré, ce monde vous a montré comment agir pour vous accorder du bien, mais ce qu’il ne vous pas montré, c’est qu’il se servait avant et qu’il (ne) vous donnait que des restes.

Vous avez agi volontairement avec ce monde; vous vous êtes accomplis comme des tout petits agneaux suivant le loup et il vous a avalés.

Vous avez été emprisonnés par ce monde; il vous a installés dans une prison d’or, il vous a fait sentir des parfums nauséabonds, car ces parfums ne vous apportaient pas la beauté, ces parfums vous détruisaient jusqu’à l’épuisement afin que vous disparaissiez, car votre odeur lui était désagréable.

Ce monde, mes enfants, est sous l’emprise de Satan et Satan ne veut rien de vous, il ne veut pas de vos œuvres, il ne veut pas de vos actions, de vos mouvements, car vous lui rappelez la vie.

Satan est la mort, il a refusé la lumière, alors il est devenu la noirceur; il n’a pas voulu adorer le Fils de Dieu, alors il est devenu l’orgueilleux; il n’a pas voulu entendre, il est devenu le mouvement de la mort où il n’y a que cris, pleurs, grincements de dents.

Mes enfants, ce monde vous a fait faire des mouvements qui vous ont fait souffrir; vous n’avez pu résister à ce qu’il mettait dans votre vie, vous vous êtes accomplis à travers vos choix et vous avez vécu, et vous vivez les conséquences de vos propres choix; tous ces mouvements, c’est vous qui les avez faits et vous portez la trace de tout cela.

Votre chair est meurtrie de tous ces mouvements, votre chair connaît la faiblesse devant les tentations : vous êtes portés à la colère, aux désappointements, à la peur; vous êtes portés à vous refermer disant que vous n’êtes pas capables d’agir, que vous n’avez pas la force d’agir, que vous avez peur d’agir; vous reconnaissez que ce monde a fait en sorte de vous inciter à faire des mouvements contre votre propre santé.

Petits enfants d’amour, regardez la Croix, regardez le centre de la croix, de haut jusqu’en bas; du haut et du bas est une ligne, est un bois droit, un bois qui doit être fort, un bois qui doit être droit, un bois qui doit être votre vie; il doit comporter une façade : la lumière.

Vous ne devez plus, mes enfants d’amour, être des peut-être, vous devez être vrais, vous devez être un oui.

Ce bois droit est un oui : "Oui j’accepte de me tenir droit devant toi, Père; oui j’accepte ta Volonté, je ne veux pas broncher, je veux être devant toi, debout devant toi; oui, je dois poursuivre ma croix comme ton Fils; je veux être la Croix, je veux faire ta Volonté, m’accomplir dans ta lumière."

Enfants d’amour, je suis le Fils de Dieu, je vous ai enseigné comment agir, comment vous comporter; j’ai donné mes enseignements à mes apôtres à ma suite; il vous a été donné de connaître la puissance du Saint-Esprit; Paul vous a parlé de votre conduite, de ce que vous deviez éviter; les prophètes, mes enfants, ont continué à parler.

Ce monde ne croit pas à la puissance du Saint-Esprit, car s’il cro(yait) à la puissance du Saint-Esprit, il croirait à son agir, à sa présence.

Le Ciel a choisi des enfants, transformant ces pécheurs en êtres d’amour, et l’Église a appelé ces êtres d’amour des saints, des bienheureux.

Moi je vous dis, mes enfants, que le Saint-Esprit a aussi enveloppé des enfants dont l’Église ne connaît pas leur nom, il les a fait passer par où les saints ont passé, par où les bienheureux ont passé.

L’Esprit Saint est sur vous, il vous fait connaître l’agir de Dieu : tout s’accomplit par la puissance de Dieu.

Encore en ce temps des enfants se donnent; vous vous donnez, regardez-vous, croyez-vous que vous pourriez, vous, être ici à écouter, à vous accomplir par vous-mêmes? C’est le Saint-Esprit qui est sur vous et qui vous fait entendre, qui vous fait comprendre, et vous vous accomplissez.

Rien ne peut venir de vous, vous êtes trop souffrants, vous avez trop fait souffrir votre âme; votre vie spirituelle a tant de fois passé en second jusqu’à l’oublier parfois.

Tout est du Ciel, rien n’est de vous, vous êtes mouvement par la puissance de Dieu et, par la puissance de Dieu, vous êtes saints, vous vous tenez droits par Dieu et non par vous-mêmes.

Ma Croix vous a montré, ma Croix a été pour vous mouvement d’amour, ma Croix est pour vous un signe d’agissement.

Vous vous êtes accomplis en moi, Jésus, par la puissance du Saint-Esprit pour vous amener là où vous êtes aujourd’hui, et tout de vous est en présence de tous les enfants qui doivent s’accomplir en êtres droits devant mon Père, mais ces enfants refusent à cause de ce monde pourri; ils sont esclaves de leur propre mouvement, et leur propre mouvement est nourri par ce monde, par Satan.

Il n’y a que les mouvements du Christ qui sont vrais.

Lorsque vous acceptez de mourir en le Christ, vous êtes vrais, vous vous accomplissez, vous êtes le bois de l’Amour, vous êtes le bois glorifié, vous êtes la Croix d’amour pour ce monde.

Vous êtes à Dieu, vous n’appartenez plus à ce monde, vous appartenez à la Croix glorifiée.

Je suis, moi, la Croix glorifiée, le Christ ressuscité glorifié par le Père.

Continuons, mes enfants, continuons ce chemin.

Vous souvenez-vous de la solitude de la personne qui était seule? Je vous ai dit qu’elle était âgée, mais c’est vous, vous étiez épuisés de ce monde.

Des tout petits enfants ont à peine un an, deux ans, trois ans, et ils sont épuisés de ce monde; ils vivent de sentiments qui ne sont pas nourris d’amour; on ne nourrit plus les enfants de ce monde avec des sentiments d’amour, on laisse seuls les enfants de Dieu.

Les sentiments doivent être des sentiments d’amour, doivent être des sentiments de foi, d’espérance, de charité; les sentiments doivent être une nourriture pour le cœur; un cœur froid, un cœur triste, un cœur indépendant, un cœur de colère, est un cœur qui se ferme à l’amour.

Ce monde est sans amour, ce monde n’a que faire de se montrer aimable, ce n’est pas payant; ce monde n’a que faire de se montrer protecteur, ce n’est pas payant; ce monde n’a que faire de se montrer avant-gardiste pour l’amour, pour l’amour du prochain, ça ne rapporte rien.

Ce monde est un amas de sentiments froids, un amas de sentiments impurs; il vit dans ses propres excréments, sa puanteur monte jusqu’au Ciel; il se nourrit de ses déchets qu’il sort de ses entrailles et il vous fait goûter à cela : on pleure, on drogue, on enferme, on tue.

Mes enfants, lorsqu’on vient au monde, on vient au monde pour aller vers Dieu; on vient au monde pour aimer Dieu, adorer Dieu, servir Dieu; on vient au monde pour l’amour; on se sait enfant de Dieu, on se sait aimer de Dieu, on se sait être amour, on se sait être comblé, on se sait être fait par la puissance de Dieu.

On vient au monde pour servir, servir son prochain; servir son prochain, c’est aimer son prochain, c’est accourir vers son prochain, c’est souffrir pour son prochain, c’est lui donner sa vie.

Mon Père m’a donné à vous; je suis venu au monde pour servir, j’ai aimé servir sur la terre; pas un seul instant je n’ai eu de pensées contre mon prochain, car vous étiez en moi; l’amour me nourrissait, je vous nourrissais d’amour; ma miséricorde était sur vous, je vous faisais sentir ma miséricorde; je vous ai enveloppés d’amour, je vous ai enveloppés de mon Sang; rien ne me manquait, car mon Père me donnait tout pour vous; il vous a aimés et il vous aime au-delà de tout ce que vous pouvez imaginer.

Tout sentiment d’amour vient de mon Père, nourri par mon Père et je vous ai témoigné de mon Père, je vous ai montré l’amour, je vous ai parlé d’amour, tout mon être sortait ce que j’étais et vous avez été dans ce mouvement d’amour.

J’ai planté ma Vie sur la terre parce que je vous aime, parce que je vous aimerai toujours.

Regardez ma Croix, signe d’amour, signe de présence, signe d’éternité : elle n’est fait(e) que d’amour.

Quel sentiment peut rivaliser avec celui-là? Aucun, tout n’est qu’amour en Dieu.

Ma Croix est amour, vous êtes en ma Croix, vous êtes amour.

Je vous apprends à me donner tous vos sentiments, tous vos sentiments qui vous portent à pleurer sur vous-mêmes parce que vous connaissez ma miséricorde.

Vous connaissez maintenant combien je me suis donné pour vous, et lorsque vous avez un sentiment contre vous-mêmes, vous pleurez, vous regrettez, vous vous sentez indignes, vous voulez voir, vous me demandez des grâces et je me penche sur vous; je vous apprends à me donner la cause de votre faiblesse qui n’est autre que les tentations de Satan, je vous apprends à me donner vos sentiments.

Maintenant, vous savez que vous avez des choix à faire et que ces choix, lorsqu’ils me sont donnés, sont transformés en sentiments d’amour; les conséquences, vous les connaissez maintenant.

Vous êtes prêts à vivre, à vivre d’amour, à vivre de pardon, à vivre dans ma miséricorde, car vous goûtez, vous goûtez à l’amour, vous sentez l’amour, vous sentez tout cela vivre en vos veines, mes enfants, et ce que vous sortez de vous est amour; ce que vous représentez est l’amour, car vous acceptez d’être au service de vos frères et de vos sœurs jusqu’au jour où eux-mêmes vivront d’amour.

Les enfants de ce monde vont vivre d’amour parce que ma Croix a été plantée sur la terre avec amour et, avec amour, ma Croix a triomphé du mal, avec amour, ma Croix a été dans la gloire, car tout a passé par mon Père.

Regardez ce bois qui se tient debout; fermez vos yeux, elle est là en votre présence, elle est majestueuse, elle est fait(e) de vos oui, elle est fait(e) de vos acceptations de servir votre prochain, elle est fait(e) de vos renoncements : ne plus être pour vous, mais être pour Dieu; elle est faite de la puissance de Dieu, elle est faite d’un mouvement pur.

La Croix glorieuse est en vous, regardez-la, elle est si brillante, elle brille de victoire, elle est ce que moi je suis : la victoire sur le mal; elle triomphe déjà devant vous et, en ce moment, mes enfants, vous voyez la Croix glorieuse, c’est qu’elle est là, elle est en votre présence.

Aucun être sur la terre ne pourrait voir, en sa vie, la Croix glorieuse sans que mon Père l’ait placée; vous êtes enfants de la Lumière, vous êtes témoins de la Lumière, vous faites partie de la lumière de la croix.

Voilà pourquoi vous acceptez d’entendre, voilà pourquoi vous acceptez de vivre, voilà pourquoi vous poursuivez cette purification jusqu’au moment où mon Père lèvera le voile.

Vous êtes les élus de mon Père, vous êtes les choisis de mon Père afin que vous puissiez être les témoins de sa Volonté, car tous sauront ce que vous avez été pour mon Père.

Telle est la Volonté de Dieu. Amen.

 

Tous : Amen.