Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Plantagenet, Ontario,

par son instrument, la Fille du Oui à Jésus.

 

2006-03-11 - Soir

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : «Enfants d’amour, aimez votre Dieu, aimez-moi de toutes vos forces», ce sont les paroles que j’ai entendues.

À la communion, Jésus m’a demandé : «M’aimes-tu? Est-ce que tu m’aimes? Dis-moi que tu m’aimes»; je lui répondais toujours : “Oui, Seigneur”; il gardait le silence quelques minutes et il recommençait : «Est-ce que tu m’aimes? Dis-moi que tu m’aimes, m’aimes-tu?»

Il gardait le silence, et encore, il recommençait, j’entendais toujours la même chose : «M’aimes-tu? Dis-moi que tu m’aimes.» Il voulait de l’amour; je redisais toujours : “Oui, je t’aime.” Il recommençait toujours la même chose : «M’aimes-tu?»

Lorsque la communion s’est terminée, j’ai demeuré avec lui, et il a dit : «Viens» : il a ouvert un voile et j’ai suivi Jésus, et lorsque nous avons passé ce voile, un autre s’est levé et nous avons passé ensemble, un autre s’est levé, nous avons passé ensemble, un autre s’est levé et je n’ai plus compté le nombre de voiles qui se levaient, je suivais toujours Jésus.

Alors, j’ai encore entendu : «M’aimes-tu?» J’ai dit : “Oui, Seigneur.”  «Est-ce que tu m’aimes?» Je disais : “Oui, Seigneur.” Il répétait toujours ces mots, et là, je me suis vue devant la Trinité, et j’ai été dans la main du Père, il m’a demandé d’être obéissante.

«Aime comme moi j’aime, sois le plus petit grain d’ombre de mon Amour, aime-les comme moi je les aime»; et je savais ce qu’il me demandait : de vous mettre tous entre lui et moi.

«L’amour, vous êtes l’amour, l’amour du Christ; aimez sans condition, aimez, aimez, aimez.»

Aimer les enfants de Dieu, c’est aimer le Christ.

Lorsque le Père Pilon a parlé, il a parlé du Crucifix; avant que cela se fasse, Jésus m’a montré ses mains et il m’a dit : «Pénètre.» J’ai pénétré dans son Sang jusqu’à disparaître et à ne plus être.

Et le Père Pilon a parlé d’amour, d’abandon, et lorsque l’Abbé Lefebvre a parlé et qu’il a dit que nous avons été couverts du Sang de Jésus, oui, puisque je l’ai vu, puisque Jésus ne cessait de me demander : «M’aimes-tu? Est-ce que tu m’aimes?», il me faisait pénétrer dans son Sang, dans son Amour, en chacun de vous.

Vous êtes l’amour du Christ et il demande à chacun de nous de l’aimer, parce que ce que j’ai entendu, c’est chacun de nous, c’est pour nous; il nous demande : «Est-ce que tu m’aimes? Est-ce que tu m’aimes?» Il veut qu’on l’aime, il veut qu’on l’aime sans condition.

Lorsqu’on aime notre frère, notre sœur, c’est un ‘je t’aime’ à Jésus; lorsqu’on accepte une contrariété qui vient de notre frère, c’est un ‘je t’aime’ à Jésus; lorsqu’on accepte une colère qui nous est adressée par l’un de nos frères ou de nos sœurs, c’est un ‘je t’aime’ de Jésus, nous disons à Jésus : “Je t’aime sans condition”; lorsque nous entendons les enfants (de Dieu) qui rejettent leurs enfants et que nous continuons à les aimer, à ne pas juger, nous disons à Jésus ‘je t’aime’, nous acceptons le Sang de Jésus qui a coulé sur eux.

Jésus est venu, il a laissé couler son Sang sur tous les pécheurs du monde, sur nous, sur nos frères et nos sœurs; il n’a pas laissé couler son Précieux Sang sur les purs, mais sur les impurs, sur les mauvaises actions, sur ceux qui ne savent pas aimer, qui sont incapables d’aimer.

Mais Jésus, lui, est l’Amour, Jésus, lui, les aime tels qu’ils sont, et lorsque nous, nous les aimons tels qu’ils sont, eux, nous disons à Jésus : “Je t’aime”, nous devenons l’amour de Jésus et nous retournons à Jésus cet amour.

Nous vivons un temps de souffrances : le monde vit la souffrance depuis le premier péché qui s’est fait; surtout après le péché de Caïn, cela a ouvert un passage à tant de péchés, et nous, nous avons cela en notre chair; notre chair est imbibée de péchés, cela est sur nous, cela fait partie de notre vie.

Notre âme, elle, elle ne cesse de dire à Jésus : “Je t’aime, je t’aime”, et Jésus entend notre âme, mais il ne nous entend pas.

Lorsque nous regardons ce qui se passe autour de nous et que nous portons un regard sur le péché, ce que nous voyons, c’est notre propre souffrance, c’est notre chair qui est devant nous; nous (ne) nous aimons pas; lorsque nous entendons des mères qui rejettent leurs enfants dans la rue, un père qui néglige son enfant, qui ne prend pas son devoir de père, nous entendons le péché, nous entendons ce qui est en notre chair.

Et si nous ne donnons pas cela à Jésus, si nous n’aimons pas ces enfants sans condition, nous ne disons pas à Jésus : “Je t’aime, toi, tu les as connus avant moi, tu savais toi que ces parents étaient pour renier leurs enfants, tu as laissé couler ton Précieux Sang sur eux.

Tu attendais un ‘je t’aime’ de moi; tu attendais que je les regarde à travers de ton Sang; tu t’es mis en avant de moi pour que je puisse les aimer; je n’ai pas vu ton Sang.

J’ai vu leurs actions, ça m’a fait frissonner, j’ai trouvé ça honteux, je n’ai pas vu que tu me consolais, que tu avais déjà tout pris ma souffrance, que tu m’avais enveloppé de ton Précieux Sang, je n’ai pas vu cela, car ma chair était devant moi, ma chair était présente devant moi; je ne t’ai pas dit ‘je t’aime’, j’en étais incapable, parce que ma chair se reconnaissait.”

Jésus nous demande de nous aimer sans condition; Dieu le Père a donné toute complaisance à son Fils bien-aimé et son Fils a tout pris; il a pris la force de Dieu puisqu’il était lui-même la Force; il acceptait tout de son Père, sans condition.

Dieu lui a donné tous ses enfants : c’est nous; Dieu le Père n’a pas nettoyé ses enfants avant de les donner au Fils, il ne nous a pas secoués, il nous a donnés tels que nous étions à son Fils, et son Fils prenait tout sans condition.

Il nous aimait sans condition, il nous voyait avec notre impureté, avec nos jugements, avec nos peurs, nos doutes, nos angoisses, nos maladies physiques et morales.

Il nous voyait tels que nous étions parce qu’il avait vu le péché, il avait vu ce que le péché avait fait de nous; il connaissait la cause de chaque péché qui devait être en nous, il connaissait toutes les conséquences de chaque péché qui était pour être dans notre vie de tous les enfants de Dieu : il connaissait tout cela, rien ne lui était inconnu et il nous a aimés sans condition; il a déversé son Précieux Sang sur nous, il nous a aimés.

«Je t’aime, je t’aime comme tu es, toi le blessé, toi qui te sens si délaissé, si seul, toi qui te sens si impur, toi qui te sens si mal aimé, toi qui as de la difficulté à aimer, je t’aime; c’est moi qui prends tout sur mes épaules; je vais t’apprendre à aimer sans condition, je vais tout prendre.»

Jésus nous demande de nous aimer, sans condition.

Dieu a donné à Moïse les dix Commandements : sa Loi d’amour; les dix Commandements de Dieu sont amour, amour sans condition, il n’a pas mis de limite à son amour; lorsqu’il a frappé la pierre, c’est avec son amour qu’il a frappé la pierre et cela se gravait pour ne jamais plus s’effacer, afin que nous nous souvenions toujours de son amour.

 

Jésus : «Aime ton Dieu sans condition, aime ton Dieu plus que toi-même, de toutes tes forces, c’est moi ta force; aime ton Dieu de tout ton esprit, c’est moi qui nourris ton esprit; aime ton Dieu de tout ton cœur, mon cœur est à toi; j’ouvre mon Cœur pour accueillir ton cœur afin que tu puisses aimer ton Dieu; aime de toute ton âme, j’ai insufflé en toi l’amour, la vie, et c’est moi l’Amour : ce que tu es vient de moi, redonne-moi ce que je t’ai donné, reconnais-toi devant ton Dieu.

Si tu aimes ton Dieu de toute ton âme, de toutes tes forces, de tout ton esprit, de tout ton cœur, tu t’aimes, car je t’ai nourri de moi pour que tu puisses m’aimer; tu ne peux aimer ton Dieu que si tu t’aimes : découvre qui tu es.

Je veux te nourrir sans cesse et sans cesse, jusqu’à tant que tu découvres que tu es l’Amour, que j’ai déposé en toi mon amour; regarde ce qui s’est imprimé, regarde ces paroles, ces paroles sont de la Vie, sont de moi, (elles) font partie de ton être.

Tu es le cœur de Dieu, tu es l’esprit de Dieu, tu es la force de Dieu, tu es l’âme de Dieu; tout de toi vient de moi, il n’y a rien qui vient de toi.

Je vais t’apprendre à parler, à regarder; je vais t’apprendre à reconnaître; je vais t’apprendre à faire des mouvements; tu vas te reconnaître tel que tu es, tel que je t’ai créé; je t’ai choisi afin que tu sois devant moi, afin que tu reconnaisses ton Créateur.

Aime ce que tu es, aime l’enfant que tu es, car tu es ce que moi j’ai voulu que tu sois; c’est avec ce que tu es que tu dois aimer Dieu; c’est avec ce que tu découvres que tu dois aimer Dieu; c’est avec ce que tu fais que tu dois aimer Dieu.

Tu dois vivre l’amour; lorsque tu vis l’amour, là, tu reconnais que tu peux aimer, et celui que tu peux aimer est moi avant tout, car c’est moi qui te fais découvrir, qui te fais regarder, qui te fais entendre, qui te fais agir.

C’est moi, Dieu, et toi, tu viens de moi; tu ne peux donc qu’aimer ton Dieu, car ce que tu vois, c’est mon Oeuvre.

Tu connais ton Dieu, lorsque tu aimes; tu aimes Dieu, Celui qui t’a créé

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Dieu se fait connaître à chacun de nous et son Nom est puissant, son Nom est amour, son Nom est purifiant, son Nom est force, son Nom console, son Nom guérit, son Nom guide, son Nom ouvre le chemin; il nous amène à lui, Dieu nous amène à lui : à l’instant où nous prononçons le nom de Dieu, voilà que nous avançons.

Père est le nom de Dieu le Père : notre Père, notre Créateur, l’Éternel; Dieu le Fils : l’Amour, l’Amour qui se donne, l’Amour qui s’offre, l’Amour qui aime qui nous sommes; le Saint-Esprit : Lumière, Droiture, Puissance.

Dieu : Dieu est le Tout et Dieu nous a choisis, Dieu nous a regardés; Dieu nous approche, nous ne pouvons pas approcher Dieu, mais Dieu, lui, s’approche de nous; il nous apprend à l’aimer sans condition, il nous apprend à nous ouvrir à lui pour qu’on aille à lui.

Lorsqu’on découvre Dieu, la paix est en nous, l’amour est en nous, tout est en nous : nous sommes des enfants devant Dieu.

Dieu a donné tout ce qu’il y a autour de nous pour que nous respections l’être que nous sommes; lorsqu’on respecte l’être que nous sommes, c’est parce que Dieu nous l’a fait découvrir.

Dieu est tout pour nous, c’est lui qui fait tout pour nous; nous ne faisons rien, mais lui fait tout : il nous apprend à nous donner, à le respecter, à être fidèles en tout à son amour; il nous apprend à nous arrêter, à le contempler, à le savourer, à l’adorer : tout cela est pour nous.

Il nous a appris à être dans son joug d’amour, à être toujours présents devant lui, à être ce que nous sommes : les choisis de Dieu, les aimés de Dieu.

Dieu nous aime sans condition; oui, Dieu nous aime sans condition; il aime les choisis, les élus.

Le Fils nous purifie par son Précieux Sang sans cesse et sans cesse : nous sommes enveloppés de son amour.

Dieu le Père nous regarde à travers du Sang de son Fils; ce qu’il voit, c’est l’enfant de Dieu, celui qui s’est laissé purifier par Jésus, celui qui aime qui il est et qui consent à tout laisser à Jésus, toute imperfection.

Jésus fait cela pour nous : il nous présente à son Père, enveloppés de son Précieux Sang afin que nous soyons présentables, et nous, nous devons nous conduire dignes de ce qu’il attend de nous; il est notre Père, il est notre amour, il nous a créés; il a choisi pour nous des parents, père et mère.

Nous devons aimer nos parents sans condition; même si nos parents nous ont élevés avec leurs souffrances, nous devons les aimer sans condition, avec respect, avec dignité; nous devons les regarder à travers du Précieux Sang de Jésus.

Nous ne devons pas juger nos parents, nous devons aimer; connaissons-nous la souffrance de nos parents? Connaissons-nous ce qui a été dans leur vie la cause de leurs paroles qui nous blessent, de leurs gestes, de leurs sentiments? Nous ne connaissons pas la cause de leurs péchés, nous ne connaissons pas les conséquences de leurs péchés : Jésus, lui, les connaît.

Jésus les a aimés jusqu’à laisser couler son Précieux Sang sur nos parents afin qu’on puisse les regarder avec amour, les aimer sans condition; aujourd’hui, parce que nous sommes devenus adultes, nous regardons nos parents comme des adultes; nous sommes portés à regarder ce qu’ils ont fait au petit enfant que nous étions.

Dieu ne nous demande pas cela; Dieu nous a dit : «Respecte ton père et ta mère afin de vivre longuement.»

Nous devons aimer nos parents sans condition, leurs souffrances ne nous appartiennent pas; les péchés de nos parents ont été purifiés par Jésus, par le Précieux Sang de Jésus; leur âme est entre les mains du Christ; le prêtre prend soin de l’âme de nos parents, il est le représentant du Christ; lui, le prêtre, prend soin de l’âme de nos parents.

L’âme de nos parents ne nous appartient pas; les péchés de nos parents ne nous appartiennent pas; nous n’avons pas à connaître les péchés de nos parents, cela appartient à Dieu; Dieu, lui, aime l’enfant et Dieu a donné sa Vie pour purifier l’enfant de son Précieux Sang; nous n’avons pas la puissance de la purification en notre chair, notre sang n’est pas le Sang du Fils de Dieu.

Respectons nos parents, aimons-les sans condition, ne regardons pas nos souffrances à travers les souffrances de nos parents, cela est à Dieu; lorsque nous découvrons une souffrance, nous devons la donner à Jésus, cela appartient à Jésus, cela n’appartient pas à l’humain; Jésus veut prendre tout de nous : donnons cela à Jésus, non pas à l’humain.

Combien de nous allons voir de nos frères et de nos sœurs pour nous soigner, soigner notre moral? Ces personnes étalent devant nous la conduite de nos parents; (elles) ouvrent des blessures.

Ces blessures sont à Dieu, (elles) font partie de la chair de Jésus; cela ne nous appartient pas, cela appartient à Jésus; nous n’avons pas le droit d’accepter qu’un autre étale devant nous la souffrance de nos parents, car si nos parents ont souffert et qu’ils nous ont fait souffrir, cela c’est à cause du péché, pas de nos parents.

Nos parents sont les enfants de Dieu, les choisis de Dieu; chaque parent a été choisi par Dieu le Créateur afin que nous prenions vie sur la terre.

Respectons nos parents, respectons le choix de Dieu, aimons sans condition; aimons les êtres d’amour qui ont permis que nous soyons vie sur la terre; il a fallu qu’ils donnent leur oui à l’Amour; tout ce qui leur appartenait, c’était un oui à l’Amour; nous devons respecter ce oui, nous devons vivre en aimant sans condition.

Aimer nos parents, c’est s’aimer, c’est faire de nous des êtres choisis par Dieu pour être à notre tour parents si Dieu le veut; à notre tour, nous serons nous-mêmes parents, nous porterons les souffrances, les souffrances de la chair; c’est ce que nos enfants vont voir, les souffrances de la chair; même si notre âme se laisse purifier par les grâces du sacrement de la Pénitence, il reste que notre chair est assujettie au péché : elle juge, elle condamne, elle ne respecte pas, elle se met en colère, elle doute; tout cela est en notre chair : la volonté humaine.

Dieu, lorsqu’il a frappé la pierre et que ces mots se sont inscrits : «Aime ton père, aime ta mère, fais ce qu’ils te diront, obéis», sois ce que Dieu veut que tu sois : un enfant, afin de vivre dans l’amour de Dieu.

Nous devons aimer sans condition, nous devons aimer qui nous sommes, respecter l’être que nous sommes, être vrais avec nous-mêmes, vivre dans la vérité, dans la droiture, parce que Dieu nous aime.

Ne nous trichons pas à nous-mêmes; lorsqu’on se triche, on ne voit pas, on ne voit pas que ce que nous sommes; on regarde une personne qui ment, qui vole, qui vit dans l’impureté, dans la violence, et ce que nous (ne) nous apercevons pas, c’est que nous nous voyons, et nous jugeons : nous n’aimons pas sans condition.

Nous devons aimer Jésus, car Jésus a porté tout cela; il s’est présenté à son Père comme un être pécheur; il avait pris tous nos péchés, tous les péchés que nous étions pour voir, tous les péchés que nous étions pour accepter.

Lorsque nous jugeons un seul de nos frères ou de nos sœurs, nous jugeons Jésus; nous sommes portés à oublier cela, pourquoi? Parce que notre chair est faible; nous savons que nous devons aimer, aimer sans condition; nous savons que nous ne devons pas juger notre frère, notre sœur, et nous le faisons; nous savons que nous (ne) devons pas mentir, et nous mentons; nous savons que nous (ne) devons pas prendre ce qui nous (ne) appartient pas, et nous le prenons : que ce soit par le regard, que ce soit par la pensée, nous nous approprions de ce qui n’est pas à nous; nous commettons l’infidélité, et nous savons que nous devons être purs, et pourtant, nous tombons si souvent; tout cela est en notre chair, et Jésus, lui, veut tout cela; il veut qu’on aime sans condition, il veut qu’on lui dise : “Je t’aime, je t’aime.”

Plus nous allons dire à Jésus ‘je t’aime’, et plus notre chair va reconnaître l’Amour; plus nous allons dire à notre frère et à notre sœur ‘je t’aime’ et plus notre chair va reconnaître Jésus; nous avons beaucoup de difficulté à dire à nos frères et à nos sœurs ‘je t’aime’ et combien plus à notre ennemi, car celui qui nous fait souffrir est notre ennemi.

Alors, Jésus dit : «Aime ton ennemi, parce que ton ennemi, c’est ta mère, c’est ton père, c’est ta sœur, c’est ton frère, car lorsque tu juges, c’est parce que tu as mal»; alors, notre mère que nous avons de la difficulté à aimer devient notre ennemie!

Jésus dit : «Aime, aime, parce que tu ne connais pas la cause de ta souffrance; aime parce que tu ne connais pas les conséquences de tes souffrances; aime sans condition, apprends à aimer, apprends à connaître l’amour de mon Père, il t’a donné des lois d’amour et ces lois d’amour sont infaillibles.

Il n’y a pas d’erreur dans les lois de mon Père, tout est parfait dans les lois de mon Père; les lois de mon Père ne sont que douceur; les lois de mon Père ne sont que saveur; les lois de mon Père sont lumière.»

Tout est pour nous, nous devons glisser dans cet amour; lorsque nous aimons ce que nous sommes, lorsque nous aimons notre frère, notre sœur, lorsque nous aimons ce qui est dans notre vie, à travers les yeux de Jésus nous aimons les lois de Dieu, parce que nous voyons le Sang de Dieu, il est devant nous.

C’est le Sang de Dieu qui nous a mis dans ce monde; nous étions morts à la Vie et nous sommes ressuscités à la Vie par le Sang du Christ; nous ne pouvons nous considérer comme étant ressuscités que si nous aimons sans condition nos frères et nos sœurs; nous regardons ce monde, et nous devons aimer.

Nous allons vivre la Grande Purification; Dieu commence par nous afin que nous puissions soutenir nos frères et nos sœurs que nous aimons sans condition : ceux qui rejettent leurs enfants.

Nous avons été tant et tant d’années à ne pas prier; combien de nous (nous) avons dit le chapelet, tel que Marie l’a demandé à Fatima, à tous les jours? Méditer le rosaire? Peu, et ceux qui l’ont dit étaient des enfants qui le disaient sans le cœur; ils n’aimaient pas sans condition et, aujourd’hui, nos enfants souffrent; n’est-ce pas la conséquence de notre négligence? Et ce n’est qu’un voile, il y en a tant d’autres.

Mais lorsque j’ai vu ces voiles, c’était que Jésus me précédait, c’est Jésus qui ouvre les voiles et qui nous fait voir; aucun de nous ne passe(ra) devant Dieu, le Fils, nous suivrons les pas du Christ, c’est lui qui nous apprend à aimer sans condition, à nous reconnaître comme des enfants aimés de Dieu le Père.

Beaucoup d’entre vous voulez entendre parler des trois jours de noirceur, de la Grande Purification; oui, cela est sur nos têtes, oui, les anges m’ont dit dans un écho, unis : “Trois jours, trois jours, trois jours, noirceur, noirceur, noirceur, préparez-vous, préparez-vous, avertis tes frères et tes sœurs.”

Nous avons été avertis et ils viennent encore nous avertir; nous devons nous préparer, nous devons aider les autres à se préparer à ce qui vient; chacun de nous, (nous) devrons vivre cela et c’est à Dieu seul de nous le faire vivre.

Nous devons êtres prêts, parce que cela est beaucoup plus près que vous le pensez, et la façon que cela se fera n’est pas de notre ressort, mais de Dieu, de la puissance de Dieu, et la puissance de Dieu est au-delà de ce que nous pouvons penser; il a le pouvoir de tout arrêter, il a ce pouvoir.

Il y a quelques semaines, j’écoutais un enseignement; le Saint-Esprit était présent; sans que moi je puisse réaliser ce qui se passait, le Saint-Esprit a pris l’être que j’étais et il a immobilisé tout mon être, absolument tout; en un instant, j’ai pénétré en moi.

Ce n’était pas le repos de l’esprit, c’était le mouvement qui m’avait prise, et j’étais à l’intérieur de ma chair, du corps que Dieu m’a donné; j’étais là à l’intérieur, je ne pouvais rien faire, j’étais présente et je savais que j’étais à l’intérieur, c’était comme si mon corps n’avait plus d’ouverture, je ne pouvais plus sortir, tout de ce que je connaissais ne pouvait plus bouger, j’étais en moi, j’étais totale en moi.

Il ne manquait rien de moi, tout était là, la vie était là, j’avais connaissance de tout; j’étais dans ma vie, dans ma chair, c’était comme si je regardais ce qui se passait, mais pas de l’extérieur, c’était à l’intérieur de moi; mes yeux étaient inactifs, c’est comme si j’étais à l’intérieur, je regardais par une fenêtre, je ne pouvais pas sortir.

Je devais être obéissante; je n’avais plus rien de moi qui pouvait dire : “J’ouvre mes yeux, je sors d’ici”, rien ne pouvait être obéissant à cela, tout était en moi; j’avais conscience de cela à l’intérieur de moi, je le vivais.

Cela a duré, a duré et a duré et, tout près de moi, il y avait une personne, cette personne est présente, elle a été témoin et elle ne comprenait pas, mais elle voyait que j’étais inactive, elle attendait, et je la voyais, c’était comme si ma vie était dans un corps, mais que ce corps ne répondait plus, n’était plus dans un mouvement de vie, et tout était dans l’intérieur.

Le temps était le temps de Dieu; j’étais là, j’attendais pour revenir dans un souffle; après plusieurs minutes, et plusieurs et plusieurs minutes, la croix fut déposée dans ma main parce qu’elle a pu entendre que lorsque le Saint-Esprit a voulu qu’elle entende, et là, j’ai pu revenir à moi.

C’est quelques jours plus tard que j’ai su que c’était le Saint-Esprit qui m’avait fait connaître ce qu’il va faire connaître à tous les enfants de la terre; je n’ai pas vu ma vie dérouler devant moi, mais j’ai vu ma vie à l’intérieur qui était dans ce corps qui obéissait à la puissance du Saint-Esprit, et cela est.

Tout est pour nous, c’est dans la foi en ce qui vient que nous devons nous accomplir.

C’est avec amour que Jésus se dévoile, que l’Esprit Saint se dévoile, que Dieu le Père le permet; nous sommes les choisis de Dieu, nous sommes les élus de Dieu.

Dieu nous parle de la Purification, Dieu nous demande de vivre le présent, il nous fait connaître des mouvements afin de nous préparer à ce qui vient, et cela vient.

Le temps est à Dieu, il ne nous appartient pas.

Notre oui est à nous, nous devons sans cesse le donner à Dieu; soyons des enfants obéissants à Dieu car, bientôt, lorsque Dieu le voudra, nous devrons être obéissants; celui qui sera dans son obéissance connaîtra cela dans la joie, celui qui sera désobéissant aux commandements de Dieu, aux enseignements de Jésus, lui, devra obéir à Dieu, car Dieu l’obligera.

Dieu est un Dieu qui ne force pas; Dieu est libre, mais Dieu est le Maître de la vie et de la mort; lorsque Dieu appelle au jugement, tout doit obéir, absolument tout : la Grande Purification, c’est le premier jugement sur la terre.

Ceux qui vont vivre dans le monde d’amour, le monde où il n’y aura plus de haine, où les enfants de Dieu, le cœur des enfants de Dieu ne battront que dans le Cœur de Jésus, ils reconnaîtront leur Dieu, ils aimeront leur Dieu, ils seront tous frères et sœurs en Jésus, en Dieu, et cela est pour les enfants de Dieu.

À nous de tout accepter, à nous de nous conformer aux lois de Dieu, tout a été préparé pour nous et cela dès le tout début.

Dieu le Fils est venu parler du Père et nous devons être obéissants à Dieu le Fils : nous devons aimer Dieu sans condition.

Nous devons dire des ‘je t’aime’ à Dieu : “Oui, je t’aime, Jésus, je t’aime parce que je te vois, je t’aime parce que j’accepte, je t’aime parce que je ne juge pas, je t’aime parce que tu m’as tout donné; oui, l’Église souffre, mais je t’aime Jésus puisque tu aimes ton Église.”

Aimons-nous et respectons qui nous sommes : des enfants choisis pour vivre la Grande Purification.

Soyons vrais, total, n’ayons pas peur de dire : “Oui j’aime, oui j’aime le Christ, j’aime tout ce qu’il a fondé, parce que ce qu’il a fondé, c’est pour moi; ce que le Père a fait, le Fils l’a fait, et  j’aime; j’aime les prêtres, le sacerdoce : ils me nourrissent, ils font de moi un enfant obéissant, un enfant pur, prêt à avancer vers la Grande Purification.”

Je sais que j’ai soif de Jésus, je sais que j’ai faim de Jésus; je veux mourir, je veux de lui; oui j’aime, j’aime, j’aime, j’aime.  Aimons. Merci.