Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Plantagenet, Ontario,

par son instrument, la Fille du Oui à Jésus.

 

2005-05-14 – Soir 

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Dieu aime nourrir ses enfants, voilà pourquoi Jésus est venu nous combler lorsque nous chantions pour lui.

 

Jésus : Tu n’es plus toi, tu acceptes d’être l’enfant de mon Père : je laisse couler ma puissance en toi; par ce geste d’amour, la création que tu es reconnaît son Créateur; tu te laisses prendre par ce mouvement qui est, de toute éternité, préparé pour ce temps.

En ce moment même, mes anges parcourent la terre pour bénir les enfants de Dieu, grâce qui vient par ce signe, parce que tu te présentes à moi.

J’ai ce pouvoir d’embellir ton intérieur, de te redonner ta jeunesse, de rendre ton être fort et sain comme il aurait toujours dû être.

Approche-toi, laisse-moi prendre tout de toi; tu approches comme un agneau qu’on tond parce qu’il sait reconnaître son Bon Pasteur; je suis ton Être d’amour, je suis Celui qui s’est donné à toi.

Je t’aime parce que tu es toi, je t’aime parce que tu te reconnais comme étant l’enfant de mon Père; c’est par ma puissance que cela se fait, c’est par l’obéissance à mon Père que cela se fait : l’huile qui te marque vient de mon Cœur, vient de l’Amour : laisse-toi guérir par moi.

Ceux que tu portes en toi reçoivent en ce moment, reçoivent des grâces d’amour : des grâces qui leur montrent qu’il/elle est le/la choisi(e) de mon Père, il/elle est appelé(e) comme toi tu es appelé; il est ton frère, elle est ta sœur, ils sont enfants de Dieu : tu es choisi comme ils sont choisis.

Avance comme l’enfant qui reconnaît son Père et qui veut entrer à la maison, là où tout n’est que douceur, là où Dieu le Père l’attend pour l’éternité.

Tu es à moi et je me suis donné à toi pour la plus grande Gloire de mon Père.

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Dieu invite (ses enfants) à se donner par amour et il invite d’autres enfants à se donner aussi pour lui; c’est comme une bonne salade, nous sommes tous ensemble pour donner du goût à l’Église.

L’Église, c’est chacun de nous; nous nous donnons pour Dieu d’amour parce que c’est lui l’Église, c’est lui qui nous donne son Corps et son Sang, c’est lui qui nous fait savourer la douceur de sa Présence dans notre vie; ses paroles, c’est comme un chant d’amour dans notre vie lorsque cela est accepté avec ce que nous sommes, lorsque la joie est dans notre cœur parce que nous avons reçu l’Eucharistie.

Nous sommes les élans d’amour, et si nous sommes les élans d’amour, c’est parce que c’est Jésus qui nous a pris dans ses mains, et c’est lui qui nous a fait voltiger autour de la terre afin que chaque personne qui habite la terre profite de ces élans d’amour.

Dieu ne donne pas son Corps et son Sang pour une personne, mais il donne son Corps et son Sang pour tous les enfants de Dieu : nous recevons l’Amour, nous goûtons à l’Amour, nous buvons l’Amour, et l'amour se laisse prendre dans ce mouvement, et combien de joie notre âme ressent à ce moment-là : elle danse, elle danse avec les autres âmes, avec les anges.

Oui, nous dansons ensemble pour Dieu, nous chantons ensemble pour Dieu; nos joies ont pris naissance en nous au moment où nous avons pris sa Chair et son Sang, et ces joies ont fait de nous des enfants heureux en le Christ.

Voyez-vous, Jésus nous nourrit, il se donne à nous; c’est lui le Pain, le Pain que nous avons besoin pour être heureux sur la terre comme au Ciel.

Jésus nous parle d’amour, nous enveloppe de son amour, et c'est cet amour qui, ce soir, nous a enveloppés et qui nous a parlé : lorsque nous avons reçu la marque sur le front, Jésus parlait avec douceur, il attirait à lui ses brebis, il démontrait à ses brebis sa Présence auprès d’elles.

Combien d’entre nous, nous nous sommes éloignés de la Présence de l’Eucharistie pour goûter à une autre nourriture? Cette nourriture n’avait pas la saveur de Dieu.

Jésus vient lui-même parler en nos cœurs; il vient nous parler de l’Amour, il vient nous attirer avec des mots d’amour doucement pour ne pas trop nous effaroucher.

Nous sommes tellement habitués à un langage humain que lorsqu’il nous parle avec un langage divin, nous avons peur, nous avons peur d’avoir mal, nous avons peur de nous abandonner, car nous ne connaissons pas ce que demain sera : cela semble si beau, cela semble pour nous si impossible que cela nous fait mal.

Nous avons soif de Jésus, nous avons faim de Jésus, nous voulons son amour.

Lorsqu’il nous laisse goûter à son amour, nous en voulons et nous ne voulons pas que ça s’arrête; c’est la joie qui se fait sentir à l’intérieur de nous, c’est la joie de Dieu qui se manifeste à nous les humains pour nous attirer à lui en notre intérieur, là où il s’est déposé, là où il s’est mis tout petit pour habiter nos vies sur la terre.

Jésus est l’Eucharistie, Jésus est la Présence, Jésus est l'Amour, Jésus est notre joie.

La joie, c’est lui, c’est notre raison de vivre; lorsque nous goûtons à la joie de Jésus dans notre vie, nous voulons partir vers lui, nous voulons demeurer toujours avec lui, nous ne voulons plus revenir à nous-mêmes avec notre volonté humaine, parce que nous avons goûté à la Divine Volonté : nous avons vu Jésus, nous avons goûté à l’amour de Jésus, nous avons ressenti sa joie, nous avons participé avec nos frères, nos sœurs à la joie de Jésus avec ses anges; comment peut-on revenir dans ce monde ?

Jésus va nous appeler à toujours demeurer avec lui en sa Présence sur la terre; nous ne quitterons plus jamais Jésus d’amour; sa joie : notre vie sera sans cesse dans la joie, dans le bonheur, parce que la Présence de Jésus sera avec nous, nous l’entendrons, nous le verrons; lorsque cela sera, c’est parce que nous aurons continuellement sa Présence; nous allons vivre dans la Divine Volonté, nous n’aurons seulement qu’à fermer les yeux et il sera là qui se présentera à nous : nous nous laisserons couler dans cet amour.

Nous n’avons jamais connu cela sur la terre; maintenant, il nous fait goûter à cela un tout petit peu, et il veut nous en donner encore et encore.

Il faut pour cela se laisser purifier en notre chair.

Il fait attention à nous parce que Jésus sait que si, avec ce que nous sommes en ce moment, il nous (faisait) vivre ce que nous allons vivre sur la terre en enfants de la Divine Volonté complètement transformés en cet instant, nous mourrions, nous ne pourrions résister à tant de joie, à tant d’amour, à tant de sa Présence.

Jésus est vivant, Jésus est vie, Jésus est ressuscité, et il veut qu’on soit ressuscités en sa Vie; nous étions morts à la Divine Volonté, maintenant nous reprenons vie en la Divine Volonté, et Jésus nous dit ces mots par la puissance du Saint-Esprit pour nous faire comprendre que nous sommes en ce moment en train de (nous) laisser transformer.

Jésus nous appelle avec ses propres mots, Jésus nous fait sentir sa Présence; ce sont les mouvements de Jésus qui se font sentir en notre vie sur la terre.

Là, en ce moment même, nous parlons par la puissance du Saint-Esprit, et ces paroles ne sont pas de la volonté humaine, mais de la Divine Volonté; c‘est par la puissance du Saint-Esprit que nous formons un tout en Jésus.

Ce sont des paroles qui donnent la vie, qui font renaître en nous l’espérance de l’immortalité : une vie sans fin où le bonheur ne sera que pour nous; c’est notre quotidien qui commence à se faire voir sur la terre.

Les anges dans le Ciel dansent pour Dieu, chantent pour Dieu, ils sont légers; l’espace n’a pas de matière pour eux, car ils sont présents; ils sont, à la face de Dieu, des êtres de Dieu, des esprits de Dieu; leur pureté est leur joie; ils se donnent pour Dieu et sans cesse ils ressentent la beauté de Dieu en eux qui embellit tout leur être céleste; ce sont des esprits de Dieu parfaits; leur intelligence est si parfaite qu’elle ne cesse de rendre à Dieu ce qu’ils reçoivent.

Tout n’est que bonheur, tout n’est que joie et ceux qui sont devant Dieu, nos frères et nos sœurs, participent à cette joie; eux aussi n’ont pas de pesanteur, eux aussi ne connaissent que la joie; la douleur leur est inconnue, car ils participent à la Gloire de Dieu, à la Résurrection du Fils de Dieu, à la Pentecôte du Saint-Esprit : tout n’est que joie au Ciel dans le Royaume de notre Père, là où il nous attend.

Et nous sur la terre, lorsque nous recevons Jésus Eucharistie, Jésus nous fait participer à de la joie : notre âme entend les mots d’amour, notre âme participe elle aussi à cette joie, mais c’est peu en comparaison aux anges et aux saints du Ciel, si peu, si peu!

Dieu nous fait connaître sa joie aujourd’hui, il nous a pris en lui; nous étions lumière, tout notre corps brillait, nous étions dans les bras des anges : les anges nous faisaient danser autour de la Lumière.

Cela a été permis de Dieu à cause de ce que nous sommes devenus : des oui; c’était notre oui qu’il prenait et on ne peut pas se séparer de notre oui, car nous sommes un oui entier, nous voulons nous abandonner, nous voulons nous donner, mais c’est Jésus qui nous transforme, c’est lui qui prend le oui et c’est lui qui l’embellit et qui le transforme; j’ai vu notre oui, j’ai vu ce que nous étions : des êtres d’amour.

Nous étions purs entre les bras des anges; Jésus nous regardait, il était dans l'amour, dans son amour, et plus il était dans la joie, et plus nous montions haut : tout était amour.

Quand on goûte à cela, on ne veut plus revenir, mais nous ne sommes pas encore prêts à vivre ces instants constamment; mais Dieu dit que cela s’en vient; cela était impossible il y a quelque temps, et maintenant cela est pour chacun de nous parce que ce que j’ai vu : vous y étiez.

Je suis un petit point d’ombre de l’amour de Dieu, et entre ce petit point d’ombre, entre l'amour de Dieu, entre Jésus et moi, il y a vous : votre place est entre Jésus et le petit point d’ombre que je suis; voilà pourquoi j’ai vu, il passait à travers vous pour me laisser voir cela; alors, vous étiez tous là, vous étiez dans la joie et Jésus me montrait sa joie.

Jésus guérit, Jésus guérit nos pensées; il est en train de guérir nos blessures, il est en train d’envelopper notre cœur de son amour : il panse nos blessures, car nous en avons beaucoup dans notre intérieur et, aujourd’hui, il a pansé aussi des corps malades; il y a eu des guérisons et il y aura encore des guérisons en ces murs et en dehors de ces murs : ce sont des mouvements d’amour pour nous.

L’Église est à Jésus; il m’a montré une goutte qui descendait, et cette goutte était une goutte de son Sang et elle se répandait sur les malades.

La puissance de Dieu n’est qu’amour, il nous veut à lui et il ne cesse de formuler pour nous des paroles afin que nous puissions goûter à sa joie, parce que nous sommes sa joie, nous sommes la joie du Père, nous sommes la joie du Saint-Esprit et nous sommes la joie de Marie, la Mère de Dieu le Fils, parce que nous sommes des oui.

Nous nous laissons bercer aujourd’hui par l’Église parce que Jésus a voulu nous donner des moments d’amour, parce que Jésus veut démontrer que l’Église, son Église, contient des enfants du oui, des enfants forts, des enfants qui ont appris à ne plus être eux, mais le Christ, et qui croient en Jésus, et qui sont prêts à suivre les pas de Jésus envers et contre tout.

Il sait maintenant, Jésus, que nous ne croirons pas les enfants, dans l’Église, qui auront encore des douleurs, car ils croiront aux erreurs qui se passent en ce moment.

Jésus a eu une joie aujourd’hui et il nous a fait participer à cette joie : il sait que nous en avions besoin; il sait que lorsque nous retournerons à la maison, nous verrons de nos frères et de nos sœurs souffrir à cause des erreurs qui se propagent partout en l’Église; il sait combien notre cœur va souffrir à cause de ces erreurs, mais notre cœur aura pris le choix de Dieu et, avec ce choix, il aura appris à se laisser consoler par Dieu seulement.

La foi en son Église est inébranlable; alors, c’est de cette foi qu’aujourd’hui nous nous sommes laissé envelopper; nous marchons en louant Dieu, nous marchons en priant pour nos frères et nos sœurs : nous démontrons à ceux qui nous regardent que nous sommes les enfants marqués du signe de l’Amour.

Ensemble nous avançons, nous marchons en ce moment même sur la Terre Nouvelle; Jésus nous porte en lui et nous avançons dans la paix; nous regardons, oui, nous regardons (ceux qui font) des sons à l’extérieur; nous entendons pleurer, nous entendons crier, nous entendons pester contre la Volonté de l’Esprit Saint.

Parce que lorsqu’un Pape parle, c’est l’Esprit Saint qui le fait parler; lorsqu’un Pape décide, c’est le Saint-Esprit qui lui a donné des lumières afin qu’il puisse s’affirmer, et cela ne vient pas de sa volonté humaine, mais de la Volonté de Dieu.

Nous avons reçu beaucoup de force; nous allons continuer encore à marcher parmi nos frères et nos sœurs qui souffrent; ceux qui vont souffrir le plus, ce n’est pas nous, mais eux, car nous, nous avons maintenant la grâce de voir et d’entendre par la puissance du Saint-Esprit.

La peur ne pourra pas nous arrêter, car Dieu a mis en nous des lumières et lorsque la peur se présente, la lumière en nous se fait voir et la peur disparaît; elle ne peut plus nous emprisonner, car maintenant nous savons, nous savons que nous avançons en Jésus, en le Christ, dans son Église : l’Église est à l’intérieur de nous, nous marchons sur la Terre Nouvelle.

Jésus est la Puissance, le Fils de Dieu, nous sommes avec lui; tous ceux qui sont avec Jésus sont avec Dieu le Père; nous n’avons rien à craindre, nous savons que Dieu est avec nous, nous savons que nous devons avancer, et plus nous avançons, plus nos frères et nos sœurs qui souffrent autour de nous reçoivent, eux aussi, la force de prononcer ce oui qui est en eux, car maintenant Dieu dit qu’ils vont prononcer leur oui, car le Fils nous a amenés là où nous devions aller : en lui, avec assurance, en regardant en avant de nous.

Dieu veut raconter une histoire : «Un jour, plusieurs enfants ont commencé à avoir les mêmes pensées; un jour, des enfants se sont rassemblés parce que leur cœur semblait dire la même chose : ces enfants commençaient à comprendre qu’ils appartenaient à l’Église de Jésus.

Ils se sont regardés et ils se sont demandé si les autres qu’ils regardaient pensaient comme eux; à l’intérieur d’eux tout semblait se bousculer : tantôt il y avait des lumières, tantôt ils sombraient; tantôt ils entendaient des paroles, tantôt ils étaient dans le silence comme s’ils étaient dans le désert, seuls; tantôt ils avaient des joies si fortes que tout leur être se mettait à vibrer; à d’autres moments, leur être n’était que glace, ils ne ressentaient rien.

Ces enfants se regardaient et ils voulaient connaître; ils voulaient connaître ce que les autres pensaient parce que ce qu’ils vivaient était inconnu dans leur vie.

Ce qui se passait dans leur vie était des mouvements faits dans l’invisible : aucun d’eux ne pouvait voir à l’extérieur ce qui se passait, aucun d’eux ne pouvait donner un témoignage, car ils ne savaient pas que ce qu’ils vivaient venait des mouvements invisibles, alors ils gardaient le silence et chaque jour cela semblait se préciser : la lumière devenait plus présente, les paroles devenaient plus nourrissantes, la présence de Jésus devenait si vraie qu’ils se demandaient s’ils n’étaient pas en train de devenir des illuminés; ils se demandaient si les autres étaient comme eux; ils n’osaient pas en parler mais ce qu’ils ressentaient devenait dans leur vie une espérance de bonheur.

Un jour, ils ont regardé plus profondément dans les yeux de ceux qu’ils regardaient; ils ont pu voir une lumière, ils ont pu détecter des mouvements de douceur, ils ressentaient la paix.

Alors, ils se sont approchés les uns des autres; un a commencé à parler, un autre a commencé à témoigner, les autres ont commencé à dire qu’eux aussi vivaient cela; leurs cœurs se sont mis à battre à l’unisson : ils s’apercevaient que c’était la même joie qu’ils ressentaient, ils s’apercevaient que tout ce qu’ils vivaient était présent dans la vie des autres.

Alors, leur espoir d’un bonheur augmenta et tout devenait de plus en plus vrai dans leur vie, et là ils ont su qu’ils n’étaient pas des illuminés, qu’ils étaient des êtres de lumière et que les mouvements qu’ils ne voyaient pas étaient la puissance de Dieu.

La lumière intérieure était devenue pour eux une nourriture; la joie qu’ils ressentaient était devenue pour eux un besoin : ils avaient faim de leur vie spirituelle, ils avaient soif d’aller à la Source même de ce bonheur.

Ils venaient de découvrir que Jésus guidait leur vie et que Jésus les amenait dans une terre où tout n’est que splendeur, où tout n’est que justice, où tout n’est que pardon, où tout n’est que Volonté de Dieu, alors ces enfants étaient dans la joie.

Et lorsqu’ils regardaient plus loin, ils voyaient que les autres, ceux qui n’avaient pas cette lumière dans leurs yeux, ceux qui avaient des gestes nerveux, n’avaient pas découvert ce qu’eux avaient découvert, car lorsque ces enfants qui n’avaient pas la lumière dans leurs yeux parlaient, ils parlaient avec des mots qui font souffrir, ils parlaient contre l’Église et ils émettaient leur propre opinion : ils voulaient que ceux qui sont à la tête de l’Église fassent leurs quatre volontés.

Et ceux qui avaient de la lumière dans leurs yeux pouvaient voir maintenant ces enfants avec les yeux de la Lumière; ils savaient qu’à l’intérieur d’eux Dieu agissait parce que Dieu leur avait déclaré qu’ils avaient en eux un oui et que les autres avaient en eux un oui : ils étaient donc tous les choisis de Dieu.

Alors, ceux qui avaient la lumière se sont mis à prier ensemble, à avoir confiance en ce qu’ils ressentaient en eux, en ce qu’ils vivaient; ils y croyaient et ils gardaient leur paix, et ce qu’ils entendaient, ils donnaient tout cela à Dieu parce qu’ils avaient confiance maintenant que l’Église serait renouvelée par la puissance de Dieu.

Ils savaient qu’ils devaient continuer à avancer dans la paix parce que Dieu les avait préparés à soutenir ceux qui n’avaient pas encore la lumière dans leurs yeux; ils savaient que Dieu les aimait malgré qu’eux étaient encore dans la noirceur parce qu’ils avaient en eux la preuve que Dieu aimait les enfants comme ils étaient, puisque eux aussi se souvenaient qu’il y avait un temps où leurs yeux n’avaient pas cette lumière; ils savaient que Jésus s’était donné, donné et donné sans cesse afin qu’ils reconnaissent la lumière en eux, afin que cette lumière se fasse voir dans l’œil de son voisin.

Ils étaient des enfants de la Promesse et maintenant ils comprenaient que les autres sont enfants de la Promesse et qu’ils devaient être patients comme Jésus avait été patient avec eux; ils savaient que, maintenant, malgré tout ce qu’ils étaient pour entendre, tout ce qu’ils étaient pour voir, que Dieu les aimait, que Dieu était leur force, que Dieu était Celui qui viendrait changer la face de la terre.

Ils avaient appris maintenant à tout laisser à Dieu et à ne faire confiance qu’à la puissance de Dieu parce qu’ils savaient que la volonté humaine ne pouvait plus rien faire, que tout était entre les mains du Christ; ils avaient appris à aimer comme le Christ aime; ils avaient appris à avoir confiance, parce que le Christ avait toujours eu confiance en son Père, en ce qu’il était, parce qu’il était Dieu et que Dieu est parfait et lorsque Dieu parle, Dieu accomplit.»

Amours, amours, vous savez de qui je parle; mon Église est vous, mon Église est moi et ceux qui n’ont pas encore compris cela, c’est parce que Dieu sait qu’ils ont besoin encore d’un temps.

Soyez la force de Dieu, ne vous laissez pas ébranler, car Dieu vous a parlé de la foi; demeurez dans la barque et ayez confiance, gardez la foi; je vous aime, mes tendres amours.

 

La Vierge Marie : Mes enfants d’amour, gardez-vous tout petits, aimez le petit être que vous êtes; j’ai bercé, moi, votre être, j’ai pris soin de vous; j’ai prié pour vous, et je ne cesse d’intercéder auprès de mon Fils pour vous : je vous aime, mes enfants.

Mon Cœur de Mère ne cesse de vous envelopper pour vous protéger de vous-mêmes : je veux tous mes enfants.

Il y a en moi tant d’amour, je veux partager avec vous un moment d’amour : «Un jour, mes enfants, que j’étais près de mon Fils, nous étions à parler de l'amour; il parlait avec douceur, mais son Être était pour le Père.

Il se préparait à partir, à quitter ma présence pour aller vers les choisis, pour fonder l’Église, et mon Cœur de Mère a été dans l’obéissance : je me devais, mes enfants, de laisser partir mon Fils par amour pour l’Église, par amour pour vous.

Son regard a été vers moi et mon regard s’est déposé dans son regard; l’un et l’autre, sans un mot, mes enfants, nous échangions des élans d’amour; son Cœur lié à mon Cœur se donnait continuellement à Dieu le Père.

Mon Fils ne me cacha pas qu’il devait prendre tous les péchés afin que son Église soit pure; je n’ai pas caché à mon Fils que mon Cœur se laissait percer par amour.»

Cette blessure a été causée par amour pour l’Église afin qu’elle soit pure; j’ai connu tous les péchés parce que le Cœur de mon Fils s’ouvrait à mon Cœur.

J’entends vos paroles, mes enfants, et mon Cœur ne cesse de vous donner des forces pour vous dire : «Aimez-vous comme moi j’ai aimé, comme mon Fils a aimé.»

Nous avons aimé l’Église et l’Église, c’est chacun de vous; nous continuons à vous aimer, à vous accorder des grâces afin que vous puissiez vous aimer les uns et les autres, car vous êtes l’Église, vous êtes appelés à être l’Église pure, mes enfants.

C’est par nos grâces que vous allez supporter vos blessures, parce que c’est à cause de vos blessures que vous parlez ainsi; vous manquez de foi envers le sacrifice de mon Fils.

Lorsque mon Fils dut quitter ma présence, c’était pour porter tous vos péchés; il fallait qu’il bâtisse son Église, il fallait qu’il déverse son Sang sur son Église pour qu’elle soit belle, pure, c’est chacun de vous, mes enfants.

Ayez la foi envers le geste de mon Fils; soyez patients, mes enfants, envers vos frères et vos sœurs qui n’ont pas encore rejoint le groupe qui est le vôtre.

Vous avancez par la puissance de l’amour de Dieu, c’est Dieu qui vous fait avancer et eux aussi vont vous rejoindre.

Moi, la Mère de Dieu, je vous donne des grâces d’amour envers l’Église, je vous donne des grâces d’obéissance envers l’Église.

N’oubliez pas, mes enfants, Jean-Paul II a accepté de se présenter devant tous les enfants de la terre comme étant une Église qui acceptait de porter les erreurs de l’Église; et Benoit XVI, mes enfants, en fait de même; soyez obéissants à l’Église, il est votre Pasteur, et vous êtes ses brebis.

S’il y a parmi vous des brebis rebelles, mon Fils est en train de les rassembler avec la douceur, avec l’amour; il n’y a que l’Amour qui vaincra la douleur causée par le péché.

Je vous aime, mes enfants; recevez ces grâces, recevez des grâces d’humilité; soyez petits devant la grandeur de ce qui vient; faites tout ce que la Mère de Dieu vous a demandé; soyez bons envers vous-mêmes.

Être bon envers vous-mêmes, c’est découvrir votre place dans l’Église de mon Fils, celle qui sera pure; elle vous apportera beaucoup de joie, et cette joie ne s’interrompra jamais, mes enfants.

Je vous couvre de ma maternelle présence en ces jours où l’Église connaît des souffrances, en ces jours où les enfants de la Lumière se rassemblent pour prendre des forces; c’est mon Fils qui vous a rassemblés, mes enfants, vous en aviez de besoin.

Au nom de mon Fils, la Mère de Dieu descend sur vous des grâces de guérison : beaucoup d’enfants connaissent des peines dues à leur passé, je dépose en vous ma douceur afin que vous puissiez être dans la joie de vous reconnaître aimés de mon Fils.

L’amour de mon Fils vous a toujours suivis, mes enfants, et mon amour vous a toujours enveloppés; maintenant, mes enfants, dites ensemble un “Notre Père” et un “Gloire au Père”.