Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Plantagenet, Ontario,

par son instrument, la Fille du Oui à Jésus.

 

2008-09-20 - Soir

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Alors, nous allons débuter ce qui avait déjà été commencé cet après-midi : questions et réponses. Alors, pour tous ceux qui savent comment ça se passe, nous allons encore le répéter pour tous ceux que c’est la première fois qu'ils assistent à ça : ce sont les personnes qui posent des questions, mais pas des questions personnelles.

Alors, nous allons commencer tout de suite.

 

Q. Tu venais de nous parler de se débarrasser, de se dépouiller et puis, il y a beaucoup de choses que le Seigneur a dites à ce sujet-là et puis quand on retourne chez nous, on ne sait pas par où commencer, on ne sait pas à qui envoyer ça. Nous autres, on a des bibliothèques pleines dont on ne sert plus. Qu’est-ce que je fais avec ça? On met ça à la poubelle? Les bijoux, comment se débarrasser de ça? On ne sait plus quoi faire avec ça, on est pris avec des choses, puis…

 

R.  La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Renseignez-vous auprès de votre hôtel de ville. Il y a des organismes qui se sont mis en marche pour aider les pauvres et demandez à la Vierge Marie de vous envoyer les personnes qui ont besoin. Laissez faire Dieu, vous allez voir qu’il va mettre sur votre chemin les personnes qui ont des besoins, des vrais besoins. Moi je n’ai pas demandé à découvrir tout cela, mais Dieu, lui, le voulait parce que ce sont eux qui l’avaient demandé : ils avaient demandé à Dieu de l’aide. Alors, voyez-vous, ça peut être l’inverse. Alors, faisons confiance en notre Dieu. Merci, Seigneur.

 

Q.  Seigneur, tu nous as parlé de refuser, sauf que là, quand on tombe dans la maladie, on ne sait plus comment 'dealer' avec ça. Il y en a qui ont des maladies héréditaires, qui ont la glande thyroïde malade, comme Martine qui prend des médicaments, puis nous, dans notre quotidien, à un moment donné : coincé dans le cou, puis là : 'on refuse ça Seigneur', refuse ça, frotte un petit peu, je peux-tu prendre une tylénol? Je la prends-tu, je la prends-tu pas? Si je la prends, c’est-tu parce que j’accepte? Seigneur, peux-tu, un petit peu, nous démêler dans tout ça là, surtout dans le côté maladie? Le refus, c’est facile de refuser une pensée, tu sais, la mauvaise pensée, mais le côté maladie, on le 'deal' comment?

 

R.  La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Alors, on part. On est là devant une vitrine, on se demande : "Qu’est-ce que je regarde? Devant la vitrine, il y a des beaux bibelots, il y a un manteau, il y a une pomme, il y a une orange. Est-ce que j’ai besoin de confort? Est-ce que j’ai besoin de nourriture? Est-ce que j’ai froid? Est-ce que je veux me donner à manger? Alors, je vais t’expliquer.

Ce qui entre en nous, c’est quelque chose qu'on a besoin; ce qui nous couvre de l’extérieur, c’est quelque chose qu'on n’a pas besoin. Mais dis donc, Seigneur, qu’est-ce qui fait que je sais que j’ai besoin de rentrer quelque chose à l’intérieur de moi? C’est lorsque l’estomac crie. Mais comment savoir que l’estomac crie pour une bonne nourriture ou plutôt parce qu’elle est mal en point? Qu’est-ce qui fait que moi j’ai besoin de me couvrir de l’extérieur et tu viens de me dire que ce n’est pas nécessaire? Alors, qu’est-ce que tu fais de mes frissons, Seigneur, des courants d’air? Là, est-ce que je vais fermer la fenêtre ou est-ce que je vais me fermer? Alors, Seigneur, conduis-moi là où je devrai être afin que je puisse être devant toi. Si je me mets en face de toi, mais que je ne suis pas sûr qu’à l’intérieur de moi je suis là, alors dis-moi où je suis. Je suis là à l’extérieur, mais à l’intérieur, je n’y suis pas. Qu’est-ce que je fais avec tout ça, Seigneur? Je suis de plus en plus mélangé. Alors, Seigneur, apprends-moi à être là où toi tu veux que je sois, en n'étant en même temps pas là. Si je suis là, eh bien, c’est avec tout ce que je suis que je vais être là : tout ce qui est en arrière, à côté, de l’autre côté, en avant, va me frapper et une fois que tout cela m’aura frappé, eh bien, je ne serai plus présentable".

Eh bien, c’est ce que nous sommes lorsque nous voulons connaître : "Dis-moi ça Seigneur, est-ce qu’il faut que je refuse ça? Est-ce que je donne ça? À quel moment je vais donner? Non, je vais le refuser : je veux apprendre. Eh bien, tu m’as dit qu’il fallait que je refuse telle tentation. Je le fais, Seigneur, et plus je fais ça, Seigneur, et plus je sens que j’ai de la facilité à te donner ce qui ne va pas. Mais plus je fais ça, plus je suis atteint; plus je fais cela, plus il semble qu’il y a des choses que j’avais oubliées : que j’étais sujet à avoir des rhumes, que j’étais sujet à être frileux et lorsque cela arrive, me voilà pris avec des torticolis." Eh bien, lorsqu’on arrive à refuser des tentations, c’est un petit pas que le Seigneur nous donne. Là, il est en train de nous montrer que les tentateurs s’approchent de nous pour prendre un mouvement de vie qui nous appartient et ils l’utilisent.

Et suite à ça : "Là, je sais que si je te dis merci, parce que tu l’envoies au pied de ta Croix, que cela s’accomplit. Et tu me dis de te remercier parce qu’il y a des mouvements de vie malades qui guérissent. Alors, à cet instant-là, je dois donner aussi mon merci à Marie parce qu’elle me comble de grâces : la grâce d’être patient, la grâce d’être dans mon présent abandonné, la grâce de continuer à refuser, la grâce de faire confiance en son Fils, notre Dieu, la grâce de toujours être devant la Volonté de Dieu, la grâce de vivre dans l’humilité ce qui se laisse voir, la grâce de comprendre que tout est de Dieu et rien de la volonté humaine, la grâce que Dieu sait ce que nous, nous ne savons pas et que seul l’abandon donnera toute la place à Dieu afin que nous puissions un jour voir notre guérison."

Lorsque nous refusons, nous refusons le péché qui s’attaque encore à nous pour nous faire tomber encore dans des mauvais choix. La maladie est une conséquence de nos mauvais choix devant le péché. Lorsque nous avons un mal de tête, c’est une conséquence qui est le résultat de nos mauvais choix devant une tentation. Lorsque nous avons mal à la tête : nous refusons; ce que nous refusons, ce sont toujours nos mauvais choix devant le péché. Nous refusons d’entrer encore dans ce piège parce qu’il reste toujours en nous des mouvements malades que les mauvais esprits vont utiliser afin que nous ne croyions pas à notre guérison.

Si nous avons obtenu la grâce d’être guéris d’un mal de tête, le tentateur va se servir de mouvements de vie malades que nous, nous avons consenti à lui donner : ce qui nous a causé une douleur au genou; alors là, comme il va attaquer le genou, il va nous mettre dans une situation de fatigue; une fois que nous serons fatigués de toujours (dire) : "Je refuse, je refuse, merci Jésus", ils vont encore nous attaquer pour nous épuiser. Une personne épuisée, c’est une personne fatiguée; une personne fatiguée est toute mélangée, elle ne sait plus où est sa place : "Je devance-tu le Seigneur ou je lui donne la place? Où est-ce que je me mets : en avant, en arrière, sur le côté, en arrière? Je ne sais plus." Dans ce moment-là, oups, ça joue en dedans, là. Alors, eux autres, ils nous envoient à gauche, en arrière, dans le passé, en avant, au futur : "Qu’est-ce que je vais prendre dans tout ça? La tentation, elle, viens-tu de moi ou de quelqu’un qui vient de la Chine? Je ne le sais pas, mais moi, je suis tanné de vivre ça." Ils ne nous laisseront pas tranquilles. Ils ont eu de la place en nous et ils vont vouloir garder cette place-là et ils savent comment. Ils connaissent nos couleurs parce que ce sont eux qui nous ont colorés, alors ils savent très bien nos faiblesses.

Jésus nous a bien avertis : «Mes enfants, le chemin est étroit.» Lorsque nous avons commencé à donner cause, choix et conséquences, Jésus nous a dit : «Vous donnerez cause, choix et conséquences jusqu’à en perdre haleine.» Nous l’avons fait, si bien qu’on passait nos journées à dire : "Je te donne ça : cause, choix et conséquences", c’était la seule chose qui nous revenait en tête. Vous souvenez-vous, on ne suivait pas les conversations, on ne faisait que donner, donner : "Je te donne cause, choix et conséquences." Eh bien, il nous faut refuser autant de fois, autant de fois que nous on sera sans paix, sans joie, sans amour. Si j’ai de l’amour et qu’il me manque de la joie : il me manquera la paix. Ils peuvent aussi bien vous faire penser que vous êtes en joie et amoureux, mais la paix, la paix : ils ont de la difficulté à manipuler ça, pourquoi? Parce qu’ils nous ont toujours maintenus dans un état d’agitation. Lorsque nous sommes agités, eh bien, nous sommes fatigués, et comme nous sommes fatigués : ils nous utilisent facilement. Mais la paix, la paix : on a le temps de réaliser ce qui se passe. Lorsque nous sommes dans la paix, on laisse passer Dieu avant nous; lorsque nous sommes dans la paix, nous ne demandons pas ce que Dieu ne veut pas nous donner : on est bien comme ça! Il pourrait tomber une pluie de clous : on est dans la paix! Ce qui fait que nous sommes en nous, et lorsque nous sommes en nous, eh bien, on se sent bien, on connaît une joie qui ne nous excite même pas, mais on la savoure, on est amoureux : on est amoureux de nous devant Dieu parce que là, on sent : on sent que Dieu nous aime et nous aimons Dieu.

Alors, notre torticolis ne nous dérange plus : on attend le bon vouloir de Dieu et tout le monde entier en profite. À cet instant, la guérison des mouvements de vie malades se fait : des mères et des filles se réconcilient, des pères apprennent à pardonner à leur fils, des enfants pensent à retourner à la maison. Ça, c’est l’amour. Il y a quelque chose qui se construit, des mouvements de vie reprennent leurs mouvements de joie, d’amour et de paix. Alors, le reste, c’est ce que nous, nous sommes devant Dieu : "Arrange-toi avec moi, Seigneur. Toi, tu sais ce qui est bon pour moi. Alors, Seigneur, je vais refuser. Lorsque j’aurai mal à la tête, je n’aurai seulement qu’à dire : je refuse cette tentation, toi, tu sauras que je refuse la tentation de vivre dans mon mal de tête, parce que toi, tu ne veux pas que je vive dans mon mal de tête, tu veux que je vive en toi. C’est tout ce que j’ai à comprendre et ça me suffit."

 

Q.  Si ça fait bien mal, … faire ça?

 

R.  La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Eh bien, si ça fait très, très, très mal, alors demandons à Dieu de bénir notre aspirine ou notre tylénol, et surtout ne répondons pas à une tentation : "Tu n’étais pas capable de l’endurer ton mal de tête? Tu n’as même pas été capable de faire confiance en Dieu". Refusons ça. C’est tout ce qui n’est pas joie, paix, amour. Merci, Seigneur.

Est-ce que ça va, Martine?

 

Q.  Non. Il y a un bout que je n'ai pas entendu. Comme : moi je prends des médicaments pour la glande thyroïde, je peux-tu arriver un matin : "Bon, O.K., Seigneur, tu m’as guérie. Je lâche ça". Mais veut, veut pas, je vais avoir des sensations dans le corps : la fatigue. Alors, je dis-tu : "Ah non, je refuse. Seigneur, je suis guérie". Je peux-tu lâcher les médicaments et puis dire : je suis guérie?

 

R.  La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Je suis guérie, je lâche ça, je décide : la volonté humaine.

 

Q.  Je continue à les prendre, et à un moment donné je serai guérie!

 

R.  La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Le Seigneur saura bien te guérir. À un moment donné, on va s’apercevoir qu’on est totalement guéris : "Bien, je n’ai plus besoin de ça, je suis guéri."

 

Salle : Mais en attendant, on continue. Nous prions, puis on bénit?

 

R.  La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Et c'est ça, mais toujours en demandant la grâce de la guérison : refuser ce qui nous a rendus malades.

 

Q.  Finalement, tu refuses, tu demandes la grâce de la guérison et tu continues. Comme moi, si je continue à la prendre, mais que je suis guérie, je vais devenir bien 'high'. Si je vois que je suis bien 'high', je vais voir le médecin, il va me dire que je suis guérie.

 

R.  La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Alléluia!

 

Q.  On se lève le matin et on dit au Seigneur : Mon Dieu, couvre-moi de ton Sang Précieux afin que l’ennemi n’ait aucune emprise sur moi. Dans la forme, je crois que le Seigneur le fait, le Seigneur le fait sûrement.

 

R.  Jésus : Le Précieux Sang de Jésus a coulé sur tous les enfants du monde afin qu’ils puissent être protégés d'eux-mêmes. Le Précieux Sang de Jésus a coulé sur tous les enfants du monde afin qu’ils soient protégés des attaques de Satan. Le Précieux Sang de Jésus a coulé afin que tous les enfants de Dieu soient guéris afin qu’ils soient libérés. Le Précieux Sang de Jésus a fait en sorte de montrer aux enfants de Dieu qu’ils étaient lumière. Les enfants de Dieu ont besoin de la présence même de Jésus. Il est important de se donner à Dieu, de ne faire confiance qu’en Dieu, et de se méfier de la volonté humaine qui a laissé pénétrer, en la chair, le mensonge. La volonté humaine n'écoute maintenant que le mal : elle oblige la chair à passer en avant de l’âme. Par le Précieux Sang de Jésus, nous sommes protégés afin de ne pas connaître la mort.

Maintenant, enfants d’amour, ce que vous vivez, c’est la grâce : la grâce de faire acte de réparation. Vous avez été dans la grâce sanctifiante : se reconnaître pécheurs, c’est se reconnaître être enveloppés du Précieux Sang de Jésus afin d’aller vers le prêtre. Il fallait que vous goûtiez au Sang du Christ, il fallait que vous vous sachiez être sauvés de la mort. Maintenant, enfants d’amour, il faut que votre chair le sache afin qu’elle puisse être obéissante aux grâces que l’âme reçoit.

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : La chair est désobéissante à la Chair Éternelle, la Chair Immaculée, parce qu’elle est ouverte au péché, à la tentation. Lorsque la Chair du Christ s’est laissé ouvrir par les coups de fouet, elle démontrait aux enfants que la chair était blessée par le péché. Voilà que la chair se laisse guérir maintenant par Jésus, par le Purificateur. C’est lui la Chair Immortelle, c’est lui la Chair Parfaite, notre Sauveur, notre Rédempteur. Alors, laissons toute la place à Dieu : il nous enseigne. Nous avons tant reçu de grâces par les sacrements! Maintenant, nous devons, avec les grâces, écouter la Parole de Jésus qui vient directement en notre cœur nous dire quoi faire avec cette chair qui est contre nous.

La chair a besoin d’être obéissante. Elle a goûté au Précieux Sang de Jésus, mais elle a refusé : elle a refusé parce que la chair subit nos mauvais choix devant le péché. Dieu a averti tous ses enfants : «Écoutez votre Dieu. N’adorez pas d’autres dieux que moi par crainte que les dieux vous maltraitent.» Les dieux, c’étaient les tentateurs. Dieu nous a toujours dit que si nous n’écoutions pas sa Parole, nous étions pour en vivre les conséquences. Notre chair meurtrie, c’est la conséquence, c’est tout ce qui nous rend faibles devant le péché. Nous allons à la confesse, nous allons recevoir la grâce sanctifiante, mais malgré tout cela, nous sommes toujours avec nos bibittes. Le doute, c’est en notre chair. Croyez-vous que notre âme doute des grâces qu’elle reçoit de Dieu?

 

Salle : Non.

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Alors, qu’est-ce qui nous fait douter? Notre chair meurtrie, celle qui vit les conséquences des mauvais choix devant le péché.

Par le sacrement de la Pénitence, notre âme, elle, guérit. Pourquoi? Parce que la grâce, c’est : la lumière de Dieu, la beauté de Dieu, la présence de Dieu, et l’âme voit. C’est l’invisible qui voit l’invisible, c’est la vie qui voit la Vie, notre âme qui adore son Dieu, notre âme qui loue Dieu, qui adore Dieu, qui chante et qui danse pour Dieu. Mais notre chair, elle, elle ne voit pas Dieu parce qu’elle en est indigne, et parce qu’elle est indigne et qu’elle doit vivre les conséquences des mauvais choix devant le péché, alors elle se laisse comme fouetter par ses propres conséquences : 'je doute, je ne suis pas certaine, je me culpabilise devant des situations, je veux donner et je reprends, je ne veux pas mentir et je mens'. Toujours ces coups de fouet! Maintenant, Dieu nous dit qu’on doit refuser ces coups de fouet : nous devons refuser la tentation, comme ça, on n’aura plus de coups de fouet. Par la grâce que nous recevons par l’âme, là, c’est comme si on avait plus de place qu’on donne à Dieu et là, Dieu envoie les tentateurs au pied de sa Croix et il y a des mouvements de vie qui guérissent.
Voyez-vous, Dieu prépare : il prépare ses enfants à vivre dans un monde d’amour où il n’y aura plus de mal. Les tentateurs seront tous enchaînés au pied de la Croix, jusqu’au jour où Dieu le Père les libèrera afin qu’ils viennent attaquer les élus, et là, le Fils de Dieu, de son souffle, les anéantira. Il les enverra là où ils ne reviendront plus jamais tenter les élus de Dieu, car les élus de Dieu seront enfants de la Divine Volonté, car il n’y restera que le Ciel. Nous serons en présence de Dieu continuellement : notre chair verra Dieu le Père. Tout sera dans un accomplissement total.

Mais pour arriver jusque-là, Dieu nous a préparés à vivre son temps avec ses grâces, afin que nous puissions faire sa Volonté avec notre chair meurtrie. Alors, réjouissons-nous de vivre ça! Si c’est pour nous jusqu’à la fin, alléluia! Mais si nous faisons ce chemin avec Dieu, avec les grâces de Dieu dans son vouloir pour préparer le chemin à d’autres, alléluia! Pouvons-nous imaginer un monde qui se prépare à vivre devant notre Père en étant dans la confiance en Dieu? Nous serons des témoins pour ceux qui n’ont pas encore commencé. Alors, poursuivons ce qui est commencé.

Merci, Seigneur.

Alors, il est 10h30, êtes-vous fatigués?

 

Salle : Oui.

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Alors, on va aller se coucher.