Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Plantagenet, Ontario,

par son instrument, la Fille du Oui à Jésus

 

2012-05-26 – A.M.   Partie 2

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Satan a empoisonné nos mouvements de vie, nos mouvements de vie qui sont tous liés les uns et les autres à notre amour. Nous sommes amour, nous sommes des êtres vrais. Oui, il est vrai que lorsque nous sommes seuls, il est plus facile de vivre comme Dieu veut qu’on vive, mais lorsque nous sommes dans le jus, là c’est plus difficile et Dieu le sait. Croyez-vous que Dieu nous laisse seuls? Il envoie sa Mère de par le monde et elle nous donne ce que Dieu veut qu’on sache : des messages.

Je voudrais demander : Carmen, elle n'est pas ici, Carmen? Si elle n’est pas à la confesse, elle est dans le passage. Carmen, tu veux venir ici, s’il te plaît?"  C'est Carmelle? Viens Carmelle. Je vais faire comme le Père Henri : je les rebaptise.

Carmelle : J’ai eu la grâce de travailler avec un autre prophète du Rwanda qui a reçu des messages. Alors qu’il était en prison, Jésus lui apparut. Il a commencé à recevoir les messages en 1990. Il était un grand pécheur. Mais le Seigneur a le don d’aller pêcher ces pécheurs-là et de les ramener à lui. Quand on lui ouvre la porte, on a qu’à lui dire qu’on l’aime. Ernest avait un groupe de prières et puis, à l’époque, vous avez tous entendu parler du Rwanda.

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Le grand avertissement que la Vierge Marie a donné, tu veux en parler?

Carmelle : Oui. La Vierge avait averti toutes ces choses-là, elle l'avait dit à d’autres voyants. J’ai rencontré plusieurs voyants quand je suis allée là-bas, et puis le Seigneur leur avait dit d’avertir le président qu’il y aurait une émeute, que sa vie était en danger, mais la voyante qui l’avait averti, on l’a mise en prison.

En tout cas, Ernest, en prison, commença à recevoir les messages, et c’est sur tous les commandements de Dieu. On a compris que les commandements de Dieu, le Seigneur ne les a pas donnés à Moïse écrits dans le sable mouvant, il faut les écouter ces commandements-là, il faut les suivre, le Seigneur nous les a donnés par amour. Toujours est-il qu’Ernest a pu convertir beaucoup de prisonniers qui étaient en prison. Le Seigneur le protégeait tout le temps. Même le chef de police du Rwanda, qui était aussi le chef de l’armée du Rwanda, avait été mis en prison parce qu’on l’accusait, lui, d’avoir tué le président, quand c’était faux.

Ernest a continué quand même à prier, à prêcher le chapelet. Il faut parler à la Sainte Vierge, il faut toujours l’écouter, c’est notre Maman. Il a passé six mois en prison, puis quand il est sorti la première fois, il doutait encore de la Parole de Dieu, parce que s’il traversait la rue, il y avait des rebelles qui avaient des machettes, des fusils ou des bâtons avec des clous dedans, donc il avait encore peur, il n'avait pas mis sa confiance entière en Dieu, alors même que Jésus lui parlait.

Alors, la deuxième fois, quand il est sorti de prison, il est allé se réfugier, se cacher chez son frère, mais les gendarmes sont venus, ils l’ont retrouvé, ils l’ont mis dans le camion avec les autres; ils allaient les tuer dans la forêt. Mais l’amour de Dieu était là. La Sainte Vierge, qui l’avait déjà bercé dans ses bras, l’a sauvé encore une deuxième fois. Quand ils sont arrivés au bureau des gendarmes, le chef a dit : "Mais celui-là, il vient juste de terminer son temps en prison, laisse-le aller". Il est le seul qui est sorti.

Et maintenant, il continue toujours à prêcher. Il vit toujours à Toronto, il a un site internet et ses messages et les messages des autres voyants du Rwanda sont là aussi. Ils sont en français et en anglais. Mais, maintenant, il y a une dame qui est en train de les traduire en espagnol aussi. Il va continuer. Il doit retourner au Rwanda pour continuer à évangéliser son propre pays, malgré les meurtres et la Sainte Vierge qui a supplié les gens de se pardonner les uns et les autres, de s’aimer. Comme Francine nous l’a dit et comme le Seigneur lui dit de nous dire, il faut s’aimer, il faut pardonner. Ce n’est pas tout à fait encore guéri au Rwanda, il doit retourner.

Et la Sainte Vierge a demandé qu’on se pardonne les uns les autres. Il y a eu un message de la Sainte Vierge, et le plus puissant je crois que nous ayons donné, c’est le message sur le purgatoire. Vraiment, il faut se servir de nos prêtres, aller à la confesse, se confesser de tous nos péchés autant que possible. Si on se rappelle de quelque chose, il faut aller le confesser, demander le pardon des péchés de toute notre vie, des péchés qu’on a commis devant Dieu, des péchés qu’on a oubliés, c’est très très important, parce que quand vous entendez le message du purgatoire, ça fait peur un peu et les gens courent au confessionnal.

Il faut se débarrasser du bagage, comme Francine vient de nous l’expliquer. Ce matin, j’ai compris que moi aussi j’avais dit oui à Jésus, mais je retenais encore des choses, donc il faut que j’aille à la confesse, pardonnez-moi.

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Alors voyez-vous, nous, ici, nous sommes dans un pays où tout a été facile. Il y a beaucoup plus de pays qui ont connu de très grandes difficultés et qui connaissent encore de très grandes difficultés. Mais nous nous préoccupons de notre moi, nous nous préoccupons de notre vie sociale, nous nous préoccupons de ce qui va nous maintenir dans la facilité.

Oui, le Seigneur sait tout ça, mais il va nous donner ce dont nous aurons besoin, pas plus et ni moins, et la façon qu’il va le donner ce sera toujours face à notre prochain. Il est vrai que le Seigneur nous a dit : «Vous avez une demeure, je ne vous l’enlèverai pas, mais je vais vous montrer comment sortir vos idoles». Et il nous a parlé, il nous a parlé de nos garde-robes remplis, de nos armoires remplies. Il nous a parlé de nos hangars, de nos garages, de nos caves qui sont remplies et qu’on remplit encore.

Nous devons montrer à nos frères et à nos sœurs du monde entier que nous suivons le Seigneur. Et le Seigneur dit : «Et ne me dites pas que voulez continuer à suivre vos enfants qui sont dans l’esprit de ce monde, car vous pénétrerez encore dans l’esprit de ce monde et vous aurez de la difficulté, 'de la difficulté' à ressentir la joie de la très Grande Purification de la chair qui vient».

Le Seigneur va vous demander : «La gauche, allez vers la droite, la droite, allez vers la gauche».

Nicole : Eux autres, tu veux dire? Alors change avec moi.

Maintenant qu’il y en a qui ont une place, est-ce qu’il y en a qui se retrouvent debout sans place? Voulez-vous vivre ce qui vient de cette façon? Voyez-vous, ceux qui n'ont pas de place, s'ils veulent s’asseoir, ils peuvent toujours se trouver une place.

Voyez-vous, le Seigneur veut nous faire comprendre qu'il ne nous demande pas de renoncer à tout, mais de voir ça différemment, de voir qu’il y a possibilité de vivre en êtres d’amour avec ce que nous savons, avec ce que nous voyons, avec ce que nous sommes pour lui. Si parfois on se sent comme compressés par les dires du Seigneur, c’est pour notre bien, parce que lui sait ce qui s’en vient.

Nous avons entendu que des personnes ont été en prison par amour pour Dieu, pas seulement qu’en prison, elles ont été vraiment maltraitées par amour pour Dieu. En ce moment même, il y en a qui sont tués, sont tués parce qu’ils se disent être catholiques; en ce moment même, il y a des personnes qui vivent dans une certaine peur d’être découvertes, parce qu’elles suivent les pas du Christ. Nous, on ne vit pas cela, n’est-ce pas? Eux savent-ils qu’ils aiment Dieu comme Dieu veut qu’il soit aimé ou nous, nous le savons plus qu’eux? Eux sont prêts à tout pour Dieu.

Dieu nous demande de ne pas vivre dans l’abus et nous continuons à vivre dans l’abus. Dès le début que le Seigneur a commencé à me parler, il a dit : «Donne-toi, mes enfants meurent de faim, et ce ne sont pas les enfants du tiers-monde qui meurent de faim, ce sont ceux qui ne savent pas qu’ils meurent de faim.» Alors, il disait : «C’est moi qui vais leur parler en leur cœur.» Et il vient nous parler en notre cœur Dieu le Père, Dieu le Fils, Dieu le Saint-Esprit, car UN seul parle, bien, c’est Dieu le Père, Dieu le Fils, Dieu le Saint-Esprit : c’est Dieu. Nous devons faire ce que Dieu nous demande. Nous ne savons pas ce que demain sera, lui le sait.

Il a envoyé la Vierge Marie à ses enfants là-bas et ils ont été avertis du massacre qui était pour se passer, mais on n'a pas voulu écouter. Est-ce qu’on va dire : 'Bien, Maman Marie elle a manqué son coup? Dieu le savait qu’ils étaient pour être massacrés et il n’a rien fait? Il aurait pu empêcher cela, faire disparaître l’armée, cela ne s’est pas fait.' Dieu avait préparé le cœur de ceux qui étaient pour vivre ce massacre. Ils ont reçu des grâces.

Dieu nous donne des grâces, ne les gaspillons pas. Nous devons nous donner pour nos frères et nos sœurs, car la très Grande Purification de la chair, c’est à la surface de la terre que cela se fera. Croyons en ce que le Ciel est en train de nous dire. Allons-nous attendre comme le Général, lui, a fait? Croyez-vous que ce qui s’est passé a été complètement effacé de la mémoire de ceux qui ont vécu cela, qu’ils soient les victimes, les parents des victimes ou qu’ils soient eux autres même les auteurs, croyez-vous que cela a été oublié? On en parle encore.

Dieu envoie des messages, Dieu parle directement en notre cœur pour ce qui s’en vient, et il nous dit tout ce qui va se passer. C’est ce qui est important qui compte, et qu’est-ce qui est important? Faire la Volonté de Dieu. On ne comprend pas ce que Dieu va faire, lui le sait, n’est-ce pas important? Nous devons pénétrer dans la Volonté de Dieu. La très Grande Purification de la chair va s’accomplir. Nous devons nous donner pour nos frères et nos sœurs, car cela nous sera montré. Dieu nous supplie, Dieu nous supplie : «Écoutez-moi, mes enfants».

Quand Jésus me parle – et il me parle souvent – il me dit : «Fais ce que je te dis, ma fille, fais ce que je te dis, tu ne sais pas ce qui vient, moi je le sais, accomplis-toi.» Nous devons accomplir la Volonté de Dieu, pas la nôtre. Il est difficile de renoncer à notre vie, n’est-ce pas? Oui, c’est difficile. Regardez, nous sommes ici à écouter la puissance de Dieu. Vous n’êtes pas ici pour écouter Francine et Nicole, vous êtes ici parce que savez que c’est Dieu qui vous le demande. Beaucoup doutent, mais beaucoup ont des manifestations.

Nous avons une amie ici qui vient de la France. Elle a fait un long voyage, hein, de la France? Et les complications, elles en ont eu. Mais pourquoi elle est ici? Comment ça se fait qu’elle ne doute pas, elle? Tu veux donner ton témoignage? O.k. Pourquoi elle est ici, pourquoi elle croit?

Annick : Pourquoi je crois? Je ne le sais même pas moi-même, c’est une force qui m’attire. Quand j’entends la Fille du Oui qui dit, à qui le Seigneur a dit : «Ici, dans cette salle, il y aura ceux qui croiraient, ceux qui ne croirons pas». Eh bien, c’est à ces personnes que je veux m’adresser. C’est bien Dieu qui vous parle. Est-ce que vous croyez que je suis venue de la France pour rien?

À la dernière conférence du mois de mars, j’étais en France, dans mon lit. Mon rêve était d’être auprès de la Fille du Oui. Malheureusement, non seulement je n’avais pas de jours de congé, je n’ai pas pu me rendre ici. Alors, le soir même, j’ai dit à Jésus : "Seigneur, je sais que tu n'aimes pas l’argent, mais si j’avais les six chiffres de loto, je t’aurais fait un 747 (avion) de Français pour te les emmener là chez la Fille du Oui. Ils seraient venus parce que j’aurais tout payé! Croyez-moi, quand je veux que vous veniez, vous allez venir". Alors, je me suis endormie, et puis dans la nuit, Jésus est venu. J’entends : «Annick?» – j’ai jamais vu une voix aussi douce, d'ailleurs – «Annick?» Moi, je dormais. Tout d’un coup, il m’a tendu la main et il a amené mon âme. Il me tenait par la main. Je me suis retrouvée ici à cette place, debout, et à droite de Jésus il y avait la Fille du Oui, et vous, vous étiez tous devant. Après, j’ai pas eu la chance d’avoir le restant de la conférence.

J’ai cette chance et je pensais que, parmi vous, vous auriez la même chance que moi : celle d’avoir une âme qui se détache, qui se promène avec le Seigneur au Ciel, qui parle à des gens que je ne connais pas et quand je reviens à moi, j’entends, j’entends des bruits de conversations. Je ne peux pas douter! Ce n’est quand même pas moi qui sors de mon corps, qui me balade avec Jésus, ce n’est pas possible! Seul Jésus peut le faire et ça, j’en ai aucun doute. Ne doutez pas, c’est bien Jésus qui vous parle à travers la Fille du Oui. C’est un cadeau immense, voilà.

Et il y aurait beaucoup à redire, parce que ça, ce n'est qu'un échantillon de ce que j’ai. Moi, j’ai rien demandé. Depuis que je suis venue voir la Fille du Oui, j’entends le Seigneur, je vois le Seigneur. Il me parle le Seigneur, j’en reçois des 'plumés', c.à.d. je me fais secouer. Une armoire bien remplie, j’en ai une, mais c’est redondant de le dire, n’est-ce pas? Si je racontais tout ce que j’ai eu, c’est de l’incroyable, jusqu’à la nourriture.

Un jour, j’ai vu le Seigneur. C’était sa main, elle me déroulait des pamplemousses. Mon âme était devant lui et moi j’ai dit : 'Ah, j’ai horreur des pamplemousses.' Il m’a dit : «Eh bien, écoute bien, tu ferais bien de manger ça». Puis, il me montrait les pamplemousses et ça correspondait à un par jour. J’ai dit : "J’aime pas". Il m’a dit : «Bien, va acheter ça puis, par la même occasion, achète une perfusion» (injection). Oh la, j’ai dit : "Quelle horreur!" Donc, moi, j’en ai déduit : perfusion, ça veut dire hôpital, j’irai pas à l’hôpital. Donc, depuis, eh bien, j’en mange à tous les jours et je les trouve super bons, mais je vous jure que je ne voulais pas commencer ça. Voilà et il y a plein de choses, plein, plein.

Chaque fois que vous êtes…, quand vous avez été en réunion le 15 octobre, au mois d’octobre vers le 13, non, c’était pas le 15, c’était…, il y avait trois jours de conférences et ça dû se terminer vers le 13 (R : 7 au 9), le Seigneur vous a dit : «Mes enfants, c’est terminé». Il vous a parlé dans cette conférence de plusieurs choses qui..., enfin, il disait qu’il allait venir vous visiter. Quand la conférence a été terminée, deux, trois jours après, je dormais comme d’habitude, et le Seigneur est venu me visiter. Il m’a dit : «Alors, Annick, on en est où»? Eh bien, croyez-moi, c’était pas triste. Il peut être très gentil, mais très sévère. Mais s’il le fait, je ne lui en veux pas, c’est parce qu’il veut obtenir quelque chose de nous. Donc, il faut qu’on avance, que ça nous plaise où que ça nous plaise pas. Il me dit toujours : «Tu m’as dit oui». J’ai dit oui, mais au début je disais que des non. Il dit : «Répète-moi encore un non!!!» et plus je voulais lui dire oui, et plus je disais non, c’était une catastrophe, c’est pas évident.

Alors, il faut s’accrocher dans les tempêtes, parce que des tempêtes, je crois que j’en rencontre les unes sur les autres, et des moments de découragement on en a. L’autre jour, je lui ai dit : "Mais ça va plus, amène-moi, tu me mets dans le paradis des animaux, je veux plus voir un humain". Tempête sur tempête, et pourtant je sais, c’est la prière, et le Seigneur m’a dit : «Ce n’est qu’un début». J’ai dit : "Je t’ai dit oui, alors tant pis, on continue". De toute façon, je ne ferai jamais marche arrière. On doit tous continuer et tous se soutenir.

Courage. Le Ciel est avec nous. Oh! Il me les a montrés, il m’a même montré mon ange. Je les entends tous, mais c’est pas si simple. C’est pas simple de voir, mais j’ai dit oui et je ne reviendrai jamais en arrière, même si je dois y laisser ma vie. Merci Seigneur.

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Alors, on va terminer avec… Monique, tu es là, Monique? Nous avons Monique et d’autres personnes qui ont participé à ça (cahier 16), c’est Germain Beaudoin, Monique Longtin, Louise Hamelin – elle n’est pas ici. Il y avait Robert Beaulieu, et nous avons aussi Lorraine, Lorraine Lamequin. Alors, on est un petit groupe qui, sans compter ceux qui ont enregistré, Jurek… On est tous là et vous tous. C’est vous tous qui faites tous ces enseignements-là; sans vous là, il n'y a rien qui se ferait.

Il s’est passé, il y a peut-être quinze jours, une personne m’appelle; puis, la personne me parle d’un logiciel que je pouvais mettre devant moi, là. Je ne sais pas quel est le nom. Skype? O.K. Alors il dit : ' Ça serait très utile, tu pourrais parler, puis tout le monde te verrait'. Là, j’entendais rien, et là je restais…, je dis : Seigneur? Il dit: «Souviens-toi». J’ai vu un grand cœur. J’ai vu à l’intérieur du grand cœur tous des cœurs, tous des petits cœurs. Alors, il a dit : «De qui je me sers pour faire ces enseignements? De toutes les personnes présentes».

Voyez-vous, ces enseignements se sont faits grâce à qui? Aux personnes qui sont ici présentes, ici ou à d’autres endroits, mais il faut qu’elles soient présentes, il faut qu’elles aient donné leur oui par amour pour leurs frères et leurs sœurs. Alors, on a notre réponse, c’est non. Dieu parle en notre cœur, alors c’est avec vous que cela se fait, c’est tellement important. Voyez-vous combien de guérisons nous recevons? Si Annick entend, est-ce que cela dépend que de elle ou de chacun de nous? Dieu ne parlera pas à une personne, il va parler à tout le monde.

Comme Ernest, il entend le Seigneur, il voit le Seigneur, alors, il savait qu’il était pour (être) rebelle au tout début. Le Seigneur, il sait ça, tout comme pour Annick, tout comme pour moi, il le sait tout ça là. Mais Dieu dit : «Je vous connais mieux que vous vous connaissez». Il connaît notre oui à l’Amour. Ce sont des guérisons que nous recevons. Que c’est riche de reprendre ces livres, d’ouvrir comme ça, tout à fait au hasard, et quelles réponses, quelles réponses!

Il y a près d'un mois, ma fille, – elle les a tous en ligne là (les cahiers), un jusqu’à quinze – ça fait deux ans qu’elle fait du ménage dans sa maison pour pouvoir la vendre, et cette journée là, elle était bien découragée, elle avait mis la pancarte et pas un coup de téléphone, pas une visite. Et là, elle a été vers les livres, elle en a pris un au hasard. Et Jésus dit : «Je vais vous raconter une histoire». C’était l’histoire d’un homme qui voulait vendre sa maison et qui mettait tous ses projets en avant : il manquait d’abandon. Alors, elle a dit : "Maman, Dieu nous parle." Et je suis sûre que plusieurs d’entre vous vivez cela. Dieu nous parle en nos cœurs et il parle en nos cœurs, pas seulement depuis… ce qu’il a dit en 2009, eh bien, il le dit encore aujourd’hui, c’est toujours vivant pour aujourd’hui.

Il y a quelque chose qui se passe sur Internet, un journal, je crois. Comment ça s’appelle? Pas un journal, apparitions… Apparitions Mariales, site Web. Et Monique, elle dit qu'ils vont chercher des messages dans les livres un, deux, trois ou quatre, et c’est de l’actualité. Est-ce que ce sont des nouvelles passées? C’est toujours présent avec Dieu. C’est pour nous qu’il parle et nous sommes éternels, et c’est ça la preuve.

Moi, quand je vis quelque chose, le Seigneur, le soir il me bénit, il vous bénit tous. J’entends la bénédiction du Seigneur, il bénit tous ses enfants, il bénit son Église, il bénit son Pape, il bénit. À tous les soirs le Seigneur bénit ses enfants, et ce que j’ai vécu durant la journée, il me le fait vivre aussi en disant : «Maintenant, ma fille, prends telle page» et tout est là.

Nous l’avons si souvent vécu lorsque nous étions en train de bâtir les refuges. Il connaît son Évangile par cœur lui, et il nous le montre. Il nous fait vivre. C’est présent l’Évangile, c’est présent. Nous faisons partie de l’Évangile, c’est notre vie. Alors nous devons croire en ce que nous vivons, c’est le présent. Tout s’accomplit. Alors, on n'a pas à s’inquiéter, il faut avancer.

Maintenant, dans dix minutes il y a le dîner. Alors, notre ami Marc, il est parti? Il s’en vient, o.k. Marc. Et Michel, est-ce qu’il est là dans la salle? Je ne le vois pas. Oh! mais oui, Michel. Après, pour le bénédicité, tu vas nous bénir, Michel, après le chant? O.k. Merci Michel, merci Seigneur.

♪♪♪     Esprit de Dieu

Michel, diacre : Seigneur, la fin de semaine de la Pentecôte, le vent commence à se soulever pour faire souffler ton Esprit dans tous les cœurs.

Ce matin, nous avons entendu les enseignements, Seigneur. Que les lumières qui ont jailli, les paroles que tu as prononcées, Seigneur, puissent éclairer les cœurs, puissent éclairer les âmes et que cette lumière, ce souffle puissent apporter, ouvrir, dilater les cœurs pour accueillir ton amour et que, durant le repas que nous allons partager ensemble, que les partages dans les cœurs soient faits dans la joie, dans l’amour, dans l’amitié, et aussi qu’ils puissent se propager à travers les témoignages de ce qu’on a vécu ce matin, en parlant que toutes les lumières, les différentes lumières qui ont été reçues puissent se propager les uns les autres, afin que les grâces qui ont été reçues puissent être répandues, Seigneur.

Toi tu peux accomplir des merveilles durant ce repas que nous prenons en ton Nom et en nous bénissant, les gens ici, je bénis la nourriture. Au nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit. Amen.