Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Plantagenet, Ontario,

par son instrument, la Fille du Oui à Jésus

 

2012-05-25 – Soir   Partie 2   

 

 

♪♪♪        Si je n'ai pas l'amour

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Eh bien, bonsoir. Ne partez pas, je vous dis 'bonsoir'. Je ne vous ai pas tous vus, moi. Le Seigneur, il nous en réserve des belles surprises. Je regarde chacun de vos visages et, ouf! merci, Seigneur. On a beaucoup de joie à se regarder, à se savoir tous ensemble; alors, pouvez-vous vous imaginer le monde entier lorsqu’on va se retrouver tous au Ciel? J’y crois, moi. Oui.

Malgré toutes les souffrances du monde, je crois en Jésus, je crois en son Sacrifice, je crois que notre Seigneur, que notre Maître, nous a gagné la vie éternelle et que nous avons tous une place dans le Royaume de Dieu, tous une place, et c’est incalculable les places qu’il y a pour chacun de nous. Vu comme ça, on dirait : 'Bon, bien, moi j’ai ma place. Tu vas avoir encore ta place, une autre place, puis une autre place, il me semble que ça va être encore la même chose que sur la terre : chacun nos places.'

Alors, moi, il y a quelques années, j’ai dit : "Seigneur, je ne veux pas avoir de place au Ciel, pas comme ça, je ne veux pas de demeure". Alors, je lui ai demandé quelque chose : "Seigneur, je voudrais toujours marcher au côté de toi, me le permets-tu? Alors, j’ai pas besoin de demeure, Seigneur!" Il a dit : «Oui». Mais pas comme les apôtres qui disaient 'au côté', non, non, j'ai voulu dire, bien, même si je suis en arrière d’une grande grande foule, quand le Seigneur partira vers la droite, on s’en ira tous vers la droite, on ne manquera pas un seul mot du Seigneur. Pas besoin de lit, de couverture, pas besoin de maison, absolument rien : on ne sera jamais fatigués. On ne connaîtra pas l’ennui. Pas avec Jésus, pas avec Dieu le Père, avec le Saint-Esprit, jamais! On va être ensemble.

Moi je rencontre quelqu’un, je suis dans mon auto, puis je vois quelqu’un – encore aujourd’hui, j'ai dit : on va être ensemble, on va être ensemble! Et comment on va faire pour tous se parler, tous se regarder? Bien, ça, c’est l’affaire du Seigneur. On n’a pas à s’inquiéter, on va être collés, collés, collés. Ça va être le bonheur, et c’est vrai. L’autre essaie de temps en temps de faire douter – pas de Dieu, on ne doute pas de Dieu – mais de quoi on peut douter? Je ne le sais pas, mais il nous fait douter. Il nous fait douter, bon, douter de quelque chose qui nous chicote beaucoup : 'Quand est-ce que ça s’en vient? Est-ce que tout ce qu’on fait, ça va porter des fruits?' Ça, c’est des doutes.

Pensez un instant : notre regard, il a été créé par Dieu. Alors, tout ce qu’on regarde, tout ce qu’on regarde est à Dieu. Puisque nos yeux, il nous les a donnés – mais nos yeux, c’est Dieu qui les a créés – alors c’est à Dieu. Alors tout ce qu’on regarde avec les yeux de Dieu, parce que ça lui appartient, eh bien, porte des fruits. Pour que cela porte des fruits, il faut tout simplement avoir conscience que Dieu nous a donné un regard et c’est tout, c’est tout et c’est si puissant! C’est si grand, si grand que ça nous échappe! C’est trop grand pour qu’on puisse s’y arrêter et pénétrer cette immensité d’amour que Dieu nous a donnée. On n'a seulement qu'à se regarder : on n'a pas un seul cheveu qui est pareil comme les autres – on ne parle pas de la couleur, même encore!

Alors, notre regard, lorsqu’il prend conscience de ce qu’il est pour nous-mêmes, c’est grand, c’est très important, c’est beau. C’est tellement impénétrable! C’est trop grand pour qu’on puisse le pénétrer, on peut en saisir seulement qu'une partie de l’extérieur. On dirait ces paroles à une personne qui … : 'Bon, bien, elle parle pas du Seigneur, elle est folle, elle est en train d’être dérangée! Voyons donc, on regarde les cheveux, puis elle pense à l’immensité d'amour que Dieu a fait pour elle. Bah, il y a de quoi qui marche pas là dans son affaire.'

Mais essayez de pénétrer l’amour de Dieu juste un tout petit peu. Dieu qui, dans sa pensée, va créer chaque être humain qui devra venir avec des cheveux, et pas un seul poil sur notre tête est pareil à un autre, pas un seul. Maintenant, essayez d’imaginer toutes les têtes qu’il y a eues, qu’il y a et qu’il y aura. Et Dieu, lui, n’a pas fait cela banalement, il l’a fait avec son amour, avec sa puissance, avec son vouloir. Avez-vous remarqué la beauté dans la nature? Les arbres : il y en a qui sont grands, d’autres plus touffus, mais ils ont tous leur beauté et chaque feuille à sa beauté, ça vous l’avez remarqué. Eh bien, chaque cheveu a sa beauté et il l’a créé pour nous. Il a créé ses arbres, ses herbes, mais il a créé l’être à son image.

La beauté de Dieu, il n’y a pas de mot qui peut exprimer la beauté de Dieu, mais il y a des cheveux qui montrent combien Dieu il est beau. Regardez un enfant qui vient au monde : ses cheveux sont comme du duvet; quand ils vieillissent un tout petit peu, oups, c’est comme des fils d’anges, de la soie; et quand ils vieillissent encore, oh, c’est comme de la fourrure; et quand ils vieillissent, ils vieillissent, c’est de la douceur. Chaque caractéristique d’un cheveu, c’est le vouloir de Dieu, c’est la beauté, c’est la connaissance de Dieu. Chaque détail est un détail voulu par Dieu et on ne s’arrête pas à cette beauté. Quelquefois on la teint pour la masquer, pour lui donner une beauté. C’est parce qu’on n'a pas vu, on n’a pas vu la profondeur de l’amour de Dieu pour nous; on a passé au côté et on l’a pas regardé; oh, pourtant on l’a touchée, mais on ne l’a pas ressentie. On a ignoré cet amour, l’amour que Dieu a eu pour lui-même.

Lorsque Dieu a voulu de nous, il a voulu de qui? De lui-même, de son amour. Il nous a créés pour lui. Alors, les cheveux que nous avons lui appartiennent, c’est son amour, c’est sa beauté, c’est sa douceur. Est-ce qu’il aurait dit : «Pas un seul cheveu de votre tête ne tombe (R : Sans ma permission?) Et voilà! Alors, voyez-vous que Dieu est maître de ce qui est à lui? Et nous, nous ne voyons pas ça, parce que nous en vivons les conséquences. N’oublions pas que nous avons dit non à Dieu, alors que nous étions un oui à Dieu. Mais Dieu, lui, n’a pas oublié; lui, lorsqu’il nous regarde, il sait, il sait que sa création vient de lui. Nous appartenons à notre Dieu et nous allons vivre éternellement dans son Royaume.

Mais nous avons un chemin à suivre et le chemin, c'est le chemin de notre Jésus d’amour. Il veut que nous soyons un oui, il veut que nous soyons nous aussi sur la Croix, il veut que nous soyons l’amour, il veut que nous ressentions l’amour de Dieu le Père, l’amour du Fils, l’amour du Saint-Esprit sur nous, en nous. Et plus nous sommes sur la Croix et plus nous aimons; plus nous sommes sur la Croix et plus nous voulons embrasser le monde entier; plus nous sommes sur la Croix, plus nous acceptons les calomnies; plus nous acceptons d’être sur la Croix, et plus nous ressentons la purification. Et qu’est donc cette purification? Le Sang de Jésus, c’est la purification.

Quand Jésus s’est donné sur la Croix, il a donné son Corps. Jésus, il s’est laissé ouvert, il s’est montré, lui, la Lumière du monde. Voici Celui qui est venu sur la terre : le Messie. Le Sauveur du monde : voici Celui que vous attendiez. Voici le Oui à Dieu : «Ta Volonté Père, pas ma Volonté». À cet instant je lave la tache originelle : à cet instant toutes les âmes sont sanctifiées. Cette pureté, c’est le Corps de Jésus qui nous est donné. Notre âme, notre âme illumine de bonheur, de joie. Elle reconnaît son Sauveur, son Messie, son Époux, son adorable Dieu qui la revêt d’un vêtement d’amour. C’est notre Dieu qui se donne à nous à chaque Eucharistie, à chaque Eucharistie : le Corps de Jésus, Celui qui purifie l’amour, qui purifie notre âme, qui la rend belle. C'est une telle beauté.

Et là, ce Oui, ce Oui étendu sur la Croix, ce Oui qui laisse couler son Sang sur sa Chair! Regardez vos membres, regardez votre chair, regardez ce que Dieu fait pour vous : il purifie votre chair. Allez-vous accepter ce Sang, allez-vous le prendre comme votre sang? Car ce qui nous est présenté : ce Calice, il est le Sang de notre Sauveur, et il a purifié notre chair.

Tout est accompli, tout est accompli. À cet instant, nous sommes devant le plus grand des témoignages d’amour : notre âme qui est purifiée et notre chair qui est purifiée. Tout est accompli. À nous de vivre cet amour. Il nous la (âme) présente, il veut qu’on la (chair) pénètre. «Ouvrez-moi votre intérieur, laissez-moi votre âme, je veux l’habiller de mon vêtement d’amour et je veux purifier votre chair. À moi, à moi seul d’arracher le mal et à moi seul de purifier votre chair». Pouvons-nous douter de ce que le Seigneur nous annonce? Tout est accompli et nous, à nous de le vivre.

Le sacrement de la Réconciliation nous amène à avancer vers Dieu : 'Oui je crois, oui j’ai foi en toi. Oui tu prends mon âme et tu la présentes à Dieu, ton Père, et tu consens à m’habiller du vêtement de la foi, afin que ma chair goûte à sa purification. J’ai foi en toi.' Personne sur la terre n’a ce pouvoir, Dieu seul. Je suis éternel, car mon Sauveur, mon Maître, mon adorable Rédempteur est Jésus. À chaque fois que nous regardons la Croix, nous regardons la promesse de Dieu le Père pour tous les enfants du monde, et Dieu le Père a tenu sa promesse. À nous de vivre notre foi jusqu’au bout. «Il n’y a pas de plus grand amour que de donner sa vie pour ceux qu’on aime.» Pénétrer, pénétrer cette blancheur, pénétrer ce moment où Jésus présente notre âme à son Père : ça se fait à chaque communion.

Nous sommes enfants de la Divine Volonté et en la Divine Volonté tout est passé, présent, futur. Tout est présent. Nous sommes dans le présent de Dieu, nous sommes dans l’éternité de Dieu à cet instant. Tout est là, tout est accompli. Combien d’entre nous vivons des moments de joie au moment de la communion et nous le vivons. Gardons notre foi ouverte à tous nos frères et nos sœurs du monde entier. Ce que le Seigneur fait avec nous, il veut le faire avec tous ses enfants. Alors, n’ayons pas peur.

À travers toute la souffrance de ce monde, nous sommes gagnants : qu’importe ce qui se dit, ce qui se vit, nous sommes les vainqueurs. Satan et tous ceux qui ont suivi Satan sont les perdants. Satan peut se présenter sur tous les écrans du monde, Satan peut crier dans les rues, sur les toits, il ne peut crier et montrer que sa défaite, car il n’est rien d’autre que la défaite. Il ne peut rien, mais rien, absolument rien, contre nous. Même dans les moments où nous tombons, nous sommes vainqueurs, car nous nous relevons, nous ne demeurons pas par terre. Si nous demeurons par terre, il y aura toujours un enfant de Dieu qui nous relèvera.

Satan n’a jamais, jamais, jamais, pu éteindre l’amour, et cela depuis la création. Satan, c’est la destruction. Il se détruit par lui-même. On n’a pas à s’en occuper, il s’occupe lui-même de se détruire. Savez-vous ce qu’est le néant? Le néant, c’est ce qui s’avale par lui-même : jamais de surface, jamais de respiration, jamais de vie. C’est le néant, ça n’existe pas. Cessons de croire au néant. Tant qu’il y aura des êtres créés qui croiront au néant, le néant demeurera auprès des enfants créés.

Croyons en Dieu, qu’en Dieu. Cessons de croire en ce qui n’existe pas. Nous existons, la beauté de Dieu existe, la vérité existe, le mensonge n’existe pas. Est-ce que le mensonge existe? Mais non, le mensonge n’existe pas le mensonge, puisque le mensonge c’est du mensonge. Lorsque nous allons pénétrer toute cette profondeur-là, nous allons être ce que nous sommes : créés pour l’éternité.

♪♪♪      Comme un enfant

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : On en a arraché beaucoup, hein, dans ces temps-ci? (R : Oui.) Il y en a eu des refus? (R : Oui.) Est-ce qu'il va y en avoir encore des refus? (R : Oui.) On est-tu prêts à continuer? (R : Oui.) On est prêts encore à envoyer à Jésus les esprits impurs? (R : Oui.) On y croit encore aux esprits impurs? (R : Oui.) Alors il faut refuser. Oui, il faut continuer à refuser, il faut continuer à avancer. Tant qu’il va en rester un encore, eh bien, on va se battre, on va se battre pour le Seigneur, on va se battre pour nos frères et nos sœurs.

Ça fait combien d’années, combien d’années que les gens se battent entre eux? Eh bien, hein, depuis Adam, non lui, depuis Caïn qui a commencé à battre son frère, ça ne s’est jamais arrêté. Aujourd’hui, on se bat, on se bat et encore on se bat. Bien, battons-nous, battons-nous à notre tour, mais avec quoi? Avec l’amour.  Eh bien, on veut nous frapper : on va aimer, on va aimer.

Êtes-vous prêts à aimer? (R : Oui.) Malgré vos souffrances? (R : Oui.) Le monde qui vous écrase? (R : Oui.) Les prix qui augmentent, nos salaires qui diminuent, les maladies qui augmentent, les pilules qui augmentent? On est prêt à aimer, aimer, aimer quand même. Il faut aimer.

Malgré les séparations, il faut aimer. Est-ce qu’on va arrêter de s’aimer parce que notre mari est parti? Eh bien, c’est une raison d’aimer encore plus. Nos enfants sont dans la drogue? Est-ce qu’on va pleurer ou on va aimer, aimer plus? Oui, aimons plus. Oui, on nous annonce le cancer? Eh bien, j’ai une raison d’aimer plus, parce que j’ai peut-être un chemin qui m’amène au Royaume. Je le connais peut-être celui-là. Il faut aimer, aimer, aimer. C’est le plus grand, grand acte de charité que nous ne pouvons pas manquer.

On nous parle d’aider notre prochain, on parle de pauvreté dans le monde, eh bien, aimons, aimons notre prochain, donnons-nous à notre prochain. Soyons charitables envers nous-mêmes et aimons. On nous enlève les moyens d’aider notre prochain aujourd’hui. On a ramassé des millions et des millions pour Haïti. Regardez les photos en arrière, ça vient des gens de Haïti, des enfants. On leur enlève ce qu’ils ont droit. Alors, aimons.

Peut-on arrêter notre amour? (R : Non.) Peuvent-ils recevoir notre amour? (R : Oui.) Oui, c’est le plus grand acte d’amour qu’on ne peut pas faire, c’est aimer, aimer et aimer. Si j’apprends à aimer inconditionnellement ceux qui nous font souffrir, eh bien, oui, mon amour voyage partout – pas le Nouvel Âge – mon amour. Là où il y a un enfant créé, eh bien, je suis là, mon oui est là, mon oui à l’Amour est là; alors, c’est ça aider aujourd’hui le monde entier. Il n’y a pas de plus grand amour que d’aimer. Aimer c’est se donner, se donner c’est l’amour. Tout le monde peut faire ça, et c’est gratuit. Qu’on soit jeune, qu’on soit courbé, qu’on soit en santé, qu’on soit malade, tout le monde peut aimer. On n’arrête pas l’amour.

Il faut être conscient de ce que nous sommes en ces temps : arrêtons d’être ignorants. On est dans notre cuisine, on est dans notre salle de bain, là où on est, on est avec le monde entier. Ce que l’on fait dans notre salle de bain ou dans notre cuisine, c’est pour le monde entier. Faisons bien ce qu’on a à faire. Chaque geste que nous faisons, nous devons le faire par amour. Si dans la cuisine on le fait pour le prochain, dans la salle de bain, bien, on le fait pour nous-mêmes – même le Saint-Esprit a de l’humour – puis il veut qu’on s’en serve, il veut qu’on soit nous-mêmes. Je ne me connaissais pas comme ça, mais je commence à me connaître. Il faut prendre ce que nous sommes au sérieux, là : se donner par amour, faire ce que nous avons à faire et y croire. Oui, être vrais dans l’amour.

C’est incroyable tout ce que nous manquons envers notre prochain. Prenons conscience de ce que nous faisons. Passer le balai dans la cuisine, c'est important; quand on le fait avec amour, tout le monde en profite. Ça devient un geste d’amour, un geste qui a une puissance, ça nous unit à tous les enfants de Dieu. Eux aussi en font des actions, ça nous unit à eux : mon action devient leur action et leurs actions, bien, j’accepte qu’elles soient mes actions. Mais si je fais mon action dans le bonheur, dans la joie, mon action, elle, elle enveloppe toutes leurs actions; alors, c’est comme Jésus qui, lui, a pris toutes nos actions et les a enveloppées avec son action. C’est le oui à l’Amour. Voyez-vous combien c’est important de passer le balai avec amour? C’est ce que le Seigneur veut qu’on prenne conscience.

Nous sommes le temple de Dieu. Dieu nous habite. Alors, faisons ce que nous avons à faire. Il nous dit, ça fait combien d’années : «Faites ce que vous avez à faire et laissez à Dieu ce qui est à Dieu». La moindre petite chose est si importante, si importante pour Dieu. Prenons conscience de ces mots. La petite, petite action que nous posons, Dieu va s’en servir. Mais si notre action est impure : bon, bien, c’est sûr que notre action va aller voir d’autres actions, Dieu, lui, n'enveloppera pas les autres actions avec notre action impure. Notre action devient donc stérile, elle ne porte pas de fruits; elle devient pour chacun de nous une action qui ne nourrit pas l’âme. Comme elle ne nourrit pas l’âme, l’âme ne peut donc pas donner à la chair la grâce nécessaire pour bien fonctionner dans notre action.

Mais Dieu est si amour, il nous soutient toujours malgré tout ce que nous faisons d’impur. Il s’agit d’une personne qui fait une bonne action et Dieu va s’en servir. Il va prendre cette action et il va envelopper nos mauvaises actions. Qu’est-ce qu’il va arriver? C’est qu’il va nous maintenir dans la vie. Voyez-vous pourquoi nous sommes encore vivants? Sans Dieu, on ne serait pas ici, hein? Mais sans Dieu on ne serait pas créés, et sans sa Rédemption, son Oui, on ne serait pas ici. Voyez-vous pourquoi il est important de s’aimer les uns et les autres? Voyez-vous ce qu’est la charité?

Il n’y avait que Dieu qui puisse nous montrer autant d’amour. Alors, aimons, aimons, aimons. Plus nous allons faire des actions pures, des belles actions, plus l’amour, l’amour et l’amour nourrira les actions. Il y aura des actions qui jailliront et qui prendront forme : des actions toutes croches vont se redresser, des regards malveillants vont s’illuminer de la beauté de Dieu. Dieu se sert de chacun de nous parce que Dieu nous habite : nous sommes les membres de l’Église et Jésus est la Tête.

Aimons, aimons, aimons, nous sommes les vainqueurs. N’arrêtons pas de demander, de demander, de demander à Maman Marie de nous donner des grâces pour qu’on persévère, et passons par le Cœur de Marie pour demander à Dieu le Père, Dieu le Fils, Dieu le Saint-Esprit, d’aimer la charité. Aidons notre prochain, regardons notre prochain comme la vraie pauvreté, la 'vraie' pauvreté. Sommes-nous pauvres? (R : Oui.) Oui, nous sommes pauvres. Il n’y a personne qui peut se dire ne pas être pauvre. Qu’avons-nous en nous? Les pauvres, tous ceux qui ne savent pas qu’ils sont la richesse de Dieu.

Est-ce qu’on le savait, nous, que chaque cheveu était différent d’un autre cheveu et que chaque cheveu appartenait à Dieu le Père, et que Dieu le Père avait mis sa beauté dans un seul cheveu? (R : Non.)  Voyez-vous comment on est pauvre? Alors, demandons à Maman Marie qui, elle, est la Comblée de toute grâce. C’est la seule qui connaît sa richesse, c’est la seule qui peut se servir de sa richesse, parce que, elle, elle est consciente que sa richesse, c’est la richesse de Dieu et que c’est inépuisable.

Mais comme nous, nous n’avons pas encore acquis la connaissance de notre richesse, nous avons besoin de repos. Alors, avant de partir, nous allons faire un chant et terminer par un acte d’amour, un acte qui va venir directement de notre Dieu par les mains de notre consacré, Michel. Amen. Merci, Seigneur.

♪♪♪      Marie, conduis-moi

Diacre Michel : On a Marie, on a Jésus. S'il y a quelqu’un qui connaît l’amour de Jésus pour nous, c’est bien Marie, sa Mère. Demandons la grâce à Marie de venir en nous pour nous apprendre à aimer comme toi tu aimes, afin que l’amour de Jésus puisse pénétrer en notre cœur et ensuite rayonner autour de nous, afin que nos frères et nos sœurs qui marchent dans les ténèbres en soient éclairés.

Et moi, je demande à Jésus de faire descendre l’amour de Marie en chacun de vos cœurs pendant votre sommeil. Au nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit. Amen.