Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Plantagenet, Ontario,

par son instrument, la Fille du Oui à Jésus

 

2011-06-12 – A.M.

 

♪♪♪   Vent de Pentecôte.

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Que chacun de vous puissiez vivre ce moment d’amour dans l’intimité de votre cœur. Que votre cœur s’ouvre à l’Église. Soyez nourriture, soyez amour, soyez ce vent de Pentecôte en moi, l’Esprit de Dieu. Je fais naître en vous le besoin de vous donner, je fais naître en vous le besoin de vous accorder de l’amour. La Vie est moi : moi en vous, vous en moi. Je vous aime.

Petits enfants d’amour, vous avez entendu beaucoup de paroles. En vous sont montées des interrogations. Alors, mes petits enfants, c’est par la puissance du Saint-Esprit que vous allez sortir les questions, et c’est par la puissance du Saint-Esprit que vous entendrez la Volonté de Dieu. Alors, le Saint-Esprit vient de nous dire que c’est un temps de questions et de réponses.

Q. Ma question, c'est sur la souffrance que Dieu nous demande de porter pour nos frères et nos sœurs. On dit oui, mais on a de la misère à endurer un mal de tête. Qu’est-ce qu’on fait avec ça? On est rendus à refuser les souffrances, mais pour les vivre comment? On les refuse pour eux, mais on les accepte pour nous pour les aider par la souffrance. J'ai aussi une autre question.

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : On va répondre à celle-là pour commencer pour aider nos frères et nos sœurs à mieux suivre.

On se lève le matin, on fait la journée et houp, on a un mal de tête. Et là je me pose la question : est-ce que je vais demander à Jésus de m’enlever ce mal de tête, de le refuser ou de l’accepter en acte de réparation? Lorsqu’on prononce ces mots : je te donne causes, choix et conséquences, cela amène à vivre des réparations. Nous reconnaissons la faiblesse dans notre chair. Aucune douleur dans notre chair n’est pas autre que ce que Dieu a mis dans notre vie, pour que nous puissions réaliser que nous avons fait des mauvais choix.

Depuis tout temps, le Seigneur nous a montré que tous ceux qui étaient infidèles à lui étaient aux prises avec un mal. Le mal prenait la forme par laquelle la personne avait commis une infidélité envers Dieu. Cela a toujours été, allez dans votre Ancien Testament et vous allez voir : bataille sur bataille. On voulait détruire le peuple de Dieu. Au début, le peuple de Dieu était sans bataille parce qu’il était fidèle à Dieu, mais lorsqu'il y eut la tentation, et qu’à cause de la tentation il y eut des enfants qui se sont laissé prendre aux pièges des esprits impurs, ces enfants impurs ont été contaminer ceux qui n’avaient pas été dans l’impureté encore.

Souvenons-nous des enseignements de Jésus. Il a dit que lorsque Caïn a levé la main sur son frère, il fut marqué sur le front afin d’être protégé contre ceux qui auraient pu lever la main sur lui. Il partit loin de la Face de Dieu, lui et sa descendance. Une fois au loin, là, les esprits impurs, les esprits impurs, qui avaient possédé des animaux, se sont approchés d’eux et ils leur ont fait connaître le mal, et eux ont accepté les esprits impurs : ils ont aimé le mal, ils sont entrés dans le mal, ils sont devenus le mal. Dès cet instant, leurs sens ont été sous l’emprise de la connaissance du mal.

Ces enfants qui, maintenant étaient le mal, ont été vers les enfants qui, eux, étaient dans le bien. Souvenez-vous qu’il n’y avait pas seulement que Caïn, il y avait aussi les enfants d’Adam et Ève qui, eux, procréaient. Qu’ont-ils fait les enfants d’Adam et Ève, les purs enfants, le peuple choisi de Dieu? Ils ont été contaminés. Ils ont choisi le mal eux aussi, si bien que la terre était devenue peuplée d’enfants impurs. Alors Dieu fit pleuvoir quarante jours et quarante nuits. Seuls Noé et sa famille furent sauvés des eaux; une chair remplie de conséquences est demeurée sur la terre.

Souvenons-nous aussi de ce qui s’est passé dans le désert. Lorsque Moïse parlait, on critiquait : "Dieu nous aurait-il amenés dans le désert pour nous faire mourir, alors qu’on était nourris là-bas en Égypte? On avait notre repas, on travaillait, mais on n’était pas en train de mourir de soif." Toujours la critique. Ils portaient dans leur chair la critique. Alors Dieu, qu’est-ce qu’il a fait? Vous souvenez-vous les serpents? Ils ont été piqués, leurs morsures provoquaient la mort, et là Dieu leur a dit quoi faire. Dieu leur a dit : «Faites une croix et mettez-y un serpent d'airain, et lorsque leur regard se fixera sur cette croix, sur ce serpent d'airain, là ils guériront.» Ils devaient donc faire des efforts, hein?

Dieu les avait avertis : «N'allez pas vers l’idolâtrie.» Mais lorsqu’ils sont sortis du désert, qu’est-ce qu’ils ont fait? Ils ont été vers l’idolâtrie. Guerre après guerre, si bien que (sur) les douze tribus d’Israël, il n’en est resté qu’une à Salomon : la tribu de Juda. Il y en avait quand même douze! Pourquoi en a-t-il eu une seule à lui? Pour qu’on se souvienne que le peuple de Dieu est à Dieu et que son peuple, c’est un peuple choisi. Tout ça, parce que Salomon avait dans sa vie des dieux pour faire plaisir à ses épouses. Alors, attention à celles qui, pour faire plaisir aux maris, vont vers les choses défendues. N’y participons pas. Salomon, s’il n’avait pas consulté les faux dieux, il aurait encore ses douze tribus. Il a vécu ses conséquences parce que sa chair, c’était la même chair qui se multipliait. Il y en avait beaucoup de marques!

Croyez-vous que nous on est à l’abri de tout ça? Que de maux de tête, l’arthrite, le rhumatisme, les douleurs à l’estomac, les yeux embrouillés, les oreilles qui bourdonnent… Alors, qu’est-ce qu’il faut faire? Causes, choix et conséquences. Regardons-les : la croix, ce serpent d’airain. N’oublions pas que cette morsure-là peut nous atteindre. La mort va toujours nous regarder; elle sera toujours là pour essayer de nous mordre, et nous serons toujours entourés d’idolâtrie. Et cela va venir facilement à nous, parce que si la mort s’est servie des épouses de Salomon, elle sait très bien se servir de ceux que nous aimons : notre prochain; ça peut être notre époux, notre épouse, ou ça peut être nos propres enfants. Attention, soyons vigilants. Dieu nous avertit.

Souvenons-nous de Jérémie maintenant. Il a averti le roi que s’il… – d’ailleurs le roi était dans son oisiveté – s’occupait-il de ses pauvres, des femmes veuves? Non, c’était rendu une ville où tout n’était que festivités. Le peuple de Dieu disait aimer Dieu, le peuple de Dieu voulait suivre les lois de Dieu, mais en même temps en arrière, il avait des idoles, en même temps en arrière, il cachait une façade : son égoïsme, sa paresse, ses envies, ses idolâtries, ses mensonges, ses peurs. Tout cela était dans la ville de Jérusalem. Est-ce que cela ne ressemble pas à notre Église? Maintenant, on prie Dieu et on prie des dieux; on s’adonne à toutes sortes de méthodes; on accepte, pour faire plaisir aux enfants dans l’Église, ce qui déplait à Dieu.

Lorsque Jérémie a été voir le roi, il lui a dit : "Tu fais plaisir à ton peuple au lieu de faire plaisir à Dieu." On fait la même chose aujourd’hui. L’Église veut faire plaisir à ses paroissiens plutôt qu’à Dieu. Est-ce que Dieu va se taire? Il a averti le roi de ce qui était pour arriver : il disperserait son peuple de par le monde. Ne l’a-t-il pas fait? Oui, il l’a fait. Aujourd’hui encore le Seigneur nous avertit : «Si vous ne faites pas vos droits d’enfants de Dieu, que vous arrivera-t-il? Vous serez bientôt devant votre premier jugement sur la terre, et je vous demanderai des comptes et vous vivrez vos conséquences.» Parce que dans les trois jours de noirceur, nous allons vivre les conséquences en notre chair; nous allons souffrir, mais avec les grâces de Dieu. Mais plus nous allons refuser les esprits impurs, plus il y en aura au pied de la Croix.

Qu’arrivera-t-il à nous qui nous nous retrouvons, par la puissance du Saint-Esprit, en nous? Nous qui serons avec notre volonté humaine, la justice d’amour de Dieu nous montrera quoi? Toutes nos pensées, tous nos regards, écoutes, paroles, actions et sentiments, tout ce que la volonté humaine nous a fait choisir et qui a fait souffrir Dieu, nous et notre prochain, en utilisant nos marques qui ont affaibli quoi? Notre pensée, regard, écoute, parole, action et sentiment : notre chair.

Est-ce que c’est Dieu qui va nous faire souffrir? (R : Non.) C’est nous qui allons nous faire souffrir? C’est Dieu qui va le permettre? On va le récolter? Ce sont les esprits impurs. Qui a donné du pouvoir aux esprits impurs? Nous. Nous avons choisi de dire oui à quoi? À la tentation, à la mort, aux esprits impurs. Eux se sont servis de nos marques toute notre vie, pour que nos marques soient toujours en nous et qu’elles augmentent, qu’elles augmentent et qu’elles deviennent une nourriture pour nos frères et nos sœurs. Quand nous serons en nous avec notre volonté humaine qui, elle, est en nous à cause de quoi? À cause du péché originel qui est notre choix de choisir la volonté humaine plutôt que la Divine Volonté.

Si l’on avait la Divine Volonté, est-ce qu’il y aurait un jugement? (R : Non.) Le jugement n’existerait même pas, ni la mort, parce qu'il n’y aurait pas de mal. Alors, c’est nous qui avons choisi la volonté humaine. Et voilà! Alors, la volonté humaine : qu’est-ce qu’il y a dans la volonté humaine? Deux choses : le bien et le mal. Alors, on a nous-mêmes invité qui? Le mal dans notre vie. Qu’est-ce qui ne voudra pas s’en aller? La volonté humaine ne voudra pas s’en aller pour laisser toute la place à la Divine Volonté. Elle a du pouvoir sur nous maintenant, parce que nous avons utilisé plus notre volonté humaine que notre vie spirituelle, que les grâces de l’âme.

Alors, lorsque nous serons en nous, il y aura donc le mal qui a marqué notre chair; donc, les esprits impurs. C’est d'eux que viendra la souffrance. Alors là, on sait que les esprits impurs vont être avec nous pour nous faire souffrir. Maintenant, qu’est-ce que le Seigneur nous demande? Oui. En envoyant les esprits impurs au pied de la Croix, Jésus les maintient là. Ceux qui vont être au pied de la Croix, vont-ils être avec nous? (R : Non.) Et voilà! Ceux qui vont se retrouver au pied de la Croix, ils ne seront pas avec nous pour nous tenter, pour nous faire souffrir, pour nous inciter à dire non à Dieu.

Voilà pourquoi Dieu est en train de nous préparer. Plus nous allons donner causes, choix et conséquences; plus nous allons refuser la mort, les tentateurs, le péché, les souffrances, les esprits impurs – pas les souffrances – les esprits impurs, le péché; plus nous allons dire à Jésus 'merci de les envoyer au pied de la Croix'; plus nous allons ressentir des guérisons, des libérations; et là, nous allons remercier, hein, Maman Marie pour qu’on soit persévérants, puis qu’on continue, et là, qu’est-ce qui se passe? C’est que Jésus arrache le mal de notre chair. Qu’est-ce que cela veut dire : il arrache le mal de notre chair?

J’ai une montagne de mensonges en moi, une montagne, et là, à chaque fois, la Divine Volonté en enlève, ça diminue. Les esprits impurs qui se retrouvent… (réponse à la salle) – on aura la marque totalement enlevée quand il n’y aura plus un seul enfant dans le mensonge – maintenant, plus il y a d’esprits impurs au pied de la Croix, ces esprits impurs au pied de la Croix, eux, lorsqu’ils se promenaient, qu’est-ce qu’ils faisaient? Ils venaient attaquer seulement que nous?

Nicole : Non, nos frères, nos sœurs, nos enfants, nos maris, etc.

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Alors là, les autres, eux aussi sentent quelque chose qui se transforme en eux. Et ça, il y a une conséquence à ça : leurs yeux vont commencer à s’ouvrir, ils vont commencer à comprendre.

Voyez-vous, voilà pourquoi le Seigneur nous demande et Maman Marie nous supplie : «Utilisez vos droits d’enfants de Dieu», car Jésus, la Divine Volonté, purifie notre chair avec son feu d’amour, son 'feu' d’amour. Qui est le Feu d’amour? L’Esprit Saint. Et que fait l’Esprit Saint? Il nous envahit et il fait de nous un feu d’amour. Voilà ce que veut dire 'merci de purifier la chair avec ton feu d’amour.' Alors, est-ce que Jésus veut se servir de nous? Plus nous utilisons nos droits d’enfants de Dieu, et plus il y aura d’esprits impurs au pied de la Croix, et plus la très Grande Purification de la chair avancera. Satan fait tout pour qu’on n’utilise pas nos droits d’enfants de Dieu.

Vous savez, j’ai une mission de répéter, mais Jésus nous a fait quelque chose. Répéter, hein, c’est bien beau là, mais il faut retenir, hein?

Nicole : Oui, mais il y en a qui ont plus de la misère que d'autres.

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Qu’est-ce qu’il a fait notre Jésus d’amour? Il a mis dans le cœur de certains enfants d’enregistrer, et cela a commencé dès le début. Au tout, tout début, il y avait des enregistrements, oh, c’était aussi pire que les dinosaures, mais qu’importe, on a les enregistrements, et cela a été mis dans les cahiers. Le Seigneur, il savait ce qu’il faisait. Et il a mis dans le cœur d’André de filmer, parce que c’était le temps des tableaux. Il savait que Satan se servirait de notre faiblesse pour mélanger les cartes, et cela se fait maintenant.

Vous souvenez-vous, il y a, c’est l’année passée, on était en train de construire le premier refuge, le refuge d’amour de Jésus, et le soir, il y avait eu conversation autour de la table, et après, il y avait le chapelet et Jésus parlait. Il n’avait pas dit une phrase, tu te souviens André, il n’avait pas dit une phrase, là, il s'arrête et dit : «Maintenant, pouvez-vous répéter ce que je viens de dire»? Aucun, n’est-ce pas André, aucun n’a pu répéter, et pourtant c’était une phrase qui était quand même assez simple, on s’en souvient même plus.

Après, il a dit : «Vous souvenez-vous de la conversation que vous avez eue à table»? Eh bien, il pouvait dire tout ce qui était, à l’endroit où il avait travaillé, combien d’années, tout; tout était bien là en ligne. Alors, le Seigneur nous a expliqué : «Ce qui vient de l’humain, c’est l’humain qui le retient, mais lorsque cela vient du Ciel, cela ne peut pas être retenu par l’humain, par la volonté humaine.» C’est le Saint-Esprit qui nous le fait rappeler. C’est une nourriture du Ciel pour notre âme. Il y a guérisons, libérations.

Aujourd’hui, le Seigneur m’envoie souvent à mon chalet. Il l’appelle 'le refuge béni de Marie.' Alors là, les gens entendent des choses, ils essaient de répéter, mais avec leur volonté humaine! Alors, que penser de cela? Eh bien, voilà avec quoi Satan mélange les cartes! Si bien qu’il y a des paroles inutiles qui font la division entre nous. Ce n’est pas les attaques contre moi les pires, c’est contre vous. Quand des enfants de Dieu se divisent, quand les enfants de Dieu se font du mal, c’est l’Église entière qui est attaquée. Lorsqu’on attaque l’instrument, c’est Dieu qu’on attaque, seulement que Dieu. Voyez-vous combien Satan est malin?

Alors André, lui, toujours dévoué, enregistre tout; toujours il est là, et il fait ce que le Seigneur demande. À un moment donné, ah! là je regardais… il avait enregistré! J'ai dit : 'Ah, Seigneur!' Je trouvais ça, mon côté humain, ah!... C’est comme Monique qui était tout le temps avec son enregistreuse lorsqu’elle était à la maison! Mais, aujourd’hui, 'merci, Seigneur', je sais maintenant pourquoi tu faisais ça. Oui, parce que la 'répéteuse' des fois!… Mais je sais que je dois être aux affaires de Dieu.

C’est important ce que nous vivons. Nous devons faire attention. Maman Marie nous a donné un court message. Elle a dit que Satan susciterait encore le mal de plus en plus. Il se sert du temps, il se sert des enfants de Dieu. Et elle a dit : «Soyez vigilants, soyez vigilants. Attention, mes enfants, attention, servez-vous de vos droits d’enfants de Dieu». Alors, lorsqu’on a un mal de tête, on donne causes, choix et conséquences; lorsque cela nous irrite, on refuse et on remercie Jésus d’envoyer la mort au pied de la Croix, et on dit nos mercis jusqu’au bout. Comment voulez-vous qu’on ait un esprit, un esprit nouveau si nous ne faisons pas ce que Dieu veut que l’on fasse? Ne nous laissons pas prendre au piège de l’engourdissement.

Jésus a dit à ses apôtres : «Veillez pour ne pas tomber en tentation.» Alors nous, pour qu’on soit réveillés, on a besoin des uns et des autres. C’est bon de se maintenir ensemble, on est toujours poussés du coude : 'Aïe, refuse'. Jésus veille sur nous, Maman Marie prend soin de nous. C’est la même chose pour les émotions. Quand nos émotions nous amènent à être nerveux, à manger trop vite, à ne pas être capable de raisonner, oh, qu’il faut donner ça : causes, choix et conséquences, puis 'je refuse' et là, nos droits d’enfants de Dieu.

Vivons le présent. Ne pensons même pas (à ce) qui va se passer dans une heure. 'Bien oui, mais s'il faut que j’aille changer mes pneus là', bon, je vais appeler au garage; mais une fois que j’aurai appelé au garage : 'Mon ange, fais-moi rappeler le rendez-vous', là je suis au présent. J’ai fait ce que je devais faire; j’ai appelé parce que c’est toi, Dieu, qui me l’as fait penser, maintenant je passe au présent dans ton Présent. Si je construis et que j'attends mes feuilles de gyproc, eh bien, je ne les pose pas la nuit, elles ne sont pas encore arrivées.

Mais aidons-nous entre couple. Vous savez, lorsqu’un homme part travailler, lui, il a un boss en arrière, alors il faut qu’il fasse son ouvrage : 'J’ai ça à calculer, j’ai ça à calculer, j’ai ça à rentrer, j’ai ça…', ça, c’est des habitudes qui sont ancrées dans sa chair. Dans ses heures de travail, ses huit heures supposément de travail, il doit s’accomplir, mais une fois son temps terminé, il doit passer à un autre temps, mais c’est difficile quelquefois. Alors, à la femme de donner un petit coup de coude : 'Je t’aime, viens prendre un bon repas, viens, on va vivre le présent'.

Il faut qu’on aide ceux qu’on aime. C’est la même chose pour une épouse; l’époux doit aider son épouse pour qu’elle vive son présent, toujours avec la douceur. Et s’il y a quelques paroles en trop, bien dites pas fort : 'je te donne causes, choix et conséquences' en levant les yeux vers le Ciel. Soyons douceur, car nous aurons nous aussi à refuser.

Il faut être l’Église, il faut s’entraider. Ne devancez pas Dieu. Dieu va vous accorder, par le Cœur de Marie, des grâces pour que vous éteigniez votre télévision, parce que lui sait les efforts que l’on fait pour résister à tourner ce bouton : 'on'.

Q. Pour notre mari et nos enfants, on donne cause choix et conséquences quand ils regardent la télévision?

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : En silence. Dieu est bon. Dieu, il est plein de patience, alors dosez votre amour en demandant à Maman Marie des grâces. Parce qu’en ce moment même là, le Seigneur, hein, nous ouvre les yeux. Hé! Qu’on en voit des choses! Il nous fait comprendre, oui, on comprend bien des choses qu’on ne comprenait pas avant. Mais quelquefois on tombe aveugles et sourds; on ne voit pas qu’on est tombés dans un piège. Quand cela arrive, bien, on donne tout simplement : 'ah, je te donne ça, causes, choix et conséquences.' Soyons bons envers nous-mêmes.

Il y a des maladies, et les maladies Jésus dit (qu') elles vont augmenter, elles ne diminueront pas; il y a de la souffrance, Jésus dit que la souffrance va augmenter, elle ne diminuera pas; il y a tremblements de terre, il y a inondations, Jésus dit que cela ne s’arrêtera pas. Des nouveaux virus vont surgir encore, parce qu’il nous avait dit dès le début que cela arriverait. Jésus a dit : «J’ai le pouvoir d’étendre mon vouloir et d’ordonner à mes anges d’arrêter tout cela, mais je ne le ferai pas. Si j’ordonnais à mes anges d’arrêter tout cela, le nombre d’enfants qui diraient non à Dieu serait très grand, beaucoup plus grand».

Jésus est venu sur la terre pour nous sauver et il a pris la Croix, et sur la Croix a coulé son Sang. Son Sang, c’est l’amour. Lorsqu’il qu’il a pris la Croix, il a dit : «Un monde nouveau commence.» Il a regardé sa Mère et sa Mère l’a regardé, et sa Mère a dit : «Va, mon Fils.» Alors, nous devons nous aussi regarder les conséquences que nos enfants, que ceux qu’on aime, que ceux qu’on ne connaît pas, mais qu’on aime parce qu’ils sont les enfants de Dieu, doivent connaître, afin qu’ils réalisent qu’ils ont fait des choix devant le mal en disant oui. C’est là, en connaissant la vérité, qu’ils vont se tourner vers Jésus : "Sauve-moi, je te donne mon oui." N’est-ce pas la même chose? C’est accepter d’être sauvés, et c’est cela que Dieu veut que ceux qu’on aime vivent.

Voyez-vous pourquoi il n’ordonne pas à ses anges d’arrêter ce qui s’en vient? Mais non, on perdrait ceux qu’on aime. Il vaut mieux qu’ils passent par la souffrance que par la mort éternelle. Alors, aidons-les! Soyons vrais envers nous-mêmes. Commençons par nous-mêmes. Plus nous allons envoyer, par le merci à Jésus, le mal entre les mains de Dieu pour qu’ils se retrouvent au pied de sa Croix, plus la souffrance sera moins grande pour eux. Mais ils devront vivre leurs conséquences, mais leur souffrance sera accompagnée de quoi? De grâces.

Alors, maintenant, nous allons nous préparer pour la messe. Oui, une question?

Q. En ce qui concerne les refus et remercier le Seigneur d’envoyer les tentateurs et les tentations au pied de la Croix, lorsqu’on prie et qu'on a des mauvaises pensées, doit-on continuer de réciter le 'Je vous salue Marie' ou s'arrêter de le dire pour faire les refus, le remercier, et finir le 'Je vous salue Marie' après?

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Tu seras bien capable de faire les deux.

Q. En même temps?

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : En même temps, par la puissance du Saint-Esprit. C’est une grâce qui vous sera accordée.

Q. Jésus et Marie nous invitent d’aller adorer le Seigneur. Ce n'est pas toutes les églises qui font de l’adoration et on n’est pas toujours capables de se déplacer pour aller adorer. Sur l’internet, on a la chance d'avoir 'Welcome Savior'; ça vient des États-Unis, la caméra vient jusqu’à chez nous. Alors, je veux demander au Seigneur, quand on adore Jésus par l’internet dans 'Welcome Savior' c’est tout l’Ostensoir qui est là, on voit Jésus. Est-ce qu’on reçoit autant de grâces que si on va l'adorer dans les églises?

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Un jour, un enfant est parti à la recherche de l’amour. Il cherchait partout, et il a entendu, il a entendu parler d’un certain Jésus. Il décida donc de partir vers Jérusalem, là où Jésus enseignait dans le Temple. Il l'écoutait, il découvrait en lui tant d’amour, un langage qu’il n’avait jamais entendu; il voulait s’approcher de lui, mais le temps qu’il s’approcha de lui, voici qu’on l’a saisi pour le crucifier. Il ne pouvait plus l’entendre, mais il se rappelait, il se rappelait de ses paroles, car il avait dit : «Je pars vers mon Père, mais je serai toujours avec vous.» Il venait de comprendre que les paroles qu’il avait entendues, c’était un 'au revoir'; il devait donc un jour le revoir.

Un jour, un autre enfant, un autre enfant a voulu regarder, a voulu regarder la Lumière. Il savait que Jésus était la Lumière du monde, il savait que Jésus était là devant lui en Corps, en Sang, en Divinité, car il adorait, il adorait le Pain vivant. Mais on vint fermer les portes, là il ne pouvait plus entrer pour regarder la beauté, la lumière de Dieu. Une fois chez lui, il fermait les yeux et il pouvait, et il pouvait, par la grâce, adorer Celui qui était la Lumière. Il avait la foi en lui, il avait l’espérance qu’un jour il reverrait la Lumière, la Beauté, la Splendeur : Dieu. Il se souvint qu’il ne devait pas aller vers d’autres idolâtries, car jadis il s’était attaché à ce qui n’était pas de Dieu. Le danger était tellement grand. Il fallait qu’il soit vigilant, car on pouvait sur écran reproduire, reproduire ce que l’on voulait qu’on adore.

«Tu adoreras ton Dieu en Chair, en Corps, en Sang, en Divinité. Tu ne reproduiras pas ton Dieu comme un veau d’or, car il est ton seul Dieu; ta chair est trop faible. Mais tu te rappelleras, par la grâce, que je suis en toi, que je suis la Vie, que je suis la Lumière.»

Les gens ne font pas cela pour tricher, mais d’autres, oui. Viendra un temps où on voudra qu’on adore la Bête. Voilà un danger. On ne se trompe pas lorsqu’on est devant la Chair, la Lumière. L'Internet peut, oui, nous montrer Jésus. L’image de Jésus que tu as en toi, ceci est de Jésus. Prie pour qu’on ouvre les portes, ainsi tu entreras et tu adoreras ton Dieu.

Il est facile, vous savez, de se rassembler pour dire le chapelet dans nos maisons, mais lorsqu’on va dire le chapelet à l’église, savez-vous que Dieu nous attend? Savez-vous que Marie nous attend? C’est le temple de Dieu. On nous habitue à quitter le temple de Dieu. Oui, il est bon de dire le chapelet en famille, mais lorsqu’on commence à se réunir, un autre, un autre, un autre, et qu’on fait ça dans les maisons, c’est que les églises sont fermées parce que notre place est à l’église. Alors prions, prions pour que l’église s’ouvre.

Il est sûr que si nous prions à la maison avec notre mari, nos enfants, nos petits-enfants, eh bien, Maman Marie elle est contente, mais nous, nous ne l’avons pas parce que nous ne le méritons pas. Nous avons échangé le chapelet avec le Cardinal Léger par le Rock and Roll, les bingos, le bowling, les danses en ligne, les exercices physiques, la natation, et on pourrait en nommer, en nommer, en nommer. Maman Marie, elle a dit : «Priez avec le cœur», on ouvrira les églises. Soyez dans la paix.

Nous, on est un petit groupe à Chertsey, on avait commencé à prier, hein, un refuge, un refuge, un refuge, hey, on était rendus un bon petit groupe. Premier mai, houp, l'abbé Henri Paradis nous invite à dire le chapelet à la grande chapelle de l'Assomption. Alors, là, tous les soirs on se rendait à sept heures trente. Une journée, la statue de Marie est lumineuse, lumineuse, lumineuse, c'est comme si elle prenait vie et là, dans un grand sourire, j'entends : «Ici est un lieu béni, venez prier.» Aïe, nous, on se pensait correct dans nos refuges! Et non! Lorsque le chapelet fut terminé, le premier juin, on se retrouve pour assister à la messe à tous les matins, voilà qu'il annonce le Sacré-Cœur, le mois du Sacré-Cœur. Et là, Jésus lui-même me rappelle les paroles de sa Mère et il dit qu'il nous attend à la chapelle de l'Assomption.

Alors, il faut demander la permission à l'abbé Henri Paradis. Mais un jour il m'avait dit : "Si vous avez besoin de prier ensemble à la chapelle, allez-y"; alors je lui ai rappelé ce qu'il m'avait dit. Alors, il est venu, il est venu me donner la réponse, c'était oui. Il invitait les enfants de Dieu pour son église, pas la mystique là, enfants de Dieu. C'est là notre place parce qu'il y a toujours un danger. Les gens nous regardent, vous savez, hein? Alors, ils ont eu peur d'une secte. C'est la même chose. Si on quitte nos églises, pas quitter, mais si on ne va pas à nos églises parce que les portes sont fermées, et que nous nous contentons de ce qu'on nous offre, eh bien, nos enfants, eux, auront comme témoins des parents qui ont manqué de foi envers leurs prières.

Qu'est-ce qu'on dit à nos enfants : tu ne vas pas à l'église? 'Bien, toi tu n'y vas même pas pour prier; tu prends l'Internet et tu me dis de ne pas regarder l'Internet.' On peut dire 'oh, ce n'est pas pareil', et lui va dire 'elle arrange ses affaires, elle'. Alors, faisons attention. Amen.

Q. J'ai entendu dire que ceux qui allaient à Marie Reine des Cœurs, c'était l'endroit pour obtenir des guérisons et des grâces. Moi, je ne peux pas toujours m'y rendre avec la famille, que dois-je faire?

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Reste chez vous. Crois-tu que Maman Marie, la Reine des Cœurs, ne guérit pas ceux qui l'invoquent? Crois-tu que ce sont seulement ceux qui ont monté? Mais nous sommes là; alors, ça coule partout et c'est Notre-Dame de l'amour. Qui a été voir Notre-Dame de l'amour pour demander une grâce d'amour? Oh, c'est beau! Elle est là, elle nous attend (à l'extérieur dans la nouvelle grotte). Elle est ici, elle est si belle! Nous en avons besoin.

Demandez à Maman Marie de vous accorder la paix et vous allez avoir toutes les réponses à l'intérieur de vous. C'est le Saint-Esprit qui va vous guider. Chacun reçoit selon sa mesure. Pensons aux mamans qui n'ont pas le temps de prendre le chapelet! Elles sont dans la prière toute la journée. Amen.

Vision à la consécration : Le Seigneur, vous savez, au moment de la consécration, c'est un moment tellement d'amour! Lorsque le prêtre a élevé l'hostie, ah! Jésus était là et il ne cessait de dire : «Je vous aime, je vous aime, je vous aime, je vous aime!» Et c'est de même pour son Sang. Et après l'acclamation, il a dit : «Je suis la Vie, je me donne à vous, mon Sang coule. Voici votre Éternité. Suivez les pas du Ressuscité et marchez sur le chemin de la Vie.»

Merci, Esprit Saint, de me faire rappeler ces paroles. Et là, il disait : «M'aimes-tu?» Bien, moi j'étais en adoration devant Jésus, et là j'ai entendu mon Jésus d'amour qui a dit : «Je vais donc encore te le répéter». Ce n'était pas un reproche, mais un petit peu! On ne sait pas pourquoi, hein, des fois on voudrait agir, mais on ne sait pas pourquoi. On n'est pas parfaits, alors, il me le faisait comprendre que je ne suis pas parfaite, que je suis petite, petite, et qu'il voulait que je le lui dise : "Je suis petite, petite, Seigneur, pardon." Alors, là, j'attendais, j'attendais! Je croyais que j'étais pour ne plus rien voir, et à un moment, là, j'ai vu une lumière, une lumière, une lumière! Et dans cette lumière, nous étions tous petits et on faisait une grande ronde : on sautait, on riait, on faisait des petits cris de joie. Et là, on s'est mis tous ensemble, on s'est tenus, on s'est tenus et on est partis, oui, on s'en est allés chez nous.

Comme Noëlla l'a dit : la Pentecôte continue. Et c'est bien ce que j'ai vu. Alors, on va partir chacun chez nous avec le cœur rempli de grâces de guérison, de libération. On est toujours comblés lorsque nous venons au Centre de l'Amour. On ne peut pas le répéter aux autres, ils ne peuvent pas comprendre, mais on est des petits enfants. Alors, un jour, eux aussi vont vivre ce que l'on vit. Amen.