Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Plantagenet, Ontario,

par son instrument, la Fille du Oui à Jésus

 

2010-05-30

Jésus : À chaque fois que le Seigneur veut instruire ses enfants, il demande à son instrument : «Répète ce que je vais dire en toi». Et ces mots ne viennent pas d’elle en ce moment, mais du Très-Haut. Ce que vous avez appris, vous l’avez appris pour vous-même et pour tous ceux que vous portez en vous. La voix du Seigneur est une voix d’amour, elle vous conduit là où vous, vous devez être.

L’esprit du mal ne doit pas vous faire peur. L'esprit du mal doit être mis à découvert. Savoir tout ce que l’esprit du mal a fait de vous, vous ouvre à la réalité; et lorsqu’il y a quelque chose qui s’ouvre devant vous, vous pouvez, là, comprendre que cela est un piège. Tout n’est qu’un piège autour de vous, mes enfants. Lorsqu’il n’y a pas la paix, lorsque la joie n’y est pas, lorsque l’amour est inconnu de vous-même, là, c’est un piège. Vous entendez le mot amour dans la bouche des enfants de ce monde, et ils ne peuvent pas comprendre que ce qu’ils prononcent est prononcé avec un cœur froid.

Lorsque le mot amour, mes enfants, ne nourrit pas votre cœur, lorsque le mot amour ne nourrit pas tous les cœurs que vous portez en votre cœur, le mot amour n’a aucune signification pour Dieu, non que Dieu ne sache pas ce qu’est ce mot, Dieu ne reconnaît pas en l’enfant qui a un cœur froid alors qu’il prononce le mot amour sans son 'je t’aime'. Dieu sait ce qu’il dit et Dieu reçoit tout ce qui est de lui. Lorsque le mot amour prononcé par les enfants de ce monde nourrit les sens, cela éveille en eux ce qui est contre eux. On dit faire du bien à ce monde, alors que ce monde ne reçoit que ce que l’esprit de ce monde veut lui donner. Et qu’est-ce que l’esprit de ce monde veut lui donner si ce n’est qu'un appât? On aiguise les sens, on les maintient, afin de satisfaire ce qui s’éveille continuellement.

Mes enfants, ces paroles sont pour vous aider à comprendre ce que vous avez entendu. Dieu est amour et il nourrit l’amour qui est vous-mêmes devant Dieu, pour Dieu. À moi de vous montrer qui vous êtes, à moi de vous faire connaître votre prochain. Je n’étale pas la douleur du prochain pour vous maintenir sous un pouvoir, mais je vous parle de ce que vous ignorez, je parle de ce que Satan a fait pour que vous puissiez, vous, vous maintenir dans l’esprit de ce monde. Ne parlez pas de ce que vous ne connaissez pas, car lorsque vous parlez de ce que vous ne connaissez pas, vous agissez et vous tombez dans une ignorance totale, vous faites des gestes qui sont contre Dieu, contre vous-mêmes et contre votre prochain : on n’aide pas ceux qui ne veulent pas s’aider, on ne console pas ceux qui se rient de vous-mêmes, on ne tient pas compagnie à une personne qui n’aime pas. Mais on tient à demeurer là où Dieu le veut : à l’intérieur même du Cœur de l’Amour.

Lorsqu’il y a un 'je t'aime' qui se réveille en vous, voilà que j’éveille en vous ce 'je t'aime' que moi je nourris depuis tant et tant d’années. Il faut découvrir, mes enfants, tout ce qu’il y a dans votre vie et qui vous maintient dans la peur, afin que votre esprit soit purifié de mon feu d’amour, et mon feu d’amour, mes enfants, c’est mon 'je t'aime'; ainsi, j’arrache le mal. Arracher le mal, mes enfants, c’est pénétrer la lumière, c’est connaître votre vie éternelle, c’est marcher sur les pas du Christ, c’est être tout pour mon Père, c’est vous aimer comme moi je vous aime. Lorsque Dieu arrache le mal, il vous amène là où vous, vous deviez être.

Vous deviez être toujours dans l’Esprit de mon Père, du Fils et du Saint-Esprit. Il n’y a qu’un seul Esprit et c’est l’Esprit de l’Amour : la Trinité, mes enfants, la Trinité. Tout ce que vous êtes, vous l’êtes pour la Trinité. Je vous rassemble pour que vous puissiez être toujours un seul mouvement : le mouvement d’amour. Avoir une seule pensée, c’est connaître l’Esprit d’Amour. Tout ce qui est pour vous devient si beau, si vrai, si reposant! Il y a le repos dans la paix, mes enfants, il y a la lumière dans la joie, il y a la liberté dans l’amour. Voilà que vous êtes des enfants libres.

Tout ce que vous avez vu, tout ce que vous avez entendu ces jours précédents vous a amenés à vous regarder dans la paix. N’est-ce pas reposant d’avoir une seule pensée en chacun de vous, pour chacun d’entre vous? Tout devient pour vous quelque chose qui vous unit : vous ne faites qu’un. C’est là que vous allez vous découvrir, c’est là que vous allez comprendre que vous ne faites qu’un, c’est là que vous allez être dans le signe de la résurrection. Vous reconnaîtrez les temps par les signes du Ciel. Il faut regarder avec le regard du 'je t'aime' pour reconnaître les signes. Comment pouvez-vous dire : le temps avance, le temps avance, c’est bientôt le temps? Si vous avez le regard de la peur, personne ne peut voir, mais lorsque vous avez le regard de l’amour, lorsque vous avez un seul regard pour les uns et pour les autres, là, vous voyez les signes.

Tout s’accomplit, mes enfants. N’est-ce pas vrai que vous avancez? Souvenez-vous que je vous aie montré, dans une vision voulue par le Ciel, que vous quittiez vos demeures qui étaient en flammes? Oui, parce que, mes enfants, ce qui sort de votre demeure est une fumée. Une fumée, mes enfants, c’est quelque chose qui vous montre que le feu est pris. À moi de brûler l’esprit de ce monde, à moi de vous montrer que tout ce qui est inutile n’est qu’une fumée, à moi de vous dire que vous ne quittez pas grand-chose et à moi de vous amener sur ce chemin ensemble. Oui, vous acceptez de quitter ces demeures inutiles pour entrer dans votre refuge intérieur. L’extérieur ne compte plus pour vous, mes enfants, parce que tout ce qui était extérieur et qui vous a maintenus prisonniers du matériel n’était que fait de peur. C’est la peur, mes enfants, qui vous a maintenus dans le matériel. Lorsqu’on n'a pas de peur en soi, on ne craint pas pour demain, on sait que Dieu est la Vérité et qu’il pourvoit à tout.

À moi de nourrir vos demeures, à moi d’y mettre de la lumière et de la chaleur, à moi de vous faire goûter à de bons repas et à moi de vous accueillir. E vous, vous devez être dans un merci. La paix, la paix, mes enfants, n’est-ce pas le merci qui vient de votre cœur? Point de langage inutile dans l’amour, tout se fait ressentir. Je vous apprends à avancer sur ce chemin ensemble, et vous avancez d’une telle facilité : les pas sont moins lourds, votre fatigue ne se laisse pas ressentir, car elle disparaît. La fatigue, mes enfants, vient de la peur. Lorsqu’on a peur de manquer de temps, lorsqu’on a peur que l’ouvrage ne se termine pas, comme c’est fatigant! Le temps est à Dieu et votre temps est important pour Dieu.

Tous vos efforts à faire vos œuvres sont régentés par Dieu. Alors, faites confiance que Dieu ne vous demande pas plus que ce que Dieu met en vous, et Dieu ne calcule pas votre journée avec vos heures. L’horloge de Dieu, c’est l’amour. Alors, enfants d’amour, faites ce que vous avez à faire avec l’amour : ce 'je t'aime' qui est le mien. Tout ce que vous allez donner : causes, choix et conséquences va aider ceux qui ne marchent pas encore avec vous. C’est moi qui vais vous faire entendre un pleur; c’est moi qui vais aller chercher l’enfant qui a besoin de vous; c’est moi qui vais l’amener parmi vous et vais le déposer dans les bras de la personne que, moi, je choisirai. Chacun de vous avez été préparé pour chaque personne qui aura besoin d’amour. Tel j’ai choisi vos parents, tel je vous ai choisis pour que vous soyez une personne aimante pour une personne qui pleure.

Vous n’avez pas à vous inquiéter, tout est accompli. Que vous soyez ici et qu’une personne pleure en Chine ou en Russie, je saurai bien, moi, mettre cette personne entre vos bras pour que vous puissiez la bercer. Plus vous allez, mes enfants, refuser la peur, plus vous allez être guéris; et cette guérison, mes enfants, apportera de la confiance en ceux qui ont besoin de vous. À moi de vous faire comprendre que la Divine Volonté a le pouvoir d’arracher la peur en vous et de la remplacer par de la confiance, ou par de la tendresse ou de la douceur. Oh, mes enfants, je pourrais en énumérer. Vous avez compris.

Vous êtes mes tout petits choisis pour avancer, avancer et avancer, en ayant le regard vers la Croix. Plus vous avancerez, mes enfants, et plus vous croiserez des personnes qui s’ajouteront à vous, mais vous rencontrerez aussi des personnes qui ne voudront rien savoir de ce que vous, vous savez. Oui, vous verrez les peurs dans les regards des enfants et vous prononcerez les paroles qui jailliront de votre cœur :

"Je t’aime, Jésus, et je les aime. Je te donne causes, choix et conséquences, mon tendre Amour. Je refuse que l’esprit de peur se fasse connaître en mon intérieur. Je te remercie et je te rends grâce, je te loue, parce que tu as fait en sorte que l’esprit du mal soit au pied de la Croix. Hommage, Éternel, comme tu es grand! Tu guéris, tu libères, tu nous amènes là à reconnaître ta toute-puissance. Majesté, tu nous amènes au pied du trône de la Reine, Celle qui a entre ses mains les grâces nécessaires à tous les cœurs que nous portons en notre cœur. Ton mouvement d’amour est si parfait, si pur, si puissant, qu’il arrache le mal et purifie par un 'je t'aime' ce que ma vie n’a pu découvrir : mon 'je t'aime' enveloppé de ton 'je t'aime'."

Ces paroles guérissent et libèrent les enfants de la peur. Tous les moyens, mes enfants, que le Ciel vous fait connaître, utilisez-les. Avancez, avancez en eau profonde, Dieu sait que vous avez donné votre oui et il vous utilise, toujours en faisant attention à vous-mêmes. Mes enfants, il faut continuer, il faut continuer et encore continuer. Je vous amène vers ma terre, vers ma terre promise où la lumière est présente, où la chaleur fait connaître son amour. Je me donne, je me donne par amour, car la terre, mes enfants, est de moi, et tout ce que je suis je vous le donne.

Mon monde d’amour, mes enfants, je vous l’offre. Je vous donne aux uns et aux autres par amour. Je ne peux pas retenir mon amour, il s’ouvre devant vous aujourd’hui. Ce que je suis, je vous le présente. Je me montre nu devant vous. C’est moi qui suis la Lumière et je ne cache rien. Alors, petits enfants, soyez toujours ce que vous êtes : un oui, un abandon, un don de vous-mêmes. Tout est là devant vous maintenant. C’est pour vous que je parle et vous, vous êtes une seule chair, une seule pensée, un seul regard, écoute, parole, actions et sentiments. Mon amour, il vous inonde de sa lumière.

Comme je vous aime! Mon Cœur, mon Cœur vous contient et je suis doux et humble de Cœur, mes enfants. Votre petit cœur rempli de petits cœurs déborde d’amour. J’ai soif, mes enfants, j’ai soif! Donnez-moi à boire. N’arrêtez pas, n’arrêtez pas, n’arrêtez pas de me donner à boire.

Maman Marie : Ce que vous venez d’entendre, c’est la voix du Seigneur. Vous devez être de bons petits enfants prêts à vous accomplir. Chaque instant dans votre vie vous a amenés à vivre ces instants. Votre souffrance a été connue par mon Fils et le Ciel vous a appelés à vous réunir. Mes petits enfants, j’ai parlé d’amour dans votre petit cœur blessé. Je vous ai donné des grâces de paix que j’obtenais continuellement du Ciel.

Mes petits enfants, le temps que vous vivez à cet instant est précieux pour le Ciel. Vous devez marcher toujours en ayant le regard fixé vers l’horizon, ainsi vous pouvez voir l’instant où vous prenez naissance. Vous prenez naissance dans mes bras, mes enfants. Je suis votre Maman et je connais tous mes enfants. Je vous appelle 'mes enfants', parce que le Ciel vous a donnés à moi qui suis la Mère de Dieu le Fils. Les pas que vous avez faits ont été des pas produits par des petits oui, et je vous ai regardés et je vous ai parlé dans votre petit cœur :

«Ne te décourage pas et avance. Avance, parce que je prends ta main et moi je peux te guider dans ta noirceur. Combien de fois tu as entendu ta Maman te dire : n’aie pas peur, le mal veut t’arrêter de prier. Je parlais dans ton petit cœur et je t’encourageais à aimer ton prochain. Tu voyais dans son regard la souffrance, tu voyais dans ses gestes sa souffrance, tu voyais dans son cœur son indifférence. Sa noirceur, tu la voyais toi aussi, mais je tenais ta main et je te disais : prends la main de ton prochain; un jour, il comprendra que c’est Maman qui t’a montré que l’amour, ça se donne. 

«Tu ne pouvais pas comprendre que l’amour venait de mon Fils, alors je t’ai demandé : consacre-moi ton petit cœur et je vais en prendre soin. Il en a fallu des prières pour que tu puisses comprendre. Je suis venue moi-même parmi ton prochain pour te parler que tu devais consacrer ton cœur à mon Cœur Immaculé. Une fois que tu commençais à répondre aux prières, il y avait en toi quelque chose qui s’ouvrait : c’était l’abandon. Je te parlais, je te conseillais, je te guidais, je te berçais et tu écoutais parce que ton cœur était dans mon Cœur.

«Je t’ai parlé d’obéissance aux dix commandements de Dieu, je t’ai parlé d’obéissance envers mon Adorable Fils. Tu as ouvert tes yeux et tu as reconnu que tout ce qui était du Ciel devait t’apporter des lumières. Tranquillement, tu as avancé en faisant confiance en ce que tu entendais dans ton petit cœur. Je t’ai inondé de mon parfum d’amour. Si, toi, tu as eu besoin de cela, tu as partagé aussi avec ton prochain ce que tu sentais dans ta vie. Ces arômes t’ont conduit à l’abandon, à la confiance. Je te montrais ma présence. Je t’ai conduit à travers ta noirceur à renoncer au matériel. Je t’ai parlé qu’il ne fallait pas s’attacher avec abus à tout ce qui était autour de toi, car cela était de l’idolâtrie.

«Tu as reconnu là la sagesse de Dieu et tu as avancé et tu as fait confiance. Doucement, je t’amenais à mourir dans le Cœur de mon Fils; et tu as compris, tu as compris que mourir en Jésus, c’est vivre, c’est connaître la liberté. Et dans cette liberté tu as goûté à un 'je t'aime', le 'je t'aime' de Celui qui est au-dessus de tous les 'je t'aime'. Tout est devenu pour toi humilité, tout est devenu pour toi de l’obéissance. Je t’ai encore appelé, j’ai dit : avance et donne-moi ton cœur qui est rempli des cœurs de tous les enfants de Dieu. Tu ne pouvais pas porter tous les cœurs en ton cœur sans que tu aies été atteint par une maladie d’amour. Mourir sur la Croix est une maladie d’amour, et tu as été atteint par cette maladie d’amour en ayant connu le Cœur de l’Amour. Mourir en mon Dieu, c’est mourir à l’Amour, et mourir à l’Amour, c’est vivre l’éternité en être d’amour.

«Voilà qu’aujourd’hui tu sais que tu ne pouvais pas avoir le cœur rempli des cœurs de tous les enfants de Dieu, sans que moi j’y aie participé. Dieu n’avait pas besoin de la Mère de Dieu le Fils, mais la Trinité a associé Marie, la toute petite Marie, à sa puissance. Je suis la Divine Marie par la grâce. Tous ceux qui font confiance en la Mère de Dieu le Fils peuvent comprendre que vivre, c’est respirer l’amour. Lorsqu’on respire l’amour, on ne vit que pour l’amour; on ne vit plus de l’esprit de ce monde, on veut l’Esprit de Dieu, on aime sans condition.»

Mes tout petits enfants, comme le Ciel est dans la joie de vous entendre prier. Avez-vous reçu beaucoup de grâces ces jours précédents et aujourd’hui même? (R : Oui.) Voulez-vous, mes tout petits enfants, faire plaisir à la Trinité? (R : Oui.)  Alors, mes tout petits enfants, je vais prier avec vous les deux dernières dizaines du chapelet. Soyez assurés de ma présence, moi, la Reine des Anges, la Reine des Apôtres, la Reine des pauvres et la Reine des saints. Voyez-vous que vous ne serez pas seuls? N’oubliez pas que vous avez dans votre cœur tous les petits cœurs. Que de grâces le Ciel vous accorde en ces temps!

Avec beaucoup d’humilité, enveloppés d’amour pour la Trinité, entrons en prière.

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